DOSSIER DE PRESSE 2017

LES PLUS BEAUX PARCS ET JARDINS DU FINISTERE

finistere360.com

L’AILLEURS PEUT ÊTRE SI PROCHE

COMMUNIQUÉ DE SYNTHÈSE

Le Finistère offre un extraordinaire condensé grandeur nature du monde végétal. Au fil des siècles, des centaines de plantes ont apprécié les vertus de son climat, la qualité de son sol et le sa-voir-faire de ses jardiniers.Exotiques, océaniques ou botaniques, médicinaux ou tropicaux, chaque jardin raconte l’histoire de passion-nés, d’aventuriers, de marins aux longs cours ou de chercheurs qui ont contribué à créer des écrins végétaux exceptionnels.Ce dossier est une invitation à découvrir ces composi-tions sensibles et originales qui constituent un véritable kaléidoscope de plantes qui, partageant des origines lointaines par-delà les mers, s’accommodent des hu-meurs océaniques bretonnes.

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Vos contacts PresseJean-Luc JourdainChargé des Relations Presse Tél. 02 98 76 24 42 / 06 73 86 35 40jeanluc.jourdain@finistere360.com

@FinisterePresse facebook.com/FinisterePresse

Chantal GrannecRéférente presse Tél. 02 98 76 64 62 chantal@finistere360.com

SOMMAIRE

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Le Jardin Georges Delaselle à l’île de Batz

Le Jardin exotique à Roscoff

Le Jardin du Conservatoire botanique national à Brest

Le Jardin des Explorateurs à Brest

Les Jardins de l’abbaye à Daoulas

Le Domaine de Trévarez à Saint-Goazec

Le Jardin du Théâtre Max Jacob à Quimper

Le Jardin médicinal du Prieuré à Quimper

Le Jardin de la Retraite à Quimper

Le Parc botanique de Cornouaille à Combrit

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LES PLUS BEAUX

PARCS ET JARDINS

DU FINISTÈRE

LES PLUS BEAUX PARCS ET JARDINS DU FINISTÈRE

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Le Jardin Georges Delaselle à l’île de Batz

Au cours d’un voyage qu’il effectue en 1897, Georges Delaselle, assureur pari-sien passionné de végétaux exotiques, tombe sous le charme de l’Île de Batz. Il décide, étonné par la présence de nombreux végétaux rares en prove-nance des quatre coins du monde, d’y créer un jardin exotique.Il acquiert donc un domaine, et pour le protéger du vent, relève artificiellement son cordon dunaire et creuse une large cuvette en terrasses. Il y implante une centaine de pins noirs d’Autriche, des chênes verts et des cyprès de Lambert, des conifères californiens connus pour leur résistance aux vents salés. Cette protection alliée au micro-climat de l’île favorise l’acclimatation de nombreuses espèces exotiques que le collectionneur fait venir du monde entier.À sa mort en 1944, la dune aride et primitive a laissé place à une luxuriante oasis peuplée de palmiers et autres plantes exotiques. Vendu à plusieurs reprises, une équipe de bénévoles réunis au sein de l’association « Les Amis du jardin Georges Delaselle » décide en 1987 de faire renaître ce qui fut jadis un petit paradis. Pari hardi que le Conser-vatoire du Littoral s’est engagé à soutenir en devenant propriétaire du site en 1997, cent ans après sa création, proté-geant ainsi définitivement ce témoignage remarquable de l’histoire de la pratique botanique et de l’acclimatation des végétaux exotiques vers 1900. La réhabilitation du jardin reste fidèle aux composantes fondamentales ébauchées par son concepteur. Les aménagements récents venus le compléter s’inscrivent dans l’intuition romantique qui fut celle de Georges Delaselle.Lors de l’arrivée de Georges Delaselle sur l’île, certaines plantes subtropicales avaient déjà été acclimatées avec succès. C’est le cas du Pourrétia du Mexique - Fascicularia pitcairniaefolia, rapporté du Chili par des marins au long cours au milieu du 19e siècle. Les griffes de sorcière – Carpobrotus edulis, étaient utilisées pour le faîtage des maisons depuis fort longtemps. Il semble également que les dracenas – Cordyline australis agrémentaient déjà le paysage insulaire, tout comme les agaves – Agave americana, peut-être rapportées de voyages en Méditerranée par des marins de l’île. Quelques sujets de palmier à chanvre – Trachycarpus fortunei, existaient probablement dans les jardins d’anciens ca-pitaines, puisque Georges Delaselle était connu à Brest et en Cornouaille anglaise depuis une cinquantaine d’années.Une grande partie de la collection de Georges Delaselle provenait certainement des serres du Jardin colonial de Nogent et de ses visites dans les jardins méditerranéens. Les relations amicales qu’il entretenait avec Mélanie de Vilmorin, alors locataire du Château du Taureau en Baie de Morlaix, lui ont peut-être permis d’enrichir sa collection de plusieurs es-pèces. Enfin, la correspondance qu’il échangeait avec des amateurs, les graines et les boutures qu’il recevait, ont peu à peu constitué sa collection botanique. Aujourd’hui, la collection botanique de ce jardin compte plus de 2 500 espèces originaires des cinq continents. Plus des deux tiers proviennent de l’hémisphère sud, des régions au climat proche du bassin méditerranéen : Californie, Chili, Afrique Australe, Australie et Nouvelle-Zélande. La relative douceur du climat insulaire permet de conserver en plein air une étonnante collection de palmiers ainsi que de nombreuses plantes subtropicales. Les cactus y trouvent aussi leur place grâce à un aménagement spécifique.Chaque espace du jardin est une invitation au voyage : jardin Maori, terres australes, cacteraie, palmeraie, lande fleurie, jardin d’herbes … Le jardin est ainsi un véritable conservatoire de la biodiversité mondiale, en préservant de nombreuses plantes en voie de disparition.

www.jardin-georgesdelaselle.com

L’expo du moment

Année Robinson Crusoé 2017, Année Robinson Crusoé pour fêter les 120 ans du jardin et les 30 ans de l’Association «Les amis du Jardin Georges Delaselle» qui l’a réhabilité. Le Jardin Georges Delaselle propose à ses visiteurs, à compter du 13 mai 2017, une exposition sur l’île de Robinson Crusoé (Chili), déclarée réserve de la Biosphère par l’Unesco.

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LES PLUS BEAUX PARCS ET JARDINS DU FINISTÈRE

BatzRoscoff

Le Jardin Exotique et Botanique à Roscoff

Ce jardin fut créé à partir de 1986, sur l’initiative de deux passionnés de botanique Daniel Person, hôtelier à Roscoff, et Louis Kerdilès, à l’époque responsable des espaces verts de la Ville.Géré par le Groupement Roscovite des Amateurs de Plantes Exotiques Subtropicales, il présente sur 16 000 mètres car-rés plus 3 500 variétés de plantes australes (Afrique du sud, de Nouvelle-Zélande, d’Australie, d’Amérique du sud, du Chili, des îles Canaries, de Madère) ou de Chine, ainsi que des cactus cultivés en plein air sous nos climats.Le public peut y admirer des collections de Restionaceae, d’Aeonium, de Protea, de Kniphofia, de Melianthus, ainsi que de nombreux Eucalyptus (plus de 100 espèces différentes), des Callistemon, des Melaleuca, des Grevillea, des Hakea, des Banksia, des fougères arborescentes, des palmiers, des rince-bouteilles, des succulentes (cactus, agaves, aloès, Cras-sulas, Sedum mexicains….), des bulbes sud-africains ou sud-américains comme des Amaryllis Belladonna, des Passiflora surnommées les fleurs de la passion).La vue panoramique exceptionnelle qu’offre un chaos granitique de 18 mètres de haut permet de contempler la baie de Morlaix et d’appréhender le jardin dans sa globalité.

www.jardinexotiqueroscoff.com

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Le Jardin du Conservatoire botanique national à Brest

Lieu de détente, de sensibilisation et d’expertise, le Jardin du Conser-vatoire botanique national de Brest regroupe sur 30 hectares plus de 2 500 espèces botaniques. Sa collection, son intérêt paysager et ses activités d’éducation lui valent d’être labellisé Jardin remarquable et Jardin botanique de France et des pays francophones.Ce jardin d’exception abrite aujourd’hui l’une des trois plus impor-tantes collections au monde de plantes en voie de disparition avec celles de Kew Gardens à Londres et du Jardin botanique d’Edimbourg.En plein air, dans le jardin conservatoire, les plantes sont regroupées par zones géographiques créant ainsi une succession d’ambiances et de paysages variés. Le voyage botanique commence en Bretagne avec des Magnolias, se poursuit en Asie parmi les cyprès du Cachemire, continue en Nouvelle-Zélande et en Australie avec les eucalyptus et les fougères arborescentes, avant de s’achever en Méditerranée avec les Echium des Canaries et les Euphorbe du Maroc. Dans la palmeraie, se dresse le Cocotier du Chili qui peut atteindre dans son milieu naturel 30 m de haut et 5 mètres de diamètre. Dans les serres tropicales, le visiteur découvre, accompagné par les sons de la nature, l’étonnant cycle biologique de l’Arum titan ou encore le monde fascinant des plantes carnivores, mais aussi une concentration exceptionnelle de plantes menacées ou disparues parmi lesquelles les Cylindrocline lo-rencei de l’île Maurice, le Bois de senteur blanc de l’île de la Réunion, le Normania triphylla de Madère ou les hibiscus originaires de l’archipel d’Hawaï et des Mascareignes.

www.cbnbrest.fr

L’expo du moment

« Les coulisses du Conservatoire » du 1er juillet au 31 août 2017 Que se cache-t-il derrière le jardin ? L’atelier photo du patronage laïque de Lambézellec est allé à la rencontre des petites mains du Conservatoire… Exposition de photographies argentiques en noir et blanc.

BrestDaoulas

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Le Jardin des Explorateurs à BrestSitué dans le quartier de Recouvrance, ce jardin a été amé-nagé dans ce que l’on appelle «La Batterie du Cavalier», une construction datant du 18e siècle qui devait servir à protéger l’embouchure de la Penfeld.Ouvert en 2002, ce jardin abrite aujourd’hui une grande variété de plantes du monde entier. Le visiteur peut ainsi admirer de beaux spécimens d’hortensias, l’une des plantes emblématiques en Bretagne, découverts au Japon par le bo-taniste Commerson pendant son voyage autour du monde avec Bougainville, une plantation de végétaux dans des bacs en bois, rappels des caisses utilisées pour le transport des graines, du lin de Nouvelle-Zélande acclimatés pour la création de champs d’expérimentation pour la confection de cordage, des végétaux originaires de Nouvelle-Zélande en hommage au botaniste brestois Raoul, des fougères ar-borescentes, des tronçons de bambous fichés dans le sol, utilisés autrefois comme contenants à cause de leur bois creux ou encore des fraisiers importés par du Chili il y a plus de 300 ans par Amédée-François Frézier, ou des fougères arborescentes.

www.ulinks.fr/jardin-des-explorateurs-brest

Les Jardins de l’abbaye à Daoulas

Le Jardin de l’abbaye à Daoulas, recréé en 1996, reprend avec exacti-tude les valeurs du jardin de simples médiéval. Labellisé « Jardin remar-quable », Près de 300 espèces des cinq continents réparties sur les deux terrasses invitent au voyage et à la découverte des qualités médicinales, aromatiques, condimentaires ou encore tinctoriales de ces plantes. Parallèlement, le jardin des arbres et arbustes médicinaux, ouvert en 2016, est installé au sein d’un parcours paysager des essences venues de toute la planète. La diversité des espèces illustre celle des pharmacopées consti-tuées par les sociétés humaines dans leur rapport au corps, à la maladie, en fonction de leurs croyances ou connaissances scientifiques, et selon les ressources offertes par leur environnement. L’approche, ainsi unifiée autour des propriétés médicinales des plantes et de la diversité culturelle, s’inscrit pleinement dans le projet culturel que poursuit l’abbaye au sein de l’EPCC Chemins du patrimoine en Finistère, notamment au travers de ses expositions et de l’achat d’une œuvre du sculpteur Marc Didou, sculp-ture monumentale en acier figurant l’écorce d’un tronc d’arbre, posée à même le sol.

www.cdp29.fr/fr/presentation-daoulas-les-jardins

L’expo du moment

« Chasseurs de miel » Eric Valli du 29 mars au 31 décembre 2017 Eric Valli, connu entre autres comme réalisateur de « Himalaya, l’enfance d’un chef », présente ici les paysages grandioses d’une vallée reculée du Népal et le quotidien de ses habitants, les Raji «Chasseurs de miel» : chaque jour, ces hommes défient le vide au risque de leur vie, pour chercher ce qu’ils appellent « le miel fou » des abeilles. Ces photographies, très spectaculaires, sont affichées en grand format au détour des allées du Jardin de l’abbaye, et accompagnées de bornes sonores par le biais desquelles Eric Valli explique sa motivation, celle de découvrir et de partager l’existence «d’hommes vivant en harmonie avec la nature».

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Le Domaine de Trévarez à Saint-Goazec

Le parc du Domaine de Trévarez est pensé comme un écrin végétal pour le château, traduisant l’immense fortune et le goût du maître des lieux. Les trois jardins conçus pour James de Kerjégu ont été réhabilités : le jardin régulier, le jardin d’inspiration italienne et son bassin, le jardin pittoresque animé de cascades.

Ce parc paysager, labellisé « Jardin remar-quable », a acquis une nouvelle dimension grâce à la constitution de collections vé-gétales qui fleurissent au fil des saisons et qui font la réputation du lieu : Rhododen-drons, Camélias, Hortensias, Fuchsia...En 2016, le domaine de Trévarez a obte-nu le label international « Jardin d’Excel-lence ».

www.cdp29.fr/fr/presentation-treva-rez-le-parc

L’expo du moment

«Toujours la vie invente» Carte blanche à Gilles Clémentdu 13 mai au 15 octobre 2017Regard d’artiste consacre son édition 2017 au jardinier, paysagiste, ingénieur-horticole et écrivain Gilles Clément qui, depuis les années 1980, a largement remis en cause notre relation de domination face à la nature, prônant la coopération et l’observation, conduisant le jardinier à « observer plus et jardiner moins ». L’exposition nous introduit au cœur de sa pensée visionnaire, fondée sur une écologie humaniste et déclinée autour des concepts du Jardin Planétaire, du Jardin en Mouvement et du Tiers-Paysage. Les réalisations et les voyages de Gilles Clément sont présentés par thème dans différents espaces du parc et dans les anciennes écuries, retraçant le parcours d’un créateur hors norme, et livrant le portrait d’un jardinier artiste du vivant.

À voir du moment

Le « Labotanique » est un espace d’interprétation sur le végétal. Les Camélias, les Rhododendrons et les Hortensias qui font la renommée de Trévarez n’auront plus de secrets pour les curieux de nature. Au coeur d’une serre, des tables de manipulation, à expérimenter en autonomie, vous permettent de comprendre en vous amusant la biologie des plantes et l’histoire des collections botaniques du parc.

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Le Jardin du Théâtre Max Jacob à Quimper

Créé en 1904, le Jardin du Théâtre à Quimper est l’un des plus anciens de la ville. Composé selon un style proche du romantisme anglais avec ses formes courbes, il est agré-menté d’un cheminement d’eau et de plantes de milieux humides.On y découvre quelques beaux et vieux spécimens d’arbres  : Ginkgo Biloba, Tulipier de Virginie, Séquoia géant, Tilleul, Tagnolia.Un escalier de quelques marches en pierre permet d’ar-river sur des allées en herbe qui délimitent une roseraie accompagnée de plantes vivaces.

www.quimper-tourisme.bzh/jardins

Le Jardin médicinal du Prieuré de Locmaria à Quimper

Ce jardin urbain a été aménagé à partir de 1997 dans l’es-prit des jardins de monastères de l’époque d’Anne de Bre-tagne. Bordé de plantes grimpantes et de roses, il abrite une collection de plus de 150 espèces de plantes culi-naires, médicinales, aromatiques, mais aussi des plantes magiques et de sorcellerie, toutes décrites dans la Capi-tulaire de Villis, inventaire de base des plantes cultivées datant du 11ème siècle. Ici se côtoient consoude, chénopode bon-Henri, livèche, menthe coq, gaude, carthame, chardon aux ânes, oseille des moines, mongette, bourrache et quelques arbres frui-tiers comme le néflier. Le jardin marial est composé de plantes ramenées des croi-sades. Il renferme des symboles liés au culte de la Vierge Marie, le lys, la rose blanche, symboles de pureté, tandis la tonnelle symbolise le ciel. Les plantes aromatiques et les saules complètent les plantations.Toutes ces plantes se répartissent autour de la fontaine de vie et le jardin marial. La fontaine de vie, point d’eau du jardin, coule par quatre gouttières symbolisant les quatre fleuves du Paradis et les points cardinaux.

www.quimper-tourisme.bzh/jardins

Quimper

Saint-Goazec

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Le Jardin de la Retraite à Quimper

Protégé par les remparts de l’ancienne ville fortifiée, le Jardin de la Retraite est composé comme une suite de quatre jardins thématiques communiquant entre eux par des escaliers ou des portes :

la parcelle basse dessinée à la française autour d’un bassin abrite une belle collection de palmiers notamment le palmier des îles Canaries ;

le jardin attenant est dévolu aux plantes de terrains secs originaires du Mexique, Afrique du Sud et Australie entourées de quelques arbres du Chili ;

le jardin tropical abrite une collection de plantes à feuilles larges telles que les bananiers ;

le jardin de la Paix situé en surplomb propose un univers totalement différent tourné vers la méditerranée. Ici, la présence de l’olivier et du pin d’Alep rappelle le caractère symbolique de ce lieu dédié à la paix.

On peut s’y balader le long des calades et allées de cyprès, s’arrêter sous la pergola à huit piliers ou encore admirer le panorama exceptionnel sur le cœur historique de Quimper avec une vue rare sur les flèches de la cathédrale.On y trouve uniquement des plantes de méditerranée : myrte, olivier, lavande, ciste, cyprès, vigne, pin d’Alep.

www.quimper-tourisme.bzh/jardins/jardin-de-retraite/

Quimper

Combrit

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Le Parc botanique de Cornouaille à Combrit

Le terrain actuel de 4 hectares a été acquis par Jean-Pierre Guéguen en 1981. La nature du sol naturellement acide a favorisé ici la croissance d’une exceptionnelle collection de plantes océaniques, sans doute l’une des plus riches de France. Dans ce parc, le visiteur peut admirer plus de 400 espèces de rhododen-dron, 80 espèces de Magnolias et plus de 550 variétés de Camélias mais aussi de superbes érables, des Hortensias et des houx. D’inspiration an-glaise (le maître des lieux a travaillé outre-Manche aux célèbres pépinières Hilliers), le parc abrite également une collection de plantes « d’ailleurs », certaines d’entre-elles rarement cultivées en Europe, originaires de Laponie, d’Afrique du Sud, du Japon, d’Amérique du Sud, de Chine, des Etats-Unis, d’Australie et de Nouvelle-Zélande. Cet écrin botanique se complète par un jardin aquatique de 7 000 mètres2 qui accueille une riche flore aquatique et de bord d’eau.

www.parcbotanique.com

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Dossier de presse édité par Finistère 360°4 rue du 19 mars 1962 - CS 92005

29018 Quimper cedex

f360@finistere360.com

finistere360.com

Document non-contractuel.Crédits photographiques :

J. Le Mouillour – J.M. Moullec – CNB Brest – Jardin Georges Delaselle Ile de Batz – Bernard Galeron – Parc botanique de Combrit – J.P. Gratien – Jardin exotique de Roscoff – Claire-Nathalie Garcia – Office de tourisme Brest Métropole – Office de

tourisme et Ville de Quimper – Chemins du patrimoine – John Delahaye - Pexel.