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Nobody’s Unpredictable
EtudePerception de la sécurité des soins en ville
Présentation24 mai 2011
2Présentation Sécurité des Soins en ville - 24 mai 2011
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Rappel Contexte et Objectifs
Rappel méthodologie
Principaux enseignements
1/ Bilan de l’existant de la sécurité des soins en ville : attitudes et comportements
2/ Perception, expérience, analyse des évènements indésirables (EI)
3/ Attentes des professionnels en ville en matière de sécurité des soins
Typologie des médecins généralistes
Questions - Discussion
PLAN
3Présentation Sécurité des Soins en ville - 24 mai 2011
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Contexte: une implication forte de la HAS dans l’amélioration de la sécurité des soins
La HAS s’investit dans la mise en place d’actions en faveur de la sécurité des soins :
Depuis de nombreuses années dans les établissements de santé via la certification desétablissements. Le manuel de certification V2010 illustre la volonté de la HAS d’impulserdes changements culturels auprès des professionnels de santé.
La HAS coordonne pour la France le projet international High 5s(développé par l’OMS).
Elle anime, par ailleurs, le réseau European Network for Patient Safety (EUNetPaS) quivise l’amélioration de la sécurité des soins dans les 27 États membres, notamment par lamutualisation des bonnes pratiques et la collecte de données.
Dans le cadre de sa mobilisation en faveur de la sécurité des soins, la HAS aconfié à Ipsos la réalisation d’une étude portant sur les opinions, les attitudeset les comportements des professionnels de ville en ce qui concerne lasécurité des soins.
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Contexte et Objectifs
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Contexte: en matière de sécurité des soins, la culture des professionnels de ville est stratégique
Différentes publications soulignent la forte dimension culturelle dans l’amélioration dela sécurité des soins et la nécessité d’impulser une dynamique parmi les soignants depremière ligne.
Changer les pratiques dans ce domaine implique non seulement d’agir sur l’organisation dessoins mais aussi d’impacter les systèmes de valeurs et d’idéaux des professionnels.
Aujourd’hui les établissements, plus sollicités sur la question de la sécurité, apparaissent avoirdes attitudes plus matures sur le sujet qu’en ville. Au‐delà d’initiatives locales incarnées par desgroupes de pairs et quelques récents signes positifs comme la publication du guideméthodologique RMM en 2009 par la HAS ou le projet de guide sur les événements indésirables,la dynamique reste timide en ville.
Aussi la HAS s’intéresse ainsi à mettre en place un programme d’actions spécifiquesen vue de l’amélioration de la sécurité des soins en ville.
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Contexte: un baromètre auprès des professionnels de ville
La HAS a sollicité Ipsos pour la mise en place d’un sondage portant sur lesprofessionnels de ville de première ligne : médecins généralistes, infirmières etpharmaciens d’officine.
Son objectif est d’appréhender les opinions, attitudes et comportements desprofessionnels en ville en matière de sécurité des soins.
Cette enquête a pour but d’être reconduite afin de mesurer les évolutions à l’œuvre surcette « culture de sécurité des soins ».
Un sondage préparatoire de gestion des risques
Evaluer les perceptions des professionnels est un pré‐requis pour définir les actions d’amélioration de
la sécurité des soins
Un sondage à visée barométrique
La répétition à distance du sondage permettra de mesurer les
évolutions au cours du temps
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Méthodologie: une étude quantitative
Conception du questionnaire L’enquête porte sur des indicateurs d’opinions, d’attitudes et de comportements
sélectionnés à l’issue des recherches bibliographiques, s’appuyant notamment sur le MaPSafqui n’est pas à proprement parler une enquête mais plutôt un outil d’autodiagnosticpermettant aux professionnels de se situer selon leur degré d’imprégnation et d’implicationvis‐à‐vis de la sécurité des soins.
Le MaPSaF utilise une échelle en 5 niveaux de culture de sécurité mêlant des élémentsd’attitudes, des valeurs et des comportements:
- A Pathologique ‐ attitude dominante : « la sécurité est une perte de temps », peu ou pas d’investissement pour améliorer la sécurité de soins
- B Réactive ‐ attitude dominante : on pense à la sécurité a posteriori après que l’incident ait eu lieu- C Bureaucratique ‐ attitude dominante axée sur l’administratif pour prouver que tout a été fait dans
les règles lors de contrôles éventuels.- D Proactive ‐ attitude dominante visant à améliorer la qualité des soins de manière proactive, avec un
investissement continu et une reconnaissance des actions notamment dans le management - E Intégrée ‐ la sécurité des soins fait partie intégrante de chaque acte au quotidien, elle est dans
l’esprit de chacun à tous les niveaux.
L’enquête a été précédée d’un pilote qualitatif constitué de 15 interviews de 45 minutes (5 MGs, 5pharmaciens, 5 infirmières) menées par une psychosociologue spécialisée en études de santé pours’assurer de la bonne compréhension et ergonomie du questionnaire.
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Méthodologie : une étude quantitative
Recueil des informations Questionnaire de 20 minutes, auto administré en ligne Terrain entre le 24 janvier et le 8 février 2011
Echantillons représentatifs selon la méthode des quotas : 300 interviews de médecins généralistes interrogés à partir d’un panel de professionnels de
santé, national représentatif ‐ Quotas: sexe, âge, catégorie d’agglomération et Régions UDA5(source DREES 2009).
101 interviews réalisées auprès de pharmaciens officinaux interrogés à partir d’un panel deprofessionnels de santé, national représentatif ‐ Quotas: Région UDA5, chiffre d’affaire (sourceCNOP 2010).
100 interviews auprès d’infirmiers libéraux interrogés à partir d’un panel de professionnelsde santé, national représentatif – Quotas : sexe, âge et Régions UDA5 (source DREES 2009).
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Principaux enseignements
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1 Bilan de l’existant de la sécurité des soins en ville
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12Je ne connais pas
J'en ai entendu parler, mais je ne l'aipas mise en placeJe connais et j'ai l'intention de la mettreen placeJe connais et je l'ai mise en place
Proximité à l’évaluation des pratiques professionnelles
En %
Base :
Q12a/P10a/I9a : Parmi les 4 attitudes suivantes vis‐à‐vis de l’évaluation des pratiques professionnelles, de laquelle vous sentez‐vous le plus proche ?
n=300 n=101 n=100
19
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25
32
20
43
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Sous total : Connaît l’évaluation des pratiques
Sous total : Connaît l’évaluation des pratiques mais ne l’a pas mise en place
95 8875
63 77
56
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
AAB
AC
BC
BCC
AC
L’EPP est connue (moins, cependant, chez les infirmières).
Néanmoins, les professionnels de santé en ville ne se sont pas encore majoritairement appropriés l’EPP : seulement 32% des médecins, 19% des infirmières et 12% des pharmaciens l’ont mise en place.
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Connaissance de la notion d’EI
En %
Base :
Q12b/P10b/I9ab: Connaissez‐vous cette notion d’EI telle que définie ?
« Un évènement indésirable associé aux soins est un évènement défavorable survenant chez un patient, quelles qu’en soient la gravité et la nature, consécutif aux stratégies et actes de diagnostic, de traitement, de soins, de prévention ou de réhabilitation. Il s’agit d’un évènement qui s’écarte des résultats escomptés et qui n’est pas lié à l’évolution naturelle de la maladie. »
n=300 n=101 n=100
Sous total : Oui
62 59 71
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
AB
38 41 29Non pas bien du tout
Non plutôt pas bien
Oui plutôt bien
Oui très bien
CC
3 infirmières sur 10, 4 médecins sur 10 et 4 pharmaciens sur 10 avouent de pas connaître la définition d’un événement indésirable telle que citée.
Sous total :Non
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12Je ne connais pas
J'en ai entendu parler, mais je ne l'aipas mise en placeJe connais et j'ai l'intention de la mettreen placeJe connais et je l'ai mise en place
En %
Base :
Q12c/P10c/I9c : Parmi les 4 attitudes suivantes vis‐à‐vis de l’analyse des EI, de laquelle vous sentez‐vous le plus proche ?
« L’analyse des évènements indésirables permet de réfléchir sur ce que l’on fait, et de se demander : « Qu’est‐il arrivé, comment et pourquoi est‐ce arrivé ? » (description de l'événement et recherche de causes) et « Comment faire pour que cela n'arrive plus ? » (mise en œuvre d’actions d’amélioration). C'est donc une démarche d'amélioration des pratiques professionnelles. »
n=300 n=101 n=100
Sous total : Connaît l’évaluation des pratiques mais ne l’a pas mise en place 88 92 94
6379
38
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
AC
Analyse des EI
AB
ACC
Les infirmières semblent avoir mieux intégré l’analyse des EI dans leur pratique: plus d’1 sur 2 (versus 25% pour les MG et 13 % pour les pharmaciens)
Sous total : Connaît l’évaluation des pratiques
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Une « motivation raisonnable » pour l’EPP
Une implication globale dans l’amélioration des pratiques professionnelles: 99% des infirmières, 82% des MGs et 81% des pharmaciens
….mais pas un réel engouement: seulement 22% des infirmières, 18% des MGs et 16% des pharmaciens = très
impliqués 18% des MG, 19% des pharmaciens = pas impliqués
EPP indispensable au maintien de la qualité des soins en ville : 93% des infirmières, 91% des pharmaciens et 79% des MGs
… seulement tout à fait indispensable :37% des infirmières, 32% des pharmaciens et 23% des MGs
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Utilisation de recommandations de bonnes pratiques / procédures validées
En %
Base :
Q14b/P12b/I11b : Utilisez‐vous des recommandations de bonnes pratiques, des protocoles/procédures validés ?
n=300 n=101 n=100
Sous total : Oui
Sous total :Non
85 60 84
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
15 40 16Non, pas du tout
Non, plutôt pas
Oui, plutôt
Oui, tout à fait
B B
B
B B
AC
AC AC
40% des pharmaciens, 15% des MG et 16% des infirmières déclarent ne pas utiliser de recommandations de bonnes pratiques, ni de protocoles ou de procédures validés.
Et leur utilisation est non systématique pour une majorité .
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Temps consacré à l’amélioration des pratiques professionnelles
En %
Base :
Q14a/P12a/I11a : Selon vous, consacrez‐vous suffisamment de temps à votre démarche d’amélioration de vos pratiques professionnelles ?
n=300 n=101 n=100
Sous total : Oui
Sous total :Non
56 35 59
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
44 65 41Non, pas du tout
Non, plutôt pas
Oui, plutôt
Oui, tout à fait
3
32
60
5
B B
B B
AC
AC
41% des infirmières, 44% des MG et …65% des pharmaciens pensent ne pas consacrer suffisamment de temps à l’amélioration de leurs pratiques → une culpabilité latente de ne pas faire s’investir suffisamment.
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Formation professionnelle au cours des 12 derniers mois
Q14d/P12d/I11d : Avez‐vous suivi des formations professionnelles, que ce soit en journée ou en soirée, au cours des 12 derniers mois ?
Sous Total Oui
Base : n=300 n=101 n=100
Moyenne
Ecart-type
BC
8.6
+ /- 9.4
3
+ /- 3.3
3.4
+ /- 4.2
BC
87 % 74 % 72 %
Base : n=300 n=101 n=100
Les médecins généralistes bénéficient nettement plus que les deux autres professions de formation professionnelle.
NOMBRE DE JOURS PAR AN
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Participation à des groupes d’analyse de pratique au cours des 12 derniers mois
18 %
Q14e/P12e/I11e : Avez‐vous participé à des groupes d’analyse de pratique au cours des 12 derniers mois ?
Seule une minorité de professionnels de santé en ville participent à des groupes d’analyse de pratique.
Comme pour la formation, les MG sont mieux lotis que les autres professionnels: 18% des MG participent à 5 réunions en moyenne par an (versus 1 professionnel sur 10 pour les pharmaciens et les infirmières, à raison de 2 à 3 réunions par an).
10 % 11 %
Base : participants à des groupes d’analyse
de pratique
Base: 300 101 100
2,8 groupes +/- 2,0
52 10 10
2,6 groupes +/- 1,7
5,0 groupes +/- 4,1
Nombre moyen de groupes d’analyse de pratique sur 12 mois
19Présentation Sécurité des Soins en ville - 24 mai 2011
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Un niveau de sécurité des soins perçu comme insuffisant
Il y a encore trop d’EI en ville pour :62% des MGs et 55% des pharmaciens versus 38% pour les infirmières.
La demande de formation est en concordance avec cette perception de la situation:
Ne sont pas suffisamment formés à la sécurité des soins :71% des MGs , 66% pour les pharmaciens et 51% pour les infirmières
Niveau de formation à l’analyse des évènements indésirables insuffisant pour 65% des MGs , 60% pour les pharmaciens et 56% pour les infirmières
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En %
Base : n=300 n=101 n=100
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
Attitudes vis-à-vis de la sécurité des soins en médecine de ville
Le niveau de sécurité des soins délivrés par mon cabinet/ma pharmacie est tout à fait satisfaisant
Q17/P15/I14: Sachant que a sécurité des soins vise à réduire à un niveau acceptable le risque d’événements indésirables associés aux soins, comment vous situez‐vous sur une échelle de 1 à 10 par rapport aux affirmations suivantes ?
Notes de 8 à 10Notes de 5 à 7Notes de 1 à 4
7
61
32
8
41
51
10
27
62
BC
C
AA
Des perceptions très contrastées pour chacune des professions.
6,7/10 7,1/10 7,5/10
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2 Perception et expérience des évènements indésirables
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Attitudes en cas de survenue d’EI
Réfléchissent à d’autres EI qui pourraient arriver et à la manière de les éviter100% chez les infirmières, 91% chez les MGs et 86% chez les pharmaciens
… « OUI tout à fait » : 50% des infirmières, 28% des pharmaciens et 25% des MGs
N’ont pas de procédures qui les guident sur la conduite à tenir : 26% des infirmières, 38% des pharmaciens et 41% des MGs
Appellent un autre professionnel de santé pour échanger sur la conduite à tenir
98% chez les infirmières, 77% chez les MGs et 64% chez les pharmaciens … « OUI tout à fait »: 57% des infirmières, 21% des MGs et 10% des pharmaciens
Ont peur des risques de procès :37% chez les infirmières, 44% chez les pharmaciens et 59% chez les MGs
… « OUI tout à fait »: 14% des infirmières, 10% des MGs et 6% des pharmaciens
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Q19a/P17a/I16 a: Avez‐vous déjà été confronté à un événement indésirable dans votre carrière ?Q23/Q24/Q25/Q26/P21/P22/P23/P24/I20/I21/I22/I23
Circuit d’analyse des EI
EI 70 %
au cours de la carrière
Pas d’EI 30 %
Analyse des EI
Analyse59 %
4%
Pas d’analyse 11%
EI 60 %
Pas d’EI 40 %
EI 67 %
Pas d’EI 33 %
Analyse53 %
9%
Pas d’analyse 7%
Analyse64 %
4%
Pas d’analyse 3%
Analyse avec des confrères39% 25% 60%
Mise en place d’actions correctives41% 37% 54%
Diffusion des actions correctives auprès de confrères21% 11% 30%
dont approfondie
par écrit
24Présentation Sécurité des Soins en ville - 24 mai 2011
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MGs Pharma InfBase 300 101 100
Le manque de temps 82 74 68
L'absence d'organisation dédiée au signalement et à l'analyse des événements indésirables 81 79 71
Le manque d'information méthodologique, d'accompagnement 78 78 68
La difficulté à identifier un événement comme étant un événement indésirable 74 73 57
Le fait que l'on n'a pas droit à l'erreur 71 66 71
La peur de reproches de la part du patient ou de son entourage 71 63 58
La crainte judiciaire 70 60 61
Le sentiment de culpabilité 64 53 50
La sanction du Conseil de l'Ordre 44 51 50
Le fait que cela ne soit pas rémunéré 34 29 30
L'indifférence, le manque d'implication 32 40 37
Freins pour parler et/ou analyser des EI
Q27/P25/I24 : Pour chaque élément ci‐dessous, vous direz, d’après ce que vous savez de votre profession, s’il freine les médecins/les pharmaciens d’officine, les infirmiers beaucoup, plutôt, plutôt pas ou pas du tout pour parler des EI et/ou les analyser ?
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
Sous Total : Freine pour parler et /ou analyser les EI (beaucoup + plutôt) En %
C
B
C
BC
C
C C
C
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3 Attentes des professionnels de santé vis-à-vis de la sécurité des soins
26Présentation Sécurité des Soins en ville – 24 mai 2011
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Q31/P29/I24: Finalement pour vous, en tant que professionnel de santé, certains éléments sont plus importants que d’autres en matière de sécurité des soins. Pour chaque élément ci‐dessous, vous diriez s’il est, pour vous personnellement, extrêmement important, très important, assez important, peu ou pas important.
[A,B,C] Différences significatives entre les cibles à 95% (MGs = A, Pharma = B, Inf = C)
Hiérarchie sur le % « Extrêmement » ImportantEn %
A A
B B
A A
A
AA
A
AC
AA
*
*
* Question filtrée si Q8= code 2 ou 3 / si P7 > ou = 2 / I6=code 2 ou 3; n= 165, n=96, n=82
Attentes en termes de sécurité des soins
MGs Pharma InfBase 300 101 100
La mise en place d'actions correctives 22 35 42
L'analyse des événements indésirables 21 33 28
La formation à l'analyse des évènements indésirables 19 23 29
La formation à la sécurité des patients 18 31 44
Le partage et l'échange entre confrères concernant les événements indésirables 19 13 42
La formation de toute l'équipe du cabinet à la sécurité du patient 14 40 54
Le partage de l'information concernant l'événement indésirable avec le patient 12 22 37
Le suivi des actions correctives mises en place 15 25 30
Le management de l'équipe du cabinet en vue de la sécurité du patient 12 34 25
La déclaration des événements indésirables 13 19 11
La formation de protocoles écrits visant la sécurité des patients 16 24 27
A A
AB
A A
A
AA
AB
A
ABA
A
A
A
Toutes ces attentes sont à prendre en compte puisque considérées comme importantes ( très ou extrêmement) par, au minimum, 50% des professionnels (protocoles écrits pour les MGs ) , voire beaucoup plus (92% pour la formation de toute l'équipe du cabinet pour les infirmières)