16
Actualités : Soirée espagnole Dossier :

Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

  • Upload
    others

  • View
    12

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

Actualités :Soirée espagnole

Dossier :

Page 2: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

2

Ed

it

or

ia

lLa France traverse, depuis quatre ans maintenant, une crise sévère quis’est ravivée depuis un an avec l’intensification de la crise européenne.

Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, etl’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie française, au bord dela récession.

On voit bien “qu’il faut se mettre en tête que la situation à venir nesera jamais celle du passé, et qu’il faudra faire preuve de courage etd’effort. Croire naïvement (…) qu’une entreprise créée il y a vingt ans,

cinquante ou cent ans, est là ad vitam aeternam, est une imposture démagogique qui stérilise lesinnovations (…). L’expérience ne s’accumule pas, elle se périme”*.

Il va donc nous falloir réapprendre, être inventif, et savoir changer.

Nos dirigeants doivent insuffler ce changement dans les mentalités, et non pas chercher à col-mater des idées passéistes qui n’ont plus court.

Nos politiques doivent cesser de poser le capital en ennemi du bien public, tout en diffusant, toutcomme le chef d’entreprise, des valeurs essentielles, telles que le respect des individus, la confiancedans leurs talents, l’acceptation des différences, et plus que jamais aujourd’hui, le courage etla générosité.

“Si tu veux construire un bateau, ne rassemble pas tes hommes et femmes pour leur donner desordres, pour expliquer chaque détail, pour leur dire où trouver chaque chose. Si tu veux construireun bateau, fais naître dans le cœur de tes hommes et femmes, le désir de la mer.” Antoine de

Saint-Exupéry.

Je souhaite à chacune et chacun d’entre vous, de garder le désir d’entreprendre, et avec les ventset marées, de conserver l’envie d’avancer, ensemble et différemment.

Bonne année 2013

Bien à vous.La Présidente,Corinne Leone

* Liam Fauchard - Ouest France du 11 décembre 2012

EDITO ....................................................................................... p. 2

DOSSIER :

• Communiquer ! .............................................................. p. 3-7

PORTRAITS :• Rencontre avec une peintre Caméléon... ......... p. 8

• Atlantique Composants .............................................. p. 9

• J’ai fait un rêve... Stéphane Pasco,Maître Pâtissier émérite à Vertou l’a réalisé . p. 10

ACTUALITÉS :• Les Commissions au service du Réseau ........... p. 11• Maya change de main ............................................... p. 11• Rendez-vous avecles “chemins de la réussite”................................... p. 12

• Trophées de l’insertion 2012 ....................................... p. 13• Concours de dessin à la BN... ................................. p. 13• Le REV s’invite en Espagne .......................................... p. 14

INFORMATION :• Attention au piratage téléphonique ................. p. 15

CoordonnéesRéseau des Entreprises Vertaviennes. Association loi 1901

Siège social : 115, route de la Gare - 44120 VertouSecrétariat du REV : 10, rue de l’Hippodrome - 44120 VertouTél. : 02 40 03 31 63 - [email protected] - www.rev.asso.fr

Page 3: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

3

D o s s i e r

Vous en êtes convaincu, c’est un fait,votre entreprise est performante,votre qualité de service est irrépro-chable, et vos produits sont d’unequalité enviée de vos concurrents.Côté positionnement, tous lesvoyants sont au vert, vous avez faitles bons choix, tout porterait donc àcroire que votre entreprise est floris-sante. Et pourtant !

Dans votre prospection commerciale,vous devez encore et toujours justi-fier de votre savoir-faire et de votreexpérience. Souvent, peu de per-sonnes ont conscience de qui vousêtes, de vos valeurs, de votre origina-lité, de vos forces et de vos atouts quipourtant sont indéniables. Vos pro-motions passent inaperçues et votrecatalogue n’attire pas les foules… Laquestion se pose, comment amélio-rer votre notoriété et faire passer vosmessages auprès de vos cibles ?

A cette vaste question, vous avez eude nombreuses réponses. Et si toutrésidait dans une bonne politique decommunication, adaptée, maîtrisée,précise et efficiente ?

Revenons un instant sur l’essencemême de la communication. Depuistoujours, l’être humain communique,avec ou sans parole, par des attitudeset des messages qui ont pour parti-cularité leur manifestation en placepublique. La publicité n’est donc pasun concept neuf, mais la maîtrise destechniques publicitaires évolue dejour en jour et s’impose dans les stra-tégies marketing. A juste titre.

Ce n’est pas un hasard si à l’origine,ce sont les pouvoirs politiques quiont trouvé le plus d’intérêt dans ceconcept. En utilisant la presse, l’affi-chage et “l’événementiel”, ils ont misà jour des outils redoutables pour la

diffusion et la propagation d’idées.Rapidement repris par les entreprisesdans un but commercial, la commu-nication s’impose comme la pierreangulaire des stratégies de commer-cialisation.

Les temps ont évolué, les outils ontsuivi. Et inversement.

De nos jours, la stratégie marketingpeut s’appuyer sur un choix d’outilsaux déclinaisons quasiment infinies.Mais que choisir ? La presse cible peu,mais frappe large. L’événementiel esthumain, mais compliqué à organiser.Les réseaux sociaux sont dans l’air dutemps, mais leur efficacité est diffici-lement quantifiable. L’affichage estun très bon vecteur de notoriété,mais que penser d’une vitrine inter-net ? et que penser de l’aménage-ment des espaces de vente, du choixde logo, du sponsoring, de l’e-mailing,de la charte graphique, des pla-quettes, des cartes de visite, du cou-poning, du street marketing… STOP !Respirez.

Si à première vue, cette liste (non-exhaustive) peut donner le vertige, etcette agaçante impression d’être sub-

mergé, rassurez-vous, en communi-cation, le trop est l’ennemi du bien.Sachez définir vos valeurs, vos atoutset vos cibles, vous définirez vos mes-sages, vos actions et vos outils. Seconnaître soi-même, voilà le premierpas indispensable. N’oubliez pas quela seule bonne communication, c’estla communication qui vous ressem-ble. Face à un public qui n’est plusdupe, l’intégrité est, et restera, lemeilleur de vos messages.

Votre entreprise est performante,votre qualité de service est irrépro-chable et vos produits sont d’unequalité enviée de vos concurrents. Etcette fois, à partir de maintenant, çava se savoir.

Communiquer de manièretraditionne lle

Il y a toujours les annuaires. Le mini-tel est mort mais il reste encore lespages jaunes. Il faut y être présent.Tout comme il faut l’être dans les an-nuaires professionnels. Mais les an-nuaires vous présentent sur quelquescatégories seulement, toutes prédé-finies depuis bien longtemps.

Communiquer !Communiquer, c'est entrer en relation en vue de..., c'est partagerquelque chose avec quelqu'un.

Page 4: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

4

Do

ss

ie

r

Il y a la publicité. Distribuée dans lesboîtes aux lettres, réelle ou numé-rique, ou affichée devant nos yeux, surdes écrans ou des affiches 4 x 3, elleest tellement envahissante de nosjours que nous n’y prêtons attentionqu’aux rares moments où elle coïn-cide à notre besoin. Bien qu’elle coûtechère, il faut en faire un minimum.

Et puis il y a le porte à porte. On pou-vait le croire disparu, mais il existetoujours sur des secteurs d’activitésbien précis et sur des zones géogra-phiques bien déterminées. Vu le coût,il faut être certain de faire de nom-breuses rencontres en un minimumde temps sur une surface la plus ré-duite possible. Mais cela est en toutelogique impossible, car il est impro-bable que les attentes de votre ciblese concentrent sur une zone dequelques km².

Ne pas oublier également les sup-ports de communication, type publi-cations et supports écrits, voiciquelques exemples :

a) Pour l’externe

- la plaquette de présentation de lastructure. Elle combine souvent, àtort, plusieurs fonctions : donner desinformations en interne et en ex-terne, développer la notoriété, amé-liorer l’image…

Quelques erreurs récurrentes sont àéviter : plaquette illisible (textesnoyés dans la publicité, photos som-

bres ou floues, mal cadrées quicontrastent avec un papier glacé,schémas compl iqués , phraseslongues, vocabulaire trop technique,caractères trop petits… ), plaquetteuniverselle (trop de cibles viséessimultanément, ce qui ne permet pasune hiérarchisation correcte de l’in-formation), plaquette “maladroite“(elle fait l’éloge des uns, oublie les au-tres, illustre l’ouverture au monde dedemain avec des images d’hier, donneà peine ou pas l’identité de la struc-ture… ), plaquette stéréotype (réali-sée “gracieusement” par un éditeurspécialisé, aux frais de vos partenairespour un coût souvent faramineux,elle ne laisse aucune place à la singu-larité de la structure)…

- les dépliants permettent de présen-ter une formation, une action, undispositif, un programme, un projet.Penser à l’ensemble de vos publica-tions dès le début (support, couleur(s),charte graphique, mise en page)… ;

- les brochures diverses permettent,tout en informant, de mettre en va-leur une richesse patrimoniale, hu-maine, culturelle ou autre liée à lastructure. Elles peuvent, à ce titre, bé-néficier de l’aide financière de parte-naires concernés. Elles sont aussi acteet signe d’ouverture.

b) Pour l’interne

- le journal. Il peut être réalisé en in-terne. Quelques conseils : prévoir dèsle début les cibles, les réalisateurs,

la ligne graphique, les rubriques avecemplacements pour des photos, lapériodicité, la répartition des tâches…Dater et numéroter. Associer le plusde personnes possible à sa réalisa-tion.

- les chartes, documents projets, rè-glements, livrets d’accueil… Autantde supports écrits qui permettentde formaliser de manière simpledes accords et de laisser une tracefiable des décisions, programmes,plans de travail , engagements,règles d’utilisation…

Remarque : ne jamais perdre de vueque les lieux et moments, méthodesde diffusion sont aussi importantsque le support lui-même. Il estconseillé d’identifier et de hiérarchi-ser clairement les lieux de mise à dis-position des documents au sein d’unestructure. Il faut différencier notam-ment les documents de communi-cation de la structure elle-même àqui on attribue le(s) emplacement(s)le(s) plus adéquat(s) par rapport àleur fonction. Viennent ensuite lesdocuments de communication desautres structures à qui on attribue(ou non) des emplacements selonl’intérêt qu’ils présentent pour lesmembres de la communauté.

Il y a enfin le mailing. Comme la pu-blicité, les mails sont tellement enva-hissants que nous n’y prêtons plusattention. 47% de la consultation demail se fait sur smartphone. 88% desmobinautes les consultent au moinsune fois par jour et 30 à 50% d’entreeux n’ouvrent même pas certainsmails et les suppriment directement.Incroyable, on pense à coller une éti-quette “Pas de Pub” sur sa boîte auxlettres mais on ne fait pas l’effort dese désabonner d’un mailing qui nenous intéresse pas. Encore plus fort,les entreprises ne gèrent pas leurscontacts dits “dormeurs“. Il est pour-tant facile et rapide de nettoyer unebase de contact, ou bien de réaliserun mailing ciblé sur les dormeurs,pour les réactiver ou les considérerdéfinitivement perdus.

Mobile (+ 21%)

TENDANCE : LES SECTEURS D’INVESTISSEMENT PLÉBICITÉS

Cinéma (+ 10%)

Internet (+ 5,5%)

Imprimé sans adresse (+ 2,4%)

SearchStratégie de référencement (+ 7%)

La croissance se ralentit pour la télévision et la presse gratuite, mais représente toujours les 2/3 des investissements globaux. Source : UDA

Page 5: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

5

D o s s i e r

Face à cela, il fallait trouver une autreméthode performante de communi-quer pour transformer.

Communiquer par événements

On l’écrivait un peu plus avant :l’événementiel est humain, maiscompliqué à organiser. Cela n’est pasforcément le cas, sauf à vouloir queles clients se déplacent. Ils restentles seuls à décider s’ils se déplacentou pas. Il vaut donc mieux être pré-sent sur un événement où l’on saitque sa cible se déplace.

Prenons l’exemple de l’entrepriseDFC², membre du REV, récompenséeaux Trophées Régionaux du Dévelop-pement Durable Pays de Loire 2012.Même si ce ne devait pas être sonpremier objectif, elle a su transfor-mer son quotidien pour en faire unévénement. “L’entreprise mène desactions sociales et sociétales en sen-sibilisant ses salariés, clients et four-nisseurs au Développement Durablepar ses actions environnementales enréduisant ses consommations d’éner-gies fossiles, papier, ressources nonrenouvelables et en participant au trides déchets”.

Ou bien l’exemple de ces entreprisesqui sponsorisent les bateaux du Ven-dée Globe, ou à plus petite échelle,ceux des marins d’eau douce !

L’objectif de communication estle même, seule la taille de la ciblevisée change.

Communiquer sur Internet

C’est dans l’air du temps, mais sonefficacité est semble-t-il difficilementquantifiable. Ce n’est pas si sûr.

Pour bien communiquer, le plus im-portant est de connaître sa cible. Sicommuniquer, c’est transmettre sonmessage ou bien son image àquelqu’un, il faut le connaître. Car aufinal, la communication internet n’apour objectif que de transformer unprospect en client. Et pour que cettetransformation s’opère, il faut entoute logique que le message trans-mis corresponde en tout point auxattentes de la cible.

Il faut également se questionner surl’objectif de sa communication. Onn’agit pas de la même manière si l’onsouhaite se faire connaître ou si l’onsouhaite fidéliser ses clients. Nous,nous intéresserons ici au souhait dese faire connaître.

Internet n’est rien de plus qu’unnouveau moyen de faire de la publi-cité. Il y a quelques années, il étaitindispensable d’avoir un site vitrinesur Internet pour se présenter. Puis ilest devenu indispensable d’avoir unsite de vente en ligne pour capterdes clients et il est aujourd’hui in-contournable d’être présent sur unsite communautaire, comme Face-book, ou bien d’avoir sa chainevidéo sur You Tube, pour développersa notoriété.

Mais cet outil n’est rien, si on ne vousconnaît pas. Voici quelques éclaircis-sements pour que votre cible voustrouve. Nous allons parler de réfé-rencement et de notoriété. Le réfé-rencement est le moyen mis enœuvre pour que l’on vous trouvequand on ne vous connaît pas. L’ob-jectif étant de vous trouver par unerecherche via des mots clés et non

par le nom de votre produit ou devotre entreprise. La notoriété est letaux de fréquentation de votre site.

Avant d’aller plus dans le détail, il estimpératif de comprendre que le réfé-rencement impacte la notoriété, etnon pas l’inverse. A partir de ceconstat, réalisé par les principalesagences de communication del’agglomération Nantaise, il est doncévident qu’un site internet sans pré-sence sur Facebook n’a pas de sens etréciproquement.

Revenons au référencement. Il peutêtre naturel ou payant. Pour être na-turel, il faut que votre site internetréponde à trois fondamentaux.

1 - Le contenu et les mots clés du sitedoivent être en adéquation avecvotre activité. Il faut connaître sesclients potentiels en ciblant leursintérêts. Et il faut surtout parler d’unproduit autrement que par sa couleur,sa taille ou son prix. Il faut s’ouvrir àplus de mots clés.

2 - La structure technique du site doitrépondre aux attentes des moteursde référencement (ces programmesqui cherchent toutes les nuits dessites nouveaux ou modifiés surinternet). Une fois ces deux fonda-mentaux respectés, vous pouvezvous lancer dans le troisième, le“netlinking“, qui consiste à partagerl’adresse de son site avec d’autressites (si possible mieux référencésque le vôtre) qui partagent lesmêmes centres d’intérêts que vous.Pas question de faire n’importe quoisous peine de voir son site banni desmoteurs de recherche.

E-COMMERCE EN FRANCE

En 2005, le chiffre d’affaires généré était d’environ 5 milliardsd’euros. Il était de 38 milliards d’euros en 2012 (+ 22% parrapport à 2011).

On recense aujourd’hui plus de 100 400 sites marchands enFrance.

Source : Usine Nouvelle

Page 6: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

6

Do

ss

ie

r

CTV : Retour sur une communicationgagnante !CTV est une société indépendante, spécialisée dans les domainesd’activité que sont les Télécoms, les Réseaux et la Sécurité. Positionnéesur le marché du B to B (Business to Business), CTV est présente dansl’Ouest avec l’implantation de 4 agences à Angers, Nantes, la Rochelleet la Roche-sur-Yon où se situe son siège social.

En septembre 2009, CTV décide decréer un service communicationafin de répondre à plusieurs de sesobjectifs :- renforcer sa notoriété, - créer une véritable identité gra-

phique,- se développer sur ses marchés,

- bâtir une stratégie de commu-nication différente dans uncontexte de marché diff ic i le(concentration et banalisant desoffres notamment en Télécom),en perpétuelle évolution techno-logique et bagarré en termes deprix.

Pourquoi accorderde l’importante à la signaturede l’entreprise ? La première étape fût de travailler lelogo de CTV sans pour autant procé-der à une refonte de celui-ci. En effet,après un quizz mené auprès de pros-pects et également clients, il s’est

Vous pouvez opter pour le référen-cement payant, en achetant desmots clés qui feront apparaître votresite comme un lien commercial enhaut de page. Efficacité garantie siles mots clés achetés correspondentparfaitement aux attentes de l’in-ternaute. Mais attention, la notionde lien commercial peut en faire fuircertains.

Pour améliorer sa notoriété rien demieux qu’un blog, un forum ou unsite communautaire. Mais il fautalors gérer et animer sa commu-nauté, pour bénéficier du pouvoir derecommandation de ses clients.

Communiquer aujourd’hui, c’est lefaire par le biais de ses clients quisont les meilleurs ambassadeursd’une marque ou d’une entreprise.Mais attention, un client mécontenten parle à cinq personnes quand unclient content en parle à trois. Il fautdonc gérer quotidiennement sa “e-réputation“, en répondant systéma-tiquement à chaque demande ou àchaque détracteur. Le réseau social al’avantage de démultiplier rapide-ment la notoriété (les amis des amisde vos amis) mais il a aussi l’inconvé-nient de donner la parole.

Comme le dit Cybercité : “S’adres-ser à une communauté n’est paschose facile. Il faut savoir lui parler,l’écouter mais surtout l’engager.Aujourd’hui, qu’il s’agisse de l’incon-tournable FacebookTM, du très média-tique TwitterTM ou du tout récentGoogle+TM, l’important n’est plusd’avoir la plus grosse communautémais surtout d’en faire quelque chose.Alors, vos communautés sont-ellesr é e l l e m e n t q u a l i f i é e s ? Vo t re“community management“ est-il efficace ?” Pour communiquer au-jourd’hui, ce sont à ces questionsqu’il vous faudra répondre.

Particularité des professionsréglementées (exempledes dentistes)Un arrêt récent du Conseil d’État pré-cise les règles déontologiques applica-bles aux sites Internet des praticiens :la charte du Conseil National de l’Or-dre, se fondant sur les dispositions ducode de la santé publique et du codede déontologie prohibe toute formede publicité ou de promotion de l’ac-tivité du praticien. Concrètement celarevient à proscrire la publication parun praticien sur son site internet dela présentation des soins pratiqués,

des spécialités dont il se recommandeou encore des réalisations opérées surles patients. Au praticien de trouver lemoyen de séduire un futur patient.Souvent il le fait au travers du look soi-gné de son site, à l’image de son cabi-net et indirectement donc de laqualité de sa pratique. La localisationet les plages horaires mises en avantsur le site sont autant d’atouts. Mal-gré des contraintes on peut donc tou-jours trouver une manière de répondreaux attentes de sa cible.

ConclusionEn conclusion, le réseau social est unbon outil pour développer sa noto-riété, mais à condition d’être irrépro-chable en service et en qualité. Lanotoriété n’améliore pas le référence-ment. Le référencement internet estaussi important que la présence sur lesréseaux sociaux. Pour bien communi-quer aujourd’hui, il faut se démarqueret il faut être multi-canal car vous nepourrez pas toucher n’importe quelclient sur n’importe quel canal.Nous l’écrivions en introduction : encommunication, le trop est l’ennemidu bien. Cela ne doit pas vous empê-cher d’utiliser avec efficience tous lesoutils à votre disposition.

Page 7: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

7

D o s s i e r

avéré que les trois métiers de CTVn’étaient pas connus de tous. Aussi,une “baseline“ (phrase courte ou motsclés qui se trouvent en général endessous, ou à côté du logo) est venuecompléter la signature de l’entrepriseafin d’apporter immédiatement uncomplément d’information sur sesprincipales activités. Cette évolutionfût suivie d’une nouvelle identité gra-phique en cohérence avec les valeursdéfinies par l’entreprise. La nouvellesignature et la charte graphique asso-ciée ont été le fil rouge pour la créa-tion de supports de communicationtels que la plaquette commerciale, lesfiches métiers, le site internet et biensûr “la marque de fabrique” pour lesopérations de communication qui enont découlées. En conclusion, il estimportant de s’assurer que clientset prospects puisent se dire “Oui, jesuis bien avec l’entreprise que jerecherche”.

Comment créerdes rendez-vous pertinentsavec les marchés ? Après une bonne compréhension desmarchés de CTV, de ses acteurs etconcurrents principaux et une lectureapprofondie de sa stratégie commer-ciale 2012, nous avons ouvert notreboîte à outils de la communication.

Come-back sur les moyens de com-munication déployés en 2012 pourrépondre aux objectifs poursuivis parl’entreprise :

- participer à des salons profession-nels pour augmenter la visibilité deCTV,

- organiser des conférences/col-loques thématiques pour chacunede ses cibles, afin de faire-savoirnotre savoir-faire et ainsi accroîtreses activités,

- créer des événements inédits pourcapter une nouvelle clientèle ou denouveaux prescripteurs (ex : lesjournées portes ouvertes dédiéesaux bureaux d’études et archi-tectes),

- remercier nos clients de leurconfiance en les invitant au VendéeGlobe 2012,

- établir des contacts avec la presseprofessionnelle et entretenir desmoments privilégiés tout au longde l’année (communiqués depresse, démonstration de nou-veaux services comme l’affichagedynamique lors des salons profes-sionnels, décryptage de nouveauxréférentiels tels que l’IFS version 6sur le Food Defense, présentationen avant-première des modules deformation sûreté clés en mainconçus par CTV…),

- mise en place de partenariats dequalité (ex : Eurofins Certifications,ADN’Ouest pour dynamiser le ré-seau de DSI en Vendée),

- perdurer la collaboration avec nosconstructeurs que ce soit en Télé-phonie ou en Sécurité,

- maintenir la politique de qualité parle renouvellement, entre autres, descertifications Apsad en détectiond’intrusion et de vidéosurveillance,

- lobbying au sein de plusieurs ré-seaux.

La communication : coûtou investissement ? La communication est encore mal-heureusement souvent perçue commeun coût et non comme un investisse-ment. C’est pourquoi il est importantde mesurer le “R.O.I.” (Return OnInvestment) de chaque action afin defaire la démonstration de sa contribu-tion au développement de l’entre-prise. En période de crise économique,ce sont les budgets de communica-tion qui sont les premiers à en pâtir.Or, contrairement aux idées reçues, ilest primordial de soutenir sa politiquede communication en période de criseafin d’entretenir les relations auprèsdes clients, fournisseurs, partenaires,préserver la notoriété de l’entrepriseet garder une visibilité sur le marché.

Que doit-on retenir ? En créant la fonction communicationau sein de CTV, l’entreprise a portéun regard très professionnel sur lesenjeux de la communication. Sensi-ble aux objectifs propres à chaque ac-tion de communication, CTV a mis enplace des outils clairs, structurés etorientés avant tout vers les besoinsde ses clients.

Un outil puissant à condition de choi-sir les bons outils, au bon moment età la bonne personne.

[email protected]

Page 8: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

Po

rt

ra

it

s

8

Artiste passionnée de décoration,Nathalie s’imprègne des lieux de viepour réaliser des tableaux “sur me-sure“. La logique veut que bien sou-vent, nous consommateurs, nouscherchions un tableau qui convienneà notre intérieur... Pas toujours facile,il faut l’avouer ! Il faut trouver la bou-tique, et là encore, il est rare detomber sur le tableau qui vous sé-duise. Avoir un coup de cœur iden-tique dans un couple, et de surcroît,qui corresponde aux bonnes couleurset au bon format, relève du miracle !

Mais désormais, c’est possible, car l’artvient à vous !

Nathalie propose de venir vous rendrevisite à domicile pour discuter avecvous, afin de connaître vos goûts, etde sentir l’atmosphère. Elle crée alorsdes esquisses aux pastels afin de vali-der “votre coup de cœur“. Elle laisseensuite place à son talent de peintre

pour réaliser ce tableau entièrementpersonnalisé et unique.

Cette peintre “caméléon” s’adresseaussi bien aux particuliers qu’aux en-treprises. Il est vrai qu’un tableau peutêtre l’occasion de faire passer un mes-sage fort, d’illustrer un savoir-faire etde souligner une identité en intégrant

un logo, des couleurs, des matières quivous correspondent.

Nathalie fait partie du REV depuis2 ans, ce qui lui permet d’échanger, defaire des rencontres, et de passer desmoments toujours conviviaux. Deplus, elle s’est investie dans la com-mission animation qui nous assured’agréables sorties.

Nathalie PériéÉCLAT DE MUR06 60 89 94 51Eclatdemur.canalblog.com

Rencontre avec une peintre Caméléon…Nathalie Périé réalise des tableaux personnalisés. Elle estinstallée sur Vertou depuis 10 ans. Traduire le désir des autres,peindre leurs émotions, tel est le concept original “Éclat de Mur”.

Nouveaux adhérents

R. GELEC Régis GUILBAUD

ALLIANZ ALFROY Serge ALFROY

ABCP COMPETENCES & POTENTIELS Anne DELARUE

ATLANTIQUE COMPOSANTS Jean-François LE GUENNAN

CENTURY 21 BY OUEST Jean-Pierre SCELLOS

LE VERTAW Sylvain et Martina LEROUX

Page 9: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

9

P o r t r a i t s

Atlantique ComposantsEn mai dernier, le REV accueillait un nouvel adhérent, AtlantiqueComposants. C’est au numéro 5 de la rue des Entrepreneurs ques’est installé ce spécialiste du négoce en composants et matérielsélectroniques, également positionné sur le mobilier technique liéà l’électronique dans le milieu professionnel. Nous avons rencon-tré son gérant Jean-François le Guenan afin d’en savoir plus surl’histoire de son entreprise, et sur les raisons de son implantationdans le Parc Industriel de la Vertonne.

Les premières heures de l’histoired’Atlantique Composants se sontdéroulées entre Nantes et Angers aucours des années 80. Le succès fût aurendez-vous, et au fil des années, lasociété a vu son activité se dévelop-per dans l’Ouest. C’est en toutelogique que dès 1990, elle ouvrait sanouvelle antenne bretonne à Rennes,avec l’objectif de pérenniser sonimplantation régionale. A ce jour,elle est présente à Cesson-Sévigné(40 rue de Bray, ZI Sud-Est, Rennes), àBeaucouzé (4 rue de la Treillerie,ZI Beaucouzé, Angers), et désormaiségalement dans notre cité verta-vienne !

En mai 2011, la société a été reprisepar cinq de ses salariés. Portée par cenouvel élan, Atlantique Composants

a souhaité s’installer dans un secteurgéographique qui lui tenait à cœur, lapériphérie nantaise. En quête d’unezone industrielle dynamique danslaquelle elle pourrait s’épanouir et sedévelopper, son choix s’est porté surle Parc Industriel de la Vertonne.

Pour Jean-François Le Guennan, cenouvel emplacement est égalementun atout de taille dans la relationclientèle car il permet de mieuxaccueillir les clients grâce, notam-ment aux nombreuses places de par-king mises à disposition.

Pour ce qui est du service proposé,Atlantique Composants dispose d’unchoix qui saura combler une clientèleexigeante ! Leur stock est composéde près de 15 000 références poursatisfaire au mieux les demandes desprofessionnels, mais également desparticuliers. Jean-François Le Guennannous précise que son activité princi-pale consiste à approvisionner lesproduits spécifiques ou obsolètesselon la demande des clients. Lesprofessionnels sauront apprécier laliste de marques proposées : Weller,Treston, Apem, Finder, Bulgin, ELC, KF,Orbitec, Mean Well, Mbo, Radiall, ouencore Thomas & Betts...

S’appuyant sur un effectif de douzepersonnes, la société continue sondéveloppement afin de répondre au

mieux aux demandes d’une clientèleéclectique. Nous retiendrons qu’ellecompte parmi ses clients des insti-tutions administratives telles quel’Armée, les lycées ou mairies, maiségalement des sociétés de mainte-nance, des bureaux d’étude, et autressociétés de sous-traitance et petitesproductions.

Quant à l’adhésion au REV, Jean-François Le Guennan nous expliqueen toute simplicité qu’il lui semblenormal pour Atlantique Composants,en tant que nouvel arrivant, de cher-cher à s’intégrer au réseau existant. Ilest important de connaître ses voi-sins et de se faire connaître d’eux !

Atlantique Composants5, rue des Entrepreneurs02 40 47 70 40

Page 10: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

10

Po

rt

ra

it

s

Surprenante danse joyeuse des couleursdes macarons. Douce attirance de l’œilpar les dégradés de chocolat, de café etde caramel. Couleurs chaudes boulever-sées par le jaillissement de couleursvives. Explosions de sensations qui mecondamnent au supplice. Adorable sup-plice de la tentation. Que choisir ? Com-ment résister ? Pourquoi résister ? Nepas entendre les injonctions de ma voixintérieure. Oublier les sages recomman-dations de mon médecin. Ah que c’estdur ! Et puis Isabelle est là. Souriante,élégante, accueillante. Précise pour dé-crire les mystères cachés de cet entre-met, glace ou bonbons de chocolat.L’évocation de ganache m’emmène dansun tourbillon de sensualité. Je n’ai plusqu’à me laisser guider par mon hôtesse.Et repartir avec un délicat carton qu’elleconfectionne avec précision et agilité. Adéguster religieusement. Avec modéra-tion… ou pas.

Attention, aimable lecteur, tu n’es pas àl’abri du bonheur et de quelques petitsmoments de subtils plaisirs. StéphanePasco et Isabelle Payen de La Garanderietravaillent pour nous les proposer.

Stéphane et Isabelle sont frère et sœur.Alors qu’il préparait un bac scientifique,Stéphane fut touché par Saint-Honoré,le saint patron des pâtissiers. Il passealors son CAP, travaille chez de grandspâtissiers et Maîtres chocolatiers, tel queJean-Paul Hévin à Paris, apprend lesfinesses du métier et prépare la créationde sa propre entreprise dans l’agglo-mération nantaise. Isabelle se laisseséduire par ce challenge alors qu’elle estenseignante.

Ils associent leurs forces pour la mise enœuvre du projet. Lui s’occupe de trouverla ville ou le quartier vierge de magasinconcurrent. Elle, se charge des dimen-sions administratives, financières et juri-diques de la création d’entreprise. Ellesuit des formations spécifiques pour enacquérir quelques bases. Fin 2010, ilschoisissent de s’installer à Vertou.Isabelle définit le design du magasin,Stéphane aménage le laboratoire defabrication dans la zone de la Vertonne.En octobre 2011, le point de vente estouvert 2, rue Charles Callier, dans l’ex-îlot de l’hôpital.

Stéphane, assisté de Guénolé Lecointre,apprenti en 2e année CAP, règne sur lelaboratoire, essaie de nouvelles recetteset tours de main. Régulièrement de nou-veaux produits sont proposés à la clien-tèle. Le chocolat et ses dérivés tiennentune grande place. Leurs mises en œuvrenécessitent un savoir-faire pointu pourmaîtriser le processus d’une bonne cris-tallisation du chocolat et obtenir la qua-lité parfaite de fondant, de goût et debrillance. Tout est une question de tem-pérature. La tempéreuse et l’enrobeusede chocolat sont deux pièces maîtressesdans le labo.

Stéphane aime partager sa passion. Ainsiil anime, le samedi après-midi, des for-mations destinées aux consommateursdésireux de maîtriser la réalisation depâtisseries, macarons, bûches de Noëlou verrines… Chaque participant repar-tira avec les recettes et sa productionpersonnelle, réalisée sous la conduite duMaître Artisan.

Isabelle anime le magasin avec raffine-ment pour mettre en valeur les entre-mets, les chocolats, les verrines et autresglaces et sorbets. Elle développe égale-ment la vente par le biais du site internetet le partenariat avec d’autres profes-sionnels des métiers de bouche, tel queFeel Juice à Nantes. Elle a aussi l’objectifde promouvoir le nom de StéphanePasco, Pâtissier-Chocolatier-Glacier.

Son adhésion au Réseau des EntreprisesVertavien s’inscrit, bien sûr, dans cettedémarche, mais aussi pour avoir la pos-sibilité de rencontrer des professionnelsayant les mêmes préoccupations.

Pour finir, vous l’aurez deviné, je vousinvite à pousser la porte. Plaisir garanti.

Un addict au chocolat anonyme.

Stéphane Pasco2, rue Charles Callier02 40 03 00 83www.stephanepasco.com

J’ai fait un rêve... Stéphane Pasco,Maître Pâtissier émérite à Vertou l’a réaliséDès le premier pas dans la pâtisserie, étonnante et agréableimpression. Celle d’entrer dans un temple. Calme. Sérénité. Lignesdroites. Tendues. Harmonie des couleurs. Gris clair. Gris foncé.Anthracite au sol. Contraste des couleurs. Pâtisseries et chocolatssur les plans noirs des présentoirs roses fushia vif. Éclairagessubtils mettant en valeur les œuvres du maître pâtissier.

10

Page 11: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

11

A c t u a l i t é s

Les Commissions au service du RéseauLe 20 septembre s’est déroulée une rencontre entre les adhérentsmembres des commissions du Rev, ainsi que les membres du Bureau.Cette soirée était l’occasion d’échanger, de mieux se connaître et deprésenter le rôle de chacun au sein du Réseau.

Nous avons été accueil l is parFrédéric Louka et Apolline Vauthierdu Restaurant “Com chez Soi” àVertou pour une dégustation depetits “mijotés” succulents. Pour ter-miner cette dégustation, nous avonseu la chance de goûter aux très finsmacarons de notre nouvel adhérent,le chocolatier Stéphane Pasco ac-compagné de Isabelle Payen de laGaranderie (voir portrait page 10).Nous les remercions tous les quatrede cet accueil chaleureux.

Petit rappel des membres des commissions.

Accueil :Responsable : Jean-Louis Merlet(MGP).Magalie Roucher (Archidess'1) -Dominique Noël (Mobilier EspaceCréation) - Gilles Humeau (DegréConfort) - Valérie Thiau (CIC) -Corinne Leone (Avocat).

Action :Responsable : Bernard Boucard (CTV)Jacques Bureau (Géomètre ExpertFoncier) - Jean-Philippe Chauvière(BDO) - Alain Lubert (Hauteur 44) -Guy Brochard (Tallineau Emballage) -Corinne Leone (Avocat).

Animation :Responsable : Pascal Luneau (Cave dePascal Luneau).Nathalie Périé (Éclat de Mur) -Christophe Chassier (Kesys Ouest) -Olivier Bonnet (Ets Maurice Bonnet) -Bernard Saje (BN) - Fabrice Brangeon(BDO) - Corinne Leone (Avocat).

Communication :Responsable : Laurence Musset (Optima & Co).Jean-Paul Barraud (JPB Engineering) -Chantal Thomas (Esat) - PhilippeChauveau (EASI Conseil) - Pierre-Frank Séguineau (Web) - CorinneLeone (Avocat).

Bienvenue dans le nouveau monde MAYAFin septembre 2012, un vertavien Olivier Massé, a repris MAYA Imprimerie.

La volonté de poursuivre sa carrière dans l'industrie graphique et la rencontre avec Jean-PaulPotiron et Jean-François Richard a permis d'envisager la reprise de MAYA Imprimerie et c'estnaturellement que le processus de transmission s'est mis en place. Son ambition, est de poursuivredans la lignée de ce qui caractérise l'entreprise : écoute et créativité, service et réactivité.

Nous remercions Jean-Paul et Jean-François de leur collaboration dans l’élaboration de l’Info REV.

Page 12: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

Ac

tu

alit

és

12

Après une brève introduction deClaude Lapétina, Président du RES-SOR, Corinne Leone remercie tousles participants de leur présence etlance le spectacle en annonçant leconférencier Hervé Gougeon. Il estvenu pour identifier, avec humour,originalité et bon sens, les sourcesde freins et d’échecs qui nous em-pêchent tous de progresser. Difficiletâche de retranscrire avec justessetoutes les idées et les bons mots en-tendus durant ce spectacle, ou plu-tôt ce show, qui a duré deux heures.

Le coaching, car finalement s’en fûtun, débute par la mise en valeur desfreins du quotidien. Il les catégoriseen quatre familles. Chacun de cesfreins, comme les préjugés ou“l’excusite“, nous est savamment

décrit à l’aide d’exemples, sans nuldoute, tous tirés du vécu de “notreami”. C’est ainsi qu’il nous a appeléstoute la soirée. A 57 ans, marié, deuxenfants, comme il se décrit, ayantdémarré au bas de l’échelle, il a su,au fil du temps, déterminer ce qu’ilfallait faire et ne pas faire. Dans sondeuxième chapitre, on sent qu’il asu tirer la substantifique mœlle detoutes les ressources qu’il a côtoyées.Car contre les freins, il y a biensûr l’attitude à tenir, comme avoirconfiance en soi et surtout écouter etobserver les autres. Mais il y a aussil’organisation, comme bien mesurerla priorité des choses à faire.

Personne dans la salle n’a été épar-gné. La petite voix que l’on arrive par-fois à faire taire, était là ce soir surscène devant nous. Aïe ! On peut direqu’il sait mettre le doigt là où celafait mal ! Tel un ostéopathe de l’en-treprise, il préfère l’efficience à l’effi-cacité (faire les bonnes choses plutôtque faire bien les choses). Une autrephrase à retenir : “pour gagner plus, ilne faut pas travailler plus, il fauttravailler mieux.” On nous martèleque la France va mal ! Et bien non,selon lui, ce sont les français qui vontmal. Ils s’écoutent trop, ils subissent,

ils n’osent pas ou plus etc… Ceux dudernier rang s’en souviendront.

Il termine la conférence en dévelop-pant les leviers de la réussite. Ellepasse obligatoirement par le bonheur.Il faut être heureux, avoir un but etêtre persévérant car “la réussite estune succession d’échecs.” Enfin, ilfaut être enthousiaste, car “rien nes’est jamais fait de grand sans en-thousiasme.” Il nous a tenus en ha-leine pendant deux heures non-stop.Aucun des présents ne contredira quel’on sort d’une telle soirée, reboostéet remotivé. Certains auront appréciéd’avoir déjà mis en pratique, quelques-uns des précieux conseils distillés.

Nous nous sommes ensuite tousretrouvés autour d’un délicieuxbuffet. Certains d’entre nous ontmême eu la chance de pouvoiréchanger quelques mots avec notreorateur. Dans ces discussions, on amême entendu dire qu’une telleprésentation pourrait très bien avoirlieu dès le collège ou le lycée. Voilàune poss ib le miss ion pour lacommission action du REV !

Groupe EDIFIA4, rue Duguay Trouin44812 St-Herblain Cedex02 40 92 17 4202 40 92 01 18

Rendez-vous avec“les chemins de la réussite"Près de 400 personnes ont répondu à l’invitation lancée par le REV etle RESSOR, le jeudi 11 octobre 2012, pour une soirée exceptionnelledont le premier objectif était de rapprocher les deux réseaux.

Page 13: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

Concours de dessin à la BN

13

A c t u a l i t é s

Le 15 novembre dernier, le MEDEF 44organisait la 8e cérémonie des trophéesde l’insertion, lors de la semaine pourl’emploi des personnes handicapées.A cette occasion, il a été remis cinqrécompenses à des représentantsd’entreprises ou d’administrations pourvaloriser les réalisations exemplairesqu’ils ont accomplies en faveur del’insertion des personnes en situationde handicap.

Deux adhérents du REV ont été plébis-cités : Damien Vergnault, directeurgénéral de l’entreprise DV et ChantalThomas, directrice de l’ESAT de laVertonne.

Le partenariat entre ces deux établisse-ments date de près de vingt ans. Eneffet, lorsque Damien Vergnault chercheà s’implanter sur Nantes, c’est à l’ESATde la Vertonne qu’il trouve la réponseà ses besoins de main-d’œuvre. Ayantdéjà travaillé avec le milieu protégéen Vendée, il connaissait la qualitéet l’adaptabilité défendues par ceséquipes professionnelles en situationde handicap.

Rapidement, l’entreprise se développeet cherche des locaux dans la régionnantaise. C’est au 552 route de Clissonque l’enseigne DV posera ses valises.Damien Vergnault fait le pari d’inclureau milieu de ses salariés, une équipe del’ESAT de la Vertonne car il croit forte-ment à la richesse d’une telle complé-mentarité de compétences.

Aujourd’hui, ce sont vingt-cinq travail-leurs handicapés, accompagnés dedeux éducateurs techniques, qui évo-luent et s’épanouissent au sein d’uneentreprise connue et reconnue danstoutes les régions de France au traversde sa large gamme de produits régio-naux. L’intégration de ces personnes

hors des murs de l’ESAT est une valeurforte voulue par Chantal Thomasdepuis l’origine de l’ESAT, il y aura toutjuste vingt ans fin 2013. Cette volontéaffichée de promotion des compé-tences a déjà permis à plusieurstravailleurs de sortir du secteur detravail protégé pour intégrer de façonpermanente un poste en entreprise.

C’est donc pour ce travail de fond et cepartenariat volontariste que le MEDEFa voulu récompenser Damien Vergnault,et à travers lui tous les salariés de sonentreprise qui ont bien voulu lever lesbarrières de la peur de la différence.

Trophées de l’insertion 2012Un trophée a été remis à la société Damien Vergnault pour l’intégrationd’une équipe de travailleurs handicapés de l’ESAT de la Vertonne.

Suite aux portes ouvertes de débutoctobre, la BN a lancé un jeu-concoursà toutes les classes de Vertou qui sontvenues visiter la Biscuiterie Nantaise.

La règle du jeu était la suivante :

créer une affiche originale qui meten scène le Choco BN !

La BN a reçu plus de 100 dessins et aréuni les classes qui ont participé à cejeu-concours le jeudi 20 décembre.

3 écoles de Vertou étaient présenteslors de cette remise de prix :

- 2 classes de CM2 de l’École Saint-Martin Saint-Joseph,

- 1 classe de CM2 de l’École desTreilles,

- 1 classe de CM2 de l’École HenriLesage.

Chaque école a imaginé une façon demettre le Choco BN en situation, lesélèves ont donc été récompensés sui-vant trois catégories : - Dessin le plus réaliste, - Slogan le plus délirant, - Dessin le plus créatif.

Pour remercier l'ensemble des partici-pants, la remise des prix s'est terminépar un goûter et chaque élève estreparti avec des paquets de mini-BN !

Page 14: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

Ac

tu

alit

és

14

Le REV s’invite en EspagneAlors que les premières froidures de l’hiver se faisaient sentir, une soixantained’entre-nous, a bravé l’ambiance glaciale de ce jeudi 29 novembre 2012,pour une soirée especial Espana. Paella et vins ibériques, soigneusementsélectionnés par Pascal Luneau, étaient au programme.

Rien ne manquait pour se sentir im-médiatement transportés de l’autrecôté des Pyrénées : ambiance cha-leureuse, crépitement de la paella,drapeaux espagnols, et même unguitariste, faisant résonner les sonsandalous.

Accoudés au bar de la taberna duKiosque du Loiry, ou allant et venantau gré de nos discussions, nous avonstout d’abord dégusté d’excellentestapas, accompagnées d’un Rueda, vinblanc de Castille et Léon, frais et léger,aux délicates notes d’agrumes. Guidéspar l’odeur alléchante de la paella,nous avons ensuite pris place aux

tables soigneusement décorées. Pouraccompagner la dégustation de cemet emblématique de la gastronomieespagnole, Pascal notre sommelier enchef, nous a fait poursuivre notrevoyage en Castille et Léon, autour d’unRioja, tout en fruits, puis d’un Riberadel Duero, plus tannique, pour remon-ter ensuite vers le nord, en Catalogne,avec un Priorat, plus familier à nospalais, car composé de Grenache,Carignan et Cabernet Sauvignon.

Puis soudain, alors que le son de laguitare résonnait de nouveau, estapparue, tout droit venue d’Andalou-sie, une magnifique danseuse parée desa robe de flamenco rouge vif.

Chants a capella, palmas (claque-ments des mains), claqué des pieds,

castanuelas (castagnettes) guitarraflamenca, pas de doute, tous les in-grédients du Flamenco étaient là, sousnos yeux surpris et admiratifs devantcette gitana.

Après de chaleureux applaudisse-ments pour le groupe de La PenaFlamenca, Planta Tacon, nous pensionsalors avoir terminé notre initiation àcet art espagnol, inscrit au patrimoineimmatériel de l’Humanité de l’Unescodepuis 2010.

Mais c’était sans compter la malicedes organisateurs de cette soirée quientendaient bien que l’on passe de lathéorie à la pratique !

Emmenés par notre Présidente,Corinne Leone, certains se sont doncdévoués pour apprendre quelques pasde flamenco, sous les rires et encou-ragements de la salle !

Après l’effort, vient le réconfort (!) etc’est sans bouder notre plaisir, quenous avons ensuite dégusté d’excel-lentes réductions, confectionnées parnotre adhérent chocolatier, StéphanePasco.

Comme toujours, cet événement fes-tif a permis de nombreux échangesprofessionnels et conviviaux.

VIVA EL REV !

especial Espana

Page 15: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

15

I n format ions

Ce piratage concerne plus particulière-ment les entreprises. Le coût descommunications ainsi piratées, etfacturées par l’opérateur à l’entreprise,peut atteindre plusieurs milliers, voiredizaines de milliers d’euros (un casrecensé à 600 K€).

Vous ne pouvez vous rendre compted’un piratage que lorsque vous recevezvotre facture (tous les deux mois). Dansl’intervalle de ces deux factures, desmilliers de communications peuventêtre établis via des robots d’appels.

Ce piratage intervient par l’absenced’une politique de sécurité dans lemonde des télécommunications. Lesentreprises ont des réticences à renon-cer à des fonctionnalités accessiblesdepuis l’extérieur : consultation de lamessagerie vocale à distance, renvoisd’appels, accès à l’international sansrestriction…

Par ailleurs, il n’existe pas non plus, unepolitique de gestion d’identifiants et demots de passe. Ces identifiants et motsde passe sont obligatoires pour accé-der à la programmation de l’autocom-mutateur ou à la messagerie vocale.

Comment se réalise un piratage :1 - Par télégestion : il est en effet pos-

sible de se connecter sur un auto-commutateur depuis l’extérieur. Ilsuffit de programmer un numéro

de téléphone type SDA (SélectionDirecte à l’Arrivée), renvoyé versl’extérieur. Le simple fait d’appelerce numéro vous permet de vousconnecter sur une nouvelle ligne etd’appeler où vous voulez. La factu-ration étant toujours sur le posterenvoyé.

2 - Par accès à la messagerie vocaled’un correspondant : après avoiraccédé à la messagerie vocale d’uncorrespondant, et si la fonction“rappel du correspondant via leréseau public” est activée, il estalors possible d’appeler un autrecorrespondant, et ce, gratuitement.Certaines messageries vocales permettent une configuration àdistance. C’est ce type de piratagequi est le plus fréquemmentutilisé.

Ces deux types de piratage nécessitentd’avoir le logiciel d’exploitation del’autocommutateur et d’avoir les motsde passe. Toutefois, il faut savoir queles mots de passe sont identiques surtoutes les machines, lorsque celles-cisortent de fabrication. Il appartientdonc à l’intégrateur de remplacer lescodes usines par des codes confiden-tiels.

Comment gérer les mots de passe :1 - Demander à votre intégrateur de

changer le code usine par un code

propriétaire. Attention ! Ce codedoit être personnalisé à l’installa-tion (certains intégrateurs ont uncode unique pour l’ensemble deleurs installations).

2 - Désactiver la fonction “rappel ducorrespondant via le réseau public“de la messagerie vocale si elle n’estpas nécessaire.

3 - Chaque utilisateur de boîte vocaledoit avoir un code d’accès person-nalisé, connu de lui seul et sans valeur évidente (comme quatrechiffres identiques, date de nais-sance…), et le plus long possible.

4 - Changer la durée de validité desmots de passe (initialement illimi-tée dans la messagerie vocale).

Ne prenez pas ce risque à la légère.Des centaines d’installations ont déjàété piratées, pour des gains deplusieurs millions d’euros par an, audétriment des entreprises. Des assu-rances existent pour couvrir lesrisques liés aux équipements detélécommunications, mais favorisezplutôt la technique. Demandez à votreintégrateur un audit de votre installa-tion et mettez en place une politiquede gestion des mots de passe.

Pour plus d’informations sur le sujetvous pouvez consulter le site : http://www.sos-piratage.com/

Attention au piratage téléphonique !Vous connaissez le piratage maritime, le piratage industriel, le piratageinformatique… Mais que savez-vous du piratage téléphonique ? Il existe !Et même à grande échelle.

• 17 janvier Galette des Rois

• 21 mars Assemblée Générale(à confirmer)

• 2e trimestre 2013 Soirée appel d’offre

• Projets Visite du Centre de SecoursVisite des Chantiers Jeanneau (Les Herbiers)Da

tes

à re

teni

r

Page 16: Dossier - Réseau des Entreprises Vertaviennes · Les promesses électorales n’ont pas fait long feu face à la réalité, et l’année 2013 s’annonce ardue pour l’économie

Partenariat

Défis

Partage

Succès

Proximité

Convivialit

é

Corinne Leone,Présidente du Réseau des Entreprises Vertaviennes

& les Membres du Bureauvous souhaitent

une très bonne année

Nos liens font notre force

Réseau des Entreprises

Vertaviennes

2013

Resp

onsa

ble

publ

icat

ion

: Cor

inne

Léo

ne -

Réa

lisat

ion

et im

pres

sion

: Im

prim

erie

May

a