Entreprise du mois : BALT W Sept.-Oct 2011 … · la politique gouvernementale des différents marchés en matière de santé publique. ... une blessure, une maladie, un handicap

WBimestriel n°91Sept.-Oct 2011

4,60 € - Réf. C. 114

Entreprise du mois :

BALT EXTRUSION Homme du mois :

Charles Churet

contact114:CONTACT ENTREPRISES 3/10/11 12:58 Page 1


Edito

SOMMAIRE

Annonceurs

DOSSIERL’ndustrie des technologiesmédicales.................................p.5 à 9

BNP PARIBAS - BMW HORIZON -

CARS LACROIX - CCI VAL D'OISE/YVELINES

CEEVO - COMMUNAUTÉ D'AGGLOMERATION

DE CERGY-PONTOISE - COMMUNAUTÉ

D’AGGLOMÉRATION DU PARISIS -

CONSEIL GÉNÉRAL DU VAL D’OISE -

CHATEAU D'AUVERS - CLUB ACE -

CRÉDIT DU NORD - ECOREC - HEXATECH -

ICI & AILLEURS - IRIS IMPRESSION - PARTENET -

UNIVERSITE DE CERGY-PONTOISE -

VALODIS ROUSSEAU AUTOMOBILE

Édition : MF PROMOTION, Agence Conseil en Communication - B.P. 78447 - 95807 Cergy-Pontoise cedex - Téléphone : 01 34 25 97 08 - Fax : 01 34 24 84 83 -www.mfpromotion.fr - Directrice de la publication : Virginie PAVIOT [email protected] - rédaction : [email protected] au capital de 7622,45 euros - RCS Pontoise B 352 519 292 - Code APE 744B - Tirage : 8 000 exemplairesAbonnements Tarifs et conditions (1 an, 6 numéros) 1 an : 40 € - Réglement à l’ordre de MF PROMOTION

Poursuivre, s’impliquer, fédérer

Un journal de rentrée et un édito signéd’une nouvelle main… Pour autant, ContactEntreprises s’inscrit dans la continuité, avecune politique éditoriale qui garde, comme

point central, la mise en avant des entreprises du Val d’Oise, la valorisation des initiatives économiques et des dirigeants,notamment de PME – PMI, qui ont le courage de créer,d’embaucher, de reprendre, et qui portent souvent seuls ledéveloppement de leur activité. Premier journal économiqueindépendant du Val d’Oise, le Contact Entreprises fêtera ses20 ans l’année prochaine et jouit historiquement d’un ancragefort au sein du département. Une longévité rendue possiblegrâce au soutien des annonceurs, partenaires fidèles, qui, pourcertains, nous épaulent depuis des années. Soyez toujoursplus nombreux à utiliser notre support pour prendre la parole,valoriser votre savoir-faire et vos compétences. Les colonnes deContact Entreprises vous sont plus que jamais ouvertes !Dans une même logique, nous continuerons de relayer lesinitiatives visant à fédérer les décideurs, conscients de l’importance des réseaux : Contact Entreprises reste unacteur majeur. La soirée des entrepreneurs, initiée par la CGPME finseptembre, a été un franc succès, mobilisant près de 150 chefsd’entreprises, alors que l’inquiétude dans les milieuxéconomiques est réelle (baisse d’activité, tassement desmarges, durcissement du crédit, difficultés de recrutement,plan de rigueur…). N’est ce pas là l’expression criante d’unbesoin de se retrouver, d’échanger, de sortir de l’isolement, audelà même de la nécessité première de faire du business ? Celadémontre aussi que sur le terrain, le dynamisme est palpable,la volonté d’aller de l’avant est toujours là. Asseznaturellement, cette prise de conscience collective conduit àune implication plus massive des entrepreneurs au sein desréseaux ou des organisations patronales, capables de conduiredes actions de pression auprès des instancesgouvernementales et de faire entendre la voix de leursressortissants. La solidarité entre dirigeants de PME PMI de proximité est bienune réalité, qui mériterait sans nul doute d’être dupliquée àl’échelle des grands groupes, comme le fait déjà PLATO avecles Chambres de Commerce.Restons optimistes et serrons-nous les coudes.

Bien cordialementVirginie Paviot

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DÉTENTE .................................... p. 22

INFOS ENTREPRISES ............p. 16 à 21

www.contact-entreprises.net

Septembre-Octobre 2011 – n°114 – Contact Entreprises

ENTREPRISE DU MOISASWO France, Balt Extrusion ................................p.11

L’HOMME DU MOISCharles Churet, PDG d’Axon ....p. 10

ACE .................................... p. 12 à 14



Un secteur en croissanceLa France représente le 4e plus important mar-ché mondial, derrière les Etats-Unis, le Japonet l'Allemagne. L’industrie française des dispo-sitifs médicaux, inférieure en valeur aumarché des produits pharmaceutiques, ex-porte en moyenne 35 à 40 % de sa production(taux plus élevé pour les équipements de hautetechnologie). En Europe, ce secteur se carac-térise par la multiplicité des produits de niche.Ces équipements, nécessitant des techniquesde fabrication et de distribution très spécifiques,sont le plus souvent produits par des PME spé-cialisées. Dans le Val d’Oise, de bellesentreprises se distinguent par leur savoir-faireet leur capacité d’adaptation au marché, tellesque Balt, Vygon ou encore Prodimed. En dépitdu phénomène de récession internationale, lemarché des dispositifs médicaux a maintenu sacroissance (+6 % en 2010) qui devrait se pour-

suivre grâce à plusieurs facteurs : les mar-chés émergents, le vieillissement de lapopulation et les nouvelles acquisitions(source SNITEM).

Des contraintes fortesComme ses voisins européens, en France, lesecteur de la santé doit faire face à une sériede réformes dans le secteur public visant à ap-pliquer une gestion financière plus rigoureuse.Les entreprises doivent aussi compter avec lesnombreuses obligations réglementaires, l’évo-lution des normes techniques et des protocolesd’essais cliniques, toujours plus drastiques.L’avenir du secteur repose majoritairementsur sa capacité d’innovation en tenantcompte de deux impératifs majeurs à savoir,développer la sécurité des patients ets’adapter aux limites budgétaires imposées parla politique gouvernementale des différentsmarchés en matière de santé publique.

5Septembre-Octobre 2011 – n°114 – Contact Entreprises

En même temps que les connaissancesscientifiques progressent, nous sommes au-jourd’hui face à une spectaculaire évolutiondes techniques thérapeutiques, qui permet-tent de poser clairement des diagnostics etd’enrichir le geste médical. La qualité dessoins aux patients s’en retrouve sans cesseaméliorée. L’association de l’informatique, dela télématique et de l’imagerie a permis defaire des progrès fulgurants dans la tech-nique médicale. On regroupe sous le terme de dispositifmédical, les instruments, appareils, équipe-ments, matières, produits, y compris les

accessoires et logiciels interve-nant dans son fonctionnement,destinés à être utilisés chezl'homme à des fins médicales. Cesecteur rassemble des milliers deproduits très divers par leur

poids, leur taille, leur coût de production,mais répondant tous aux mêmes objectifs :prévenir, diagnostiquer, contrôler, atténuerune blessure, une maladie, un handicap. L'industrie des technologies médicales com-prend un ensemble hétérogène de produitscouvrant un champ thérapeutique et opéra-tionnel infiniment vaste et étendu : leséquipements (lits, scanners…), les consom-mables (gants, seringues…), les implants(prothèses…), les réactifs et automates de la-boratoire, les autotests (test de grossesse…)ou encore les récipients pour échantillons…

DOSSIER

Créé en 1987, le SNITEM est la pre-mière organisation professionnellereprésentant la majeure partie del’industrie du secteur des dispositifsmédicaux. Interface avec les pou-voirs publics, le SNITEM permet auxindustriels d’être représentés offi-ciellement au sein des nombreusesstructures publiques encadrant sesactivités. Il est, en tant qu’acteur àpart entière du système de santé,force de propositions sur tous lessujets relevant de son expertise.

SNITEM 39-41, rue Louis Blanc92400 Courbevoie92038 Paris La Défense cedex Tél : 01 47 17 63 88www.snitem.fr

technologiesmédicales

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Septembre-Octobre 2011 – n°114 – Contact Entreprises6

DOSSIER

Vygon compte parmi lesdix premières entreprisesfrançaises dans le domainedu dispositif médical. De-puis sa création à Ecouenen 1962, la société fami-liale dirigée par StéphaneREGNAULT s’est fait un nomdans le domaine médico-chirurgical à usage unique.Le groupe, grâce à ses8 usines, ses 25 filiales et90 sociétés de distribution,conço i t , f ab r ique e tcommercialise plus de120 millions de produitschaque année dans119 pays. Son chiffre d’af-faires annuel est supérieurà millions d’euros. Vygonaffirme son savoir-faire in-

dustriel dans des domaines de hautetechnologie médicale couvrant toutes lesgrandes spécialités. La société intervient ainsidans le domaine de la réanimation néonatale etpédiatrique (cathéters pédiatriques, cathéterspour prématurés...), la réanimation adulte (ca-thétérisme moyen et long terme, accessoires decathétérisme) ainsi que l’anesthésie générale etloco-régionale (péridural, rachidien, prise en

charge de la douleur postopératoire...). Ses ac-tivités s’étendent également au matériel pourles urgences et le SAMU, la nutrition (sondesd'alimentation…), l’oncologie (chambres im-plantables et accessoires), la chirurgie (produitspour le drainage et l'aspiration, colle cutanéepour sutures sans douleur, champs opératoireset trousses composites...), mais aussi le matérieldestiné aux soins à domicile. Près de 450 colla-borateurs sont rattachés à l’usine valdoisiennesur un effectif total de 1900 collaborateurs dansle monde. Travaillant en lien direct avec le milieumédical et en partenariat étroit avec les soi-gnants, les cœurs de métier de Vygon sontavant tout l’injection et l’extrusion plastique.Vygon mise sur l’innovation, avec une dizained’améliorations de produits chaque année, lelancement d’un produit innovant tous les 2 à3 ans, plus d’une centaine de brevets à son ac-tif et des investissements permanents pourrester compétitif. Depuis quelques années, legroupe s’est également tourné vers l’activitésoins à domicile et propose de plus en plus deproduits prêts à l'emploi et personnalisables(perfusion, nutrition et prise en charge du dia-bète…). Ces kits permettent d’améliorerl'efficacité des professionnels de santé, la sécu-rité, les conditions d'asepsie et les coûts de priseen charge.www.vygon.com

Vygon, leader mondial dans le cathéter


7Septembre-Octobre 2011 – n°114 – n°113 – Contact Entreprises

Maia Woundcare, des pansements bien “pensés”athéter

DOSSIER

Au dépôt sur la plaie, le gel sec se réhydrateau contact de la plaie en absorbant les exsudats

À son maximumd’absorption, lepansement formeun gel protecteurhydratant.

Avec le temps, le pansement change de structure permettant son retrait atraumatique au moment du soin.

La société MS Laboratoires fête cette année ses 25 ans. C’est en 1986 queFrançois MELET et Amélie SCHLOESING s’associent pour créer cette sociétéspécialisée dans la fabrication de compteurs d'hématologie et de biochi-mie. A Osny, sont basés l'ensemble des services administratifs, la R&D, leservice après-vente, ainsi que la production des analyseurs. Chaque an-née, environ 2500 unités sortent de ses ateliers de montage. Vendus à desmilliers d'exemplaires à travers le monde (plus de 20 000 unités depuis lesdébuts de la société), les analyseurs d'hématologie sont entièrement au-tomatiques et spécifiquement adaptés aux services d'urgences, centres

anticancéreux, laboratoires d’analyses médicales, cliniques et hôpitaux,permettant d'obtenir en quelques minutes une numération sanguine com-plète et fiable. Depuis les années 2000, l’entreprise a amorcé un processusd’internationalisation, avec l’implantation d’une nouvelle structure enSuisse, MS Pharmaceuticals, chargée de la production des réactifs, ainsique l’ouverture de nombreuses filiales en Asie, en Inde, aux Etats-Unis etune présence dans plus de 71 pays. Actuellement, la PME emploie 400 per-sonnes à travers le monde dont une centaine à Osny.Tél. : 01 30 75 30 00 - www.mslabos.com

MS Laboratoires, 25 ans dans l’hématologie

Basée à Neuvitec, Maia Woundcare est unejeune entreprise innovante créée en 2007,spécialisée dans la conception, le développe-ment et la commercialisation d’une nouvellegénération de pansements. La signatured’un accord industriel avec le groupe Farevavient concrétiser 5 années de recherche etdéveloppement.

Exploitant une technologie issue de plusieursannées de recherche avec l’Université de Cergy-Pontoise, la société, co-fondée par SébastienPÉRIN et Sébastien GIRAUDIER, propose unegamme complète de nouveaux pansements quiaméliorent significativement la cicatrisation desplaies chroniques et soulagent les patients quien souffrent. Reconnue et primée de nom-breuses fois pour l’intérêt et le potentiel de sesproduits, MAIA Woundcare (7 personnes au-jourd’hui) a bénéficié d’un financement publicimportant et du soutien de business angels in-dépendants. La société ajoute aujourd’hui unélément à sa structuration en signant cet ac-cord industriel et confiant la fabrication de sesproduits aux compétences des équipes dugroupe international Fareva. Les pansementsseront fabriqués sur le site d’Amilly (45). “Nousavons signé un contrat de partenariat avec legroupe, qui met à notre service son outil indus-triel et son expertise, précise Sébastien Périn. Lachaîne de production est opérationnelle depuisla fin de l’été. Nous monterons en cadence au fil

des mois avec, à terme, une capacité de produc-tion de 300 000 pansements par an. Le groupenous épaule également en matière de dévelop-pement commercial, grâce à son réseau et à sanotoriété.” Dans un premier temps, les utilisa-teurs des pansements seront les hôpitaux. Lasociété recherche des distributeurs européenspour l’accompagner dans son expansion com-merciale. En matière d’innovation, ce premierdispositif médical ouvre la voie à d’autres ap-plications. Dans le but de développer denouvelles gammes de produits, la société a éta-bli des contrats de partenariat de rechercheavec plusieurs laboratoires universitaires, desentreprises et laboratoires européens. Tél. : 01 34 25 66 34www.maiawoundcare.com

Une première sur le marchéDans le cas des plaies chroniques, qui ne cica-trisent pas de façon naturelle et peuventtoucher les personnes âgées, diabétiques ou at-teintes d’un cancer, le pansement mis au pointpar l’équipe de recherche de MAIA permet,grâce à son action, de rétablir un processus decicatrisation normal. Il n’existe pas, à ce jour, deproduit équivalent sur le marché. Ces panse-ments sont proches, dans leurs propriétésmécaniques et leur composition, des tissus vi-vants et s’appuient sur de nouveauxbiomatériaux brevetés, appelés biogels, capablesde s’adapter aux besoins de la plaie.



en b

ref Pentax est mondialement connu

pour son savoir-faire optique dans le développement d'appareils photo numériques.Le groupe japonais a mis ce savoir-faire au service du médical, puisqu’il est également l’undes leaders dans le domaine de l’endoscopiesouple et propose une vaste gamme de produitsen gastro-entérologie, pneumologie, ORL, anesthésie réanimation et urologie à travers sadivision “life care”. Les vidéo-endoscopes, écho-endoscopes et les fibroscopes optiques facilitent la réalisation de procédures diagnostiques et thérapeutiques. Le site d’Argenteuil (division médicale) regroupe 56 personnes réparties entre le servicecommercial, l’administration des ventes, le marketing et le service financier.Tél. : 01 30 25 75 75 - www.pentax.fr

3M Healthcare est une division dugroupe 3M (Cergy) dédiée particulièrement aumarché de la santé, avec une présence dans denombreux domaines : les technologies d'auscultation (avec des stéthoscopes reconnusmondialement), des produits utilisés en cabinetdentaire, par des prothésistes dentaires et orthodontistes, mais aussi une large gamme de pansements, des solutions pour la suture cutanée, des pansements orthoptiques, des sparadraps et bandes de compression, et,dans le domaine chirurgical, des drapages opératoires, blouses chirurgicales,masques, lunettes de protection afin de prévenir les infections.www.3m.fr

Depuis 1987, Euro DiffusionMédicale (15 personnes) développe àSarcelles des gammes d’accessoires et deconsommables pour l'échographie. L'entreprise

distribue auprès des spécialistes de l'imageriemédicale des dispositifs dédiés à l'échographie(plus de 5000 références) en fournissant desprotections pour sondes d'échographie, des dispositifs et guides de biopsie. L'entreprise fabrique aussi, en ses propres laboratoires, des gels et couplants et reste l'undes tous premiers producteurs français encoreprésents sur le marché. Tél. : 01 30 11 83 00 - www.edm-imaging.com

L’activité de Micro-Précis pourraitse résumer ainsi : la mécanique au service de lasanté. Karim LOUGHSALA et Michel PAQUIER

sont fondateurs de cette société, installée àSaint-Gratien. La PME fabrique des systèmesd'implants dentaires en titane, des produits chirurgicaux et prothétiques (vis, moignons,analogues, calcinables, connectique,instrumentations) destinés aux chirurgiens dentistes. La TPE travaille, pour l’heure,

essentiellement avec des grossistes. En 2010,elle a fabriqué quelque 100 000 pièces.Tél. : 01 34 17 41 87

Ansell Healthcare est un leadermondial dans le domaine de la conception, lafabrication et la commercialisation d’une vastegamme de gants de chirurgie, d’examen, degants industriels et ménagers, de vêtements deprotection et de préservatifs.Les activités d’Ansell (dont la filiale française estinstallée à Cergy) sont organisées en trois divisions correspondant chacune à l’un desmarchés couverts par l’entreprise, à savoir lesgants industriels (Occupational Healthcare), les gants médicaux et de chirurgie (ProfessionalHealthcare), les préservatifs et les gants ménagers (Consumer Healthcare). www.anselleurope.com

Né en 1961, le laboratoire Gamida est spécialisédans la distribution de matériel médico-chirur-gical sur le marché français. Ses domainesd’intervention sont multiples : anesthésie – réa-nimation, chirurgie cardiovasculaire, chirurgievasculaire, biomédical mais aussi oncologie. Diri-

gée par Richard DARMON, la sociétéest liée par des contrats de distri-bution exclusifs à plusieursfabricants étrangers (allemands,américains, anglais…). Ses équipesassurent auprès des cliniques ethôpitaux la vente des gammesconfiées (des petits dispositifs mé-

dicaux, aux équipements tels quedes testeurs biomédicaux ou des dopplers oeso-

phagiens…Afin de répondre à l’attente des praticiens dansle développement de produits innovants dans

ses spécialités, le laboratoire a créé et investi en1987 dans la structure Gamidatech. Au sein dubureau d’études, une équipe d’ingénieurs conçoit,fabrique, commercialise partout dans le mondedes équipements biomédicaux. La vocation de

cette entité est de faire aboutir les projets com-plexes imaginés par les médecins, chirurgiens,anesthésistes et biomédicaux. Le départementR&D entreprend régulièrement de nouvelles col-laborations avec des praticiens qui vont jusqu’à laconcrétisation d’innovations techniques, maisaussi l’amélioration et l’évolution des produitsexistants. Ainsi, après avoir été approchée par l’institut decancérologie Gustave Roussy (Villejuif), l’équipea pu mettre au point un système développé spé-c i f iquement pour l a ch imiothérap iehyperthermique intra-péritonéale (destiné à soi-gner le cancer du péritoine). Gamidatech assureégalement le développement à l’international etle service après-vente de ses équipements, afinde garantir un accompagnement pendant toutela durée de vie des produits. Installées à Eau-bonne, les deux structures emploient aujourd’huiprès de 70 personnes pour un chiffre d’affairestotal d’une vingtaine de millions d’euros.

http://www.gamida.nethttp://www.gamidatech.com

Gamida, 50 ans au coeur du médical

Créée en 1982, la société Prodimed développe ses activités sur deux sites.Neuilly-en-Thelle dans l’Oise, est le site historique, spécialisé dans laconception, le développement, la fabrication, le conditionnement et ladistribution de dispositifs médicaux à usage unique (dispositifs médi-caux de chirurgie vasculaire et matériel gynécologique). Afin d’étendreson expertise à de nouveaux domaines de compétences, Prodimed a faitl’acquisition de Plastimed (Plessis Bouchard) en novembre 2001. Cettesociété, en pointe dans la conception de gammes de cathéters pour ac-cès vasculaire, dispositifs de prélèvements bronchiques protégés et drainsthoraciques d’urgence, connaissait alors de grosses difficultés financièreset cherchait un repreneur pour poursuivre l’activité. Grâce à cette re-prise, les emplois du site du Plessis Bouchard, rebaptisé “Prodimed

Division Plastimed”, ont pu êtreen grande partie sauvés. Le sitecontinue d’assurer la conceptionet le développement de disposi-tifs médicaux à usage uniquepour l’anesthésie et la réanima-tion, en partenariat avec lesspécialistes du monde médical.Les deux usines emploient ac-tuellement 130 personnes pourun chiffre d’affaires de 12 millions d’euros. Tél. : 01 34 44 15 15 - www.prodimed.com

Prodimed : une reprise réussie

DOSSIER



DOSSIER

Dirigée par GazilSULEJMANI, ancienprothésiste auditifchez Audika, LNEAa démarré son ac-tivité en 2010 àEaubonne. La toutejeune société estspécialisée dans lafabrication de mi-c r o - e m b o u t sauriculaires, unenouvelle généra-tion de prothèses,destinées à appareiller les patients ayant des pertes auditives. Les 5 col-laborateurs de LNEA assurent la réalisation de pièces moulées sur mesure,à l’oreille du patient, en résine acrylique ou en silicone. Ces emboutscontribuent au maintien du contour d’oreille et permettent d’acheminerles sons captés vers le tympan. D’autres embouts spécifiques sont égale-

ment réaliséspar le labora-toire. Dotés defiltres pour at-ténuer certainssons, ils sontpar exempledestinés à despersonnes tra-vaillant sur deschantiers trèsbruyants. Aprèsun an d’activité,Gazil SULEJMANI

a dépassé les objectifs fixés avec 22 000 embouts fabriqués dans ses ate-liers. Si la société travaille toujours en sous-traitance pour le groupeAudika, elle devrait, dans les prochaines semaines, formaliser de nouveauxcontrats majeurs et continuer ainsi à diversifier sa clientèle. Tél. : 09 62 30 12 28 - www.lnea-audition.com

LNEA : un métier, l’embout auriculaire

Le groupe Sterichem – TBM, spécialiste de lastérilisation industrielle, est aujourd’hui enFrance, un des derniers fabricants dans son do-maine d’activité. Les deux entités ont fusionnéen juin 1998. Sterichem, leader européen dansson domaine, développe et fabrique des stérili-sateurs à oxyde d'éthylène, destinés à lastérilisation de dispositifs médicaux en contexteindustriel. Il s’agit d’équipements extrêmementimposants, aussi gros que des remorques de ca-mion. La seconde entité, TBM conçoit etfabrique des autoclaves vapeur de toutes capa-cités pour les industries pharmaceutiques et lesbio-technologies, les laboratoires, et les établis-sements de soins. Les gammes proposées sonttrès larges : pour l’anecdote, les plus petits au-toclaves, qui ont à peu près la taille de grossesbombonnes, sont plébiscités par les organisa-tions humanitaires telles que Médecins sansfrontières ou la Croix Rouge, dans le cadre demissions humanitaires, lors d’interventions sur

site. Premier autoclavier français,TBM est la seule société à maitriserla totalité de la chaîne de réalisationd’un stérilisateur à vapeur, de laconception jusqu’à la fabrication fi-nale. Toute la production est assuréepar une équipe d’environ 40 per-sonnes qui opère dans le mondeentier, depuis son site de productionbasé à Champagne-sur-Oise. Que cesoit à destination de PME ou degrands groupes industriels, l’exportreprésente plus de 60 % de l’activité àl’échelle du groupe. Les références del’entreprise sont nombreuses : BioMé-rieux, L’Oréal, Nestlé, Pierre Fabre, AirLiquide, Baxter, Sanofi, Aventis, Boi-ron, mais aussi l’INRA, le CNRS,l’INSERM, l’AFSSA. Tél: 01 34 70 03 97www.tbm-autoclaves.com

Sterichem – TBM :1er autoclavier français


Septembre-Octobre 2011 – n°114 – Contact EntreprisesSeptembre-Octobre 2011 – n°114 – Contact Entreprises

Homme du mois

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Vous avez été cadre supérieur pendant plusde 30 ans chez Dow Chemical. Vous vous re-trouvez aujourd’hui à la tête d’un groupe de900 personnes. Que s’est-il passé ?J’ai eu un beau parcours au sein de ce groupe dechimie que j’ai intégré tout de suite après une écolede gestion. J’y ai fait tout mon parcours, je suispassé par de nombreux jobs. J’ai pourtant décidé dequitter Dow en 2008, avec l’envie de reprendre desentreprises, pour les gérer, les développer et lesconnecter entre elles. A cette période, le groupe seséparait d’un secteur d’activité, spécialisé dans laproduction de joints et mastics pour l’industrie au-tomobile, regroupant 150 personnes. La plus grosseunité, avec laquelle j’avais une connexion émotion-nelle, se trouvait dans l’Oise. Je suis allé chercherdes gens que j’appréciais et j'ai réuni des partenairesfinanciers (une équipe de managers et divers inves-tisseurs privés). Nous avons négocié et racheté.L’entité a été rebaptisée Revocoat. Nous avons enparallèle fait l’acquisition, l’année suivante, de BSCoatings, qui développe et commercialise des solu-tions de revêtement destinées aux marchés deshydrocarbures, de l’eau, de l’industrie et du bâti-ment, puis créé BSR Group, la société holding, dontje suis le principal actionnaire.

Vous avez pourtant réalisé cette opérationdans un contexte économique complexe…Pour certaines banques, ces opérations apparaissaientpresque "financièrement suicidaires "! Pourtant, ellesnous ont accompagnés et les idées que nous avonsprésentées et mises en place ont fonctionné. Nousavons grossi, reconstitué la présence internationalede ces sociétés, fait des acquisitions partout dans lemonde pour accompagner nos clients : Inde, Turquie,Russie, Slovaquie, Brésil, Chine, Etats-Unis, ArabieSaoudite… Puis, nous nous sommes intéressés au fu-tur du groupe et avons cherché à identifier uneactivité complémentaire à la nôtre.

A cette période, Lionel Puget commençaitlui aussi à s’interroger sur l’avenir d’Axson…Lionel Puget était dans le même cas de figure que

nous : sa société avait atteint une taille critique etil lui fallait passer par une restructuration pour aller au-delà. L’entreprise correspondait parfaite-ment au profil que nous recherchions : un mêmemétier, mais une présence sur d’autres secteursavec des typologies de clients très différents. Alorsque Revocoat travaille pour quelques gros don-neurs d’ordre dans l’automobile, Axson est présentsur des marchés beaucoup plus diversifiés et frag-mentés. Le groupe jouit d’une vraie notoriété dansson secteur. Lionel Puget souhaitait qu’Axson resteentre les mains d’un groupe français et notre pro-jet, bien qu’en concurrence avec d’autres, a reçul’appui des équipes. Les négociations ont étélongues mais nous représentions l’option la plusdynamique, partageant les mêmes valeurs. Nousavons aussi une histoire d’entreprise et un modèleassez similaires, Lionel Puget et un groupe de ca-dres ayant racheté Axson (filiale européenne d’ungroupe américain) en LBO en 1994. Beaucoup deconvergences, de similitudes et de complémenta-rités entre nous.

Cette acquisition vous apparaissait-ellecruciale pour l’avenir du groupe ? Nous sommes aujourd’hui une société de taille in-termédiaire, assez solide pour être déployée dansle monde : nous comptons 16 unités de produc-tion, 900 personnes, des équipes de managementlocales autonomes. Nous générons désormais as-sez de cash pour investir et assurer ledéveloppement de l’entreprise dans le monde.Avec ce rapprochement, l’objectif est de générerdes synergies, de nouvelles idées, pour aller encoreplus loin.

D’où vous vient cette motivation, cette en-vie d’aller de l’avant ?Lors de la première acquisition, ma position étaitde dire : on ne peut pas laisser 150 personnes surle carreau, j’éprouvais comme un sentiment de pa-ternité vis à vis des collaborateurs. Bien sûr, j’étaisaussi intéressé, intrigué par cette aventure, ils’agissait d’un vrai challenge pour moi. Au cours

de ma carrière, les entrepreneurs que j’ai pu ren-contrer m’ont toujours fasciné, j’étais interpellépar leur passion et leur enthousiasme.

Quel manager êtes-vous ?Du fait de l’historique existant avec mes parte-naires financiers, nos relations sont simples,directes, positives. Nous nous concentrons sur lesobjectifs à atteindre. Les leviers de l’entreprise res-tent la croissance, l’innovation, la passion etl’enthousiasme. L’équipe de managers qui m’en-toure est jeune et dynamique, un élémentimportant pour préparer la suite et assurer la pé-rennité du groupe. Je le dis souvent, et cela peutfaire sourire : je prône une entreprise sans stress,du moins j’essaie d’éviter le stress inutile. Ce quel’on ne peut pas contrôler est hors de notre portée,je me focalise sur les points que je maîtrise. Sur-tout, je prends du plaisir dans ce que je fais.

Après le rachat de Revocoat, Charles Churet, 59 ans, a quitté Zurich, où ses acti-vités professionnelles l’ont amené à résiderpendant 28 ans, pour rejoindre la régionparisienne et prendre en main la gestiondes trois entreprises de BSR Group. Un vi-rage complet pour cet amateur de pilotageet de musique. Epicurien, il a choisi commepied à terre Bordeaux, où il se ressourcechaque fin de semaine. Un businessman àla " française ", qui va poursuivre l’histoired’Axson au plan international.

Une page se tourne pour le groupe Axson, un des leaders mondiaux dans laformulation et la fabrication de résines époxy et polyuréthanes, racheté en juindernier par BSR Group. Lionel Puget, PDG d’Axson depuis 1994, a cédé son siège àCharles Churet, également président de la société holding. Ce rapprochement vacréer les conditions d’une optimisation commerciale, dans un contexte de plus enplus global. Le nouveau patron a accepté de nous recevoir pournous parler de cette reprise, de l’avenir d’Axson, évoquer sonétonnant parcours et ses ambitions.

BSR GROUPEActivités : fournisseur global de solutions de revêtement, étanchéité, isolation et collage à hautes performancesEffectif total : 900 personnesChiffre d’affaires total : 200 M€Adresse (Axson) : 15, rue de l'Équerre 95310 Saint-Ouen l’Aumône Tél. : 01 34 40 34 60 - www.axson.com www.bs-coating.com - www.revocoat.fr

Charles Churet, PDG d’Axson



Fondée par Léopold Plowiecki, ingénieur de l’école polytechnique de Var-sovie, la société démarre son activité en 1977 à Montmorency. Un an plustard, le professeur Jean-Jacques Merlan, pionnier de la neuroradiologie in-terventionnelle à l’Hôpital Lariboisière à Paris, émet une demande trèsspéciale : il a besoin de tubes fins et souples pour pouvoir délivrer des bal-lonnets détachables dans les artères du cerveau. Léopold Plowiecki va alorsconcevoir une technique d’extrusion qui permet d’obtenir des microcathé-ters d’une finesse jusque là inégalée et commence à fournir directementl’hôpital Lariboisière.

Des produits à forte valeur ajoutéeTous les produits de Balt se destinent aujourd’hui à la radiologie interven-tionnelle, actes médicaux qui se pratiquent sous imagerie et permettent letraitement ou le diagnostic de nombreuses pathologies. Ces matériels dehaute qualité et d’une grande fiabilité revêtent un caractère souvent vitalpour les patients victimes d’anévrismes ou de maladies vasculaires céré-brales. Ces dispositifs visent essentiellement le domaine cérébral (80%),cœur de métier de Balt, ainsi que la cardiologie. “Tout est fabriqué sur no-tre site valdoisien (extrusion des tubes, usinage et tressage des stents…),précise Nicolas Plowiecki, fils du fondateur qui a repris la direction de l'en-treprise depuis 2004. Nous ne sommes pas sur des gros volumes deproduction, quelque 150 000 unités par an, nos produits requérant énor-mément de main d’œuvre et de précision. L’assemblage et les soudures, parexemple, sont réalisés sous binoculaire. Ici, il n’y a pas d’automatisationpossible, le travail est extrêmement minutieux et assuré par une équiped’une quarantaine de personnes. Les produits font l’objet de nombreux testsqualité et de vérifications tout au long du process de fabrication. ”

Faire avancer la scienceDepuis la création de l’entreprise, Léopold Plowiecki n’a eu de cesse d’in-nover avec un lancement majeur tous les 2 à 3 ans et de perpétuellesaméliorations. Le dialogue avec les neuro-radiologues est permanent afind’accompagner au mieux les besoins des praticiens. En 1987, par exemple,l’équipe de recherche de Balt crée un microcathéter intracérébral flux-dé-pendant, le plus petit existant au monde. Ce dispositif, le “Magic”, qui,aujourd’hui encore reste une référence, a représenté un progrès considé-

rable dans la technique de soin des MAV (Malformations Artério-Vei-neuses). Plus récemment, en 2007, Balt a développé une prothèseintracrânienne de redirection de flux, le "Silk ", pour traiter les anévrismes.Seules deux entreprises au monde sont aujourd’hui capables de produireun tel dispositif. Balt planche déjà sur une nouvelle version de ce stentdernière génération.

Une présence mondialeEn France, l’entreprise travaille essentiellement avec les hôpitaux et les CHU.Les origines françaises de la société ne semblent pourtant lui délivrer au-cun passe-droit particulier auprès des établissements de santé. Pourexporter son savoir-faire, la PME française est aujourd’hui présente dans lemonde entier grâce à un réseau de distributeurs implantés aux quatre coinsdu globe. Le chiffre d’affaires de l’entreprise (près de 20 millions d’euros) estaujourd’hui réalisé à 80% à l’étranger. Ses concurrents sont principalementde grands groupes américains. Balt parvient néanmoins à se démarquer enétant particulièrement réactif, du fait de sa taille. La R&D et les technicienstravaillent directement avec la production, l’interaction entre les équipesest permanente.

Entreprise familiale et toujours indépendante, Balt concurrenceaujourd’hui les plus grands groupes internationaux, signant desavancées majeures dans son domaine. Si ses perspectives de crois-sance se jouent à l’international, l’entreprise, bien implantée àMontmorency, s’intéresse aussi à son environnement local en pre-nant part au Club des entreprises de la Vallée de Montmorency(CEVAM) et en travaillant avec des fournisseurs de proximité telsque Laroche à Andilly, Gauthier Précision à Montmagny ou en-core l'imprimerie Buignet à Deuil-la-Barre.

Dans le domaine du dispositif médical, Balt Extrusion, PME d’unecinquantaine de personnes, s’est fait un nom au niveauinternational. L’entreprise, la seule en Europe dans sa spécialité,développe et fabrique des dispositifs intracérébraux(microcathéters, microguides, stents) destinés à la neuroradiologieinterventionnelle. Un secteur d’activité très pointu dans lequell’entreprise ne cesse d’innover pour garder une longueur d’avance.

Activités : fabrication de dispositifs intracérébrauxEffectifs : 50 personnes Chiffre d’affaires : 20 millions d’eurosSiège : MontmorencyTél : 01 39 89 46 41 - www.balt.fr

Entreprise du mois

Balt Extrusion :inventeur du plus petit cathéter au monde



InfosACE

Didier et Fabiola FRADIN ont reçu une trentained’entrepreneurs valdoisiens le 8 juillet dernierpour lancer le club “privilège” du château deMaudétour. Après deux ans et demi de tra-vaux pour restaurer la maison principale et ses5 chambres d’hôtes, achevées en 2009, lespropriétaires entament une seconde tranchede travaux, qui concernent les communs.

Ils permettront de recevoir des séminaires, d’or-ganiser des réceptions jusqu’à 200 personnes etcomprendront des gîtes polyvalents. Essentiel-lement financés grâce aux fonds propres ducouple, les lieux, classés au titre des “monu-ments historiques”, reçoivent en outre unsoutien appréciable du Ministère de la culture.“Les charges d’entretien sont énormes, à l’échellemonumentale !, indique Didier FRADIN. Les finan-cements complémentaires sont pour nousprécieux. Quatre entreprises ont déjà accepté desoutenir le projet et nous souhaitons à présentélargir ce mécénat en invitant d’autres acteurséconomiques de la région à rejoindre notreclub.”L’association réunira les entreprises s’im-pliquant financièrement dans cette aventure enleur accordant un accès privilégié au château,

des conditions de séjour particulières. Trèsconcrètement, selon le niveau de participationfinancière des mécènes, l’avantage évoluera.Pour 2000 € investis (passe Chevalier), 15 % deréduction sur la location et l’hébergement se-ront consentis pendant 5 ans, avec uneréduction annuelle limitée à 500 €. Pour les“Marquis” (participation équivalente à 10 000 €),la réduction sur la location et l’hébergementmontera à 25 % pendant 5 ans, avec une réduc-tion annuelle pouvant aller jusqu’à 2500 €.Didier Fradin souhaite par ailleurs créer un lienaffectif privilégié entre les entreprises et le châ-teau et permettre aux partenaires de participeraux manifestations culturelles qui pourraient s’ytenir. Un bien beau projet, qui a été commentépar Frédéric DANTON, architecte du parc naturelrégional du Vexin, et a permis aux participantsde découvrir les lieux sous un angle historique.Les entreprises potentiellement intéressées etqui n’auraient pu se déplacer pourront être re-çues lors d’une prochaine session de rattrapage.

Didier FRADIN au 06 16 06 12 20www.chateaudemaudetour.com

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Vie du club…

Le Château de Maudétour vous sacre chevalier, vicomte ou marquis

Ce premier Trophée BNP Paribas était organisé par l'équipe commerciale de Jean-Pierre GUÉNARD.Destiné aux dirigeants de PME du Val d'Oise, l'événement a réuni vendredi 16 septembre, au ParisInternational Golf Club, 41 compétiteurs pour un parcours en stableford et une douzaine de diri-geants pour une initiation et découverte de ce sport. Cette journée s'est terminée par une remise desprix aux vainqueurs par catégorie autour d'un cocktail auquel ont pu échanger environ 70 convives.Félicitations aux golfeurs émérites. Les 3 premiers (Résultat brut cumulé homme) : MM Jean-LouisMASSIEUX, Kittiphong VISOUTHIPHONGS et Sebastien THAVEAU.

Une journée au golf avec la BNP

Jean-Pierre Guénard, entouré de l’équipe organisatrice.


Septembre-Octobre 2011 – n°114 – Contact Entreprises 13

des adhérentsdans les “clubs service”

jeudi 27 octobre :Rencontre sur la protection industrielleLe jeudi 27 octobre, de 12h à 14h, notreadhérent Fabrice CASTET, agent privé de recherches, nous proposera une réunionsur la protection industrielle.Inscriptions auprès du club 01 34 25 97 08

Samedi 19 novembre : Grande soirée Disco au profit des maladesAlzheimerDepuis plusieurs années, le club Rotary deCergy organise une soirée Disco avec l’orchestre “Les Mony’s”, qui vous fera dan-ser jusqu’au bout de la nuit. Alors n’hésitez pas à vous inscrire pour unebonne cause, aux couleurs Flower Powerdes années 70-80.Inscriptions auprès Corinne Maître : [email protected]

Jeudi 24 novembre :Les entrepreneurs semettent en scèneL’ AEPF (association de l’ouest de la Plainede France) organise une soirée ludique etéducative avec la troupe du Théâtre à lacarte, le 24 novembre à 19h, au Théâtre del’ouest de la Plaine de France. Au cours decette soirée, la troupe présentera sa dernièrepièce : “mieux travailler ensemble”, qui met-tra en lumière de façon caricaturale etamusante les relations du manager avec sesclients et les multiples difficultés relation-nelles que celui-ci peut rencontrer eninterne. Des travers qui peuvent aussi nuireau bon fonctionnement de l’entreprise. Dansune démarche interactive qui intéresseratous les dirigeants, la troupe recherche dessolutions concrètes pour remettre la colla-boration au cœur de l’équipe. La pièce serasuivie d’un apéritif dinatoire qui clôturera lasoirée et permettra de nouer de nouveauxcontacts avec les dirigeants et décideursprésents. La participation est [email protected] -http://www.theatrealacarte.fr/invitation/invitation-detail?Id_Invitation=46

A vos agendas

Aline SAURET, rotarienne au sein du club deCergy (présidée par Micheline FIOR), est à l’ini-tiative d’une action humanitaire à destinationdes enfants souffrant de la famine dans laCorne de l’Afrique.Engagée et sensibili-sée personnellementà cette situationdramatique, elle a lancé le8 septembre dernier l'opé-ration "Dîtes oui". ChaqueRotarien est invité à re-noncer à l’un des dînersorganisés au mois de sep-tembre ou octobre 2011.Le montant du repas (45 € en moyenne pourun dîner avec conjoint) sera utilisé pour l’achatde traitements et produits nutritionnels telsque des sachets hyper-protéinés. Pour un en-fant en état de malnutrition sévère, letraitement consiste en trois sachets par jourpendant 4 à 6 semaines. Le coût moyen par en-fant est environ de 40 €, soit le coût d’un repasoffert par un Rotarien. L’achat et l’achemine-ment de ces produits seront régis sous

convention de partenariat par Action Contre laFaim (ACF) qui assurera la distribution et l’uti-lisation de ces produits sur le terrain avec, pourexigence contractuelle, un reporting financier

et circonstancié.Pour que cetteopération soit unsuccès, Aline SAURET

entend toucher les33 000 rotariens fran-çais. Près de 1075 lettresd'appel ont été adres-sées à l'ensemble desprésidents des clubs de-puis le 8 septembre.

L’opération va se prolonger jusqu’au 31 octo-bre. Les entreprises ou particuliers peuvent euxaussi prendre part à cette action et verser undon auprès du Rotary.

En savoir plus sur le blogwww.sauvons30000enfants.blogspot.comVous y retrouverez toutes les modalitésde versement. Contact : [email protected]

Collecte pour la Corne del’Afrique : “dites oui” au Rotary

Le Lions Club International crée actuellement unnouveau club à Eragny sur Oise et recrute desmembres. Reconnu auprés de l'ONU, le LionsClub International est composé de 1 400 000membres dans le monde dont 29 000 en France.Dans notre département, il existe déjà plus de30 clubs. Les Lions sont des hommes et desfemmes libres qui ont décidé d'ajouter à leur vieune dimension humaniste et altrusite. Leur de-vise est "servir". Au sein des clubs, ils définissentleurs actions au cours de réunions convivialespendant lesquelles ils partagent des valeurs deréelle amitié et solidarité. Les Lions soutiennent

la culture, apportent leur soutien aux plus dé-munis, se mobilisent pour les grandes causespar de multiples opérations locales, nationaleset internationales. Devenir Lions, c'est aussi in-tégrer un réseau, tout en donnant un sens à savie. Une réunion d'information est organisée levendredi 28 octobre (lieu à définir).

Plus d’informations sur le sitewww.lions-france.org. Inscription à la réunion par mail àl'adresse suivante : [email protected]

Le Lions lance un club à Eragny-sur-Oise


Jean-Christophe BONFATI-SA-BIONI, 47 ans, est dirigeant deAFACLIM (Application duFroid et de l’Air Climatisé)qui compte 9 collaborateurs.La société, créée en 1991, estspécialisée dans le domainede la climatisation et du trai-tement de l'air, aussi bienpour le secteur tertiaire quedans le domaine industriel.Jean-Christophe Bonfati-Sa-bioni a obtenu un BEP puisun BAC spécialisé dans le

domaine du froid et de la climatisation avant depoursuivre par une école de commerce. Il fait en-suite ses armes au sein de la filière froid deThomson puis crée avec son père, physicien deformation, Afaclim il y a 20 ans, à Conflans-Sainte-Honorine. Aujourd’hui, l’entreprisesouhaite continuer à développer sa clientèle surle bassin de Cergy-Pontoise. Marié et père de 4 en-fants, Jean-Christophe Bonfati-Sabioni estégalement passionné de sports mécaniques.Tél. : 01 39 72 33 11 - Fax : 01 39 72 89 89www.afaclim.com

Michel CHAUBET, 48 ans, est gérant de la sociétéAG Consulting, spécialisée en stratégie et dé-veloppement commercial. Il accompagne lesPME de toutes tailles dans leur analyse straté-gique et leur politique commerciale. Après uneécole de commerce à Pau, Michel Chaubet aréalisé une grande partie de sa carrière au seinde grands groupes mais aussi de PME : John-son (produits d’entretien), où il devientdirecteur commercial et trade marketingFrance, puis Nortène (PME de produits de jar-dinage), comme directeur de la Business UnitFrance. En octobre 2010, il décide de mettre

son expérience au service des PME souhaitant faire évoluer leur stra-tégie et dynamiser leurs actions commerciales. En parallèle, MichelCHAUBET développe une seconde activité, le courtage en assurance àdestination des entreprises s'appuyant sur un cabinet familial crééen 1982 et classé dans le top 50 des courtiers français. Basé à Auverset Paris, il travaille dans toute la France. Père de deux enfants, il aimele golf, le jogging, la culture et la lecture et s’intéresse de près auxplacements financiers. Tél. : 06 80 42 48 33 - [email protected]

Marie-Cécile TOMASINA, 51 ans, est directrice duchâteau et chargée de développer le tourismeculturel autour de ce lieu édifié en 1635. Pro-priété du Conseil général depuis 1987, ouvertau public à partir de 1994, le château a été res-tauré et aménagé afin de rendre hommageaux peintres Impressionnistes. Depuis son ar-rivée en 2002, Marie-Cécile Tomasina atravaillé à la revalorisation du site, à sa restruc-turation interne, à son repositionnement dansle paysage touristique francilien, national etinternational. Diplômée d’études supérieuresspécialisées en sciences humaines (DESS 3e cy-cle), elle a dirigé des structures de jeunesse à

Paris, avant d’être adjointe à l’action culturelle du musée national desarts asiatiques (Musée Guimet) et de prendre en charge la gestion del’espace Reuilly. Bénévole en qualité d’administratrice d’une maisond’accueil pour enfants, elle consacre son temps libre au jardin, auxvoyages, aime la nature, la gastronomie, l’œnologie et habite le Vexinfrançais. Marie-Cécile Tomasina souhaite aujourd’hui adhérer au clubpour accroître son réseau relationnel, faire connaitre les multiples pos-sibilités pour les entreprises, depuis le simple déjeuner jusqu’àl’événement professionnel majeur. Tél. : 01 34 48 48 48 / 01 34 48 48 [email protected] _ www.chateau-auvers.fr

Jean-Christophe Bonfati-Sabioni,AFACLIM

Stéphane ARNOUX, responsable développe-ment du marché industrie (IDF et Oise) ausein de COFELY vient de rejoindre le club ACE.Dans le cadre de sa mission, à dimension ré-gionale, Stéphane Arnoux accompagne sesclients industriels pour les aider à mieuxutiliser les énergies (exploitation etmaintenance) et à réduire leur impactenvironnemental. Dans le département,COFELY compte déjà un client majeur surBeauchamp, site sur lequel une équipepermanente a été détachée pour assurer lamaintenance multi-technique de l’usine. A

41 ans, Stéphane ARNOUX, après un DUT génie thermique ren-forcé récemment par un master gestion et management àl’ESCEM, a d’abord rejoint le groupe Air Liquide, puis MESSERFrance, avant d’intégrer COFELY, il y a trois ans. Le club va au-jourd’hui lui permettre d’étendre son réseau et de trouver denouveaux partenaires sous-traitants ou co-traitants pour ré-pondre aux demandes de sa clientèle. Père d’un enfant, cetamateur de golf est aussi bénévole dirigeant au club de rugbyde Montmorency (OGEM) et s’est attaqué au raid GDF Suez aumois de septembre dernier.Tél. : 01 45 66 30 52 [email protected]

Stéphane Arnoux, COFELY, filiale de GDF Suez

Michel Chaubet, AG Consulting

Marie-Cécile Tomasina, château d’Auvers NouveauxA

dhérents



Adhérents


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Infos entreprises

Le groupe Chromalloy, spécialisé dans la répa-ration de pièces de moteur d’avion et letraitement de surface, fête ses 60 ans cette an-née. Comptant 52 établissements dans lemonde, dont celui de Saint-Ouen l’Aumône,Chromalloy a décidé de marquer cet anniver-saire en rassemblant, sur chacun des sites, lescollaborateurs autour d’un moment convivial.A Cergy-Pontoise, les festivités se sont dérou-lées vendredi 16 septembre, en présence descent salariés de l’usine. L’ambiance était déten-due et bon enfant autour d’un barbecue géant,en présence du nouveaudirecteur du site, Sébas-tien HUNEAU (voir notrerubrique carnet en page22), qui a pris ses fonc-tions en août dernier,après plus d’une annéesans management à latête du site. Depuis lerachat en 2007 par unfonds d’investissement,le groupe avançait sansvisibilité réelle. “Au-jourd’hui, la stratégieest claire, précise Sébas-tien HUNEAU, un pland’investissement impor-

tant a été accordé pour nous permettre de mo-derniser et rénover l’outil de production, afin derevenir dans les standards aéronautiques etd’accompagner au mieux nos clients. Il fautd’ailleurs souligner l’implication et le savoir-faire technique des équipes en place sur le site,qui même en l’absence de direction, ont réussi àmaintenir l’activité et à rester impliqués.” Laperspective d’un nouvel élan pour le groupe.

www.chromalloy.com


en b

ref ABB verse des primes

pour la création d’emploiDans le cadre de son obligation de revitalisation,suite aux plans de licenciements massifs mis enplace sur le site de Saint-Ouen l’Aumône, la société ABB soutient le développement desentreprises de Cergy Pontoise en accompagnantdes projets concourant à la création d’emploi.Une prime à l’emploi peut être attribuée aux entreprises qui ont le projet de recruter unnouveau collaborateur en CDD de plus de 6 mois ou en CDI. Le montant de l’aide est fixé à4000 € par emploi créé. Le dispositif de soutien àla création d’emploi s’adresse aux PME de moinsde 250 collaborateurs implantées sur le territoirede la Communauté d’Agglomération de CergyPontoise. La plate-forme de services RH proposeégalement aux salariés et dirigeants salariés deTPE et PME des actions collectives de formationco-financées, réduisant ainsi la contribution financière des entreprises.Contacts :Rose MAZÉAS, Responsable MIFE 95 & Plate-Forme de Services RH [email protected] SEBBAR, Chargée de projets [email protected] MIFE 95 : 01 34 41 70 74

Chromalloy : 60 ans de savoir-faire


Infos entreprises


Les entrepreneurs font leur rentrée Beau succès et mobilisation massive : les élogesn’ont pas manqué pour saluer la soirée des en-trepreneurs organisée le mercredi 21 septembrepar la CGPME 95 à Domont, qui a réuni près de150 participants. Malgré un contexte écono-mique morose, les dirigeants ont répondu trèsfavorablement à l’appel : envie de se retrouver,besoin d’échanger, de sortir d’un isolement cer-tain pour partager un moment de convivialité.L’organisation patronale a montré sa capacité àmobiliser les réseaux, mais aussi à fédérer despatrons de plus en plus soucieux defaire entendre leur voix. De nombreuses associations se sontimpliquées pour la réussite de l’évé-nement : l’AEPF, le club ACE, la SAVI,PLATO, le réseau des éco industries, laChambre de Commerce et d’industriedu Val d’Oise, le réseau Mesure, l’as-sociation des entreprises du haut Vald’Oise mais aussi le GEYVO… “La participation a été très impor-tante, signe de l’intérêt suscité par cetype de manifestation, précise Ber-nard SAGNET, gérant de SOGEDEM etvice-président du club ACE. La soi-rée a bénéficié d’un dynamisme collectif et d’uneorganisation transversale qui ont permis d’ou-vrir l’événement à de nombreux réseaux.”De son côté, Jean-Paul GENTON, président del’AEPF (entreprises de la plaine de France)constate un fort besoin de partager et de dialo-

guer, renforcé par l’incertitude actuelle. “Leschefs d’entreprise sont là pour faire des affaires,mais pas seulement. Ils ressentent, aujourd’huiplus qu’hier, le besoin de s’appuyer sur une or-ganisation telle que la CGPME, capable deconduire des actions de pression et de trouver unécho auprès des instances gouvernementales.”Pour Jean-Pierre CORMIER, président de l’organi-sation patronale, “c’est justement comme celaque l’on fera avancer les problèmes dans les en-treprises. Plus les dirigeants seront nombreux et

mobilisés pour défendre leurs intérêts, plus nosattentes seront écoutées et prises en compte.”

Contact CGPME 95 : 01 34 30 05 769, avenue Eguillette - St-Ouen-l'Aumônewww.cgpme95.fr

en brefResto Kdo : “1 repas offert pour unrepas acheté”La 3e édition de Resto Kdo revient les 15, 16 et 17 novembre prochain et proposera à tousceux qui se rendent dans un des restaurants participant à l’opération de bénéficier de l’offre“1 repas offert pour un repas acheté” (hors boissons). L’offre porte sur un menu spécifiqueou non, mais l’esprit de la table doit rester lemême. Soutenu par les restaurateurs indépendants des Yvelines et du Val-d’Oise etpar le réseau CHR de la Chambre de commerceet d’industrie de Versailles Val-d’Oise/Yvelines,Resto Kdo est un bon moyen pour les professionnels de faire partager la passion deleur métier, de fidéliser leur clientèle et de permettre aux petites bourses de s’offrir un dé-jeuner ou une soirée à moindre coût. Pour la 3e

édition, l’objectif affiché est de fédérer 200 restaurateurs (contre 93 l’an dernier) autourde cette opération afin d’accueillir environ 20 000 clients.www.restokdo.com

3M fait sa rentréeLa rentrée des classes est une période propiceaux nouveautés et aux innovations. Le groupevient de lancer sous la marque Scotch de nombreux outils pratiques, ludiques et écologiques pour nos chérubins : des ciseauxtrès colorés, qui conviennent aussi bien aux gauchers qu’aux droitiers, un ruban adhésif qui se découpe à la main, la colle liquide “clic & colle” avec son bouchon intégré pour lesécoliers distraits ou encore des étiquettes avecdes animaux rigolos.



Infos entreprises

ISS : un contrat pour 13 terrainsde foot à Cergy-PontoiseLe groupe ISS a remporté cet été un contrat de6,5 millions d’euros pour la réalisation de 13 ter-rains de foot synthétiques à Cergy-Pontoise.Plusieurs communes de l’agglomération (St-Ouen l’Aumône, Vauréal, Cergy, Eragny…) se sontgroupées afin de mutualiser cet appel d’offre. Laréalisation des terrains devrait s’étaler sur troisans. Seulement trois mois après le démarrage duchantier, deux terrains sont déjà sortis de terre àEragny, situés route de Pierrelaye. Les travaux,qui ont mobilisé à plein temps une équipe de5 personnes, sont menés par l’agence ISS deSaint Quentin-en-Yvelines, spécialisée dans laréalisation d’espaces publics et dirigée depuisquelques mois par Steven LE RESTE. L’agencerayonne sur l’ensemble de l’ouest parisien et abataillé pour obtenir ce contrat majeur. “ISS a ac-quis une expertise très pointuedans ce domaine, dispose d’im-portants moyens matériels etréalise une cinquantaine d’in-frastructures de ce type chaqueannée en France, précise Fa-brice PERRIER, chargé d’affaireschez ISS. Certes plus coûteuxqu’un terrain en gazon naturel,le terrain synthétique présentenéanmoins de très nombreuxavantages : pas d’arrosage, pasde tonte, pas de fertilisation,

donc un gain économique important à moyenterme pour les communes et une durée de vie de12 à 15 ans. Pour les joueurs, c’est aussi unconfort, le terrain étant praticable sans limite etpar tout temps.” Le revêtement choisi pour lesdeux premiers terrains est un mélange de sableet de caoutchouc recyclé (pneus de camionbroyés). Parmi les futurs terrains prévus sur l’ag-glomération, certaines mairies pourraient setourner vers une alternative écologique, les revê-tements en fibres de coco et de liège, matièrescomplètement naturelles. A noter enfin que ISSa fait appel à plusieurs entreprises locales ensous-traitance sur ce chantier, notamment pourla location de matériel de chantier et la mise enœuvre des enrobéswww.fr.issworld.com

AGSI Computer, artisan de l’informatiqueDepuis 20 ans dans l’informatique, Frédéric GALLIN, fondateur de la société AGSI Computer, adéveloppé un centre technique (maintenance etréparation) à St-Ouen l’Aumône, où sont diag-nostiquées les pannes des ordinateurs confiés parles particuliers et les entreprises. La société prenden charge aussi bien les portables que les ordina-teurs de bureau ou les serveurs en essayant dese démarquer grâce à des prestations complètes.“Lorsque le client nous confie son matériel, un au-dit est réalisé en atelier, précise Frédéric GALLIN.Nos techniciens évaluent la faisabilité de la répa-ration et le coût. Parfois, seul un composant estdéfectueux au sein d’une carte mère par exemple :

le problème peut être résolu sans changer l’inté-gralité de la pièce. Nous recherchons toujours lameilleure solution pour le client et proposons, sicela s’impose, le remplacement de la pièce défec-tueuse par une pièce de seconde main, pourréduire les frais.” AGSI rachète également les or-dinateurs en fin de vie, de manière à se constituerun stock conséquent de pièces détachées. “Decette façon, si le client a besoin d’une dalle d’oc-casion, d’un châssis, d’un graveur ou d’un clavier,nous sommes en mesure de le lui fournir. Noustravaillons également avec une vingtaine de re-vendeurs partout en France, avec lesquels nousmutualisons nos stocks pour être les plus réactifs

possible.” Enfin, dernière option :changer purement et simplementl’ordinateur vieillissant. AGSI négo-cie auprès des grossistes des lots deproduits neufs, permettant, là en-core, aux clients de s’équiper à desprix particulièrement compétitifs.

AGSI : Bâtiment 7, rue duBois du Pont ZI des Béthunesà St-Ouen l’AumôneTél. : 01 30 37 60 22 -www.agsi.fr




Infos entreprises

Le château de Maudétour faittravailler les entreprises localesPour mener à bien les travaux du château (voirnotre article page 12), plusieurs entrepreneursdu Val d’Oise ont été retenus pour intervenirsur ce chantier. Champagne Construction Ré-novation assurera les travaux de maçonnerie,Vexin Ouvertures prendra en charge les me-nuiseries extérieures et BTS (Bois Tuiles Soleil),la charpente, la couverture et les escaliers. Cesdeux dernières sociétés, dirigées par Michel etMarc PITSILLIDES (père et fils), sont installées àMagny-en-Vexin et emploient au total 14 per-sonnes. Le chantier de réfection desmenuiseries, de la charpente et de la couver-ture se déroulera en trois étapes. La premièretranche, qui a débutécet été devrait durerjusqu’au printemps pro-chain, concernera lescommuns Est du châ-teau ainsi que lachapelle et deux autresbâtiments secondaires.“Tout doit être refait,précise Michel Pitsil-lides, au total unetrentaine de menuiseries

(portes et fenêtres), ainsi que la charpente etla couverture. Nous allons récupérer des boisde charpente en chêne provenant d’un autrebâtiment qui vient d’être démoli. Cela permet-tra de réemployer des poutres d’origine etconserver le caractère authentique deslieux. Notre charpentier, Cyrille TORIOT, 10 ansde compagnonnage à son actif, travaille de-puis le départ sur la réfection du château et adéjà une parfaite connaissance du site.” L’en-semble du chantier devrait mobiliser quatrepersonnes pendant environ un an et demi.

Tél. : 01 34 67 31 31

Passionnés de belles voitures, Grégory BOUA-NICHE et Franck MALKA ont associé leurscompétences (le commerce pour l’un, la com-munication pour l’autre) et lancé en débutd’année un projet prometteur : la publicationd’un bimestriel d’annonces, Se-lect Magazine, spécialisé dansl’automobile de prestige. “Ac-tuellement, le luxe est une nicheporteuse, affirme GrégoryBouaniche. Nous axons notrestratégie commerciale sur la dif-fusion gratuite, qualitative etmassive de notre support (prèsde 40 000 exemplaires), dans desendroits clef (golfs, hôtels 3, 4 et5*, palaces, cercles privés...), àParis et en région parisienne.Nous souhaitons toucher le pluslarge potentiel d’acheteurs pos-sible et enrichir au fur et à

mesure les pages de contenu rédactionnel.” Lasociété éditrice, Select Media, est basée à Sar-celles et dispose également d’une adressepostale à Paris. Pour l’heure, les annonces pu-bliées sont essentiellement proposées par des

garages spécialisés. Le siteInternet complètera l’offreavec la mise en ligne d’an-nonces de particuliers. Si,dans un premier temps, lemagaz ine es t e ssen-t i e l l ement d i f fusé enI le-de-France, les deuxassociés entendent rapi-dement élargir le périmètrecouvert à d’autres régionspuis s’ouvrir à des théma-tiques complémentaires,comme l’horlogerie et l’uni-vers du bateau. Tél. : 01 39 90 67 19

Les véhicules de luxe s’affichentdans “Select magazine”

Le groupe Leader Travail Temporaire, fondé parJean-Philippe PAPIN, vient d’ouvrir sa 70e agenceau Plessis Bouchard. Baptisée Ser’ins pour “Ser-vice insertion” cette nouvelle agence, dirigée parReynald COPPEAUX, œuvre à l’insertion profes-sionnelle des personnes rencontrant desdifficultés particulières d’emploi en offrant undiagnostic personnalisé de leur situation et encréant les conditions d’une bonne intégration ausein des entreprises. Il s’agit de la deuxièmeagence Ser’ins du Groupe Leader, avec celle deFourmies, créée en 2008, qui se consacre égale-ment à la lutte contre l’exclusion. Grâce à unréseau de plus de 250 collaborateurs perma-nents et plus de 30 000 missions d’intérim dansses 70 agences, le groupe Leader, plus connusous la marque Leader Intérim, fait partie des3 premières entreprises françaises indépen-dantes dans le secteur du travail temporaire40-42 rue Gabriel Péri, Immeuble Altis,Le Plessis Bouchardwww.groupeleader.com

Leader Intérimse spécialisedans l’insertion

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ref Les jeunes face aux

métiers du bâtimentCette année, les Coulisses du bâtiment, manifestation organisée par la FFB et relayée sur l’ensemble du territoire national, les 6, 7 et 8 octobre, propose encore une fois aux collégiensde découvrir des chantiers en cours de réalisation.Cet événement vise à sensibiliser les jeunes auxmétiers du bâtiment. Dans le Val d’Oise, lesclasses inscrites se rendront sur le futur satelliteS4 du terminal 2 de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle. Ce nouvel équipement, dédié à Air Franceet aux partenaires Skyteam, disposera d'une salled'embarquement pouvant accueillir 7,8 millionsde passagers à l'année. Montant de l'investisse-ment : 560 millions d'euros. Le S4 sera susceptible d'accueillir en même temps seize avions gros-porteurs, dont six A380. Il comptera égalementun salon pour les passagers "Affaires" de plus de3 000 m2. La visite, ouverte aux adhérents de laFFB et aux chefs d’entreprise intéressés, sera commentée par des collaborateurs de chez LéonGrosse (Bezons), entreprise de gros œuvre qui assure une grande partie de ce chantier.

De gauche à droite Frédéric MAUGER (Directeur du Système de Management Intégré), Aleksandra STOJANOVSKI (Assistante recrutement), Aurélie GOURIOU(Conseillère en Insertion Professionnelle), Reynald COPPEAUX (Directeur de l'Insertion), Jean-Philippe PAPIN (Président Directeur Général).



C’est une nouvelle adresse, que nous avons testée et approuvée :le Bistrot du parc à Pontoise, situé rue de Gisors. Un lieu décou-vert un peu par hasard, quelques mois après son ouverture quis’avère être une très bonne surprise. La cuisine est préparée àbase de produits frais, les plats “maison”,l’accueil chaleureux et le décor soigné.Manu, le chef, qui officie dans la restau-ration depuis une vingtaine d’années a,par le passé, exercé ses talents à la Haltede Chaponval (Auvers-sur-Oise). Il pro-pose ici un concept “bistrot” qualitatif,d’un excellent rapport qualité prix, avec,le midi, la formule entrée – plat – des-sert, très copieuse, proposée à 14,50 €.Ici, pas de carte, les plats sont proposés àl’ardoise en fonction des saisons et desarrivages : grand choix de produits duterroir, mets de notre enfance parfois oubliés ou méconnus, et lesouci permanent de sélectionner les meilleures matières pre-mières, de ne pas tricher avec le consommateur. La convivialité,la simplicité font aussi partie de l’esprit maison. Quelques idées pour vous mettre l’eau à la bouche… En entrée :

œuf mimosa, hareng pommes à l’huile, poêlon d’escargots oupoireaux vinaigrette. En plat : bavette échalotes et purée à l’an-cienne, boudin basque, véritable tripous la Naucelloise,andouillette 5a à la ficelle, pâtes fraîches au foie gras, ou encore,

ragout, blanquette, bourguignon sansoublier les poissons (turbot, ju-lienne…).. Et pour finir : tatin, flan, îleflottante, moelleux au chocolat,crème brûlée, glace maison. La cartedes vins (sélectionnés chez des vigne-rons) est en accord avec les plats,simple mais judicieuse. A noter que l’établissement disposeen plus d’un petit salon privé pour 8 à10 personnes. Un détour s’impose.

Ouverture le midi : lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendrediOuverture le soir : mercredi, jeudi, vendredi et samedi

18, rue de Gisors à Pontoise - Tél. : 01 30 75 07 74Stationnement : parking Jean Jaurès à proximité

Thomas Mortier,président dugroupe STACINommé fin juillet prési-dent du groupe STACI etde ses filiales. A ses côtés,le nouveau directoire dugroupe STACI sera com-posé de Brigitte Andreolis-

Clavier en tant que directrice financière et deCharles Ponce en tant que directeur des opéra-tions. Agé de 41 ans, Thomas Mortier étaitjusqu’à présent directeur général du groupeSTACI, qu’il a rejoint en novembre 1995 aprèsune maîtrise de marketing/communication etune première expérience professionnelle dans lapublicité. Jean-Pierre Masse, fondateur dugroupe, reste président du conseil de surveillancedu groupe STACI.

Koen Wilms, président de3M France Nommé président dugroupe 3M en France le1er septembre dernier, ilsuccède à Bernard Cicutqui a été promu, après5 années à la tête de la filiale française, vice-pré-

sident finance pour la région APAC (AsiePacifique), dont le siège est basé à Hong Kong.Agé de 49 ans, Koen Wilms est titulaire d’unemaîtrise de management international et d’undoctorat en administration des entreprises. Il aréalisé l’ensemble de son parcours professionnelchez 3M et dispose d’une expérience de 24 ans à

l’international, acquise au Benelux, en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. En 1987, il débute sacarrière au sein de 3M Belgique dans des fonc-tions ventes et marketing à responsabilitéscroissantes. Il est nommé, en 2000, directeur desmarchés de la santé pour 3M Grande-Bretagneet Irlande. En 2003, il rejoint le siège de 3M dansle Minnesota, en tant que directeur internationalde la division médicale. De retour à Bruxelles en2005, il prend successivement la direction de ladivision médicale puis celle des marchés de lasanté pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). En août 2008, il se voit confierle poste de directeur général de 3M Belgiquepuis en 2010 de 3M Benelux.

Gilles Prieto, directeur du cabinet du préfet Gilles PRIETO, 49 ans, a éténommé directeur du ca-binet du préfet du Vald’Oise et a pris ses fonc-tions le 4 juillet dernier.Il est diplômé de l’IEP de

Grenoble, de l’Institut régional d’administrationde Bastia, de l’Ecole nationale de santé publique(directeur d’hôpital) et de l’ENA. D’abord sous-préfet et directeur de cabinet du préfet de laLoire (mobilité), puis sous-préfet à l’égalité deschances et secrétaire général adjoint de la pré-fecture de l’Isère, il devient secrétaire général dela préfecture des Pyrénées-Orientales. De 2009à 2011, il est conseiller technique au cabinet duministre de l’intérieur, de l’Outre-Mer et des col-lectivités territoriales, chargé successivement dela pandémie grippale, de la gestion de crise, en-fin de la sécurité civile.

Sébastien Huneau, directeur desopérations deChromalloySébastien HUNEAU vientde rejoindre le groupeChromalloy en tant quedirecteur du site. Ingé-

nieur aéronautique de formation, il a passé prèsde 15 ans en tant que manager technique dansla réparation aéronautique (maintenance desavions et des équipements), d’abord chez BritishAirways, puis chez Air France. Il intègre en 2008Goodrich à Roissy. Depuis cet été, il a repris ladirection de Chromalloy (St-Ouen l’Aumône, quicompte une centaine de personnes), spécialisédans la réparation de pièces de moteursd’avions. Sébastien HUNEAU a pour principalemission de redynamiser l’activité, reconquérirdes points forts de marché tout en travaillant àla modernisation des outils et du parc machineafin de mieux accompagner ses clients. (voir no-tre article page 16).

Yves Gambu, CAPEBYves GAMBU a été élu en juillet dernier présidentde la CAPEB, la confédération de l’artisanat etdes petites entreprises du bâtiment du Vald’Oise, organisation dont il était le premiervice-président depuis 2009. Il succède à YvesHÉLIE. Artisan à Saint-Leu la Forêt et dirigeantde l’entreprise ADPC (assistance dépannageplomberie chauffage), il devient à 45 ans lenouveau chef de file de l’artisanat du bâtimentdans le Val d’Oise.

carnetR

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Du

Moi

S Le Bistrot du Parc :le plaisir vrai du fait maison


22 Septembre-Octobre 2011 – n°114 – Contact Entreprises

Semaine du goût : du champ à l’assiette

La semaine du goût se déroulera du 17 au 23 octobre

prochain. Onze restaurateurs participeront à cette

opération au cours de laquelle ils proposeront des

formules du Vexin, concoctées à base de produits

locaux de saison des fermes alentours. Rendez-vous à

la Bucaille (Aincourt), au chemin des peintres, à

l’Impressionnist’café, Sous le Porche (Auvers), aux

Jardins d’Epicure (Bray et Lû), Au Saint-Pierre

(Condécourt), A la table verte (Genainville), aux

Vignes rouges (Hérouville), à l’Auberge de la

gare (Montgeroult), à la Sucrerie (Us) et au

Rohan (Vigny). De nombreuses

animations se dérouleront

dans le Vexin (en septembre etoctobre) dans lecadre de l’automne

du goût : journée portes

ouvertes chez lesproducteurs pour

découvrir les activités de la ferme,

rencontrer des agriculteurs, assister à des visites

et des démonstrations...Pa

pille

s

Enghien : une nouvellesaison démarreLe théâtre du casino d’Enghien propose une programmation de rentrée riche et variée : théâtre,avec le Clan des divorcées, une pièce qui a marqué lacomédie de boulevard français (le jeudi 6 octobre),chanson avec le swingueur invétéré, Michel Jonasz(le vendredi 7 octobre) ou encore Pierre Perret, pourun spectacle plein de sensibilité qui marquera50 ans de chansons (samedi 15 octobre).Côté humour, Jean-LucLemoine abordera,dans son nouveaushow, le cap de laquarantaine (le 20octobre prochain).Enfin en novem-bre et décembre,Catherine Lara,Elie Semoun, Jenifer, SergeLama, BernardLavilliers etIsabelle Bou-lay se produirontsur la scène enghiennoise. Réservation au : 01 39 34 10 80

Thé

âtre

Clin d’oeil : La Roche Guyon

sous les projecteursLa première chaîne de télévision allemande (ARD) a tourné en septembre à La Roche-Guyon un film sur le maréchal Rommel.

Ce téléfilm sera consacré aux derniers mois de Rommel qui avait installéson état-major au Château en février 1944 afin d’assurer la défense des

côtes françaises contre le débarquement allié, le fameux Mur de l’Atlantique. Le tournage s’est déroulé au Château - intérieur et extérieur –et dans le village et a nécessité la fermeture du site durant une quinzaine

de jours. D’autres séquences seront tournées à Calais et en studio enAllemagne. Cette importante production explore les contradictions

du héros de la propagande nationale-socialiste. Le film intituléRommel sera mis en vente sur le marché international.

www.chateaudelarocheguyon.fr

DétenteM

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Le Val d’Oise vibre au rythmedu jazz Le festival itinérant Jazz au fil de l’Oisereprend ses quartiers d’automne du 4 novembre au 9 décembre. Cette 16e

édition, qui mettra en avant le jazz pluriel, pour un foisonnement de cuivres et de cordes, proposera unelarge palette de concerts. Les artistes àl’affiche se produiront aux quatre coinsdu département (Auvers-sur-Oise, Jouyle Moutier, Cergy, Osny, Marines, Ermont, Parmain, Méry-sur-Oise, Neuville, Eragny, Mériel, Pontoise, Courdimanche,Butry-sur-Oise…).Tél. : 01 34 48 45 03 - www.jafo95.com

Dix ans de Bluesen Val d’Oise Du 29 septembre au 21 octobre, le Val

d'Oise accueille la crème du blues dans tout

le département et des artistes en

provenance du monde entier. A suivre lors

de cette nouvelle édition de Blues en Val

d’Oise : Boney Fields, Shannon,

Paul Personne, Pat Travers… Depuis 10 ans

qu’existe le festival, ce ne sont pas moins

de 2 000 artistes venus de tous les

continents qui s’y sont produits. Outre les

amateurs du genre, ce festival de Blues

crée l’évènement auprès du public scolaire

grâce à une série d’expositions, ateliers

d’initiation musicale et de mini-

conférences. Concerts à Margency,

Montmorency, Deuil-la-Barre, Groslay,

Vauréal, Cergy, Cormeilles en Parisis,

Domont…Tout sur www.bluesenvo.fr

Ciné

ma




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Entreprise du mois : BALT W Sept.-Oct 2011 … · la politique gouvernementale des différents marchés en matière de santé publique. ... une blessure, une maladie, un handicap