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Société Mensuel de l’Armée du Salut - 123 e année - N° 3 - 2013 Ne vous bouchez pas les oreilles ! page 3 Vivez pour Dieu ! page 4-5 elon certaines études, lorsque nous entendons une mélodie, celle-ci est perçue par notre cerveau droit, siège des émo- tions. Celui-ci peut alors concevoir un plaisir esthétique, agissant sur l’hu- meur. Pour prendre un exemple per- sonnel, il me suffit d’écouter quelques notes de « Rage Against the Machine » pour me redonner de l’énergie lorsque je suis las et inversement, la chanson « J’ai la vie qui m’pique les yeux » de Renaud, me file le cafard, même si je l’écoute alors que je suis de bonne humeur. Il existe même des thérapies qui pré- tendent utiliser la musique pour guérir leurs patients. Mais la musique peut- elle réellement bouleverser la vie d’une personne ? La musique change des vies Scène anodine : il est aujourd’hui possible d’écouter de la musique partout et à tout instant. Une musique peut changer le cours d’une vie, comme en témoigne Soeun Uch, un jeune homme de 23 ans. Considérée aujourd’hui comme un moyen de divertissement avant tout, il est indéniable que la musique est un excellent média pour transmettre messages et émotions. Sébastien Goetschmann S page 2

Espoir 3/2013 - La musique change des vies

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Une musique peut changer le cours d’une vie, comme en témoigne Soeun Uch, un jeune homme de 23 ans. Considérée aujourd’hui comme un moyen de divertissement avant tout, il est indéniable que la musique est un excellent média pour transmettre messages et émotions.

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Société

Mensuel de l’Armée du Salut - 123e année - N° 3 - 2013

Ne vous bouchez pas les oreilles ! page 3

Vivez pour Dieu ! page 4-5

elon certaines études, lorsque nous entendons une mélodie, celle-ci est perçue par notre cerveau droit, siège des émo-

tions. Celui-ci peut alors concevoir un plaisir esthétique, agissant sur l’hu-meur. Pour prendre un exemple per-sonnel, il me suffit d’écouter quelques notes de « Rage Against the Machine » pour me redonner de l’énergie lorsque je suis las et inversement, la chanson « J’ai la vie qui m’pique les yeux » de Renaud, me file le cafard, même si je l’écoute alors que je suis de bonne humeur.

Il existe même des thérapies qui pré-tendent utiliser la musique pour guérir leurs patients. Mais la musique peut-elle réellement bouleverser la vie d’une personne ?

La musique change des vies

Scène anodine : il est aujourd’hui possible d’écouter de la musique partout et à tout instant.

Une musique peut changer le cours d’une vie, comme en témoigne Soeun Uch, un jeune homme de 23 ans. Considérée aujourd’hui comme un moyen de divertissement avant tout, il est indéniable que la musique est un excellent média pour transmettre messages et émotions.

 Sébastien Goetschmann

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 page 2

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société

  

Point de vue

Le Livre Saint regorge de notes de musique dès son premier livre, la Genèse : « Youbal fut l’ancê-tre de tous ceux qui jouent de la harpe et du chalumeau. » (chapi-tre 4, verset 21) Le nombre incal-culable des versets bibliques nous parlant de musique nous prouve, s’il était nécessaire, à quel point celle-ci jouait un rôle important dans la vie du peuple de Dieu, aussi bien dans la vie quoti-dienne, que dans la vie religieuse, personnelle et collective. Chants

En avant la musique !

de joie, lors des fêtes, des maria-ges, au foyer, et pendant les travaux campagnards, « Pendant ce temps, le fils aîné de cet homme était aux champs. A son retour, quand il approcha de la maison, il entendit un bruit de musique et de danses » (Luc 15 : 25), chants de deuil en l’honneur d’un défunt, « Alors David composa une complainte à l’occasion de la mort de Saül et de Jonathan » (2 Samuel 1 : 17). Dans la vie politique, les prêtres convo-quaient l’assemblée au moyen de

deux trompettes d’argent ; les rois d’Israël possédaient des musiciens attitrés et la musique était associée au culte régulier du Temple … bref, on pourrait parler musique et Bible des heures durant ! Même les anges de Dieu n’hésitent pas à emboucher les trompettes dans la vision d’Apo-calypse de Jean « Les sept anges qui tenaient les sept trompettes se préparèrent alors à en sonner. » (Apoc. 8 : 6) Monde terrestre, monde céleste, rien ne résiste à l’élan vital de la musique !

 Marianne Hefhaf

lente (du métal) avec souvent des paroles de haine contre Dieu, et cela me faisait du bien. Cela me permettait de sortir ma colère, c’était comme un exutoire. Mais dans le fond, cela ne faisait que me remplir de mauvais senti-ments.

Un jour, on m’a prêté un CD d’un groupe de métal chrétien. Je com-

prenais les paroles, mais ça ne me dérangeait pas, parce que j’aimais bien le style. Et au milieu de l’al-bum, il y avait un morceau de louange. En l’entendant, j’ai res-senti la présence de Dieu, c’était quelque chose que je n’avais jamais ressenti avant, c’était très fort. Ça a fait comme un déclic en moi. Je me suis demandé pourquoi Dieu se manifestait à moi, alors que j’étais totalement opposé à lui. J’ai alors cherché le texte biblique que le groupe lit dans la chanson (Ezéchiel 36 : 26-28), ça a changé ma vie.

Avant, quand je jouais ou écou-tais de la musique contre Dieu, je me sentais bien parce que j’expri-mais ma haine et cela allait dans le sens de ce que pensais. Main-tenant, pour exprimer mes senti-ments, je n’ai plus besoin de la musique, je peux prier. Et quand je joue pour Dieu, je me sens encore mieux, parce que c’est l’amour que j’exprime et l’amour est tellement plus fort que la haine ! »

Soeun Uch conti-nue de jouer de la guitare et même du métal, mais ses motivations ont ra-dicalement changé.

Converti par la musiqueSoeun Uch témoigne : « Depuis

toujours, la musique occupe une place primordiale dans ma vie. J’en écoute tout le temps, je joue de la guitare et je chante aussi un peu. La musique me permet d’exprimer mes émotions; avant, par exemple quand j’étais énervé, j’écoutais de la musique très vio-

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Dans la Bible

Jésus monta dans la barque de Simon et lui demanda de s’éloigner un peu du rivage. (…) Puis il lui dit : Avance vers le large, en eau profonde, puis, toi et tes compagnons, vous jetterez vos filets pour pêcher. Maître, lui répondit Simon, nous avons travaillé toute la nuit et nous n’avons rien pris, mais, puisque tu me le deman-

Ne vous bouchez pas les oreilles !

i je vous disais que mes amis Pierre et Anne sont d’une gentillesse sans pareil, vous me croirez

peut-être. Mais ce n’est qu’une fois que vous les connaitrez mieux, que vous les apprécierez vraiment. Il en est de même dans nos rapports avec Dieu : nous pouvons croire que la Bible et l’Eglise disent vrai, mais cela ne changera rien à notre vie. Ou nous pouvons vivre dans un rap-port d’amour avec le Dieu vivant. Mais attention, là ça chamboule les vies de fond en comble !

Il en était ainsi avec Simon et Jésus : ils se connaissaient déjà, Simon était même présent lorsque le Christ avait guéri miraculeuse-ment sa belle-mère. Et pourtant sa vie de pêcheur ne s’en est pas trou-vée changée.

Chose merveilleuse, lorsque Jésus lui dit de jeter les filets, lui le pro de la pêche, se plie à l’ordre. Et c’est à ce moment précis que Jésus peut intervenir. De cette interven-tion du Christ découle comme natu-

rellement que Simon reconnaisse sa condition humaine et fasse son choix décisif – il laisse tout tomber et suit Jésus.

Cette anecdote montre le chemin que doit faire un homme pour être sauvé : se préoccuper de Dieu au point d’accorder plus de valeur à Sa volonté qu’à son propre point de vue. Là Dieu peut agir et nous interpeller personnellement. Face à sa force salvatrice, nous savons que le seul avenir qui vaut la peine

 Gabrielle Keller

Simon le pêcheur a répondu à l’appel de

Jésus. Cet homme est plus tard devenu

l‘Apôtre Pierre.

des, je jetterai les filets. Ils les jetèrent et prirent tant de poissons que leurs filets me-naçaient de se déchirer. Alors ils firent signe à leurs associés, dans l’autre barque, de venir les aider. Ceux-ci arrivèrent, et l’on remplit les deux barques, au point qu’elles enfonçaient. En voyant cela, Simon Pierre se jeta aux pieds de Jésus et

lui dit : Seigneur, éloigne-toi de moi, car je suis un homme pécheur. En effet, il était sai-si d’effroi, ainsi que tous ses compagnons, devant la pê-che extraordinaire qu’ils ve-naient de faire. (…) Dès qu’ils eurent ramené leurs bateaux au rivage, ils laissèrent tout et suivirent Jésus.

d’être vécu se trouve en Christ. C’est plus tard que le même Simon dira ce que chaque chrétien converti peut dire avec assurance : « Maître où pourrions-nous aller ? Tu as les paroles de la vie éternelle. » (Jean chapitre 6, verset 68)

Et vous, êtes-vous encore en train de jeter les filets sans rien pêcher ou marchez-vous déjà dans les pas de celui qui a « les paroles de la vie éternelle » ?

évangile

S

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Vivez pour Dieu !Le paradoxe de la soumission est qu‘elle produit la puissance et la victoire. Christ peut nous faire triompher des tentations récurrentes et des problèmes acca-blants pour peu que nous les lui remettions.

En effet nul de nous ne vit pour lui-même, et nul

ne meurt pour lui-même. Car si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur ; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Soit que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. » (Bible, livre aux Romains, chapi-tre 14, versets 7 et 8)

La soumission, l’aban-don à Dieu, ne vous affaiblit pas, elle vous rend au contraire fort. À l’approche de la bataille la plus importante de sa vie, Josué s’approcha de Dieu, se prosterna devant lui et lui abandonna ses plans. Cette soumission se traduisit par une vic-toire éclatante à Jéricho.

La soumission, l’abandon à Dieu, ne vous affaiblit pas, elle vous rend au contraire fort. Lorsque vous vous en remettez à Dieu, vous n’avez aucune crainte à avoir et nul n’est besoin de vous soumettre à un autre maître. William Booth, le fondateur de l’Armée du Salut, a dit : « La grandeur du pouvoir d’un homme est proportionnelle à sa soumission. »

Pourquoi vous abandonner à Dieu ?

Parce que vous appartenez à votre Créateur. Dieu est en droit de diriger votre vie. « Nous ne sommes pas nos propres chefs pour décider de la manière dont nous voulons vivre ou mourir » (livre aux Romains chapitre 14, verset 7). « Reconnais-sez que l’Éternel est Dieu ! C’est lui qui nous a faits, et nous sommes à lui […] » (Psaume 100, verset3).

Parce que Christ vous a acheté par son sacrifice. La Bible dit :

« Il est mort pour tous, afin que les vivants ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux » (2ème livre aux Corinthiens, chapi-tre 5, verset 15).

Lorsque vous vous abandonnez à Christ, vous accomplissez le but même pour lequel il est mort – qui est non seulement de vous arra-cher à l’enfer, mais aussi de vous sauver de l’égocentrisme. En tant que chrétiens, nous ne vivons pas pour nous-mêmes, mais pour notre

«

foi

En remettant votre vie entre les mains de Jésus, votre soumission s’avérera comme une élévation.

 Rick Warren*

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foi

Sauveur (livre aux Romains, chapi-tre 6, verset 19).

Parce que Dieu a donné l’exem-ple. Il a pris l’initiative en renonçant à Jésus pour notre bien. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique […] » (Evangile de Jean, chapitre 3, verset 16).

Notre abandon à Dieu est la seule réponse raisonnable à un tel amour. Vous ne pouvez pas aimer Christ sans vous abandonner tota-lement à lui.

Une prière pour aujourd’hui

Seigneur, je veux arrêter mes calculs humains et m’abandonner complètement entre tes mains. Aide-moi à ne plus vivre pour moi-même mais à vivre pleinement pour toi. Amen.

*Rick Warren est le pasteur fon-dateur et principal de l’église de Saddleback à Lake Forest en Cali-fornie. Il est également l’auteur de nombreux ouvrages chrétiens, notamment « The Purpose Driven Life ».

Pour en savoir plus : www.rickwarren.com

C’est en nous joignant à Dieu, que nous devenons forts.

Délivré de l’alcoolJ’étais navigateur. Lorsque je me retrouvais dans les ports, c’était la grande vie dans les boîtes de nuit et amusements de toute sorte. Mais, surtout je m’adonnais à l’alcool, pouvant boire des litres de vin en une journée sans compter le reste. J’avais subi 4 désintoxications. Athée endurci, je ne me souciais pas de Dieu mais lui pensait à moi. A Marseille, un soir où j’étais complètement ivre, je passe devant une salle de l’Armée du Salut où j’entends le cantique : « Ô toi qui souffres solitaire, je te cherche pour te guérir ! » Je me décide à entrer et moi, l’homme endurci que rien ne pouvait émouvoir, je me mis à pleurer pendant 2 heures. Je compris ma misère et j’implorais le pardon de Dieu. C’est un homme transformé qui sortit de cette salle : ce qu’aucun docteur n’avait pu faire, Jésus l’a fait car il a payé ma dette à la croix. Voici 7 ans que cela dure et depuis je n’ai plus pris une goutte d’alcool. Je suis heureux et libre.

Témoignage donné en 2006 par un ancien alcoolique.Source : www.topchrétien.com

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témoignage

Sans tambourni trompette

Belle compassion !

Une pluie incessante tombait dans la neige sale. A l’arrêt de bus, un monsieur dans la soixan-taine. Pieds nus dans ses crocs, il s’appuyait sur des béquilles. Le mauvais temps nous offrait un sujet de bavardage.

Cela faisait plusieurs années qu’il vivait dans la rue et qu’il avait tout juste de quoi manger plus ou moins sainement. Mais quand il lui restait quelques pièces de mon-naie, il allait au supermarché et achetait un pain pour 1 franc 10. Pas pour lui, pour les pigeons : « Je les aime bien, les pigeons », me disait-il, « personne ne leur prête attention, alors parfois je leur achète de quoi manger. » Un jour, alors qu’il venait tout juste de poser des bouts de pain sur le trottoir, arriva un gros chien, qui se jeta sur le festin des oiseaux, engloutit tout et fila aussi vite qu’il était venu.

Le monsieur fut ahuri. Il voulut intervenir, mais le mal était déjà fait. Ce-jour là, ses pigeons durent s’envoler le ventre vide. Et ce monsieur, pieds nus dans ses crocs en pleine gadoue, en conclut simplement : « Faut croire que la malchance n’arrive pas qu’à moi. »

Et ce pauvre homme, qui donc s’est soucié de lui en cette froide journée d’hiver ?

oyager en train, c’est formidable. On peut se détendre, le regard émerveillé par le pay-

sage qui défile, même si c’est celui qu’on peut voir chaque jour ou presque, parce que chaque jour il a un aspect différent, une lumière différente. On peut aussi prendre le temps de lire ou, pour d’autres, travailler ses dossiers ou ses cours. Mais le plus extraordinaire, c’est si on peut faire ce voyage dans la cabine de la locomotive, à côté du mécanicien. J’ai eu plusieurs fois le privilège de vivre cette expérience et j’en garde de beaux souvenirs. Parmi ces expériences, une des plus marquantes a été la traversée du tunnel de faîte du Lötschberg, long de plusieurs kilomètres. Il faut dire que les tunnels ferroviaires ne sont pas éclairés comme le sont ceux destinés aux automobiles et que les locomotives de l’époque n’étaient pas équipées de phares mais de très faibles lanternes frontales. Rouler ainsi dans la nuit presque totale, c’est impressionnant. Alors, quel

soulagement, à la sortie, de retrou-ver la lumière du jour, de voir la voie qui va nous conduire en sécu-rité à destination.

Dans une période de ma vie, accablé par les soucis et d’autres difficultés, j’avais l’impression de naviguer en plein cirage. Tout, autour de moi, me paraissait obscur, comme un trou noir sans issue. En fait, ce n’était pas juste. Ce trou noir, j’ai réalisé qu’il était comme un tunnel, à partir du moment où j’ai pu remettre mon existence entre les mains de Dieu qui pouvait me diriger, comme les rails guident le roulement de la locomotive. Et quel éblouissement, dès lors, à la sortie de ce tunnel. La lumière du Christ a rempli mon âme, m’a montré le vrai chemin de ma vie. Ce Jésus lui-même n’a-t-il pas dit : « Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit, il ne marchera pas dans la nuit, mais il aura la lumière qui donne la vie » ? (La Bible, Jean 8, verset 12)

Au fond du tunnel

V

 Gabrielle Keller

Un train qui s’engouffre dans le noir profond pour ensuite revenir à la lumière éblouissante.

 Pierre-André Combremont

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infos

L’Armée du Salut aide, malgré la guerre

En recueillant des dons, l’objectif de l’Armée du Salut en Allemagne est de donner des cours de lecture, d’écriture et de travaux manuels à 60 femmes ayant un handicap physique. En outre, l’Armée du Salut

veut aider les femmes à vendre leurs produits sur les marchés locaux : tricot et couture, savon et parfum, tissu africain ou services tels que le tressage de cheveux.« Les gens au Mali ont actuellement

besoin de notre soutien tout particulier. », dit la colonelle Anne-Dore Naud, Présidente territo-riale pour les « Femmes, Familles et Seniors » de l’Armée du Salut en Allemagne, Lituanie et Pologne. Les femmes handicapées se trou-vent dans une situation particulièrement diffi-cile. Gagner leur vie ou contribuer à la subsis-tance de leur famille est presque impossible pour beaucoup d’entre elles. Grâce à la vente, les femmes peuvent partiel-lement subsister à leurs besoins ou apporter leur contribution au revenu familial, malgré leur handicap.Depuis 2007, l’Armée du Salut est active au Mali. Elle y prend soin des pauvres, des malades et des défavorisés. En dépit de la situation actuelle incertaine et difficile dans ce pays d’Afrique de l’ouest, elle y poursuit son engagement.

Source : Armée du Salut en Allemagne (heilsarmee.de)

Alors que le conflit armé fait rage au Mali, l’Armée du Salut allemande lance l’« Aktion Nächstenliebe » 2013 (Campagne amour du prochain) à Ouenzidougou, pas loin de capitale Bamako. Le projet vise à soutenir les femmes atteintes d’un handicap.

A Ouenzidougou, la situation des femmes handicapées est particulièrement difficile.

Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 382 05 91 | Courriel : [email protected] | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général e : Linda Bond | Chef de territoire : Commissaire Franz Boschung | Rédaction Berne: Gabrielle Keller (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne | Concept gra-phique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Media SA, Wabern | Tirage : CH: 5000 ex. BE : 4000 ex. | Crédit photo : P 1 : Meet Tyrone_flickr.com ; P 2 : Sébastien Goetschmann ; P 3 & 6 : Wikimédia ; P 4 : AdS ; P 5 & 8: Gabrielle Keller ; P 7 : Armée du Salut en Allemagne | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.

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Sudoku

détente

Règle du jeuIl faut placer dans la grille, par ligne horizon-tale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel or-dre. Vous devez retrouver la totalité des chif-fres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !

Solution du Sudoku

«  Cherche  à  connaître  la  vo-lonté de Dieu pour tout ce que tu entreprends, et il te condui-ra sur le droit chemin.  »      

Bible, livre des Proverbes chapitre 3, verset 6