Eurek'all Niveau 1 Cours 1

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Jacques Ravatin

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  • EUREKALL

    Socit EUREKALL

    76 rue Didot

    75014 PARIS

    (/Fax : 01 45 41 40 54RC SIRET 402 200 166 000 13

    Cours

    Fascicule 1

    Janvier 97

    EUREKALL

  • Cours

    St EUREKALL

    Introduction lEtude des Formes

    Cours de 1ire Anne

    Il y eut la Grande Ourse, la Petite Ourse, Cassiope, le

    Navire, la Croix du Sud, et beaucoup dautres

    Il en est une nouvelle : lImprvue.

    Elle suggre

    Anne-Marie Branca

  • ETUDE DES FORMES ET CONCEPT DE

    CHAMP DE COHERENCE

    Prsentation pour nophytes

    INTRODUCTION

    Ce cours est pour la premire fois rdig. Il a t maintes fois dispens depuis les annes

    1975. Il sagit dune prsentation simplifie qui sert de dmarrage ceux qui

    sintressent ce qui se rapporte aux formes et ce que nous dveloppons depuis un

    certain nombre dannes et que nous appelons les Champs de Cohrence. Les

    dveloppements thoriques ne seront pas abords ici. Il faudra se rapporter pour en

    prendre connaissance aux ouvrages de Jacques Ravatin Thorie des champs de

    cohrence 1 et de Jacques Ravatin et Anne-Marie Branca Thorie des Formes et des

    Champs de Cohrence , ouvrage en cours de finition. Ce dernier permet dentrer

    compltement dans cette thorie nouvelle qui renferme un modle de la pense.

    Beaucoup de congrs ont t organiss par le groupe ARKALL. Le dernier sest tenu

    Carnac en juillet 1996. Il a t organis par Anne-Marie Branca et Bernard Menguy,

    celui-ci architecte Carnac est membre de lassociation ARKOLOGIE dont les crateurs

    sont Serge et Franoise Hennemann tous deux architectes. Ces personnes peuvent tre

    contactes pour toute ralisation dhabitation de mme que Luc Labat et Sophie Nouvel

    de la St Barka.

    Contact :

    ARKOLOGIE 77 rue de la Rpublique 93200 St DENIS ( 01 42 43 05 14MENGUY Bernard 12 Ave des druides 56340 CARNAC ( 02 97 52 25 76BARKA Architecture 31330 LAUNAC ( 05 61 85 77 761 Thorie des Champs de Cohrence, Edition Lacour, Nmes 1992

  • EUREKALL

    St EUREKALL Mme BRANCA 76 rue Didot ( 01 45 41 40 54

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  • EUREKALL

    BIBLIOGRAPHIE

    [1] Vladimir ROSGNILK, LEmergence de lEnel ou lImmergence des Repres. Introduction lEtude des Formes et des Champs de Cohrence, Editions ARKALL Tomes I et II (1985), Tome III (1988), Tome IV (1990), Paris.

    [2] Jacques RAVATIN, Thorie des Champs de Cohrence , Edit. C. Lacour, Nmes (1992).

    [3] Revue ARKALL Communication, Vol. I, fasc. 1-2-3,Vol. II, fasc. 1-2-3,Vol. III, fasc. 1-2-3-4,Vol. IV, fasc. 1-2-3-4-5,Vol. V, fasc. 1-2-3-4-5,Vol. VI, fasc. 1-2-3-4-5,Vol. VII, fasc. 1-2-3-4-5,Vol. VIII, fasc. 1-2-3-4-5,Vol. IX, fasc. 1-2-3.

    [4] Gilbert SIMONDON, Du Mode dExistence des objets techniques, Edit. Aubier, Paris (1957). LIndividu et sa Gense Physico-Biologique, Edit. P.U.F, Paris (1964). LIndividuation Psychique et Collective, Edit. Aubier, Paris (1989).

    [5] Louis BOUTARD et Armand HATINGUAIS, Retour aux Sources Mconnues, Tome I, Alger-Svres (1923-1963), Tome II, Alger-Svres (1923-1969).

    [6] Jacques Henry MINIER, La Vie Mancelle et Sarthoise, 19-26 (Mars -Avril 1996).

    [7] Abraham ELMALEH, Nouveau Dictionnaire Complet Hbreu-Franais, Edit. Yavneh, Tomes I, II, III & IV, Tel-Aviv (1974).

    [8] Marc BEIGBEDER, Contradiction et Nouvel Entendement, Edit. Bordas, Paris (1972).

    [9] Enel, La Trilogie de la Rota ou Roue Cleste, Edit. Dervy-livres, Paris (1973).

    [10] Max PICARD, Le Monde du Silence, Edit. Presses Universitaires de France, Paris (1954).

    [11] Franois DUPUY-PACHERAND, Atlantis n 229, (1965).

    [12] Georges BARBARIN, Dieu est-il Mathmaticien ?, Edit. Astra, Paris (1945).

    [13] Jacques RAVATIN, Brevet n 7821083, 13-07-1978, Paris.

    [14] Jacques BREYER, Terre Omga ,Edit. Robert Dumas, Paris (1974).

    [15] Jacques RAVATIN et Anne-Marie BRANCA, Thorie des Formes et des Champs de Cohrence ( paratre).

    [16] Jean PAGOT, Les missions de Forme, Edit. Maloine, Paris (1989).

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    Les Formes vues par les Anciens et les Modernes

    Les formes sont lies des repres ou sont elles-mmes des repres.

    Le repre, pour cette tude, est fondamental. Il permet lobservateur de dcrire ce qui

    lentoure. Il projette ses repres dans linfiniment grand ou linfiniment petit. Il se dcrit

    lui-mme par des repres.

    Le repre peut tre un systme daxes partir dune origine et dune unit de mesure ; il

    peut tre dordre comparatif : meilleur que, plus beau que Il peut mme correspondre

    une nature vague qui va permettre de donner une description plus prcise. Il peut-tre

    li la notion dappartenance : contenu dans .

    Ce repre est important car nous allons postuler lexistence sans repres .

    Ainsi, dans la vie humaine, on utilise des concepts o napparaissent pas de mesure, pas

    de repres. Aussi trouve-t-on les concepts suivants : amour, bont, douleur insoutenable

    aussi bien physique que morale, etc

    Cette existence sans repres sera appele le Global , lexistence avec repres tant

    le Local .

    Il ny aura quun Global alors quon pourra trouver des Local . Le monde dcrit par

    la pense rationnelle est un Local particulier, mais dautres Local sont possibles.

    Des voyageurs en ont parfois dcrit. Notre socit refuse ces apports quelle ne peut

    assimiler.

    Tout ceci entre dans la Thorie des Champs de cohrence2 .

    On ne dira pas que les concepts damour, peur, douleur intense, tat de bien tre sont

    dans le Global car il aurait alors une notion dappartenance donc une mise en place de

    repres, mais plutt lis au Global. Etre li dans le langage des formes tel que nous le

    dveloppons nentrane aucunement le concept des repres.

    La forme est pour nous plus ou moins reprable - Elle peut tre dans le Local par

    exemple le local usuel, cest dire tel quon nous la prsent, impos -.

    2 Voir les ouvrages de Vladimir Rosgnilk, Jacques Ravatin et A.M. Branca

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    Elle peut ntre que partiellement dans le local, une autre partie de cette forme tant

    lie au global -ici il faut faire attention car lexpression une autre partie entrane une

    dlimitation, donc un reprage ; il faut alors savoir que cette expression nest pas

    adquate, mais on peut lemployer sans crainte derreurs car on verra que pour tester une

    forme il est ncessaire den avoir une reprsentation correcte. La reprsentation, cest

    dire tout ce quon arrange comme connaissance, point de vue sur larrangement des

    concepts et concepts mmes, est fondamentale.

    On peut se poser la question, partir du moment o la forme est plus ou moins prsente

    ou plus ou moins absente dans la structure espace-temps [ E - T ], cest dire est aussi

    fondamentale que cette structure, ce que lon peut exprimer encore en disant que la

    forme merge ou simmerge dans la structure E-T : comment les Anciens voyaient-ils les

    formes ? - les Anciens tant les Grecs, Egyptiens, Hbreux, Sumriens, Chinois il y a

    6000 ans, ou encore Toltques, Aztques, Mayas, Incas enfin les Prcolombiens, ou

    encore les Esquimaux, les Aborignes dAustralie, etc Ils ne les voyaient peut-tre pas

    comme lhomme moderne, celui de la civilisation dans laquelle nous sommes et que nous

    nommerons Civilisation Rationnelle ou Champ de Cohrence Rationnel . Par

    exemple, les pyramides gyptiennes - Chops - taient-elles vues il y a 3500 ans comme

    maintenant ? Il semble que cest la ngation qui est la rponse cette question ! Les

    concepts nouveaux mis au point par le groupe ARKALL, puis lassociation DECALUM

    et la St EUREKALL de mme que lassociation ARKOLOGIE sont dans cette voie.

    Il ne faut pas se leurrer sur le concept de progrs souvent usit dans notre socit, ce

    progrs quentrane la supriorit du prsent par rapport au pass au point de vue

    connaissance, technologie, attitude, etc Ce nest pas comme cela quil faut raisonner

    car les civilisations passes taient sans doute tout fait diffrentes de ce que la pense

    rationnelle peut dcrire leur sujet. Pour absorber certains domaines, il faut une pense

    adquate et ne pas se complaire dans la pense rationnelle qui peut se permettre

    daborder tout domaine .

    Donc, regarder des bas-relief sur des murailles et des monuments et les dcrire, cest

    simplement les faire entrer de force dans le Champ de Cohrence Rationnel (C. de C.

    pour Champ de Cohrence) alors quil ne sont pas adapts lui - le C. de C. rationnel ne

    fait que les dformer comme on dforme un chapeau que lon veut faire entrer dans une

    bote trop petite pour lui. On peut simplement esprer, dans le cas du chapeau, quaprs

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  • EUREKALL

    tre ressorti de la bote il retrouvera sa forme premire. Alors que les bas-reliefs sont

    totalement dforms si on na pas conscience de lexistence dune autre pense que le C.

    de C. usuel (rationnel). Cette autre pense est appele Autre Champ de Cohrence

    ou Champ de Cohrence Dynamique . Dans lautre C. de C., les bas-reliefs,

    monuments anciens, langues anciennes, histoire et lgendes anciennes, vont donner leur

    vritable signification.

    On peut se poser la question :

    En postulant lexistence de lAutre C. de C., en le construisant peu peu, cela suffit-il

    pour tre sre que lon rattrape la pense des Anciens, ou les Penses des Anciens ? Il

    semble que la rponse est positive lorsquon dcouvre loprativit de certaines formes

    retrouves ou fabriques ! Mais il faut encore tenir compte du fait que ces formes vont

    tre dans la reprsentation rationnelle de lE-T, tout cela constitue une reprsentation,

    qui nest certainement pas celles des Anciens. Alors on peut provoquer des transferts

    entre forme du prsent et du pass plus ou moins lointain.

    La pense a ceci de bien fait : quelle peut crer le concept qui permet daccder dune

    connaissance une autre sans rapport avec la premire. Il sagit donc du Transfert .

    Le monde est une cration du cerveau ; en mme temps que le cerveau imagine,

    lobservateur se plonge, se dilue dans sa construction. Le processus nest pas rationnel3

    mme pour la construction du C. de C. rationnel.

    Le transfert permet de passer du C. de C. usuel lautre C. de C., des formes comme des

    alphabets anciens contribuent faciliter laccs cette connaissance, cette sensation,

    cette comprhension ; de plus, il y a de multiples formes qui permettent ce passage.

    Pour les Anciens, les formes taient fondamentales alors que dans notre monde moderne,

    elles sont des consquences, des fonctionnalits pour la ralisation des Objets Techniques

    (O-T) sauf quand on se trouve face aux Objets Esthtiques (O-E) [4] et [14], [2], [3] et

    [15].

    Les Objets Phnistes (O-P) sont, eux raliss partir de fonctionnalits dlocalises. Ils

    correspondent la plupart des objets raliss par les Anciens.

    Les formes partiellement localises peuvent servir de repres. Tout tre vivant est une

    forme partiellement localises, et mme trs peu localise. Toute description entrane-t-

    elle un repre ? On peut toujours imaginer un espace abstrait auquel est associ une 3 Voir les ouvrages de Vladimir Rosgnilk, Jacques Ravatin et A.M. Branca

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  • EUREKALL

    forme. Cet espace abstrait est attach au C. de C. usuel de par notre prsence dans ce C.

    de C.. Lobservateur met le plus possible de repres, mais certains de ceux-ci peuvent

    svanouir avec les ncessits lies la forme, ils sont fugitifs.

    Ce qui est trs important est le concept de ncessit [1], [2], [3], [4], [15].

    Il ne sera pas dvelopp dans ce cours de 1ire anne, comme beaucoup dautres

    concepts dailleurs.

    Mais, comme la crit Lon Delpech dans la prface de [1], cette approche qui

    transparat peu peu dans ce cours nest pas un jeu de pense ni une attitude de

    groupe voulant se singulariser ou sisoler, ni des complications striles il sagit l

    dune tape constructive dans la comprhension et une nouvelle prise de conscience. Elle

    nest pas non plus un rsultat de la crise du rationalisme, une chappatoire vaine, mais

    beaucoup plus lamorce dune mergence dans la pense humaine, mergence qui

    renferme la pense des Anciens Des chercheurs dont les travaux sont rests ignors

    par intolrance de la part des rationalistes ou du fait que la socit technologique ne

    pouvait supporter leurs apports, ceux-ci tant gnant pour sa stabilit, sont mis en valeur

    dans ces cours. Il y a donc J.W. Keely, N. Tesla, T.H. Moray, E. Hendershot, L. et M.T.

    Sprink, Coutelen, F. Dufourg, L. Rota, S. Bignand, G. Calligaris, G. Berg, G.

    Lakhovsky, Enel, Prior, A. Bchamp, L. Boutard, A. Morichini, D. Ghadiali, F.

    Crombette, W. Reich, H. Mayer, Geitel et Wilson, lAbb Fortin, Laithwait, H. Krayer,

    A. Schmidt, Mathias, T. Brown et bien dautres encore

    - 9 -

  • EUREKALL

    La cration est un miroir idal

    que lEsprit se prsente soi-mme

    afin que sa beaut lui apparaisse librement

    et comme du dehors.

    O.V. de L. Milosz

    - 10 -

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    Les Formes - Empreintes - Dlocalisation

    Introduction

    On ne peut trouver de classification exhaustive des formes - malgr cela on developpe ici

    un type particulier de formes dites formes-empreintes. Il en existe 3 qui sont

    fondamentales.

    Les 2 premires, qui seront prsentes ici, permettent dtablir les Eifs dites au niveau

    E-F-F.

    Prsentation heuristique

    Il a t dcouvert par les chercheurs Enel (Prince Skariatine) vers les annes 1920, puis

    poursuivi par Chaumery, Blizal, Lafforest, La Foye, puis par Ravatin, Pagot, , des

    sortes dmissions lies aux couleurs, aux formes.

    Il ne sagit pas dondes lectromagntiques comme les chercheurs, au dbut, lont cru.

    On tombe ici sur de lexistence sans repre, ces ondes de forme comme Enel les

    nomma vers les annes 20 sont lies au Global. On nest donc pas face un phnomne

    li un processus rationnel mais lentre dans un domaine immense quest lexistence

    sans repres.

    Une forme compltement dlocalise met normment de ces missions que nous

    avons appeles EIFS4 pour chacune.

    On peut trouver aussi de ces sortes deifs ... qui ne sont pas lis la forme mais la

    masse5. Elles sappellent EIMS. Nous ne les tudierons pas dans ce cours. On peut

    passer des eifs aux eims et rciproquement.

    On peut encore se demander sil existe de telles entits qui soient lies la fois la forme

    et la masse. Cela ne trouve que des mlanges deifs et deims.

    4 EIF : E pour mergence, I pour influence, F pour forme, pluriel Eifs5 Ceci a t tabli par Pierre de Montgrand

    - 11 -

  • EUREKALL

    On va donc envisager les 2 premires formes-empreintes6. Elles vont tre places

    verticalement. Elles permettent de dtecter les eifs dcouvertes par Enel dites eifs des

    couleurs ou par abrviation couleurs car elles furent dcouvertes partir de

    chiffons bleu, vert, jaune, rouge Il fallut rajouter dautres couleurs , qui nen sont

    pas, comme le blanc, noir, infra-rouge, ultra-violet. On parle donc de spectre des

    couleurs .

    On a essay de construire ce spectre des couleurs autrement, de faon justifier ce

    supplment qui nest pas, sinon sinspire du spectre lectromagntique, dans la partie

    visible de ce spectre.

    Cest l quinterviennent les deux premires formes-empreintes.

    Formes-empreintes et eifs

    Il faut rappeler que ce qui est dtect dans ce domaine ne se trouve pas l, dans notre

    champ de cohrence usuel, puisque cest li au Global ; par contre les effets se font

    certains endroits. On peut dire que la structure E-T sert de support. Mais servira-t-elle

    toujours de support une autre ralit qui ne la

    concerne pas ? Il se peut que non ! A ce moment l

    (si lon peut dire), on aura des phnomnes qui ne

    pourront en aucun cas tre dtects, qui aurait une

    existence lie au Global et peut-tre mme autre

    chose que nous ne dvelopperons pas ici [15].

    Ltre humain devra alors imaginer un autre

    support que la structure E-T et, si aucun support

    ne se prsente, ltre humain devra se transformer

    pour concevoir de nouveaux concepts qui lui

    donneront accs ce support de remplacement ou

    des quivalents.

    Voyons la premire forme empreinte : on considre un cercle de centre O et de rayon

    OA. Sur ce cercle, plaons les points B, C, D tels que AOB = 75 ; C est

    diamtralement oppos A ; DOC = 30 . On peut prolonger OC en dehors du cercle.

    6 Nous leur avons donn ce nom car elles apparaissent comme des empreintes dans un plan.

    - 12 -

    Figure 1

  • EUREKALL

    La forme ainsi dcrite sans le cercle est dite forme-empreinte de premire espce (figure

    1).

    Considrons un cercle de centre O et de rayon OA. Les points B, C, D, E, F sont sur le

    cercle, tels que AOB FOA EOF= = = 30 (Figure 2)

    DOE = 50

    C est diamtralement oppos A

    On peut prolonger OC lextrieur du cercle. Telle est la forme-empreinte de 2 ime

    espce.

    Ces deux formes (de 1ire et 2ime espce) peuvent tre places dans des plans verticaux, le

    point A sera considr alors le plus haut et AC est perpendiculaire au

    plan horizontal.

    - 13 -

    Figure 2

    Figure 3

  • EUREKALL

    On les utilisera ainsi.

    Considrons un demi-cercle et un diamtre MN dans un plan horizontal. Soit K tel que

    MKN = 40 et trace KM et KN.

    Plantons en K la forme empreinte de premire espce, verticalement. Elle est dans le plan

    vertical de trace OK sur le plan horizontal (voir figure 4).

    Ce qui donne les eifs (figure 6).

    Mais on peut ne conserver que la forme plane horizontale et planter en K, la forme-

    empreinte de seconde espce, verticalement, toute entire dans le mme plan que

    prcdemment, de trace KO (voir figure 5).

    On dtecte une nouvelle eif la verticale de A, O, C que nous crivons V- et le prcdent

    V sera crit V+ (le V- se dtecte galement la verticale de A, O, C).

    Nous arrivons donc 8 eifs. Ce sont les couleurs .

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  • EUREKALL

    Figure 4 Figure 5

    - 15 -

  • EUREKALL

    Figure 6 Figure 7

    Rappel : dans les travaux dEnel les couleurs taient places sur un cercle et au vert

    auquel il correspond le V+, se trouvait diamtralement oppose une eif qui a t crite V-.

    Cest celui que nous avons trouv dans ce montage. Grce cette nouvelle eif nous

    allons en faire apparatre de nouvelles rpertories par Enel, Chaumery, Blizal,

    Lafforest, La Foye : IR, BC, N, UVi. Celles-ci ne correspondent plus des couleurs mais

    dans ce spectre elles gardent cette dnomination.

    Nous la conserverons.

    Pour faire apparatre ces 4 nouvelles, il faut

    reprendre la figure ci-dessus, toujours dans

    un plan horizontal : on trace le cercle

    complet. On envoie en K du V-. On dtecte

    les 7 eifs prcdemment trouvs, le V-

    diamtralement oppos du V+, ainsi que IR,

    BC, N, UVi.

    - 16 -

    Figure 8

  • EUREKALL

    En rsum : on a trouv 12 eifs.

    V+, J, O, R, IR, N, V-, Bc, UVi, In, Bu

    - 17 -

  • EUREKALL

    Exercices

    1) Construire ces formes empreintes de 1ire et de 2ime espce.

    2) Dtecter les eifs dites du spectre indiffrencie ; naturellement il ne sagit pas de

    dterminer leif prcise par son nom, cela se verra plus tard. On recherchera

    uniquement des eifs.

    Complment au chapitre II

    Dtection des eifs

    Il faut dtecter ces eifs.

    Ce ne sont pas des ondes lectromagntiques comme certains lont cru ; ils pensaient

    quelles se plaaient dans le spectre lectromagntique, soit en de des rayons durs,

    soit au-del des ondes hertziennes. En de des on trouve les durs et au-del des ondes hertziennes, les ondes ultra-hertziennes.

    Il y a eu de multiples approches ce domaine ; on pensait dans la voie dEnel et ceux qui

    lon plus ou moins suivi : Chaumeray, Blizal, Chaisemartin, Lafforest, La Foye, Pagot,

    Philippe, et mme les chercheurs dARKALL et leur suite ceux dARKOLOGIE, de

    BARKA ; la voie de Morel tait lgrement diffrente sur ce qui se dtecte sur les

    formes, puis il y eut celle de Basse et encore bien dautres comme celle des frres

    Servranx.

    On se rend compte que la forme nest pas apprhende pareillement par chacun et que si

    on ne sattache pas une cole, on dcrira une forme par ses missions de manires

    trs diverses.

    Donc, on peut dire que de par cette remarque, on nest pas face des ondes

    lectromagntiques ; idem pour les ondes sonores ou plus gnralement de tout type

    donde.

    On est donc entr dans un domaine o on ne mesure plus et pourtant il y a existence.

    Cest lexistence sans repres, lie au Global.

    Les eifs sont lies au Global.

    Pour les dtecter, il va falloir :

    - 18 -

  • EUREKALL

    soit mesurer les phnomnes lis au Local, eux le sont puisque partie

    intgrante de notre monde rationnel, le local usuel.

    soit utiliser des mancies.

    Pourquoi les mancies ? ! : elles semblent vieilles comme le monde.

    Pendule, baguette, lancer de pierres, vols doiseaux, interprtation de signes etc

    fonctionnent dans le sens quils donnent des informations car lobservateur soblige

    refaire sa dmarche crbrale.

    Le cerveau humain travaille dans lerrance et se trouve face limprvu : par ce

    processus il dcouvre . Cest--dire quil extirpe de lui-mme ce qui est

    potentiellement existant. Ltre humain, lobservateur7, nest pas uniquement ce que lon

    pense dans le C. de C. usuel, mais il est en grande partie non reprable et cest ainsi que

    la mancie prend sa valeur.

    Quelques conseils

    En recherche par mancies se dclenchent des phnomnes - qui varient suivant les

    personnes - et permettent de travailler, dans certains cas sans outil - baguette, pendule,

    etc -. Des moyens extra-sensoriels se placent qui sont des odeurs, gots dans la

    bouche, sensation de pieds mouills au passage de courants deau, sensations

    indfinissables sur certaines parties du corps et mme sensations douloureuses parfois, un

    rflexe musculaire.

    On appelle pallomancie la pratique du pendule. Ce terme a t oubli pour radiesthsie

    qui est l pour rappeler quon est li des phnomnes proches des radiations alors que

    ce nest pas du tout cela.

    La rhabdomancie est la voyance laide de la baguette. Il est suppos, par analogie avec

    la vision rationnelle, quentre deux points, si une information de lun se retrouve dans

    lautre, on dtecte quelque chose entre les deux. Ainsi, dans le domaine qui nous

    proccupe, les affirmations du genre : les objets rayonnent , mettent , ce lieu est

    charg , sont des affirmations frquentes et sans fondement aucun.

    7 Dans les ouvrages de Vladimir Rosgnilk, puis de Jacques Ravatin puis dans louvrage paratre de J. Ravatin et A.M. Branca Thorie des Formes et des Champs de Cohrence , le mot observateur est remplac par celui de obs qui est plus gnral que celui dobservateur tel quon le dcouvre en physique.

    - 19 -

  • EUREKALL

    Ces ides nont servi qu tablir de pseudo-thories et des expriences diriges qui se

    limitent delles-mmes par le principe voqu8.

    Dans notre socit, nous connaissons leffet dobjet inertes comme le rfrigrateur qui

    met du rayonnement infra-rouge, un poste de tlvision des rayons sur les cts. Ils

    crent une influence autour deux souvent une grande distance.

    Mais il ne faut pas imposer un rayonnement lectromagntique partout o il y a

    influence. Ce rayonnement est parfaitement dcrit par les quations de Maxwell.

    Au sujet des objets, des formes, des effets se font effectivement sentir, sont perus par

    des personnes sensibles - il en reste heureusement dans le monde rationnel - partir de

    lobjet, ou mme loin de lobjet, sans aucun lien entre lobjet et un lieu, ou une autre

    forme.

    Il faut noter que le volume dinfluence na rien voir avec celui de lobjet, parfois cela

    semble tre li sa masse mais l, encore, les exceptions sont nombreuses.

    Voyons lexemple du verre vide, pos sur une table sans tiroir, seul sur la table et au

    centre si le pied nest pas central. On dtecte une eif spciale dans laxe de symtrie du

    verre au-dessus de la table et en dessus, mais il peut arriver que leif (qui, on le verra plus

    loin est un V-E) se dtecte dans le plan horizontal de la surface de la table.

    Naturellement, seule une investigation par mancie ou voyance directe le confirmera.

    Les rationalistes ont cherch expliquer lacte radiesthsiste par excitation du cerveau en

    liaison avec ces fameux rayonnements do contrle nerveux aboutissant un rflexe

    musculaire dterminant la giration du pendule ou la rotation de la baguette.

    Les expriences montrent que cest tout fait diffrent.

    Le baron de Reichenbach qui vivait dans son chteau en Allemagne jusque vers les

    annes 1865 avait mis en place, entre autre, lexprience suivante :

    8 Communication priv de J. Pagot J. Ravatin

    - 20 -

  • EUREKALL

    fil maintenu parlexprimentateur

    masselote

    cylindre creux encuivre pour viter lescourants dair (courantsde convection)

    treuil

    le tout pos sur une table

    fil lche

    Au bout dun moment le pendule se dplace. Il faut comprendre que lobjet technique

    pendule - fil avec masselote au bout - se trouve ne plus tre tout fait cela ; on dira

    quil sest dlocalis partiellement, ce qui entrane que les critres qui tablissent la

    physique habituellement ne sont plus tout fait valables.

    Pareillement pour la baguette : mme avec peu dentranement on se rend compte que le

    mouvement de la baguette nest pas d un rflexe musculaire dirig en vue dune

    rotation. La baguette tourne de 100 180 alors que les mains crispes sopposent au

    mouvement, tel point quon obtient dans ces conditions la rupture de la baguette. On

    peut raliser une fourche avec une herbe sche, la plier en V. Etant trs souple, elle ne

    tourne pas mais se plie vers le bas, mouvement impossible par action musculaire des

    mains. On peut prendre aussi 2 ressorts lis une extrmit et tenus lautre, mis en V,

    la pointe en bas. Ce V, trop lourd et trop mou, doit tre tenu verticalement. Lorsquon

    passe, avec une convention mentale sur un cours deau souterrain, la pointe en V

    remonte en avant ou en arrire ce qui est impossible raliser par action musculaire.

    Si la baguette se relve, il vient lide de faire intervenir une force verticale qui agit de

    bas en haut sur la baguette. Mais au cours de son mouvement, cet instrument nest plus

    un objet technique ; on ne peut raisonner sur lui comme on le fait pour les objets dcrit

    dans le monde rationnel. La pesanteur ne semble plus agir pareillement dans le cas des

    lvitations dobjets ou dtres humains. Effectivement dautres caractristiques

    apparaissent sur ces objets et tres humains qui montrent que leur dlocalisation

    saccentue. Les processus de mesure ne fonctionnent presque plus. Et vouloir les

    - 21 -

  • EUREKALL

    imposer ne suffit pas observer le phnomne correctement ; cela peut perturber

    lhistoire qui se droule9.

    Au sujet des lvitations dobjets et dtres humains, cela se produit beaucoup plus

    frquemment quon ne le fait savoir, les R.B.B.10 ne voulant pas que des faits viennent

    gner les quelques postulats quils ont appris lcole, postulats qui leurs servent

    nonner une connaissance partielle, quils veulent totale.

    Lorsquon crit connaissance partielle il sagit naturellement dune connaissance

    provenant de la pense rationnelle qui pour eux est la seule et lunique forme de pense

    adquate pour aborder le monde. Ils ne comprennent pas que la pense cre le monde et

    de ce fait, suivant le champ de cohrence choisi, le monde construit sera diffrent.

    9 Yves Rocard, dans son livre Le signal du Sourcier a tent de prouver, exprience lappui, une explication tout fait rationnelle de leffet du pendule. Il y dcrit des expriences prouvant laction de champ magntique faible sur les rflexes musculaires. Il ne croyait absolument pas la possibilit de travail sur plan ; pourtant cela fonctionne trs bien ; alors les explications de ce petit livre seffondrent. De plus dans ce livre il est ni la possibilit de dtecter de leau immobile car leau doit se dplacer dans le champ magntique terrestre. Mais il faut fliciter Y. Rocard davoir eu le courage de discuter de ce sujet dans lentourage scientifique qui tait le sien. Dailleurs ce livre na pas plus tout le monde !10 R.B.B. : Rationaliste Bte et Born. Tous les rationalistes ne sont pas des R.B.B. mais notre poque beaucoup dentre eux le sont devenus. Et ceci au nom de la Science quils invoquent comme un petit garon peureux veut faire peur en appelant son grand-frre la rescousse.

    - 22 -

  • La Forme qui harmonise

    lEspace avec le Vivant

    IDALAB