Exemple du projet d’un conte variable et illustré

Commencer:

Un jeudi soir, dans notre ville qui s’appelle Zurich. Suzanne est sur le quai de la gare centrale. Elle, et quelques autres personnes. Elle attend, pas loin d’elle un homme attend aussi, il est seul. Suzanne le regarde. Mais soudain ses yeux se fixent sur elle. Comme ça, elle détourne immédiatement sa tête. Elle sait qu'il l'observe, c'est très gênant. Elle jette un coup d'œil dans sa direction, il reste fixé sur elle.Suzanne se demande: « Pourquoi me regarde-t-il ? ». « Et ce train qui n'arrive toujours pas, je vais être en retard. »

•Un jour ordinaire

•Suzanne a peur

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Suzanne n'aime pas son allure, il ne l'inspire pas confiance. Il avance vers elle, son cœur prend peur et commence à frapper plus fortement. Elle ne sait pas quoi faire. Finalement, il l’interpelle : « Mademoiselle ! Donne-moi ton argent et ton cellulaire !»

 « Qu'est ce qu'il dit ? C'est quoi son problème ? On dirait qu'il est complètement fou. » pense Suzanne.

L’homme lui murmure en approchant : « Tu veux bien me donner ton porte-monnaie, tout de suite !» « Il rigole bêtement » pense Suzanne. Il marche de travers. Il lui dit ça avec un tel naturel tout en lui montrant son pistolet. Suzanne est choquée, apeurée et elle ne sait pas quoi faire.

•Ne personne l’aide

•Elle a eu un cauchemarContinuer avec:

L’homme inconnu continue de la regarder, il observe chaque mouvement de Suzanne. Elle ne se sent plus à l’aise et décide de s’asseoir sur un banque quelques mètres à côté d’elle. Suzanne s’est assise, une chance, elle ne sent plus le regard bien désagréable de l’homme. L’affiche entre Suzanne et l’homme bloque le contact visuel.Suzanne est soulagée et commence a feuilleter dans le journal « 20 Minutes ». La guerre en Iraque, le nouveau Président Sarkozy et sa petite amie qui s’appelle Bruni, la bourse en Suisse, elle survole tous ces thèmes. Mais tout à coup un titre écrit en grandes lettres attire son attention. Suzanne commence à le lire attentivement.

•Annonce d’amour

•Rapport d’un meurtre

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Il avance plus près en ouvrant ses bras, il tire Suzanne vers lui et lui fait remarquer son arme bien menaçant.

« Il est complètement fou ! Il n'y a personne pour m'aider ? » passe Suzanne tout à coup par la tête.

Elle regarde autour : il y a plusieurs personnes, elles les regardent curieusement et ne font rien.

•Happy end

•Tragédie

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L’homme s’approche lentement. Suzanne se sent autant menacée, qu’elle commence à crier fortement.

Réveillée de son propre cri, Suzanne commence à cligner ses yeux à cause de la lumière artificielle. Un beau jeune homme qui la regarde est assis vis-à-vis d’elle dans le compartiment du train roulant.

« Oh, mon dieu, j’ai bien rêvé, un vrai cauchemar! Quelle chance. » murmure Suzanne puis regarde timidement le jeune homme.Le jeune homme commence à parler avec elle puis lui demande de lui raconter ce qu’elle venait de rêver.

Suzanne commence à lui raconter son rêve. « J’ai rêvé que j’étais sur le quai de la gare centrale. Puis… »

•Happy end •TragédieContinuer avec:

La manchette de la page : « Assassinat irrésolu à Zurich, homme recherché par la police »

Après avoir lu tout le texte, Suzanne fixe la photo du jeune homme qui est imprimé à côté du titre effrayant. Elle examine le visage de l’homme recherché par la police. « De quelque part, je connais ce visage, ah, je devrais m’en souvenir !!! » pense Suzanne.Approfondie et distraite dans les pensées, Suzanne ne remarque pas qu’il y a quelqu’un qui s’assoie à côté d’elle.

•Happy end

•Tragédie

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« Jeune homme est à la recherche de son amour »

Suzanne a un sourire sur ses lèvres puis commence à lire l’article de la recherche de ce célibataire.

Elle est si curieuse qu’elle n’arrive pas à lire tout le texte, elle commence d’abord à examiner la photo en dessous du texte du jeune homme. Tout de suite, elle reconnaît ce visage imprimé. « Ce n’est pas vrai ! » se dit Suzanne.

•Happy end

•Tragédie

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Suzanne le repousse mais elle ne peut pas s'en aller, la sortie est derrière lui. Elle aimerait pouvoir crier cependant rien ne sort de sa bouche, elle est pétrifiée.« Rien que ton porte monnaie et ton cellulaire,ma chère… »La voix de Suzanne se libère enfin :« Non mais ça va pas ! Lâchez-moi ! Lâchez-moi ! Arrêtez ! »« Oh, fais pas ta rebelle… »« Vous êtes fou, laissez-moi ! » Il s'approche de Suzanne et lui montre menaçant son pistolet qui brille dans la lumière artificielle du quai. Il l'a entraîné jusqu'au bord du quai, sans qu’elle s'en aperçoive.

Les cris désespérés de Suzanne ne lui font aucun effet, il continue toujours à lui menacer avec son arme.

Suzanne fixe un jeune homme quelques mètres à côté d’elle puis lui crie de venir l’aider. Prise de panique, Suzanne ne remarque pas que ce jeune homme s’approche.Tout se passait tellement vite. Suzanne ne s’est pas rendu compte, que le jeune homme, quelle demandait de venir au secours, a frappé l’homme armé au visage et qu’il y avait des policiers qui l’ont emmené.

Suzanne est assise sur le banque du quai puis ne comprends pas encore ce qui s’est passé tout à l’heure.

Pendant Suzanne continue de raconter son histoire, il y a des larmes qui coulent de ses yeux.« Il faut que tu saches, que cet histoire que je viens de rêver est vraie, cette Suzanne, c’étais ma sœur, on était des gémelles. » dit Suzanne.L’homme vis-à-vis d’elle l’écoute puis tiens la main d’elle. Suzanne lui raconte toute l’histoire qu’elle rêve régulièrement. Suzanne hésite de lui raconter la fin de l’histoire réelle. Mais elle décide de la lui raconter jusqu’à la fin puis continue à basse voix :

Arrivé à la gare centrale de la ville Paris, où elle veut visiter sa grand-mère, Suzanne avait raconté tout son rêve à ce jeune homme.

En entre temps, ils ont échangé des numéros de téléphone puis ils ont découvert beaucoup de loisirs en commun.

Le haut-parleur du quai annonce l’entrée en gare du train retardé. Suzanne commence à plier son journal puis tourne la tête vers sa gauche puis pétrifie du choque.L’homme qu’elle venait juste de voir dans le journal est assis à côté d’elle, c’était en plus le même homme qui la regardait et fixait il y a peu de temps.L’homme a un sourire indéfini sur ses lèvres puis Suzanne se lève pressée et choquée en même temps du banque et vire vers les voies pour ne pas manquer le train qui était en train d’arriver.Suzanne sent tout à coup une main lourde sur son épaule gauche. Elle s’effarouche de l’attouchement et elle tourne sa tête à la gauche puis aperçoive l’homme bizarre proche devant elle.

Le haut-parleur du quai annonce l’entrée en gare du train retardé. Suzanne commence à plier son journal puis tourne la tête vers sa gauche puis reconnaît l’homme qui l’avait fixé tout à l’heure. Il la regarde puis sourie.

« Salut Suzanne. Reconnais-tu mon visage ? » dit il. Suzanne le regarde curieusement puis réfléchit d’où elle devrait le connaître. « Non, je suis désolée, mais je ne te connais pas. » dit elle. Le jeune sourie puis dit : « Écoute Suzanne, je suis ton frère, je te cherchait pendant des années puis enfin je t’ai trouvé par hasard à la gare de Zurich. »

Suzanne comprenait très vite, qu’il s’agitait du jeune homme qui l’avait observé il y a peu de temps. Curieuse, elle se tourne vers la direction du jeune homme puis commence à l’observer elle-même.

Cheveux blondes, yeux bleus clairs, de grande taille puis l’apparence sportif. Suzanne trouve cet homme inconnu tout de suite très sympa et commence à sourire. Le jeune se rend compte que Suzanne le fixe puis lui fait aussi un sourire.

«Eh non, c’est bien mon voisin qui essaye de trouver son amour par le journal ! » murmure Suzanne surprise. « Pah, c’est bien ridicule, ça ! » pense-t-elle.De nouveau elle sent qu’il y a quelqu’un qui la regarde, quelqu’un qui la pénètre avec son regard. Elle lève confusé sa tête puis commence à chercher avec ses yeux la personne qui la fixe. Suzanne découvert de nouveau l’homme inconnu qui l’observe et qui a pris un air menaçant. Le sentiment d’être pénétré par les yeux de cet homme inconnu lui coupe presque la respiration. La façon qu’il attache son regard sur elle lui fait énormément peur.Suzanne s’imagine tout à coup que l’homme s’approche d’elle et qu’il commence à la menacer. Elle se perd dans ses propres imaginations puis elle n’entend pas le haut-parleur qui annonce l’entrée en gare du train. Le grondement du train approchant lui réveille de ses imaginations. Suzanne se lève puis s’approche des voies. Tout à coup elle sent un souffle frissonnant proche de son oreille. Tout de suite, ses imaginations vagues la capturent de nouveau puis sans pouvoir se contrôler, elle se tourne.

Prise de panique Suzanne le pousse violemment. Soudain, elle entend le cri de l’homme inconnu mêlé au son lourd du train arrivant. Elle ne le voit plus. Il est tombé sur les rails. Et ce train qui avance. Suzanne reste pétrifiée sur le bord du quai, immobile, les bras raides, elle ne respire plus. C'est comme s'il ne restait que elle dans la gare, elle et son effroi. Le cœur de Suzanne s'est arrêté de battre et seul le vent, créé par le train qui la dépasse, mélangé au sang chaud et visqueux de cet homme lui fait reprendre une bouffée d'air. Suzanne est là, figée, son visage recouvert de sang. Et partout des morceaux de son corps gisent. Tout le monde s'agite, des personnes lui parlent mais elle n'entend rien. Suzanne réfléchit, elle se remémore la scène, l'inquiétude l'assaille. « J'aurai pu éviter ce drame, mais il est bien trop tard. Je ne peux même pas me faire pardonner puisque j’étais là, au quai… » FIN

Le soir de la même journée, Suzanne et le jeune homme sont assis dans un restaurant en ville.Il y a peu de temps à la gare, le jeune homme a demandé Suzanne d’aller souper avec lui dans un restaurant en ville et Suzanne a d’abord accepté son invitation sans réfléchir.Vers 8 heures le soir, ils se sont rejoints à la gare centrale. Arrivé dans le restaurant, ils ont beaucoup de choses à se raconter. Suzanne lui parle de sa vie puis le jeune homme lui raconte son histoire personnelle.Suzanne se sent autant à l’aise avec ce jeune homme, qu’ils continuent à bavarder jusqu’à très tard dans la nuit puis ils se promettent de se revoir le lendemain.Suzanne est très contente et s’endort avec un sourire sur ses lèvres.

FIN