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Dr Jean-Marc ADDA - Boulogne Billancourt · 2018. 3. 31. · Décembre 2011 9 ainsi le nombre de séances conseillées. Un guide diététique est remis à la personne, pour lui réapprendre

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HISTORIQUE

A/ Origine d'une surcharge pondérale

Expliquer un surpoids est un exercice complexe, chaquepersonne étant différente face aux facteurs favorisant unesurcharge pondérale.

Il est néanmoins possible de lister les principaux facteursdéclenchant un surpoids :

1/ Les facteurs alimentaires

La prise alimentaire est le principal paramètre, car l'excèsd'apport énergétique est à la base de toutes les surchargespondérales. La personne a tendance à manger de manièretrop importante par rapport aux besoins de l'organisme.

L’excès d’apport quantitatif : Un apport calorique excessifpar rapport aux besoins entraîne inévitablement une prisede poids significative. Le nombre moyen de calories ab-sorbées chaque jour dépend de l’activité de la personne.Le sédentaire n’a pas les mêmes besoins que le travail-leur de force.

L’excès d’apport qualitatif : La consommation excessive deglucides simples comme les sucreries, les biscuits, les cho-colats, etc… ou de graisses joue un rôle majeur dans l’ap-parition d’un déséquilibre. En effet, les aliments riches ensucres et en graisses, à forte teneur énergétique, dont legoût est souvent agréable, retardent la sensation de sa-tiété, ce qui entraîne leur surconsommation. Les glucideset lipides seront stockés sous forme de graisse s’ils ne sontpas immédiatement dépensés.

Les troubles du comportement alimentaire (TCA) : - Issus des dépendances alimentaires : une vie stressante,une mauvaise hygiène alimentaire, une déstructurationdes repas caractérisent les modes de vie actuels et sont àl'origines de dépendances alimentaires (fringales, com-pulsions alimentaires, grignotage, boulimie...).- Issus des habitudes culturelles : repas de famille gar-gantuesques, repas d'affaires, accès aux nourritures àrisques (notamment pour les enfants), sensibilité auxmessages publicitaires...

2/ Les facteurs liés à la dépense énergétique

Il s’agit de la sédentarité au sens large, et du passaged’une activité physique importante à la sédentarité.Concernant une activité sportive, même celle-ci ne fait pasréellement maigrir ou de façon négligeable, celle-ci parti-cipe à un bon équilibre psychique et à une bonne stimu-lation de l'organisme qui fonctionnera mieux (systèmecardio-vasculaire, système digestif...).

3/ Les facteurs génétiques

Très rarement, une prédisposition génétique (liée à demultiples gènes et non à un seul) rend un individu donné,ou une famille d’individus donnée, plus exposés à un sur-poids dans un environnement et une alimentation don-nés. Ce surpoids commence relativement tôt dansl'enfance.

4/ Les facteurs psychologiques

Il n’y pas de profil psychologique type de la personne ensurpoids, c'est-à-dire qu’il n’y a pas de trait de caractère oud’anomalie du psychisme qui prédispose de manière for-melle au surpoids. Comme abordé au chapitre "troublesdu comportement alimentaire", l'apparition d'un surpoidspeut correspondre à un traumatisme psychologique. Lanourriture apparaît alors comme une source de compen-sation (au même titre que la cigarette ou l'alcool). Cer-taines périodes de la vie sont propices à l'apparition d'unsurpoids, comme par exemple un divorce ou une perted'emploi, un changement du statut hormonal (adoles-cence, grossesse, ménopause...), un état de stress ou unsyndrome dépressif. De même, la situation est rendue plus compliquée par lefait que le surpoids en lui-même contribue à développercertains traits psychologiques anormaux, pris à tort commeune cause de ce surpoids. La personne tombe alors dansun cercle vicieux.

5/ Les facteurs médicaux

Certains médicaments tels que les sédatifs type neurolep-tiques et antidépresseurs, qui diminueraient les taux desérotonine, peuvent être responsables de l'apparition d'un

La Luxopuncture : une aide décisive dans

La prise en charge des surcharges pondéraLes

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surpoids. La pilule, trop fortement dosée, peut faire pren-dre du poids. L'arrêt du tabac peut entraîner une prise de poids. Les per-sonnes arrêtant de fumer peuvent reporter leur compul-sion tabagique sur la nourriture.

B/ Réduction d'une surcharge pondérale

Pour une personne, la seule façon de perdre un surpoidssur le long terme, c’est donc de corriger son alimentation,avec une phase hypocalorique pendant l'amaigrissement.Ensuite pour stabiliser le poids de forme atteint, l'alimen-tation doit correspondre aux besoins alimentaires de l'or-ganisme.

Deux difficultés surviennent lorsqu’une personne se dé-cide à perdre du poids :

- La première est de changer ses habitudes alimentairespour une alimentation hypocalorique et de ne pas se dé-courager jusqu’à l’obtention du poids visé.

- La seconde est de stabiliser le poids dans le temps, c’està dire conserver une bonne hygiène alimentaire, et queles apports alimentaires correspondent aux besoins de l'or-ganisme.

Ces difficultés proviennent en grande partie du fait que,chez une personne dans la démarche de maigrir, la vo-lonté s'oppose aux frustrations subies. Le plus souvent lesbonnes résolutions sont rapidement abandonnées (dansenviron 85% des cas, et 95% à 3 ans).

Ces frustrations seraient liées aux troubles du comporte-ment alimentaire (TCA) appelées également dépendancesalimentaires : - appétit excessif - fringales (appétit se déclenchant en dehors des heuresde repas)- compulsions (besoins irrépressibles de grignoter, deconsommer des aliments sucrés, gras, du chocolat...) à dif-férentes heures de la journée

Chez l'individu, ces dépendances alimentaires, compara-bles aux dépendances tabagique ou alcoolique, seraientune réponse à un état anxieux.

Le traitement efficace des surcharges pondérales passedonc par la correction des troubles du comportementalimentaire. Comment aider la personne à passerd'une alimentation déséquilibrée, conséquence de ses

TCA à une alimentation équilibrée correspondant à sesbesoins alimentaires ?

C/ Comment corriger le comportement alimentaire

Notre comportement (appétit, sommeil, humeur, motiva-tion...) est géré par le système hormonal, qui produit 3hormones essentielles :

La sérotonine Elle influe sur l’appétit, l’humeur et le sommeil. En man-quer c’est avoir un appétit dépassant ses besoins alimen-taires, des fringales avec comme conséquence une prisede poids.Elle a un effet antidépresseur et procure un sentiment dedétente. Un état dépressif serait lié à un déficit en séroto-nine.De récentes études démontrent que la consommation desucre ou de chocolat augmenterait le taux de sérotonine.Ceci expliquerait, en cas d’état de stress, l’attirance ou lacompulsion vers les aliments sucrés ou le chocolat, créantainsi un état de dépendance alimentaire.L’endorphine Elle procure plaisir, calme et sérénité. En manquer, c’estse sentir anxieux, stressé.L’expérience gustative des sucres, des graisses, du choco-lat produit des endorphines dans le corps,tout comme la consommation de tabac ou d'alcool.La dopamine Un déséquilibre dans les taux de dopamine, appelée aussi“hormone des drogues”, augmenteraitles compulsions, c’est-à-dire l’envie irrépressible deconsommer des aliments sucrés ou gras,de fumer ou de consommer de l’alcool, car ces actes aug-menteraient les taux d'endorphines et de sérotonine, pro-curant ainsi un état de bien-être.

Tableau : symptômes d'un déséquilibre hormonal

Sérotonine Appétit normalSatiétéHumeurSommeil

Appétit excessifFringalesÉtat dépressifTroubles du sommeil

Dopamine Satisfaction desbesoins vitaux

Compulsions (besoins) : - Nourriture (grignotage, sucre, graisses...)- Tabac, alcool...

Endorphines Bien-êtrePlaisirCalme

StressTroubles du sommeilSensibilité à la douleur

EQUILIBRE DESORDRE

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Les troubles du comportement alimentaires (TCA) trouventleur origine, en partie, dans un déséquilibre fonctionneldu système hormonal. Rétablir l'équilibre hormonal, no-tamment au niveau de la production de sérotonine, en-dorphines et dopamine, corrigerait donc les troubles ducomportement alimentaire, l'anxiété et des troubles dusommeil.

NB : Définition médicale de la compulsion : Besoin irré-pressible d'effectuer un acte ou un rituel visant à réduirel'anxiété. Ces actes peuvent être notamment manger,fumer une cigarette, boire de l'alcool...

D/ Les réflexothérapies

Les réflexothérapies comme l'acupuncture ou l'ostéopa-thie sont basées sur l'hypothèse que la stimulation d'uneou plusieurs zones précises du corps va provoquer un ré-flexe qui va rétablir l'équilibre fonctionnel d'un organe, parexemple le système hormonal, et ainsi faire disparaître ouatténuer les troubles anxieux et compulsifs (cf. Tableau :symptômes d'un déséquilibre hormonal).

L’expérience montre que les réflexothérapies telles quel’acupuncture peuvent être très efficaces sur la régulationdu système hormonal et sur les troubles compulsifs etanxieux. Ces troubles touchent une grande partie de la po-pulation : dépendances alimentaires, au tabac et à l’alcool,stress, troubles du sommeil...

Il y a plusieurs obstacles à la mise en place d'une réflexo-thérapie au sein d'une pratique médicale :- absence de consensus sur les prises en charge du patient(nombre de séances, nombre de points stimulés pendantune séance, suivi du patient...)- manque de répétitivité des résultats dans la stimulationpar aiguille ou laser- disparité dans la durée et la qualité des formations dis-pensées

Tout ceci menant a un manque de fiabilité et de crédibi-lité concernant les résultats qu’on peut atteindre avec lesréflexothérapies.

Néanmoins certaines études et méta-analyses scienti-fiques permettent de mettre en avant des résultats inté-ressants dans la prise en charge des états compulsifs etanxieux.

LA LUXOPUNCTURE OU ACUPUNCTURE INFRAROUGE

A/ Objectifs

La luxopuncture est basée sur un appareil médical géné-rant un rayonnement infrarouge. Cette technique est utili-sée dans la prise en charge de ces troubles anxieux etcompulsifs. Elle est simple à mettre en place au cabinet, auterme d’une journée de formation.

Cette prise en charge est destinée aux sujets ayant un In-dice de Masse Corporelle (IMC) inférieur ou égal à 30-32.

L'objectif est de ramener cet IMC à une valeur de 23-24 etde le stabiliser ensuite.NB : IMC = Poids / (Taille)2. Poids en kg, taille en m.

B/ Matériel

La luxopuncture stimule les points réflexes au moyen d’unrayonnement infrarouge. La zone couverte par le faisceauest d'environ 30mm2, facilitant la localisation et donc lastimulation du point.

C/ Prise en charge

La prise en charge repose sur 3 axes :1- La correction du comportement alimentaire2- La reprise d’une alimentation équilibrée3- Le suivi du praticien pour gérer les écarts

1/ Les séances

Lors du premier entretien, le praticien réalise un bilan etdéfinit avec la personne en surpoids l’objectif de poids deforme (en général, correspondant à un IMC de 23-24) et

IMC INDICE OBESITE

HOMME

FEMME

Entre 20 et 25

Entre 19 et 24

Normal Moyenne Importante Grave

Entre 25 et 30 Entre 31 et 40 > 40

ACUPUNCTUREAiguille ou LaserLocalisation difficile

LUXOPUNCTUREFaisceau divergentLocalisation facile

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ainsi le nombre de séances conseillées. Un guide diététiqueest remis à la personne, pour lui réapprendre à s’alimenterde façon saine et équilibrée.

Lors des séances (en général 1 séance de 30 minutes par se-maine), la personne est installée sur une table de soins. Avecl'appareil, le praticien stimule une trentaine de points ré-flexes.

Les séances ont pour but de supprimer les troubles ducomportement alimentaire à l'origine des frustrations,de la faim, du stress subis au changement d'alimenta-tion.

L'objectif est que la personne puisse suivre le guide diété-tique en tout confort, sans faim ni compulsions, et sans "cra-quer", comme cela arrive souvent avec un régime classique.

2/ Le guide diététique

Le guide diététique donne les conseils pour atteindre etconserver le poids de forme. Il explique comment reprendreune bonne hygiène alimentaire et gérer les écarts. Il décritles phases de rééquilibrage alimentaire à suivre, basées surune alimentation traditionnelle et familiale, sans aucun com-plément alimentaire. Pendant la phase de perte de poids, les apports alimentairessont d’environ 1600 kcal/jour, pour perdre de 3 à 4 kilos parmois, rythme maximum médicalement préconisé pour éviterfatigue ou hypoglycémie.Les aliments naturels sont privilégiés (viandes, poissons, lé-gumes, féculents, fruits...). Les aliments trop sucrés ou gras,ainsi que les aliments "lights" sont proscrits.

3/ Stabilisation du poids de forme et des prises alimentaires

Au terme de la cure, en phase de stabilisation : si le systèmehormonal est équilibré, notamment les cycles de sérotonine,pendant les repas, le cerveau envoie des signaux pour aver-tir que les apports alimentaires sont suffisants en quantité(quand la personne ressent la satiété) et en qualité (quandcesse le plaisir de manger). Ces signaux ne sont plus res-sentis par les personnes en surpoids, compulsives ou bouli-miques.

Le patient régule ainsi ses apports alimentaires en respec-tant les sensations relatives aux prises alimentaires : la sa-tiété et le plaisir de manger.

En fin de prise en charge, il est indiqué au patient que si ilressent que les troubles du comportement alimentaire semanifestent à nouveau (reprise de poids, fringales, grigno-tage...), de revenir suivre 3 séances espacées d'une semaineen stabilisation, en moyenne tous les 6 mois, pendant 3 à 4ans.

D/ Résultats

1ère phase : réduction de surcharge pondérale

A partir de la 2ème ou 3ème séance, le patient rapporte unediminution de l'appétit, une disparition ou une diminutiondes compulsions (grignotage, chocolat...) et une moindre ap-pétence pour les aliments sucrés ou gras. Sont égalementrapportés un meilleur sommeil, une diminution de l'anxiété,un meilleur transit et une diminution des rétentions lym-phatiques.

L'expérience montre que la plupart des sujets étudiésavaient eu auparavant des difficultés à modifier leur ali-mentation dans le cadre d'un amaigrissement, abandon-nant souvent leurs bonnes résolutions au bout dequelques jours ou quelques semaines et reprenant inexo-rablement du poids (le fameux effet yo-yo). Avec lesséances de luxopuncture, la modification de l'alimentationest facilitée car les troubles du comportement alimentairedisparaissent ou sont fortement atténués. Le patient mo-difie son alimentation en douceur, sans frustrations, etsans l’impression de subir un régime restrictif. Si des écartsse produisent, le praticien doit encourager, par son suivi,le patient à suivre une diététique associée.

En 2007, une évaluation sur 291 personnes a été menéepar le bureau de recherche clinique TEREO (Lille).

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Les résultats ont montré un taux de satisfaction atteignant95,6% pour des amaigrissements de 2 à 36 kg.

• Nombre de sujets : 291• 93% femmes et 7% hommes• Age moyen des sujets : 44 ans (Mini 13, Maxi 74)• IMC initial =< 32• IMC final >= 24• Poids moyen avant la cure : 76 kg (Mini 47, Maxi 142)• Perte de poids moyenne recherchée : 11 kg

(Mini 2, Maxi 36)

Un point remarquable dans le graphique ci-dessus est l'étroitesse de l'Intervalle de Confiance à 95%. Cela dé-montre bien que la luxopuncture favorise et fiabilise laperte de poids, associée à un guide diététique.

2ème phase : stabilisation du poids de forme et desprises alimentaires

L'expérience montre que les effets de la luxopuncture du-rent en moyenne 6 mois. Pendant cette période, la grandemajorité des patients maintiennent leur poids de formegrâce à la régulation de leur comportement alimentaire.

Moyennant 3 séances espacées d'une semaine, enmoyenne tous les 6 mois, de nombreux cas de patientsayant stabilisé leur poids de forme sur plusieurs annéesont été rapportés.

La réflexothérapie est également proposée consécutive-ment aux interventions de liposuccion et de lipolyse, afinque le patient maintienne les bénéfices de l'interventionsur le long terme. Une évaluation a été menée à la Cli-nique Esthétique Aquitaine en 2009, sur 7 patients en sta-bilisation post-opératoire, et présentée par le ChirurgienPlastique Denis de Lonca, en conférence à l'EMAA à Parisen Octobre 2009.

SUJETS• Nombre de sujets : 7• 6 femmes et 1 homme• Age moyen des sujets : 45 ans (Mini 22, Maxi 56)• Traitement précédent : liposuccion et/ou diète

hyperprotéinée• Conseils diététiques de stabilisation• IMC moyen avant Luxo : 29• Poids moyen avant Luxo : 76.2 kg

RESULTATS• Durée du traitement : 3 mois• Nombre de séances : 1 par semaine• Perte de poids supplémentaire : environ 700 g/mois• Diminution des compulsions de grignotage, d'aliments

sucrés ou salés• Diminution des niveaux de stress et des troubles du

sommeil• IMC moyen après 12 semaines de traitement : 28.2• Poids moyen après 12 semaines de traitement : 74.1 kg

Satisfaction des patientsen fin du traitement

95.6 %

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CONCLUSION

Sont donc associés une réflexothérapie, une diététique fa-miliale et un suivi du patient. Aucun médicament ni com-plément alimentaire n'est utilisé.

Une réflexothérapie comme la luxopuncture corrige lestroubles du comportement alimentaire (appétit excessif,fringales, compulsions, appétence pour les aliments sucrésou gras...) chez les personnes en surpoids modéré à im-portant (IMC < 30-32) et aide efficacement ceux-ci à adop-ter une alimentation saine et équilibrée tout en stabilisantsur le long terme un IMC de 23-24.

A noter l’absence d’effets secondaires et de risques médi-caux qui rendent cette alternative thérapeutique encoreplus attractive, dans un domaine ou l'allopathie atteint seslimites.

BIBLIOGRAPHIELuxomed - Evaluation TEREO, bureau de recherche clinique,menée sur 291 sujets en surpoids en 2007 - Congrès AMWC -Monaco 2009The treatment of obesity by acupuncture. International Journalof Neuroscience, 2006 Feb; 116(2):165-75Effects of Bilateral Auricular Acupuncture Stimulation on BodyWeight in Healthy Volunteers and Mildly Obese Patients. Exp BiolMed 228:1201–1207, 2003.Résultats du traitement des obésités. Rat P. Conférences d’Acu-puncture, GERA, Toulon. 1980;5:204-8.Programmes contre l’obésité et le tabagisme - Centre d’Acu-puncture d’Asie – ParisAcupuncture for anxiety and anxiety disorders – a systematic li-terature review. Pilkington K, Kirkwood G, Rampes H, CummingsM, Richardson J. Acupuncture in Medicine. 2007;25(1-2):1-10.Acupuncture increases nocturnal melatonin secretion and re-duces insomnia and anxiety: a preliminary report. Spence DW,Kayumov L, Chen A, Lowe A, Jain U, Katzman MA, Shen J, Pe-relman B, Shapiro CM. J Neuropsychiatry Clin Neurosci. 2004Winter;16(1):19-28.

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