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Édité par l’Association pour la Création Littéraire chez les Jeunes - Québec - Canada Partie 1 FESTIVAL FRANCOPHONE DE LA POÉSIE DES JEUNES en Roumanie 2016 - 2017

FESTIVAL FRANCOPHONE DE LA POÉSIE DES …projetjeunesse.org/data/documents/17000-Rou-01.pdf · 2018-05-10 · D’un enfant ou d’un vieux, ... Ses mirages sont souvent pervers

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Édité par l’Association pour la Création Littéraire chez les Jeunes - Québec - Canada

Partie 1

FESTIVAL FRANCOPHONE DE LA POÉSIE DES JEUNES

en Roumanie

2016 - 2017

17000-Rou-09

La vie sur le sable

Plage de Calais, à marée basse. William Turner

Poème par Magda Țăpoi , Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Marcelle Lebarbé, Québec.

La vie sur le sableD’un enfant ou d’un vieux,

Nos vies sont des traces dans le sable,Plus petites ou plus grandes,

Des secondes humaines créées par Dieu.

Nos vies sont empreintes,Effacées par les vaques de la mer

Ou couvertes avec les grains du sablePar les rêves et par le vent amer.

Nos vies sont des étapes…Les étapes précipitées d’un jeu d’enfant

Auprès des châteaux admirables, Qui seront détruits par le temps;

Les pas d’un vieil homme qui pourrait être toi,Qui se promène sur cette immense plage

En pensant triste à son âge…Avec les yeux remplis de larmes et des pourquoi.

Nos vies sont des traces dans le sable,Différentes, mais si semblables,

Parfois intersectées ou seulement parallèlesSous les étoiles de l’Univers sans réponses et éternelles.

Magda Țăpoi

17000-Rou-09

Le sableLe sable est comme le temps qui passe

En secondes, en minutes, en heuresS'écoulent nos souvenirs fugaces

Dans le sablier du bonheur

Le mot sable dit le désertChacun le traverse dans sa vie

Ses mirages sont souvent perversIls apparaissent et puis s'enfuient

Le bonheur est château de sableQu'une simple vague peut dévaster

Sur les dunes que la mer ensableLes oyats se laissent bercer

Un matin sur le sable viergeDes pas qui entraient dans la mer

Sans retour.......

Marcelle Lebarbé

17000-Rou-09

17000-Rou-08

Éloge de l’automne

Arbre de vie. Marc Chagall

Poème par Camelia Câtea, Xe C , Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Jacques Lyant, France.

Éloge de l’automneEs-tu juste une fée?

Ou peut-être une créature incarnée?Je te crois un miracle

Je t’évoquerai dans mon oracleTu es doux et amer

Certains pensent que tu es une chimèreCher merveilleux automne

Dommage que tu es un peu monotoneUn mélange de nuances et de tons

Un spectacle pour moi comme un donTu me charme avec tes couleurs

Et les feuilles reçoivent leur pâleurOu bien une couleur de rouille

Et l`herbe qui se mouilleLe paysage est magique

Mais certains le voient tragiqueParce que le vert meurt peu à peu

Laissant cette pâleur à sa placeSous ce ciel d`octobre bleuTu nous ravis avec ta grâce

Oui, je sais que tu es le plus beauEt le plus charmant cadeau.

Camelia Câtea

17000-Rou-08

Caprice d’un soirCe soir

à l’horizon de velours ouatélà-bas

à l’écume brune de la grande dune du lac de Tabalakle baobab bleu

balourd bouchon saucissonnéflotte et patauge

incontinentdans la soyeuse mousse des nuages laurier-rose

s’étire à tour de brassoupire piaffe

applaudit de toutes ses mainsfrappe

pouffe ne s’esclaffeà la recherche d’un seul nombril

tandis que voltigentgrisées à chacun de ses poignets

de jaunes savonnettes lustrées pour les vespérales ablutionsdu soleil

son hôte de la nuit

17000-Rou-08

Caprice d’un soir (suite)

Iule hirsute de la danse de Saint-Guyle colosse-tronc frémit

s’arc-boute

Entre les maîtresses branchesla vasque est prête

le soleil s’y savonne et s’y lovece sont brefs déboulés et chuintements d’opéras

trombones tintinnabulants en oxytons paroxystiquesce sont orgues ronflantes des dormeurs embrasés

Le baobab s’enflamme par les racineset propulsé par ses tuyères ensoleillées

bascule dans le vide intersidéral

C’est là-basà l’écume brune de la grande dune du lac de Tabalak

Jacques LYAN

17000-Rou-08

17000-Rou-07

La pluie s’attarde dans mon cœur

Poème par Cășeriu Claudia, XIe A, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Marcelle Labarbé.

La pluie s'attarde dans mon cœur

Le feu qui brûle dans mon cœur s’éteint avec les gouttes de pluie;Mes favorites parmi elles sont celles qui me parlent de toi:

froides et fraîches.Je suis juste une larme étouffée qui tombe sur la joue chaude.

Tes yeux, je les aime: je me perds en suppositions, mon âme sèche.

Je suis perdue dans l’univers: comme une feuille que le vent a emportée au loin ;

Un jour, tu me ramasseras et m’aimeras même si je suis partie, en cherchant des papillons: je m’égare.

C’est mon genre de te dire que je t’aime; c’est maladroit, comme un bisou volé sur le quai de la gare.

La lumière de mes yeux, mon amour entier, viens à moi : tu es tout ce dont j’ai besoin.

Ton sourire est une œuvre d’art: laisse-moi t’admirer.Tes yeux, la muse après laquelle chaque chanson a été composée

Je te regarde comme la première fois: incapable de respirerJe suis la fille qui t’aime en silence

et qui demande la faveur de t’écouter.

Cășeriu Claudia

17000-Rou-07

La pluieJamais la fraîcheur de la pluie

N'adoucira la peine d'un coeurBrûlant de passion pour l'ami

Qui dit l'aimer comme une sœur.

Blottie dans son jardin secretLes joues mouillées de larmes tièdes

Puis le temps lui paraît longuetEt la vie lui semble moins laide

Vient l'automne et la pluie glacéeSautille gaiement sur les amours

Comme dans une poêle surchaufféePuis s'évapore sans retour........

Marcelle Lebarbé

17000-Rou-07

L’hiver de mon coeur

Femme algérienne. Auguste Renoir.

Poème par Maria-Magdalena, Xe A, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Monia Belazi, Tunisie.

17000-Rou-06

L’hiver de mon coeur

Mon coeur était un cube de glace

Entouré de soldats…

Des soldats de neige.

Mon coeur ne savait pas être heureux,

Il était toujours froid et triste.

Il ne pleurait pas, il ne riait pas.

Il restait immobile…

Accompagné seulement par des flocons de neige.

Sur la musique douce du vent

Les papillons blancs volaient.

Et mon coeur parfois tressautait.

17000-Rou-06

L’hiver de mon coeur (suite)

Maintenant dans mon âme c'est le printemps,

Même si tu es venu depuis peu de temps

Dans mon petit monde de peur.

Chaque jour je reҫois ton bonheur.

Ton grand sourire remplit mon visage pâle

Et une fleur avec beaucoup de pétales;

Fleurit grâce à toi, l’espérance est grâce à toi.

Et maintenant la félicité est devenue ma loi.

Le ciel est clair et les papillons sont colorés par l’univers.

L’ange de glace est rendu à la vie

Il regarde tout autour avec envie

Parce qu’il a reçu de toi…quelques vers.

Ţăpoi Maria-Magdalena

17000-Rou-06

Au pays du froidAu pays du froid, les coeurs ne poussent pas.

Ils y gèlent et le sang n'y circule pas. Ils s'y couvrent d'engelures et craquèlent

Puis deviennent aussi durs qu'un roc d'ivoire.

Sauf si, par chance, un ange aux larges ailesTend l'oreille et entend le faible appel

D'un coeur qui se meurt sans rien pouvoir.Alors, il descend et le prend par la main.

Mais les anges ne passent pas souvent Par dessus le ciel du pays où les coeurs Sont livrés au froid et privés de chaleur.

Puisque ton ange te réchauffe de son aile Souris à la vie et avance sous le ciel

En toute confiance, cheveux au vent.

Monia Belazi

Bonheur, élixir de la vie

Le Déjeuner des Canotiers (1881) Auguste Renoir.

Poème par Emanuelle Gheorghiu, XIIe B, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Monia Belazi, Tunisie.

17000-Rou-05

Bonheur, élixir de la vieOn cherche tout au long de la vie

Ce grand trésor du coeur, De la joie, de l'amour infini Roi de tous, le BONHEUR!

Mais son secret très simple est: "Il ne se cache pas!"

Ouvrez vos yeux et regardezCar le BONHEUR est là!

Dans un sourire de petit enfant,Sourire plein de candeur,

C'est lui, où êtes-vous cherchant? C'est ici le BONHEUR!

C'est du BONHEUR quand tu, oui, tu, Qui n'a pas de soucis

Aide un pauvre homme des rues, Et il te dit : "Merci!"

17000-Rou-05

Bonheur, élixir de la vie (suite)Dans les beaux trilles de rossignol,

Dans la finesse d'un pigeon,Les sons divins d'un Si bémol,

C'est le BONHEUR,oh, quelle chanson!

Vêtir le coeur avec la foi Dans le Grand Créateur,

Être content avec ce que l'on à,C'est ça le vrai BONHEUR!

Et je vous prie, écoutez-moi!Prenez ici une pause !

Oubliez tout, au moins une fois, Voyez la vie en rose!

Soyez heureux pour tout ce que Cette belle journée vous montre!

Soyez heureux aujourd'hui,Et faites heureux des autres!

Emanuelle Gheorghiu

17000-Rou-05

17000-Rou-05

La quête du bonheurChacun croit que le bonheur est loin

Et que pour l'atteindre, il faut un long chemin.On le reporte toujours à demain

Demain vient et on ne trouve rien.

Et ainsi, on passe sa vie à le chercher Sans jamais le trouver car il est

Aujourd'hui et ici et non demain et loin.Le bonheur, c'est juste une

étincelle allumée

Au fond de notre âme. Elle éclaire la vie.Lorsqu'on sait qu'elle est là, tout nous sourit.Lorsqu'on écoute son coeur, c'est le bonheur.

Inutile donc de lui courir derrière Il n'y a, entre toi et lui, nulle barrière.Il est un coquelicot qui, en toi, fleurit.

Monia Belazi

La jeunesse m’enseigne… Et… j’apprends

La leçon de lecture. Auguste Renoir.

Poème par Delia Neamțu, XIe A, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Marcelle Lebarbé, Québec.

17000-Rou-04

La jeunesse m’enseigne… Et… j’apprends

La jeunesse m’enseigne que la vie est belle. Et j’apprends que si on fait de mauvaises choses, la vie n’est pas du tout en rose.

La jeunesse m’enseigne que je peux avoir n’importe quoi. Et j’apprends que je dois travailler dur pour mon futur.La jeunesse m’enseigne que tout le monde est mon ami.

Et j’apprends que si je me heurte aux difficultés, il est bon d'avoir quelques amis.La jeunesse m’enseigne que le monde est fou.

Et j’enseigne que si je veux gagner le prix de l’existence, je dois faire semblant d‘être folle.

La jeunesse m’enseigne ce que c’est l’indépendance. Et j’apprends qu’il est bien d'être enfant.

La jeunesse m’enseigne que les gens sont mauvais. La jeunesse m’enseigne qu’ils veulent t’abattre.

Et j’apprends comment me traîner.La jeunesse m’enseigne les choses à la mode. Et j’apprends qu’être en vogue n’importe pas.

La jeunesse m’enseigne que le temps vole. Et j’apprends que chaque automne signifie la renaissance de l’âme.

La jeunesse m’enseigne que les jeunes sont des rebelles. Et j’apprends le chemin de retour.

La jeunesse m’enseigne c’est quoi un cœur brisé. Et j’apprends l’amour.

La jeunesse me suit partout, pour former l’adulte de demain.La jeunesse m’enseigne beaucoup de choses.

Mais, plus que tout, la jeunesse m’enseigne qu’il vaut la peine vivre la vie.Et j’apprends à vivre.

Delia Neamțu

17000-Rou-04

La jeunesseLa jeunesse n'est-elle pas la route

Que chacun devra emprunterPour apprendre malgré tous les doutes

À bien grandir sans trébucher

Il faut très vite se releverÀ chacune de nos maladressesCar il y a tellement d'escaliers

Pour arriver à la sagesse

La jeunesse est comme le printempsElle nous offre toutes les promesses

Dans la fraîcheur d'un coeur d'enfantElle puise la force non la faiblesse

Sur le long parcours de la vieIl y a l'amour et la douleur

Parfois on pleure parfois on ritToujours c'est la quête du bonheur

Marcelle Lebarbé

17000-Rou-04

Souris!

Merci http://www.sos-culture.eu/?p=673

Poème par Irina Olaru, XIIe B, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Mareelle Lebarbé, Québec.

17000-Rou-03

Souris!Souris et aime pour ce que tu es

Souris pour ce que tu donnesSouris parce que les contes existent encore

Souris parce que les chers sont à côté de toi.

Souris pour aujourd’hui parce que le jour est clairSouris pour hier parce que la douleur dans le coeur est calme

Souris pour demain parce que la nature est ton amie Souris parce que la lune et les étoiles te veillent.

Souris parce que tu as encore l’âme d’enfant Souris chaleureusement alors quand le futur est incertain.

Souris et excuse si les autres sont dursSouris et fais-toi plaisir à chaque instant.

Souris parce que l’avenir est plein des songes Souris parce que les rêves deviennent réalité

Souris et remercie l’univers que quelqu’un t’aimeSouris et sois heureux pour tous les dons de la vie!

Irina Olaru

17000-Rou-03

Sourire à la vieToi qui n'as confiance en personne

Toi qui ne crois pas à l'amourSans voir la vie qui t'environne

Ton coeur blessé est donc si lourd.

Cherche un ciel bleu dans tes nuagesEt dans la lumière tu verras

Que l'amertume est une cageUn sourire et elle s'ouvrira.

Ne reste pas dans la grisailleJe t'en prie ne te fais pas ça

Que mille sourires comblent la failleQui gêne la voie du nirvana.....

Marcelle Lebarbé

17000-Rou-03

Des incertitudes

Merci http://www.sos-culture.eu/?p=673

Poème par Larisa Palade, XIIe B, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

17000-Rou-02

Des incertitudesMais, au fond, qui suis-je pour le monde? Quel être?

Une rafale infatigable de questions à l’infini répétées,

Qui luttent pour garder leur sens et leur simplicité

De ces corps en fer-blanc, de ces gens froids qui s’accoutrent.

Une feuille dans le vent qui danse parmi les larmes

De ceux qui ont vendu leur âme pour monter plus haut.

Serais-je la peine qui toujours et sans cesse vaut?

La réponse c’est à la fin d’une guerre sans armes.

Mais au fond, qui est le monde pour moi? Je sais!

Une mélodie qui ne sonne pas, c’est un poème sans rimes

Où seulement l’amour me porte dans mille abîmes.

Dans le monde tous les dés sont déjà jetés.

L’incertitude du monde n’est pas infinie, je crois,

Car dans l’obscurité impossible c’est toujours un petit éclat

Et cette lumière n’est pas dans les monnaies ni dans des mots ingrats,

C’est où tu oublies de chercher chaque fois: dans ton cœur, en toi.

Larisa Palade

17000-Rou-02

InquiétudesLa vie elle- même est une question

Le tout-petit apprend très viteÀ dire papa, maman et non

Puis les pourquoi viennent ensuite.

Arrive l'âge des incertitudesOn s'interroge sur sa beauté

Il y a des questions qu'on éludeSurtout quand le coeur est troublé.

Puis on découvre toute naïveQu'il n'y a plus de certitudes,

Tel un bateau à la dériveOn apprend la vraie solitude.

Un jour on s'aperçoit que l'autre se demandeTout ce que toi tu penses de sa petite personne

C'est alors que tout change, ce que tu appréhendes,Les doutes qui te hantent, voilà que tu chantonnes....

Marcelle Lebarbé

17000-Rou-02

Toujours toi...

Merci http://usdf.us/wp-content/uploads/2016/08/the-storm-pierre-auguste-cot-18031424-cote-a-los-au-four-barbecue-bbq-english-marineren-op-gas-oven-wiki-dazur-airport.jpg

Poème par Andreea Miron, XIIe B, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi, Roumanie

Contribution de Marcelle Lebarbé, Québec.

17000-Rou-01

Toujours toi...Quand tu m’embrasses… le temps s'arrête, l'horloge s'attarde

Quand tu m’embrasses... mon stress disparaît et je ressens le bonheur

Quand tu m’embrasses... tu prends le contrôle de mon esprit et tu me conquiers.

Quand tu m’embrasses... je plonge dans tes bras et nous devenons une âme

Quand tu m’embrasses... je me sens tellement complète, je me sens tout

Quand tu m’embrasses... je me rends et je te donne tout le contrôle.

Quand tu m’embrasses... j'échappe à ce monde et me cacheQuand tu m’embrasses... j'aspire l'odeur de ton coeur géant

Tes yeux me tourmentent, détruisent quelque chose à l'intérieur de moi.

Quand tu m'embrasses... je perds la notion du temps...Les heures nous mesurent, les moments

les jours dans les passages inédits de notre histoireJe veux que ce sentiment se conserve, je veux que tu attendes.

Andreea Miron

17000-Rou-01

Ils s'aimentIls aiment le soleil, mais l'ombre du grand arbreTous deux couchés dans l'herbe qui titille leurs jouesIls s'aiment comme des enfants, dans le jour qui s'attardeOsant quelques baisers, ils vivent l'amour fou

Ils baignent dans le bonheur, ne savent rien de la vieCroyant être arrivés, là où la vie commenceCelle où l'amour s'installe, que l'enfance se flétriQue la pire douleur, est quelques heures d’absence

Cueillez les roses de la vieComme l'a dit le poète Ronsard

Apprenez de chaque défiN'attendez pas qu'il soit trop tard

Marcelle Lebarbé

17000-Rou-01

Le Festival francophone de la poésie des jeunes n’est pas un concours. Il a pour but d’encourager les jeunes de 25 ans et moins à s’investir dans la qualité de la langue française dans une forme poétique. Le FFPJ existe depuis 2007 https://www.dropbox.com/s/3uf16lcnibm3wq9/0-03-Historique-FFPJ-2007-2012.pdf

Pour participer au FFPJ, c’est très simple.Vous envoyez votre ou vos poèmes à [email protected] Si vous êtes plusieurs d’un même groupe, demandez à votre responsable de regrouper les poèmes et de nous les acheminer.

Il n’y a pas de thème spécifique, pas non plus de contraintes pour les dates d’envoi mais la longueur ne doit pas dépasser trente (30) lignes et le nombre de poèmes soumis est limité à cinq (5).

L’ACLJ se réserve le droit de ne pas publier les poèmes qui sont refusés par son comité de lecture s’ils ne véhiculent pas des valeurs socialement acceptables. Les poèmes qui nécessitent des révisions majeures pour aboutir à une qualité publiable sont renvoyés à l’auteur avec des commentaires pour qu’il procède à ces révisions.

Si vous avez plus de 25 ans

Il est également possible de participer au FFPJ à titre de mentor. Vous êtes dans la catégorie des poètes aînés et vous accompagnez les jeunes dans leurs réalisations en leur composant des répliques poétiques en lien avec leurs poèmes. N'hésitez pas à demander à des personnes qui pourraient assumer cette tâche de participer.C’est simple: vous choisissez un ou plusieurs poèmes parmi ceux qui ont été composés dans les divers pays que vous trouverez sur le site de l’ACLJ.

Vous composez votre réplique qui sera ajoutée aux affiches sur le site. Nous informerons les auteurs de cet ajout. Soyez assuré qu’ils en seront ravis et honorés.

L’ensemble des affiches se consulte sur le site de l’ACLJ www.projetjeunesse.org à la section FESTIVAL

Elles sont imprimables en les téléchargeant. Vous pouvez vous en servir pour une exposition autour d’un événement festif de petite dimension ou grandiose. Vous aurez ainsi réalisé un des Festivals francophones de la poésie des jeunes local. Dans ce cas l’ACLJ vous accompagne dans vos démarches pour sa mise en place mais elle ne s’implique pas sur le plan financier car elle ne dispose, elle-même, d’aucun soutien de cette nature. Elle prépare un album des poèmes pour chaque pays que vous pouvez imprimer localement.

Nous comptons sur votre participation.