LE SOMMET DE LA QUINZAINE

Du concret pour le téléphérique urbain de Toulouse !Le projet de Téléphérique Ur-bain Sud (TUS) à Toulouse, est entré dans une phase concrète depuis le 22 janvier à Toulouse. Tisséo-SMTC et son mandataire de maîtrise d’ouvrage, la SMAT (Société pour la mobilité de l’ag-glomération toulousaine), ont lan-cé un appel à candidatures pour la conception, la réalisation et la maintenance sur 20 ans d’un télé-phérique de 2,6 km reliant l’On-copôle, le CHU de Rangueil et l’Université Paul-Sabatier. Le projet prévoit le franchissement de la Garonne et de la colline de Pech David pour une centaine de mètres de dénivelé.Deux modèles de téléphériques sont aujourd’hui envisagés : un 3S, à trois câbles (2 porteurs, 1 tracteur), et un monocâble (un câble unique, à la fois porteur et tracteur, qui supporte et tracte les cabines). Les différences entre les modèles tiennent principale-ment à la taille des cabines, leur

fréquence de passage, le nombre et la taille des pylônes, ainsi l’im-portance de l’infrastructure des stations et par conséquent le coût. Le 3S présente des cabines plus importantes (35 personnes contre 12 à 15 personnes pour le mono-câble) mais moins fréquentes. Les pylônes sont aussi plus gros mais en moins grand nombre pour le 3S par rapport au monocâble. Le 3S est réputé plus confortable au pas-sage des pylônes mais nécessite des gares de stations plus grandes, ce qui pourrait engendrer des pro-blèmes d’insertion dans l’espace.

Le coût du projet est estimé entre 44 et 63 millions d’euros selon la solution technique retenue. Les constructeurs peuvent alors lais-ser libre cours à leur imagination pour proposer leur projet. En mars, ils seront quatre candidats à être sélectionnés pour recevoir le cahier des charges. C’est cet été que l’analyse des offres sera effec-tuée pour que le choix du candidat soit validé avant la fin de l’année. La déclaration d’utilité publique est quant à elle prévue pour fin 2018, pour une mise en service début 2020.

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448 3 février 2016Bimensuelle

ENTREPRISES MONTAGNE & STATIONS TOURISME

ENVIRONNEMENT POUVOIRS PUBLICS SPORT INTERNATIONAL

> Des français primés à Ispo> La CDA malgré la météo

> Pyeongchang devient PyeongChang> La Chine monte en puissance> Ce seront Courchevel et Méribel

> L’Administration soigne ses relations

> Edition réussie pour Grand Ski> Des étoiles pour la montagne> Airbnb convoite la montagne

> Une aide aux entreprises> Andorre, capitale du tourisme de neige> Grenoble - Uriage - Chamrousse !

> Bornes de recharge : un guide pratique> Affichages publicitaires : du nouveau> Protection des chemins ruraux

> Gestion financière des collectivités ...> La qualité du droit en question

> Webcam en 4k à Val Thorens

3 février 2016 1 n°448

Bourse

Webcam en 4K à Val ThorensSur le domaine de Val Thorens, la première livecam full HD pa-noramique de la gamme Ska-ping, a été installée sur le site des deux Lacs. Conçue et fabriquée à Grenoble par la start-up du Tarmac Al-tamendi, cette génération de caméras immersives propose des images ultra HD 4K, qui ga-rantissent une qualité optimale de jour comme de nuit, quelles que soient les conditions météo, pour une diffusion en temps réel sur les sites internet des profes-

sionnels du tourisme qui misent sur leurs paysages pour attirer de nouveaux clients.Elle est le fruit de plus de 2 ans de R&D au sein de l’équipe Alta-mendi, et se lance à la conquête des sommets alpins avec cette première installation pilote à Val Thorens. Outre une consul-tation classique en temps réel, cette livecam panoramique permet en un clic de visualiser la station à n’importe quelle heure de n’importe quel jour pour remonter dans le temps !

Alors que nombre de domaines skiables ont été impactés par un début d’hiver difficile, ceux de la Compagnie des Alpes (CDA) tiennent bon !La CDA a dévoilé les chiffres de son premier trimestre, présentant notamment un chiffre d’affaires de l’activité Domaines skiables de 65,4 M€, en hausse de +1,1%. Des résultats satisfaisants au re-gard d’un début d’hiver pénalisé par le manque de neige dans de nombreux massifs.Rien de surprenant pour la CDA qui a notamment pu compter sur une activité au cours de l’avant-saison : la neige dès mi-novembre a permis à tous les domaines du groupe d’ouvrir selon le calendrier prévu, contrairement à l’exercice précédent. Les domaines skiables, situés principalement au-dessus de 2 000 mètres d’altitude, ont pu ouvrir une bonne partie de leurs pistes pendant les vacances de Noël. Sur ce premier trimestre, l’activité des Remontées Méca-niques, stricto sensu, progresse de +0,9% conséquence d’un effritement limité des journées-skieurs de 1,0% compensé par une progression de la recette moyenne par journée-skieur de +1,9%. Le travail des équipes sur le terrain et celui de leurs par-tenaires en stations pour maximi-ser le nombre de pistes en état opérationnel face aux conditions météorologiques ont été appré-ciés par la clientèle des skieurs, permettant au passage une pro-gression des indicateurs de satis-faction sur ce trimestre.

La CDA malgré la météo

SOCIÉTÉS COURS 18/01

COURS 01/02 VAR % MAX

2016TECHNOLOGIES

Kudelski 11,60 12,63 8,88 12,63MND Group 1,72 1,74 1,16 1,74OUTDOOR

Adidas 84,01 94,98 13,06 94,98Groupe Go Sport 9,10 9,10 0,00 9,10

Lafuma 21,70 19,90 -8,29 21,70Quiksilver 0,01 0,01 0,00 0,01

TOURISMECompagnie des Alpes 14,09 14,10 0,07 14,10

Compagnie du Mont Blanc 98,00 96,50 -1,53 98,00Club Méditerranée 24,58 24,58 0,00 24,58

TéléVerbier 40,50 40,50 0,00 40,50Pierre & Vacances 30,02 28,87 -3,83 30,02

Le rendez-vous mondial de l’équipement en matière de sports d’hiver et Outdoor, Ispo Munich a récompensé cette an-née deux fabricants français.L’entreprise Petzl a reçu une distinction pour son harnais léopard ne pesant que 150 grammes, mais également pour ses crampons altitude ultra lé-gers.

Vertical a quant a elle reçu un Ispo award pour son sac à dos X-OS treklight spéciale-ment conçu pour mieux répar-tir le poids et ainsi soulager les épaules.De belles innovations qui il-lustrent bien que le savoir-faire français a de quoi séduire, même au delà de nos frontières.

Des français primés à Ispo

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ENTREPRISES

3 février 2016 2 n°448

Le 4 février, les Offices de tourisme de ces trois des-tinations officialiseront leur collaboration de pro-motion touristique.Les Offices de Tourisme de Grenoble Alpes Mé-tropole, Chamrousse et Saint-Martin d’Uriage signeront ce jeudi une convention formalisant un accord de promotion et de commercialisation tou-ristique commun.Ces trois entités couvrent un territoire exceptionnel et unique en Europe, alliant l’offre culturelle et patri-moniale d’une grande métropole, l’offre de loisirs et

de bien-être d’une station thermale et la diversité des activités de montagne en toutes saisons d’une station en altitude.En intensifiant leur collaboration les trois Offices de Tourisme souhaitent gagner en efficacité et propo-ser une offre plus étoffée aux visiteurs extérieurs.L’initiative est belle pour ces 3 espaces touristiques qui ont choisi de faire de leurs différences, une com-plémentarité et un atout supplémentaire à l’échelle d’un territoire global.

Suite à la tentative avortée de créer un fond d’investis-sement dédié aux entreprises de montagne, en raison du manque de fonds récoltés, Savoie Mont-Blanc Angels et le Cluster Montagne et se sont rappro-chés de Outdoor Sport Valley (OSV), pour lancer Montagne et Sports Participations, un nouveau fonds d’investissement dédié au développement des entreprises de montagne et outdoor.L’objectif de ce fonds est d’investir pas moins de 2,5 millions d'euros dans des entreprises porteuses d'un projet de développement ou visant la création ou la reprise d’une activité préalablement existante. Pour ce faire, une société par actions simplifiée sera créée au mois d’avril. A partir de là, les entreprises pourront candidater auprès de Montagne et Sports

Participations pour obtenir des fonds. C’est au cours du deuxième semestre 2016, après étude des dos-siers et vote favorable de la majorité des actionnaires de Montagne et Sports Participations, que les pro-jets pourront bénéficier d’une aide d’un montant de 50 000 à 375 000 euros.A l’heure actuelle, les trois créateurs en appellent aux souscriptions des particuliers et entreprises in-téressés. Elles sont ouvertes jusqu’au 10 mars Ainsi, Montagne et Sports Participations entrera dans le capital des entreprises le temps de permettre au projet de se pérenniser, avant d’en sortir. De quoi donner un nouveau souffle aux initiatives des entre-prises membres du Cluster Montagne et de OSV.

Grenoble - Uriage - Chamrousse !

Une aide aux entreprises de montagne... et du sport

Andorre, capitale du tourisme de neigeDu 2 au 4 mars, Andorre accueille la 9e édition du Congrès mondial de Tourisme de neige et de montagne. Après Andorra La Vella en 2014, l’évè-nement se tiendra cette année à Sant Julià de Lòria.En 2014 le Congrès était centré sur « Les nouvelles tendances du tourisme de montagne pendant la saison estivale » ; l’édition 2016 aura pour thème « Moun-tainlikers : Sport et aventure, une combinaison promet-teuse ».Dès le mercredi les intervenants aborderont en ouverture le tourisme sportif comme une opportu-nité pour les destinations de montagne en précisant les initiatives publiques et les conditions de succès ; la suite de la journée s’articulera autour de deux

séances : la première relative aux outils de marke-ting et de promotion des destinations montagne et des produits de tourisme sportif et d’aventure, la se-conde concernera l’impact des grands évènements sportifs.Le programme du jeudi est dense avec quatre séances au programme : créer le tourisme d’aven-ture entre authenticité et aménagements, prendre en compte les nouvelles aspirations et styles de vie de la clientèle, valoriser les sportifs célèbres au sein du marketing touristique, réinventer l’indispensable activité de randonnée.Le vendredi sera lui plus léger, avec la possibilité de visiter des sites touristiques andorrans.

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MONTAGNE & STATIONS

3 février 2016 3 n°448

PEAKUn blanc éclatant, même à haute température

A r e c o + S u f a g + S n o w s t a r =

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SUFAG, une société de

One partner, many solutions

La plate-forme communautaire de location et de réservation de logements de particuliers Airbnb fait les yeux doux aux stations al-pines. Depuis plus d’un an, les méninges travaillent dur chez Airbnb pour convaincre les propriétaires de logements particuliers en stations de s’inscrire sur la plate-forme.Pour bien commencer, l’entre-prise a créé une direction dédiée au marché alpin, et le directeur Alexis Dussillol peut compter sur une collaboratrice de marque, l’ex-championne de ski Marie Marchand-Arvier. Tous deux œuvrent pour vanter les retom-bées positives que peuvent géné-rer Airbnb. S’appuyant sur des apéritifs au cœur des stations, les acteurs de l’entreprises sont allés à la rencontre de ces pro-priétaires et aujourd’hui ils sont déjà 10 000 à être convaincus. Pour convaincre les plus indécis de réchauffer les « lits froids », Airbnb mise sur la création de conciergeries, qui auraient la charge d’accueillir les locataires de logements appartenant à des propriétaires différents, pour fa-ciliter la location des résidences secondaires trop souvent sous-utilisées. Le concept permet la mise en relation des propriétaires avec des locataires à la recherche de souplesse dans les dates de réservation et d’économies. Si les propriétaires de la Tarentaise ont plutôt bien répondu à ce projet, Airbnb ne compte pas en rester là et va continuer sa prospection alpine.

Airbnb convoite la montagneLes 26 et 27 janvier s’est te-

nue la 25ème édition du salon Grand ski à Chambéry. Près de 460 tour opérateurs venus de 55 pays ont fait le déplace-ment pour rencontrer les 245 exposants, représentant les cinq massifs français, présents sur le salon.Une édition non seulement réussie, mais également une édi-tion record puisque le cap des 10 000 rendez-vous d’affaires programmés entre les profes-sionnels du tourisme français et les voyagistes internationaux a été franchi, soit une hausse de 10% par rapport à l’édi-tion précédente. Des chiffres qui ravissent Chritian Man-tei, directeur d’Atout France qui organise avec une dizaine de partenaires ce rendez-vous commercial.Autre fait marquant, la pré-sence pour la première fois de voyagistes venus d’Iran ou du Kazakhstan. A noter également

que cette édition a été marquée par la forte présence de pres-cripteurs originaires notamment du Qatar, du Koweit et d’Israël qui bénéficient d’un fort pouvoir d’achat. Russes et Ukrainiens ont également répondu présents pour ce grand rendez-vous.Un bémol néanmoins, les tour opérateurs venus d’Angleterre, des Pays-Bas et de Belgique, se sont fait légèrement plus rares.Enfin, pour illustrer encore le succès de Grand Ski, pas moins de 190 voyagistes ont pu profi-ter des éductours pour aller à la découverte d’une vingtaine de stations. Si le secteur Savoie Mont-Blanc a largement profité de ces visites, les stations de l’Alpe d’Huez, les Deux-Alpes et Serre-Chevalier n’ont pas man-qué le rendez-vous.En définitive, il y a de quoi se réjouir d’un tel succès puisqu’il reflète toute l’attractivité de la montagne française et son rayonnement à l’international.

Une édition réussie pour Grand Ski

Des étoiles pour la montagneLe guide Michelin, ouvrage de référence pour les restaurants français, vient de décerner ses précieuses étoiles pour l’année 2016, et les Alpes n’ont pas été oubliées, puisque 6 établisse-ments font leur entrée parmi les étoilés.Une étoile de gagnée pour Le P’tit Polype aux Deux Alpes, L’Esquisse à Annecy, Le refuge des Gourmets à Machilly, Le Clocher des Pères à Saint-Mar-tin-de-la-Chambre et Raphaël Vionnet à Thonon les Bains.

Consécration pour le 1920 à Megève qui entre directement avec deux étoiles. Bien qu’il n’y ait pas de nouveau trois étoiles dans les Alpes cette année, La Bouitte des Meil-leur à Saint-Martin-de-Belleville qui avait décroché la distinction l’an dernier la conserve. Avec Les Flocons de sel à Megève, ils figurent encore parmi les 26 tables triple étoilées de France dans l’édition 2016 du guide rouge de la gastronomie.

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TOURISME

3 février 2016 5 n°448

Pour accompagner l’application de la loi sur la transi-tion énergétique votée en août 2015 qui fixe notam-ment l’objectif de 7 000 000 de bornes recharge pour véhicule électrique d’ici 2030, le centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement vient d’édicter un guide sur la mise en œuvre de ces bornes sur la voie publique. « Les col-lectivités territoriales ont un rôle clairement affirmé dans l’atteinte de cet objectif, elles sont en effet incitées à poursuivre leur plan de développement en encourageant

l’installation de points de charge et à accompagner les initiatives privées visant à la mise en place d’un réseau de bornes à caractère national accessible » précise le centre de recherches. Le guide, d’ores et déjà dispo-nible, détaille la réglementation ainsi que les préconi-sations techniques quant au déploiement des bornes de recharge sur la voie publique. Il revient également sur le raccordement des installations de recharge, les aménagements viaires et sur le développement d’une politique d’électromobilité sur un territoire.

Borne de recharge, un guide pour accompagner leur mise en place

Jusqu’au 9 février prochain, le ministère de l’Eco-logie soumet à la consultation du public un pro-jet de décret relatif à la publicité extérieure, dont l’entrée en vigueur est prévue au 1er mars. Si ce projet de décret autorise l’implantation de pu-blicités géantes, via notamment des écrans de télé-visiongéants de 50 m2, dans les stades de plus de

15 000 places, sur les parkings ou sur les voies d’ac-cès de dizaine de stades en France, une disposition est plus intéressante pour les petites communes. En effet, ce projet de loi vise également la possibi-lité d’installer des dispositifs scellés au sol dans cer-taines agglomérations de moins de 10 000 habitants lorsque les spécificités locales peuvent le justifier.

Nombreux sont les amateurs de randonné à s’alarmer de la disparition lente mais progressive des chemins ruraux. Le 21 janvier dernier, le Sénat s’est saisi de la question en votant une série d’amendements visant à renforcer la protection des chemins ruraux. Plus précisément, quatre amendements au projet de lois sur la biodiversité ont été adoptés afin d’apporter « une réponse à la disparition silencieuse des chemins ruraux ». Selon le sénatrice de Vendée Annick Billon, « l’enjeu est de préserver les 750 000 kilomètres de chemins ruraux qui sillonnent la France, destinés en priorité à desservir les exploitations agricoles et les communes entre elles. Ces dernières y voient un enjeu environnemental et touristique important pour revaloriser les territoires ruraux. Ces che-mins constituent souvent la base d’une trame verte avec des chemins bordés de haies et d’arbres. Ils sont aussi le moyen pour les usagers d’avoir accès à la nature ordinaire par les nombreux parcours qu’ils représentent ». Les dis-positions votées donnent certaines clés aux élus locaux pour préserver de tels chemins. Par exemple, cer-taines dispositions prévoient que le conseil municipal peut, par délibération, décider de recenser les chemins ruraux situés sur la commune, ce qui aura pour effet d’interrompre la prescription pour l’acquisition des parcelles comportant ces chemins. Une autre mesure

donne en outre la possibilité aux communes de pro-céder à l’échange des chemins ruraux, ce qui permet-tra de prévenir les conflits d’usagers et d’effectuer de manière paisible le réaménagement du parcellaire agri-cole, en vue de l’adapter aux nouvelles pratiques, sans en passer par un remembrement. Pour Mathias Fekl, secrétaire d’Etat chargé du commerce extérieur, de la promotion du tourisme et des Français de l’étranger, ces chemins « sont également des viviers de la biodiver-sité, protecteurs contre l’érosion des sols et donc des sup-ports pour le maintien de la trame verte et bleue ».Mais, derrière ce débat se cache une réalité, celle du manque de moyen des communes pour entretenir ces chemins comme le souligne très justement Jacques Mézard, sénateur du Cantal, « Aujourd’hui, dans des milliers de communes, non seulement les maires n’ont plus les moyens d’entretenir les chemins, mais les citoyens ne sont pas non plus en mesure, soit de faire-valoir à l’amiable leur volonté de devenir acquéreur de ces che-mins, soit de saisir les tribunaux. Et cette situation aboutit à la déshérence de dizaine de milliers de kilomètres de chemins ». Mais une autre inquiétude demeure : si le texte a été voté par le Sénat, il n’a toujours pas été ins-crit à l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale.

Affichage publicitaire, vers un assouplissement des règles

Pour une protection des chemins ruraux

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3 février 2016 6 n°448

Gestion financière des collectivités territoriales

L’Administration soigne ses relations

Le Conseil d’État a choisi de consacrer sa prochaine étude annuelle à la simplification et à la qualité du droit.Vingt-cinq ans après son étude « De la sécurité juridique » et dix ans après son étude « Sécurité juridique et complexité du droit », le Conseil d’État a estimé néces-saire de revenir sur ces questions pour estimer les progrès réalisés et les difficultés persistantes. Au delà de ce bilan, l’étude vise à mieux comprendre les causes de la complexité ainsi que les ambi-guïtés voire les contradictions qui peuvent ressortir des démarches de simplification et d’amélioration de qualité du droit. Mais l’étude aura surtout pour ambition de dégager des solutions concrètes et opérationnelles afin que les pouvoirs publics puissent œuvrer plus efficacement pour la simpli-fication. Appliquant la même mé-thodologie que pour les études précédentes (« Le droit souple » en 2013, « Le numérique et les droits fondamentaux » en 2014, « L’ac-tion économique des personnes publiques » en 2015), la section du rapport et des études s’appuie sur un cycle d’auditions de représen-tants des administrations, des élus locaux, des acteurs économiques et sociaux, d’universitaires et de responsables des institutions eu-ropéennes. Cette année, des audi-tions seront également conduites dans plusieurs États voisins afin de procéder à une analyse approfon-die des solutions mises en œuvre pour en tirer les enseignements utiles pour la France.

Le premier Code des relations entre le public et l’administra-tion est entré en vigueur, pour l’essentiel, le 1er janvier 2016.Il s’adresse, dans sa globalité, à un large public : les administrations de l’État et des collectivités territoriales, ainsi que leurs établisse-ments publics administratifs, les personnes chargées d’une mission de service public administratif, les personnes physiques - y compris les agents publics - et les personnes morales de droit privé.Par le caractère transversal de ses dispositions, le nouveau code a vocation à être utilisé dans de nombreuses procédures administra-tives, que ce soit pour les échanges avec l’administration (livre I), au moment de l’élaboration des actes de cette dernière (livre II), en matière d’accès aux documents administratifs et de réutilisation des informations publiques (livre III) ou encore pour le règlement des différends entre le public et l’administration (livre IV).Les familiers du droit public reconnaîtront dans les dispositions codi-fiées celles de la loi n° 79-587 du 11 juillet 1979 relative à la moti-vation des actes administratifs et à l’amélioration des relations entre l’administration et le public ou de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les adminis-trations, ou encore d’autres textes, plus récents, comme l’ordon-nance n° 2004-164 du 20 février 2004 relative aux modalités et effets de la publication des lois et de certains actes administratifs. Ils pour-ront également retrouver certaines des jurisprudences du Conseil d’État sur les conditions d’entrée en vigueur des textes, la sécurité juridique ou encore le retrait et l’abrogation des actes administratifs.Sur ce dernier point, les dispositions du nouveau code, qui entreront en vigueur en juin 2016, simplifient considérablement les règles et les unifient en consacrant la jurisprudence issue de la décision d’assem-blée Ternon du 26 octobre 2001.Compte tenu de son large public potentiel, ce code a été conçu avec la préoccupation de l’accessibilité, que ce soit dans le contenu des nouvelles règles qu’il pose ou dans sa structuration avec une imbrica-tion des articles législatifs et réglementaires permettant de présenter sur chaque thématique l’ensemble des dispositions applicables.

C’est le titre de l’ouvrage de Christian Escallier et Michel Klop-fer. Une 7e édition réactualisée : loi NOTRe, communes nouvelles, métropoles, projet de réforme de la DGF ...Sont développés, en des termes pédagogiques, les différents aspects méthodologiques et pratiques de la gestion territoriale, dont : ana-lyse financière et fiscale rétrospective et prospective, stratégie inter-communale et mutualisation des moyens, péréquation communale, départementale et régionale, choix des investissements publics, éva-luation des délégations de service public et des PPP, ...

La qualité du droit en question

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3 février 2016 7 n°448

« Pour éviter toute confusion, nous avons décidé de communiquer désormais sur le nom de PyeongChang avec un « C » majuscule » a annoncé Choi Moon-Soon, le gouverneur de la province de Gangwoon. La raison de ce changement ? Eviter la confusion avec la capitale nord-coréenne de Pyongyang. Cela pourrait faire sourire à première vue mais le risque de quiproquo est bel et bien réel. En effet, le Kényan

Daniel Olomae Ole Sapit, invité à une conférence de l’ONU sur la biodiversité à PyeongChang a par erreur pris un vol en direction de…Pyongyang. Re-tenu en Corée du Nord quelques heures, il a finale-ment pu prendre un vol en direction de Pékin puis rejoindre PyeongChang. La modification orthogra-phique a d’ores et déjà été réalisée sur l’ensemble de la communication afférente aux Jeux de 2018.

Consciente de certaines de ses faiblesses, la Chine s’active pour préparer les Jeux Olympiques de 2022. Non pas sur le terrain des aménagements où les chantiers se poursuivent et vont bon train mais sur le terrain sportif. Malgré le potentiel démogra-phique du pays et la présence de nombreuses infras-tructures, la Chine n’a jamais été une grande nation des sports d’hiver. Pour faire contre mauvaise for-tune bon cœur, la Chine a décidé de développer la pratique de certains sports d’hiver, notamment le hockey sur glace. De plus en plus de Chinois pra-tiquent ce sport et cela devrait encore s’accentuer dans les années à venir puisque le pays a décidé de se doter de près de 500 patinoires, soit plus que la Russie ! Cette stratégie poursuit une politique

claire : le Comité olympique chinois a fait du hockey sur glace une priorité afin d’éviter de subir une humi-liation aux Jeux de 2022, d’autant plus que ce sport serait l’une des disciplines favorites de Xi Jinping, l’actuel président chinois. Dans le même temps, la Chine vient d’obtenir le droit de créer une nouvelle franchise au sein de la Ligue Continentale de Hockey créée en 2008 et qui remplace le championnat russe. D’autres pays, notamment la Finlande et la Lettonie, ont également rejoint cette ligue qui comprend au-jourd’hui 28 équipes dont 6 ne sont pas russes. La nouvelle équipe chinoise fera ses premiers pas au sein de cette ligue dès la saison 2016-2017 et joue-ra ses matches au Sports Center qui a accueilli les épreuves de basketball lors des Jeux d’été de 2008.

Il y a quelques mois, le 5 octobre 2015 précisément, la Fédération Française de Ski, par l’intermédiaire de son président Michel Vion, avait officiellement annoncé que la France se portait candidate à l’organisation des Cham-pionnats du Monde de ski alpin de 2023. En effet, forte de sa place de première destination mondiale pour le ski, du poids de son industrie touristique et du dyna-misme des entreprises spécialisées dans le domaine de l’aménagement en montagne, la France se devait de res-ter dans le concert des nations organisatrices de grands évènements en lien avec le ski alpin. La France va donc candidater au travers de Courchevel et Méribel car si Chamonix et Val d’Isère avaient montré leur intérêt pour organiser cet événement, ce seront finalement les deux stations de Tarentaise qui ont été privilégiées par la FFS. Pour Michel Vion, « Nous nous devions de choisir la candi-dature qui soit la plus compétitive vis-à-vis des 17 votants du conseil de la FIS, avec également comme critère la zone d’arrivée et l’attractivité pour les partenaires ». De son côté, Fabien Saguez, le DTN de la FFS estimait avant le vote

final que « le projet idéal est désormais celui où les sites dames et hommes ne doivent pas cohabiter selon les critères édictés par la FIS, pour des raisons d’équité et pour laisser le temps aux techniciens de la FIS de préparer les pistes ». En choisissant Courchevel et Méribel, la FFS a fait le choix de « renouveler l’offre française et internationale », Chamonix et Val d’Isère ayant déjà organisé les Championnats du Monde de ski alpin par le passé, en 1962 pour la station haut-savoyarde et en 2009 pour la station savoyarde. A priori, et même si le concept peut encore évoluer après les échanges avec la FFS et la FIS, les épreuves seront donc réparties sur les deux sites comme suit : à Cour-chevel les épreuves de vitesse messieurs (descente et super-G) et les épreuves techniques dames (géant et sla-lom) et le super-combiné messieurs. A Méribel, seront organisées les épreuves de vitesse dames (descente et super-G) ainsi que les épreuves techniques messieurs (géant et slalom) sans oublier le super-combiné dames et le team event.La FIS désignera la ou les villes organisatrices en juin 2018.

Pyeongchang devient PyeongChang

La Chine monte en puissance

Championnats du Monde de ski alpin : les heureux élus sont connus

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3 février 2016 8 n°448

Avec l’arrivée du printemps le dimanche 20 mars prochain, une période de renouveau s’ouvre en montagne : Le Printemps du Ski !Une nouvelle saison qui se caractérise par des jour-nées plus longues, plus de douceur, plus de lumino-sité, plus de temps à consacrer à soi-même, à des activités diverses et variées, un ski d’exception à pratiquer, de nouvelles sensations, une nature qui s’éveille et de nouvelles expériences, le slogan « Du ski, oui … mais pas que » est le fil conducteur des actions presse et de communication engagées pour promouvoir la période du printemps, et notam-ment sur la thématique « Famille ».Les prix se feront plus doux ceci pendant les va-cances scolaires du printemps. De nombreuses sta-tions adaptent leurs tarifs et proposent des offres avantageuses pour les familles. Ainsi, l’opération « Le Printemps du Ski » 2016 s’inscrit sous la bannière « SKI FAMILY » pour répondre aux attentes d’une cible famille en période de vacances scolaires, avec +D’ACTIVITES, +D’AVANTAGES, +D’EVENE-MENTS et +D’INITIATIONS. MOBILISATION GENERALEA l’occasion du voyage de presse « Le Printemps du Ski » qui a eu lieu les 13 et 14 janvier dernier au Club Med de Val Thorens Sensations, France Mon-tagnes, ses partenaires ainsi que les 14 stations pré-sentes ont pu annoncer leurs offres commerciales et événements, devant 32 journalistes nationaux et internationaux. Un second rendez-vous presse a été organisé jeu-di 28 janvier lors d’un déjeuner à Paris, permet-tant ainsi aux contacts clés de la presse nationale d’échanger avec les représentants de France Mon-tagnes sur cette action collective qu’est « Le Prin-temps du Ski ».Partagez votre expérience du Printemps du Ski sur les réseaux sociaux : #leprintempsduski et #skiin-gintospringRetrouvez toutes les offres et informations des 32 stations partenaires sur le site www.leprintemps-duski.com et anglais qui ont été créé afin de valo-

riser la période auprès de la clientèle et des médias.

Le printemps du ski est en route !

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3 février 2016 9 n°448

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Commercial France h/f

MissionsRattaché au Directeur Commercial, vous êtes charge du développement des ventes des remontées mécaniques et tapis dans les stations de ski de tout le territoire français. Vous assurez ainsi l’ensemble des missions qui incombent à un commercial, de la prospection de nouveaux clients à la signature des contrats.

Dans un contexte à fort potentiel de développement et d’importante mutation, vous avez pour missions principales de développer le CA de la société, votre portefeuille clients ainsi que de développer et entretenir un relationnel direct avec les responsables des Domaines Skiables. Vous travaillez également en étroite collaboration avec les équipes techniques afin d’adapter aux mieux les solutions proposées. Vous coordonnez les études et la préparation des devis en cours, en relation avec le service affaires/BE.Bien entendu vous accompagnez la montée en gamme des produits par les retours de vos clients et détectez les besoins du marché (nouveaux produits/services, évolution du marché).

En relation permanente avec votre supérieur hiérarchique vous fonctionnez par feed back naturels et assurez ainsi le reporting de l’ensemble de votre activité.

ProfilDe formation supérieure technique ou commerciale, vous pouvez justifier d’une expérience réussie dans la vente de produits industriels B to B. Vous manifestez un fort intérêt pour la vente de produits techniques et innovants et avez l’habitude d’échanger avec vos clients et prospects sur ces aspects afin de leurs proposer la solution la plus adaptée à leur projet de RM.

Passionné par la montagne vous avez idéalement déjà travaillé dans l’aménagement de ce milieu et en connaissez tous les rouages. Vous maîtrisez l’outil informatique, parlez un anglais courant (l’espagnol est un plus) et n’avez aucune difficulté à défendre un projet devant des décideurs. Vous avez en effet cette capacité à adapter votre niveau de langage en fonction de vos interlocuteurs qui seront de tout ordre.Bien entendu vous appréciez les déplacements qui représenteront une grande partie de votre temps de travail.

Homme de challenges et fin négociateur, vous recherchez un poste à forte valeur ajoutée où votre esprit d’analyse et votre capacité d’adaptation feront de vous une personne incontournable dans le milieu de la montagne.Merci d’envoyer votre dossier de candidature (CV – LM - Prétentions salariales) à notre cabinet conseil ASCENSO via le site internet www.ascenso-rh.com rubrique Annonces avant le 15 février 2016.Salaire selon compétences – Véhicule de fonction – Statut cadre.

Filiale du Groupe MND, constructeur incontournable de remontées mécaniques et de tapis pour les stations de montagne et de transport par câble urbain, recrute

3 février 2016 10 n°448

ENTREPRISES MONTAGNE & STATIONS TOURISMEENVIRONNEMENT POUVOIRS PUBLICS SPORT INTERNATIONAL

AGENDAAPPELS D’OFFRES / DSP OFFRES D’EMPLOIFRANCE MONTAGNES OFFRES D’EMPLOI

Responsable de la Centrale de Réservation (H/F) - CDI

Sous l’autorité du Directeur de la centrale, en étroite collaboration avec l’Office de Tourisme, vos principales missions seront de :

- Participer à la définition de la stratégie globale du service (B to B, B to C) et la décliner dans sa mise en œuvre opérationnelle

- Assurer le respect du positionnement des Menuires et de Saint Martin de Belleville et des guides de marques associés dans l’ensemble des canaux de distribution en France et à l’étranger

- Développer le volume d’affaires et la marge opérationnelle- Développer une gamme de produits par cible- Paramétrer, avec votre équipe, l’ensemble de ces offres dans le logiciel de réservation et sur le site internet- Développer les ventes supplémentaires (prestations annexes…)- Développer les synergies et les partenariats avec les hébergeurs des stations et l’ensemble des prestataires

de services - Améliorer la satisfaction et la fidélisation des clients- Animer et gérer l’équipe, composée d’un comptable, d’un agent de réservation senior, d’un commercial

groupes/événementiel, d’un responsable TO et marchés, ainsi que de 3 à 4 CDD hiver.- Gérer les ventes et l’accueil client- Gérer le budget annuel de l’association et l’animation des Conseils d’Administration, Assemblées Générales,…

Ce poste s’adresse à un candidat de Formation supérieure, bac + 4/5 de type école de commerce, IUP… Anglais courant obligatoire, une langue supplémentaire serait appréciée, bénéficiant d’une expérience de 5 ans minimum dans le secteur du tourisme / de la commercialisation internationale. La connaissance du tou-risme de montagne serait appréciée.

Vous êtes rigoureux, fiable, organisé et autonome. Vous faites preuve de curiosité, de créativité pour déve-lopper une gamme de produits complète. De tempérament commercial, vous êtes passionné de marketing et e-marketing. Votre profil opérationnel vous permet d’appréhender rapidement les problématiques de paramétrage de logiciel, site web…Vous êtes naturellement doté d’un excellent relationnel. Vos valeurs (simplicité, vitalité, esprit d’équipe et de partage) seront des atouts nécessaires pour travailler en harmonie, tant avec vos équipes que l’ensemble de vos interlocuteurs, acteurs économiques et politiques locaux notamment.Plus qu’un emploi, votre candidature s’inscrit dans un véritable projet de vie en montagne, votre environnement favori !Merci d’adresser votre candidature à notre cabinet conseil GPS Interfaces, via l’adresse mail suivante : grenoble@gps-interfaces.com

La Centrale de Réservation des Menuires et de Saint Martin de Belleville assure la commercialisation et la promotion B to B et B to C de l’offre de séjours des 2 stations. Elle génère un volume d’affaires annuel de 4 millions d’euros pour un budget de 650 000€.

3 février 2016 11 n°448

W W W . M O U N TA I N - P L A N E T . C O M

INTERNATIONAL MOUNTAIN DEVELOPMENT FAIR

SALON DE L’AMÉNAGEMENT EN MONTAGNE

A L P E X P O • G R E N O B L E • F R A N C E

13 15APRIL 2016

MOUNTAIN PLANET

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FÉVRIER

Le 04• Journée techniqueTechnoAlpin,Les Arcs (France)• Inauguration Les Contamines - Montjoie

Les 04 et 05• Voyage en multimedia,Saint-Raphaël (France)

Le 05• Inauguration du télésiège Les Mélèzes,Les Houches (France)

Le 16• Inauguration de l’Espace Mille 8,Les Arcs (France)

Du 24 au 27• Alpitec China 2016,Pékin (Chine)

MARS

Du 02 au 04• 9e Congrès mondial du tourisme de neige et de montagne,Sant Julià de Lòria (Andorre)

Du 07 au 09• Salon Sport Achat,Lyon (France)

Les 09 et 10• Place Marketing Forum - Le rendez-vous du marke-ting territorialAix-en-Provence (France)

Le 16• Journée technique CatexMontaz Equipement,La Plagne (France)

Le 17• Journée d’information Kässbohrer E.S.E.

et TechnoAlpin,Avoriaz (France)

Du 17 au 20• Salon Mondial du Tourisme,Paris (France)

Les 21 et 22• 3e Conférence del’Association Francophone de Management du Tourisme,Le Bourget du Lac (France)• Tourisme numérique 4 - Forum BtoB du tourisme numérique,Deauville (France)

Le 23• Journée technique« Ingénierie inventive et muta-tion en tourisme, loi NOTRe et nouveaux financements »,Paris (France)

Les 30 et 31• 21e Challenge PistenBully,Courchevel (France)

AVRIL

Du 06 au 07• Europa Drone 2016 - Salon européen du drône civil,Lyon (France)

Du 13 au 15• Mountain Planet,Grenoble (France)

Les 26 et 27• 6es Assises des Randonnées et activités de pleine nature,Saverne (France)

MAI

Les 03 et 04• 3e Conférence de l’AFMAT« L’innovation dans le tou-risme : l’heure des défis »,

ENTREPRISES MONTAGNE & STATIONS TOURISMEENVIRONNEMENT POUVOIRS PUBLICS SPORT INTERNATIONAL

AGENDAAPPELS D’OFFRES / DSP OFFRES D’EMPLOIFRANCE MONTAGNES AGENDA

3 février 2016 13 n°448