Favoriser La Croissance Et l’Investissement

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    Favoriser la croissance et l’investissementpendant la transition

    Initiative « D’une transition à l’autre »

    Organisée par la Banque européenne pour la reconstruction et le

    développement (BERD)

    avec

    le Centre de Marseille pour l’Intégration en Méditerranée (CMI)

    la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM)

    le Centre des Jeunes Dirigeants (CJD)

    et

    l’Association des Femmes Chefs d’Entreprises du Maroc (AFEM)

    Lundi 27 février 2012 - Hôtel Sheraton, Casablanca

    L’Initiative « D’une transition à l’autre » est un cadre dans lequel la BERD peutfaciliter les échanges d’expériences en matière de transition et de réformes entre lesactuels pays d’opérations de la Banque et ceux de la partie méridionale et orientale duBassin méditerranéen.

    Cette réunion a pour objet de mieux comprendre les priorités à court et moyen terme pour le Maroc, tout particulièrement en ce qui concerne le secteur privé, en permettantà des experts du privé et du public venus du Maroc, d'Europe centrale et orientale etde Turquie de partager leur expérience des réformes.

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    •  Klaus Priverschek, PDG, UniCredit Bank, Serbie•  Francis Malige, Directeur du Département Institutions financières de la BERD

    TABLE RONDE 2Salle Fes 2

    Moderniser la chaîne de valeur de l’agro-industrie et investir dans la sécuritéalimentaire : comment transformer les contraintes en opportunités 

    L’agriculture représente 13% du PIB marocain mais absorbe 41% de l’emploi. La productionagricole primaire souffre d’une utilisation insuffisante d’engrais, d’une irrigation inefficiente,d’équipements vétustes et de subventions inefficaces. La productivité est également limitée par une structure foncière complexe et une utilisation inefficace de l’eau pour l’irrigation.L’irrigation consomme environ 86% des eaux de surface disponibles au Maroc, et ne couvrequ’environ 900 000 hectares tout au long de l’année, sur 1,35 million d’hectares potentiels.

    Une irrigation inefficace limite la production agricole et crée des vulnérabilités climatiquestelles que les sécheresses. La majorité de la production agricole est commercialisée etexportée en l’état, laissant un grand potentiel pour développer des produits transformés de plus grande valeur ajoutée. L’infrastructure soutenant la chaîne de valeur, la logistique et lescanaux de distribution accusent un retard de développement et on constate un manque deréseaux de fournisseurs modernes et efficaces. Le financement du secteur privé à l’agricultureest encore limité. Ces défis, toutefois, peuvent constituer d'intéressantes opportunitésd'investissement.

    Comment le secteur privé peut-il soutenir la libéralisation du secteur agricole pour promouvoir une plus grande productivité, compétitivité, efficacité et des produits à plus hautevaleur ajoutée ? Comment améliorer l’accès au financement en accroissant les options de

    constitution de garanties ? À quels défis le secteur privé doit-il faire face et quelles sont lesopportunités pour lui en matière d’investissement sur l’ensemble de la chaîne de valeur des produits alimentaires et de transfert des savoir-faire ?

    Présidents de séance: Amine Berrada Sounni, Président Fédération Nationale del’Agroalimentaire (FENAGRI) et Miodrag Kostic, PDG, MK Group, Serbie

    Introducteurs: •  Aziz Abdou, Membre, Association Marocaine des Producteurs et Exportateurs de

    Fruits et Légumes (APEFEL)•  Kacem Bennani Smires, PDG, Groupe Delassus• 

    Hakim Marrakchi, Directeur Général, Maghreb Industrie•   Neven Vrankovic, Vice Président, Atlantic Grupa, Croatie•  Milan Djakov, Directeur de la Caisse d’indemnités de Serbie•  Gilles Mettetal, Directeur, Agribusiness, BERD

    TABLE RONDE 3Salle Fes 3

    Préparer l’avenir par une gestion durable de l’énergie

    Le Maroc importe près de 95% de sa demande en énergie primaire, tandis que

    l’industrialisation et la demande des consommateurs sont en augmentation. Afin de répondreà cette demande croissante, et de faire face à ses réserves limitées en combustibles fossiles, le

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    Gouvernement a fait du développement des énergies renouvelables une priorité, même si cen’est devenu un objectif politique majeur que récemment. D’ici 2020, le Maroc projetted’améliorer son efficacité énergétique de 12% et d’obtenir 42% de sa capacité de productiond’électricité à partir de sources renouvelables. Si le pays veut atteindre ces objectifs etrenforcer la viabilité financière du secteur de l’électricité sur le long terme, une réforme

    majeure de ce secteur sera nécessaire, ainsi que davantage d’investissement privé dans lessources en énergies renouvelables telles que l’éolien, la biomasse et le solaire.

    Quels sont les outils de développement qui pourraient permettre au Maroc de mener desréformes de libéralisation et des processus de dissociation et de privatisation de son secteurénergétique ? Comment soutenir et encourager l’industrie marocaine à investir dansl’acquisition de technologies pour améliorer l’efficacité énergétique et renforcer l’utilisationdes énergies renouvelables ? Comment le Maroc peut-il mettre en œuvre des cadres juridiquessolides afin de promouvoir le développement de ces énergies et instaurer un mécanisme desoutien financier transparent qui permettra au pays d'atteindre ses objectifs ? Quelles mesuressont nécessaires pour développer un marché de l’électricité compétitif pour les énergiesrenouvelables et remédier aux contraintes institutionnelles dans le but de libérer le potentieldu pays en matière d’efficacité énergétique ?

    Présidents de séance : Moulqy Abdellah Alaoui, Président de la Fédération de l’Energie etMilko Kovachev, ancien Ministre de l’Energie de la Bulgarie

    Introducteurs: •  Mohamed Yahya Zniber, Secrétaire Général, Ministère de l’Energie et des Mines•  Yassine Belkabir, Responsable Structuration du Projet à Ouarzazate, Agence

    Marocaine pour l’Energie Solaire (MASEN)•  Sonia Mezzour, Secrétaire Générale, Agence nationale pour le Développement des

    Energies Renouvelables et de l’Efficacité Energétique (ADEREE)

    • 

    Zbigniew Prokopowicz, PDG de Polish Energy Partners•  David Koranyi, Ancien Sous-Secrétaire d’Etat de Hongrie et expert en sécurité

    énergétique•  Terry McCallion, Directeur, Département Energie et Efficacité énergétique, BERD

    TABLE RONDE 4Salle Marrakech-Rabat 

    Financement des entreprises pour la compétitivité, l’innovation et l’emploi

    Le Maroc lutte contre un chômage élevé et persistant, notamment chez les jeunes diplômés,où il atteint plus de 40%, plus particulièrement en zone urbaine. L’écart entre les taux de participation à la vie active des hommes et des femmes est également important. Bien que lesystème éducatif produise un grand nombre de diplômés de haut niveau, l’économie estdominée par des secteurs employant principalement des travailleurs peu qualifiés. Il estnécessaire de poursuivre le passage d’une structure de production à faible valeur ajoutée et à bas coûts à une économie à forte valeur ajoutée, axée sur le savoir. Pour réaliser cechangement, le climat des affaires doit être amélioré pour renforcer la compétitivité del'économie. Il est nécessaire d’investir dans le capital humain, de promouvoir de plus hautsniveaux de recherche et développement, de moderniser les sites de production, d’améliorer lagestion et la transparence des PME, de développer des groupements technologiques, des pépinières d’entreprises et des infrastructures de soutien dès maintenant  pour être compétitif

    dans une économie mondiale fondée sur l'innovation.

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    Que peuvent faire le gouvernement et les entreprises pour créer un environnement favorisantla compétitivité axée sur l’innovation et l’amélioration de la productivité au-delà de la périodede transition ? Quels sont les secteurs présentant un fort potentiel de création d’emplois et decréation d’industries hautement spécialisées ? Comment le pays peut-il utiliser au mieux soncapital humain et soutenir l'entreprenariat pour créer des emplois, améliorer l'intégration

    régionale et promouvoir une économie de marché plus résistante et plus diversifiée ?

    Présidents de séance: Abdelalili Benamour, Président, Conseil de la Concurrence et AlainPilloux, Directeur du Département de la BERD chargé de l'Industrie, du Commerce et del’Agro-industrie

    Introducteurs: •  Mounia Boucetta, Secrétaire Générale, Ministère de l’Industrie, du Commerce et des

     Nouvelles Technologies•  Fathellah Sijlmassi, Président, Agence Marocaine de Développement des

    Investissements (AMDI)• 

    Omar Balafrej, Directeur Général, Technopole de Casablanca•  Brahim Berrada, Directeur Général Adjoint, Hightech Payment Systems (HPS)•  Piotr Jelenski, Directeur financier, Asseco, Pologne•  Dragica Pilipovic, Directeur Général, Serbia Broadband (SBB)•  Aytac Mutluguller, Directeur, Finance et Investissements Internationaux, Sisecam,

    Turquie

    TABLE RONDE 5

    Salle Lewa-El Ain

    Le rôle des prises de participation dans l’amélioration de l’économie sur le long terme

    Le potentiel de l’entreprenariat marocain est beaucoup plus important que ce qui apparaîtactuellement et la poursuite du développement du secteur financier aidera le pays à bénéficierde ce potentiel. Le secteur marocain du capital-investissement apparaît développé par rapportaux autres pays de la région, mais il est encore relativement fragmenté. L’offre de produits decapital-investissement est peu diversifiée et le secteur du capital-risque est encore à un stadede développement. Les stratégies d’investissement se concentrent principalement surl’expansion de capital de grandes entreprises. Dans ce contexte, le secteur du capital-investissement doit faire face à la difficulté de déployer des fonds en période de crise,d’augmenter le nombre de gestionnaires de fonds basés au Maroc alors que l’expertise dansce domaine manque encore, et de poursuivre le développement de la base d’investisseursinstitutionnels.

    Que peuvent faire le gouvernement et les entreprises pour promouvoir les équipes nationaleset locales et les rendre plus attractives auprès des investisseurs privés nationaux et étrangers ?Quelles sont les conditions requises pour attirer une base stable d’investisseurs locaux,régionaux et internationaux et promouvoir un plus grand intérêt pour cette catégorie d’actifset pour les entreprises bénéficiaires ? Comment promouvoir le développement de fonds et/oude produits d’investissement plus spécialisés tels que le capital-risque ou le financementmezzanine ? Comment les gestionnaires de fonds peuvent-ils créer de la valeur à long terme pour leur portefeuille de sociétés (y compris en mettant en œuvre les meilleures pratiques enterme de responsabilité sociale, environnementale et de gouvernance des entreprises) etcontribuer à la consolidation et l’intégration régionale ? Quels sont les éléments nécessaires pour établir un secteur financier compétitif qui favorisera la croissance et offrira une large

    gamme d'instruments financiers et de voies de sorties à travers les marchés de capitaux?

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    Président de séance : Brahim El Jai, Vice Président, Association Marocaine de CapitalRisque (AMIC) et Robert Manz, Directeur associé, Enterprise Investors, Europe centrale etorientale

    Introducteurs:•  Hassan Laaziri, Directeur Général, CDG Capital Private Equity •  Anas Guennoun, Principal, Abraaj Morocco •  Omar Chikhaoui, Directeur Général, Capital Invest•  Ben Edwards, Directeur associé, Syntaxis Capital, Europe Centrale•  Murat Erkurt, Associé fondateur, Mediterra, Turquie•  Anne Fossemalle, Directrice, Départment Fonds d’actions, BERD

    13:00 – 14:30 Déjeuner et réseautage Dafra

    15:00 - 16:30  Séance plénière de clôtureSalle Fes 1&2

    Le projet du Maroc pour la transition et l’après-transition 

    Les fondations de la future réussite économique du Maroc sont établies en même temps ques'effectue sa transition vers la démocratie et une véritable économie de marché. Lesresponsables gouvernementaux et les chefs d'entreprise devront gérer un équilibre délicatentre l'incertitude à court terme, la protection d’une population économiquement vulnérable etla compétitivité économique dans un marché mondial de plus en plus complexe et volatile.

    Toutefois, une chose est certaine : les Marocains sont déterminés à s'appuyer sur leurs propres programmes et calendriers de développement.

    Quels sont les propositions, les orientations et les conseils stratégiques que les participants peuvent offrir à la BERD et au Maroc en vue d’un partenariat efficace pour construire unavenir stable et prospère pour le pays ?

    La séance plénière s’ouvrira par un compte-rendu des modérateurs de séance sur lesconclusions de leurs discussions respectives, suivi de la réponse des responsablesgouvernementaux à ces défis ainsi que d’un débat interactif et d’une séance de questions-réponses avec l'assistance.

    Modérateur : Fadel Agoumi, Directeur de publication, La Vie éco

    Animateurs du débat : •  Latifa Echihabi, Directrice Générale, Agence Nationale pour la Promotion des PME

    (ANPME)•  Amine Berrada Sounni, Président, Fédération Nationale de l’Agroalimentaire

    (FENAGRI)•  My Abdellah Alaoui, Président, Fédération Nationale de l’énergie•  Abdelalili Benamour, Président, Conseil de la Concurrence•  Brahim El Jai, Vice Président, Association Marocaine de Capital Risque (AMIC)•  Mats Karlsson, Directeur du CMI• 

    Alain Pilloux, Directeur du Département de la BERD en charge de l'Industrie, duCommerce et de l’Agro-industrie