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Annéo. - W 9914. premier* e.mt)on Dimanche jlftoembra J^^jg iiSS Ki.'k'i»..j V<^e...' - l : iitmi £\à:^>AL:.- ^ r.^w.'v,,initial»*! teJsm ^*®Êà&r g-j® Wax mBÊ m TêpUrîiîi.tas? JOURNAL RÉGIONAL QUOTTOIEN Duectcnr« René MERCIER I mois MOIS I BtxMOt» 1 WAK j| l> ,* » i «a t ï\ I ptmt ïfjv^ I k M », .a » »**<. Dlwsctton #* Adm!nïsîrc5tit>« Bureaux <*© Pari* f^Cti ... ». ,, ni N-»»? - " tV """"" *1 î " ! 11 S H r- . ni ,u n » n ! W II t*--**- 1 «* * TAsorire H.v.v>, 8. place de la Bosaa, è t Agence J*.!» K Jonefc j^d^M**"»* Mowe, Vo«£w . - - . » | » 10 » » jj w%| I i: ; --.,>, b.îini-lea» « rWe.ard MiTiAgr*! I Pa^sute de» Frasce», j ÎJfcj. fcuWii M«»i««Ue. «■ tort.** de l'Est H.èpubli<*»n. p»s-a«e d«» Priât* & ft-fc i^am jÉj-uteiwaii» " " ------ -j S .2 » *4 » Ij ft t, I] MiM^V I 97. Richelica, « 5 Bcmle»«fd des. h»Sem »j &Jr jl djmn toute» ici Agences, è l'Es/ 'fiépuoiiicin, o Nâaey.. g^jo» - - - •■ - - - - - - -I . a » I |p » I 3t * » Il ; | w On peaf s'abonne* sans /rafi Aam tes. le! btraiv* ett /sorte j j J ti !' ,„ . «m-t^Uu. 11 !!- ' M ' "'' ' -'Bil.CT ! Ci lUviU Kll UOi lUvilluil v jsgf^jes effsasivss fis l'annoRi ûm$ k Mrû et ûmt TOUTES S0BTTKP0nS8SSS I ■.ni<0» " jw COMMUMPQUiî OFFICISJ. Bordeaux, 5 rféefirnhre, 15 h. 30. J En Belgique, canonnade mien- ' Utittente, assez vive entre la voie l ferrée, Y près, Rouler $ et la rouie i tle Becelaere à Paackenelael*, [""infanterie ennemis a assayé, \ fans aucun succès, de gagner du j terrain. /4 y«smïeac8, nous confinions ; forganisation des positions con- \ De la Somma è t'Àrgotvnei S calme sur tout le rvant. £'n Argonne, plusieurs atta- ; qnss de l'infanterie allemande ont j éîé repoussais par nos troupes, notamment à la Corne nord-ouvrl '• du boitr de la Grurie. Quelques canonnades en Woë- i gré et en Lorraine-, En Alsace, rien â signaler. Caris, 6 décembre, 0 h. 30. j Communiqua officiel âu 4 décembre, i tS heures : S&r l'ensemble da front, œzvart incîdes'.i notable. fa direction (TAltkirch. On renJ compte que, le 2 dé- cembre, ROUI avons fait 991 pri- sonniers dans la scuie région Nord. Havas» Dans FAlsace française Lss âtaamSs cs^risencsnt à Ul i< W A ii.ii ii I <»ll OU Vvil 1 ilS Uli Pan*. 4 d<yx<rn.hr». 19 h. 15. Une dépêche de Bâle au T^raps ait que les Allemands ont installé des canons swr lus places de Col- ntat pour forcer /e» Français à bombarder la ville. Us ont fait de grands prépara- tifs de défense autour de Stras- bourg, lis ont inondé notamment le faubourg sud. Ils on? miné plw Heurs quartiers de Mulhouse. L'avance des Français est très marquée du côté de Colmar, att nord de Thann. Ih entourent près- Que complètement Guebviller. I Une scène émouvante Paris, 4 dmembre,, 19 h. 16. BORDKAOX. Le Bullotixi de» Armées ra- tonte le visite dit M. UUleran4 en Alsace. Le 27 nnvtmbre, au matm, aeront}iagnfi *• QauT>rrneuT df lieltort, ù ministre rie 9 guerre a oUiti l'Kcnle de Uantrcm- 'J*"*, «s») unr. cçnlain* d'enjanis «hante- V*fcl la Ivlarseiilai*e, ou miimv d'une tmo- ■wn ijtsl.icitile de vieillards accourus. . Willerwid prononça quelques parc- tenues, puis U gagna Dann*.marie, tau- ? Payrtsèe -mx couleurs aUneirnes, puis * writa Us tranchics. Havus. I LA RENTRÉE parlementaires soas les drapeini Par», 4 décCTiUbr*. !9 b tî» ^* Kwivtjnwinent a < ! A«Stlé <S« ponî*»t»jrô * P i »rte!ti 0l itjtt l r«ti «m* te drapeiUi dfl HwtiolpBr a.ux <i*ilt>ô*-:ttivî*a d«a Chambres Nos ministres Paria, 4 ilôcwspbr*, 10 h. 15. à^p* P^^tres Tieiadroiit mdivklueliemen. ^Bwïls. plusieurs, dé& O^IKUUCIJO ; tam, ia fin de la semaine prochaine. m\p * TflBxps » dit que les imfl ro.mèaerom | fcjL^™ '*arû services, les apias» les L-iù>- | """«rt «îîjrt^giao teosp» eneoip a Bordeaux. AÏTATPIRC M AHC fil \/ W i K fi £ \. ?W lia V 1 w s\J iL~4 v-â *J iLii.X s - i Un récit du " Bulletin des Armées " | Paris, 1 décembre, 17 h. 40. j F'.onDWt'x.— Sous ce titre : « Quatre mois (te guerre », le « Bulletin des années » pu- j bliera, dc-muin, un rapport sur r^nseiuble d<» »péralions de guerre, du 2 août au 2 Le rêve allemand déçu Le rapport rôuuine io! Ec« opérait»*» m j L'heure est venue de se latre tuer plutôt que de recuier I {entent rivière et r©f»&ujvs« te» forces a»»e* ! mnnetee Elle «pnui^, à Rauohe, l'arraa» a»- i gS«ise, à siroiîe l'arwec FfitO. Cî'eat s«r cette armae que les Aitentana^ i yoitt cherciter la revonciie de i tbiiôs lie Cette manœuvra ftodaoicuee tfsetti» du Les Aileiwi'-nrie 86 reStrent prec(pstar>i- rsierst. Le 11 8e$»4err»toro, <• ge»Mtrai rs»«» ewtre A Ohàiona-eur-Marne. A droite, l'armée de La«s$!» â<» ©ary avjtne«, tandfcs cs^e odla du pitoéraj Rufiey ' îet{»<*w et Outoail v«rs l*t«L J fjcufi avteite récrie l'avaptajrëj iw« la I ®èa le set^^tw.'jt'e, îa i^^s%''Xn<T*i tfcfîe" i bsîalîte ecwiwe^alt, I La «ourse à la mer ] w&'sw cetsri ds JJétor'Jer 9,a d-'oîte, Il On résume une lutte de »itas»ft, MIM avNtaUia : «ourse à la mer. j Lee AHei<»afde «nt var «JCM* rrtvctntkKa i (Se former un etwieftcrtf tyua, leur frent «titré. j ftv.ii*"ît ioar* îriiasporte. I ^ev^eadMtt, te trtouv^ment <<» N>wr «rt»m j iteiîr.rte. La »4ote4r« tie la Merise est conflr- I msie, wer« te 28 eopîtvnibs'a. I i}£ Ca«itel*iau forme un nauvetl» atirnée, ^ çauclie «Se «elle da Maimourv. Il e'etabltl [ fevtemsnt d»«» ,a r '-«'o n Lasx*jrn>-> j Rcjfe»PéroBn»>, appuyé, à droite, par les I ejîtlsiorts terr'rtoriBifi*' du général 8rusant. Ce n'est pas encore assez pour atteindre notre but. Le 30 septembre, l'armôo de Maud'huy Le«s, prolongeant vsrs Se nord, pour d>n- r.*r la «sain aux divisions sorties de »un- ."•«'.'3 (ju'H »aut erBôr et maintenir. f .jîfre r3 SU ootcî3'î'ei l termes uu«/$e, mavic^UiAt'tï | L'em^îti-ctir esî jsrcsenn. Ses pr^ciams» f*<Kiir reu^<3U', l'etct-cî^jor aiïemand pr^v. I l'î^'^p sliiTAprlt trot' - '' st^fT-'ïri w s à nitj& ^'Tia- ! ^stiîes fôsséîcôc et fur«eu£i;^( en ma^£'ïs ipro» Guerre de sfège sur le reste i En Hat«o*i directe avec celles du Nord, I pro^re^s^nt eonUnucement entre ! -'ant 0-IÎ6S É£J9 «joailioni! très fortes. j Le eoptemiiro, cCias repoussent, à t'eal ! tt FSeHns, une attaque générale rudement L'empereur assiste à eot échec, comme j il assista, nuit jours plus tard, à celui d Y près. Ce noti-e eôîé, à une offensives violente, ) nous substituâmes des opérations de metn- : dre envergure, nous pesenottant souvent { Oe l'Argonne aux Vot^e», même situa- i tion. I Gardoas une foi absolue ALWÏ+ I'J Le rapport ennolu»., pKvisant la situa- 1 tlon do nos armées t>.o delmt de décembre» Nos fsfcss sont éçsles à ee ïtu'eiiof; i étalant au rf'iSmt. La qu«tiîe do nos t"0U' j eancttons nécefsa^os, n'a ewwiinis, durai*! ' les troto f)arr>JI' , .r6 JROÏS, aucune des orretjri j oofîotoiooa, et ?rapj>Aoa, en soôt. j ioMr^e, r,u\ rwvn <marMj»avt, a *té eoa$tftue< j recownttMee, com4t««nd dix «îfvîîrlorm I Lf#a &?'<!5K& é f cfee©3 aîîiîniandi j Le plan allornand a enregistré des éc!ise< j d'wïrt haute portée. sasM les suivante j AttKMfues îifu^t'-*-?* ptw Nancy | fetocvN raoWo w* Paris j Enveloppement tîe notre gauche en aoâl I même envaSoppBrrîent en novembre j | percée de n&t;*e rentre en septembre ; I Attaque par Es sêîa Gunlnr^ye-Oalato Leur retraJit© est fatalo ) et prochaine > Oans de» efforts aterilee, rAlfom.xgne a j épuisé s«?a réserves. Les troupes quelle forme aujourd'hui i 1 1 sont mal enuadrees, mal instruises. ' Oe plus en plus, la Russie affirme sa su- i I périortté. | L'arrêt des armées allemandes es? done J | fatalement condamné à se changer en i I retraite. Laissons à !a oresse enropéanritt ie soin j •' ' de corfirs'iontcr et de juger l'œuvre dos qua- j ! tre derniers mo;s. Havas. I Le nouvel ambassadeur j des Etats-Unis 1 ! H»i ! N»"4Vfi fit ïif-vp r^îitin*-"^ fin iw^uilfiTit i BORDEAUX. M. Poincaré a reçu M. , t areâs^p, la uou arxiba^atieu* des Etats- j En lui txunettiint ses lettres de créance, l'ambassadeur a exprimé au p*ésîtieat les , j U a ajouté son armiirauon pour ie peuple j , français grandi, depuis sou séjour en i r tance, par la bravoure, io patrioUMne j , ' re présente sortent bientôt les bienîaits i ' rfrpondiTups avec le patriotisme et la ora» l | voure auxquels vous vendez bien rendre \ , kommaqe. Nous sommes déterminés à rera- I ] plir jusqu'au bout le devoir qui nous fut t. Pour quelle soi! longue, hrureuss et ; non illusoire et trompeuse, il faut que la vfiijsc soit Garantie paT une Fêï>artit i ic7i in- trqrcle deh droits violés, contre du atteti- j laU futurs. » llavas. «îvmnafhip ftittÉrksiafl Paris, 5 décembre j Dz WASHINGTON. Le Congrès d«a arebi- ' ' tectes américains réuiws à .Vw&àuiii£Utn .a P i 4ëe«rtté, en eiene oe sympatitje envors la ! France, la médaille d'or a M. Po.x'îiJ, arebi- { ; tecte Crantais La médaille a été remise & J ! M- Jus?eî'rund, ambassadeur dp Fi'.'ince, au cours de la oorémoruc* à tooiieile &ssis- 1 taient plusiotirs niinistres et de. oofnbreu- '. se.s personnalité oui ma^iifestefent de? i ' t 1 'lisîw? KR1ÎPP 1 bombardée par un avion | Paris, t diVerntire, 14 h. 50. L'ambassade d'Angleterre commiuUque i qu'un aviateur étranger a survolé l'usine '■ Krupp, et a jeté sii bombes sur li ma^ja- j I un des canons. Tlavas. i Les réfugiés belges i . - j r^c*r*S, 4 QC;i' , orTït>r£ ï 1-4 ri. uO. j i LE HAVRE. Le ministre de la justice de ! Belgique ira dans les départements du . centre régler toutes les mesures relatives au logement, à l'alimentation cl au travail ; <l«ji réfugié^ belges llavas. L*!* neutre*îité bulgare Paris, 4 ^certibne, 14 h. 50. j ! SOFIA Vue note *f]ïçieUe dément d* ' \ gare, et suivant lesquels des transports de ; matériel de guerre traverseraient le terri- toire bulgare, d destination de la Turquie i llavas. Paris, 4 décembre, 19 b, 15. i LONDRES De Bergen au Lloyd : Le paquebot allemand Prmz-Priedoricb- i Wilheitû s'est échoué près d'Oddo. Ha- vas. J Le kaiser errant BAT,* - Le KaJZ7yi,u é le tOnovcJ i eve ses irQvpt s rte ta t nesse orw.ïilale. 1 avec l'mrehiduc utritier Frédéric, généra- j ' lissime de l'armée auslro-hongmise, flavas. , j Leurs communiqués ——^Kie "■• Paris, 4 déceimbre, 19 h. 15. De Genève au « Teaips » : Le cwanianiqué allemand dit : « Hier i rien «ie partienlifir sur 1RS doua théâtres de 1 j la guerre ». Le coMwuniirué autriebiAn ait : « Hier ' > ( notre avasee fut vietone<i«« Par KouJou- i bura, oo'is avtms obligé Belgrado, tournée i par le Kord, a capituler sans combat peur : éviter la capture de la garnison. » Noue avons pénétré da.as Me4grctd.e en \ pamaat pax la Sa.ve et piow-najat du Sud- i t>u*»t ». M Ds se toikrto ein-mêm^g } Paria, & décembre, 13 h. 15. De Copnmhajruo au « Temp» » : Las joijrrjaujt ftfi Betua 'inpocwcl que ; , dos av'&s&di.t'rSi aîl«3(nan«is p-î jV-c par im-. ; pruoian» d«< l/oiube» m* BresloiL EN ITALIE jj Le mouvement national à la Chambre des députés j 1 Paris, 5 décemûr», 0 h. 36. J ROME. La Chambre aborde la discus- g swn de la liéclaraÏÏon du gouvernemœiû. j M. Labriola dit : 1 « L'éventuel Sine balkanique ne sentit 1 I ! pas un danger pour l'Italie, tandis que les p vnUmtrs austro-allemandes a'hégfrmowe r j politique, économique et intellectuelle sont J l une menace permanente el croissanl-e pour | I toutes les nations pacifiques. ! p « Les Germains visent suri oui la Médf- i terranée orientale, est l'avenir de l'ita- i \ lie. o j « Celle-ri sera à l'abri d'une invasion sen~ ! lemem quand elle aura ses frotUièret nu- \ s ] tun lles. , . c ) « Puisse M. Salandra associer son nom j 4 | au dernier grand acte nécessaire pour ràa* ] t 1 User l'irJéqriU de la Patrie ! a [ J Ces paroles sont soulignées de vifs erp- \ I plaudissements sur un certain nombre de j ( bancs. I i M. Eugène Chiesa, républicain, prèco- c j nise une intervention de l'Italie. I » « Les républicains, dit-il, seront apte le j ! oOM«iBrwmént, le jour celui-ci saura j | comprendre les solennels enseignements i j ! de l'histoire. » (Applaudissements â l'ex- I t Après M. Labriola, sociaHste t I iiidêpencîartt, qui rejette sur l'Allemagne s j l'entière responsabilité de la conflagration < européenne, M. Alfred© BacceJli approuve 1 1 la déèiaration du gouvernemaist pour la f I sauvegarde plus active des intérêts de la I 1 ) nation. fVii's applaudissements.) < j M Tieves comboA la déclaration du «foo- J vernemeot au nom des socialiete» ad ver- j I saires de toute guerre qui vise pas la j I dépense nationale. j 1 Le républicain Calajoïinl approuwi i f gpeuverrtMBont, l'assurant que tous les en- f ! Mata de ITtelia réporiàront avec ferveur s 1 j quand le gouvernement les appellera pour i i I participer à la guarre européenne et faire 1 < firtîter le drapeau national dar» tes frontiè- S 1 ! res naturelle» de t'italie (Approbation.) j 1 I Après rintervwlsItHB do M. Tedesco, qui j I félicite le gwvornesaseoi d'avoir renforcé j 1 j formée et la marine, la séance est levée et 1 | ta suite renvoyée à demain Havaa. j 1 Les douzièmes provisoires ] 1 Le gouvernement a présenté au Parte» i . ment un projet de douzièmes provisoires } , , pour la période jusqu'au 30 juin 1915. Le même projet prévol| l'aujrnaontatkua de certaines recettes pour un total de cin- t [ qrtaate millions de lire. Havaa. i I M. Tittoni à Bordeaux Rome, 5 décembre. | M. Tittctrai est parti hier dans la soirée J pour Bordeaux. j " Vive l'Italie! " Paris, 5 décembre. I DR. Rorts. Le Comité d'émigration I itaUenive de Trieste a envoyé à tous les ! | députés italiens un appel dépeignant les swaiTrosTAcee de ta population italienne en Atit.riche et demandant la réunion de i Triest* à i'Ttalie. L'appel -iU : « Si l'heure passe détruisant nos espérances, U serait impossible ou I fou de tenter plus longtemps une défense nationale Tous les moyens, toutes les ar- ' mes feraient défaut » * L'appel cenclw que l'italianisme dans l'Adriatique ne pfirf exister que dan? la réa.'WHtieTi de l'unité et de l'indépendance ; j de ritalte. I i « Faites, dit l'appel, que résonne i<lo- 1 rieus et libre dans n<>#> frontière^ nntiona- ) te.? sans qu'il ne soil jamais pmis réprimé I i par les lois ennemies, le cri de : « Vive : i î'Ttatte ( » L Âiitncliv u ti plus Û. argent Un Emprunt en panr.a Par-us, 4 décembre, 14 h. 50. 1' t'emprunt de guerre austro-hongrois n'a j souscrit qu'à moitié, en six semaines. i Cela preuve la mauvaise situation éco- ! nom/que de la monarchie, qui est ù bout ] de ressowets. Un nouvel emprunt sera impossible, la ! population ayant déjà don&é Umt ce qu'elle | possède. Havas. ■■ «9»0^» La protestation des savants russes Paris, 5 décembre. DE PÉTUOGRAD. Les savants russes ont j publié dans les journaux une protestation r portant 3fil signatures contre la violation de la neutralité de la Belgique par l'AUe- magne, ainsi que centre les atrocités alle- mandes envers les blessés prisonniers et les populations, centre la profanation des j églises, la destruction des trésors artisti- ques, tous actes que les intellectuels aJbie- mands ont approuvés et justiiîéa Havaa. I ^»^j>-^,. - i » I Fsmulisn d.Ja dasss 1S16 Paris, 4 décembre, 14 h. 50. ! BonriEAUs. Le Journal officiel puJ>lie ] ' un décret prescrwanl que les tableaux de i t recensement de la classe 1916 seront dre.s- séc cl aJHchès dans chaque commune, au plus tard le troisième, dimanche de dé- l cemtyrt IBM. j . ! Contrairement A tTi-obitud.e, f| ne sera I ; pas con:'ti'w de commissions de réforme. ! i ni de commissions mfflicalfs mil&o.ire* j | pour la révision de ta classe OT6. Bavas. J j Chez les socialistes allemands I ÇAEÊSIÏACIJIE. Ljgs socialteto3 aUemacda mi rU.tcjBiion dra_|ure du pitrti Llefcls- lîocbt, qui & YotàHîGatre- lef* cKrdibâ da la «uam» La Reconstruction des Villages lorrains La victoire définitive des armées de kl Triple-Eatente est maintenant certaine et l'on peut escompter la rançoa que devra payer l'agreeseur pour la réparation des ruines qu'il a causées, notamment dans les villages lorrains. vais les milliers de réfugiés des casa- pagnes ravagées ne peuvent attendre la liquidation da ces comptes pour se recons- tituer un foyer et cultiver à temps le coin de terre, gagne pain de leur famille. L'Allemand leur a tout détruit et fait l subir les horreurs d'ùne guerre sauvage» espérant, par ces exemples de terreur, . ébranler la confiance du pays dans la vie* j tftire ; nos troupes elles-mêmes ont j bombarder ces villages pour en débusque^ l'ennemi et protéger le reste du territoire» S Ces malheureux réfugiés ont donc en réft» j iité subi des dommages d'intérêt commun, | dont la charge Incombe à la Nation qui, j pour le moins, a l'obligation de gager Isa I ! fonds d'indemnités. Les départements èprowré» ont eeœtrat- ILsé les évaluations de ces dégâts, m ai a, avant de procéder aux travaux de restau- ration, il semble utile do soumettre diveri > ses questions à l'examen d'une Commia- j sion, groupant des compétences, des actt- j vttés dévouées et désintéressées, dont la j collaboration serait précieuse pour renseï- ! gner et seconder l'action parlementaire et | f autorité supérieure ayant pouvoir de dé» { L'exemple nous est d'ailleurs montré pat | le groupe parlementaire des régions enva» ï hies, et récemment, à Verdun, par M. le ; sénateiw Hurabert, MM. les députés Noël i et Lebrun, le dévoué président du Conseil général de Meurthe-et-Moselle, qui réunis ! comme frères d'armes, en profitent pour inspirer sur place des initiatives en vu» de la réalisation pratique et prompte da 1 cette œuvre nationale de recorsstructJtoa des villages détruits, î La question est complexe et comprend j notamment : l'étude des moyens financiers I permettant (rassurer au plus vite les dis- ponibilités de fonds ou les crédits nécessai- j res ; la construction d'abris provisoires S dans tes communes, le choix judicieux des matériaux à employer, les conditions d'exé- ; sutïorj des travaux, la réglementaion des | échanges ou redressements de parcelles, j l'application de lois sociales relatives à la constitution du hien de famille et surtout | à la santé publique, dont l'observation I été trop souvent méconnue. Cette étude soulèvera nombre d'objee- tiisns et de protestations de préjugés heur- tés, d'habitude3 contrariées. Il appartien- ! dra à la pra^se de préparer l'opinion pu- | bliquo aux solutions de sage raison, j D'heureuses initiatives ont déjà réalisé partie de la restauration de villages par> j tiellement détruits, tels que ceux d'Harau- j court et de Crévic, mais il faut une étude complète avant de procéder à la reconsti- ! tution d'un village entièrement détruit et ici se pose une question, toute de senti- I ment, mais qui a sa grande valeur pour ceux qui ont le culte de leur petite, patrie. Pendant neuf siècles, le pays de Lorrai- ne, que ie hasard des partages avait rendu presque indépendant, fut un éternel sujet de discorde entre ses voisins et périodi- quement ravagé par les guerres ou les occupations militaires 11 venait de se don- ner à la France, quand la Convention dé- coupa dans son territoire quatre départe- ments français, dont une partie fut sacri- ; fiée peur payer la rançon de notre défaite. •Aprè- chaque tourmente, le paysan lor- i rain, ohsUnèrnenf enraciné à son sol, re- ) bâti à la même piare la maison familiale, | trouvant bois, pierre et chaux à la chatai- ; gaeraie, à la carrière et au four commu- naux, o<i Von prévoyait des réserves pour lies catastrophes futures II s'accommodait de moyens de fortune, mais respectait tou- j jours scrupuleusement la tradition d'orien- | bifion. de distribution et d'aménagement intérieurs de cas logis, dont l'ensemble donne un caractère bien particulier aux villages lorrains. Maintenant que la Lorraine, dans son intégralité, va redevenir française, « pour toujours » et qu'enfin le paysan lorrain pourra asseoir définitivement son fover, il renoncera bien volontiers à de vieux erre- ments de nature à porter atteinte au mieux-être ou à la santé des siens, mais ce serait, d'un geste brutal, Uji effacer | tout son passé de tradition que de suppri» j TROT l'ordonnance générale et le jeu des j i:?ncH de son village, si on lui substituait une monotone cité rurale. , j M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle, ad- ministrateur avisé et humain, sait trop I l'attention qu'il faut accorder aux impon- | d érables, pour ne point assurer le respect de CPS sentiments, lors de la réérliflcation II 11 trouvera d'ailleurs, à son choix, par? , mi les architectes et les entrepreneurs lar| . rains, des hommes capables de concevoir . et d'exécuter avec les moyens économiques ' t et durables de la construction moderne, j une renaissance du vieux village lorrain, embelli, assaini. MAOTUCE GRUHIER. I - i..... - ...... «^.^yw$v— Promotion la généraux Paris, 4 décembre, 14 h. 50. , ] BORDEAUX. - Le général de brigade Da- j j guet, adjsint au directeur de l'artillerie au \ ministère de la guerre, est nommé direc- , j teur, en remplacement du général Mougin, . promu divisionnaire. i Sont nommé? généraux de brigade, les co- , J tonals d'infanterie Reutel, Jtijieji, Deleuzc, 1 Delvrit ; le?' colonel3 rie cavalerie de Ôois- ï j Sien et Robilllort Bavas. - Par suite de eirconstîuiees Imprévue* les obsèques de ! Monsieur André GAULÉ 1 n'auront lieu que dlmanatte, à 3 b, 1,*

EN ITALIE jj - Kiosque Lorrain retraJit© est fatalo ) et prochaine > Oans de» efforts aterilee, rAlfom.xgne a j épuisé s«?a réserves. Les troupes quelle forme aujourd'hui i 1

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Page 1: EN ITALIE jj - Kiosque Lorrain retraJit© est fatalo ) et prochaine > Oans de» efforts aterilee, rAlfom.xgne a j épuisé s«?a réserves. Les troupes quelle forme aujourd'hui i 1

Annéo. - W 9914. premier* e.mt)on Dimanche jlftoembra J^^jg

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I mois MOIS I BtxMOt» 1 WAK j| l> ,* » i «a t ï\ I ptmt ïfjv^

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j^d^M**"»* Mowe, Vo«£w . - - . » | » 10 » » jj w%| I i: ; --.,>, b.îini-lea» « rWe.ard MiTiAgr*! I Pa^sute de» Frasce», j ÎJfcj. fcuWii M«»i««Ue. «■ tort.** de l'Est H.èpubli<*»n. p»s-a«e d«» Priât* & ft-fc i^am jÉj-uteiwaii» " " ------ -j S .2 » *4 » Ij

ft t, I] MiM^V I 97. Richelica, « 5 Bcmle»«fd des. h»Sem »j &Jr jl djmn toute» ici Agences, e» è l'Es/ 'fiépuoiiicin, o Nâaey.. g^jo» - - • - •■ - - - - - - -I . a » I |p » I 3t* » Il ; | w

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Bordeaux, 5 rféefirnhre, 15 h. 30. J En Belgique, canonnade mien- '

Utittente, assez vive entre la voie l ferrée, Y près, Rouler $ et la rouie i tle Becelaere à Paackenelael*, où [""infanterie ennemis a assayé, \ fans aucun succès, de gagner du j terrain.

/4 y«smïeac8, nous confinions ; forganisation des positions con- \

De la Somma è t'Àrgotvnei S calme sur tout le rvant.

£'n Argonne, plusieurs atta- ; qnss de l'infanterie allemande ont j éîé repoussais par nos troupes, ■ notamment à la Corne nord-ouvrl '• du boitr de la Grurie.

Quelques canonnades en Woë- i gré et en Lorraine-,

En Alsace, rien â signaler.

Caris, 6 décembre, 0 h. 30. j Communiqua officiel âu 4 décembre, i

tS heures :

S&r l'ensemble da front, œzvart incîdes'.i notable.

fa direction (TAltkirch. On renJ compte que, le 2 dé-

cembre, ROUI avons fait 991 pri-sonniers dans la scuie région Nord. — Havas»

Dans FAlsace française Lss âtaamSs cs^risencsnt à

Ul i< W A ii.ii ii I <»ll OU Vvil 1 ilS Uli

Pan*. 4 d<yx<rn.hr». 19 h. 15.

Une dépêche de Bâle au T^raps ait que les Allemands ont installé des canons swr lus places de Col-ntat pour forcer /e» Français à bombarder la ville.

Us ont fait de grands prépara-tifs de défense autour de Stras-bourg, lis ont inondé notamment le faubourg sud. Ils on? miné plw Heurs quartiers de Mulhouse.

L'avance des Français est très marquée du côté de Colmar, att nord de Thann. Ih entourent près-Que complètement Guebviller.

I Une scène émouvante

Paris, 4 dmembre,, 19 h. 16. BORDKAOX. — Le Bullotixi de» Armées ra-

tonte le visite dit M. UUleran4 en Alsace. Le 27 nnvtmbre, au matm, aeront}iagnfi

*• QauT>rrneuT df lieltort, ù ministre rie 9 guerre a oUiti l'Kcnle de Uantrcm-'J*"*, «s») unr. cçnlain* d'enjanis «hante-V*fcl la Ivlarseiilai*e, ou miimv d'une tmo-■wn ijtsl.icitile de vieillards accourus. . Willerwid prononça quelques parc-

tenues, puis U gagna Dann*.marie, tau-? Payrtsèe -mx couleurs aUneirnes, puis * writa Us tranchics. — Havus.

I LA RENTRÉE parlementaires soas les drapeini

Par», 4 décCTiUbr*. !9 b tî» ^* Kwivtjnwinent a <

!A«Stlé <S« ponî*»t»jrô

* Pi»rte!ti0litjttlr«ti «m* te drapeiUi dfl HwtiolpBr a.ux <i*ilt>ô*-:ttivî*a d«a Chambres

Nos ministres Paria, 4 ilôcwspbr*, 10 h. 15.

■ à^p* P^^tres Tieiadroiit mdivklueliemen. ^Bwïls. plusieurs, dé& O^IKUUCIJO ; tam,

ia fin de la semaine prochaine. m\p * TflBxps » dit que les imfl ro.mèaerom | fcjL^™ '*arû services, les apias» les L-iù>-| """«rt «îîjrt^giao teosp» eneoip a Bordeaux.

AÏTATPIRC M AHC fil \/ W i K fi £ \. ?W lia V 1 w s\J iL~4 v-â *J iL-î ii.Xs- i

Un récit du " Bulletin des Armées " |

Paris, 1 décembre, 17 h. 40. j F'.onDWt'x.— Sous ce titre : « Quatre mois

(te guerre », le « Bulletin des années » pu- j bliera, dc-muin, un rapport sur r^nseiuble d<» »péralions de guerre, du 2 août au 2

Le rêve allemand déçu

Le rapport rôuuine io! Ec« opérait»*» m

j L'heure est venue de se latre tuer plutôt que de recuier

I {entent M» rivière et r©f»&ujvs« te» forces a»»e* ! mnnetee Elle «pnui^, à Rauohe, l'arraa» a»-i gS«ise, à siroiîe l'arwec FfitO.

Cî'eat s«r cette armae que les Aitentana^ i yoitt cherciter la revonciie de i tbiiôs lie

Cette manœuvra ftodaoicuee tfsetti» du

Les Aileiwi'-nrie 86 reStrent prec(pstar>i-rsierst. Le 11 8e$»4err»toro, <• ge»Mtrai rs»«» ewtre A Ohàiona-eur-Marne.

A droite, l'armée de La«s$!» â<» ©ary • avjtne«, tandfcs cs^e odla du pitoéraj Rufiey

' îet{»<*w et Outoail v«rs l*t«L J fjcufi avteite récrie l'avaptajrëj iw« la

I ®èa le set^^tw.'jt'e, îa i^^s%''Xn<T*i tfcfîe"

i bsîalîte ecwiwe^alt, I

La «ourse à la mer

] w&'sw cetsri ds JJétor'Jer 9,a d-'oîte, Il On résume une lutte de »itas»ft, MIM avNtaUia

: «ourse à la mer. j Lee AHei<»afde «nt var «JCM* rrtvctntkKa i (Se former un etwieftcrtf tyua, leur frent «titré. j ftv.ii*"ît ioar* îriiasporte. I ^ev^eadMtt, te trtouv^ment <<» N>wr «rt»m j iteiîr.rte. La »4ote4r« tie la Merise est conflr-I msie, wer« te 28 eopîtvnibs'a. I i}£ Ca«itel*iau forme un nauvetl» atirnée,

^ çauclie «Se «elle da Maimourv. Il e'etabltl [ fevtemsnt d»«» ,a r'-«'on *« Lasx*jrn>-> j Rcjfe»PéroBn»>, appuyé, à droite, par les I ejîtlsiorts terr'rtoriBifi*' du général 8rusant.

Ce n'est pas encore assez pour atteindre notre but.

Le 30 septembre, l'armôo de Maud'huy

Le«s, prolongeant vsrs Se nord, pour d>n-r.*r la «sain aux divisions sorties de »un-

."•«'.'3 (ju'H »aut erBôr et maintenir.

f.jîfre r3 SU ootcî3'î'ei l termes uu«/$e, mavic^UiAt'tï

| L'em^îti-ctir esî jsrcsenn. Ses pr^ciams»

f*<Kiir reu^<3U', l'etct-cî^jor aiïemand pr^v. I l'î^'^p sliiTAprlt trot'-'' st^fT-'ïriws à nitj& ^'Tia-! ^stiîes fôsséîcôc et fur«eu£i;^( en ma^£'ïs ipro»

Guerre de sfège sur le reste

i En Hat«o*i directe avec celles du Nord,

I pro^re^s^nt eonUnucement entre

! -'ant 0-IÎ6S É£J9 «joailioni! très fortes. j Le eoptemiiro, cCias repoussent, à t'eal ! tt FSeHns, une attaque générale rudement

L'empereur assiste à eot échec, comme j il assista, nuit jours plus tard, à celui

d Y près. Ce noti-e eôîé, à une offensives violente,

) nous substituâmes des opérations de metn-: dre envergure, nous pesenottant souvent

{ Oe l'Argonne aux Vot^e», même situa-i tion.

I Gardoas une foi absolue ALWÏ+ I'J

Le rapport ennolu»., pKvisant la situa-1 tlon do nos armées t>.o delmt de décembre»

Nos fsfcss sont éçsles à ee ïtu'eiiof; i étalant au rf'iSmt. La qu«tiîe do nos t"0U'

j eancttons nécefsa^os, n'a ewwiinis, durai*! ' les troto f)arr>JI',.r6 JROÏS, aucune des orretjri j oofîotoiooa, et ?rapj>Aoa, en soôt.

j ioMr^e, r,u\ rwvn <marMj»avt, a *té eoa$tftue<

j recownttMee, com4t««nd dix «îfvîîrlorm

I Lf#a &?'<!5K& éfcfee©3 aîîiîniandi j Le plan allornand a enregistré des éc!ise< j d'wïrt haute portée. G« sasM les suivante j AttKMfues îifu^t'-*-?* ptw Nancy |

fetocvN raoWo w* Paris j Enveloppement tîe notre gauche en aoâl

I même envaSoppBrrîent en novembre j | percée de n&t;*e rentre en septembre ; I Attaque par Es sêîa Gunlnr^ye-Oalato

Leur retraJit© est fatalo ) et prochaine >

Oans de» efforts aterilee, rAlfom.xgne a j épuisé s«?a réserves.

Les troupes quelle forme aujourd'hui i 1 1 sont mal enuadrees, mal instruises. '

Oe plus en plus, la Russie affirme sa su- i I périortté. | L'arrêt des armées allemandes es? done J | fatalement condamné à se changer en i I retraite.

Laissons à !a oresse enropéanritt ie soin j •' ' de corfirs'iontcr et de juger l'œuvre dos qua- j • ! tre derniers mo;s. — Havas.

I

Le nouvel ambassadeur j des Etats-Unis1!

—H»— i ! N»"4Vfi fit ïif-vp r^îitin*-"^ fin iw^uilfiTit i

BORDEAUX. — M. Poincaré a reçu M. , t areâs^p, la uou arxiba^atieu* des Etats- j

En lui txunettiint ses lettres de créance, • l'ambassadeur a exprimé au p*ésîtieat les ,

j U a ajouté son armiirauon pour ie peuple j , français grandi, depuis sou séjour en

i r tance, par la bravoure, io patrioUMne j ,

' re présente sortent bientôt les bienîaits i '

rfrpondiTups avec le patriotisme et la ora» l | voure auxquels vous vendez bien rendre \ , kommaqe. Nous sommes déterminés à rera- I ] plir jusqu'au bout le devoir qui nous fut

t. Pour quelle soi! longue, hrureuss et ; non illusoire et trompeuse, il faut que la

vfiijsc soit Garantie paT une Fêï>artitiic7i in-trqrcle deh droits violés, contre du atteti- ■

j laU futurs. » — llavas.

là «îvmnafhip ftittÉrksiafl

Paris, 5 décembre j Dz WASHINGTON. — Le Congrès d«a arebi- ' ' tectes américains réuiws à .Vw&àuiii£Utn .a P i 4ëe«rtté, en eiene oe sympatitje envors la !

France, la médaille d'or a M. Po.x'îiJ, arebi- { ; tecte Crantais La médaille a été remise & J ! M- Jus?eî'rund, ambassadeur dp Fi'.'ince, au

cours de la oorémoruc* à tooiieile &ssis- 1

taient plusiotirs niinistres et de. oofnbreu- '. se.s personnalité oui ma^iifestefent de?

i ' t

1 'lisîw? KR1ÎPP 1 bombardée par un avion |

Paris, t diVerntire, 14 h. 50. L'ambassade d'Angleterre commiuUque i

qu'un aviateur étranger a survolé l'usine '■ Krupp, et a jeté sii bombes sur li ma^ja- j

I un des canons. — Tlavas. i

Les réfugiés belges i . - j

r^c*r*S, 4 QC;i',orTït>r£ï 1-4 ri. uO. j

i LE HAVRE. — Le ministre de la justice de ! Belgique ira dans les départements du

. centre régler toutes les mesures relatives • au logement, à l'alimentation cl au travail ; <l«ji réfugié^ belges — llavas.

L*!* neutre*îité bulgare Paris, 4 ^certibne, 14 h. 50. j

! SOFIA — Vue note *f]ïçieUe dément d* '

\ gare, et suivant lesquels des transports de ; matériel de guerre traverseraient le terri-

toire bulgare, d destination de la Turquie i — llavas.

Paris, 4 décembre, 19 b, 15. i LONDRES — De Bergen au Lloyd : Le paquebot allemand Prmz-Priedoricb- i

Wilheitû s'est échoué près d'Oddo. — Ha-vas.

J Le kaiser errant

BAT,* - Le KaJZ7yi,ué le tOnovcJ

■ i eve ses irQvpt s rte ta t nesse orw.ïilale.

1 avec l'mrehiduc utritier Frédéric, généra- j ' lissime de l'armée auslro-hongmise, —

flavas.

, j Leurs communiqués ———^Kie "■•

Paris, 4 déceimbre, 19 h. 15. De Genève au « Teaips » : Le cwanianiqué allemand dit : « Hier i

rien «ie partienlifir sur 1RS doua théâtres de 1 j la guerre ».

Le coMwuniirué autriebiAn ait : « Hier ' > ( notre avasee fut vietone<i«« Par KouJou-i bura, oo'is avtms obligé Belgrado, tournée i par le Kord, a capituler sans combat peur

: éviter la capture de la garnison. » Noue avons pénétré da.as Me4grctd.e en

\ pamaat pax la Sa.ve et piow-najat du Sud-i t>u*»t ».

M Ds se toikrto ein-mêm^g } Paria, & décembre, 13 h. 15.

De Copnmhajruo au « Temp» » : Las joijrrjaujt ftfi Betua 'inpocwcl que

; , dos av'&s&di.t'rSi aîl«3(nan«is p-î jV-c par im-. ; pruoian» d«< l/oiube» m* BresloiL

EN ITALIE jj Le mouvement national

à la Chambre des députés j 1 Paris, 5 décemûr», 0 h. 36. J

ROME. — La Chambre aborde la discus- g swn de la liéclaraÏÏon du gouvernemœiû. j M. Labriola dit : 1

« L'éventuel Sine balkanique ne sentit 1 I ! pas un danger pour l'Italie, tandis que les p vnUmtrs austro-allemandes a'hégfrmowe r

j politique, économique et intellectuelle sont J l une menace permanente el croissanl-e pour |

I toutes les nations pacifiques. ! p « Les Germains visent suri oui la Médf- i

terranée orientale, où est l'avenir de l'ita- i \ lie. o j « Celle-ri sera à l'abri d'une invasion sen~ ! lemem quand elle aura ses frotUièret nu- \ s ] tun lles. , . c ) « Puisse M. Salandra associer son nom j 4 | au dernier grand acte nécessaire pour ràa* ] t 1 User l'irJéqriU de la Patrie ! a [ J

Ces paroles sont soulignées de vifs erp- \ I plaudissements sur un certain nombre de j (

bancs. I i M. Eugène Chiesa, républicain, prèco- c j nise une intervention de l'Italie. I »

« Les républicains, dit-il, seront apte le j ! oOM«iBrwmént, le jour où celui-ci saura j | comprendre les solennels enseignements i j ! de l'histoire. » (Applaudissements â l'ex- I t

Après M. Labriola, sociaHste t I iiidêpencîartt, qui rejette sur l'Allemagne s j l'entière responsabilité de la conflagration <

européenne, M. Alfred© BacceJli approuve 1 1

la déèiaration du gouvernemaist pour la f I sauvegarde plus active des intérêts de la I 1 ) nation. fVii's applaudissements.) < j M Tieves comboA la déclaration du «foo- J

vernemeot au nom des socialiete» ad ver- j I saires de toute guerre qui n« vise pas la j I dépense nationale. j 1

Le républicain Calajoïinl approuwi 1« i f gpeuverrtMBont, l'assurant que tous les en- f

! Mata de ITtelia réporiàront avec ferveur s 1

j quand le gouvernement les appellera pour i i I participer à la guarre européenne et faire 1 <

firtîter le drapeau national dar» tes frontiè- S 1

! res naturelle» de t'italie (Approbation.) j 1

I Après rintervwlsItHB do M. Tedesco, qui j I félicite le gwvornesaseoi d'avoir renforcé j 1

j formée et la marine, la séance est levée et 1 | ta suite renvoyée à demain — Havaa. j 1

Les douzièmes provisoires ]1

Le gouvernement a présenté au Parte» i . ment un projet de douzièmes provisoires } ,

, pour la période jusqu'au 30 juin 1915. Le même projet prévol| l'aujrnaontatkua

de certaines recettes pour un total de cin- t [ qrtaate millions de lire. — Havaa. i

I M. Tittoni à Bordeaux Rome, 5 décembre. |

M. Tittctrai est parti hier dans la soirée J pour Bordeaux.

j " Vive l'Italie! " Paris, 5 décembre.

I DR. Rorts. — Le Comité d'émigration I itaUenive de Trieste a envoyé à tous les !

| députés italiens un appel dépeignant les swaiTrosTAcee de ta population italienne en Atit.riche et demandant la réunion de

i Triest* à i'Ttalie. L'appel -iU : « Si l'heure passe détruisant

nos espérances, U serait impossible ou I fou de tenter plus longtemps une défense nationale Tous les moyens, toutes les ar-

' mes feraient défaut » * L'appel cenclw que l'italianisme dans

l'Adriatique ne pfirf exister que dan? la réa.'WHtieTi de l'unité et de l'indépendance ; j de ritalte. I

i « Faites, dit l'appel, que résonne i<lo- 1 rieus et libre dans n<>#> frontière^ nntiona- ) te.? sans qu'il ne soil jamais pmis réprimé I

i par les lois ennemies, le cri de : « Vive :

i î'Ttatte ( »

L Âiitncliv u ti plus Û. argent Un Emprunt en panr.a

Par-us, 4 décembre, 14 h. 50. 1' t'emprunt de guerre austro-hongrois n'a j Hé souscrit qu'à moitié, en six semaines. i Cela preuve la mauvaise situation éco-! nom/que de la monarchie, qui est ù bout ] de ressowets.

Un nouvel emprunt sera impossible, la ! population ayant déjà don&é Umt ce qu'elle | possède. — Havas.

— ■■ «9»0^»

La protestation des savants russes Paris, 5 décembre.

DE PÉTUOGRAD. — Les savants russes ont j publié dans les journaux une protestation

r portant 3fil signatures contre la violation • de la neutralité de la Belgique par l'AUe-■ magne, ainsi que centre les atrocités alle-

mandes envers les blessés prisonniers et les populations, centre la profanation des j églises, la destruction des trésors artisti-ques, tous actes que les intellectuels aJbie-mands ont approuvés et justiiîéa — Havaa.

I ^»^j>-^,. - i » I

Fsmulisn d.Ja dasss 1S16 Paris, 4 décembre, 14 h. 50.

• ! BonriEAUs. — Le Journal officiel puJ>lie ] ■ ' un décret prescrwanl que les tableaux de i t recensement de la classe 1916 seront dre.s-• séc cl aJHchès dans chaque commune, au

plus tard le troisième, dimanche de dé-l cemtyrt IBM. j . ! Contrairement A tTi-obitud.e, f| ne sera I

; pas con:'ti'w de commissions de réforme. ! i ni de commissions mfflicalfs mil&o.ire* j | pour la révision de ta classe OT6. — Bavas. J

• j Chez les socialistes allemands

I ÇAEÊSIÏACIJIE. — Ljgs socialteto3 aUemacda mi rU.tcjBiion dra_|ure du pitrti Llefcls-lîocbt, qui & YotàHîGatre- lef* cKrdibâ da la «uam»

La Reconstruction des

Villages lorrains

La victoire définitive des armées de kl Triple-Eatente est maintenant certaine et l'on peut escompter la rançoa que devra payer l'agreeseur pour la réparation des ruines qu'il a causées, notamment dans les villages lorrains.

vais les milliers de réfugiés des casa-pagnes ravagées ne peuvent attendre la liquidation da ces comptes pour se recons-tituer un foyer et cultiver à temps le coin de terre, gagne pain de leur famille.

L'Allemand leur a tout détruit et fait l subir les horreurs d'ùne guerre sauvage» ■ espérant, par ces exemples de terreur, . ébranler la confiance du pays dans la vie* j tftire ; nos troupes elles-mêmes ont dû j bombarder ces villages pour en débusque^

l'ennemi et protéger le reste du territoire» S Ces malheureux réfugiés ont donc en réft» j iité subi des dommages d'intérêt commun, | dont la charge Incombe à la Nation qui, j pour le moins, a l'obligation de gager Isa

I! fonds d'indemnités. Les départements èprowré» ont eeœtrat-

ILsé les évaluations de ces dégâts, m ai a, avant de procéder aux travaux de restau-ration, il semble utile do soumettre diveri

> ses questions à l'examen d'une Commia-j sion, groupant des compétences, des actt-j vttés dévouées et désintéressées, dont la j collaboration serait précieuse pour renseï-! gner et seconder l'action parlementaire et | f autorité supérieure ayant pouvoir de dé»

{ L'exemple nous est d'ailleurs montré pat | le groupe parlementaire des régions enva» ï hies, et récemment, à Verdun, par M. le ; sénateiw Hurabert, MM. les députés Noël i et Lebrun, le dévoué président du Conseil

général de Meurthe-et-Moselle, qui réunis ! comme frères d'armes, en profitent pour

inspirer sur place des initiatives en vu» de la réalisation pratique et prompte da

1 cette œuvre nationale de recorsstructJtoa des villages détruits,

î La question est complexe et comprend j notamment : l'étude des moyens financiers I permettant (rassurer au plus vite les dis-

ponibilités de fonds ou les crédits nécessai-j res ; la construction d'abris provisoires S dans tes communes, le choix judicieux des

matériaux à employer, les conditions d'exé-; sutïorj des travaux, la réglementaion des | échanges ou redressements de parcelles, j l'application de lois sociales relatives à la

constitution du hien de famille et surtout | à la santé publique, dont l'observation a»

I été trop souvent méconnue. Cette étude soulèvera nombre d'objee-

tiisns et de protestations de préjugés heur-tés, d'habitude3 contrariées. Il appartien-

! dra à la pra^se de préparer l'opinion pu-| bliquo aux solutions de sage raison, j D'heureuses initiatives ont déjà réalisé

partie de la restauration de villages par> j tiellement détruits, tels que ceux d'Harau-j court et de Crévic, mais il faut une étude

complète avant de procéder à la reconsti-! tution d'un village entièrement détruit et

ici se pose une question, toute de senti-I ment, mais qui a sa grande valeur pour

ceux qui ont le culte de leur petite, patrie. Pendant neuf siècles, le pays de Lorrai-

ne, que ie hasard des partages avait rendu presque indépendant, fut un éternel sujet de discorde entre ses voisins et périodi-quement ravagé par les guerres ou les occupations militaires 11 venait de se don-ner à la France, quand la Convention dé-coupa dans son territoire quatre départe-ments français, dont une partie fut sacri-

; fiée peur payer la rançon de notre défaite. •Aprè- chaque tourmente, le paysan lor-

i rain, ohsUnèrnenf enraciné à son sol, re-) bâti à la même piare la maison familiale, | trouvant bois, pierre et chaux à la chatai-; gaeraie, à la carrière et au four commu-

naux, o<i Von prévoyait des réserves pour lies catastrophes futures II s'accommodait de moyens de fortune, mais respectait tou-

j jours scrupuleusement la tradition d'orien-| bifion. de distribution et d'aménagement

intérieurs de cas logis, dont l'ensemble donne un caractère bien particulier aux villages lorrains.

Maintenant que la Lorraine, dans son intégralité, va redevenir française, « pour toujours » et qu'enfin le paysan lorrain pourra asseoir définitivement son fover, il renoncera bien volontiers à de vieux erre-ments de nature à porter atteinte au mieux-être ou à la santé des siens, mais ce serait, d'un geste brutal, Uji effacer

| tout son passé de tradition que de suppri» j TROT l'ordonnance générale et le jeu des j i:?ncH de son village, si on lui substituait

une monotone cité rurale. , j M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle, ad-

ministrateur avisé et humain, sait trop I l'attention qu'il faut accorder aux impon-| d érables, pour ne point assurer le respect

de CPS sentiments, lors de la réérliflcation

II 11 trouvera d'ailleurs, à son choix, par? , mi les architectes et les entrepreneurs lar| . rains, des hommes capables de concevoir . et d'exécuter avec les moyens économiques 't et durables de la construction moderne,

j une renaissance du vieux village lorrain, embelli, assaini.

MAOTUCE GRUHIER. I - i..... - ...... «^.^yw$v— ■

Promotion la généraux Paris, 4 décembre, 14 h. 50.

, ] BORDEAUX. - Le général de brigade Da-j j guet, adjsint au directeur de l'artillerie au \ ministère de la guerre, est nommé direc-, j teur, en remplacement du général Mougin, . promu divisionnaire.

i Sont nommé? généraux de brigade, les co-, J tonals d'infanterie Reutel, Jtijieji, Deleuzc,

1 Delvrit ; le?' colonel3 rie cavalerie de Ôois-ï j Sien et Robilllort — Bavas.

- Par suite de eirconstîuiees Imprévue* les obsèques de

! Monsieur André GAULÉ 1 n'auront lieu que dlmanatte, à 3 b, 1,*

Page 2: EN ITALIE jj - Kiosque Lorrain retraJit© est fatalo ) et prochaine > Oans de» efforts aterilee, rAlfom.xgne a j épuisé s«?a réserves. Les troupes quelle forme aujourd'hui i 1

_e, crédits mlilteh-e. j CHANSOKOBUSiÈm J ANCY [te^TlS^SS^I «^^^^1 ^^HE^S^îJjjJ auReichstag La Marche sur Paris ' ' '_ , _Q_S-&,ES5^i^^W*^_5T_w-*-« 'ÏSr*3T

., . jtcMMirf du ] • jVat Concitoyens au feu [ uknne, pour, payer la ea^-ïo ciii tot^ïiDutu^- «i. r-eoﻫ-vo. ^ ^ .-^ CM^TIJ ! «éus. GVRTLw'^'^ e)1

faveur q

"*tt I S?V « S?e'SÏÏ"rl aS'uS Ait : Lt PW, de MacNab. | Le généra) commandant le 20- corps d<_*

SnUtUe

* Pupe6tC

' "* * ^ i A'ÇtSl .?«_ " ' D , do 810 S ^ CK

*>" ^P^CiS V *t , (leichst'ag a volé un nouveau erfdU d* j • mée a cité à rordre^

u J°.^>. ^« ' il s'agit, en effet, de M. William Faw-

Qn colonel tombé au mil i = - ■•> ■■■■ • j A .vu,

WI:,IO(

v est

«te jp;* 250 miWvL de francs, pour la guerre.* I Monieï du tie" dont la famille fut très, connue à _

avaU au*i soigné héroïq^mem les 'btee- du serais sauf., ,

uu J' oo. 1er

C(j^ U ;

unanimité moins une voir : code ae . j fohe< Te

p»it de se xtnit* i 1 '... .'

t°„, ,„, ' ' V,„. Nnncv, il y ci bien peu d'années. & s, sous un boaibar déniant UUSttnie, a i- j monte a «>o0 fr. • > a c». jour, _ ■tl-P

1 H,

. ieQknècht Af-W™,(u-»«dt,.l

1l.. dans hi v?lïh 4 'd^e rmimie^ourt,^ rawS Lravo, M. Favrticr 1 j triioont ite. our la emièra { ^A^Su" •• a déjà Clé ottrib, * ^&a

Btef, la cour entière éuii li. | vUr-t c'na^soldate frali'caYs^faits prison6

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& Sténcgrapkie \ fois depuis îa gwn», on a ^!'^t

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' niers depuis quelques jours. A montré de"- j Les cours de sténographie (système Pré- «£P*> W,CrnM «Siî^d svant un '2" A la Société j_ ,LES

TT*> -uta^. Dit-d «u» généraux igrotu.

pui3 lo c^meneemeat de la campa cne les i TOst-DelaunaO organisés par l'Association : «t

1- JL 7^ «m a i « tîir action do iïvn\V

(™7 ■ -«cours nu* K, L '»d'

en Ut jOUr 1^ joe». M G«ta^ ^ be}lcs

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ou» i sténogrupbiqûo unitaire, s'ouvriront le ;Iden romiu U I»oss.>ila " j de vêten rte 'ch^dt f^)' A<__Mbï nîous feront I» noce a Paru. B j J..!,™ T î Ai lu rli£-emhre 11)1/ à 5 heures du Cnai i/ita 1 oiJiu. ; . . / J Pnnt«4 I Q» \ ' tniiuos du Soldat. <)fy- ^St j ■ ' :

Parts, 5 décembre. 11 | ^' Victor Mouler est le fils du sympatM- ; |ir, dans les locaux de VÉcole supérieure > J^JfêSJt; L^éville, oTson père 150 fr. ^ n°

de W^^J

' „ j que entrepreneur do njeninsene de notre ' de garçons, Grande-Ptue, 64. Les cames et _r* rri

Adari^ aussi sont d(as plus ^ ^ \ ', rn R*?*. - La

to«*?™ De U BoKto* i U B-ltî^e villa ÎTs jeunes «les V sont admises. . SSSiôSat ooni*. Un brave. - M. te comm*

R.AMc

*V-U.l 1% nmnlie de nr sonnler-, alemands et au»*.- ! Et de KcemgAetg )ut<juau Rhi». ——MU Lo droit d'msctintion est de 3 francs. . oj-u^cu t

» —

( ,-,...;,„,.„; i<• corniTl:Amjant d»

tr7r !,

JdwsTdonf dix mtQ< ont été amenés clans Ri «* eorpt d'année on indteruc Fccnltê de* F cHres Les inscriptions seront reçues à l'entrée j c

. , c

»„ p J T ^a ' ^ ? vi.v^ vi

<*- dV$M a seule journée tVbier. - R-upU»y «^ *™ ^ Sér url latine - I du cours' \

B',en fmfcrnef rf

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?OTe 1* wîtoïïbiï W^rJU"g j 1, +

v< K:VrAv.r^, K^aKrt :

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t _ -7~7T . M. Ch. Mouiot, del.gué général à Nan- j AÂ

J ^iai Fraii

^ ■ ; __________ —--_r-» . ., *i a.

UI{ ftfrr" tri 1 / n/f ' Pour te* îtifîté* i <rv a reçu ur acompte de 1.5W) lr. du com»- |

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, *<—narad^ iA

\7T M f ,

' ft dftPtr?? f.sIPF I fi fiftatef ÏSrA^rlC-Vai, P..,, • ! ^A,m S ! : £f*_fb&£ °^ ! A naissance, Mme Mann, ' f™«T\t^ L'Ôu^.rs^ pf*T. ^

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'r«k antSté^^^ V*,^ < ^~ 1 .... Î914. P «wiBRxi-Jl »«rA).»«n tusses français. Voici quelques lettres qu'U a reçues,: «o, da.» régitnent V.V f- ^^.^AuuJ? l' t->«;

1* flotteur \lbert Calnictte dir-'cteur ue « MJP 15e-s c.uiB.jnan», vite en »slie I ! t..

T „ . . „ 1 i%ri'hnmi»iir do vous accuser réoerv \ ,, ••«•"«•n. u iui_nterie p^i iJ:*^" v •

i_-lt,tn?p_.te_?tfiLt^ f^rere dnaéfunt p,e»oL. e„ Ktuvr'm, du .oi. "L La Xrtï-ioft, u« pitrtM Dupliee, lin- Marché de Nancy \t.

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» H ><v-iMir !

1 î 1 t K' ' ' xi t J î") ■ t rc

t' ■ i s dû «et vira S^btu^ gmlstUjue anglo-franco-sraéricaiDe.

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"'" ^ aïoiit suivant ■ «, «h» xeçteuj "'i « rîgftfo », .1 icp 1» cru eei tu.» M ommm^e J™*™0 , ;

8am»ii matin, le marche était peu ap- . envoyé. Je vais en transmettre ie moruam .,ri

^.Vt>Iflcnt a v

„uJ 1VV

,.""1'• " ulessé tr_ t ►

! début de la guerre eh qualité do meue- * coaiierv.. », , . » . » » ». _»_ orvv_it»nné en lécrumes frais. On rcraar- à nia famille.. Maintenant, j ai a vous aire , ' SUr

la ligne „2 il*** a inspecteur tes pes colonial : P,y> ,,*

r. «<>«<» * ^te de someaphon a i tode j J^X'"pendant d'assos nombreuses cor- merci. Merci pour vous, pour »f Zcct^'i dVaSra-St

HUCUae A S M»"'

liasse: lonstemps <• us él enl sans ; S^^_2_^___T___ du soldat ! beilles de choux de Bruxelles, salades et tours et collaborateurs. C'est un bel é-au objtts trouvés et dïoL*^^^0^. » *'\'

iuaeflesde.l . eâaVant .. n\<t a <• e -s i» aoupe . M W(îibC)M

^ Mao-MaHoîi Iflb fr - M De- carottes. ! patriotique dont les memorea der, P. i. ; (

., ^ S

e' ten. ue 7*1' AI m

alria -I ' • ' ,ariç.'iiâ étâit prisotinléi à Munster, ea I ^on m, uca.pe „,,

Ci *f_wrï * î }?ccur couri Ltopoid. 'lu fr. ;'M. .Na'tlîan,'rue ; Voici les prix fixés par la mercuriale : ; donnent te noble èiem^e. N<>^^aa,^ tonnament m'iUtalre Mm!-^

d> Il l,J

estphaL*. ,v •f>.'^\- »!' ■ M »^',t, :rire de Saarupt. P.œnf, 1 fr. 80 .1 t fr. 80 le kilo ; veau ; qui contribue h écarter Icsm^ores des ,

& ™ AntoS J:^'

. . , .. ;, ••" "U0D

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tu If L

M' rru- ■ g f-. 20 à o fr. le kilo ; mouton, ^ fr. 20 : familles, enlnousiastne ica cœurs n,ini,.m» j Trou^spiim» M %

lan' « ma î :f *'

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'•"P»1 ' Nn de vin pl.» fcwtfc gioire, | maitOviiz p6re,_i«0 fr. ; M. Pigiiot, rue aa.nt- j 4 3 f

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0 . i

ard frais, 2 fr. 20 à 2 fr. 40 i et propage la confiance inébranlable oans j ^ • |^

uu» W-

iro_»eUer^ I 8

.i • ' .»AÏ-« «'. ^'^«•«-'«îî'fi^rt I Guillaume, en vrai »ire aiien^nd, ■ > • ■ L

, • ~.e v icior-xjugo, *AJ ,ft trîtfj . înrri sec. 2 fr. 80 ù 3 fr. 10 le kilo : . les destinées du pays. — J. iiicard, 1 '

r .,, _ . "... >

i reintegraîiGfl m wtfàMm %z Doa r

» _ v

,cto;r

e. ^ & nit1^^ < !«-Sâ, I ™.10 f 2 f r. 40 S Sic

; beuir»; . , , ^ %^ ™*

5 cn ant «««

NeriniI,

K>< Ma;» dans les btnquet, simplement. ! tiona recueUliei par ! « Fcïa'lr ile l'iîst » 9i fr :

2 fr. 80 à 4 fr. le kilo ; œuf*, 1 fr. 50 a j 2. La grand'mere du fadeur Contai, de j fe-r « ^

u" «ans ie chantier de boa de n k

i!C

La question de la réintégration d^che- j gjj q

t^uiwf" 1 DOU^V^ÎM RoSfce Satofrd- 1

9 fr à 27frdïès ^Ô" k\î^9

0mmCS ^ | ?

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T sonSf^O^qtm bien j un cei-Uin nombredt^è^ea !^

tera««t ; J

^MoïpoS'd'es KébutdeshfJiaéa j Jgg J ^«.lTp__t,,U'e ' 2& * »é^4^5Cfr f___? Bl! I | îftj»^ 1^irAe^har^^

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WLDFFT8

, _ ^MT-A-MOUSSOH | "

Sur le P.-L.-M. commei sur_1 Orxêans, la »" , " ' -'"e

. Baiw-Lo-js.» fr ; Mme Bioc. à Tom- RTAt €_îIVIl_ I _a_«aatér'ses vifs et bien sincères remer- tributions indire^tea do îw** ' i*0

) . uation est maintenant réglée, tous les j y Waine, 20 fr. ; M. Franck, 5 fr. ; les élèves de ! «-*•«/•_* -*_•»»___. I P

« L'MstItuteW d'^iiaiaps 1' v^_it d*tlresa» •" n n ontrà

"M

oua5oh 1 cDf

eroinots ont repris leur poste. . ' ^ço1*.

Ê"i

!é^eure, _5 fr.; ?4 i e na.,teur aeisz, i ** \%fhmit ' diaients'oui t'^Mru^i t*°laate fe.

Pour le Nord et pour l'Est, la mesure a D« jour» panèrent, d« .emame».. . W fr. ; M. 1 Hcard rue des Jardlmeis, ao fr. ; du 2

décembre 1814 1 ^ M CÎI Voulo* vient également de re- d^dons^déoos * % 1 wii la

Prod

«l« ' ^

fflefré^ iCfe*:mène, > » ! ^10 V !™o_v_e^ Naissances mettre* la somme ae 150 fr., du Soutien ^ pom^M^usscn. 188 déJlte

 " ►ion acs rt^ioi.o i,. .U

;

JL_* I ..I ^ ..r , . _ . t

Betting, » rr. ;

MUe auiulasw_u8 tnfirmtire J«ta-Aîbert Colin nie du PlnHetrt «S. fraternel à un malheureux facteur, mal»- j n

a recu l'officier mnM~, »«•

; deux reseaux une exploitation qui se w«i» io> D »«<ut .w_ non p.««. • U'!», norriain. 5 fr • •.:..lw

,. ,• ru,, _ • p.:,"i.'-. . ' .... :f , ' ,?7 ,<A nu-oo'.u v,.,-„,-,o _ v,. y ! i_^t^n^ i_ Y ^Pfrieur coinmen. i Aile »uve actuellement réduite pai* la fÇjttn*- ! A iietim, «a ^niuant i» datte. | au v\u_e__n 82 fr - M c-riùot eu Pont- I e*e — R AI T i

1 ,ô. i auni ic_ u-oUiX* uo..... ta »ett»-__vante « R

-, re provisoire <i'un certain nombre de &££j^'£$fë S'a t?' ^ S^î,: ™ Satol^ lil - Prévovar>fs de l'Avenir M-asicur Le 29 Qûv

^a i

9U. " ! no» rei». *> • i ■ < . i <iiu rerrai; rue ce Mets;, i , , _^Pn_~_j i n !

4 it^u » , av..HA.eux,

r^

r jouant a « marcher sur P«IJ a. j 10O fr. ; î/!. l.fiitienua D fr • M Hertï iff riie ■ uei-l.oms Oascaru, (,raride-Rue, /o. j ,. . „ ji..rr

.hi.a

«n» » J*a1 l'honneur ('« vnn<i 9

,..„„ , « I di l'Oocateife, 10 te. j ^'_ertimid-t)ser. rue I Décce La reced'nmwcfieH

an

0^J^

Br|^ M

; Jeenae-d'Afa, 20 fr. ; Mu>« MeUiu. rue Jean- j Wtotria-Bartho Lançon, 28 ans, sans pro- s ra^ueu ce iv neiiros j ^ | w

^' d

olit te cuutenu^ sovoz ï m*dw_« . i ftai

■ IpSl ÛB !„ I^SSrïÊ " 2__» ■ LST'" 6l

^wW ! rte*1

»' -^Sbém^lioBd 77 aîa ^e" • £ot»Se *"* ' ne manquera pa_ d'être vùv^^ap'S jj de l'armie terrsSoriaie g:b^fe~

r^

w- ^SI'^^^ ±B_ffl VJS^à^àn^J^. I &» B_£n &

u •»» -?%

mat

entre ^ S

l'après 1* « Echo de Paris », l<w bureaux Me, ehert tu'èts.'car dans m ooev' j Satot-Nioolftt,, H» fr. ; &tra« Potneigaon, ' rue ! Folter, i. — Ldmond-Victor Rochel, 10 Nous recevons ta lettre sidvnnte, qui est i *^>"* .çuii^anzment connue pour qu» j0 n,

m recrutement prépaient en ce mo:neç.t . ,e ,

a '

rte u_rfy__. p

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' 8u fr. ; M i_0L>»y. notairu honorât- mois et 12 jours, cliemin des Sablas, sane j une preuve admirable de îa vaillante sére- pas ew>iuie uu ge^te généreux qui leur ipel, en commençant par ia classe 18J_, " • J ',",^--«K. i S;,hî!,,ir„ i.1

^??. 0wib

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>» i° tr

; : M

- Jeequot ; numéro. — Paul-Ernest Hortefeux, 39 aji«, nité de nos soldats : rfut envoyer aux oeienseurs de notre pa^ «.< n certaaa nombre d nommes appane-J AchtU» l_Lx_F.OIS. I g &^S*5*

or*

es* **• • M. Giassio». 20 cordonniar, chemin des Sables, 11. — « Connaissant votre esprit sportif, votre M

1^

0^?? «»_ cjsarettcs ; cas

t objets «eroft ! cbe

.. it à la réserve de l'armée territoriale, j (E_ u» U% deux demieis »en ce cl.aquc coup'st). j l_»V KeUarwas dn Kî, ^l^fX f?a^

u' ?"

fr> • i Jacques-Joseph Hubert, C3 ans, comptable, i dévouement pour améliorer le bien-être du pai\iculiereuient bien accueillis dans les rai

• tr remplacer doue la garde des voies et i I 15 fr • ueaAioua^t SS-nruv "in fr ' • 10

i1"'

1?

C'

1 JfUô de Phaiabourg, y. i soldat ie viens solliciter de votre aiaabi- tranchées par ceux ce mes soldats que la •• ■ M

îmunications les hommes qui ont été j «»•»»■ ■ j -_oa

rtcuaUlie a l'hcmlt^ cie* l«wjkïr_i T* j Ùtô un "désiré service J fortune n'a pas favorisés et qui, pauvrai tt_

.Jé^u début de ia mobilisation dans , P«Pâ8SF 1 JÉ^^îT^t-f'^^*^ ' "SSl^ au\.^ac»md

ent,ï 1 S *,.»„. i t$ll 9 »7.%9 V-. ÇSJlSif MVlfl- ,

fr- ; docteur Gage 10 fr. ; ■

Wéaut. I te»né, et nous voudrions profiter de nos \ a .

w. sa:

,0<

i docteur sniM^,J docteur Wiastet, 10 Cf.; j liHH ! loisirs pour continuer noïre entraînement A vous qui avez bien voulu centraliser aK 11» lac; ^flivq|tfamr<nf(! PnV^hk - [ ; docte?» Stern» IM- '.Sf/^S ÎS Antoine Ba^h„»mv."*:)5 an5 allum^"'- au ^ la guerre par queioues bonnes séairces h» dons, et aux dor.ateurs, J'adresêe œ» o»

; Ul 100 Uvjjili bolUt'liW ÇU.ûiila X.... nmmnUsH L'approche de» «au- ( fr :

docteur Goû- n G iv ' ' SS^Urn

IC *ï

l.° ' R«Z rue de 'a Vv W- \|.

rV .' n'-nT^ sportives En outre noir* but est d'organi- I remerciements les plus cordiaux, *

*. K: des tàtw marquant te l'omit do décembre \ 10 fr. ; M. te_ofc'p___i_«ea^ei^Ufr^ j Une Bronner il aria, sans proî&sâon I sar cas réunions au profit de la Croix- Agréez, monsieur, je vous prie, Tassa,

, , . . . ! commence ù émouvoir les seidats mes bons ■ ±8S

pharaiaciëns -ides-muKus i ftvt*n» in fi '• ■ AtMymiA r rpffîc'p n» fr. r/i 9fl K.,ru PU' i Fîoucre ' rauce de ma considération très distinguée tai e groupa parlementaire des représeu- eacoarado*' !)-n,s les kmaues rîuite Irnn. I B-rUiatemy te tr ^M^x« iofr-H-•.?•< * '• n .» i r-

re> *^ ~ *-«

ne^»"- ! , . . », non* ' ét de mes seutiuients ie& plu» dévocés. nii

ta des départenienta envahis iW réu- . Wîr a

beuie*, fever a etx), as pea» ' Ir

' j ^««aain, lù fr. ; MÔnel, ib'te. ; Joaf- ; taira me' ^nt-DizterS'lis^

ei__4frLOT_" î manoue : un « ballon ovale » qui rem nia- i 1» ps

nVr"'1 Î

S0US présidence do M. ge

av aas Saiste-liarbe, aux Saiat-Eloi, aux , rh&iJP ^P**' ^ 'f- f Sartory, 10 fr. ; se" Krebs, 2 mois et 15 jours rue Duuont- ! ferait avantageusement * le vieux képi ! A Monsieur Simon, chef de poste des ,

: qa

3 présiden' a 'ait nart do l'envoi en fa- s

a*n

','',^

ico^as

d'autan. , ' tratloa prmcipal,1 toIr"^ies V/fi'cl'''r-i

i\1'aV'''iii' d««-Loges, 17. — Jutes Burroyer, 47 ans, bourré de chiffons. contributions indirectes ^/ Pont-à- ,

r des réfûgite, par la ' commune de I IIA^W.SS^ J_^_*^ ^Sw-Î^SS!!! 1 S**41*?0111 Hoymaa», fr.

; â_

v<*'f $* ohnuesures»,. rue du Général-! «Agréez, etc... » j Mousson. . «

l A v v/iiT) O UJ1C SOU.-* J1C Ciiiî _-.iAX) ÎP'iQCÉà. I t\r. \■ ' î —. ! n. î> ,i c i _ ! ' _,_^fci^'_^>

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R^Kt^tiH* /■' _ ftrf 2 • A' .în ' \ Â * »~t'»

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,, > " - . LtUilUllS I • m

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* T *4 it 11 i-i'tkuff/<_■'- ' ! i

Le crédit agricole I Dans'teb fraUchées, lo parfum des vieil- ^f-»»«ud, Brisseri* fa Poète, 5 fr ; m. ' 7taM^Uvouv* EnKrW^roe Lothafre f[^n' ! s inscrit a^l « Kst PtépubUcaua ». | ^at'dui^ une pte'-e de'rnonnai^à l'itv *ï

. Jule- Méline a fait ado nier un rao- ! ies

Agendas embaumera les rêves de nos nvÂ1^<??'r t-a

: L*!1"** Miraiau hôtel de ia — André (ialilà b'

! ans renLter rué du I ttentlou de nos soldats blessés bu iadfganis. , .

r: v sur le crédit nscricote tenda-l *> f-tiro • tiauçier», • on a beau, en eaet Krcsola.it "w^" •• * "- - ' «Utûn

i'int

. & j

r. ; Mlle Adum, :

F_-,boura ^aint Jean 19 \lnhonse ' TttîkrriA Or* h M ÏLe service des contributions Indirectt-i sa ' t _ jsKéats, ^vrmJ*»

r,,t

>U.he _einiAn_ r-arawt, un ii.towrigtfa»» ^u»4-Uw^»tr?T\tee^enqR rh^-t'Mafc^r^ ' Pranciu, <Tans, mdwstrtâl' rue des Jar^ I iFiwUÎÎS A uDUQUQ charge de faire parvenir les dons aux inté- • mtes par les cai ses régionales sab- vit on vous. Mme Vvoiîî, rut baJxituty.ier '> fr • isnônvm»*

! dtniers 18. Ansruste-Joseph Ma' 48 »«_

; . * ; rossés awc toutes les garanties désirâbftii. J

•s dont ie capital d'exploitation (bétail, monde extérieur, le charme des grands i Martin, ûfr ; Mme CasparT^^ùa^riî'W cï*b. ïf'^^m^P^S^Ima^r^^t^k^^S' • Le Timbra As la Cmiy-Ratter* I " ... :binas) a été détruit par la guerre, ei i oois truisonnant sous lu première u<jj,ge. 7, 1,\ • Mlle Uloc, l fr. ; M. ouiuansky, capitaine au 5

3 hussards rue Marsai in i - - ^ ,,' , , .7 f h «A

n'ont plus d'ai-T;-' :tt pour acheter des i Nous lavons vue, ce matin, qui couvrait _ *!r,

iô Dlcoruez, rue de Phui^boiirg, 5 Àchille-krncst Oilîoi ÏSB ans mânmn- ! * décembre iiti-ï. j maître de la Maison de nepï, taonque oe ., :. rais ou G<e.3 semences. i *o so.i ou.- i^orrauie, ce sol touille par lin- ■ JA'AAK V-^JV, "' l? , »icxo--isugo, ,; fr. ; ïvhïie viv rue tleç Pahrioit ^ -, i _ioasx<mr le _iiiv.c^eur, | conieo-io.is, previ ..ru ta e_ie u it. | °P ^ ; ^

x .„ banques agricoles seraient garan- oewant labeur de ta guerra i \ ti^toL v \T'Ï' - M ;

"1!e

„Pom

' !__ -^-.^^i--!!^-^,,,,^ ., j L-inltiauve d»T « àtet Hépublieaia • met- | charge soit de fabrication, d ouverture et . ... contre les pertes poesifetes par l'attri- ! Et, chaque matin, pour nous rendre au cla Tetllov i^tr - M «Ltn.a KS

16

. L , : MitttTttatnla î tant le journal à 10 centimes le dimanche j de réparation. — S'adrcsser^ H. NiVKUBf^ .on, sous forme de cu.u tion nei t tan i., de ' travail, nous prenons une savante forma- ii picersé * Jat-ntet! • .Wu ô ' h«. *-T" r'• me'iï " *" j 4dtt £»s«ur u«_s hleseés n'ayant pas eu les 1 39, rue du Vieil-Aître (ljo:i-Loin

;, Nancy. «■

. . nuité versée à ces caisses par la Bun- , tinn de combat ; nous pissons air^i à fr. ; Mme p.. ,.v.. rtw éu Tauls-v'ert, io ir Y M Madame Erne«t "°*"oU\ND*RT n*

1*

;"''u

'f^ ^u''"Ho m- fiai , ; arw etîez-moi de ' faB

de mag.-sin en ville, 1 lemaité définitive que l'Etat devra à j ont laissé leurs traces, et uoua arrivons Aime ScherL-or, 2 fr.'; M. iaofluot-Meyer,' 5 i DAS1 _* ITotiérourt f\

f^__M_'i

V***î_v» ■ •

; •' ' snalogue Wop jpeu«oaaue dû &■ %7 ù _i I <W6pgriculteuis. . î devant les mura de terre. ir ; .-toe D&Joges, l fr. a- ; anonyme, 0 fr. 50; , r ,*,,J'

S VofTm"r'

,R in r*?

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ûnSlf>

u' i pubiie.

M, Vivian! Pour le repas cl* midi, te «ïéjeuner cham- ^^-guus, 1 fr. ; un aœl dci- bié_.sés. ao fr. ; : f.',,i{

«y.,> ct

t"', . vi1^m-?r u U1

" ■ Be» le» premier» tous* de la pjttm, i Mn» h«n_ 1BOMAS a l'honneur de f**- | ... . . f.",. , .. . ., i P*tro, pounait«on dire, or. allume des feux vi n»?.,,:^* i?,„*•„'. Mm» Laiierueut, 10 fr. ; i

f-i

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Vf.'Â

RT A*!". • 'vi Q

1* ■ l'Adminietrati^a a»» oosie» a mk «j,

c«r. i venir la Clientèle de la Grande Brasserie 1

. Vxviam, président du conseil, est va- j de bivouac et nous «_Uabloi_ vaguement .lr

' ; ,

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-' : M TV UPT t,. S ;

^.Chartes : ca

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^ ^umbres o^m-AeTlO^n- ' ('ex-(>at.d Café) uuvtle va rouvrir cet éta-ensuite conférer avec ie giouuo sur des . fumant nos pipos, à des. héros de Eeaimoia M. Michel a Toluhteiirtio fr • MJV ° * rie et •?<- Vm r i ' i \* 1141?-•"

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jj.y^ * d

, ! bllssement le Samedi 12 ti..aetubre. 0a Si!» à iilSr'MU

4-"ï-TSfn^f Co

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Mayne Rad. ;:"n:. ; M. Tcrraux,"avocat, 5 fr! WCL. VU-' I Mo'rlieur Henri GriNBAnï an 111^°^

5 Croix-Bouge. Cette émission n'a *p*«* Pourra déguster comme par te passé 1» , pruemurtî d. uifeMiue; poui ... consta- tous ces hommes d on-'mes diverses par- • gram. 5 fr. ; M L Vilcram fit« < », . 2 i *X ,7 ,îs ; . ■ '

uu lb" re

9*- - tardé ù »t,4 «,,iii

K^_ », ,„,_ „„. n„ • >,;,,..,, A

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rh i-r^;,rnpr'le<; « La Reine a-Tl on des degàte causés ^par la guerre ; ! tent naturelleaicnt et tou'oui- de îa ^uerVe Marcel Vilgràln 5 fr ■ Y ùrr 1 ii4'n'. : ment a infanterie^ ; Monsieur René PAS-

uc 7 épuises

vt une nouvtsUe cm» ! î-'f-v, i . „ . , \inate_f''_l ■

ui r-.jujs.tjon ..j pe_ua et uu îoiuxa^e j ^ _4 guerre implacable que noua rappel- ?,,frjJ.M. Georges Guttou, uvocat, 5 fr. ; M ! /.TriMnim' ■' \x J. *-'-5 - '"-*> .

nee hAt'l» t <t »»? «,«,rfr. ^«r,,* i^ ,'",0 ,'^,1. ! ,u kixnni, nit.rè~~ \'.mâ THOMAI nrafîto (1*

s .a tone des armées ; sur les _caisaoa j tent les échos du canon. AoeBun. rue fiermltte, iu ir. ; M. Marco*. 5 : Jî"*.^^AT1

^^,^^ fï'^J1.^ ' timbre -Wu centbc À 'tl tT. eêîtr*

cii!ûn 't_M L S que M. 1 'i

crédit agricole : sur la circulaire que Mais les nouvelles sont bonnes et l'es- £• K

d,oc

feur

6 fr ; docteur Simon. S : f'*" e

îÀf

-1 ?an

_..l'rf-ABt), a Sevngny-Wa- S2it _ni^U_f1S_-_^*

Cù5

n "1T ' PtniU ff Grande J

mmstre de 1 Intérieur adresse fux mai- poir inumine les visages aux grands veux M

' **«ot«. avoué, 5 fr ; M. Bwthier. an- ; teppe 'AHennes) ; Monsieur et Madame | ^\p

-r ,

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lu !'etiirt

le IHOMAS, diiecleor rtu

'a,J

nHJS t i

de France étebUssaat pour tous tes ré- Satra dos bravos gen". :

M^V?' ; a,i

?ayr

ï10

' 1 fr

- : Mme Ga- : D®NIS, née FREARD ; Monsieur Paul ^^j? a 16

centimes comme naguéra) a ! taverne », est çycilste au oart.Mem» J lés Le droit commun de recevoir 1 lr. 25 I L'ct-poir est Le divin élixir oui ranime les l'

f'r 7.

N

.V

V,°ML 10 fr. ; MM. L«vy, j MlLAitl), au H!» cbast«ur.s, et Madame " aiitrw!

» •>aft

*-' ue ce «jonre l'avantage j Bexfort, depuis le premier jour de ia a-w^j • jour et sur l'extension do ta partiel- j courages de tous ceux auxquels i'e sort de î:'fr • Mme'Uvy Gadchot 'Y- -îi ^w^'li • ^

r'r:Al

.'D

■ ^oustetir Alfred FREARD, nu . ei8 te

£j?r, tinii

'rfr

employé d'habitude Usatmn. _

'.'.toutes les communes de France. " .^S4^»Kfflt dTrn^é ISÎt i *ay_S?î%.'* ^mm^^t^^a8 ft^ffi ' ■fo*g-ftb i Monsieur Alitert FREARD^Tu d'un* minime augmOTtatioil

U' j P-0?Jl»5£3 IXQUI6ES, 4, rue Bénit

- rw,^ de Ci.ntl ^"^V.,,1^/1.''3 a auc'un* . seloO fr'. • Urne Steûuss 1 fr io • _î, weiil' i FREARD. et leurs enfants ' ' ' •*a*a* j reuse pour tes blessé», ée Unîl-re è*s / rxvi ' " VOYACSUR i'» ans s'assimilant bien,

Le deuii de MM

* Brévaî ^^^t^^jp^^feô^irm^ ; pro^rte fxHg

Mîie5fe | ^te^f*T_^%jg5jjJ ^ I Stï__î^^__ka^ | sS^a^nS^ !

,'Opéra-Comique communique la note ! dam à accomplir bravement leur- devoir, ; fr SQ ; anonyme \ frC

% • u 1 iumnann"*» ! W^^.-:^,,. L? .a rtinminT aa

.(

GU,bt;U

^ tart

d'autres, le signale à 0AnTE.'S POSTALSS bromure, fijw ' vante : tout leur devoir patriotique. ! fr. ; Mme Ducofry. 2 fr.'j Mme Samuel S fr j »«OîîSieur CrnCSt UUlivLlAkT ; i*M«»Uon. hn ce moment où l'approche L patfiottquea ; BÏOS et derai-groa - IL ™» dite Lucienne Bréval. qui devait chanter Et nous n'avons pas ici 1" « excitement » docteur Casquet, 5 fr. ; Mme Caaret. o'fr &ô ; 1 Sergent au ICAY régiment d" lui an'e rie • 1 • • - 1 **

ttr de 1 An .

va nmltlplter i des Quatre-Efillses, Nancy.

: ur les blessés, dimanche prochain, à du front comme disent nos amis les An- ; \&}< Ktteuue. 0 fr. &0 ; Mlles Bergdoid, 1 fr. ; i Cov.irùi- ur d la Co-nn innie de-'' Trim-wnn» i :**^orrespoouancos, ne çonvi&ndrait-ii piis { ».—- ——....~->- "* "■ 'péra-Comique, ne pourra paraître de- j glais ; nous devons nous plier aux plus j^„rti H ? n r*?'f

rr ,' M.Silles Wirin, 1 fr. ; j âe Nàncti umuayt 1 c. en placer des ^c.cpoi dans tous les bu- GÀi.'Ç dri ci. KijREAUXi carié, .lan»

M le public ; un deuil cruel la frappe 1 humbles besognes, manier son» répit la ; 7(r sy . jâ __mi^(j

rt ' "'Y

6

'.~ fr

-• af

ioayiK*s, , " '" * , , . j reaux ce tnbaj} «e la ville et de l'y exposer I funte, référence» exP-tées, est demaoueWHMI '.as sos affections les plus chères ; olte pioche et la pâlie du terrassier, nous as- j 5 fr •'M. BÎrv• i°fr ■ Mu PM'-'^V-*

tWÏ* * • ' f *^ «OA'xVEr/fl { aux regards d«e aeneteare qui, sa.ns cette j NATHAN, rue Giun'heita, 4ô. Nancy. — 7 :

•Mît d'apprendre que son oncle, M. Adol- 1 tiomare à une forte discipiaie ailàgroiûeut : fr. ; Mme Baschelard 2 fr '• M ChaS B fr • i 1

"ge de ul ans, j [aoiie réclame, risquent d» oontinuer à j Se présenter Ue S heures à J heure»,

sillé par les 'Allemands à Uerbévillar ; j Cette guerre scia, pour nous tous mobi- 1 M Gutton, 2 fr.* M. C.,mi!on^i^r

U?M

r' Ponça i et dont le Service *IVit'èDrc^aura**Heuî^ld i

!wu tiîif,

')ro

'«''•pportera des sommas a i nv DEMAîilD' ''na^nvJâ* bost-x M— sst une tettre de son (Us, soldat au il» ré- Usés, comme un bain d'énergie morale ; tet, 0 fr. 25 ; M. Georges avenue de France, 0 décembre, a '.) heures du matin à Houe- i

noâ- vleWfe, ànâcliliat*!* nour"ha-»+"<* fourneaux ♦» S'*» î

ment, qui a annoncé bfer la triste uou nous avons réappris au regîment la vertu j f,fr- : P- C 1 fr. 50 ; M. Wespiser, 2 fr. ; court, son pays natal. ' . vous

romerciant d'y avoir contribué. ! '>'1 , "f',.'.r

*<.i " $,(m ■ i lie à sa cousine, Mlle BrevaL j capitale de l'obéissance. M. nermunn._» fr. ; M. Barroi», j fr. : M. Pra- [ PHez Dieu pour lui !

veui"

ez croire à mes respectueux senti- , ' ' 1"^

1 —* i

jjg>-g><$h 1—. -„■__ f ** I [,77 ^ f

' '. u «IMMI SI, VI ■ • •~T>^T»_tw____t___tr n«i nnwtw» i-t»_a_ ju»_w__t mcnta. j „ f» E M1» W T 5 f*M"P "'E'îpÉDSTîO"

I Je crois savoir qu'un cartain nombre! " coln">b-P"_lM fr -\{ r-ttî0?

0"'

0 '

rV ! AVSS P.* OR "r^ATE Gaston (__»_a i \i \A- K « r^Mraneés

# l i « • j d'officiers de la territoriale ont demandé i tV • M n^hnrS 'a r,. '«? • n^ô°i ,',I!^

cl i'

ri;C:

o. „.„„"._« x

Infirmier de la Croix Mn»^« • '-V7,,r;P

nnes "

! ,

r a».

-a récolte des vins *^Sre^t^'^'ajudante-chete de la ! ït'Èîi^'ê: f^SVwVr- _? | YSS HANIÎ ."i?^JoOAY^ - -^

IU,J t i .J;:^;,'';' "

Bordeaux, 3 décembre. das

piments en contact immédiat avec I |^'^^'."j^^|^^®^^j L^j.^îlega°P^ j *iow ^^Mûdwe^A?

8R^RY^^Wiu^e^ j fMlH1^! j • '.'j'^lfsTï V\ \ jti"C''1;'C3' ~ ^ '"1.'^'S"' '™ Jo"r!JJ

j_Jl^ ;

L'administration des contributions indi- .. Je vous quitt» pour rentrer dans mon I anonyraes

' 18 fr

- ; Mme Bricka," i,' fr.'TMine I L *î.i'->"-î *''*^,-.^

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025 I *xiiill;__lli \iv ït iliijl., 11 fili j C435 ?F£UR D STANDS CAîiÇON» rd> «tes possède aujourd'hui les résultats de cantonnement. Nous sommes" quatre dans

1 *l?ï

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8n> 'fr ; Mme_Paul Charbonnier, 5 fr.; | „f 2' Tmjiu/^i^xT a n^tlitaira,

A ! de Mon-DêMert 18 à N'auey.

,i récolte 1D14 des vins pour 19 départe- un réduit qui servait a abriter une jument I vâm»i* ? #J • Mrn rlS W^T* a fr

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rj-, i xVrvi--' n

'4 WANSRy ; j y^îg Lairert A™ B -n ! ■ ■ ■

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tente. Les voici : Hérault, 15.354.1S6 becto- La meneeoire est précieuse pour soutenir I Mme" viiTa-n '20 fr6

• M "vSn i \ 10 ir/' i > -t 11 d

- t TU À ca

P1Ja

?ne en re

" journalier à Xar> • ^v"7 r

' J ARI!X

« 1 CASSStSPS«90l'1$*TA3l,E excellentes rr très ; Aude, 6.782.241 ; Gard, 3.S0L753 ; nos saostet nos souliers «ont Placés sur la l'École forestière, 5 fr '• MVI FerXaSd À i M mii^^ 5««!ti« *?JL> I débit rue de Tonrhl'uuS» « Vâ^L 6 ttn

i féreacee, demande emploi. S'adr. Jo«n_t yrénées-Ortentates, 3.33G.0U4; Ain, 289.376; margelle d'une lucarne. Adrien Z'vy, ES fr. ; M. Cousin Ingénieur des NIISI Rmmn™ r»o»^Av ' " i te-mo'nnaie aoi E«i 1 t. wV r ^'

or" ! - ■**

lpes-Maiitimes, (>2.03-i ; Aube, 88.608 ; Enfoncé; dans la paille renforcée par idnes, 10 fr. ^Mmè^déhaux'^^arïev'ilie, 20 I GNIEZ ''M^UfiiV^ F 0Y

' V0Î

". t»^»»in'imt«iir M MaîrtMr Zi'k i?' A f A Qf*ï Wl A^tiltt antal, 1.278 ; Côto-d'Or, 173.003 ; Gers, ! nos couvertures, encore humides de lettre !

ff-

; C0Àlecte

,/i1

.ite a

l'hôpital de 1 Ecole profits- j ' * * ' j §é tomber R a restîtiié l'irovAi In S* 5' I \JiHOv*U.i~L«» OCOUi»» -, .J tb.220 ; Loite, 142.150 ; Haute-Loire, 3.875; j transports à la tranchée, uous dormons «onn^,J^ftv, A-J M. Boursier, notaire, 30 Ont ta douleur de vous faire part, de la 1 — Huit iours ne nSSm» soxmrm,

i;i rue ç

Atv,t

ir,roi, NANÎ3V

oiret, 223.511 ; Lot, 192-00J ; Nièvre, 81.511; i comme des rois. ! /_ a

V, v?!l

Lerfl(!nKe-Cie- { perte cruelle qu ils viennent d'cpixiuvor en j Oafraofii — Eniils CÛ ht t» 1 , ~- • "*

•'uy-de-Dôme, 136.906 , Rhône, 313.773 ; j Dehors, las éto'Jes brillent, au ctel eau- f vinat 8fr *• M Bra^i S fr • M TenVifr nïS?" I ^ Personne do

1 donnier à Nancv 1^ •mV'1 I -LAMOHiSS'AOB Paisa-Cols et .ïioiiet**

9

'aône-et-Loire, 461.259 ; Vaucluse, 632.637. j leur d'iu-doise. macien. i'f'r.' ;' docteur 'schèfîtr Vf r■ 50 J M -m^ievr Cprr'frin-1 ! awfkW I la Hache B^U » ffltt à Imnttt» *T ' Service "ù domtelle L'ensemble de production tic ces 19 dé-! L'une d'elles n'annoncera -t-oile pas bien- Total de 'là i» liste*./...3.01.1 4Û WIWU^JCl»» rVluliiSllu I A HiÇi 1 saute L'agent Aubrv iwt^wii tit^ri f i"\jr;EM« P.i'NOLLLAu' 25 rue St-Jeaa

'•artements atteint 33.013.419 hectolitres, i tôt la victoire finale, libératrice des formi- Total des listes précédentes.. 0.043 60 Lieutenant au 82" d'artillerie î oe3ser le scandale 11'fut .''w J -Ur

, j "' ' " . " "" ' -'— •—■ dors que la récolte de 1913, dans ces mé- ! âabtes et sinistres oppressions ï —■—~ smn-p <n . _, >■ tT&nA a» tmnnA ne» r,*tÏ7^ , . 1

0LI

' I nu '»RM*-rr:

- tr- rRiirrc-re dame en bon -nés régioas avait été de 25.427.479 hectoli-' Pr»»nv T PPMV Total à ce Jour... 9.057 » ««" ; CH :AT> D H OMS EUR __£_ ^ndWa^ «^Sr** ,V?_m '?**?* PZI "D ^Journal ^

:

r«3., C'est-à-dire que le rendement viticote t imnE LKbNi, p..g. _ Fourr

répondre aux nombreuses de- /oce a tennem,, j pr^on 5 franœ d'am>r if.~ moi6 de *- Lv-'fé ■'■ '

ou.'^_____^*

1 été d'un tiers supérieur cette année à ce- \ - — 4» » ———— I S^11^^!; s^_«iH^tobrSiiÈa'imr^ftiSwî 1 septembre 191-4, à Sompute, I Bris'de cld(«r« Jute*** i r

- j ' T

"i'-'J-.' „ •«M

Macaron4 info»-*

ui de l'an dernier, dans l'ensemble des 19 1 i-«t cWurè de Paris et coût.'' numî niîfti , a

l'â

sre de ans, I à

Tarvl4l« „_3"li'

L'°

Ans« ... i-Se„ ^!vn„ n

t'«bricat1e0<

lépartenients considérés. L'Esprit anglais 't geaGrteà f noT géaéreuj* soWc%X]}^ J^* ^ridre, frèn». ft^. Hniffi ^^7^' nrtj d ufuauuf il f^ ? P

" — En particulier, la production de l'Hé- . ^ | nous posons déjù distribuer Co.OOO ampoules «^rs, oncle, neveu et cousin. brisa ouafre carreau' do t7 i

ril M '* ——— ^

rauRs'œiélevée à 15.354.1S6 hectolitres au ... , j le premier envol qui uous est parvenr a « té ; Le Ser/lce auija Ucu ultérieurement Wuve Richard burnît^«. _.ViX.«T i7,-!f i 1 f;tlA1,'LV

- «e,;,

-'sv t'^i^

fceu de 10-5il./04; celte de rAud" à 6 78'' 241 ~ Que* est, demande le « Gtobe » la l expédié é X... par automobile et accueilli avaoi _ . £_ „,:,.„. ta L_ «'«n^e joui* 9 ———■ — E'iùGji-38

! au lieu de 5.506.625 et celte du Gard À danse favorite du kaiser ? C'est le Pas de 1 reconnaissance par MM. les médecins-majors.

f' "?

îera P

a; ««yoyé de lettres de faire ,

oe Mr.-.on, 10 ranca dam nde. iaatr. Itst «^.««wsta r^""

&.89L753 au lieu de 2 57l.fôa Calaia - La lièvre belliqueuse sévit si — j P»rt

> ,e

Pré;,8nî ai

'" «" «««Ira lieu. . . —* J „ ! fortement qu'elle fait battre les .rtvieree. ç_„

r» Na-t^Â'frt ' "

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CT'a^^ --——*-™-...»„ , ■

" 7" ". "~* j On rapporte qu'une grande bataille a eu opor* *Tt4»iw**en ftEKEfiSIEflENTS . Uftl^'l ntO IfCyTrr* 1 We» dlv»r« otilainére ne ie« n rr,*' r».««. •• ne-res « 4 b.e<-** L I?Q CCD A DltC { llew enfre la Vistule et la Warta. - Le Sons les auspices du Sport Nancéien. i , ——■ [ UU t LL UCvS- VCR î fcd | feïenco, etc. ' : ■ S ™

C»_> kJLil MrVlliO mot de pesse des AHemands : Ail Besch ! M. Antoine, professeur de gymnastioue, I Mcsctemoisettea DURE et toute la famille E, rue de. PoaU, NANCY U Salle des Ventes est on-j ' '\ \ x» — On annonce qu'ils se sont retirés de la fera chaque soir, de 8 heure» u 9 heures et j 1

emoreiont bien siueoromenl toutes les p<er- »—. I V(;rte

tous te» jours de a heures ! An comptant et 5 Qi'> en

WM

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a nn,,„«u— _ lig;» Strukof-Zgienr-Schaùak-Zdunskavîia- demie, au gymm.se municipal, boulevard aonnea qui leur ont témoigné de la svra- ururr s«tnnti RW — —,.

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? *» P'fP^ation miU- Partie a l'occasion du A do | VENTE MOBILIERE — ■ "-—J ^ 4

1

E^xia, ,Vte«e (laèm). "^[^^1^ '* * _J&TO^ ^ k9U " J , ^r et , j ' ^ j L 1. BCHîtlES - EMCCLSTS - BÉPARATtOE* , P«*Ï-« r>*du7s i our mi-îtalra»

Page 3: EN ITALIE jj - Kiosque Lorrain retraJit© est fatalo ) et prochaine > Oans de» efforts aterilee, rAlfom.xgne a j épuisé s«?a réserves. Les troupes quelle forme aujourd'hui i 1

y tes CeftipiiigesjJ t «artl a la mobilisation et réformé ,..!

t f - »bre, j'- dû émigter, etc. ? |l^0C* Voua n'avez droit à aucun» allnca- "ÀL IL ^ "Militaire, cello-ci étant pour les fera- n.

mobilisés. . c0 vos lettres, écrives au commandant

I M«6t de votre ancien régiment en lui ' 1" "uLnt votre adressa P? I^'V Àtaibio de répondre ù vos autres de- ! tr"

P ^ !e D« 223 ? I ^ vous pourrez, en obtenant un ! &

^„ v'J câ'oiu doit vots l'accorder, fa c(_ lie g*iîéa, patinera-t-oa a Jarviïte

n,$iint meoiite* ici dopais la 2 août. Cul. ' Bf. „- fermier avec 20 hectares de cai- j de

tieux fila qu» peuvent être considérés di '__«!(> soutiens île fauiiile, i: nous semble i m

i ,a pressa, de Paris» a publié, le 13 ee*> t. !,, r.'v't ci-joint. Ayant voulu me r»ro- ! c*

■»> »" ,'' i, l'enfant en G"<estion et> ? I m

m^sllï d* Set'.anes et Se village La Pe» j ~

«EwSuif*, mais^ouchiunt sa solde jourl j £

ebe'sa solde comme d'habitude, on ne sau- f b

payer ses dattes quand il n'est pas réelle- | ^ ment dans l'impossibilité de ie taire. C'est

les que recommande la circulaire ministé- j R rieile relative au moratorium dos ioyera j j, tious croyons savoir que certains proprié- j ,-< taires ont obtenu l'intervention de l'admi- t aistration des chemins de far pour être ; ,* payés de leur loyer de ia paît des employés | d

je nul* mobilisé, ma femme et mol nous v

grand apartemc-iit, 1.500 fr. de loyer, etc. '? c

Etant/ mobilisé et célibataire, l'ennemi J ç ayant occupé la ville, s'c_t emparé, etc. '._ i r

| R. — Vous ne pouvez pas résilier, mais, ( j après la guerre, vous obtiendres certaine- ; t ■est un arrangement.

Peut-on en ce moment échanger de i'ar-- « fait aJammi ï <

J'ai un îoeatatee qui me paie 12 tr. 50 par j Bois, U me doit depuis le 15 mai, etc. î i

R. — Voyez te juge de paix de votre can- ] ta. Mois, pour le moment, il vous indique- j Ksans doute qu'il n'y a rioa à faire. < . J'ai oeifltraoté urw assurant* sur ia vie i é*uiie durée de vingt années, elle arrivera I < Isoa terme le 11 février prochain, etc. î I ,

FR, — Saul loi nouvelle, on devra voua ! j \ [

Etant le tuteur d'une petite- fille de trois j ans dont ie père est sujet Hulian, etc. ,

S R, — Réclamez à la mairie de votre rési-éeaca et, en cas de refus, faites appel do-

Men mari mobilisé depuis ie 31 juillet et :

R. — Pour vous, l'allocation est de droit, rour les enfante, éiio- C&Ï facultative et iaia» ste à l'appréciation de lu commission. A ! notre avis, vous auriez droit à l'allocation i pour 3 enfants. Vous pouvez réclamer do- j

Je suis mobil'ssî. Ma voiture (marque !>&■ j lage 12 chevaux, etc. ?

R. — Faites mie réclamation en suivant j lee ladicauons portées au dos de votre I feuille de canîributi ns. Pour les annonces tout voue nou> parlez, consultes le toril j

' Etant bicesu donuis le 28 septembre, Je i te* «ligné à l'hôpital de Tord, et étant j •ni le point d'être évacué, ete.

R- — Réfléchisses une minute e* voms . «Méprendrez que uous M pouvons vous . Wnsei^aei sur la décision que prendra à ; _ire égard le. major qui vous soigne. C'est ; * lui que dépend votre évacuation soit ter l'avant, soit sur un dépôt de convatea- i •ûot, soit sur un autre hôpital.

Ventent iws rendre à Verdun, je ne eate si je pourrai y aller ; vondrtez-vo'.is

** faire s.ivoir si j« y •• • jusqu'à Ver-

. R. — Nous croyons qu» »tsS. Ayant on ccm<vieret> de joum.vja, mon

"terl mobilisé, moi malade, il faut que je ! Jjrte à la campagne. La propriétaire peut-**' ms forcer à ouvrir œoe commerce et. ; •obliger à payer la location tout de suite ? j

«■ — Non. grande par A- M. Î513. ii - votre demande exigerait une étude !

r «es démarche* que nous n* pouvons , •y*, débordés nue «tous sommes par le tervica des petites correspondances tant le j rf^br* et la difficulté augmentent tous les j •"a™. Ce que nous pouvons vous dire à ; f^mière vue, c'est qu'il est certain que la ' ~w!ité des arrérages sera payée après la siierrs. _ Mnsitarjt Qunéve, csobi'isé en PTWSÎC» de- i P'iia le g août, j'ai laissé mes maubtes dans i *oe appartement (loyer 20 tr.) et n'ai rien *«sé à mon régiBseur depuis lors. U y a i ^froa un mois, J'ai reçu un avis de ce ; Panier me disant que si je ne le payais pas -Agirait judirtairêment. En a-t-il te drëttï z: P'ils-je cenaidérer nx>n mobilier comme "sûreté î

R. — tiaua R« pouvtw ro\n renueigner ••î la loi suisse. Mais ii y a des ohanees '

1^* lue la Suisse no fasse pas à nos uio y;^1. la situation privilégiée; dont Us [ "«neOetent ea Franc» j^^MRînt taut-IC fsir* pw» rentrer en : g'SsesateB de lettres et naqueto recom- , ^^éa envoyés à un soldat sur te front. ! r|_ui soldat étant maintenant blessé et i 2*-* dan» te centre, et comme il n'a pas ; 22, s** tettn» au nombre de six et conte- ; ^*s* *aeuna de l'argent, ainsi ju* deux

ptuiuotii, je voudrais savoir où je dote lee mo

R. — Si le service est bteai fait, les let- ! f tre-a devront être trunsuiises au soldat par n'e:

Mais» vous pourriez peut-être écrire au ace eaaimandont du dépôt en lui signalant le p fa.iï t t en lui demandant de vous réexpé-dter le tout ou do l'envoyer au soldnt à j l'hôpital que vous lui indiuuerie. si vous te , .

Je siîia Agée de 24 ans, mon père ne veut JJ ps& me donner son consentement, toute pas mu famUle est consentante, puis-je me i,a marier sans le consentement de mon père ; m(>

R. — Vous ayez ie droit de faire kigadQer ! h votre père un acte respectueux.

Ma sœur -s'est enfuie de chez moi à Vire- yos i court en enimeuan* chevaux et bétrjîJ ! *rù

j Etaln ssMj toujours occupée par Peu- i

I?» ratteftoaaalra 4e ft'nK^erstté, dent S du

f ejaent rPuitafue ? La tel aur le cumul [ 1

j ie euiz.Mi. un iia.'temC'tt civil soumis a rete- j ,

Prter* île me «Sonner des indication:B con- an

vous n'avez a paver une 0 fr. 10 coftt du ! es bulletin postal Adreescz-vous à n'importe ! rli

j SVSOT, Pf»35rj eftn tn^iiiJHis'.', je touche depuii-[ trois mois î'aliocatioo t^i^'taire le oe^ron i

l salaire : mais, à notre rïvis, si cette moitié j 80 équîvo.ut à ï fr. 25 par jour, il semble bien

j que i iiii'.x'ation ne soit plu3 due.

t R. — OuL I . j iSs suis veuv» et mer* de six enf«n»3, . V j dont quatre îUtes ot deux parçons, etc.

tt. — 1 o*rr i allocation r;ous vouc* c^n- ' tij

qiié-roa bien votre situation et vous Insis- j ir ' terez sur Pengatrement d'un fils et te mor* î j de l'autre Pour ce dernier, vous deman- i v ! uerez, aprè^ U» guerre, une pension. I \

[ j ie mois u août je ne reçois que 50 j.r. et \ V

f — S'il y a uo jugement contre votre 1 K gendre et qu'il ne soit pas mobilisé vous j

■ taire m'a donné ma sertie par huissier. En :

i août, je n'ai aucune ressource et comme i

I . ■ 7 P pr.neme, l'anocatkm p&rt du ! ? j jour de la demanae, sauf si on peut d«- i li

■ montrer nue 1 cm n a IMI faire cette ucmau*

t ' Etint jih'çîeurs locataires dans une mai- i » | son. nos maris étant mobilisé» et nos loge- ;

i ! lf?'< groupe de soldats du camp retranché ' fi r- de Verdun ayant demandé au « Petit Jour-

h i R. — 11 ne s'agit pas d'un décret., mate ! d'une circulaire. Nous en avons publié le r

t détail dans une précédente correspondance l j trop longue pour être reproduit», CteBt le j

i 1 J'ai une sœur dont ie mari e»t sneblîfeé ] depuis le 1" août, elle habite Cirey, etc.

« I ft. — Vous devez vous adresser à la mai- i 1

t ' T\& de votre résidence actuelle V'ous fere^i ' ^ i valoir la situation et demanderez à tou- j

a | iSevant isayer une rente riagtre-. raon J f à j ma.ri mobilisé, mon fils âunL etc. »t j R. — On ne peut rien conti'e voi». , ■ " I Rien propriétaire veut qui fa lui paie tes i i *" mois arriérés depuis la mobilisation, je j

1 lui dois donx mois de loyer, etc.

B I Ayant marchandé de* transporte de bols } f" i de raine, je n'ai pu termirer ce» trans- i

! R. — C'est un© ^tsistvoB à feïrt» ôtndiw ! E ] pur un avoeai. |o i Ayant coiitraeté un? hyriotheqae sur ma ;

maison avant ta guerre, a t-alson de 5 % i 8t d'intérêt, étant mobiiist;. etc. M R. — ï* Non, pas eai ce moment,

j 2° Non. | S" Oui. Noue avons ÇpdSqgt commeot tî '

[e faut s'y prendra L'abondance des matières j !3 j nous interdit de rép.^ear toujours la même j

te I 4o suis mobilisé depuis le 31 juillet, et ma as j femme était partie, depuis te 2ti, iaae son i à paye» pour cause d'un décès, etc. la R. — Essayez d'écrira par carte poataàte, . la | affranchie à 10 centimes, en mettant l'a- i

i dresse, puis la mention : Par Paatarller- j «. ! Bals (occupation allemande), os [ Mon fllse faisant parti», avant ta guerre, s

5a ï des troupes d'occupairfor., etc. a R. — Voyez dans las bttf SSIUB An popt» ;

ce 1 l'affiche indiquant les dépars des différents m ! négimeate Vous POGVSKE éerire à votre ftla , 4Î Men fils, asrgenft-major au 6* eoioniaî,

ri. —- Votre flîs a te droit do faire une dé> er j légation de solde en votre faveur. Adressez-es j vous a te mairie. ®n vous donneifi lee .0- j ransalgtiemonte et- probeLbtement un uapn- ; tls mâ à faire remplir par votre nîa

Men mari ayant vendu ses propriétés H Ht 1 y a sept mois à un marchand de biens qu! : Ï*. I devait me rembourser te 15 octobre, mon j i* I mari étant mobilisé depuis te 1" août, ai-je i et ■ !e droit, les six mois accordés pour payer j «s étant écoulés, Ie de me.faire remettre ou ,■ te-1 1» somma entière on une pertîe de Par- ; iun g*ni î 2» Aa cas où je n'y aurais p&a draitj !

mon mari pourra-vsl «H taire payar ans- ! de sitôt la guerre terminée î | da

R. — 1" et 3» Si le marchand d* Mens ré u'erit pas mobilisé, 11 n'y a aucune raison de pour qu'il ne vous paye pas au moins un et acompte. ■ on

Ayant recueilli mon fils chez moi, qui »0! était eans domicile ew. j j.'

il. — Paites-te expulser par la police j . fine personne évacuée de Saint-Mih;.:l, îei

occupé depuis deux mois, etc. R. — A notre avis, non. .Mais il n'y a ' ,

pas de disposition législative à ce sujet. ; La commission slnspirora de tous tes j moyens de preuve. j i.

Je suis remariée il y a 10 ans .Mon mari Occupe un modeste emploi, etc. i

R. — Toute la question est de savoir si j" vos fils étaient soutiens de Limille. Lu cota- ; kr:.-•,!ion apprécie en prenant des rensel* j

Payant 550 francs de loyer et la maison i ^ que j'tiabite étant a!l.-.miii!de et saisie, te j liquidateur me réclame les loyers, etc. j V( H. — Vous n'avez rien à payer on co mo- ; m

Père (Je «eut enfante vivante âgés respee- ■ tivéùtent, le premier, né le 19 février 1901, [ w

devaient bénéficier de cette m a j ora 11 on. : hi Je suie mobilisé depuis te début de îa ; cj( guerre, et j'ai été obfigé de quitter pr-ici- j

j piuminont mon lieu tte résidence pour re- j ^ I joiridre mou co»i>s, etc. N^" N,

R. — Noisi ne pouvons prévoir ce qui - r£ sera fait aprèa îe délai da trois mois. Ln j tout cas s'il y a pour vous impossibilité i

Au moment de ta mobilisation j'ai loué j | une maison, et je n'ai pu an prendre pos- ■ | session, puisque je suis mobilisé, etc. j j R. — Vous n avel pas à payer sictuelte- i ci mert "Vfsis i! n'v a pus force majeure en- i

j tràïnant'la résiliation du bail. ûepuîs le début ds la guerre, mon mari j *

| est médeein-rnajor de 2" cla3se ds territo- * risle ; il est affecté à un hôpital du Midi, !

i à. jo et 2" Non. Vous pouvez faire i i connaître la situation au directeur du ser- I «; S vice de santé do la région dont dépend | H i votre iruiri. i Etaitt pour me remarier sur la An ds ! 31

Je suis Shtré dans une adtnlnistration comme auxiliaire aux appointements de j 30 îr. par mois, etc. j v

I R. —— Vou'o avez tort» , *' Ù. concernant ce qu'on doit ou ne doit

i pa* tartes aux prisonniers de guerre ? R. — Nous avons publié cinq ou six fois ■ '*

S des indications que nous n'avons pas îa j plate do reproduire chaque jour. I c ; i':ïa femms et nu>s deux filles étant dan3 j P | ls Marne, à Viliers-Marmory, canusn de ! i Veray, etc.

R. — Votre femme n'a qu'à demander j ti ï un sauf-conduit dans la. localité JJÙ elle ' c\

| inquiétée dans ces conditions.* ' ! g ftten mar! doit repartir au feu vers ie \

! 15 décembre, ii rue demande des vêtements j f i chauds ot le nécessaire pour partir, etc. j

R. —- Du inomont que vous ne pouvez i * I fournir à votre mari des vêtements chuuds, I £ j l'Etat doit les lui fournir. | Etant locataire d'un logement dont Je | 5 bai! expire M l"' avril prochain et ayant : , ! retenu un autre logement, etc. j Oui. i Ayant ua leyer de 192 îr. C-AT an, mor

mari ayajit 60 ans, etc. f i 1

j R. — 1= Non. 2° Vous bénéficiez du d étal-on m'a obligé de quitter mon domicile t

| sans aucun motif parce que je porte un j

R. — Voue pouvez agir en dommages-in- |

i Ja suis fiancée à un jeune homme qui a ! été appelé pur la mobilisatten Me fa.ut-il i ; attendra uns année complète, oui ou non, i !

, i puisque te divorce a été prononcé en ma j . ! taveur ? i ' , I R. — Oui.

Peut-on écrira et avoir une réponse dlune j J . S personne, etc. î , I . ft. — Oui, sur carte postale, mettre l'a-

j dresse et adres-ser par Pontariier-Bàie. Oc-[ eu pat ion ulteraonde

. j >î3 suis do lu claiisa ISIO, etc. f ! ! R. — Adresse:,:-vous au bureau militaire i1

! ; de la mairie, ou vous auroz tou3 les ren- i i seignement:? I '

Ma femme ayant été évacuée, etc. î R. — Adressez-vous au comité des réfa- i

: | glès, à l'Bôtel de villo de Nancy. I ' D. de plusieurs militaires ralatiwa a U.

» I R. — Adressez-vous aux officiers j î payeurs qui vous renseigneront. 3 j Propriétaire récoltant, pute-je faine venir i * du vin, etc. ?

R, — Oui, ii vos frais, biea entendu. j Etant mcbtiisé te 1" août, résidant à Pa- » I ris, ma femme ne voulant pas rester seule, !

" comova étant encointe, etc ? ■ ] R — Si votie femme est indigente, elle

j peut obtenir l'allocation on fais ont uaie de-j aiunde à la moula de résidence ac- i

Ja «Jonne 330 fr. de loyer par an et paya-\ bte pai mois. 23 fr. 50. Jusqu'ici j'ai tou-

s ! jours payé régulièrement, ete. ? e R. — Non.

2" Vous bénéficiez du délai de 3 mot» Qn «ia présente à l'encaissement deux i

6 ! traites échues l'une te a et l'autre le 10 j août, etc. ; R. -- Nous avons délit expliqué que rtn-

*" • térêt était dû de plein droit, mais nous j avons protesté contre te pratique des ban-

* i ques de ne pas présenter tes effeta La j '•i situation n'a pas été prévue, elle mériterait l

j d'être tronchite par les tribunaux. j <îe suis en guerre depuis te 7 août 1914 !

n ' et mon domicile est h feordenux, etc. M R- — Nous ne voyons aucune disposi- I te ! tion légale voua permettent de toucher une |

| indemnité. Vous pouvez toujours faire une ' demande au maire de votw ville.

H Aysnt été mobilisé Se premier jour Se îa j mobilisation et étant réformé n* 2 depuis

e, j te 5 novembre, suite de mes blessures, etc. v- i R. — 1° Nous ne voyons pas co qui peut r- : vous empêcher d'aller rechercher vos effets.

J £« Vofre femme a droit a l'allocation » ! pendant huit jours après votre retour.

j 3e Vous ti'aure-/. plus de visite à passer, te I Suîvant qu:H est fournisseur ou client, ta mou patron mobilisé as voit opposer le a moratorium d'une façon différente, etc. i i R. — Pour répondre à vos questions il |

faudrait résumer toute la législation parue ! è_ drtpui» te i août Nous sommes débordés ; z. par la petite correspondance et regrettons ! r.*; de n'avoir pas la plajs suffisante pour vous j ^. donnw des ladteation» que nous avons dé- j

| ja publiées. U Etant ds la slaate 1895 et ayant ei». en- | aj faute, extete-t-il une loi qui roe ferait pa* j >n ' ser dans la réserve de la territoriale d'of- i le i flee et & qui je devrais m'adresssr ? ar j R. — H n'y a pas do loi ea co eens. Le «S ministre de la Guerre vient cependant de r- ; donner de$ instructions pour que lee nom. j Lt, ! mes des resàrvas en service dans la aane i

^llUIM^IWyiMtl>_<lll>ll>lll(ilW<M«l»rilll^^

de l'intérieur soient Immédiatement placés 1 dans la classe 18&», te plus jeune de la j réserve de la territoriale. Donc en dehors | de ceux qui sont actuellement aux armées i . et qu'on ne peut rappeler, les pères de six «g enfants vivants qui ont été Mobilisée seront H momentanément renvoyés dans leurs foyers si dans leur subdivision las hommes \ de leur arme ds te classe 1892 dont lis doivent suivre te sort sont encore dans ci leurs foyers.

Mon mari est engage volontaire pour | la durée de la guerre ; U a été réformé n° 2 au bout d'un certain temps, etc. HjE

R. — Vous avez droit à huit jours après CS te retour. *r

Etant sujet allemand, puis-je contracter j j., un engagiiment daiu la légion étrangère, ■ v

R. — Oui. i ^0 Je mets ma charrette dans une remise ; ea

voliù quatre ans, aujourd'hui la proprié» j qi taire a vendu la remise, etc. al

R. — Si vous ne payez pas de location • vous ne pouvez prétendre à un délai de ' ri prévenance. C'est une gracieuseté qu'on ni vous a faite. On psw vous la retirer iu

Une tecataife dont le mari est en«;.'i^é j 111

pour la durée de la guerre peut-elle, mal- . gré l'opposition du propriétaire, donner t* asile à Nancy à une étrangère, etc. j P]

R. — Le propriétaire a'a qu'à signaler i le fait à la police. j d<

Je suis employé de chemin de fer, mobi- j fts'e, touchant mes appoiritemente, je suis père de trois enfants qui depuis te début A.

de la guerre ont été évacué;-! à Rpernay, etc. ! R. - Vous pouvez à la rigueur, vous

abritant derrière le moratorium des loyers, j * ne pas payer votre loyer en ce momont, \ %i

t mais i) faudra le payer après la guerre Ëxlste-t-il dans te département une mai- 1 U

i son qui connaisse les noms de tous les c<

R. -' Non. j i Men mari ayant fait huit ans de services ' ; comme srrrrept-mr.ior, etc. j i' i R> — Vous ne Is pouves paa. i S

Etant voyageur de commerce, dé»sir»ui U

■ de reprendre mes voyagea dans l'intérieur j ^

| ^-"iMa^r^sau^oaduHdevillewi6

Etant aotueiîement a«?ss travail, étant i a ; en location, payant un layar annuel rie i d ; eOO francs, etc. ; B ' . — Voua d'.rvez faire au greflte de la o • jUsuce de paix une déclaration d'après ia-

J'83 acheté «n location avec promess» de h

; vonte un terrain. J'ai déjà versé eur Ledit 'c

terrain une certaine KO urne, etc. R. — Si VOIES êtes mobilisé, on ne peut •

i l'en contre vous, u faut faire un testament : < : au profit de votre femme j c

Etr.ïtt mobilisé depuis !e l" août, je ton- i ; oh» _ de mou patron la moitié ds mes ap- |

I R. — A notre avis, non. { i i J'a» comme Icsatalre un ménage : un ' <

! hoiajïie et une terama teavaiutent tons les ' t

\\. '- $$» en re muaient. | ] j A dut îaut-S3 d'adreisser pour emprunter i ; 200 ou 800 francs, etc. I c

R. - A un notaire ou à un agent d'affai- j a

ros. Je suts propriiétaira, J'ai un locataire

: dont l*ahnie finit au mois de mai prochain, : !

i R. — Oui, vous te pouvez. Ayant une propriété qai a été vendue ju-1 i

i diçialremeùt il y a six mois, etc. i R. — Voyez un avocat. j '

J'ai une locataire vivant maritalemant ; I avec un nom mobilisé qui travaille, etc. ?

R. — Pour le moment, votre locataire hé- ! i ! néficie du moratorium si la localité que i ; vous habitez a entre 5.000 ot 100.000 habb j !

j Ayant des soupsans sur vn commerçiust, ; 1

J R. — Prévenez te commissaire de police, i ' I Comment doie-je écrire en Allemagne ? 1

li. — Envoyez votre Ut ire a i'Associutlon ; i ; espéras)liste universelle, 10, rue de la 1 i ■ Bourse, Genève. Joindre un couoon iuter- i i national pour la réponse. \g

Je suis locataire dans une localité de ;t

t ; 5.000 habitants, payant un loyer annuel de ;J

050 fr., puis-je profiter du moratorium î 11

R. — Non. « J'étais jardinier, marié, logé, doras uo i !

i village, je lus évacué, etc. ? '>* | R. — Du moment que vous avez un enga- ' i

, gement, môme sur papier libre, ii ost va- 1 > ; i alite ot vous avaz le droit d on exiger i'exé- , | cution. i Pour la naturalisation, rien n'eat changé. ; <

J'habite Giiambisy, j'ai été mohiiisé te i j 31 juillet, etc. V H

R. — Nous ne pouvons malheursmsemeat ! f I vous renseigner. Essayez d'écrire par la i

Suisse comme noua l'avons déjà expliqué i ' I bien des fois. j j

Demande par des terrlîortawx MI sujet i r des ai'iets apportés par eux ï [J

R. — Nous avons, ciani» une récente cor- :

j nespondanco publié tes prix d'estimation -,:

- j des différents effets euivom, leur poiils, leur , \ talte, leur qualité. Noijut n'en savon» p«g 1

| plus. i En ce qui cuncerrie te demande d'alion-a- ; - j tion de Ut fonan* de l'un do voua, cette der-. i ntui'e peut s'adrabser au préfet pour récla-

mer. - j Demande pur D. C. T . R. — On ne peut vous forcer, à notre I

avis. Mais il semble qu* vous auriez Intérêt I à te faire. j Marenam* de aofs mottntn» du orenuer !

- jour, j'ai à payer à îa Tréaorerle général-». ' II ate, J ' ; j P.. — Malgré tout notre désir de vwm &VN» '■ j agréable, nous n'avons ni Ks temps ni la

0 | place de répondra à vos deux pejfea de cou- :

i saltattoa. ïouej nos regrete. a j Peut-on exiger «te te (anime dlsn ds ras* it j camarades qui sttt mobilisé depuis le début '•

i de la guerre ls patentent immédiat des iav ^ j pâtË, etc. ?

| R. — Nous ne eoanatesons p«» da dis- \ 1 ! position spéciale aux impôts. Mais comme I & | ot) ne peut faire contre la famille d'un I

i mobilisé aucun acte d'exécution, cela vise * I Évidemment tes impôts comme te resta. !

a I Titulairs d'un livrât rte caisse d'épargne, ■« j pourrais-je toucher, etc. ? I 3 R. -- Oui it 8ur quelles (twisnaïlons ont été évacués 3. tes. pensionnaires de te maison de retraite n des vieillards, à Charleville ?

R, Nous Pignorous r- J'ai an locataire payant 20 fr. par mot», I t, comme le mari n'est pe« la, j'ai donné com-ie gé, ate, ? ^ I R. -- Vous ne pouvez te faire partir en il i ce moment §s I D'isi huit pauf», je dol* préveuu mon jg, j propriétaire- que* je quitterai «uo apporte. ut i ment pour Lu tin de mor apnée, etc." ï é- I R — Vous ne pouvea pas faire ce que

j voue nous dite» ; a- Désirant passée Se brevet de chautfenr-a- i conducteur d'aotomobliefl, estete«t-il h N&n-f- cy, vu les circonstances actuelles, un ga-

rage qui puisse me faire obtenir eedit bre-> vet ? ie R. — Vous pouvçs yni» adresser au pra-a. aident de rAuioybileClub lorrain, M. :

je ïhirj, ^ -~"«-» (

à l'unira H Farinés p -- ""■ qu

Les nùlitaires dont tes noms suivent sont tai cités ù l'ordre de l'armée : ■

; fai corps d*arma» | dé

Mathieu sergent au 102e rég. d'infante- ^ rie : a, malgré une blessure,.continué de „ conduire sa section à i'assaut (Urdre du „ 85 octobre iSii.) en

Ducornet, oapitame commandant ia 19* bataillon de chaasears : succédant à trois . chefs de corps taéa à l'ennemi, a montré la Plus granu» énergie. S'est emparé de vive . ïoroo d'tm point d appui de l'ennemi et s y est maintenu maigre toute» teu» convre-atta- : ^ ques. Dlessé doux lois sans consanUr a j abandonner son commandement

lions, lieutenant au 9»* rég. d intente- j ^ rie : ayant prte sou» ie feu te commande-misnt d'un bataillon, l'a conduit vigoureuse-itw,ut ttau» uu© aitaque do nuit ou il a été ; mortellement blessé. i

HïlaiK», adjudant an 151» rég. d'infao- ; u

terie : a réussi avec sa section à prendre ■ pied sur un glacis battu par l'ennemi; btes- j sé mortellement en dirigeant l'exécution des travaux u approche, au moyen desquels , ii voutost pi-o^resaar plus avant.

(Ordre au X) octobre i9U.) Rosnord, m;«aciial des logis au 21* rég. i

da dragon» : atteint an cours d'une recan- j . aatesanae offettaive, par une baJle qui lui a traverse la joua, a rempli intégralement *»* sa missiuu avant de songer à se taire pan- ! " fer. | 1

; MaUiieu, serger,t au 1C2* rég. d'inian- i terio i bi,is;*.é au liras dans une attaque, a. *

j continué, sous un teu violent, â entraîner j n i sa stiction en avant i

(Ordi-e du 29 ootobr* 1914.) j à ! Bnnonnet, capilauie au 150* rég. d'in- '. o i fantatie : officier plein d'ardeur et d'éaear- j 1* | gie. Blessé te 22 août, a rejoint ie S0 sep- ci '• tembre sa compagnie, qu'il a maintenue j ei > sur une position battue par un feu violent ; d ! de l'arulterie ennemitt (Ordre du 30 octo-: br* 1914.) , ,!

( Garnier, lieutenant au 5* rég. d'artii- ; ; terie à pied : a fait preuve d'une grande i ri

• sous un ieu violant et continu des fractions i d'artiiierie sous ses ordres. i d

Bonueau, 8t>us-lieutenaat au 4* rég. de i i dragons : choisi pour exécuter une tecon- 0

j naissance particulièrement diflicile, ordon- j l née par ie commandant do l'armée, a réus- j a

j .si à ramphr sa missioa malgré un peloton | f esnomi qu'U a bousculé. Légèrement blessé, i b

. (.Ordre du î" novembre ï&ti.) \ Isasrtina, caporal au (>ri° bataillon de !01

; chasseurs : dans les combats du 5 au 14 P ! octobre, a tué cinq Allemands et en a. blessé ri

'• plus de vingt autres. (Ordre du 23 octobre °: i 19Î4.) |f

Gour.il, colonel commandant te 2* régi- ■ « " ment do hussards : s'est distingué par sa j "

bravoure m toutes circonstaiicos, «n parti- | 8 I cuiter au combat du 7 août, où ii détruisit ! , ! deux escadrons ennemis et s'empara, après : c

s un très brillant engagement, d'une auto- <r ' mobile centre de renseignements, j Brochette, caporal au 2S" bataillon de : S i chasseurs, « belle conduite et belle attitude jj • au feu ». I û

7» Corps d'armée î r j Papilîard, capitaine au 02* régiment d'ar- ! p ! tlîterte : à un premier combat, a mis sa ; £ î batterie en position sous un feu violent, y i résla son tir avec la plus grande exacti- ^

à tude et contribua à imposer le silence à j ^ 1 5'arttîlerio ennèmia Dans un nouveau i a combat, a maintenu sa batterie en position i ; pour protéger te départ de toutes les bat- A

tartes voisines, continua jousqu'oa dernier ! moment à diriger son tir avec te pi us ! " f rande exactitude, malgré la violence du ' £

j feu. Ne cessa de tirer que sur l'ordre qui i (i j lui fut donné et ramena sa batterie en i J I arrière dans le plus grand ordre. (Ordre i c' du 18 octobre J9U.) i Dordaine, sous-lieutenant de réserve au j A

i S2'* rég. d'iirtlllerie : a amené sous un feu ' ; violent une de sas pièces à 800 mètres de j j ! la lisière fortifiée d'un village à l'enlève- ; t i ment duquel il a puissamment contribué, i • | (Ordre du 28 octobre 1911.) j Juguet, capitaine du génie à la 58* divi- i !sion ; Massiu, sous-lieutenant au 15* ba- ; : taillon de chasseurs, « dans la nuit du 13 ! I

[postes allemands une mine* qui, quelques j ;

| Rousseau, chef de bataillon ; Jacquet, | !

'lieutenant ; Champarnand, sous-lieutenant; j j : Flayeux, Vasselier, sergents ; Mougel, soi- ' 1

ï dat au 152* régiment d'infanterie, « se sont i i distingués pax leur brillant courage, ie 20 : i septembre. » i i Nurdln, caporal au 15* bataillon de chas- • ' 1 saura, " ayant reçu la mission de recueillir 1 ! sept de ses camarades blessés, s'est sacri- | fié pour chercher à assurer leur anteva ;

i ment, faisant te coup de feu jusqu'au der- j '

Picard, soldat au 5* bataillon de chaa- | seura, « a assoiruné d'un coup de crosse un i

' faritassin allemand qui mettait son liante- i nant en joue »,

. ; ï aequo t, liautenaat au V&* régiment dis- i

. : fanterie. Champartiaud, sous-lleatenaat ou 152" .

i régiment d'infanterie ' Playeux, servent au tBS* régiment d"»a-! fan terie,

' S Vasselier, sergent au f$& r^teoent d'œ- ; ! fanterie. ; Moagâ, soldat au iSSf régtrneEt dlnlao-

i j terie. k ! Se sont distingués par leur brillant cou- I

f rage te '20 septembre 1914 (Ordre du 24 j . i octobre 1914.) 1 | Cnsenior. adjudant au 15? régtm»st tl'ln- ! • ! fanterie s ! Boissenou, adjudant au 152* régiment ' , ; d'infanterie. ' j flobert, caporal au 23" régiment d'iaion-

I terie j ©lévrier, soldat au R» bataillon ie ohsa-

s i saurs. t Belle attitude et eouregs au feu. (Ordre « ; du H octobre 1914.)

{ Lailemand, capitaine au 5* batasSon de - chasseurs. s JRohet de la 3aume, lieutenant au 5* ba-i I taillon do chasseurs. • f Roussil, lieutenant eu 5» bataillon de

i choassurs . , j Martin, adjudant au 5» bataillon de chas-' j seurs.

1 Limpater, adjudant au 5* bataillon <te ! ohasseara

8 Diéuer, caporal au service de santé de » , la 4P division.

I Belle conduite et courage au feu fOrdra | du 19 octobre tî>14.)

Is ! Queney, sergent au !»• bataillon de ehas-,1 sou.''* è pied : la !<> octobre, ayant une es- I

oouade de m d«ml-section en poirt» au con- ' B . Huent de deux rivières et entendant des

■ couw da fuwll partir de ce point se noria 1

j bravement en avant pour se rendre compte ! u ' de os qui se passait. Accueilli par une gré->- j ie de balles, n'en continuant pas moins -

l su reconnais^anoo, tomba mort*llemeni e.t-• teint, en criant : u Allez dire au Ueatenant ;

i que les Mlemands s'avancent en nombre r. à la passerelle B i. (Ordre ■ -rrs 1«i)

up3 d'armé*

| train ef de courage, bi.as&é te*2fi*octobre"ea

supp « ut un camarade qui venait d'être tue sons aes yeux.

Julien Lucien, cycliste du •»• bataillon de chasse u - i au 90» ré», d'wfantarw,t agent de liaiaan cycliste ayant toujours accompli fca mission avec courage soi.» te feu le plus meurtrier, et à quelque heurt» que ce soit. Tué te 20 octobre eu traversant une zom- signalée comme ntoartstla

Jacquessoa, capitome ou «-tt* rég. dira» fanterie : te T aoOt, a, ave<' son peloton, délivré une patrouille te Hussards, qua était enfermée avec un officier btoasé dans une ferme et a ramené un prisonnier. Le il octobre, a cheasé avec sa cutiipagui^ fnnemi do ia partie nord d'un village, s est emparé d'une pièce de canon et d'un cais-son et a fait de nombreux prisonniers. A fait preuve en toutes circonstances, d'uns rare énergie et a toujours brillamment con-duit sa compagnie au cours des différents combats, ou ii a été blessé deux fois, son* », en abandonner le commandement. te

(Ordre du 29 octobre 1914.) Baranger, sergent au fl'J» rég. dlnîant*

ri is. Leboauf, soldat de 2» classe aa 99* rég.

dTnfauteiie. Jourdain, sobiot de 2 ♦clas*o ttt VOT réf.

d*infanteria Au cont.ixt de l'ennemi, ae sont porté» «a

avaut pour couper des fils de fer qui gê-naient la marche de la compagnie, et ont continué leur travail scus un feu des plus violents, jusqu'à ce qu'ils aient été tués,

(Ordre du 29 octobre 1914.) Baussô, caporal au 09* rég. dTnianterte :

SOUS u» feu violent et en terrain découvert s'est porté a usecours uo son lieu tenant grièvment blessé, l'a aidé à placer son pa-quet de pansement et a transmis ensuite im

(Ordre du 26 octobre 191 i.) De Lattre de Taasigny, lieutenant au 12»

régiment de dragon» : a exécuté plusieurs reconnaissances périlleuses avec une au-dace et une sûreté reniarouables. A eto btestté une pieuiièie fois d'un éciai d'obus te 25 août. L'a été une deuxième fois d'un coup de lance, s'est dégaé de cavalier» ennemis qui l'entouraient en ea tuant deux

Ravhiet, capitaine au 168* régiment d'in- *°

Abel, médecin-major de 2* classe au 356* régiment d'infanterie ; ...

Renard, sergent-major au 226* réiginent

B»!te conduite et courage au feu. (Ordre | du 19 octobre 1914.) | Grapasy, maréchal des logis au 31* rég*

I J, jralfcf!a **œarecnaI aes ios15 au **ft (fr

j Bcâle conduite au feu. (Ordre du 26 octo-; bre t&14.) j Thoiaassln, capitaine au 2e bataillon da

.sien qui ont1 eu le plus heureux effet sur : les opérations ; contusionné par un éclat : d'obus, ast resté a la tète do sa coinpa-j gnie ».

Coupe, adjudant chef au 2° bataillon de ; chasseurs, « adjudant chef de bataillon, a, 'depuis te début.de la campagne, témoigné id'un dévouement inlassable. Sans cesse eu 1 l

Sonnant le plus bol exemple do courage e» ; d'abnégation ».

Hugues Le Roux, sous-lieutenant au 355* ; ;' | régiment d'infanterie, « a fait preuve du ' plus grand courage SQ s'efforçarit d'entraî- ; | ner, malgré un feu meurtrier, sa section à

T attaque des tranchées ennemW • r .''-" ; blessé irrièveaiii31^* cr < | ds jsè-h • y. a* .t.. .' .

: A

; ment . Béa' - ■ • ».« it as v?* i S- mt tht

| ment "• ., e Q . . ' Ciieî - : .. J ' 'égi.

Imeutd .' •• bi^mt, ,•.!..... ^ù' i d'une bai> a i . „uis*e et a danué Iter-'napi. • id'uncour , < aime et : '-.v, r --. :■ \ ce le piruj

Julien, t - «à |d'artillerte , tgiment d'bnl • .. me-nant au 257 ^ . a intanterte ; Tho Bdnet, lieutonaoï au 60» régiment d'artilJe- —

i rie ; Renard, sergent-major au 228" régi-' ment d'infanterie, « belle conduite au feu »..

Simon, sous-lieutenant au 2ti* rég. d'in!. 3 i pendant l'attaqua de nuit du 13 octobre,

a, par son action peo'sonnelle, entraîné sa ' compagnie qui a atteint l'objectti assigné j | a été blesse à ta fin du combat et n'a con-j senti à aller se faire panser qu'après avote i assuré l'occupation de te position conqui-i se ainsi que îe commandement de sa corn-! pagnte et donné au chef de bataillon tous rB

S Grandjean, médecin auxiliaire de résear-'• ve au ItîU1, rég. d'infanterie : grièvement i blessé au moment où, malgré un bombarde-i ment violent, U continuait à doiurer ses I soit» à des blessés. A fait preuve, depuis : te début de la campagne, a on zèle, d'un I dévouement et d'un courage remarqua» i bies. i Caroujat. caporal au 09" rég. d'infante-! rte : poi-ttiur d'un ordre pour son chef da j bataillon, l'a trouvé, à la tombée do la

nuit, seul e! blessé grièvement Malgré la j proximité des Allemands qui lui criaient j de m rendre, a pu te ramoner jusqu'au vil» ! lage voisin sur une brouette.

, ' Regy, souB-u«uîeoant au 79* rég. d'in» i tanterié : ht#sj sur tout la corps par an

' re». est d«meure â son poste jusqu'à la

j IgkHsls. sous-lieutenant de réserve as ' Î56" rég. d'infanterie : blessé, dans la nui!

J riait pendant toute la nuit et n'est allé ss i faire panser qu'au marin.

Merpu, adjudant au 79» rég. d'infante

j chef, raftiant autour de lui sas hommes décimée par lo feu ; est tombé mortelle-ment frappé au moment où il prenait pied définitivement sur l'objeetif qui lui étaH a;is-igné.

Chevfier, eerg*nt-fourrter au 69° rég d'infanterie : chargé de ia transmission ~

. d'un ordre à son capitaine, a exécuté as r>:

iri :!,:or -j.j f'i* vi ! y-% d" ï * ^

teiteincnt en arrivant à destination et "' malgré sa btes^ure, a transmis verbatemeni

6 l'orune à un camarade en lui disant : « N* t'occune pas de moi, prends l'ordre d'à bord, g

Eiley, soldat de 2* classe au 69e rég. d'in 6 faaterte : conduite admirable au feu. Bîes

sé grièvement, s'est employé jusqu'à la tk 9 de la journée à répartir entre los combat

* 1 Cousin, soldat ue 2» classe au 69» ré© d'infanterie : blessé de deux balles, apru

l' ' avoir fait preuve d'un entrain remarqua j" i bte, montré un modèle fie courage a

* I Perrenot chef de batailion ou 20* rég ' d'in fente,-ie : a conduit avec la plu* grani f courage et avec beaucoup da vigueur m l détachement qui a fait à' l'ennemi 88 pri * ' sonniers ei capturé un convoi, ït ; ^.fenancier, chef de bataillon au 26* rég

d unan^ene : étant capitaine, a conduit soi i detachameni avec la plus grande viguem | ei un esprit de décision remarquable ; «

capturé un convoi ei fait 50 nrteonniera. WoîiteT, chef de bataillon au 36' rég

d infanterie : a, te 25 août, ramené, som n un teu viokmt d'infanterie et d'artiîleris ™ >. son colonfiî blessé qui, mfajJJiMeroeat, fmKl' i- rait tombé dans lee mains de l'ennemi f n dont la iontre-attaque prenait é» Wi: '

Page 4: EN ITALIE jj - Kiosque Lorrain retraJit© est fatalo ) et prochaine > Oans de» efforts aterilee, rAlfom.xgne a j épuisé s«?a réserves. Les troupes quelle forme aujourd'hui i 1

*u &|gn«l de» Allemands a dan* l» •■ f/rant* combat* Livré* d«j.>uur- po* ^ B

(i* doDt Wi I" !M"tlHMl>Jj|e), tan Pr*»uv* uu f (lu* grand courage »1 Ûouné » SOUS W SI

lue i il i'UT eieiuplê de sang-froid, à De roiitointeu chef do CmtaUlee **» i &

reg. d'infanterie : a «u ont aitltua» su- , pf -tx' au (eu Etant bleus»*, a çot»pi<ârT« !« , » CO'iwnaudeineht dis son batallint. punuo u. . {54

qu ilrv neure*,, o^ft p*** vou.u te io« ai < U 6VH.U49T fui le ponte de t.ut«JU_i"> cl a (noon- • i tenu sou bataillon sur b> position jusque; 1A il cr mer* oMniiiKA ; ai

Honon. die, "* uaUiidoti *u l«r «g- i b d miaulent : ayant revu. 14 août nu nui' | j lin Ui uiiv-ion J« conduire a i'»Mat«i« deux ; d COiupagniee Ue tun bataillon, a fait preuve ; du pim grand ralme e» d un t-ang-li'uid I

C " r»ir«irqu<ibk' »ous '■» 'eu violent ue iui i0, far'ene «nuoinim A su, par »Of> attKuûe, j r ftiblir l'ordre oi la e»h«aton daus eeruu- j p n** fractions dt son i>«i.<Aiitoi> pai»^uue- j g reniant •tyrouvéea pendant it biansierde- . ^ -n-m u un bot* par 1 arulksra- ennemie A i a éie l« « août « a réjouit fcua U*- (( taillon lés le 14 -septembre,

(■uiiliot de La sarda iliei oie bataillon au

ui./iM? continué à awkursi normuleniont . toi: servies d adjoint ou l«ei clf eueps, sans .'

charKi I en'ieiiii a plusieurs r^vn'at^t- pour tl-M.'aiior un detachëuiettt d un nuire reg»- b (rent »t a trouvi la ni oit «ans ce combat, t.

liai • ■•■ipitu me au 146* r*g d inlantci le : t très brUiante ^ondulUf au ieu, au tombât «

coii'nuandauMni juaiju'fc ta ntait* dis sas ( loi ces , «

lie : brillante conduite au Uu, au coui- j t

ani Us »i août, uvee fx«,iiuiiwi,^ » t [

bitrssé depuis (Ordre du 3!4 t«;tobre 1914.) I

bardemèni violon! et eu dtftui d«* atlauuwgi !

a .*« faije panser qu'à la dei'nière «xtré-mrté.. (Oi'dre du octobre 11414.1

21* cnrp» rt'aj (fiwn j Bourrât. eaporaJ au &,r l»atai!i.on de cbasl /

réussi S pénétrai en rampe ni., i, la laia- '

du 28 o<r:<ibr«; IVÎ14 ) Paysan t, sergeut «,u fj?« bataillon oe '

P&y. nie

norubi^uji biotftsé^. bi^»^*4 lui-ni^a»*, a ruthe ; en tfoups, l'a rtisïwsuéc &H fM>sittOT» ©1 !

L'ic. e.'<.pi*rfti au 57* aatailKm île c^.'uv

res'e *^ur ïa Lgrws f^n «1 (î ce?itinué è i ««MiiuiunOor ea U'5fijN«y N» s'«a (ait «niper- | t©r -^'.i* lorsqu'il a été fetwati plue grtév»-

(Ordre au i(; o<"taKt»rns t5rS4.) P.dinei'jUi.n. .rwîi iv© !»at.inlon an ?T* ba- j

tailion de cbasueun» : a toit preuve aie la ' plu*) grande âneigle en tenant cea tra«-

«béa» pendant dix-sept jimrs avec so ba- | taille»!, «u résistant s toute-» lies, attaques 1

«t ea pnBi&nS vigoureusement l'offensive j <r*tfc« trois «ompagiues de son bataillon.

larilkriV eaptirài m 10" batailloa de j )

à noire artillerie éa prendre wUr eattone eoua *>u fou lUa*«e «l« trwt» eoiaw o ouu..

yiî'ilrî» ^ tMtiv~j3c ,J 1 le v ♦ilwi-.îtl ai- IJ

«jaraiierie e» rea «itaat à s*' camarade» i ei l'orgeat fju U peftaédait. ! *»

Caserla, -joiiia'. uu iO" bataillon d* cîia»*- ] f.tf.M'?, u>Hiiié i>8j Auite îi» une t,i**5w-i»nr au t brs-a, s ert i%>iavo p,wu cn«i à tMe CiUi.aru-dka : « Lu àvriiu ! >. e>t es>l îelo-mué U'ap^é ^ d'ut» douJwc-aiK- Italie

t'<spire, soldat au rég. d'infanterie : j clwl <ie pulioii.ll», a itxaunu dan» d-àe e.sr- |

ifouT^saÏin tu laplpXV,un^^lJ^ *• put vji,. »'"IJ " ° r" '"f y >~ . M

;t> «tcioloe î'Jli), l)i:i.aiie, oùpUiUne au Sï" bataillon d® |

akaaseura : uaja cué à l'erdre de l araiée j pu-ui eu b«Û<s oanduite nams un preuuer i 1

Ouix^at, s'«5»1 lie s»uvoi»u «tiat.ligue MD S é- Il laiieuiit à I aasaut av»* u*Kr Cuaipasjait de

njfUre du lS ocltfiii% i'Jii.) | ^

j fcriglue : act.i ot cievoué, remplit eea lune c

| UftwBr.it s^i lu iatigue, lu ikfi uiUiouiU).-', ai le « I <iKii&sT. À la.il preuve «tans bu; lui- «ngii- l. j («uiiouie "e piua grand sang tfoid ci ou i i pjus graad courage eu aUuut, WUB le Jeu, t

p^i f^i «ui cuda eoipo l«s oidrea du t eetumàbdiut uo la tj»'i|ja4e s

' «le l'ttuaeixu et tué un ustutrasa lie» auergi- j ! ■■Jus-fn-'iil la «H"!vtiv-, ii Ut ;.■■ .-!..,.■,'■ qu'ti oe-

! maudail w le plu>> grunà s&ng-troid. au

; coinboi Le beuUtnant, trots ebrf» de p^eoea I f ei unxim'jiiuial un Cfeisttoiv. quitta aon po«te I i d'e>i«*ervation, S8 précipita don» s& batUirie

j De Cadoudal', général d, brlgwte, c«a aiM.ndan( la 13* diviaton d'uifaxiterie, a I

J montré de la vigueur de <t -.r..-!/ et i ! rbablleié saiis ît ctîiftmajid<AU d !

. ( brigade dan? eircon«tarjc.g* lej. plu> dit i j ficile». lus 3, 4. 5 et 6 octobre 1914. (Ordre , i m -,<.'Ot'"e 1UI4 1

i ohj»jfl»*>urs : a é*.é Uié uiîtrtïfnan.t aon ■ ! Mir»Uin à î'at*.ji<çws, le SB aodt l*8ta

vogin, tleutasi.tnt *n SI* batedtToa As i ■ , ctw^ei'nrrfl : g été trié en witroînarit eoii !

. pApiton A rasas-au"?, !e a*i^t Ï914.

[ Mim : u été tué erj «vntuoanî la retmite j du batjiilion l« W »o^t ti*14 )

Bo«\, saus-Heatenant au ST* hataitton da % «h-sww» a tue •i'm: éeUit J'obus '

j rjona ia tmarlièp '£) apptwwabttit tï/"t4 au ! j snement ou se dressast he>*"8 de la trun- I

■ } *ibért U latf*aiî de** «i^Tiic'.ir> pe*jr eorri*je. ' i : »ondr<r 8vw.' R«tre art-!nt*rt*e

Pe Mirlbf;!, s«us-ll<>ui«R,<iRt au 81* batolî-îoii de ehas«etirr. pied : e'wst (Usthlgaé j

i j par «on mépris du danger, son coup d'oei! ^ «t par s<m ascendant sur ses hommes : 1»

j Le 21 août, a tenu ea section pondant cinq s | heures sous un feu vfcterd- dev.inî une in»i

Iruiten* suiperwors en noaibrS i ■** 1« 5 g' ooiii, a dii igê W feu de sa *evuon duxi* uo <p

sous un feu violent ' 81

1914. 'i '* u

?1* foat!' 'su- * d* <j!-'.r.e*"i> v

Pour leur iuii»«o e". bfeaf bi^voiue. (Or- p dré du «i oewbrt H))4.»

BtvSisiun» «ie «««««si «a

! Adr lan, metkM'ui aùxUlaire au ^groupe

j b«|l« conduite au f'.-a. Ifùràn du 26 oouJtaa ; 1»H.)

AU j ^

lîâiiï"II! IFUffîlIFIII I ' | |AB«B&nlj y Sfc »W ii» ^'ï U 5Î ' 1

Sont inscrits aa tableau spécial de la J ^ Légion d'b-maeur : I L

Puor le fcFiut*? d'oiiicier. — Bwiuiclaire, ! ! i chu' d e.ma.ïii on au 1)1.^ n artillerie.

I lieutciKi^it UJU le1' ré-g, de chae. LUioreuii, I I tieuiBiiuiit au ltr rSf. de choa. à eiivivai ; i li<;uU3iiant de réserve au TÎT ; JouruaJti rie ; j

j ."'H?'>!i"i.t*l'-î tl -îfï ' TA ::'iiv\r li*me ii' f' •' • ■ ! ch-î^iÊ ne fuie*», a uvre é ciuuu^inte mè-

* l owr.rt>ttï-w, a tï«? u& £!W3t>voa^i bitî&wé grlev*^'

« j pwndamt l« tMuatoujniuiaetit et oe l'a qttiuee n ' qo'S la cel*v*

i- I péf> d'tnfanleetie : a arfîl».aiiu«*nt eomman-i- j dé sa eompn.4jiiie é l'atsaqo* Su <S0 sepw*m-

j bre. A «lontv* la piu* bel e.winpt»? d'éMei*-I- gle et de ruuraga Ortèveufteat bies.1!/* nv,r é j la position «enqulse. au cour» du boailiar-i! dememt du 71 septembre, i» M. Vine (P.-H.), so'is-!ieut*Tiant an Ify* q i>«t'3.il.'on de ctiaweuitt» : a combattu, le ti| la '.»iorùt, -SD t*ts de s» ^er^Jea, avec la {dus

>a,. 11

Ui. feu meurtrie'', ave •■ î*,''.,.'"

paroles ara*** •

. ' il tains .'V>t ''XT ' * Vi ft' i-"'"' ■ îî' ?' '/"é' P". Tii-w^ ri^îfi'vi-"

dp 1 Ppptfeaaiottr _ - l-M ^*

;•• . V •'; ; tenta» les Maladies de la PoifcliM....; - i. %

ft* i

w ;"'9rv'lî (Victor), caporal réserviste au E*

.•s I bat&ulon ne ch««setu» : le IV octobre, a, a I par SOQ esen-ple «t bravoure» entraîné-

"■» ' i

W«V

I - • «atrauUle sens un feu viole» d'à-' ' '

é5rS»r^'^'^tr ù^ru^n ';m-conL"u^ m

j .Caîlni, sergent-major au SW?^ ' - * j';f • t"*1» tel «••.piiftç m

ré oarïïer^u'à la d^rd*--^^^ u*81 lw

imîiot Mie, ««txîhâwes^rtL I* viste av i. -;-m» : grièveim in ele^

lf" ipi

I "^^"n^"^^ càMr*^ Il îSaduel (Jean), soldat de 2* classe aâ'Ta I*

piment d'Infanterie : s'est présent! M éeMST fe?^i deTaimScrTamS I* avec it r^'alm SuuÀ^HafpaS C

îfflc?srr%Ua

ieBr^ *

im Avait dé^à, deux jours auparavant^ «

\-ies unhdra?en^bîiS^ I

cinq jours et que personne Vcsalt rainas.' \ i

"If-oasen (Albert) soldai de 2* classe su 79» 4

dité au miih'u des circonstances lés pttMN

sï1rancnée,Lau^u?d«nr fc

salué d'une mêle, de balles ; s'arrêta, M I fât -- lïoVeï^ j tne t H il v. pi uiT-C, von<iiw o t.tre îeiieite puDiii ■ I iiii«fiwaî par s*n capitaine, lorsqu'il fut I

ble^r-^ de PI^II-Ï b ill''^ r'fïn.^nra sur elâCA SJ

! Censfwai fl! -P.) 5° esrunr.W serras*? t

i faî^a.nt partie de lé^uice d'une pièce pG!\ i aux sr.'rMtVee tranchées do rinfafltWj i rw V renT'l'*eé 'ition^'irémeut ocent de*

! '«-ni e> raiti>ailleiises. A été blss?é d« pi»'; j sieur? hsllea. Avait déjà, le 12 ortobre,

raa&ené na fantassén bijs'-é la veille-aj [ ivùr oue ss^ Tunara/îes n'avaient pu rele-■

. 1 ,<i *j . * IL ., ,.A ^AO n' '1

aiiftHté* fjf voillancfl le 20 «et.» •ri'i!i!<

*1 '• jottrs suivante. A été grièvement

fA ,H . t „ îr)2. réelnîfBi I it'iii'fniiturio • ii- A « j/,-

n jambes pal

I ffrt« A..Î.-.A

i ' ' %

r i Hn Î'I seDtiîtU' brè a osrdinué à e«mmander sà sMtioB pendant plusieurs heures saris vouloir «B«

OiiThM [P A ^ adiudarit au 37* répteeal ii'infpnl ^. î • ■ . . f'.ji oi"eiiv« dUf,

) i ft-lin; h-Hl.i *t r, o..., ÏT, lui ni fia 8**^" ' fie» à V»t'„mUJaprn ->nit'Tf'i ' fartemeal' i

> I ralrwnrhé ne erélè d» bel!.*- BW*

' , . . YfcT,i «n 27* régi"

s m«fit d'infa»teti» coloniale : e™^f^l

M 3a

quer u n*- tranchée «i»iemio.. a ' 9

#JI'

' f "P

u i fmn;. fj br,i:is<i'éaat. ru«i. nr^f; j* .a niam. A reçu ' ' ''. ^ t

* ! ii- ebits. jventie a ■« ji'vereu3* - r'inll^ «J^f* v , « ,« n«°f«Ki viV'i-nt, 1« » e • |, V.,-' Vt é M cours*

' i '°n (i eh- •«» ^ ée P*. d8*51

e ' 2né**:"

rîl'a* V^^JP^^'*'ètrr**^ès* Hn'1

i. j w us pîinait la .ou ■* '° 1 ciblé | ntperbe a«tirage Prl* ' ^

' ! mû<?'a tu fVsp7é%7t^srTaiu. à r<jj«;

a W-nj.JO, U Bte U«PP» v Ko r«*l*rfi 4

u xrLZ^tj, u JL „rr*r*é ^.e hi«««»r*

" . J- . V*^"1)' ?eT'ri«tiriÉfUi. ^•

n,-i

j n»»»nt s nitanMM'is : se.--, ui « u"* léêii 8 le

!r!nîaUtfe^%erav«eif*-q^^ U T K^J It sa. sectlar -d'àTW.t*V de Dm

maint, a onti^afR». sa eectton s- attaqU*

, , . ré^urvi5*4 e l ScteinlfTober if iisrlesl. r«>!d3.t ~<-lVl ... «i» 11 . i.- V . a f»it pre"v'

portant e.n avant ÎÎ&US le ie«, !TV ~. ,mor il I i«n t pour iHsoonn^ître l'ennemi et ""z ^ !, | ser VUM eouvelie 'tran«l.ée ayssçé* 8 , a l s»n escouade • a été blessé d une

| ia «,'Xit.ue. _ :r* Pot»' (CS.-E.), ses^ent ■» '^.Jî.rf •

i de .Gtfte tanfla^tei*^ • " .«ii a pris part *

\* Mni 'i) i=,r a rron'ré une ard*UT r*v*Ti I ESLie Ï W? p^rte crduerle, i- Sert te reo^menrem^sï'it

8^^.

1!'' 1

S* I une «fraude autorité sur MSS l»*****-^ t, j montre la plut? grande èaerçpc i* ! quabi» di,ns les fiernlers COIÛ»3*»