FinistèreDossier de presse

2018

WWW.FINISTERETOURISME.COM

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carte de situation

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édito

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Un Finistère innovant et créatif,

Un Finistère attractif et exemplaire,

Un Finistère authentique et inspirant qui cultive l’art du renouvellement,

Un Finistère d’exception qui invite à une expérience de l’excellence autour de ses valeurs,

Un Finistère capable d’inventer ou de réinventer un art de vivre en harmonie avec ses paysages et la mer à 360°…

Découvrez les multiples facettes du Finistère dans ce nouveau dossier de presse.

Cette année encore, TOUT COMMENCE EN FINISTÈRE.

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sommaire5/ Informations pratiques

6/ Le saviez-vous ?

8/ Armel Le Cléac’h

9/ Le Pôle Finistère Course au Large

10/ Surf Attitude

16/ Sous l’eau24/ Pause bien-être

32/ Art de vivre

36/ C’est tout nouveau, c’est cadeau !

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Informations pratiques

Tous les chemins mènent en FinistèreEn train Paris-Brest et Paris-Quimper en moins de 3h30 avec la Ligne à Grande Vitesse www.oui.sncf

En avion liaisons directes depuis Paris, Lille Marseille et Lyon vers Brest et depuis Paris et Figari (été) vers Quimper avec Air France www.airfrance.fr et Hop www.hop.com

liaisons depuis Marseille vers Brest avec Ryanair www.ryanair.com/fr liaisons depuis Lyon vers Brest avec Easy Jet www.easyjet.com/fr liaisons depuis Caen et Bordeaux vers Brest avec Chalair www.chalair.fr liaisons depuis Londres (mai-sept) vers Quimper avec British Airways -

www.britishairways.com liaisons depuis Birmingham (juin-sept) et Southampton (juin-sept) vers Brest avec Flybe www.flybe.com

liaisons depuis Toulon vers Brest avec TUI Fly www.tuifly.fr/fr liaisons depuis Barcelone vers Brest avec Vueling www.vueling.com/fr liaisons depuis Montpellier, Toulouse, Ajaccio (mars-oct), Bastia (avril-oct) et Figari (avril-oct) vers Brest avec Volotea www.volotea.com/fr

liaisons depuis Ouessant vers Brest avec Finist’air www.finistair.fr

En voiture Voies express gratuites en provenance de Caen, Rennes et Nantes

En bus Liaisons depuis Paris et les grandes villes de province avec Ouibus www.ouibus.com/fr , Eurolines-Isilines www.isilines.fr et Flixbus www.flixbus.fr

En bateau liaisons depuis Plymouth et Cork vers Roscoff avec Brittany Ferries

www.brittany-ferries.fr liaisons depuis Rosslare vers Roscoff avec Irish Ferries

www.irishferries.com/fr

Les autres dossiers de presse à votre dispositionNotre agence édite une collection de dossiers de presse qui racontent le Fi-nistère et vous donnent quelques idées de repor-tages. Saveurs et gourman-dises sur le patrimoine culinaire

Les plus beaux parcs et jardins

Les essentiels sur les sites incontournables

Notre photothèque

Pour illustrer vos articles sur le Finistère, connectez-vous sur phototheque.finisteretourisme.comDe nombreuses photos libres de droits y sont disponibles.

Votre contact presse

Vous cherchez une idée de sujet ? Vous avez déjà une

idée de reportage et souhaitez une aide pour monter votre

programme ? Vous recherchez « un bon client » pour votre émission ? Vous voulez vivre

une expérience unique et (ou) originale ?

Votre contact-presse Jean-Luc Jourdain Tél. 02 98 76 24 42jeanluc.jourdain

@finistere360.com

Le saviez-vous ?

Plus de 900 000 habitants dont 220 000 à Brest

Métropole Océane et 100 000 à Quimper Bretagne Occidentale.

Le Finistère est le premier département maritime de France, avec 1200 km de

côtes et le seul à être bordé par trois mers : L’océan Atlantique, la Manche et

l’Iroise.

Quatre Villes ou Pays d’Art et d’Histoire : Brest,

Quimper, Concarneau et Morlaix.

Le seul parc naturel régional de Bretagne, celui

d’Armorique.

Un « Grand Site de France » : la Pointe du Raz

en Cap Sizun.

L’équipement culturel le plus visité de Bretagne :

Océanopolis à Brest.

Le seul musée du bateau à ciel ouvert en

France : le Port-Musée de Douarnenez.

19 des 27 phares bretons répertoriés aux

Monuments Historiques sont finistériens.

Le Kitesurf a été créé en baie de Douarnenez à la fin des années 80 par Dominique et Bruno

Legaignoux, deux frères nés à Quimper.

C’est le Finistère qui compte le plus de musiciens de bagadou et de cercles

de danse.

Le plus grand kouign amann du monde

est brestois : diamètre 2,80 mètres.

Le caramel au beurre salé breton a été créé par le

Finistérien Henry Le Roux.

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C’est en Finistère qu’il y a le plus grand nombre de locuteurs en langue

bretonne.

Le Finistère se classe au 9e rang pour le nombre de

pratiquants licenciés, tout sports confondus.

Le premier parc marin créé en France est finistérien : le parc naturel marin

d’Iroise.

Le Finistère est le premier département français pour

la pêche fraîche.

Les Vieilles Charrues à Carhaix est le premier festival de musiques actuelles en France.

Le premier téléphérique urbain de France est

brestois.

Le premier centre de thalasso français fut ouvert

à Roscoff en 1899.

Avec 1 million de passagers, Brest est le

premier aéroport breton.

Un site classé au Patrimoine Mondial : la Tour Vauban à Camaret.

Un Monument National : le Cairn de Barnenez à

Plouézoc’h.

Le point culminant de Bretagne : le Roc’h Ruz à

385 mètres.

11 tables étoilées.

Deux appellations d’origine protégée : le cidre et l’oignon.

Le premier port thonier de France : Concarneau.

L’un des principaux spots d’entrainement des

navigateurs en France : Port-La-Forêt.

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AOP

L’école des Glénans est la première école de voile

d’Europe.

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Le Finistère et moi, on pourrait ne faire qu’un ! Je suis né à Saint-Pol de Léon et je reste très attaché à la commune : les habitants, et notamment les enfants qui m’y ont chaleureusement accueilli lors de mon retour du Vendée Globe. Je viens de ce pays où l’on apprend auprès des anciens. Mes valeurs sont mon socle.

Le Finistère est aussi évidemment mon terrain de jeu nautique depuis toujours : j’ai eu la chance d’apprendre à naviguer dans la baie de Saint-Pol de Léon, de régater de Locquirec à Roscoff avec Jérémie Beyou et Nicolas Troussel, les copains de mer, eux aussi nés entre Léon et Trégor.

Il y a de belles histoires entre nous qui nous ont fait devenir ce que nous sommes aujourd’hui. Licencié au centre nautique de Saint-Pol de Léon, j’ai disputé ma première course en Optimist à Carantec à l’âge de 9 ans. Puis, en 1997, c’est ma première course en solitaire, la Solo Le Télégramme : un tour du Finistère par étapes, à bord d’un Figaro Rivage.

Désormais, je fais partie du Pôle Finistère Course au Large qui suit les skippers de haut niveau : nous bénéficions d’un beau plan d’eau à Port-la-Forêt et d’infrastructures adaptées à nos entrainements. Cela fait parti des éléments qui m’ont amené à cette victoire sur le Vendée Globe.

Je l’avais dit : mes jeux Olympiques à moi, c’est le Vendée Globe, et je veux l’or… C’est fait. C’était une bagarre intense, surtout avec Alex Thomson. J’ai été au bout de moi-même pour gagner mètre par mètre. Dans la remontée de l’Atlantique, je n’ai pas eu beaucoup de réussite. Mais je savais qu’il y avait une belle opportunité au bout. J’y ai cru, je me suis battu.

Le Finistère vu par

Armel Le Cléac’h, vainqueur du Vendée Globe 2016-2017

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Le Pôle Finistère Course au large

Ce centre d’excellence a pour mission l’entrainement, la formation et le suivi des sportifs de haut niveau dans le domaine de la course au large. Soutenu par le Conseil départemental du Finistère et la région Bretagne notamment, il est agréé par le Ministère des Sports depuis 1995 et offre des prestations de fonctionnement de choix pour se faire un nom dans l’univers de la course au large : près de 40 skippers, en formation continue ou en accompagnement type Vendée Globe ou Route du Rhum, sont suivis par le Pôle sur 3 séries : le Figaro, l’Imoca 60’, bateau type du Vendée Globe entre autres et l’Ultim, trimaran type Macif, Idec ou Banque Populaire, sans oublier le Gitana VIII.

Structure unique en Europe, le Pôle se distingue par la densité de l’écosystème dans lequel il gravite. Au-delà de la qualité de la formation, il peut compter sur des infrastructures adaptées, sur le soutien d’équipementiers et sur un tissu d’entreprises dynamiques. À Port-la-Forêt, le chantier CDK construit de remarquables bateaux, l’entreprise Guelt est spécialisée dans les bulbes (renflement au niveau de la coque), Incidences dans les voiles, et Marinelec et Cristec sont des référents électricité.

Dans une logique de cercle vertueux, le Pôle, ses marins et les acteurs économiques du nautisme échangent des technologies, de l’emploi contre des performances sportives toujours améliorées.

Le trimaran MACIF de François Gabart qui a récemment remporté la course The bridge entre Lorient et New-York, a ainsi représenté plus de 100 000 heures de travail, ce qui a généré du travail pour une quinzaine d’entreprises bretonnes.

L’autre particularité du Pôle, c’est sa philosophie du collectif. À Port-la-Forêt, on cultive l’échange et on est convaincu que le groupe est plus fort que l’individuel. Marins et intervenants ont les mêmes valeurs, leur permettant de s’entraîner chaque jour ensemble sur l’eau, avant de se retrouver face à face sur les lignes de départ des courses toute l’année.

Même état d’esprit chez les différents sponsors qui valident ce principe collectif tout en encourageant leur propre poulain. Les compétences de chacun s’affinent donc au sein du groupe. Ensemble, on joue la carte collective pour mieux gérer sa préparation mentale, pour appréhender la révolution des foils par exemple et en sortir toujours plus fort, toujours plus technique, toujours plus rapide.

www.polefinistere.com

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surf attitude

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surf attitude

Stand-up paddle, wave-ski, windsurf, kite-surf, bodyboard, shortboard, longboard... le surf qui se décline à l’infini ou presque est aujourd’hui LE sport tendance...

… parce qu’il est bon pour l’organisme puisqu’une se-maine de surf équivaut à un séjour (gratuit) de thalasso,

… parce qu’il rend heureux (l’air marin agit positivement sur le moral avec ses ions négatifs qui peuvent avoir des ef-fets sédatifs ou des vertus anxiolytiques tandis que la lumière du soleil a un impact positif sur l’humeur),

… parce qu’il permet de se sculpter une jolie sil-houette,

… parce que c’est cool, le surf étant devenu un mode de vie qui a donné naissance à tout un art de vivre de la « cool attitude ».

Entré dans l’Histoire en 1986 après une épreuve de Coupe du Monde de windsurf qui accueillait notamment Robby Naish et Robert Teriitehau, La Torche est incontestablement LE spot

incontournable. Avec sa longue plage de sable, une mer sans grosses difficul-

tés et des vagues interminables à surfer sans modération, le site accueille toute l’année graines de champions, grands sportifs et débutants.

Où s’entrainer ? À l’école de Surf de Bretagne de La Torche qui dispense des cours et des séjours de surf, stand-up paddle et char à voile pour tous les âges et niveaux. www.esb-latorche.com

Où dormir ?Au Surf Camp Twenty Nine dans le hameau de Tronoën : une ancienne longère rénovée située en bordure des dunes et au coeur du site « Natura 2000 » de la Baie d’Audierne. Six chambres de 2 à 6 personnes.www.esb-latorche.com/surfcamp

Laury Thilleman

Miss France 2011 n’a jamais caché sa passion

pour le surf. La pointe de la Torche où elle a grandi ou la plage du Dossen à Santec sont ses lieux de

prédilection.

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Innovant, tendance, spectaculaire... Les superlatifs ne manquent pas lorsqu’il s’agit de décrire l’univers des foils. Ces ailes profilées qui viennent habiller les windsurfs, kitesurfs et jusqu’aux énormes bateaux de course au large. Depuis quelques mois, ils sont nombreux à se convertir et trouvent en Finistère des plans d’eau mais surtout des fabricants de génie pour équiper leurs montures.

J’ai créé Foil and Co en septembre 2016 après 15 années en tant qu’architecte naval, avec pour objectif de travailler sur des bateaux qui volent ou des avions qui flottent comme j’aime le dire.Aujourd’hui, 8 personnes travaillent à la fabrication des foils pour windsurf et kite  : nous assurons 100% de la production avec 99,5% de produits français. Nous avons pour projet de développer ce support pour faire voler les bateaux à moteur : un vrai atout pour l’avenir qui permettrait aux bateaux d’être plus économes en carburant.Nous avons choisi le centre Finistère car nous sommes dans le berceau du nautisme, un plus pour notre implantation, de même que le dynamisme du tissu local. Nous disposons d’un bâtiment tout à fait adapté pour nos travaux de Recherche et Développement. Nous y sommes tranquilles et nous nous rendons sur la rade sud pour faire nos essais sur l’eau. Nous avons été très bien accueillis ici, les gens sont même fiers qu’une entreprise de haute-technologie comme la nôtre s’y développe. Ce territoire nous a beaucoup « servi » dans notre jeunesse, il témoigne des valeurs qui nous sont chères : Foil and Co, c’est donc toute une manière de rendre au territoire ce qu’il nous a apporté. Mes 3 actionnaires et moi sommes originaires du coin, nous sommes partis faire nos armes ailleurs avant de revenir ici par choix de vie, dans cette ambiance superbe au cœur des Monts d’Arrée. Nous grandissons parfaitement bien sur cette pointe du bout du monde et envisageons de doubler rapidement nos effectifs. www.foilandco.com

Tanguy Le Bihan - Foil and Co 1

J’ai commencé dans mon garage il y a 7 ans en réparant des planches ; puis la technique a évolué et je me suis tourné vers les foils. L’entreprise est née il y a 3 ans et le carnet de commande ne désemplit pas ! J’ai notamment développé un partenariat avec BIC windsurf et créé un foil adaptable à certaines des planches BIC. À l’atelier de Pont-L’Abbé, nous produisons une centaine de foils par an que nous créons pour une clientèle française mais aussi internationale : des étrangers qui viennent nous voir et qui en profitent aussi pour visiter la région. C’est important pour moi de me dire que le sport que j’aime participe au rayonnement touristique de notre territoire. J’ai donc rejoint logiquement le réseau des ambassadeurs de la marque Tout commence en Finistère. Je suis aussi attaché à la très grande qualité de nos produits, j’assure très peu de service après-vente sur nos structures qui « tiennent » bien : la structure interne des foils est faite de carbone, quant au revêtement, je privilégie des tissus biologiques, comme le lin utilisé actuellement et provenant de Normandie. En rider averti et passionné, Yann Kermoal vante les mérites de ces nouveaux supports, permettant d’apprivoiser un peu mieux la météo, notamment par vent faible et propose régulièrement des sessions d’initiation. Maîtriser un foil demande une pratique nautique de base, même si Yann en est conscient : « les jeunes générations apprendront directement à naviguer avec des foils et seront bien meilleurs que nous ». Un avenir tout tracé pour la foil attitude !www.kerfoils.fr

Yann Kermoal - Ker Foils 2

Installé à Combrit, Gaël Le Thellec, tout à la fois artiste, artisan, surfeur et sculpteur, revient aux racines du surf. Diplômé de la prestigieuse École Boulle, il fabrique des planches entièrement réalisées en bois sous la marque Gawood. La fabrication de ces pièces uniques et rares repose sur un concept appelé « hollow » où chaque morceau est évidé et creusé avant d’être collé. Shapées dans du paulownia, ces planches écologiques sont, selon son créateur, « rapides et super fun à surfer ».www.facebook.com/Gawoodsurf

Gaël Le Thellec - Gawood 3

Dans son atelier situé à Plozévet et joliment baptisé Plume d’avion (plume pour le côté aérien, léger, organique et poétique - avion pour le ton décalé), Laurent Guéguen fabrique des planches de manière artisanale. Des planches « cousues main » colorées et agrémentées de dessins et tampons de sa création.www.plumedavion.com

Laurent Guéguen - Plume d’avion 4

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surf attitude

Surf spirit

En matière de mode, le « surf spirit » ne se limite plus à un vestiaire de vacances. Surfant entre un esprit « retour aux origines », une envie de reconnexion à la nature et une expression street à l’américaine, le lifestyle de la glisse illustre un mode de vie cool et healthy. En Finistère, la marque Hoalen (« sel » en breton) habille aujourd’hui les pratiquants intensifs ou les amateurs de sports de houle baptisés les « Saltwater Players » (ceux qui jouent dans l’eau salée). La ligne de vêtement est certes fortement inspirée de l’univers sportif et d’un univers graphique « old school » pui-sé dans l’histoire de ces sports en Europe et sur les côtes australiennes, tout en s’affranchissant des influences éphémères de la mode. Un premier « Ocean Store » s’est ouvert dans un ancien hangar à bateaux à Plouguer-neau.www.hoalen.com

Nouveau : Une école de surf itinérante à Brest Sébastien El Angar a créé en 2017 à Brest la Breizh Trip Surf School. Cette école propose un apprentissage itinérant de la glisse avec des cours à la journée ou à la semaine. Un concept original qui permet d’allier sport et découverte des meilleurs vagues du nord-Finistère.www.breizh-trip-surf-school.com

Surf thérapie

Un moral en berne, un surmenage en vue ou quelques kilos surpeflus… c’est le moment d’es-sayer une cure de surf-thérapie qui permet de se sentir mieux dans son corps et dans sa tête grâce aux bienfaits de la mer, de l’air marin et du soleil. Il s’agit en fait d’une thalassothérapie naturelle basée sur la pratique régulière du surf, de la marche dans le sable, de la natation en bord de mer ou du longe-côte. Cette dernière consiste à marcher dans l’océan avec de l’eau au-dessus de la taille et à avancer avec l’aide d’une pagaie.

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Le Brest Surf Film Festival du 9 au 12 mai

La seconde édition du festival international du film de surf en Bretagne, propose de visionner le meilleur de la production planétaire de films de surf réalisés durant l’année écoulée, en privilégiant la créativité, l’inventivité et l’audace. Le Festival invite à un mo-ment de partage d’émotions, à une immersion au sein des forces et des énergies de la nature. Créer la sensation esthétique, partager le plaisir de la glisse, c’est aussi l’esprit du festival.Au programme, une trentaine de films projetés d’une dizaine de pays, un concours international de films courts de surf ainsi que des initiations au surf, paddle-board et activité yoga sur la plage en journée. www.brestsurffilmfestival.bzh

E. Leclerc Pont l’Abbé Junior Pro La TorcheDu 9 au 13 mai

Pour la première fois en Bre-tagne, près de 200 jeunes champions viendront se dis-puter le titre européen délivré par la World Surf League et une place pour la finale mon-diale. À l’occasion de cette étape du circuit qualificatif de surf professionnel junior, le spot mythique de La Torche s’animera chaque jour avec des ateliers, des concerts, des démonstrations…www.esb-latorche.com www.worldsurfleague.com

à ne pas manquer

La Torche Wave Games du 20 au 28 octobre

Les meilleurs riders de la scène française et internationale s’affronteront dans des com-pétitions intenses et spectacu-laires autour de 4 disciplines : windsurf, kite, surf et Paddle. Inspiré des X-Games, les Wave Games ont pour ambition de devenir un événement incon-tournable dans le milieu de la Glisse. www.aloha-attitude.fr

WAVES GAMES

SURF PADDLEKITEWINDSURF

Octobre 2018 - LA TORCHE

La Finist’air sailing à Brestdu 13 au 16 septembre

Cette compétition conçue sous forme de show nautique, entend révolutionner l’image de la voile et mettre en lumière les nouvelles pratiques ( kite-surfs, dériveurs, planches à voile et catamarans à foils). Chaque jour, un support de navigation dif-férent et un vainqueur à l’issue de quatre épreuves que sont la course de vitesse, le contre-la-montre, l’éliminatoire et la course poursuite. Parallèlement, un « village Hi-Tech » regroupant l’ensemble des entreprises engagées dans l’innovation et le Hi-Tech made in Brittany, présentera les dernières nouveautés dans ce domaine.www.aloha-attitude.fr

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La Jurassik Windsurf Cupen juillet 2018

Baptisé Jurassik Windsurf Cup en référence au film Jurassik park sans doute, cet événe-ment se déroule à Portsall au mois de juillet. Ici vont se ras-sembler des planches à voiles anciennes, quelquefois des prototypes, des années 80. Un retour dans le passé et un très beau spectacle en pers-pective.ww.cnpk.fr

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sous l’eau

sous l’eau

Plonger sur les épaves

Des Sables-d’Olonne au Havre, les 3 500 épaves qui tapissent les fonds marins suscitent la convoitise de plongeurs aven-tureux mais aussi de pilleurs toujours en quête de trésors de légende. Pour les approcher, mieux vaut être accompagnés par des pros chevronnés qui connaissent parfaitement les zones de plongée. Parmi eux, Perrine Lossouarn et Jean-François Roudaut de Koréjou Plongée à Plouguerneau proposent d’approcher l’Amoco Cadiz. Long de 334 mètres, ce géant des mers s’échoue en 1978 à l’entrée de la baie de Portsall et laisse échapper des tonnes de pétrole qui souillent les côtes bre-tonnes. L’espace muséographique installé sur le port raconte, heure par heure, grâce à des maquettes, des bornes interac-tives et une documentation très complète cette tragédie.En baie de Morlaix, Bernard Foucault, du Groupe Subaqua-tique Morlaix Plouézoc’h, propose de découvrir l’Aboukir Bay. Ce trois-mâts, de plus de 65 m de long, sombra en no-vembre 1893, par une nuit de tempête. L’épave, l’une des mieux conservée de tout le littoral breton qui repose par 30 mètres de fond sur un lit de sable, est entièrement colonisée de gorgones et regorge de congres, de homards, de lieux et autres tacauds.www.korejouplongee.com www.plongee-gsmp.fr

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il y a 40 ans... l’amoco Cadiz

Il y a 40 ans, le pétrolier L’Amoco Cadiz s’échouait face à Portsall et laissait échapper de ses cales 220 000 tonnes de fuel. Cette catastrophe qui a marqué les esprits sera « commémorée » en 2018 lors de différents événements qui permettront de revivre les heures sombres vécues par toute la région. Pour éviter que ce type de catastrophe ne se reproduise, le rail d’Ouessant, qui définit les routes maritimes au large du Finistère, a été éloigné des côtes tandis que le remorqueur L’abeille Bourbon basé au port de Brest assure l’assistance aux bateaux en détresse.

Le Chantier nautique du guip à BrestInstallé sur le port de commerce de Brest, le chantier naval du Guip construit ou rénove de vieux bateaux. Les artistes/artisans qui y travaillent se laissent gen-timent “approcher” et peuvent faire partager leurs-passion pour leur métier et ce patrimoine maritime d’exception.

une Cave à vin... sous l’eau

À Carantec, Ludovic Le Gall, ancien scaphandrier en France et en Afrique du Nord, ne fait pas vieillir son vin dans des caves mais sous la mer. En effet, il immerge des bouteilles de vin à 8/10 mètres de pro-fondeur, dans une eau dont la température varie de 8 degrés l’hiver à 17 l’été, soit le temps nécessaire pour devenir de “véritables trésors des mers”. Ludo-vic explique : ”La durée de l’immersion rend chaque bouteille unique, parée d’une robe de gangue, digne d’un trésor corsaire, retrouvé dans une caraque ou-bliée. Les balanes, petits crustacés que l’on pourrait assimiler à du corail, viennent coloniser le verre et donner à la bouteille une image de trésor millénaire, à consommer cependant avec modération.www.vin-do.fr

Observer les phoques et les dauphins en pleine mer... ou à Océanopolis à Brest

Avec 150 individus, la mer d’Iroise abrite la plus grande colonie française de phoques gris et deux groupes de grands dauphins qui résident toute l’année dans l’archipel de Molène (35 individus) et autour de l’île de Sein (25 individus). La présence de ces espèces emblématiques et protégées au niveau national témoigne de la richesse et de la qualité du milieu naturel en Iroise. Ces mam-mifères marins font l’objet de suivis réguliers de la part des équipes du Parc naturel marin d’Iroise.Pour approcher ces espèces protégées, les guides de la société Finist’Mer pro-posent de partir à la rencontre de ces mammifères marins qui ont « élu domi-cile » non loin de l’archipel de Molène. Au départ du Conquet ou de Lanildut, la vedette s’approche de la colonie de phoques qui profitent des eaux nourri-cières du parc. Les cétacés les plus curieux viennent sans crainte à la rencontre des visiteurs, vrillent et plongent. Les familles qui n’ont pas le pied marin opteront pour une visite d’Océanopolis. Le pavillon polaire abrite une colonie de phoques qui évoluent dans un bassin de 1 000 m² doté d’une véritable banquise reconstituée. Visibles sous l’eau nageant autour d’un iceberg ou sur la glace, les phoques annelés, du Groen-land et à moustaches retrouvent ici les conditions d’un éternel été avec une température extérieure de 4°C et une température de l’eau maintenue autour de 8°C. www.finist-mer.fr www.oceanopolis.com

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Nager sur la côte des légendes

Ce parcours de nage, situé à Brignogan-Plages, permet aux nageurs confirmés aimant évoluer dans les grands espaces de pratiquer leur activité en toute liberté, tout en contem-plant la faune et la flore de cet environnement maritime unique. Huit bouées bleues jalonnent des petits circuits de 370 et 620 mètres et forment un circuit de près de 1200 mètres. De nombreuses autres combinaisons sont possibles afin que chacun puisse créer son propre circuit en baie, en fonction de son niveau, de son style de nage ou du temps disponible. www.cn-brignogan.fr

Plonger dans les abysses

Comment s’offrir un plongeon dans le plus grand aquarium du monde sans se mouiller ? En embarquant à Bénodet à bord du « Capitaine Némo », superbe catamaran à vision sous-marine. À son bord, les passagers découvrent le monde merveilleux du silence, où poissons et autres habitants de l’océan se cachent parmi les hymantales, ces étranges algues qui ressemblent aux cheveux des sirènes. Des deux salons immergés du navire, la vue sur les fonds marin est excep-tionnelle.www.vedettes-odet.com

à table !Chaque jour,

à 15h00, les phoques d’Océanopolis passent

à table lors d’une séance de nourrissage

à ne pas manquer.

sous l’eau

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Découvrir le monde de la mer

cap sur concarneau

Les lève-tôt ou les couche-tard mettront le cap sur Concarneau. Premier port thonier d’Europe et troisième pour la pêche fraîche, la criée s’anime à 6h30 le matin et à 22h le soir.

Rendez-vous donc aux aurores ou de nuit avec Christiane Labbé sur les quais du port pour découvrir l’envers du décor du monde de la pêche avant que le poisson n’arrive sur les étals des poissonniers. Cette guide du patrimoine connaît le port comme sa poche et raconte la vie du port et des pêcheurs. On apprend ainsi que la majeure par-tie du thon est pêchée aux Seychelles où s’établit une partie de la flotte concarnoise.Au coeur de la criée (où l’on ne crie plus depuis l’automatisation de celle-ci), la salle des ventes ressemble à un gigantesque frigo. Ici les mareyeurs (ceux qui achètent le poisson en grande quantité) sont face à toutes sortes de poissons (bars, merlus, do-rades) et crustacés (araignées et langoustines) savamment rangés dans leurs caisses par espèce et selon le bateau qui les ont pêchés.

La guide promène les regards curieux au gré des rangées, au beau milieu de cette foule active, en détaillant les étiquetages : espèce, provenance, méthode de pêche…

Une fois la vente bouclée, Christine Labbé complète la visite par les témoignages filmés d’anciens mareyeurs, trieurs de poisson et dockers (il n’y en a plus aujourd’hui à Concarneau), et marins-pêcheurs. On remonte alors le temps à l’époque des cha-lutiers hauturiers des années 60 et des difficiles conditions de vie des travailleurs de la mer.

Le Finistère, avec 1200 kilomètres de côtes, est le premier département français pour la pêche en mer. Réputé pour ses langoustines, lottes, lieus, sardines et autres bars que l’on débarque à l’aube ou en fin de journée, le département vit au rythme de la pêche.

Voici notre "sea-trip" des ports à visiter...

la criée de Concarneau ouvre ses portes au publicLe mardi et jeudi, de 6 h à 8 h. Réservation auprès de la maison du patrimoine Tél 02 98 60 76 06www.tourismeconcarneau.fr

Nouveau à Concarneau

Le « bar à vin » Ambiance garantie dans ce « bar flottant » installé dans un ancien langoustier labellisé Bateau d’intérêt Patrimonial. www.tourismeconcarneau.fr

Un restaurant les pieds dans l’eauCe restaurant, qui ouvrira ses portes au début de l’été, fait face à la ville close et au port de pêche de Concar-neau. Un emplacement unique pour déguster le meilleur de la mer.www.tourismeconcarneau.fr

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Pêcher en mer

Racheté il y a quelques mois par Sébas-tien Courtay, le Black Pearl est un an-cien chalutier qui vient de jeter l’ancre à Portsall. Ce navire peut accueillir douze passagers pour des sorties dans les Roches de Portsall (une heure), jusqu’au phare du Four (deux heures) et vers l’île Vierge (trois heures). Pour les amateurs de pêche (matériel fourni), des sorties spécifiques sont également proposées (compter environ cinq heures).www.facebook.com/black.pearl.portsall

Où dormir ?Dans l’une des chambres d’hôtes du clos de Troménec à Landédawww.leclosdetromenec.com

Sur la trentaine de conserveries installées à Concarneau à la fin du 19e siècle, il n’en reste que deux aujourd’hui. Chacune organise des visites de leurs ateliers et propose leurs meilleurs produits dans leurs boutiques.

Gonidec qui commercialise sous la marque Les mouettes d’Arvor thon blanc, foie de morue, sardines dans des boîtes millési-mées que s’arrachent les puxisardinophiles. www.gonidec.com

Courtin qui commercialise soupes, sardines et autres délices comme le confit de noix de Saint-Jacques. www.conserverie-courtin.com

Le bon plan

Voici une belle illustration de la vente en circuit court : l’achat de poissons directe-ment aux pêcheurs à leur retour de pêche en fin d’après-midi. Les produits de la mer sont évidemment de la première fraîcheur et les prix attractifs.

Où ? Sur le port du Diben à la « Halle aux poissons » de Doëlan à Clohars-Carnoët, au port du Bélon à Moëlan-sur-Mer ou à Trévignon à Trégunc.

À Loctudy, le mareyeur Emmanuel Garrec a mis au point un système de vente directe de poissons sur le modèle des paniers de légumes que les agriculteurs vendent en direct aux consommateurs. Ces produits de la mer sont commercialisés sous la marque « Terre de pêche ».www.terredepeche.com

Avel & Men

C’est à Porspoder que Xavier Broise et sa sœur Agnès ont créé la société Avel & Men, le vent et la roche en breton. Passionnés de voile de compétition et motivés par le goût du beau, ils ont créé une gamme d’accessoires cita-dins en cuir pour homme. Quand le monde de la mer rencontre celui du luxe, l’histoire est tout naturellement belle.www.aven-and-men.com

sous l’eau

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Découvrir le monde de la mer#2Escale au Guilvinec

Premier port de pêche artisanale en France, Le Guilvinec est proba-blement l’un des meilleurs spots pour découvrir le monde fascinant des marins pêcheurs. Dès 16 heures, le port s’anime avec l’arrivée des bateaux partis en mer le matin même. De la terrasse panoramique, le public assiste au débarquement du poisson vers la criée, véritable bourse aux poissons qui vont être expédiés vers toute la France, et parfois au-delà.

«Bienvenue chez nous»… Tel est le slogan de l’office de tourisme du Guilvinec. Ici, loin des visites guidées « classiques », la guide ra-conte, au travers d’anecdotes d’historiens locaux, les multiples facettes de ce port bigouden. La vie dans les conserveries, la construction des abris du marin, l’histoire du costume traditionnel figurent parmi les thématiques abordées qui se terminent par des dégustations d’algues avec Scarlette Le Corre (l’une des seules femmes patrons pêcheurs de France), de chouchen ou de bière bretonne.Tarifs : Adulte 5 € ; Enfant 8-16 ans 2 € ; Enfant - 8 ans Gratuitwww.leguilvinec.com/office-de-tourisme_fr

La fête du Pesked au Guilvinec les 29 et 30 avril 2017Haliotika – La Cité de la Pêche organise les 29 et 30 avril la Fête du Pesked (poisson en breton) sur les deux rives du port de Guilvinec/Léchiagat. Dif-férentes animations, pour la plupart gratuites, se-ront organisées sur le thème de la pêche en mer, comme des visites et des conférences à Haliotika, des promenades en mer et des visites de bateaux, des ateliers pour les enfants, des démonstrations culinaires et le fameux et unique concours de dé-corticage de langoustines.

À découvrirD’autres ports ouvrent leurs portes aux visiteurs parmi lesquels Roscoff, Saint Guénolé-Penmarc’h, Loctudy, Poulgoazec, Douarnenez, Plobannalec et Lesconil.

Jouxtant la criée, Haliotika, la cité de la pêche, dé-voile tout ou presque sur le monde maritime. Ateliers du goût, dégustation de langoustines, découverte des différents métiers du port pour les plus grands et ateliers créatifs et ludiques pour les tout-petits (dès 3 ans).www.haliotika.com

L’ormeau

Ce coquillage aussi dénommé truffe de la mer en raison de sa rareté est élevé par France Haliotis au large de Plouguer-neau, dans le Nord-Finistère. Premier élevage d’ormeaux en pleine mer, France Haliotis a installé un parc de quelque 120 cages immergées à 15 mètres. Grâce à une sélection rigoureuse de reproducteurs, nourri exclusivement avec des algues fraîches, l’ormeau atteindra après 3 à 5 années 5 à 8  cm. Cet élevage est unique au monde. Ici, les ormeaux sont certifiés en Agriculture Biologique, élevés en pleine mer et nourris aux algues fraîches.En collaboration avec quelques-uns des meilleurs chefs de la région, Haliotis organise des cours de cuisine et des dégus-tations. Malgré son surnom, ce coquillage reste accessible : comptez seulement 10 euros par personne pour 2 ormeaux. Si la préparation est simplissime (un aller-retour dans une poêle avec un peu de beurre salé suffit), il est nécessaire de battre l’ormeau (avec un maillet par exemple) pour assouplir sa chair. Pour le déguster, le restaurant La Butte à Plouider est sans conteste l’une des meilleures adresses bretonnes.www.abalonebretagne.com

Lemeilleur de la mer

Le bar de ligne

L’association des Ligneurs de la Pointe de Bretagne regroupe plus de 200 pêcheurs bretons qui estampillent chaque pois-son au moyen d’une étiquette précisant la technique utilisée, la ligne et l’origine géographique. Armant de petites unités (le plus petit bateau mesure 4 mètres et le plus grand 12 mètres), ils pratiquent des sorties à la journée, le plus sou-vent seuls sur leur navire, et pêchent le bar, le lieu jaune, la dorade ou le merlan, en utilisant exclusivement les tech-niques de pêche traditionnelles, à la ligne et aux hameçons. Plus au nord, les ligneurs de l’île Vierge pratiquent une pêche à la ligne en haute mer, dans la plus pure tradition de la pêche côtière artisanale. Grâce à cette technique respec-tueuse de l’environnement, le consommateur a l’assurance de déguster des produits d’exception.www.pointe-de-bretagne.fr www.lesligneursdelilevierge.com

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Les huîtres

Outre les « Belon » uni-versellement connues, les huîtres Prat Ar Coum sur l’aber Wrac’h ont aujourd’hui la cote auprès des gourmets. S’installer à l’heure de l’apéritif chez Yvon Madec à Landéda, aux viviers de Keraliou à Plougastel Daoulas ou au bar à huîtres Legris à Plouguerneau est un vrai bonheur.

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PAUSE BIEN-êTRE

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pause bien-être

À Bénodet

Ici, 2018 est placé sous le signe de la « Métamorphose ». Le nouveau séjour qui répond à une envie de changer s’appuie sur une approche globale et innovante en rupture avec les codes traditionnels de la thalassothérapie. Elle s’appuie sur 5 axes de changements de vie permettant d’atteindre une certaine forme de plénitude en modifiant ses ré-flexes, en libérant son esprit, en prenant soin de son corps, en embellissant son visage et en équilibrant son organisme. Un programme personnalisé de 6 jours allie coaching du sommeil, shiatsu, ini-tiation à la méditation, oxygénation et maîtrise du souffle.www.relaisthalasso.com

À Concarneau

Pour traverser au mieux les épreuves de la vie, renouer avec soi-même et puiser de nouvelles ressources en soi, le centre concarnois propose un programme novateur et inédit où l’on chou-choute son corps avec la thalassothérapie, tout en prenant soin de son esprit. Il combine des soins cocooning et relaxants – notamment de nom-breux modelages ainsi qu’une séance individuelle d’hypnose et 4 séances de pleine conscience (2 heures/jour) dispensées par Géraldine Desindes, spécialiste des pratiques mindfulness et coach en méditation. Chaque séance se compose de médi-tation, d’explications sur les mécanismes du stress, d’exercices spécifiques et de temps d’échanges. Inspiré du programme MBSR (réduction du stress par la pleine conscience), ce séjour plaisir est un véritable rendez-vous avec soi-même, où l’on se recentre sur son être et sur les valeurs qui donnent du sens à notre vie afin d’aborder nos défis quo-tidiens avec plus d’efficience, d’aisance et de sé-rénité. www.concarneau-thalasso.com

Aux vertus régénératrices de l’eau de mer et des algues, et aux bienfaits de massages prodigués par des mains expertes s’ajoutent les sagesses de pratiques séculaires qui complètent et optimisent les bienfaits des soins. Sport, détox, zénitude, lâcher-prise, expériences sensorielles... chaque centre finistérien cultive sa différence pour répondre aux attentes de tous les publics.

Thalasso : Du bien-être au mieux-être

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Le longe côte a la cote

Pour tous ceux qui veulent découvrir la côte depuis la mer sans perdre pied, qui sou-haitent goûter aux bienfaits de l’Atlantique sans boire la tasse et pratiquer un sport aquatique sans devenir skipper, la marche aquatique est l’activité toute trouvée. Cette « mode » est venue du Nord (de la France) où le manager d’un club d’aviron a eu l’idée de varier l’entraînement de ses rameurs en les faisant marcher. La marche aquatique était née.

Nombreux sont les sites de pratique en Fi-nistère, de Lesconil à Santec et de Loctudy à Audierne.

Toutes informations sur www.espace-mer-finistere.com www.oceanbyfab.com

À Roscoff, les ados "aux petits soins"

Pour apprendre à prendre soin de soi, pour déstresser avant ou après un examen ou tout simplement pour se faire plai-sir, un programme est réservé aux adolescents (à partir de 13 ans), conçu et validé par le comité médical Thalasso.com Valdys. Ces jeunes hédonistes bénéficieront d’un enveloppe-ment « sérénité» pour se détendre, d’un « Hydrorelax » pour purifier leur peau et d’un bain hydromassant aux cristaux de mer ou à la gelée d’algues pour se reminéraliser… Tarif : à partir de 349 euros pour 2 jours/2 nuits et 6 soinswww.thalasso.com

À Douarnenez, à fond la forme

La mini-cure forme propose sur 3 jours un plein de vitalité avec 9 soins. Modelage zen, douche à jet massante, enve-loppement de crème d’algues et séances d’activités aqua-tiques (aquabody, aquafitness, aquapower) pour repartir du bon pied.Tarif : à partir de 488 euros par personne pour 4 jours/4 nuits et 12 soinswww.thalasso.com

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pause bien-être

À visiter Le musée de

Landévennec est dorénavant classé Musée de France

Sur le GR 34

À l’issue d’un mois de vote sur www.MonGR.fr, site de la randon-née itinérance de la Fédération française de la randonnée pédestre, la portion finistérienne du GR® 34 entre Locquirec, Morlaix et Saint-Pol-de-Léon a été sacrée « GR® préféré » 2017 par le public. Cette distinction pour ce sentier qui fête cette année son cinquan-tième anniversaire est largement méritée tant les paysages de ce littoral joliment baptisé « côte des bruyères » sont grandioses, entre falaises escarpées, petites criques de sable blanc et ports de charme tels Loquirec qui dégage un charme indéniable.

Où dormir ?À Locquirec L’hôtel du Port qui vient d’être rénové

www.hotelduport-locquirec.fr Le Grand Hôtel des bains où fut tourné

« l’hôtel de la plage » www.grand-hotel-des-bains.com À Locquénolé Aux chambres d’hôtes La Barcarolle

www.la-barcarolle.com

À l’abbaye de Landévennec

Autre lieu, autre ambiance à l’abbaye de Landé-vennec, à l’entrée de la presqu’île de Crozon. Recons-truite dans les années 50, à proximité de l’ancienne abbaye du 6e siècle, ce lieu de recueillement où vit une vingtaine de moines propose une courte retraite « an-ticipée » pour ceux qui, croyants ou pas, ont besoin de se retirer du monde extérieur pour se retrouver et se ressour-cer pendant quatre journées qui ne seront bercées que par les prières des moines, les chants des moines… et des oiseaux. À leur arrivée, les hôtes posent leurs valises dans l’un des deux pavillons construits au coeur du domaine. Le style est sobre (on se recentre ici sur l’essentiel) et le confort sommaire. Pendant ce séjour, libre à chacun d’organiser son « emploi du temps » à sa convenance ou de caler sa journée sur la vie monastique ryth-mée par six offices de 5 heures à 18h15. Ici, on perd rapidement la notion du temps et on se laisse guider par le rythme du soleil et des heures canoniales. www.abbaye-landevennec.fr

Balade en forêtAu Japon, le shinrin-yoku, qui signifie « bain de forêt », constitue une composante importante d’un mode de vie sain. Perçue comme un lieu de ressourcement dans lequel tous les sens se trouvent sollicités, la forêt est fré-quentée pour des raisons thérapeutiques. En Finistère, tentez cette expérience en forêt de Carnoët près de Quimperlé ou en forêt du Cranou au Faou.

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Tout sur les algues Le Finistère, qui possède la plus grande partie du champ d’algue français, est le premier département producteur national d’algues. Si l’industrie agroalimentaire en fait grand usage sous forme de gélifiants et stabilisateurs, une douzaine d’espèces présentent un intérêt sur le plan alimentaire. Très riches en protéines, en oligo-éléments et sels minéraux (elles en contiennent 10 à 20 fois plus que les légumes terrestres), les algues concentrent la presque totalité des vitamines indispensables. À visiter : l’écomusée de Plouguerneau qui raconte le métier des goémoniers à travers les âges, le village réhabilité de Meneham à Kerlouan avec son four à soude et Lanildut, premier port de débarquement des algues en Europe.

Zoom sur quatre entreprises finistériennes.

Agrival

Implantée à Plouénan, Agrival a pour activité principale la récolte des algues vertes avant qu’elles ne s’échouent puis leur traitement et transformation en nutritif pour animaux et végétaux. Filiale de la SICA de Saint-Pol-de-Léon, premier groupement de producteurs de légumes et d’horticulteurs en France, Agrival bénéficie d’une proximité immédiate de la mer, assurant un approvisionnement en une diversité d’algues marines et une fraîcheur excellente des matières premières. Opérant sur tout le département, l’entreprise récolte plusieurs milliers de tonnes d’algues par an. Loin de se féliciter de l’enva-hissement de plages bretonnes, les ingénieurs travaillent aussi à la culture de l’algue à terre, dans des bassins ou sous serre.www.agrival-extrac.com

Bord à Bord

Lorsqu’Henri Courtois, picard travaillant dans la finance, a créé Algue Service en 1996, on l’a d’abord pris pour un fou à bicy-clette, trimbalant sa glacière remplie d’algues et démarchant les gourmets du coin. Aujourd’hui, Algue Service commercia-lise, sous la marque Bord à Bord, des produits culinaires à base d’algues avec succès. Implantée à Roscoff, l’entreprise vient d’ou-vrir 2000 mètres carrés de nouveaux ateliers. Ramassées, triées,

lavées, salées, les différentes espèces d’algues se transforment en tartares, confits et même moutardes et viennent épicer nos

assiettes avec subtilité. « L’algue n’est pas un phénomène de mode. Ceux qui tentent le coup sont conquis et fidèles à nos produits » déclare Henri Courtois, à commencer par Alain Ducasse, premier de ses adeptes. www.bord-a-bord.fr

Agrimer

Le groupe Agrimer Bretagne Cosmétiques Marins installé à Plouguerneau connait l’algue sous toutes ses coutures et l’exploite sous toutes ses formes. Bio-stimulants pour la viticulture et l’arboriculture, préparations destinées à l’industrie pharmaceutique, préparations nutritionnelles… Le panel des produits transformés est large. Il s’étend aussi à la cosmétique marine, secteur dans lequel le groupe fait figure d’ac-teur majeur, notamment à l’exportation où il réalise 75% de son chiffre d’affaires. Le groupe a déve-loppé une gamme spéciale de produits écologiques pour la chaîne de thalassothérapie Thalazur. Sous les marques Thalion et Thali, il commercialise aussi ses propres produits et soins haut de gamme pour le corps et le visage. Transformées dans les 24 heures suivant leur récoltes, les algues conservent leurs qua-lités et actifs.www.agrimer.com www.thalion.com

Nividiskin

Sur l’île d’Ouessant, la marque Nividiskin fa-brique des produits der-mo-cosmétiques à base d’actifs d’algues brunes.www.nividiskin.com

dans votre assiette Régina Queva, Pierrick Le Roux ou Bruno Matignon proposent des cours de cuisine à base d’algues.www.reginequeva.fr www.lacuisinedepierrick.com www.facebook.com/bruno.matignon.7

Je récolte des algues

Si le métier d’apiculteur ou d’ostréiculteur est connu,

celui d’algoculteur demeure une énigme. À Trégunc, André

Berthou, a choisi de cultiver des algues et de faire découvrir les multiples facettes de ce végé-

tal chlorophyllien aquatique lors de stages «cueillette et

cuisine» des algues orga-nisés par le musée de la

pêche de Concarneau.

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pause bien-être

En baie d’Audierne

Les vacances constituent une parenthèse pour « débrancher », ra-lentir, revenir à l’essentiel et ainsi faire face au malaise croissant gé-néré par une connexion permanente, En baie d’Audierne, à deux pas de l’océan, Laurianne Le Cossec, a imaginé un break digital de 5 jours pour « se reconnecter avec soi-même et l’instant présent et recréer du lien avec de vrais gens ». À l’arrivée dans ce « bout du monde », un coach bien-être fixe les règles de ce jeûne informa-tique et confisque, après avoir donné quelques conseils pour « te-nir bon », tous les appareils connectés des geeks en les remplaçant par des livres et des jeux de société. Pendant la semaine, chacun suit, à son rythme et selon ses envies, des cours de surf, de photos, d’équitation ou de cuisine, ou profite de séances de massages. En fin de journée, le groupe qui se réunit sans télé, smartphone ou tablette, retrouve le plaisir des soirées d’antan.www.franceisfun.fr

Sur une île déserte

À QuéménèsDébut janvier, la petite île de Quéménès en mer d’Iroise aura de nouveaux locataires pour succéder à Soizic et David Cuisnier, les pionniers, qui y ont vécu dix ans. Les lauréats ont été choisis par un jury sur une quarantaine de candidatures. Le couple d’une trentaine d’années qui veut retrouver ici une vie « rythmée par les saisons et la nature », entend valoriser les ressources naturelles de l’île, en s’appuyant notamment sur la production agricole biologique et l’élevage de quelques moutons « Landes de Bretagne ». Ils continueront parallèlement l’exploitation de chambres et tables d’hôtes.www.iledequemenes.fr

À Ledenez Voici une expérience hors du commun pour tous ceux qui souhaitent déconnecter. Rattaché à l’île de Molène par une langue de sable et de galets savamment dé-nommée tombolo se découvrant à marée basse, Lede-nez Vraz (grand Lédénès) et Ledenez Vihan (petit Lédé-nès) abritent aujourd’hui deux refuges. Ces anciennes habitations de goémoniers qui vivaient ici jusqu’au milieu du 20e siècle ont été entièrement réhabilitées et permettent de vivre l’espace d’une nuit ou deux un séjour « hors du temps ». À marée basse, le passage reliant ces deux îlots et Molène s’ouvre et permet ainsi de rejoindre cette île sauvage.www.ile-molene.fr

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Le bon plan

Au départ du port de l’Aberwrac’h, « Mar-tine » est le dernier sloop goémonier en bois de l’Aber Benoît. Construit en 1971 aux chantiers Le Got à Plouguerneau, il était utili-sé jusqu’en 1999 pour la récolte du goémon et la pêche côtière. Aujourd’hui, Gwendal, Nicolas, Matthieu et Laurent proposent des balades nautiques autour de l’archipel de l’aber Wrac’h (îles d’Erch, Cézon, Stagadon, Vierge…) où chacun peut prendre la barre, hisser les voiles et participer aux manoeuvres.

L’île Callot Juste en face de Carantec, l’île Callot est accessible à marée basse par une petite route submersible. L’une des plus petites îles finis-tériennes (2 km de long sur 30 à 300 mètres de large) se laisse découvrir à pied, entre joncs, fougères, bruyères, chardons bleus, pins maritimes et plages de sable blanc.

Sur une île secrète

L’île Cézon Dès le 17e siècle, Vauban y fait édifier un fort destiné à protéger les navires qui protégeait les mouillages de l’Aber Wrac’h et le port de Brest. L’association Cézon y organise des chantiers de rénovation et des visites de ce fort inscrit au titre des Monuments Historiques.

L’île Wrac’h Le petit phare se visite et la maison du gardien accueille chaque été des artistes.

L’île Vierge L’île Vierge qui s’étend sur près de sept hectares est un lieu ma-gique. Ce petit bout de terre du bout du monde fut habité au 15e siècle par des moines cordeliers. En 1882, l’Etat se porte acquéreur de l’île et décide d’y édifier un grand phare dont la construction durera 5 ans. Avec ses 82 mètres, c’est le phare en pierre le plus haut du monde. À son sommet, après avoir gravi ses 365 marches (+ 35 pour accéder à la lanterne), la vue est exceptionnelle sur tout le pays des abers.

Bien dormirUn nouveau gîte ouvre ses portes ce printemps dans l’an-cienne école de l’île. Ici, les locataires vivront au rythme des marées.

L’île Tristan Située à quelques dizaines de mètres de Douarnenez, l’Ile Tristan est propriété du Conservatoire du Littoral. Selon la légende, elle aurait servi de refuge à Tristan, neveu du Roi de Cornouaille, tom-bé amoureux d’Yseult, la fiancée de ce dernier. Leur tombe y se-rait dissimulée sous deux arbres enlacés. L’office de tourisme de Douarnenez organise des visites guidées qui permettent de percer (presque) tous les secrets de cette île légendaire. Le guide conduira notamment les visiteurs au jardin exotique qui abrite bambous, ca-mélias, magnolias, myrtes du Chili et fuchsias de Nouvelle Zélande.

À ne pas manquer

Le Roc’h des Monts d’Arrée les 8 et 9 septembre Le rendez-vous de plus de 5000 vététistes et marcheurs.

La Rando du cap les 23 et 24 septembre Quatre itinéraires à la découverte du patrimoine naturel et bâti de la côte nord du Cap-Sizun, « Grand Site de France » et de nombreuses animations au programme.

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art de vivre

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Depuis des siècles, Pont-Aven surnommée "la cité des peintres" cultive un art et une douceur de vivre. Les paysages, la lumière, les bateaux sur les quais du port, ses promenades, ses dédales de vieilles pierres et les nombreuses galeries de peinture forment ici un décor de carte postale.

PONT-AVEN ET SES RIAS

Dans quelle cité finistérienne les pas des gourmands et des amateurs d’art pourraient-ils se croiser ? À Pont-Aven connue pour ses galettes et son école de peinture éponyme.Sur le plan artistique, si la visite du musée s’impose tout naturellement, pour-quoi ne pas se mettre dans la peau de Gauguin en posant son chevalet sur les bords de l’Aven. Marlène Million, peintre et galeriste, partage sa longue expérience (elle fut peintre plasticienne à Paris) tout en laissant ses « élèves » s’exprimer librement, inspirés comme les plus grands artistes par ces paysages singuliers et cette belle lumière.Les gourmands opteront pour une visite d’une des deux biscuiteries de la ville, Penven ou Traou Mad, qui perpétuent la tradition et proposent leurs spécialités artisanales au bon beurre de baratte breton.www.pontaven.com

Le musée de Pont-AvenRéouvert en 2016 après 3 ans de travaux, le musée, qui occupe aujourd’hui trois niveaux, est riche d’une collection permanente de 4 500 œuvres qui re-trace la vie artistique de Pont-Aven. Fractionné en dix sections, le parcours, à la fois chronologique et thématique, est accessible à tous grâce à des outils multimédias (points d’écoute, borne interactive, livre sonore, etc.) et un code couleurs – élaboré d’après Le Talisman (1888) de Paul Sérusier.

Petit rappel historiqueDepuis des siècles, Pont-Aven surnommée « la cité des peintres » cultive un art et une douceur de vivre. Les paysages, la lumière, les bateaux sur les quais du port, ses « promenades », ses dédales de vieilles pierres et les nombreuses galeries de peinture forment ici un décor de carte postale.Bien avant de devenir une cité de peintres, Pont-Aven était une petite ville affairée où les bateaux accostaient au port débarquant ou chargeant pêle-mêle céréales, cidre, vins, sels, pierres de taille… Les moulins tournaient à plein régime. Les peintres transformèrent les greniers en ateliers et Paul Gauguin, Emile Bernard, Maurice Denis, ou encore Maxime Maufra pour n’en citer que quelques-uns écrivirent là une nouvelle page de l’histoire de l’art. Attirés par cette fièvre créatrice, Chateaubriand, Flaubert, Mérimée, Xavier Grall ou en-core le célèbre Botrel se mêlèrent au paysage.

Nos plus belles adressesLa chocolaterie Eric Jubin, MOF, propose dans son nou-veau salon de thé des douceurs chocola-tées… à tomber.Idées Cette boutique de décoration figure par-mi les plus belles adresses de Bretagne. Sur plusieurs étages se côtoient les plus beaux objets pour la maison.Trois cabanes de charme baptisées « La Carri’air » en référence à leur im-plantation dans une ancienne carrière de pierres exploitée jusque dans les années 60 qui sont bâties à flanc de falaises, à huit mètres au-dessus du sol. www.lacarriair.com

Les grandes expositions de l’année

Pont-Aven, berceau de la modernité, collection d’Alexandre Mouradian du 2 février 2018 au 6 janvier 2019 Cobra, la couleur spontanée

du 10 mars au 10 juin Le Talisman, la prophétie de la couleur

du 30 juin au 6 janvier 2019

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Pont-Aven et ses alentours vus du ciel…

Pour prendre de la hauteur et profiter de vues à couper le souffle sur Pont-Aven et ses alentours, rendez-vous avec Rémy Lartillerie qui propose des vols en montgolfière au

départ de plusieurs spots (Saint-Yvi, Langolen et Trégunc), moins extrêmes que le parachute, plus lents et moins pol-

luants que l’hélico. Il entend faire partager sa passion à tous ceux qui veulent prendre leur temps (un luxe aujourd’hui)

pour admirer le Finistère. www.ouestmongolfiere.com

Slow tourisme sur le canal

de Nantes à BrestSe reconnecter avec la nature en observant les oiseaux et les pois-sons, profiter d’une halte pour se ba-lader en vélo sur les berges ou jouer les capitaines de (petits) vaisseaux constituent les grandes lignes d’une croisière en house-boat sur le canal de Nantes à Brest, un « autre Finistère ».www.aulne-loisirs.com

Les balades coup de cœur L’îlot de la biodiversité : Au dé-tour d’un méandre de l’Aulne, à la lisière de Châteaulin, surgit des brumes aquatiques un îlot de bio-diversité. Accessible uniquement en bac, ce bout de terre préservé a su conserver une faune et une flore riches et variés.

Des vitres de l’Observatoire Aqua-tique installé au centre-ville de Châ-teaulin, assistez au comptage des anguilles européennes, saumons atlantiques et autres truites de mer. Grâce à une webcam les lève-tôt ob-serveront les saumons qui passent préférentiellement vers 8h et 18h tandis que les insomniaques atten-dront le passage des lamproies ma-rines vers 2h...

Découvrez l’une des quatre mai-sons éclusières réhabilitées qui racontent l’âge d’or de la batellerie, les modes de vie et les techniques de travail ainsi que la faune et la flore aquatiques du canal.

Faire une pause … culturelle …Faites une petite halte au « Flâneur » où sont organisés concerts, expos, ateliers d’écriture et cours de cuisine à base d’herbes aromatiques.www.smatah.fr

, assister au comptage des anguilles européennes, saumons atlantiqu

Le saviez-vous ?Si l’idée d’ouvrir une voie de naviga-tion intérieure en Bretagne remonte au 16e siècle, il faudra attendre le dé-but du 19e et le blocus de Brest par les Britanniques pour convaincre Na-poléon 1er de l’intérêt stratégique de débloquer Brest par l’arrière-pays. Ou-verte en 1842, cette voie d’eau longue de 364 kilomètres qui relie la Loire à l’Océan sera largement utilisée pour le transport du fret entre Nantes et Brest. La construction du barrage de Guerlé-dan en 1923 et l’arrivée du chemin de fer signeront son déclin.

À ne pas manquer « La route du sable » les 23 et 24 juin Les heureux propriétaires d’anciens bateaux à voile ou d’avirons se donnent ren-dez-vous à Rosnoën pour cette 14e édition de cette remontée de l’Aulne mari-time et du canal de Nantes à Brest.www.routedusable.fr

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C’EST TOUT NOUVEAU,

c’est cadeau !

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c’est tout nouveau, c’est cadeau !

Brest Brest a obtenu fin 2017 le label tant convoité de « Ville d’Art et d’Histoire » qui « encourage des objectifs ambi-tieux capables de transformer le regard sur cette ville-pa-limpseste qui mérite d’être mieux connue et reconnue et prête à se raconter et à s’affirmer comme ville de patrimoine ». Cette «  ville abstraite, magnifiquement tracée » où se côtoient modernisme, néoclassicisme, art

nouveau, art déco, influences passées et d’ailleurs, mérite incontestable-ment une halte prolongée.www.brest-metropole-tourisme.fr

Carhaix Une porte vers le passé antique de Carhaix et du Poher s’ouvre ce printemps. À Vorgium, un centre d’interpré-tation innovant et interactif dévoile l’histoire d’une ville gallo-romaine et de ses habitants, les Osismes. Dans le jardin, les vestiges d’un quartier commerçant, découverts par les archéologues de l’INRAP entre 2000 et 2006, se reconstituent et s’animent grâce à la réalité augmentée, plongeant les visiteurs dans l’Antiquité de la Bretagne. www.carhaixpohertourisme.bzh

Où dormir ? au château de Kervoazec à Saint-Goazec

www.chateaukervoazec.com dans l’une des cabanes Ekolobreizh à Saint-Goazec www.ekolobreizh.bzh

La Tour Vauban à CamaretLa Tour Vauban qui fête cette année ses 10 ans au classement du Patrimoine Mondial, ouvre ce printemps un centre d’interpréta-tion. Les visiteurs vont ainsi pou-voir mieux comprendre l’œuvre de Vauban en Bretagne et en premier lieu son rôle dans la dé-fense du port-arsenal de Brest, en la contextualisant au travers de données géographiques, histo-riques, politiques et techniques. À l’intérieur, ils disposeront d’une tablette qui présentera la vie des soldats, le travail des ingénieurs

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c’est tout nouveau, c’est cadeau !

et la conception du site. Des ani-mations pédagogiques, des expo-sitions et différentes animations, telles qu’un « repas du soldat » et un marché des arts, viendront en-richir la découverte du site pour fêter cette ouverture.www.camaret-sur-mer.com/la-tour-vauban.php

Où dormir ?Dans le Langoustier «chambre d’hôtes» Le Grand Bleuwww.legrandbleu.bzh

L’hôtel La pointe Sainte Barbe au ConquetComme un vaisseau transparent en suspens au-dessus de l’océan, cet établissement, membre de la très sélect chaîne « M Gallery », ouvre ses portes en juillet 2018. Il propose 36 chambres toutes vue mer décorées dans un style résolument contemporain et épuré. Outre son restaurant gastronomique installé dans la partie supérieure de l’hôtel, l’établissement dispose d’un superbe spa.www.tourismeleconquet.fr

La Villa Tri Men à Sainte-Marine Construite en 1913, la Villa Tri Men est une grande maison, typique des rivages de l’Atlantique, qui surplombe le port de Sainte-Marine. Cet établissement qui vient de faire l’objet d’un « lifting » est sans aucun doute l’une des plus adresses du Finistère. Au restaurant, le chef, Frédéric Claquin, propose une cuisine conjuguant saveurs marines et produits du marché. www.trimen.fr

L’hôtel Castel Ac’h à Plouguerneau Lové au cœur au pays des Abers, entre le phare de l’île de Wrac’h et celui de l’île Vierge, cet établissement vient d’être racheté par Franck Jaclin, déjà propriétaire de l’hôtel Le château de sable à Porspoder. Cette escale de charme les pieds dans l’eau propose 14 chambres lumineuses, offrant toutes une vue spectaculaire sur la Manche et les îles de l’estuaire de l’Aber Wrac’h.Le chef, Julien Marseault, déjà étoilé du Château de Sable à Porspoder, y propose une cuisine inventive, fine et élégante. www.hotel-restaurant-castel-ach-plouguerneau.fr

L’hôtel Le Prieuré à QuimperSitué au cœur du quartier de Locmaria, « repère » des faïenciers, l’hôtel du Prieuré accueille religieusement ses hôtes dans l’ancien prieuré de la plus ancienne église de la ville, superbe édifice roman du 12e siècle. Ses plus belles chambres donnent sur l’Odet, considérée comme l’une des plus belles rivières de France, et un petit jardin de curé.www.quimper-tourisme.bzh

les Dernières adresses en vue... et avec vue

Les 80 ans d’Armor LuxCette marque bretonne emblématique souffle ses 80 bougies en 2018. A cette occasion, Armor Lux présentera des collections spéciales 1938-2018 et lance une gamme complète de linge de table et de maison sous la marque Armor-Lux Maison.Pour célébrer dignement cet anniversaire, Armor Lux prévoit d’organiser un ou deux concerts tandis que 80 vélos électriques Solex arborant ses couleurs sillonneront la capitale.

Ouessant : l’écomusée fête son demi-siècleL’écomusée d’Ouessant, le premier créé en France, fête ses 50 ans cette année. Pour fêter dignement l’anniversaire de ce haut lieu symbolique de l’histoire ouessantine et de la vie insulaire, de nombreuses animations seront organisées, dans et hors les murs.www.pnr-armorique.fr

Les foodistas qui guettent chaque année l’actualité gastronomique du Finistère ne resteront pas sur leur faim en 2018 avec … 80 tables dans l’édition 2018 du guide Michelin dont 11 tables étoilées : 2 tables 2 étoiles et 9 tables 1 étoile

1 nouvelle « assiette » pour Le Comptoir de La Butte à Plouider 4 nouveaux « Bib gourmand » : Le Bellevue à Fouesnant, Le comptoir des voyageurs à Locronan, La maison de Kerdiès à Plougasnou et le Vioben à Landéda.

Parallèlement, le restaurant étoilé Le Château de sable ouvre un « bistronomique ». www.lechateaudesablehotel.fr

à table

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