Émergence Magazine Québec - Mars 2015

ÉMERGENCEM AG A Z I N E Q U É B E C

Le webzine des arts et de la culture au Québec

2 ÉMERGENCE MAGAZINE QUÉBEC © Mars 2015

Une belle collaboration entre Émergence Magazine Québec et la Boîte à Musiciens,. La Boîte à Musiciens, c’est toute une équipe!

Un gang de bénévoles passionnés par leur domaine qui, facilités par les ressources de leurs commanditaires, fournissent aux artistes émergents une corde de plus à leur arc. Régisseurs, techniciens, machinistes, photographes sont présents afin d’assurer des événements de qualité professionnelle.

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3ÉMERGENCE MAGAZINE QUÉBEC © Mars 2015

Photographie de la page couverture : Mélanie Lefrançois

Modèle : Lysandre Ouellette Stuart

Les auteurs ont l’entière responsabilité de leurs textes ainsi que d’obtenir les autorisations nécessaire à la diffusion des images, des photographies et des vidéos illustrant ces derniers.

© RÉJEAN SAVARD Tous droits réservés pour tous pays.

Reproduction par quelque procédé que ce soit et traduction, même partielles, interdites sans l’autorisation de RÉJEAN SAVARD.

Émergence Magazine Québec, est un collectif d’artistes québécois différents chaque mois. Ils diffusent bénévolement leur propre texte et image dans le but de vous présenter leur réalisation et mettre de l’avant leur travail artistique.

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Photographe

Artiste visuelle

Auteure

Photographe reporter

Musique

Artiste peintre

Photographe

Auteure

Musique

Modèle

Artiste peintre

Musique

Illustration

Maquillage artistique

Musique

Photographies humoristiques

Photographe professionnel

Louis-Charles Bourgeois

Andrée-Anne Laberge

Mélanie Fortin

Marie-Ève Phaneuf

Melody Cocktail

Maria Tremblay

Élise Lecomte

Marie Larocque

Beat Trip

Lysandre Ouellette Stuart

Jean-Francois Lapointe

Stewart De Moya

Dali-Gabriel Dubois

Annie Desharnais

Rusdell Nunez

Alex Smith

Simon Lanciault

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Je me nomme Louis-Charles Bourgeois, j’ai 24 ans, je suis un photographe passionné.

Que ce soit par des livres, des blogs ou des tutoriels sur Youtube, j’ai toujours été autodidacte pour apprendre le métier de photographe, aucune formation en photographie ne figure sur mon CV. J’ai appris sur le tas comme on dit! La meilleure façon de connaître son équipement est de l’utiliser le plus souvent possible et c’est aussi le meilleur moyen de s’améliorer et de progresser.

Je me plais à regarder mes premières photos que j’ai fais à l’âge de 16 ans avec un Sony Alpha 350. Aujourd’hui, 8 ans plus tard, beaucoup de chemin a été parcouru, les compétences acquises et ma passion n’ont cessé de grandir ainsi que la qualité et l’originalité de mes photos.

La série de photos “goutte d’eau” est le fruit d’expérimentations, d’essais-erreurs. La première prise n’était clairement pas la meilleure, mais avec de la patience j’ai réussi à peaufiner mon éclairage. Le résultat, des photos avec de très grands contrastes entre les zones sombres et claires et beaucoup de textures et de reliefs. Étant donné que la lumière est primordiale dans la qualité et la beauté d’une photo, j’ai remarqué qu’avec le temps j’accorde de plus en plus d’importance à la luminosité pendant mes « photoshoots », essayant d’utiliser un éclairage naturel la plupart du temps, ou sinon j’utilise deux « softbox » pour une lumière continue et flatteuse.

J’ai beaucoup cheminé dans mon interaction avec les modèles. Tout photographe qui débute réalise qu’il peut être parfois difficile d’interagir avec des modèles, quoi dire, quoi faire et comment agir pour que le modèle et le photographe se sentent à l’aise et que les deux parties aient aussi du plaisir à travailler ensemble. Débuter avec des amis ou des connaissances est toujours une bonne idée, mais il est toujours plus agréable de travailler avec des modèles plus expérimentés, ça permet de focaliser au maximum sur la prise de photos et ses réglages.

Depuis quelque temps, il y a eu une grande amélioration de mes photos, notamment une meilleure composition et un meilleur traitement. En 2015, quelques voyages sont prévus, alors j’ai bien hâte de voir mon évolution photographique suite aux restrictions qui s’imposeront à moi, lors de ces voyages, en ce qui a trait au transport de mon équipement.

L’univers de la photographie peut être compliqué et intimidant. Les photos prises ne donnent pas toujours le résultat désiré, les retouches et les réglages demandent beaucoup de patience. Mais le plus important est de ne pas perdre de vue les raisons qui nous ont poussé à commencer dans ce domaine. Pour ma part c’est par pur plaisir, j’adore faire de la photo et je souhaite en faire le plus souvent possible. Louis-Charles BourgeoisPhotographeLCB Alpha Photo

Louis-Charles

Bourgeois Photographe

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C’est en 2003 au cours de mon baccalauréat en arts à l’Université Concordia, après plusieurs années à me consacrer au dessin, que je découvre l’encaustique, ce médium qui m’oblige à un lâcher-prise. Technique millénaire à base de cire d’abeille, de résine et de pigments purs, l’encaustique devient mon médium de prédilection. Contrairement au dessin, cette fois, la cire chaude qui fige vitement, exige une spontanéité et une rapidité dans son application. La matière vivante, qui bouge, respire et réagit m’amène à apprécier l’incontrôlable, l’imprévu. Ses différentes propriétés me permettent de travailler en transparence et même de sculpter la matière. Fabriquant ma propre peinture, j’ai ainsi accès à une liberté encore plus grande dans la création de mes couleurs. Ce processus prend du temps mais fait maintenant parti intégrante de ma démarche.

C’est en 2010 que je décide de me consacrer à plein temps à ma création. Un changement de milieu de vie, réoriente mon regard maintenant axé davantage sur l’environnement physique. Les mouvements de la nature m’inspirent. Sur mes tableaux, les éléments bougent, respirent et parfois même se déchainent. La ligne d’horizon s’impose comme le seul élément d’une stabilité nécessaire. Appartenant à un univers semi-abstrait, mes oeuvres sont un ensemble de ciels chaotiques, de mers agitées et de forêts apaisantes appréciables à travers les flous et textures.

Plus récemment, J’explore un nouveau procédé en exploitant davantage l’aspect sculptural de la matière. Je peins sur des supports de grande dimension et j’emploie la cire plus abondamment. Je travaille par addition et soustraction, pour ce faire, j’accumule la cire sur la surface du tableau pour ensuite la retirer par endroit et ainsi faire ressortir les couleurs cachées par les nombreuses couches successives ce qui permet de donner plus de relief à mon tableau. La matérialité du médium devient très importante dans mon approche.

Le paysage devient beaucoup plus abstrait laissant place à l’imaginaire du spectateur. C’est ainsi que beaucoup croient y reconnaître un paysage qui leur est familier et qui leur rappelle tantôt la ville de Brooklyn, tantôt un paysage typiquement Québécois, tantôt les déserts d’Arizona, et bien d’autres endroits. Le tableau devient ainsi intemporel et un non lieu tout en demeurant figuratif.Tout récemment, l’exploration de mon médium m’a amené à travailler la sculpture. Celle-ci fabriquée uniquement à partir de mes rejets, elle est le résultat du négatif rendu positif. Non seulement, dans le passé, mes peintures étaient fabriquées à partir de matériaux naturels, n’utilisant aucun solvant, mes sculptures font de moi une artiste complètement écoresponsable en ne laissant aucune empreinte écologique.

À l’aube de mon exploration de cette nouvelle forme d’art, mes sculptures, mémoire de mes premiers amours, sont présentement principalement inspirées de personnages. Ceux-ci comme les témoins de mes paysages en création.

Andrée-Anne Laberge

Artiste visuelle

www.andreeannelaberge.com

https://www.facebook.com/andreeannelabergeartiste?fref=ts

http://andreeannelaberge.com/

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Me présenter… je pense tout d’abord à parler d’un des plus grands bonheurs de ma vie ; je

suis maman de deux jeunes enfants, Anthony et Marie-Soleil. Ils sont pour moi joie et amour,

professeurs des vraies choses et inspiration.

Puis vient celui de l’écriture. Écrire est nécessaire à mon bonheur et à mon équilibre depuis

que je suis toute jeune, mais j’en ai pris conscience beaucoup plus tard.

J’ai toujours inventé des histoires, même avant de savoir lire. Enfant, j’aimais écouter et

observer les adultes, comme si je prenais des notes pour plus tard. Et je le fais encore! Quoi de plus

inspirant que la vie et les gens? J’avais constamment des crayons, des feuilles et des livres dans les

mains. Je racontais des histoires et je dessinais. Puis, j’ai appris à lire et à écrire et j’ai découvert

un autre monde… J’ai écrit des histoires pour mon petit frère, à la main, accompagnée de photos.

J’aimais le faire rire. Puis, ma mère m’a acheté une dactylo, et j’ai passé des heures à écrire là-dessus.

Malgré ma passion marquée pour l’écriture, j’ai étudié en comptabilité pour des raisons

pratiques et familiales. J’ai travaillé plusieurs années dans un bureau, en me sentant de moins en

moins à ma place. Heureusement, la vie m’a ramenée à l’écriture par quelques détours dont elle

a le secret. J’ai un jour fait lire quelques textes à l’amie avec qui je travaillais. Quand elle et son

amoureux m’ont parlé de les présenter à une maison d’édition, j’ai refusé, prétextant que je n’avais

pas étudié en littérature. Elle a pris un rendez-vous sans m’en parler… Après la publication de ce

premier recueil de textes en 2001, et les messages reçus des gens, j’ai su que je poursuivrais un jour

dans l’écriture.

Mélanie FortinAuteure




Mon premier roman, Elle danse avec la folie, a été publié en 2011, par un éditeur que j’admire,

Jean-Claude Larouche des Éditions JCL. Les gens ont aimé le roman, ils me disaient l’avoir lu en

deux ou trois jours, incapables de le laisser. On m’a dit merci d’avoir écrit cette histoire qui aborde

un sujet délicat, la maladie mentale. J’y avais mis tout mon cœur et j’avais été entendue. Ce même

roman a été sélectionné pour un prix en France ; parmi les 5 romans finalistes sur 140.

J’ai aussi découvert les salons du livre en tant qu’auteure, et je n’ai plus eu qu’une envie : écrire

et rencontrer les lecteurs! Et j’ai repensé à toutes ces années où j’allais au salon international du livre

de Québec en tant que lectrice, et je disais ceci : un jour, j’aurai ma place ici en tant qu’auteure! Il a

fallu énormément de travail et de persévérance, mais mon rêve s’est réalisé et j’en suis fière.

Mon deuxième roman, Dans de beaux draps en Italie, a été inspiré d’un rêve que j’ai fait.

Après avoir commencé l’écriture, je suis partie en Italie quelques mois après sur un coup de tête.

Encore une fois, les gens m’ont écrit que j’avais le don de faire aimer mes personnages dès les

premières pages, de les rendre vivants et imparfaits, de sorte que les gens se reconnaissaient en eux.

Ce 2e roman sera publié en France en mars prochain et j’en suis tellement heureuse!

Écrire m’aide à comprendre certaines choses, à faire la paix avec d’autres, ou tout simplement

à laisser aller mon imagination et m’amuser. C’est une des plus belles façons que je connaisse de

partager avec les autres. Écrire me fait sentir vivante et heureuse.

Photographie d’Annie Roy, Imagine

https://www.facebook.com/MelanieFortin.auteure?fref=ts


Passionnée par l’art et la création depuis l’enfance, je découvre la photographie en 2008 lors d’un court séjour à Magog au Québec. Les nombreux paysages montagneux d’été sont soudainement une source d’inspiration indescriptible.

En 2010 j’achète mon premier appareil photo de Canon. Tout sur mon passage est aussitôt transformé en plusieurs images. Quelques mois plus tard je réalise que j’ai une grande passion concernant la photographie. Convaincue que celle-ci va continuer de s’accentuer avec le temps, je décide donc de me lancer dans le métier de la photographie. Pousser mon art et mon talent de création pour faire ressortir les émotions de tous mes clichés, c’est ça mon but!

Marie-Ève Phaneuf Photographe reporter

https://www.facebook.com/marieeve.phaneuffarnsworth.7


Mai 2012, un tout nouveau domaine inconnu et stimulant s’offre à moi, devenir photographe de presse pour le journal régional. Mon équipement toujours bien prêt, les cartes-mémoires vident et les piles chargées, je me rends sur les lieux d’incendies ou d’accidents majeurs peu importe l’heure. Inutile de vous dire qu’il y a beaucoup d’action au rendez-vous. Je réalise des photos qui ont de l’impact tout en y incluant ma touche personnelle, une composition créative. Entre-temps je découvre un autre domaine, la photographie de spectacle. J’admire l’opportunité de pouvoir photographier des chanteurs et musiciens professionnels de la scène. Des photos captées dans un éclairage coloré en contraste avec l’obscurité, c’est splendide! Treize mois plus tard, le travail bien accompli me transporte photographe de presse à l’Agence QMI une division de Québecor Média.

À ce jour, le côté artistique est très important pour moi. Je suis toujours à l’affut des nouvelles tendances et techniques photographiques dont le bokeh, le light-painting, la longue-exposition, etc. J’adore créer avec les différentes sources de lumière, surtout lorsqu’il s’agit de paysage urbain nocturne. Ensuite je fais le post-processing des photos avec Photoshop. Deux-trois touches de contraste aux couleurs afin de mettre en valeur le sujet photographié. Parfois il ne faut pas oublier l’incontournable monochrome pour son charme.

Je compte beaucoup d’expérience dans plusieurs domaines tels que le portrait, mariage, spectacle, paysage, événement, etc. Pour 2015 il y a plusieurs nouveaux projets artistiques qui seront réalisés, dont le collage photo. Je suis une jeune artiste photographe autodidacte en grande effervescence, qui continuera de dévoiler ses talents tout en s’améliorant de jour en jour !
















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www.melodycocktail.com

Photographies de : Ombre et Lumière - Geneviève Grimard

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Après le champagne et les amuse-bouche, qu’est-ce qui fait qu’un cocktail est chic et glamour à la perfection ? La

musique, bien entendu ! Le répertoire de la formation Melody Cocktail couvre le meilleur des standards de jazz,

de la chanson française et latine des années 1950. L’ensemble à géométrie variable compte entre 2 et 5 musiciens,

en fonction des besoins de l’événement. Dans tous les cas, ils ont un immense plaisir à faire revivre la musique de

cette époque, avec tout le raffinement qu’elle demande. La grande qualité de leur interprétation rend justice à cette

musique, qui traverse l’épreuve du temps.

C’est avec une grande passion pour la musique en général et pour ce répertoire en particulier que la pianiste et

chanteuse Geneviève Poitras a démarré le projet en 2013. Pour elle, vivre de musique comme soliste était déjà

un défi réalisé. Elle pouvait donc se permettre d’investir dans ce projet de groupe qui lui tient particulièrement à

cœur. Et franchement, on comprend pourquoi !

Pour l’heure, la formation œuvre principalement dans le domaine corporatif et privé tels les levées de fonds, les

fêtes d’entreprises et les mariages. Dernièrement, ils ont été représentés au Grand Salon du Mariage du Château

Frontenac et ont joué à la Soirée bénéfice du Salon de l’Auto de Québec. En 2015, ils ont également collaboré avec

Yves Landry, en s’impliquant au cocktail bénéfice au profit du CHUQ pour les enfants atteints de cancer.

Alors que la formule duo de Melody Cocktail se produit dans divers établissements, tels que l’Auberge

St-Antoine, le Clarendon, Chez l’Autre (brasserie française du Capitole) et le Beffroi, l’ensemble complet obtient un

rayonnement enviable dans les événements de grande envergure. Melody Cocktail a en effet participé à l’édition

2014 du Festival International de Jazz de Québec ainsi qu’au Festival de Jazz Etcetera de Lévis.

Ce rayonnement local jette les bases d’un avenir que Melody Cocktail souhaite encore plus grandiose. Un peu

à l’image de l’ensemble de Suzie Arioli, mais avec la couleur qui leur est propre, ils souhaitent se produire dans

des salles de concert et des cabarets jazz un peu partout au Québec. On les surprend même à rêver de conquérir

le monde, avec leur musique intemporelle et leur look soigné. En attendant le contrat de disque avec un label

établi, Melody Cocktail fait présentement sa propre production. Un travail acharné qui leur offre une visibilité

grandissante.

La flexibilité de l’ensemble, qui s’adapte à la taille des événements, est le parfait reflet de la douceur et de la

souplesse du répertoire.



Geneviève Poitras – voix et piano

Olivier Lepage-Applin – saxophone ténor

Alain Filion - guitare

Mathieu Rancourt – contrebasse

Kenton Mail – batterie



Peintre autodidacte, je m’inspire entre autres de la richesse et de la beauté de la langue française ainsi que des instants fébriles ou fragiles que la vie nous tend et qui berce la féérie des saisons. C’est ce qui impulse vivement mon processus créatif.

A partir de croquis je crée soit à l’huile ou à l’acrylique une oeuvre figurative. Mes personnages aux corps effilés et aux visages parfois cachés amènent le spectateur à s’approprier son univers où gravite une certain mystère.

J’ai eu la chance de publier quelques oeuvres dans le : ‘’ INTERNATIONAL CONTEMPORARY MASTERS. VOL VIII, WWAB’’

‘’ QUAND LA POÉSIE ÉPOUSE L’ART, ILLUSIONS DÉCOLORÉES’’ aux éditions MP TRESART,

‘’ CATALOGUE D’EXPOSITION SECRET WINDOW OF THE SOUL’’ aux éditions MP TRESART.

Maria TremblayArtiste peintre

www.mariatremblay.com

https://www.facebook.com/pages/Maria-Tremblay-Peintre/162086273837649?sk=timeline

http://www.mariatremblay.com








Élise LecomtePhotographe

Ma passion pour la photographie a débuté très jeune, alors que je n’étais encore qu’une ado et que j’étais nageuse de compétition, puis un jour j’ai pensé à devenir photographe sportif. J’ai toujours été fascinée par «l’instant présent», ce moment où l’on ressent la souffrance ou la joie dans le regard de l’athlète. J’ai donc continué mon parcours scolaire en gardant cette idée en tête, mais les années sont passées et d’autres objectifs sont rentrés en ligne de compte. C’est seulement rendue à 18 ans, alors que j’étais à l’université que j’ai soudain dit à ma famille : «Si je lâche l’université, je m’en vais faire un cours de photo» …. Un mois plus tard, je commençais ma formation.

Tranquillement, j’ai découvert que ces émotions que je voyais dans les photos de sports je pouvais les capter aussi dans un portrait traditionnel. J’ai donc développé ma spécialité dans le portrait. Au fil des année j’ai aussi utilisée de la technique de non direction pour avoir un résultat plus naturel, moins mit en scène, toujours en gardant en tête d’aller chercher l’émotion dans le regard.

J’aime aussi travailler en lumière naturelle pour pouvoir utiliser le matériel urbain comme décors. J’ai eu la chance de travailler avec des modèles Pin-Up de renom, telles que HellCath ou Acid Doll, et j’ai aussi l’honneur de travailler pour des créatifs plus high fashion avec une équipe composée de Véronique Coulombe (Mademoizèle Styliste), Jacinthe Benoit (Sailor Jassie modèle et aussi Make-Up Artiste) ainsi que Stéphanie Bourgault (Coiffure, du Salon Le 7 Carré).

Voici donc un survol de mes différents travaux, du portrait au Pin-up en passant par le High Fashion.


Élise LecomtePhotographe

www.eliselecomte.com

https://www.facebook.com/eliselecomtephoto?fref=ts

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http://www.edvlb.com/marie-larocque/auteur/laro1073


MÉMÉ ATTAQUE HAÏTIMARIE LAROCQUE

Mémé, alias Marie Larocque, retourne s’installer en Haïti avec ses deux plus jeunes filles pour aider de vieux amis qui, comme beaucoup, ont été très affectés par le séisme. La petite famille s’installe à Jacmel, où une galerie de personnages haut en couleurs animent la vie quotidienne. Les courts chapitres qui constituent ce récit de voyage sont l’occasion pour Marie d’aborder son Haïti chérie sous tous les angles : l’obsession religieuse et vaudoue des Haïtiens, l’inefficacité de l’aide humanitaire, la grisante liberté des mœurs, la « gastronomie »…

L’écriture de Marie Larocque, qui a conquis déjà des milliers de lecteurs, frappe par son honnêteté, sa compassion, son irrévérence, sa poésie brute. Invitation au voyage autant que commentaire lucide sur un pays en déroute, Mémé attaque Haïti frappe autant qu’il charme. Les lecteurs du blogue du même nom seront ravis de retrouver le style mordant de l’auteur dans ce texte tout à fait inédit.

GROUPE VILLE-MARIE LITTÉRATURE »1010, rue de La Gauchetière Est, Montréal (Québec) H2L 2N5Tél. : 514 523-7993, poste 4201 » Téléc. : 514 282-7530 » edvlb.com

COMMUNIQUÉ »

En librairie

25 FÉVRIER 2015

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AUTEURE »

Marie Larocque est mère, grand-mère, blogueuse, voyageuse. Sa connaissance d’Haïti et du créole font d’elle une réfé-rence, et elle s’exprime sur plusieurs tri-bunes au sujet de la Perle des Antilles. Son premier roman, Jeanne chez les autres (Tête première, 2013) a remporté un important succès populaire et critique.

Elle a notamment été finaliste du Grand Prix Archambault (2014) et du prix France- Québec, et invitée au Festival du premier roman de Chambéry

RELATIONNISTE »Catherine Rochefort » 514 523-7993, poste 4202» [email protected]

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https://www.facebook.com/Memeattaque?fref=ts


« Beat Trip »Photographie de Klaudy Bégin


Un nouveau cover band à Québec !

« Beat Trip » arrive en ville! Ce nouveau cover band vous en mettra plein la vue et plein les oreilles avec leur énergie débordante et leur musique entraînante. Jouant principalement des succès de musique rock et populaire vous ne pourrez vous empêcher de taper du pied et d’aller rejoindre tous les autres amateurs de party sur le « dance floor ».

Une formation amicale et professionnelle.

Une soirée avec « Beat Trip »

« Beat Trip » est parfait pour endiabler vos soirées. Le band se produit dans les bars et dans les événements corporatifs. Il possède aussi une formation trio qui regroupe le batteur, le guitariste et la chanteuse du groupe. « Beat Trip » est présentement en période de “booking”.

Lévis Ville du Rock

Ne manquez pas la performance du band au concours « Lévis Ville de Rock » le 4 avril prochain.

Une vidéo promotionnelle sera bientôt en ligne puisque le groupe entre en studio la semaine prochaine.


Le groupe est formé de cinq amis qui étudient tous au BAC en interprétation de la

musique jazz à l’Université Laval : Jean-François Gingras (batterie), Chloé Jacques

(basse électrique), Hugo Blouin Leclerc (guitare), Maxime Gauthier (piano) et

Camille Caron (voix). Ce sont tous de bons vivants qui ne cessent de rigoler et qui

veulent vous faire passer des soirées aussi folles que leurs jams hebdomadaires.

« Beat Trip »Photographies de Klaudy Bégin

https://www.facebook.com/pages/Beat-Trip/1575425389341180?fref=ts



<< Je pense que c’est la plus belle des passions qu’on puisse avoir en un seul ‘’Clic’’ quelqu’un prend une partie de votre âme

en la projetant en une image immortel. >>

Comme la plupart des modèles j’ai commencé à avoir la piqure de la mode dès mon plus jeune âge ; Par ma mère qui prenait un réel plaisir à m’habiller de la tête au pied en mini top model. Par exemple pour moi la réelle passion du métier est venue me chercher à l’adolescence ; Nous vivons beaucoup de changement autant que physiquement que mentalement et pour moi la photographie, les défilés et les tournages étaient une pure échappatoire de plaisirs.

Tout à commencer par une agence de Montréal qui m’avait approché à l’âge de 13 ans. Bien sûr comme tout les jeunes filles c’était un rêve de grandeur qui se réalisait. Je projetais déjà dans l’avenir comme top modèle. Par exemple la réalité ma vite rattrapé, une forte concurrence pour peu de contrats, mes parents et moi avions abandonné le projet en voyant tout les déplacements et la féroce compétions qu’il y avait entre jeunes modèles. Ce qui m’avait rendu très renfermer en passant que j’avais échoué dans ce projet. Mais 2 ans plus tard je ressue des offres par différentes agences et photographes qui était intéressé par mes 5’-9’’ et mes grands yeux bleus ; J’avais évolué physiquement et mentalement, j’étais devenue assez forte pour le métier.

Je pense que dès qu’on est prêt à rentrer dans ce domaine il faut savoir que l’image qu’on va projeter de nous même va être différente selon les ‘’Shootings’’ qu’on fait. Il faut souvent se remettre en question si le jugement de notre entourage, famille ou collègues de travails risque de nous toucher personnellement. Les réseaux sociaux de nos jours nous aide beaucoup dans ce métier mais peu aussi détruire une image en quelques secondes. Je pense que rien n’ai assez osez si c’est fait de bon goût. Chaque modèle à ses propres limites et nous ne pouvons pas juger d’un œil extérieur cette personne. Il faut ce former une carapace pour ce protéger des jugements des autres qui ne comprenne pas forcément notre point de vu sur l’art et de ce métier.

Depuis ce temps j’ai appris beaucoup sur moi-même en étant vrai, honnête et authentique à 200%. Le métier de model pour moi est une simple passion je fais des projets pour le plaisirs. Cela me permet encore aujourd’hui de m’échapper pendant quelques heures de la routine. Cela m’apprend encore sur moi même et grâce à la collaboration que j’ai avec de merveilleux photographes j’aime l’image que je projet de moi aujourd’hui. J’ai toujours été artistique et cela va rester même dans mon métier de Designer intérieur & Présentation Visuelle je suis toujours projeté dans le domaine de l’image et j’adore ça !

Lysandre Ouellette StuartModèle

https://www.facebook.com/lysandre.ouellettestuart?ref=ts&fref=ts


Photographie de Mélanie Lefrançois


Photographie de Benoit Dagoth Desbiens







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Photographie de Mélanie Lefrançois



Jean-Francois Lapointe

Artiste peintre

Jean-Francois Lapointe est diplômé du Cégep de St-Jérôme en Arts Plastiques en 1991. Artiste inspiré de l’actualité, il utilise l’acrylique sous forme de lavis afin de donner à ses oeuvres une richesse dans la couleur par la superposition de plusieurs couches diluées.

Le lavis quant à lui, qui coule et descend sous la gravité, donne du mouvement à ses créations pour ainsi faire apparaître une histoire, un personnage, une scène théâtrale, etc. La texture qu’il utilise sur l’ensemble de ses toiles apporte du relief et une profondeur faisant ressortir tout l’imaginaire qui l’habite.

Jean-François s’inspire de la scènes politiques, culturelles et sociales de la vie, et met celles-ci en scène en nous poussant à être spectateurs de l’oeuvre.

Influencé par les nouvelles médiatiques, il cherche à faire prendre conscience de la déshumanisation et de la banalisation des nouvelles rapportées au quotidien.

“Comme au théâtre, je m’inspire à mettre en scène une réalité actée, puisque sur la scène internationale, des gens jouent de leur vie afin de créer l’actualité. Nous y participons de loin, nous voyeurs, nous spectateurs de toutes heures,

spectateurs de la comédie humaine.”

www.jeflapointe.com

https://www.facebook.com/jef.lapointe?fref=ts

http://www.jeflapointe.com/















Photographie Imagier Redj

http://925.nock.ca/

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https://www.facebook.com/925nock


http://925.nock.ca/



Stewart de Moya, est un jeune chanteur compositeur originaire d’Haïti. Issue d’une famille modeste, il développa ses talents de chanteur et d’interprète dès l’âge de 9 ans. Il interprétait tout jeune a l’époque du Charles Aznavour, Garou, Stevie Wonder, Phils Colins, etc. À l’âge de 10 ans il demanda à sa mère de l’inscrire dans une école de musique où il pourrait apprendre à jouer de la guitare mais à l’époque les revenus de la famille étaient trop faible pour se le permettre. Mais ça ne l’a pas découragé dans sa quête du talent qu’il a hérité, il continua à vouloir exprimer sa passion pour la musique en écrivant des poèmes qui par la suite se transformaient en composition musicale jusqu’au jour ou un bon ami à lui jetta un coup d’oeil sur un de ses textes alors qu’il était en troisième secondaire. Son ami lui proposa alors de rencontrer un producteur pour exploiter ses créations. Dès lors, il a commencé à travailler avec Yohann doré, le premier rocker haïtien avec qui il réalisa son premier EP de 5 musiques qui sortait en Haïti en 2010, l’année du tremblement de terre. Il y a eu plusieurs artistes d’expérience sur ce premier EP mais le manque de support financier a fait en sorte que son EP a été jeter à la poubelle par plusieurs animateurs. Encore une fois, cela ne l’a pas découragé à continuer sur le chemin de ses rêves.

En 2012, juste avant d’immigrer au Canada il fut côtoyé par le meilleur producteur en Haïti (Maestro) qui lui proposa de travailler sur son premier album mais cette fois-ci avec plus de support financier, etc. Offre qu’il a du décliner parce qu’il avait fait le choix de venir étudier au Canada et de venir s’installer pour retrouver sa famille qui il n’avait pas vu depuis plus de 5 ans.

Stewart De Moya


Arrivé au Canada il fut accepter quelques mois plus tard à l’université de Montréal. Université où tout grand rêve est possible d’être concrétisé et à peine arrivé, il trouva un moyen de s’immiscer dans le show de la rentrée ou il a performé et rencontré Karim Ouellet qui etait un des invites du show. C’est de là ou vient sa plus grande part de popularité à l’intérieur même de l’université. Il sortit son premier single complètement en français en septembre 2013 et a cumulé plusieurs shows et festivals à son actif : Festival nuit d’Afrique, Festival du maïs à Saint-Damas et autres.

Depuis Stewart s’est consacré de plus en plus à développer la musique universitaire. Iil fonda en janvier 2014 ce qu’on appel le premier “Label universitaire” au Canada (UdeMuzik.com). Projet qu’il poussa au près du rectorat de l’université et qu’il continu de promouvoir.

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En ce moment, il travaille sur la réalisation de son premier album pour lequel il compte démarrer une campagne sur un site spécialisé afin de récolter des fonds pour l’enregistrement. Un nouveau “single” est près d’être commercialisé, sur lequel il partage son art avec Soké un producteur et chanteur québécois très connu avec qui il travaille depuis 2013.

Ayant vécu le tremblement de terre et aussi tous les conflits qui se sont déroulés en Haïti durant ces dernières années, Stewart n’a jamais baissé les bras, même dans les moments le plus difficile. Comme il dit toujours : “là ou il n’y a pas de peur, il y aura la victoire.” Il s’est toujours battu pour ce en quoi il a foi et continu à se battre jusqu’à aujourd’hui.

En quête d’une chose bien particulier Stewart, ne voit pas la musique comme tout le monde. Un artiste bien different des autres, les mots ne peuvent décrire son dynamisme sur scène, sa musicalité et son charme.









www.dali-gabriel.com

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Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours aimé les trucs artistiques, tel que la danse et les arts plastiques. Avec ma sœur nous faisions des bricolages de toutes sortes et avec ma meilleure amie nous jouions à la coiffeuse, elles aussi étant des artistes dans l’âme.

Après mon secondaire, j’ai fait un cours en esthétique qui m’a mené à travailler en pharmacie comme cosméticienne. Ce n’est que quelques années plus tard, que j’ai découvert ma passion pour le maquillage, lorsque je suis devenue artiste maquilleuse Bourjois Paris, avec qui j’ai travaillé 2 ans pour ensuite allez rejoindre la merveilleuse équipe de Rouge Cosmetics, une jeune ligne Québécoise.

Depuis un peu plus de 1 an, je me consacre à ma passion! J’ai enfin trouvé ma voie comme on dit! En un peu plus de 1 an j’ai réalisé des tas de projets! En décembre 2013, j’ai fait un perfectionnement maquillage pour la photo et HD pour la télé, avec une professionnelle du métier qui a plus de 20 ans d’expérience. J’ai travaillé sur des photos shoot, sur lesquels j’ai perfectionné des techniques et sur d’autres, j’en ai développé de nouvelles. J’ai aussi travaillé sur des défilés, entre-autre NDUSTRI la semaine de la mode urbaine à Montréal. En octobre 2014, j’ai travaillé sur le catalogue d’hiver 2014-2015 du Carrefour du Nord à St-Jérôme et en novembre sur une vidéo corporative pour Desjardins Entreprise. Depuis 3 semaines, 3 projets photos sur lesquels j’ai travaillé ont été élus photo du jour sur Artazio.com

Annie DesharnaisMaquillage artistique

J’ai aussi eu la chance de maquiller Vanessa Schloesser d’Occupation Double 2013, Fery (modèle international de Mon-tréal qu’on peut voir dans le vidéoclip ‘’Hold you down de DJ Khaled et Vanessa Percoco Miss Southern Québec 2012.

Et ce n’est qu’un début! Car je serai bientôt permissionnaire de l’AQTIS et je viens tout juste de faire une formation de maquillage de fantaisie. Alors pour moi, 2015 sera une grosse année qui me fera avancer dans ce que j’aime, dans ma passion!

Je remercie tous les photographes (Émilie Vlachos, Danny Gosselin et Pedro Alfaro Campos, qui sont les principaux), toutes les modèles, mes amies aussi qui se sont prêté au jeu, mon amoureux et ma famille qui m’appuie et m’encourage dans mes projets, je ne vous dirai jamais assez de fois, mais merci de faire partie de ma vie! Un merci tout spécial pour ma grand-maman, qui n’est plus là, car c’est de toi que me vient cette passion pour les cosmétiques !

Photographie de Pedro Alfaro Campos

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Photographie de Alexander’s photography


Photographie de Danny Gosselin pour Photodgart


Photographie de Danny Gosselin pour Photodgart


Rusdell NunezOriginaire de la province de Holguin, l’artiste de 32 ans est arrivé au Québec il y a quatre ans et il ne cesse depuis de participer à des événements et festivals où il anime les foules avec un répertoire mettant en valeur la salsa, le meringue, la timba et le son popularisé par le Bona Vista Social Club.

«Je chante depuis l’âge de 18 ans et j’étudie toujours les percussions. J’arrive tout juste de La Havane où j’ai enregistré un troisième album avec le groupe cubain The New Timberos All Stars avec qui j’ai déjà fait une tournée au Pérou et en Europe. Je compte faire encore plusieurs festivals au Québec cet été pour me faire connaître davantage», souligne le musicien qui a vécu une belle expérience comme participant à La Voix en 2014.

Avec à son crédit des prestations remarquées au Salon international de la femme de Québec, en novembre dernier, au premier festival MondoKarnaval présenté au parc Cartier-Brébeuf et au Festival du Rythme du monde 2014 à Chicoutimi, Rusdell Nunez se prépare maintenant pour un spectacle, en mars, au Salon international de la femme de Montréal.

«La carrière va bien et je veux développer les fêtes privées, les cocktails et les 5 à 7 pour réchauffer la place. J’invite les gens à visiter ma page Facebook pour voir les différents endroits où je chante en solo, en trio ou avec mon groupe Rusdell Nunez y Su Sabor Concentrao», ajoute le musicien que l’on peut entendre un mercredi sur deux au resto-bar Beaugarte de la Grande Allée, à Québec.

https://www.facebook.com/rusdell.nunez?ref=ts&fref=ts


https://www.youtube.com/watch?v=1xI63ufSuFs


Ce sont 3 artistes, qui dans leurs domaines respectifs, n’ont absolument rien en commun... Excepté qu’il s’agit de la même personne!

Comme humoriste, vous l’avez peut-être vu dans une série-web de gags du style caméra cachée appelé AleX-trême. Cette série qui a vu le jour sur Youtube la mené à travailler à Musique Plus et à Vanessa TV. On peut aussi trouver sur le web son passage plutôt culotté à En Route Vers Mon Premier Gala.

-AleXtrême était un trip juvénile de 2 gars qui ne se ressemblent absolument pas mais qui ont beaucoup de choses en commun. Je suis un fan inconditionnel de Tom Green et je voulais explorer ce genre d’humour.

Il a aussi fait partie d’un groupe d’humour nommé Les Souverains Du Désir qui donnait dans l’absurde et le corrosif.

-J’ai toujours voulu avoir un band ! Un groupe d’humour c’est ce qui s’en rapprochait le plus. Et ayant grandi avec les RBO et les Passe-Partout c’était une suite logique.

Alex oeuvre dorénavant en solo.

-C’est ça … Je suis rendu tout seul! (rire) Non mais, c’était le but aussi. Après l’école de l’humour je voulais continuer d’étudier le rire d’une autre façon. Aujourd’hui, je performe seul. C’est plus exigeant mais le thrill est encore plus puissant.

La Parenthèse Rose est un slameur qui a été baptisé par un autre slameur de Montréal, David Leduc (Le Grand Slack). Alex aborde toujours quelques vêtements roses sur scène et a une approche assez bestiale. D’où le nom.-Grâce à ma blonde qui étudie la création littéraire, j’ai découvert une nouvelle façon de faire de la scène. C’est devenu un sanctuaire où je peux me permettre d’être autre chose. Où je n’ai pas l’obligation d’être drôle. Où je peux ‘’jazzer’’. Ce fut une révélation libératrice.

La Parenthèse Rose déplore par contre un peu le manque de visibilité de cette discipline.

-Il y a beaucoup de talent ici mais le slam est encore méconnu. Le monde s’imagine que c’est de la poésie pompeuse. C’est plutôt urbain et contemporain. Les gens gagneraient à entendre les textes du Grand Slack, du Baron, d’Yvon Jean, de Carl Bessette ou de Rox. Le respect et l’écoute des spectateurs sont comme nulle part ail-leurs et ça se passe toujours autour d’une bonne bière.

Zanderz lui, est un modèle/concepteur de photo alternative.

-J’essaie de travailler avec différents modèles et photographes. Je cherche ce qui est différent.

Zanderz aimerait voyager pour shooter avec d’autres talents dans d’autres décors.

-Ça serait fou ! Et en plus ya tellement de bons photographe ici. J’aimerais beaucoup shooter avec Savon, François l’Heureux, Guzz et Jésu. Mais je me concentre sur mon humour. La photo et le slam c’est vital, mais secondaire.

L’humoriste a trouvé un équilibre sain entre la photo (le corps) et le slam (l’esprit). Il ne mélange pas les 3 mais ne pourraient s’en passer.

-Pour un shooting avec moi, vous n’avez qu’à me contacter. Pour le reste vous pouvez me voir sur scène pas loin de chez vous ;)

Alex Smith

https://www.facebook.com/Zanderzphoto/timeline


Photographie de Pierre Simard


Photographie de Victor Vargas Fillafuerte



Photographie de Mongo

Phot

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de T

atia

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Photographie de César Ochoa



Photographie de Maurice McDuff


Éric Vaillancourt est un informaticien de métier, mais un passionné de musique avant tout. Lui-même drummeur depuis plus de 30 ans, il a explorè plusieurs styles. Du rock aux rythmes latins en passant par le blues, le rock progressif ou le reggae, les influences sont multiples.

Ayant acquis une solide expérience à la batterie, il a fait le saut derrière la console il y a plusieurs années. Il a participé à l’élaboration de plusieurs projets musicaux qui l’ont amené, en 2014, à l’étude académique des techniques de sonorisation live et studio. Il a fait l’acquisition des équipements et des logiciels lui permettant de fonder, en début de 2015, le studio SoundShack. Il peut enfin allier ses passions pour la musique et l’informatique.

www.soundshack.ca

https://www.facebook.com/soundshackmusic

http://www.soundshack.ca


Particularité du studio SoundShack : la possibilité d’enregistrer par le biais de la batterie électronique offrant ainsi des possibilités sonores infinies.

Évidemment, le studio SoundShack est aussi bien équipé pour l’enregistrement de batteries acoustiques, d’amplificateurs de guitares, de basse, de cuivre, de piano ou le vocal... Chaque instrument trouve sa voie.

Au studio SoundShack, on prend le temps de bien préparer toutes les facettes de l’enregistrement afin de maximiser votre investissement.

Que ce soit pour un démo ou pour un album, n’hésitez pas à nous contacter. Vous serez enchantés par le résultat et par le prix !



SIMONLanciaultPhotographe professionnel

Issu du monde des affaires urbaines et immobilières, Simon Lanciault n’est pas un photographe au parcours comme les autres. Son bagage académique comprend notamment un Baccalauréat en urbanisme international | design urbain et mise en valeur du patrimoine, une AEC en courtage immobilier ainsi qu’une AEC en sommellerie . Il occupe des postes dans le domaine de l’immobilier en firme privée puis à la Ville de Montréal. En parallèle à cette carrière exigeante, il travaille comme assistant photographe pour un studio montréalais spécialisé en mariages. C’est alors qu’une véritable passion et un talent sans contredit se découvrent. Il faudra attendre en 2007 pour voir sa carrière basculer complètement dans le domaine des arts alors qu’il quitte la Ville de Montréal pour se consacrer pleinement à sa vocation. Il parfait sa formation sous une base autodidacte, inspiré par le courant artistique des photographes américains Z. Arias, J. McNally, C. Jarvis, P. Hurley et M. Thompson. À travers une démarche expérimentale de la lumière par la luminance, il raffine les techniques d’éclairage conventionnelles et développe un style particulier notamment en photographie culinaire. Ces techniques s’appliqueront par la suite à l’ensemble de son travail. Il cumule maintenant plus d’une dizaine d’années en tant que professionnel de l’image.

Un style authentique

À travers l’exploration des techniques d’éclairage expérimentales ou parfois peu conventionnelles, Simon Lanciault tente de capter l’unique moment où la lumière se fait porteuse de sens. Que ce soit à travers ses œuvres personnelles ou commerciales, la recherche d’une émotion véritable ou du détail qui personnifiera un objet fait de ses photographies des images authentiques et originales.

« La lumière. Tout passe par la lumière. C’est facile de placer quelqu’un devant un flash et d’appuyer sur le déclencheur. Tout le monde peut faire ça ! Là où ça devient intéressant c’est quand on comprend comment le sujet absorbe ou diffuse la lumière. On crée alors une image sculptée, mieux définie avec le pouvoir de mettre l’emphase sur des éléments spécifiques jugés communicateurs. Mais au final, l’important demeure pour moi de créer un moment « authentique» et de le figer dans le temps. Un moment qui fait du sens, une image vivante. C’est là toute l’essence de mon travail. »

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http://www.lanciault.com/

https://www.facebook.com/simon.lanciault?fref=ts








Tous ces gens ont relevé le Défi au Marché Central le 25 mai 2014

www.lanciault.com

Ces images sont unegracieuseté de

Présenté par


Série de portraits « Donner rend plus léger » en partenariat avec LEUCAN

La série « Donner rend plus léger » à été réalisée lors du Défi Têtes Rasées, présenté par

Jean-Coutu, le 25 mai 2014 au Marché Central à Montréal. Près de 75 participants courageux

et déterminés, dont l’athlète Olympique Marianne St-Gelais, ont amassé des fonds pour

LEUCAN en échange d’une coupe de cheveux disons très estivale. Pour le plaisir de tous et

pour qu’ils en conservent un souvenir mémorable, Simon Lanciault a rencontré les âmes

généreuses qui ont eu l’initiative de donner. Un projet artistique qui mûrissait en lui depuis

plusieurs années, réunissant au même endroit ces têtes rasées pour la cause, par altruisme.

Un geste humain qui illumine les yeux !

« Ça a été pour moi une de mes plus belles séances de portraits car les yeux des gens étaient

tellement remplis d’émotion, de détermination, d’altruisme et d’humanité ! C’est touchant

quand même de voir toutes ces femmes, ces enfants et ces hommes qui ont tous et toutes

une raison grosse comme le cœur, dirigée par l’amour, de commettre un tel geste. J’ai vu des

femmes fortes qui soutiennent des amies dans la maladie, j’ai vu des enfants remplis d’espoir

qui l’ont fait par soutien à un parent, j’ai vu des hommes émus qui l’ont fait par amour, pour

quelqu’un ou pour la cause. J’ai vu dans tous ces yeux de la solidarité, de l’amour et beaucoup

d’humanité. Vraiment, donner rend plus léger ! »

www.tetesrasees.com

http://www.tetesrasees.com







ÉMERGENCE MAGAZINE QUÉBEC

http://www.emqmedia.com

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Émergence Magazine Québec - Mars 2015