8
D’ICI EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ 58 24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 58 3/04/15 18:16

En tournée avec les RENÉ BINAMÉ

Embed Size (px)

DESCRIPTION

Article paru dans le #3 de 24h01

Citation preview

D’ici — EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ 58

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 58 3/04/15 18:16

59

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 59 3/04/15 18:16

D’ici — EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ D’ici — EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ 60

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 60 3/04/15 18:17

61

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 61 3/04/15 18:17

D’ici — EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ D’ici — EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ 62

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 62 3/04/15 18:17

63

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 63 3/04/15 18:17

D’ici — EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ D’ici — EN TOURNÉE AVEC LES RENÉ BINAMÉ 64

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 64 3/04/15 18:17

+ Un livre : Please Kill Me, L’Histoire non censurée du Punk racontée par ses ac-teurs. En couchant sur papier l’histoire d’un des mouvements les plus contestataires

qui ait jamais existé, Legs McNeil & Gillian McCain ont pris le risque de faire se retourner dans leurs tombes Siddy Vicious et autres icones du genre, pas prêtes à se laisser domesti-quer sous la plume de quelques scri-bouillards. C’est pourquoi ici ce ne sont pas les journalistes qui parlent, mais les acteurs. L’œuvre propulse le lecteur au cœur du cyclone punk-rock, dans le New York des années 70. Un travail titanesque de recollection d’interviews – du musicien au mana-ger en passant par la groupie – qui fait de Please Kill Me le digne pendant américain du England’s Dreaming de Jon Savage.

+ Une émission : Kaléidoscope, pro-duite par ARTE France et dédiée à la Baraque. Initialement projet d’étu-diants créé à Louvain-la-Neuve en 1974, la Baraque est devenue au fil des années un quartier autonome et communautaire fondé sur les prin-

cipes de l’autoconstruction, l’auto-gestion et l’autourbanisme. Là, 130 âmes vivent dans des roulottes, serres et dômes géodésiques et orga-nisent leur vie autour de trois sous-quartiers et de réunions régulières. L’émission revient sur l’histoire de la Baraque et promène sa caméra d’ha-bitation en habitation, rencontrant au long des allées ceux qui se sur-nomment eux-mêmes les « barakis ».

+ Un documentaire : There Is No Authority But Your-self retrace l’histoire du groupe anarcho-punk anglais Crass au travers de ses deux membres fon-dateurs, Penny Rim-

baud et Steve Ignorant. L’un batteur, l’autre chanteur, l’un issu de la classe moyenne, l’autre pur produit ou-vrier, l’un hippie philosophe, l’autre footeux exalté. Alors que tout semble les opposer, la caméra d’Alexander Oey dévoile les deux faces d’une même médaille. Un portrait croisé intimiste et rétrospectif du DIY des années 80 et de ses plus fervents acteurs.

IN NUME-RoS

le nombre de concerts auxquels Marcor a

assisté, dans les valises des Slugs ou des Binamé pour la plupart. Comme tout bon compteur compulsif qui se respecte, ce Louis de Funès des temps modernes a réper-torié les détails de sa boulimie musicale sur le site du label Aredje. La liste commence en 1978 et continue d’être mise à jour aujourd’hui.

13 formations à géométrie va-riable depuis ses débuts, les René Binamé ont vu se

succéder de nombreux « por-teurs d’instruments », comme se définit Smerf lui-même. Huit guitaristes, trois bassistes, un claviériste et un batteur : au total, pas moins de treize musiciens jalonnent l’histoire du groupe.

la scène alter-native belge se rassemble pour soutenir Jacques de

Pierpont (alias Ponpon). Nom de code de l’évènement : Viva Rock à Gogo, d’après la bien nommée émission radiopho-nique menacée de disparaître des ondes de Radio 21. 2 000 personnes se rassemblent dans les Halles de Schaer-beek, 500 attendent à l’exté-rieur, faute de place. Des groupes jouent dans les trois salles. Parmi eux, les René Binamé.

CD pressés du premier album des René Binamé baptisé Vocations.

Un chiffre à prendre avec des pincettes quand on connait les méthodes du groupe, plus occupé à jouer qu’à compter. Avec un trou d’archives au milieu des années 1990, il pourrait y avoir eu un autre pressage, ou pas. Eux-mêmes l’ignorent.

2732concerts

13 forma-tions

29/101993

4175CD

LA JoURNALISTE RACoNTE

« À chaque fois, on m’offre une bière, on m’invite à trainer, rester manger. Ça change des interviews éclairs : trente minutes chrono dans un café bondé. Impersonnelles et trop formelles. »Pour lire l’intégralité du making-of de Camille Loiseau, rendez-vous sur notre site (http://www.24h01.be/?p=2160) ou ici :

3 PLUS

prolongements

24h01_14_RENE-BINAME_SCAN_03/31.indd 65 3/04/15 18:17