15
DOSSIER SPECTACLE

DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

  • Upload
    others

  • View
    12

  • Download
    0

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

DOSSIER SPECTACLE

Page 2: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /Compagnie Créature

Création 2016 / A partir de 4 ans / 35 min. / 120 à 150 spectateursLibrement adapté de «La lumière de Bouchka» / de Rachel Hausfater / Illustré par Rémy Wyart / Edition Sarbacane

Une petite fille constate qu’une fois de plus son père n’est pas là. En elle éclate alors une tempête, perdue dans sa colère elle cherche la lumière. Elle traverse cet état comme on traverse la nuit. Mais au bout de sa quête elle prendra conscience que la lumière a toujours été là, en elle. Et qu’en acceptant de s’apaiser elle rejaillira.

Mise en scène / Adaptation : Lou BroquinAssistante : Odile BrissetAvec : Nora Jonquet / Ysé BroquinMasques / Marionnettes : Lou Broquin / Odile Brisset / Michel BroquinDécors : Pierre-Adrien Lecerf / Michel BroquinLumière : Guillaume HerrmannMusique Originale : Christophe RuetschAdministration : Isabelle CavallinDiffusion : Marie DuboisCommunication ; Agathe Nivet

SoutiensDRAC Languedoc Roussillon - Midi PyrénéesLa Région Languedoc Roussilon - Midi PyrénéesMairie de ToulouseOdyssud Blagnac / Scène des trois ponts Castelnaudary / Centre Culturel des Mazades Toulouse / Marionnettissimo

BOUCHKA/Résidences de création15 au 19 février 2016 / Scène des trois ponts – Castelnaudary 22 au 25 février 2016 / Petit théâtre Saint-Exupère – Odyssud – Blagnac 29 février au 4 mars 2016 / Théâtre des Mazades – Toulouse

Création8 mars 2016 Théâtre des Mazades – Toulouse

Page 3: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /Le mot de l’auteur

La lumière de Bouchka retrouvée

J’ai écrit « La lumière de Bouchka » il y a des années, pour un album qui n’est pas resté longtemps sur les étagères des libraires. Cela me faisait de la peine que cette histoire n’existe plus que dans mon souvenir. Il ne restait de Bouchka qu’une petite boule très seule, qui pleurait…

Jusqu’au jour où Lou Broquin l’a trouvée (ou bien est-ce le contraire ?). Elle et les membres de la Com-pagnie Créature ont réveillé Bouchka, l’ont habillée, animée, adoptée. Ils lui ont offert une maison dans la neige et beaucoup d’amour, et lui ont redonné vie.

C’est comme ça qu’un matin de novembre, comme par miracle, ma petite boule de rage est apparue sur scène, vivante et vibrante. Avec émerveillement je l’ai vue tempêter, errer et se perdre, puis s’éblouir, revenir et se mettre à danser. Et devant elle, médusés, captivés, enchantés, il y avait des dizaines d’en-fants (dont moi…) qui l’aimaient et partageaient sa colère, son désespoir et sa joie retrouvée.

Alors merci ! Pour votre univers qui rejoint si bien le mien, pour la grâce et la force d’Ysé, la danseuse qui interprète Bouchka, pour la douceur de Nora, la comédienne qui est à la fois la maman et la voix, pour la beauté des lumières, du décor, des costumes, des masques et des marionnettes. Et merci à Lou qui a su ressusciter Bouchka avec tant de justesse, de puissance et de délicatesse.

Dans la salle, avant le spectacle, une petite fille assise à côté de moi s’impatientait : « Elle est où, Bouchka ? »

Elle est là…

Rachel Hausfater

Page 4: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /Projet

Après la lecture du livre « La lumière de Bouchka », mon envie de l’adapter pour le plateau est devenue évidente. Les mots et les images ont résonné loin en moi, ils ont caressé la joue de la petite fille que j’ai été. J’ai pensé que j’aurais aimé que l’on me raconte cette histoire.

Alors aujourd’hui je décide de la raconter, avec des sensations, des images, des corps et des mots.

Pour traverser avec le public le cheminement de Bouchka, de sa colère à son calme, de la tempête au retour de la lumière.

Partager cette sensation, qui fait que lorsque la tristesse nous enserre l’on pense que tout est fini… Et pourtant le possible ressurgit.

Construire le récit avec délicatesse et poésie.

Pour dire à chacun qu’après le brouillard et la nuit, le soleil revient toujours.

BOUCHKA /Notes de mise en scène

Mon envie est de donner à cette histoire un ancrage profond, intime, organique, c’est pourquoi j’ai choisi une jeune danseuse pour interpréter Bouchka - pour inscrire la présence de la petite fille dans un corps habité par l’émotion. Et pour accompagner le cheminement de cette enfant, une comédienne marionnet-tiste avec qui je travaille souvent, qui interprète la maman et anime toutes les visions de Bouchka.

Les voix, les corps, les masques et les objets animés au service des émotions et des sensations que traversent la petite fille. Des images qui se transforment, se modulent du sombre au joyeux. Des corps impliqués presque chorégraphiés.

Bouchka va transformer le monde qui l’entoure pour qu’il soit en accord avec ce qu’elle ressent. Que le dehors soit à l’image du dedans.

Bouchka joyeuse, piteuse, rieuse, pleureuse, perdue, déterminée, aura cette grande force qu’ont les enfants, de passer d’un état à l’autre en un claquement de doigts.

Créer un espace qui palpite au rythme des sensations de l’enfant, où la lumière sera un membre à part entière de l’histoire et la musique sera en résonance avec le récit.

Page 5: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /Scénographie

Sur scène une maison, symbole de la famille, des parents, du foyer protecteur et du contenant qui abrite les états de l’être.

En plongeant dans sa colère, Bouchka, va se confronter aux limites de ce contenant et le faire éclater. Se retrouvant seule face à son monde intérieur. La structure accompagnera les différentes étapes du cheminement de Bouchka.

Dans un premier temps, elle sera le foyer dans sa globalité, la table centrale étant celle du repas fami-lial. Puis elle deviendra la chambre de la petite fille, lieu de rencontre entre Bouchka et ses peurs.

Pour finir elle sera le lieu de l’apaisement et du retour à la douceur du cocon familial.

Un espace qui se module avec la construction du récit.

Page 6: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature
Page 7: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /A propos de l’album

« Bouchka, tout en joues et tout en jupes, marche dans la nuit. Elle cherche la lumière. » Envahie par la colère et le chagrin, Bouchka est absorbée toute entière dans de vilaines pensées. Une nouvelle fois, le papa de Bouchka est parti, la laissant seule avec sa maman. Bouchka vit mal ces séparations à répéti-tion, « parce qu’il faut toujours qu’il travaille, toujours qu’il voyage, toujours qu’il soit JAMAIS là. » Il ne reste que son grand manteau qui pend tristement à côté de la porte.

L’avis de Ricochet :

Tout semble noir, sale et triste aux yeux de Bouchka. La lumière ne parvient plus à l’atteindre. Enfermée dans sa colère, elle trépigne, elle enrage et elle se répand en torrents de larmes. Elle a atteint les abîmes les plus profonds, plongée dans la noirceur de son ressentiment. Seule dans sa chambre, elle se replie sur elle-même, laisse son esprit divaguer et sa colère s’exprimer, perdant la notion du temps et de l’espace, s’imaginant perdue dans la forêt, poursuivie par les loups…

Lorsque Bouchka parviendra à s’apaiser, à retrouver son calme et à ouvrir son cœur, la lumière revien-dra alors dans sa vie. Elle retrouvera la chaleur d’un foyer aimant, découvrant sous le grand manteau la silhouette de son papa et le sourire de sa maman, caché sous ses longs cheveux noirs.

Magnifique album sur le sentiment d’abandon et la souffrance liée à l’absence d’un être cher, La lumière de Bouchka est porté par l’écriture infiniment délicate, suave et touchante de RachelHausfater, toujours très sensible à la fragilité des êtres. La mise en images de Rémi Wyart, tout jeune illustrateur, que son éditeur compare déjà à Bruegel et Fantin Latour, mérite le détour.

Une rencontre très réussie entre deux univers, celui d’une auteure confirmée et d’un nouveau-né de l’illustration…

Anne Godin

Page 8: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature
Page 9: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /A propos de Lou Broquin / Metteur en scène

A 28 ans Lou Broquin est une artiste pluridisciplinaire, elle passe de la mise en scène au travail de création plastique, mais aussi de son rôle de comédienne à celui d’adaptatrice. Elle travaille depuis 10 ans au sein de la Compagnie Créature.

Le théâtre qu’elle construit est fait d’images, de sensations et de représentations de l’être. A chaque création elle interroge les codes et les symboles qui constituent son univers. Cherchant sans cesse à raconter l’humain face à ses questionnements avec délicatesse et espoir.

La création jeune public a une place essentielle dans son parcours étant pour elle une forme artistique de tous les possibles.

Lou Broquin aime interroger la question de notre place dans le monde et de notre capacité à surpasser les difficultés.

Les états de l’être étant au cœur de sa recherche, avec cette nouvelle création qui parle de la colère, elle va poursuivre son travail sur l’intime.

Depuis 2 ans elle est la nouvelle conceptrice artistique de la compagnie Créature, un nouveau souffle et de nouvelles perspectives naissent avec son travail.

Bouchka sera sa sixième mise en scène.

Page 10: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /Le texte

Bouchka, tout en joues et tout en jupes, marche dans la nuit. Elle cherche de la lumière.

Autour de Bouchka tout est noir. Et dans Bouchka aussi, le noir.Noirs les yeux, noir le coeur, noire la nuit et noire sa vie.

Et même la neige est sale.

Papa est parti. Comme tout le temps, il n’a pas eu de temps pour Bouchka.Parce qu’il faut toujours qu’il travaille, toujours qu’il voyage, toujours qu’il soit JAMAIS là.Il a pris son chapeau, son sac et son bâton, a poussé la porte et est sorti dans le monde.Maintenant il n’y a plus de Papa. Juste un manteau, très seul, qui pend.

En voyant sa porte se refermer, Bouchka s’est fâchée tout rouge, fâchée tout noir.Elle a tant râlé, rouspété, ronchonné, elle a tant crié, craqué, crissé, elle a tant trépigné, tressauté, tristouné, que la colère l’a emportée.Maintenant il n’y a plus de Bouchka. Juste une boule, très petite, qui pleure.

Maman n’aime pas du tout quand sa fille fait sa folle.Elle a dit : « Tais-toi je ne veux plus t’entendre ! « Elle a dit : « Va dans ta chambre, je ne veux plus te voir ! «Elle a parlé en méchante et Bouchka ne veut pas qu’elle parle cette langue-là.

Alors Bouchka a fermé sa bouche, fermé ses oreilles, fermé la porte.Et elle s’est sauvée.Maintenant, il n’y a plus de Maman.Juste une voix, très loin, qui crie.

Dehors tout est noir. Le soleil est parti avec Papa, et les bougies sont restées chez Maman.Pas de lune là-haut, pas d’étoiles ce soir.Bouchka écarte les bras et sent la nuit qui l’enferme, ça fait comme des murs tout autour d’elle, qui cachent la lumière.« Comment on sort ? « pleura Bouchka.

Bouchka marche et marche en rond.Les petites maisons basses semblent prêtes à bondir.Et puis plus de maisons, rien que la route, toute seule, qui ne s’arrête pas.Elle ne mène nulle part, et Bouchka ne veut pas y aller !Elle est perdue, elle ne sait plus.Personne ne vient, personne ne va, personne ne la rencontre.Où sont les gens?Et il y a des loups, sûrement, qui galopent au fond de la nuit.

Bouchka a si peur des arbres et des ombres qu’elle se met à courir vite vite, très vite, trop vite !Soudain elle glisse, dérape, s’envole…et retombe, BOUM, cul par-dessus tête, jupes par-dessus joues, au milieu du chemin.

Page 11: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

Elle voudrait bien hurler, elle voudrait qu’on la plaigne.Mais personne n’est là, sauf elle.Une Bouchka piteuse, boueuse, morveuse, une Bouchka ridicule…qui rit et puis qui pleure.

Assise par terre au milieu de ses éclats de rire et de larmes,Bouchka n’a plus envie de se relever. Comme une petite bête, elle se met à gratter le sol.Et sous la neige sale, elle découvre de la propre, de la neige toute neuve, qui étincelle et lave les yeux.C’est beau comme des draps, attirant comme un lit.« Je veux rentrer «, pense-t-elle.« Je veux ma Maman «, geint-elle.Mais par où est la maison ? Comment sortir du noir ?

Bouchka relève la tête et interroge le ciel.Elle tend très haut les bras et pousse les nuages, ça fait sortir la lune, qui rallume la nuit.

Alors les loups s’enfuient, les arbres la caressent, le village, tout près, l’appelle doucement.Les rues familières lui montrent le chemin jusqu’à sa petite maison, endormie dans le sombre.Bouchka grimpe sur la fenêtre, repousse les volets et voit dans le salon le feu qui lui fait de grands signes.

Bouchka ouvre la porte qui grince malicieusement.Dans l’entrée il y a un chapeau, un sac et un bâton. Lentement elle s’approche du grand manteau qui pend, en écarte les pans… et y découvre son père !Il lui ouvre grand les bras et l’embrasse tout chaud.

Dans la cuisine Maman est là, penchée sur la table.Elle épluche les pommes. On ne voit pas ses yeux. Peut-être qu’ils sont fâchés ?Sans faire de bruit Bouchka monte sur un tabouret, soulève timidement les longs cheveux noirs… et découvre le sourire de sa mère, éclatant !« Ah, voilà ma poupée ! « dit celle-ci tendrement, en lui tirant les nattes.

Revenue la lumière, rallumées les lumières !Bouchka a repoussé la nuit.Agenouillée sur un tabouret elle boit un bon bouillon brûlant.En croquant des noix, Papa lui raconte des histoires du monde, qui l’a font voyager et qui l’a font rêver.Derrière la fenêtre le noir continue.Mais les yeux de Bouchka brillent comme des étoiles.

Il est tard maintenant, Bouchka doit aller au lit. Dans sa petite chambre tout en bois, les draps sont blancs comme neige, et la bougie qui tremble éloigne toutes ses peurs.La chanson de Maman fait comme une guirlande, à laquelle elle s’accroche et qui l’emporte ailleurs.

Doucement, Bouchka s’endort.

Demain il fera jour !

Page 12: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

Les Créations de la Compagnie

2017 : Héritages, texte original de Bernard Friot en collaboration avec Lou Broquin. Mise en scène : Lou Broquin.

2016 : Bouchka, librement adapté de La lumière de Bouchka de Rachel Hausfater. Mise en scène : Lou Broquin.

2014 : Lalènne, d’après La jeune fille à la laine de Seungyoun Kim. Mise en scène : Lou Broquin et Odile Brisset.

2013 : Les Irréels. Performance pour l’espace public. Installation de 15 cabanes aux univers plastiques singuliers, pour un peuple étrange mi-animal, mi-humain, silencieux et poétique. Mise en scène : Lou Broquin.

2012 : L’égaré, d’après L’île de Armin Greder. A l’aide de fragments d’objets, de masques et de marionnettes, deux hommes et une femme se souviennent de la tragique histoire de L’égaré. Mise en scène Lou Broquin.

2010 : Le Vilain Petit Canard. Librement adapté d’H.C. Andersen. Dans un fatras de ferraille, baignoires métalliques, vieux bidons, deux comédiennes, paysannes d’antan, nous parlent de solitude, de luttes et de joies. Mise en scène : Lou Broquin.

2009 : Bibi, d’après Elzbieta. Théâtre et marionnettes. Quand une reine est séparée de son roi, il arrive que son petit garçon, ait envie de prendre la place de son papa. Pour grandir, Bibi, doit redevenir un enfant comme les autres. Mise en scène Odile Brisset.

2009 : C’est la lune qui me l’a dit. Création de la version pour la salle.

2008 : Les Cultivateurs de Rêves. Spectacle - installation pour la rue joué par une tribu de 15 personnes. Masques, marionnettes, mise en scène Lou Broquin.

2007 : C’est la lune qui me l’a dit. Théâtre de rue. De leur bric à brac poétique et ludique, Mona et Bertille font surgir de tendres marionnettes et un monde farfelu et coloré fait de récup’, de trucs et de bidules. Mise en scène Odile Brisset.

2007 : Pour tout bagage : Petit Gris, d’après Elzbieta. Conte philosophique sur le thème de la pauvreté, restituant l’histoire magique et lumineuse de Petit Gris. Mise en scène Odile Brisset, adaptation Michel Broquin. 2007 : Histoires Pressées, de Bernard Friot. Lecture théâtralisée avec évocation d’images en masques et marionnettes. Mise en scène Odile Brisset.

2004 : Petite Histoire de Fête. Duo clownesque de deux comédiennes revisitant l’histoire de Boucle d’Or à l’occasion d’un anniversaire. Mise en scène Odile Brisset.

2004 : Les Souliers rouges, de Tiziana Lucattini. Ce troisième volet de notre trilogie sur la guerre, à la manière d’un reportage, condamne toute forme d’oppression. Mise en scène de Michel Broquin.

2003 : Flon-Flon et Musette. Adaptation du livre d’Elzbieta. Un spectacle qui pose des questions profondes sans heurter, et permet de partager plaisir et émotion en rappelant que la beauté du monde est souvent détruite par l’avidité et la brutalité des hommes.. Mise en scène Odile Brisset.

2002 : Œuf de Lune, de Michel Broquin. Spectacle de masques, marionnettes et théâtre, mettant en scène des personnages inspirés du monde de la féerie, traitant des «nourritures affectives». Mise en scène Odile Brisset.

2001 : Otto, d’après Tomi Ungerer. Tente d’appeler à la vigilance face à l’insidieux petit fascisme ordinaire, larve des dictatures et de leurs exactions. Mise en scène Michel Broquin.

2001 : Poucette, d’après H.C Andersen. A travers l’ouverture de boîtes à rêves, les deux comédiens nous content l’histoire de la petite Poucette avec poésie, féerie, inventions et humour. Mise en scène Odile Brisset.

1999 : Le Diable des Rochers, d’après Grégoire Solotareff. Conte philosophique moderne qui traite par de belles métaphores de la différence, l’exclusion, la solitude, la solidarité, l’intégration… Mise en scène Jean-Claude Bastos.

1998 : Solitude en Loques. Travail poétique sur le souvenir et la mémoire. Mise en scène Michel Broquin et Odile Brisset.

1996 : C’est ta Mère après tout (d’après Poil de Carotte), utilise l’éclairage des autres œuvres de Jules Renard, et notamment celui de son « journal intime » dans un décor proche du travail pictural de Van Gogh. Mise en scène Michel Broquin.

1995 : Boucle d’Or sur une idée originale d’Odile Brisset. Parcours sensoriel et initiatique au code théâtral pour les tout petits.

1995 : Hansel et Gretel d’après les frères Grimm, dans la tradition du théâtre noir donne autant d’importance au texte et au jeu d’interprétation qu’aux images et à la manipulation. Mise en scène Jean-Marc Brisset.

1992 : La minuscule Histoire de Poucette, d’après H.C. Andersen. Travail sur la miniature et la profusion d’images, alliant jeu de comédiens et de marionnettes. Mise en scène Michel Broquin et Odile Brisset.

1991 : Morte-Gueule. Chanson de geste entre épopée picaresque et fresque épique du haut Moyen-Âge peuplée de personnages héroïques et fantastiques. Mise en scène Michel Broquin et Odile Brisset.

Page 13: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA /Saison 2016-2017

Théâtre des Mazades (31)Premières le 8 mars 20162 représentations

Espace Culturel Aragon - Saint Vallier (71)2 et 3 juillet 20162 représentations

Espace Appollo - Mazamet (81)vend. 4 et sam. 5 novembre 20162 représentations

ODDYSSUD - Blagnac (31) en partenariat avec le Festival MarionnettissimoPetit théâtre Saint-Exupère du mar.16, merc.17, jeu. 18 et ven. 19 novembre 2016 9 représentations

Théâtre des 3 ponts - Castelnaudary (11)Dim. 5 et Lun. 6 mars 20173 représentations

Festival «In» Mondial des Théâtres de Marionnettes - Charleville-Mézières (08)Merc 20 et jeud 21 sept 20175 représentations

Castres (81)merc. 18 octobre 20172 représentations

Théâtre de Muret - Muret (31)sam. 3 février 20181 représentation

Centre Culturel L’Hermine - Sarzeau (56)Février 2018 (2/3 représentations, date à définir)

Page 14: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

BOUCHKA/Création 2016 A partir de 4 ans / 120 à 150 spectateurs / 40 min. environ

Conditions Financières

Coût de cession (nous consulter).

Tarif spécial pour une 2ème représentation dans la même journée et sur les séries à partir de 3 repré-sentations (devis sur demande, nous consulter).

Nombre de représentations par jour : 2

Droits d’auteur : SACD

*Les représentations doivent avoir lieu dans une même salle.

Frais Annexes

Déplacement : Transport du décor et de l’équipe depuis Blagnac 1€/km

Défraiements : Tarifs CCNEAC en vigueur pour 4 personnes de l’arrivée au départ

Affiches : 15 gratuites + 0,76€/affiche et frais d’envoi au-delà

Conditions Techniques

Salle : noir indispensable

Espace scénique idéal : ouverture 10m / profondeur 10m / hauteur 7mEspace scénique minimum : ouverture 8m / profondeur 7.5m / hauteur 5.5m

Espace public : en gradinnage de préférence 120 spectateurs (sans gradinnage) / 150 spectateurs (avec gradinnage)

2 services de montage et 2h/3h de démontage

Contact Technique : Guillaume Herrmann : 06 82 48 99 54 / [email protected]

Page 15: DOSSIER SPECTACLE - Cie Creature

Le Dock des Ragondins76, chemin des Ramiers31700 Blagnac - France

+33 (0)5 62 74 13 09

PRODUCTION / DIFFUSIONMarie Dubois / [email protected]

www.ciecreature.fr

Suivez nous sur nos pages Facebook :Les Irréels - Compagnie Créature

Compagnie Créature

licence d’entrepreneur de Spectacle N°105 93 61N° Siret : 380 987 610 000 66 - Code APE : 9001 Z