Fonds de l'Espérance savoisienne, loge maçonnique … · C'est sans doute à cette époque qu'il faut faire remonter son initiation à la Franc-maçonnerie puisque son nom apparaît

Archives départementales

Fonds d’origine privée

Fonds de l'Espérance savoisienne, loge maçonnique de Chambéry

(1774-1942)

Cote : FR.AD073. 26F 1-25

Répertoire numérique, 40 pages

Version 2011

saisie : Fredéric CARRET, mise en page : Patrick STOPPIGLIA

Archives départementales de la Savoie 244, quai de la Rize, 73000 Chambéry

www.sabaudia.org - www.savoie-archives.fr

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Archives départementales de Savoie page 2/40 Fonds de l'Espérance Savoisienne - (1774-1942) - 26F 1-25

Sommaire

Sommaire .......................................................................................................................................... 2

Introduction........................................................................................................................................ 3

Historique et composition du fonds ..........................................................................................................3

Note d'André PERRET dans le Guide des Archives de la Savoie de 1979 ...............................................3

La Franc-maçonnerie en Savoie des origines à 1815....................................................................... 4

Bibliographie de la Franc-maçonnerie dans les Etats du Roi de Sardaigne des origines à 1815... 15

Répertoire numérique...................................................................................................................... 16

Inventaire détaillé ............................................................................................................................ 17

26F 1-10. Registres divers et registres de délibérations et de correspondance. 1774-1889 ..........17

26F 11-16. Livres de comptes. 1787-1865 ........................................................................................18

26F 17-20. Tableaux de Loge, 1785-1942.........................................................................................19

26F 23 Correspondance (72 pièces), 1778-1791........................................................................20

26F 24 Correspondance (247 articles), 1800-1815.....................................................................24

26F 25 Correspondance non daté (75 articles) ...........................................................................37

Circulaires et pièces diverses, 1774-1815.......................................................................38

Comptes divers, 1800-1808.............................................................................................39


Introduction

Historique et composition du fonds

Composé pour la plus grande partie d'archives de diverses loges de la province de Savoie aux XVIIIe et XIXe siècles, ainsi que de certains documents plus récents concernant le XXe siècle, ce fonds a été remis en dépôt privé aux Archives départementales de la Savoie en 1942, à la suite de la dissolution, en 1940, de la Loge de Chambéry, "L'Espérance Savoisienne".

Outre un certain nombre de Registres de délibérations et un Registre de correspondance, ce fonds comprend des Livres de Comptes, de nombreux Tableaux de Loge et une volumineuse correspondance. L'ensemble de ces documents permet de retrouver les détails de ce que fut la vie des Loges maçonniques à une période de l'histoire de la Savoie qui fut fertile en événements. En effet, de l'introduction de la Maçonnerie en Savoie par le marquis des Marches qui y fonda la Grande Loge Maitresse de "Saint Jean des Trois Mortiers" en 1749 jusqu'à l'extinction des feux, en 1815, nous voyons la suprématie de la Maçonnerie anglaise s'effriter peu à peu avec, dans un premier temps, l'apparition du Système de la Maçonnerie Rectifiée (et la constitution à Chambéry de la Loge de "la Sincérité" dont Joseph DE MAISTRE et le docteur DAQUIN furent parmi les membres les plus éminents) sous l'influence de la Maçonnerie lyonnaise, puis celle du Grand Orient de France qui devint progressivement l'obédience la plus représentative en Savoie, et ce jusque vers le milieu du XXe siècle.

Ces documents ne concernent d'ailleurs pas seulement la Maçonnerie savoyarde ; l'on y trouvera également de nombreuses pièces relatives à la Maçonnerie piémontaise, ainsi que des documents touchant à la Maçonnerie genevoise.

Le fonds est librement communicable à l'exception des documents datés du XXe siècle.

Note d'André PERRET dans le Guide des Archives de la Savoie de 1979

Donné par M. le chanoine Louis GROS, historien mauriennais.

Ce fonds est composé par une partie importante des notes et manuscrits laissés par son oncle, le chanoine Adolphe GROS (1864-1945), président de la Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne, auteur d'une « Histoire de Maurienne », d'autres publications sur cette province et d'un dictionnaire étymologique des noms de lieux de la Savoie. Le reste de ce fonds a été donné à la Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne.1

1 André PERRET, Guide des archives de la Savoie, Chambéry, 1979.


La Franc-maçonnerie en Savoie des origines à 1815

Lorsque, aux alentours de 1744, les premiers maçons savoyards se réunirent à Chambéry et à

Annecy, il y avait déjà quelque temps que la maçonnerie spéculative, renaissant des cendres de

l'ancienne maçonnerie opérative, se diffusait dans toute l'Europe. Bien que des loges maçonniques

semblent avoir existé dès le milieu du XVIIe siècle en France dans les milieux d'émigrés jacobites, ce fut

cependant la constitution de la Grande Loge de Londres, "Mère Grande Loge du Monde", le 24 juin

1717, qui donna à l'ordre une impulsion décisive. Dans les vingt années qui suivirent, on assista en effet

à la naissance de loges dans pratiquement tous les Etats européens, le plus souvent grâce au

prosélytisme dont surent faire preuve les marchands et les militaires britanniques, alors nombreux en

Europe.

La diffusion d'une institution qui accueillait en son sein des hommes de toutes conditions et de

tous milieux et qui, de plus, exigeait de ceux-ci le secret le plus absolu, ne fut pas sans susciter une

certaine inquiétude chez les autorités civiles et ecclésiastiques. Au nom de la raison d'Etat, la Hollande

en 1735, la France en 1737, Hambourg, la Suède, et Genève en 1738, Zürich en 1740, Berne en 1743,

prirent des mesures répressives à l’encontre de la Franc-maçonnerie. Mais ce fut Clément XII qui, dans

la bulle pontificale, In Eminenti... publiée en 1738, prononça la première condamnation formelle de

l'ordre, jetant dans la balance tout le poids de l'autorité morale et spirituelle, en même temps que

temporelle, de l'Eglise.

A cette époque, le Discours du chevalier Ramsay était en train de donner naissance à

l'Ecossisme, mouvement qui se traduisit rapidement par une inflation de hauts grades qui superposaient

aux trois premiers grades de la Maçonnerie anglaise traditionnelle toute une série de grades

chevaleresques, fondés Sur des légendes bibliques.

Ce fut ainsi dans ce contexte que la Franc-maçonnerie vit le jour en Savoie, une trentaine

d'années après la création du Royaume de Sardaigne. Les travaux récents de Jean NICOLAS2 nous

permettent, en effet, de faire remonter l'origine des premières assemblées maçonniques aux alentours

de 1744, alors que l’armée espagnole occupait le duché pour la deuxième fois en moins de quarante

ans. Ce fut vraisemblablement sous l'impulsion et avec le concours actif d'officiers espagnols affiliés à

des loges militaires de l'armée d'occupation que ces premières réunions furent organisées. Cependant,

cette activité maçonnique n'aurait peut-être pas dépassé le cadre d'un engouement passager sans

l'action de Joseph-François Noyel de Bellegarde, marquis des Marches, qui sut, par ses relations tant

2 J. NICOLAS, La Savoie au XVIIIe siècle, Paris, Maloine, 1978 (2 vol.). Voir surtout le 2e volume. "Nouveaux cadres de sociabilité

: les loges maçonniques", pp. 1035-1052.


familiales que mondaines, attirer à la Maçonnerie quelques uns des plus grands noms du duché et

donner ainsi à l'ordre un élan décisif.

Issu d'une vieille famille chambérienne ennoblie au XVe siècle, Joseph de Bellegarde, à la suite de

son mariage avec la fille de Sir Théophile Oglethorpe3 en 1719, vécut quelque temps en Angleterre.

C'est sans doute à cette époque qu'il faut faire remonter son initiation à la Franc-maçonnerie puisque

son nom apparaît en 1723 sur les registres de la Grande Loge d'Angleterre. Joseph de Bellegarde sut,

semble-t-il, s'attirer l'estime et l'amitié du duc de Richmond, Grand Maître de la Grande Loge

d'Angleterre en 1723-1724, puisque ce fut sur la recommandation de ce dernier que Lord Raymond,

Grand Maître en 1739, lui délivra, à la date du 13 juin 1739, des lettres patentes qui l'instituaient Grand

Maître provincial dans le duché de Savoie et la principauté de Piémont, avec "pouvoir de créer,

constituer des loges dans l'étendue des susdits Etats, les réprimer et suspendre, établir son vicaire

Grand Maître, son représentant, ses grands surveillants et autres frères en dignités"4.

Joseph de Bellegarde semble avoir quitté Londres peu après puisque nous le retrouvons à la cour

de Turin dans les années 1740, gentilhomme à la Chambre du Roi. Sa charge dut certainement le

retenir à la cour jusqu'à la fin de l'occupation espagnole, si bien que ce ne fut pas avant 1749 qu'il fonda

à Chambéry "Saint Jean des Trois Mortiers", loge qui devint la Grande Loge Maîtresse du Royaume de

Sardaigne lorsqu'il abandonna sa charge de Grand Maître provincial en 1752. Il semble avoir fondé une

autre loge auparavant, "La Constance", à Annecy, issue des premières réunions maçonniques de 1744,

mais les informations à ce sujet nous font défaut.

La démission de Joseph de Bellegarde en 1752, fut sans nul doute liée à une intervention de

l'Eglise auprès du Roi de Sardaigne pour que celui-ci mette un frein à l'activité maçonnique dans ses

Etats. En effet, Benoît XIV, renouvelant dans sa bulle Providas... la condamnation prononcée contre la

Maçonnerie par son prédécesseur Clément XII, insista personnellement auprès des différents

monarques catholiques afin qu'ils appliquassent des mesures répressives contre l'ordre. Ce fut ainsi

que, par l'intermédiaire du Cardinal Delle Lanze, il pressa Charles Emmanuel III de sévir contre une

institution sur laquelle le Roi avait jusqu'alors fermé les yeux. Proche du Roi, Joseph de Bellegarde

n'avait d'autre choix que l'abandon de sa charge de Grand Maître provincial qui demeura vacante

jusqu'à sa mort, en 1759. Les travaux de "Saint Jean des Trois Mortiers" se poursuivirent cependant,

mais avec une prudence dont témoigne la discrétion manifestée par la loge jusqu'en 1765.

Cette année, qui coïncidait avec le retour dans la péninsule italienne de nombreux officiers qui

avaient participé à la guerre de Sept Ans et avaient été initiés à la Franc-maçonnerie dans des loges

militaires, vit les premières fondations de la Grande Maîtresse Loge. Sa première "Bille" fut, en fait, une

3 Sir Theophile OGLETHORPE avait été lieutenant-général et Grand Ecuyer de Jacques II, roi d'Angleterre et d'Ecosse.


loge militaire, "la Constante Amitié", constituée le 20 janvier 1765, à la suite du Régiment de Savoie-

Infanterie. Fut-ce à sa suite de cette constitution ou, ainsi que le suppose Y. Bernard5 à la suite d'une

intervention de Mgr Biord, évêque de Chambéry-Annecy, toujours est-il que quelques mois plus tard,

"Mr. le Commandant Général pour S. M. dans le Duché de Savoie manda le Vénérable de la Grande

Maîtresse Loge des Trois Mortiers, et lui intima de la part du Roi, la défense expresse de ne plus

assembler dorénavant de Loges"6.

Contrainte à nouveau à la discrétion, la Maçonnerie savoyarde n'en poursuivit pas moins ses

travaux. Ainsi, un mois à peine après cette interdiction royale, les "Trois Mortiers" installaient à Rumilly la

loge de "la Vraie Amitié" dont l'existence semble remonter à 17637. Le 27 décembre 1765, les “Trois

Mortiers” constituèrent à Turin une loge dont le nom, "La Mystérieuse", évoque les difficultés

rencontrées par les maçons turinois pour se réunir au voisinage immédiat de la Cour.

Cependant, les "Trois Mortiers" n'avaient pas l'exclusivité de l'action maçonnique en Savoie. Une

loge existait à Thonon vers 1766-1767, mais nous n'en connaissons ni le nom, ni l'obédience. A

Chambéry même existait une loge, dite des "Indépendants", qui s'était sans doute constituée en 1763.

Loge "sauvage" à l'origine, elle demanda à la Grande Loge de France des lettres de constitution qu'elle

obtint seulement en 1785. Enfin, il existait à Carouge une loge, "la Fidélité", dont l'obédience nous

demeure inconnue.

Dès 1768, la Grande Loge nationale de Genève constitua pour sa part "la Triple Unité" à Annecy;

cette même Grande Loge genevoise attira d'ailleurs rapidement une autre loge d'Annecy, "la Triple

Equerre", fondée l'année précédente par "les Trois Mortiers". Ces derniers poursuivaient leur expansion,

en Piémont notamment, constituant à la même date "les Trois Pins" à Pignerol, et "la Sincère Union" à la

suite du régiment de Piémont-Cavalerie, le 22 juillet 1768.

Sans doute devant l'élitisme pratiqué à Chambéry par les "Trois Mortiers", quelques frères

décidèrent d'abandonner cette loge pour constituer, sous les auspices de la Grande Loge de France, "La

Parfaite Union", mais cette loge rejoignit rapidement l'obédience des "Trois Mortiers" qui, le 24 mai 1774,

lui délivrèrent des patentes de constitution8.

4 Voir dans le registre du Souverain Chapitre des Rose-Croix de Savoie la planche de Jaume de la Valette, datée du 27e jour du

5e mois de l'An de la Vraie Lumière 5787 (AD073 - 26 F 3) 5 P. BERNARD, Les commencements de la franc-maçonnerie en Savoie, Chambéry, Imprimeries réunies, 1943. 6 Registre du Chapitre des Rose-Croix de Savoie, préambule, f° 3 (AD073 - 26F 3). 7 Cf. J. NICOLAS, La Savoie au XVIIIe siècle, op. cit., p. 1042. 8 Voir le texte des Patentes de constitution de la "Parfaite Union" (Orient de Chambéry), délivrées par la Très Respectable

Grande Maîtresse Loge de "Saint Jean des Trois Mortiers", le 23 mai 1774, dans les circulaires et pièces diverses (AD073 - 26F 1)


Cependant, en Piémont, les intérêts mystiques et occultistes tendaient à l'emporter au sein de "la

Mystérieuse" qui, prenant une orientation qui l'éloignait de la loge-Mère, demanda et obtint de Londres,

malgré les protestations véhémentes des "Trois Mortiers", l'autorisation de se constituer en Grande Loge

provinciale pour le Piémont, sous la Grande Maîtrise du comte Asinari di Bernezzo.

Dans les années 1770, un certain nombre de frères turinois étaient en effet en rapport avec Jean-

Baptiste Willermoz qui fut l'un des artisans les plus actifs de l'introduction en France du système de la

Stricte Observance Templière, système qui devait donner naissance, par la suite à la Maçonnerie

rectifiée.

Lorsque, sous son impulsion, le Directoire Ecossais de Lyon fut constitué en 1773, celui-ci

s'efforça de gagner les loges de la région à la cause de la Stricte Observance Templière mais, pendant

un certain temps, seuls quelques maçons des "Trois Mortiers" répondirent à cette invitation, allant

jusqu'à quitter les "Trois Mortiers" pour fonder "la Sincérité", Grande Loge Ecossaise du duché de

Savoie. Cette nouvelle loge, constituée au détriment des "Trois Mortiers", rencontra leur opposition la

plus vive, mais elle n'en connut pas moins un certain succès à Chambéry. A la même époque, "la

Mystérieuse“ s'affilia également au système de la Stricte Observance.

Ce fut à l'occasion du Convent des Gaules, en 1778, que J.-B. Willermoz entreprit la

réorganisation des grades symboliques de ce qui était encore la Stricte Observance Templière et la

création de l'ordre des Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte.

Quatre ans plus tard, le Convent de Wilhelmsbad se réunit. Entérinant la plupart des décisions du

Convent des Gaules, il renonça aussi à la filiation templière. A cette occasion, d'autres mesures encore

furent prises et l'on créa notamment de nouvelles provinces, dont la IXe qui, sur proposition des

Français, reunit l'Italie à la Grèce et à l'Archipel. Mais, du même coup, on décida de rassembler sous

une même juridiction tous les Directoires Ecossais soumis à un même pouvoir politique, ce qui entraîna

le retour de Chambéry qui avait été rattaché en 1778 au Directoire Ecossais de Lyon dans le giron

italien.

A cette époque, la Savoie se sentit la "mal aimée" du royaume de Sardaigne : la plupart des

pouvoirs étaient concentrés à Turin; les conditions économiques étaient difficiles et les Savoyards

tendaient de plus en plus à regarder vers la France plutôt que vers le Piémont. En dépit des diverses

mesures que prit Victor Amédée III dès son accession au trône afin de développer l'économie du duché,

le malaise persista : la noblesse ainsi que la paysannerie connaissaient des conditions d'existence de

plus en plus délicates, aggravées par le rachat des droits seigneuriaux qui leur avait été imposé en

1771, et nombreux furent les Savoyards qui abandonnèrent leur patrie pour chercher fortune sous

d'autres cieux.


L'écho des troubles qui commençait alors à agiter la France retentit rapidement en Savoie,

donnant naissance à des troubles que la monarchie sarde réprima vigoureusement. Cependant, les

Savoyards émigrés à Paris y avaient créé le club des Allobroges qui, par une propagande incessante,

alimentait le mécontentement populaire et préparait les esprits à l'idée que la France était la véritable

patrie de la Savoie.

Ce fut en septembre 1792 que les troupes françaises pénétrèrent en Savoie sans y rencontrer le

moindre obstacle puisque les troupes sardes se retirèrent sans combattre. Quelques mois plus tard, à la

suite d'un referendum, l'annexion fut prononcée et la Savoie devint le 84e département français sous le

nom de département du Mont-Blanc.

Au cours de la période pré-révolutionnaire, la Franc-maçonnerie avait connu un succès qui était

allé en grandissant régulièrement, et cela s'était traduit par un foisonnement de sociétés plus ou moins

secrètes et dont la plupart n'étaient que des avatars de la Franc-maçonnerie. Ce fut, semble-t-il, vers

cette époque que l'ordre d'Héredom de Kilwinning connut sa période de plus grand développement;

mais l'époque fut aussi celle de Cagliostro et de son "rite Egyptien", ainsi que celle des "sociétés

mesmériennes". Cependant, avec la Révolution, le rôle ainsi que les effectifs de la Maçonnerie

diminuèrent dans des proportions considérables, les conflits politiques l'emportant sur la fraternité

maçonnique, et les Clubs tendant à remplacer les loges. La Maçonnerie française connut alors, entre

1792 et 1796, une éclipse à laquelle seule l'action énergique de Roettiers de Montaleau parvint à mettre

un terme.

La Maçonnerie rectifiée, quant à elle, commença à décliner au lendemain de Wilhelmsbad; le

mesmérisme attira bon nombre de frères qui s'adonnèrent au magnétisme. Nous savons, par le récit

d'un représentant de la Maçonnerie allemande rectifiée et des Illuminés de Bavière, le pasteur danois

Friedrich Münter, que Maistre lui-même, membre de "la Sincérité", pratiqua le magnétisme, tout comme,

ainsi que le rappelle Alice Joly, Willermoz et les maçons de la loge Ecossais de Lyon, "la Bienfaisance".

D'autre part, il y eut une certaine désaffection pour les intérêts chrétiens au profit d'une recherche

initiatique plus traditionnelle, ce qui explique en partie le succès du rite Egyptien de Cagliostro, succès

renforcé par la campagne d'Egypte menée par Bonaparte.

Ce fut au cours de la période pré-révolutionnaire que la Franc-maçonnerie de Savoie connut sa

crise la plus profonde. Cette crise prit naissance à l'occasion de l'installation quasi-officielle de "la

Sincérité" à Chambéry, en 1778. Or, il convient de ne pas l'oublier, en 1765, la Grande Loge Maîtresse

des "Trois Mortiers" s'était vu intimer l'ordre "de ne plus assembler dorénavant de loges", et cette

interdiction n'avait jamais été levée, Nous savons, certes, que les "Trois Mortiers" étaient passé outre à

cette notification, mais avec prudence et discrétion. D'autres obédiences pourtant, s'étaient introduites

en Savoie, qui n'avaient pas semblé rencontrer d'obstacle de la part des autorités piémontaises et cela,

ajouté à "l'établissement presque public" de "La Sincérité", "donna lieu aux anciens Maçons de croire


qu'ils ne devaient plus craindre de déplaire. Comme ils n'étaient pourtant pas autorisés, ils continuèrent

à user des mêmes précautions et ménagements; ils tinrent toujours leurs assemblées dans le plus grand

silence possible; et même nombre de bons frères, très zélés, se sont abstenus de retourner en loge"9.

L'apparition dans le monde maçonnique chambérien fit sensation, en particulier au sein des "Trois

Mortiers”. En effet, selon les termes mêmes de Joseph de Maistre, "la Sincérité" avait admis "ce qu'il y

avait de mieux dans la Loge des Trois Mortiers qui, se trouvant par ce moyen presque anéantie par le

fait, en conçut en grand ressentiment, d'autant plus que le choix était une espèce d'insulte pour ce qu'on

avait laissé"10.

Voyant donc la plupart de ses membres les plus éminents l'abandonner pour rejoindre les rangs

de la loge Ecossaise, la Grande Loge Maîtresse se réunit le 30 décembre 1779 et prononça contre "la

Sincérité" ce que Maistre appela une “excommunication maçonnique", décision qui fut immédiatement

transmise aux filles des "Trois Mortiers". Selon cette décision, il était désormais "inhibé et défendu à

toute loge régulière de fréquenter ou visiter directement ou indirectement la loge prétendue dite de la

réforme" et la planche qui fut remise à “la Parfaite Union" ajoutait que "une telle prétendue loge, de

même que ses travaux, doivent être regardés comme irréguliers et attentatoire à l'esprit et aux lois

maçonniques"11 .

Si nous ignorons comment cette "excommunication" fut accueillie par la plupart des filles des

"Trois Mortiers", nous savons toutefois que "la Parfaite Union" se montra très réservée quant au bien-

fondé de cette décision et que certains de ses membres allèrent jusqu'à la discuter en loge.

Pendant ce temps, la Maçonnerie piémontaise était en butte, dès l'époque du convent de

Wilhelmsbad, à un certain nombre de tracasseries policières, les autorités qui avaient jusqu'alors sinon

toléré, du moins fermé les yeux sur ses activités, avaient considérablement modifié leur attitude et le Roi

demanda, dès 1780, aux membres du Grand Prieuré d'Italie de suspendre leurs travaux. Jusqu'en 1783,

l'ordre Intérieur fut seul à conserver une certaine activité mais, voyant alors que le roi ne reviendrait pas

sur sa décision, le comte de Bernezzo résolut d‘abandonner sa charge de Grand Maître, tout en

recommandant le prince Diego Naselli, de Naples, pour son successeur. Ce fut là, semble-t-il, la fin de la

Maçonnerie rectifiée en Piémont. Il faut cependant noter que cette interruption des travaux fut assez

bien accueillie par les maçons turinois. En effet, la Maçonnerie commençait à attirer "beaucoup de

jeunesse (…) animée par la curiosité plutôt que par le vrai désir de connaître la vérité, de la recherche

9 Registre du Souverain Chapitre des Rose-Croix de Savoie, préambule, f° 4. (AD073 - 26F 3). 10 "Lettre inédite de Joseph de Maistre sur la Franc-Maçonnerie", adressée au baron Vignet des Etoles en avril 1793, publiée

pour la première fois par F. VERMALE dans les Annales historiques de la Révolution française, T. 11, 1934, p. 450. 11 Registre de la "Parfaite Union" (AD073 - 26F 1), f° 27, à la date du 19 janvier 1780.


de laquelle ils sont aussi éloignés que du travail indispensable de se réformer eux-mêmes, de poli- la

pierre brute, base fondamentale de la Maçonnerie"12 .

Mais revenons à présent en Savoie où la Grande Loge Maîtresse des "Trois Mortiers" avait

continué, malgré l'interdiction royale, de créer des loges. Ainsi, le 3 juillet 1778, elle avait accordé des

patentes de constitution à une loge de Moûtiers, "la Concorde des centrons"; le 7 octobre 1785, elle

avait fondé la "Triple Alliance" à Carouge, et le 30 septembre 1790, "Saint Jean du Mont Blanc" à

Sallanches. Plusieurs autres loges encore dépendaient d'elle en 1790, mais nous ne savons pas à

quelle date elles furent créées : c'est le cas pour "la Parfaite Union" à Saint Genix d'Aoste, "la Candeur",

à Casale Monferrato, ou encore une loge militaire, "la Fidélité", à la suite du régiment d'Aoste-Infanterie,

ainsi que pour une loge de Belley dont nous ignorons jusqu'au nom.

Pour ce qui est du Grand Orient de France, il avait pris pied dans le duché en 1769 par

l'intermédiaire des "Indépendants". Ceux-ci avaient suspendu leurs travaux, mais ils les reprirent avec

force et vigueur en 1785, sous le nom des "Sept Amis", en l'honneur des sept frères qui avaient réveillé

la loge.

Ce réveil marqua un retour en force du Grand Orient de France en Savoie. La "Triple Equerre"

d'Annecy demanda, en effet, très rapidement des constitutions au Grand Orient, et les "Sept Amis"

procédèrent à son installation en février 1787. Avant la fin de cette année-là, une loge de Carouge, "les

Trois Temples", demanda elle aussi, des constitutions au Grand Orient, mais, à peine avait-elle fait sa

demande que les "Trois Mortiers", défendant avec acharnement ce qui leur restait de leur pouvoir en

tant que Grande Loge Maîtresse, lancèrent une nouvelle "excommunication maçonnique", cette fois-ci

contre les "Sept Amis", protestant en même temps vigoureusement auprès du Grand Orient de France

contre ce qu'ils considéraient comme une violation des conventions passées entre les Grands Orients de

l'Europe "et notamment le Grand Orient de France avec celui d'Angleterre."

Aussitôt, le Grand Orient de France demanda aux "Trois Mortiers" de justifier leurs prétentions.

Ces derniers expédièrent donc à Paris une copie de leurs constitutions et un tableau de leur loge et de

ses huit “filles", et ils se réclamèrent du titre de Grand Orient sarde. Très vite, la querelle s'envenima,

attisée d'ailleurs par la demande que formula, en juin 1789, "la Vraie Amitié" de Rumilly, qui voulait

s'affilier au Grand Orient de France, arguant de ce que les "Trois Mortiers" ne lui avaient procuré "ni les

recours pour parvenir à la découverte de la vérité, ni la correspondance avec les différentes Loges des

Grand Orient étrangers, ni même une certitude d'existence maçonnique"13. En fait, la "Vraie Amitié"

refusait par là-même à sa loge-Mère le titre de Grande Loge Maîtresse. "La Concorde des Centrons",

12 Lettre du marquis d'Albaretto au baron Jean de Türkheim, du 13 septembre 1780, citée par P. MARUZZI, dans le Bollettino

storico-bibliografico subalpino, vol. xxx, n° 3-4, p. 448. 13 Livre de délibérations des "Sept Amis", AD073 - 26F 6 (pp. 72-74).


Pour des motifs quelque peut différents, demanda elle aussi son affiliation au Grand Orient de France à

la même époque.

Enfin, la "Parfaite Union" émit également quelques doutes quant a la régularité du titre des "Trois

Mortiers", mais, après avoir obtenu copie des patentes délivrées en 1739 au marquis des Marches, elle

rentra dans le droit chemin, ce qui lui valut, à titre de récompense, de se voir appelée à s'unir aux "Trois

Mortiers" en juin 1790.

L'existence des hauts grades avait suscite la naissance de chapitres en Savoie. Le premier avait

été constitué dès 1781 à Moûtiers, sous le nom de "Saint Louis de l'Epée". Nous savons également, par

certaines allusions fort claires, qu'il existait à Chambéry une loge dites de "la Sincérité des Chevaliers

d'orient et des hauts grades", "reconnue et alliée de la Loge des Trois Mortiers, Grand Orient sarde, et

des Loges ses filles", qui reprit ses travaux en 1786. Un an plus tard, cinq chevaliers Pose-Croix des

"Trois Mortiers" établirent à Chambéry un Chapitre régulier qui prit le nom de "Souverain Chapitre de

Savoie". Ce fut ce Chapitre qui constitua la seule loge d'adoption dont nous ayons connaissance dans le

Royaume de Sardaigne à cette époque : "Saint Jean de la Parfaite Harmonie" à l'orient de Casal.

Un autre Chapitre encore vit le jour, au sein des "Sept Amis". En effet, en avril 1788, Pierre-Marc

Dupuy, fabriquant de gaze à Chambéry, s'était vu délivrer, par l'intermédiaire du Grand Maître provincial

en France de l'ordre d'Héredom de Kilwinning, une patente "avec pouvoir d'agir comme Grand Maître

provincial et Grande Loge dans le royaume de Sadaigne"14. Les "Sept Amis", ravis de l'obtention de

cette patente qui ne pouvait, à leur avis, que servir leur cause dans le procès qui les opposait aux "Trois

Mortiers", en informèrent immédiatement le Grand Orient de France. Quelle dut être leur déception

lorsque Paris leur répondit qu’"il était défendu à toutes les Loges de la correspondance du Grand Orient

de solliciter et de se servir de pareils titres", nous pouvons aisément l'imaginer. Le Grand Orient, qui

venait de créer un Chapitre métropolitain qui délivrait des lettres capitulaires aux loges qui en

demandaient, ne pouvait, en effet, tolérer que des loges qui dépendaient de lui sollicitassent des lettres

capitulaires d'un Orient étranger, Et Paris de demander instamment que les "Sept Amis" lui envoient les

patentes obtenues d'Edimbourg et sollicitent les lettres capitulaires du Chapitre métropolitain.

Ce fut en février 1790 que le Grand Orient de France rendit son arrêt sur la querelle entre les

"Sept Amis" et les "Trois Mortiers", déclarant que ces derniers "ne pouvaient en aucun cas se prévaloir

du titre de Grand Orient de Sardaigne dans la mesure où un Grand Orient doit avoir reçu des Loges le

pouvoir de les régir pour pouvoir prétendre à exercer ce droit". Et le Grand Orient ajoutait : "loin d'avoir

aperçu dans la Loge des Trois Mortiers aucun de ces caractères, nous n'avons au contraire remarqué

qu'une Loge isolée, dépendante d'un Orient étranger et quoi qu'elle ait accordé nombre de constitutions

14 Voir à ce sujet le Registre contenant les "lois et règlements de la Grande Loge d'Edimbourg", Fonds J. Cochon, AD073 - 12F

65-66.


n'est pas composée des représentants des Loges auxquelles elle les a délivrées; il en est de même

parmi ces dernières qui lui contestent le droit et la prééminence qu'elle s'est arrogée"15.

Le, fin de cette procédure permit au Grand Orient de France de délivrer au "Trois Temples" et à la

"Vraie Amitié" les Constitutions que ces loges avaient demandées.

De son côté, la Grande Loge de Genève avait continué à créer des loges en Savoie, dont les

"Coeurs Unis du Mont-Blanc" à Bonneville, en juillet 1789, la "Parfaite Harmonie" à la suite du régiment

des Dragons de la Reine, un an plus tard, la "Parfaite Unité des Coeurs Libres", en janvier 1791 à

Bonneville, la "Silencieuse" à la suite du régiment de la Reine-Infanterie, ainsi que la "Rose des Sept

Monts" à Samoens, en 1792. A cette époque, une loge de la Roche, "les Bornes de la Ville de la Roche",

était également sous sa juridiction, mais nous ignorons quand elle fut créée.

Ainsi, à la veille de l'invasion de la Savoie per les troupes françaises, il y existait une vingtaine de

Loges groupant un millier de Francs-maçons, divisées entre quatre obédiences, dont trois étaient en

rivalité ouverte.

Dès juillet 1789, les émigrés commencent à affluer en Savoie mais, si Victor Amédée III leur

accorda son hospitalité, ce ne fut pas sans une certaine méfiance qui le poussa à prendre des

précautions essentiellement destinées à empêcher que les fugitifs n'introduisent dans ses Etats un peu

de cet esprit révolutionnaire qui faisait alors rage en France. En dépit de toutes ces précautions,

l'agitation gagna la Savoie où pamphlets et libelles se multiplièrent rapidement. L'implication de certains

maçons dans cette agitation, jointe à certains bruits tendant à faire de la Franc-maçonnerie le véhicule

de l'idéologie révolutionnaire, incita par ailleurs le Roi de Sardaigne à imposer la fermeture des loges

dans le courant du mois de novembre 1790.

Les loges de Savoie se partageaient alors en loges à dominante aristocratique (les "Trois

Mortiers", la "Sincérité"), et en loges au recrutement plus populaire.(loges dépendant du Grand Orient de

France ou de la Grande Loge de Genève). Les premières, par tradition, se soumirent sans protester à

l'ordre de dissolution : la "Sincérité" alla même, semble-t-il, jusqu'à prévenir l'ordre du Roi; les "Trois

Mortiers" quant à eux obtempèrent, mais sans parvenir toujours à obtenir de leurs filles l'obéissance

qu'ils étaient en droit d'en attendre. Ainsi, la "Concorde des Centrons" se reconstitua dans la

clandestinité, tandis que d'autres loges interrompirent leurs travaux, mais seulement pour voir leurs

membres s'en aller rejoindre, à titre individuel, des loges à l'étranger.

Pour ce qui est des loges constituées par le Grand Orient de France, un grand nombre d'entre

elles entrèrent dans la clandestinité. Ce fut le cas des "Sept Amis" qui se divisèrent en trois Sections qui

15 Lettre citée dans F. VERMALE, La Franc-maçonnerie savoisienne à l'époque révolutionnaire, Paris, Leroux, 1912, pp. 17-18).


travaillaient sous le contrôle d'un Directoire formé des principaux officiers de la loge. Les "Sept Amis"

installèrent dans ces conditions la "Vraie Amitié" à Rumilly, en 1791.

Toute activité maçonnique cessa cependant en 1792 avec l'annexion de la Savoie à la France, et

ce ne fut pas avant l'été de 1799 que les Maçons purent à nouveau se réunir. A cette époque, en effet,

d'anciens Maçons fondèrent une loge à Aix-les-Bains, "l'Intimité", loge qui s'affilia rapidement au Grand

Orient de France. Un an plus tard, environ, la loge des "Amis réunis" se constitua à Chambéry, à peu

près au moment où les "Sept Amis" reprenaient leurs travaux. Le premier geste des "Sept Amis" fut de

renouer le contact avec les "Trois Mortiers" auxquels, dans un souci d'apaisement, ils avaient proposé

en 1790, juste après la condamnation des "Trois Mortiers" par le Grand Orient, une réconciliation que

leur adversaire malheureux s'était empressé d'accepter, a la seule condition que les deux loges

s‘uniraient pour former conjointement un Grand Orient de Savoie. La fermeture des ateliers en 1790 et

les troubles de 1792 avaient empêché la réalisation de cet accord, mais l'idée ne fut pas oubliée pour

autant et, dès la reprise des travaux, en 1800, des mesures furent prises afin de fondre les deux loges

en une seule qui prit le titre de "Triple Union" (en souvenir des trois loges qui la constituèrent : les "Trois

Mortiers", la "Parfaite Union", et les "Sept Amis").

A partir de sa constitution sous les auspices du Grand Orient de France, la "Triple Union" reprit le

flambeau des "Sept Amis" comme relais du Grand Orient en Savoie. A ce titre, elle installa, en

1801,"l'Intimité" à Aix, puis "Saint Jean des Alpes" à Saint-Jean-de-Maurienne, en 1803, et la "Sincérité"

à Montmélian, en 1804. Notons au passage que quelques frères cherchèrent, en 1803, à fonder une

troisième loge à Chambéry, sous le nom de "la Concorde" mais que, le Vénérable proposé pour cette

dernière loge s'étant vu suspendu des "Amis Réunis" en raison de sa conduite désordonnée, la "Triple

Union" refusa de donner son assentiment à la naissance de cette loge.

Si, en 1790-1792, les loges avaient interrompu leurs travaux, il en avait été, évidemment, de

même pour les divers Chapitres existants. Cependant, un seul d'entre eux survécut à la période

révolutionnaire, à savoir le Chapitre constitué au sein des "Sept Amis" sous les auspices de la Grande

Loge d'Edimbourg. Ce Chapitre Ecossais poursuivit ses travaux jusqu'en 1813, rassemblant les Rose-

Croix des Chapitres constitués sous l'Ancien Régime par les "Trois Mortiers" et les "Sept Amis".

Vers 1808, l'Art Royal semble avoir connu une période de déclin. Déjà, en 1804, "l'Intimité" avait

cessé ses travaux, "les assemblées d'obligation et les extraordinaires n'ayant eu lieu (...) on ne sait pour

quelles raisons"16 . Quatre ans plus tard, les "Amis Réunis" et la "Triple Union" décidèrent qu'en raison

de la désaffection des frères pour l'Art Royal, il convenait d'unir leurs deux loges sous le titre nouveau de

"la Réunion". Cette nouvelle loge poursuivit ses travaux jusqu'à ce que le duché de Savoie soit rendu au

soi de Sardaigne en 1815. Alors, la Maçonnerie se mit en sommeil pour quarante-cinq ans en Savoie.

16 Registre de"l'Intimité", AD073 - 26F 4.


Tableau des Loges situées à l'Orient de Chambéry

1790Suspension des travaux

novembre 1774La Sincérité

23 mai 1774La Parfaite union

21 octobre 1800Les Amis Réunis

1816Mise en sommeil de la Maçonnerie en Savoie

10 juillet 1808La Réunion

1801La Triple Union

1er mars 1786Les Sept Amis

1763Les Indépendants

mai 1749Saint Jean des Trois mortiers

Vers 1745Présence de Frères à Chambéry


Bibliographie de la Franc-maçonnerie dans les Etats du Roi de Sardaigne des origines à 1815

L'un des ouvrages les mieux documentés sur cette question est le Bollettino storico-

bibliografico subalpino, vol. XXX, n° 1-2 et n° 3-4, et vol. XXXII, n° 1-2 et n° 3-4, dans lequel J,

MARUZZI présente des "Notizie e documenti sui liberi muratori in Torino nel secolo XVIII". Maruzzi

eut, en effet, accès aux archives de la loge "Modestia cum Libertate" de Zürich, où sont conservés les

documents du Chapitre provincial de Bourgogne qui dépendait de la Stricte Observance Templière.

P. BERNARD : Les commencements de la franc-maçonnerie en Savoie. Chambéry, Imprimeries Réunies, 1943.

J. DE-MENGHEM : Joseph de Maistre mystique. Paris, La Colombe, 1946.

F. DESCOTES : Joseph de Maistre avant la Révolution. Marseille, Laffite-Slatkine Reprints, 1978.

A. FAIVRE : L'ésotérisme au XVIIIe siècle. Paris, Seghers, 1973.

C. Francovich : Storia della Massoneria in Italia dalle origini alla Rivoluzione francese. Firenze, La Nuova Italia, 1975.

A. JOLY : Un mystique lyonnais et les secrets de la franc-maçonnerie (1730-1824). Mâcon, Impimerie Protat frères, 1938.

P. LE FORESTIER : La franc-maçonnerie templière et occultiste aux XVIIIe et XIXe siècles. Paris-Louvain, Aubier-Nauwelaetz, 1970.

D. LIGOU (sous la direction de) : Dictionnaire universel de la Franc-maçonnerie. Paris, Ed. de Navarre et Ed. du Prisme, 1974 (2 vol.).

L. MARINO (sous la direction de) : Joseph de Maistre tra Illuminismo e Restaurazione. Torino, C. di Studi Piemontesi, 1975.

J. NICOLAS : La Savoie au XVIIIe siècle. Paris, Maloine, 1978 (2 vol.).

F. VERMALE : La Franc-maçonnerie savoisienne à l’époque révolutionnaire. Paris, Leroux, 1912.

VULLIAUD : Joseph de Maistre franc-maçon. Paris, Nourry, 1926.


Répertoire numérique

26F 1 Registre de la Parfaite Union. 1774

26F 2 Registre des Sept Amis (grade de Compagon et grade de Maître). 1787-1814

26F 3 Registre du Chapitre de Rose-Croix de Chambéry. 1787-1889

26F 4 Registre de l'Intimité. 1799-1804

26F 5 Registre de Saint Jean de Jérusalem, dite la Prudence. 1800-1802

26F 6 Registre des Amis Réunis. 1800-1808

26F 7 Registre de la Triple Union. 1801-1806

26F 8 Registre de Correspondance de la Triple Union. 1801-1806

26F 9 Registre de la Triple Union. 1805-1808

26F 10 Registre de la Réunion. 1808-1815

26F 11 Livre de comptes des Sept Amis. 1787-1790

26F 12 Livre de comparaison avec le Frère trésorier de la Réunion. 1808-1815

26F 13 Livre de comptes des Amis Réunis. 1802-1808

26F 14 Journal de la Renaissance. 1864-1865

26F 15 Grand livre de la Renaissance. 1864-1865

26F 16 Carnet de bons de caisse de la Renaissance. 1862-1865

26F 17 Tableaux de loge : Aix les Bains, Annecy, Carouge. 1788-1808

26F 18 Tableaux de loge : Chambéry. 1786-1807

26F 19 Tableaux de loge : Montmélian, Moûtiers, Rumilly, Saint Jean de Maurienne, Thonon. 1785-1808

26F 20 Tableaux de loge : Grenoble, Le Puy. 1789-1808

26F 21 Varia. 1931-1942

26F 22 Cahiers de grade XXe siècle

26F 23 Correspondance 1778-1790

26F 24 Correspondance 1800-1815

26F 25 Correspondance non datée.; circulaires et pièces diverses (1774-1815) ; comptes divers (1800-1805) 1774-1805


Inventaire détaillé

26F 1-10. Registres divers et registres de délibérations et de correspondance. 1774-1889

26F 1 Registre à l'usage de la Très Respectable Loge de Saint Jean de la Parfaite Union, de l'Orient de Chambéry 1774

26F 2 Livre des délibérations pour le grade de Compagnon (Loge des Sept Amis, Orient de Chambéry), (1787-1814).

Livres des délibérations pour le grade de Maître (Loge des Sept Amis, Orient de Chambéry), (1787-1814). 1787-1814

26F 3 Registres et documents du Souverain Chapitre de Rose-Croix de Savoie, 1787-1790 (contenant le procès-verbal de la séance du 20 avril 1889 du Respectable Atelier du 4° au 18° degré en instance de constitution, ainsi que le procès-verbal d'installation du Chapitre n° 304, Vallée de Chambéry, le 15 septembre 1889). 1787-1889

26F 4 Registre des procès-verbaux des délibérations de la Respectable Loge de l'Intimité, Orient d'Aix-les-Bains. 1799-1804

26F 5 Registre des procès-verbaux des délibérations des Respectable s Loges de la Prudence, la Ferme Résolution, la Parfaite Cordialité et les Amis Réunis, ces quatre Loges formant la Respectable Loge de Saint Jean de Jérusalem, dite La Prudence, Orient de Genève. 1800-1802

26F 6 Registre des procès-verbaux des délibérations de la Respectable Loge des Amis Réunis, Orient de Chambéry. 1800-1808

26F 7 Registre des procès-verbaux et délibérations de la Respectable Loge de la Triple Union, Orient de Chambéry. 1801-1806

26F 8 Registre de correspondance de la Respectable Loge de la Triple Union, Orient de Chambéry. 1801-1808

26F 9 Registre des procès-verbaux et délibérations de la Respectable Loge de la Triple Union, Orient de Chambéry. 1805-1808

26F 10 Registre des procès-verbaux des délibérations de la Respectable Loge de la Réunion, Orient de Chambéry. 1808-1815


26F 11-16. Livres de comptes. 1787-1865

26F 11 Livre de comptes de la Respectable Loge des Sept Amis, Orient de Chambéry. 1787-1790

26F 12 Livre de comptes de la Respectable Loge des Amis Réunis, Orient de Chambéry. 1802-1808

26F 13 Livre de comparaison avec le Frère Trésorier (Respectable Loge de la Réunion, Orient de Chambéry). 1808-1815

26F 14 Journal de la Respectable Loge de la Renaissance, Orient de Chambéry. 1864-1865

26F 15 Grand livre de la Respectable Loge de la Renaissance, Orient de Chambéry. 1864-1865

26F 16 Carnet de bons de caisse de la Respectable Loge de la Renaissance, Orient de Chambéry. 1862-1865


26F 17-20. Tableaux de Loge, 1785-1942

26F 17 L'Intimité, Orient d'Aix-les-Bains, (s.d., [1801], 1802, 1803).

La Triple Equerre, Orient d'Annecy, (1789, 1790).

Les Vrais Amis, Orient d'Annecy, (1802, 1803, 1806, 1808).

Les Trois Temples, Orient de Carouge, (1788, 1789, 1790, 1791).

14 pièces. 1788-1808

26F 18 Les Trois Mortiers, Orient de Chambéry, (s.d., ca. 1801).

La Sincérité, Orient de Chambéry, (1789, 1790).

Les Sept Amis, Orient de Chambéry, (1786, 1800).

La Triple Union, Orient de Chambéry, (1801, 1803, 1807, 2 exemplaires à chaque date).

La Concorde, Orient de Chambéry, (1803).

Les Amis Réunis, Orient de Chambéry, (1801 : 12 exemplaires, 1802, 1803 : 2 exemplaires, 1805 : 2 exemplaires, sans date).

La Réunion, Orient de Chambéry, 1806.

31 pièces. 1786-1807

26F 19 La Sincérité, Orient de Montmélian, (1803, 1805).

La Concorde des Centrons, Orient de Moûtiers, (1785).

La Vraie Amitié, Orient de Rumilly, (1798, 1790, 1801 : 2 exemplaires, 1802, 1803 : 2 exemplaires, sans date).

Saint Jean des Alpes, Orient de Saint Jean de Maurienne, (1801, 1802, 1808).

La Bienfaisance, Orient de Thonon, (1801).

16 pièces. 1785-1808

26F 20 La Parfaite Union, Orient de Grenoble, (1789, 1790, 1802, 1803, 1805).

L'Humanité, Orient de Grenoble, (1803, 1805).

Les Cœurs Constans, Orient de Grenoble, (1805, 1806, 1808).

La Parfaite Union, Orient de Le Puy, (1806).

11 pièces. 1789-1808

26F 21 The Constitutions of the Free Masons.

Les Documents Maçonniques, novembre 1942, n° 2.

La Franc-Maçonnerie du Grand Orient de France aux hommes de bonne volonté.

Lettres Patentes d'institution de la Respectable Loge de Saint-Jean des Trois Mortiers, Orient de Chambéry (copie manuscrite)

Patente de 1739 (copies dactylographiées et anotées)

Convocations (1931-1934) 1931-1942

26F 22 Cahier des grades symboliques (2 exemplaires).

Cahier du grade d'Apprenti au Rite français.

Cahier du grade d'apprenti (Grand Orient de France) (2 exemplaires).


Cahier du grade de Maître.

Cahier du grade d'apprenti (Grand Orient de France) (2 exemplaires). sans date, XXe s.

26F 23 Correspondance (72 pièces), 1778-1791

1. Saint Jean des Trois Mortiers (Orient de Chambéry) à la Parfaite Union (Orient de Chambéry) : annonce d’une demande de patentes de constitution par une Loge qui se crée à l’Orient de Moûtiers, la Concorde des Centrons. 4 septembre 1778

2. La Concorde des Centrons à la Parfaite Union (Orient de Chambéry) : té-moignage d’amitié. 13 janvier 1779

3. La Parfaite Union (Orient de Chambéry) à la Concorde des Centrons : re-merciements pour une lettre du 4 août 1779. 29 août 1779

4. La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Indépendants (Orient de Cham-béry) : invitation à se faire reconstituer par le Grand Orient de France. Juillet 1785

5. La Concorde des Centrons à la Parfaite Union (Orient de Chambéry). 21 juillet 1785

6. Les Indépendants à la Parfaite Union (Orient de Grenoble) : demande d’aide pour se faire reconstituer par le Grand Orient de France. 21 août 1785

7. Extrait du registre de délibération de la Parfaite Union (Orient de Grenoble) : délibération relative à la reconstitution des Indépendants. 28 août 1785

8. La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Indépendants : lettre accompa-gnant la pièce précédente ; réponse à une députation des Indépendants. 28 août 1785

9. La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Indépendants : instructions concernant la reconstitution de la Loge. 8 septembre 1785

10. Le Grand Orient de France aux Indépendants : demande de précisions quant au titre définitif adopté par la Loge. 2 janvier 1786

11. Le Grand Orient de France aux Sept Amis (Orient de Chambéry) : recon-naissance du nouveau titre de la Loge. 6 février 1786

12. La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Sept Amis : témoignage d’amitié. 8 avril 1786

13. Le Grand Orient de France au Frère Debrit, Vénérable des Sept Amis : Commission pour l’installation de la Loge des Sept Amis. 1 mai 1786

14. Le Frère Thomazon, député de la Loge, aux Sept Amis : annonce de l’envoi de nouvelles patentes de constitution. 15 mai 1786

15. Extrait de la planche tracée par la Parfaite Union (Orient de Grenoble) : déli-bération concernant l’envoi d’une députation pour assister aux travaux de reconstitution des Sept Amis. 28 mai 1786

16. La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Sept Amis : acceptation de l’invitation à assister aux travaux de reconstitution de la Loge 28 mai 1786

17. Le Frère Tardy, secrétaire de la Parfaite Union (Orient de Chambéry), au Frère Delhorme, secrétaire des Sept Amis : refus d’assister aux travaux de reconstruction des Sept Amis. 1 juin 1786

18. La Sincérité (Orient de Chambéry) aux Sept Amis : annonce de l’envoi d’une députation pour assister aux travaux de reconstitution des Sept Amis. 3 juin 1786

19. Le Frère Peyssard, secrétaire des Trois Mortiers, au Frère Armenjon des Sept Amis : refus d’assister aux travaux de reconstitution des Sept Amis. 3 juin 1786


20. La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Sept Amis : remerciements et témoignage de satisfaction pour avoir assisté aux travaux de reconstitution des Sept Amis. 4 juin 1786

21. La Triple Equerre (Orient d’Annecy) : extrait des annales maçonniques de la Loge relatif à sa demande de constitution. 6 juin 1786

22. Le Frère Thomazon, député de la Loge des Sept Amis, au Frère Magnin des Sept Amis : accusé de réception de métaux pour un don gratuit et des certi-ficats. 18 août 1786

23. Le Grand Orient de France aux Sept Amis : à propos de la demande de pa-tentes de constitution formulée par la Loge de la Triple Equerre. 2 octobre 1786

24. Le Frère Baugin, expert à la Chambre des Provinces du Grand Orient de France, aux Sept Amis : à propos des patentes de constitution de la Loge de la Triple Equerre. 6 octobre 1786

25. La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Sept Amis : à propos des paten-tes de constitution de la Triple Equerre. 9 novembre 1786

26. Le Frère Thomazon, député de la Loge, aux Sept Amis : demande à se faire remplacer comme député de la Loge. 15 novembre 1786

27. Les Sept Amis à la Triple Equerre : renvoi du tableau de la Triple Equerre approuvé par les Sept Amis et la Parfaite Union (Orient de Grenoble). 17 novembre 1786

28. La Triple Equerre aux Sept Amis : remerciements pour l’aide apportée par les Sept Amis. 21 novembre 1786

29. La Triple Equerre aux Sept Amis : à propos de l’installation de la Loge ; an-nonce qu’une invitation sera faite aux Frères de la Sincérité d’assister à l’installation de la Loge. 22 janvier 1787

30. La Sincérité aux Sept Amis : regrets de ne pouvoir assister à l’installation de la Triple Equerre. 28 janvier 1787

31. La Triple Equerre aux Sept Amis : à propos de l’installation de la Loge. 23 février 1787

32. Le Frère Colloz, député de la Loge, aux Sept Amis : à propos de l’envoi de certificats dont l’expédition est suspendue « attendu la contestation qui rè-gne entre l’Orient de Chambéry et le Grand Orient de France ». 31 mai 1787

33. Le Frère Fantin, du Grand Orient de France, aux Sept Amis : à propos des problèmes entre l’Orient sarde et le Grand Orient de France, ainsi que des dissentions qui se sont élevées à l’intérieur de la Loge des Sept Amis. 9 août 1787

34. Le Frère Colloz, député de la Loge, aux Sept Amis : à propos des problèmes entre l’Orient sarde et le Grand Orient de France, ainsi que des dissentions qui se sont élevées à l’intérieur de la Loge des Sept Amis. 18 août 1787

35. Le Frère Colloz, député de la Loge, aux Sept Amis : à propos des problèmes entre l’Orient sarde et le Grand Orient de France, ainsi que des dissentions qui se sont élevées à l’intérieur de la Loge des Sept Amis. 22 septembre 1787

36. Le Frère Sallivet, du Grand Orient de France, aux Sept Amis : demande d’éclaircissement quelques Frères des Sept Amis qui auraient été exclus de la Loge. 25 septembre 1787

37. Le Frère Colloz, député de la Loge, aux Sept Amis : jugement concernant les dissentions internes à la Loge. Demande de renseignements concernant les Trois Mortiers et leur prétention au titre de Groupement Maçonnique de Loges. 17 novembre 1787

38. Le Frère Lassale, Vénérable des Trois Temples (Orient de Carouge), au Frère Chabert, secrétaire des Sept Amis : demande d’aide pour obtenir des patentes de constitution du Grand Orient de France. 11 décembre 1787

39. Le Frère Lassale au Frère Chabert : témoignage de reconnaissance. 18 décembre 1787


40. Le Frère Sallivet du Grand Orient de France, aux Sept Amis : concernant la conduite à tenir par les Trois Temples pendant que le Grand Orient juge la querelle qui oppose l’Orient sarde au Grand Orient. « La justice exige que le Grand Orient ne constitue aucune Loge en Savoie jusqu’à la décision sur les prétentions du Grand Orient sarde. » 23 décembre 1787

41. Le Frère Lassale, des Trois Temples, au Frère Chabert, secrétaire des Sept Amis : demande de conseils. 8 janvier 1788

42. Avis et instructions du Vénérable Frère St (Salivet ?) à la Loge des Trois Mortiers, parvenus à celle des Sept Amis par une faveur particulière du Grand Architecte qui l’a en sa Sainte garde. Rappelée dans sa planche au Grand Orient du 25 jour du 11e mois 5787. 1788

43. Le Frère Colloz, député de la Loge, au Frère Chabert, secrétaire des Sept Amis : explication du retard que prend la solution du problème du Grand Orient sarde. 1 mars 1788

44. Le Frère Colloz, député de la Loge, au Frère Chabert, secrétaire des Sept Amis : demande d’explications concernant une demande de patentes de constitution que les Sept Amis auraient faite aux Trois Mortiers dans le même temps qu’ils en faisaient la demande au Grand Orient de France. 6 mars 1788

45. Le Frère Colloz, député de la Loge, au Frère Chabert, secrétaire des Sept Amis : annonce que la solution de la querelle du Grand Orient sarde semble se présenter en faveur des Sept Amis. 24 mars 1788

46. Le Frère Lassale, Vénérable des Trois Temples, au Frère Chabert, secré-taire des Sept Amis : réponse à une demande de copie de tableaux. 25 mars 1788

47. Inventaire des pieces envoyées au Grand Orient de France aux fins d’obtenir des patentes de constitution pour la Loge des Trois Temples à l’Orient de Carouge. 2 avril 1788

48. Extrait de la planche du Grand Orient de France à la Loge de St-Jean, sous le titre distinctif des Trois Temples, à l’Orient de Carouge, relative à la de-mande de patentes de constitution formulée par cetteLoge. 19 mai 1788

49. Le Frère Lassale, Vénérable de la Loge des Trois Temples, au Frère Cha-bert, secrétaire des Sept Amis : demande de renseignements sur le sort ré-servé à sa demande de patentes de constitution. 27 mai 1788

50. Le Frère Colloz, député de la Loge, aux Sept Amis : Colloz annonce qu’il essaie de presser la résolution de la querelle du Grand Orient sarde, mais que le Frère Sallivet tergiverse. 22 juillet 1788

51. Les Trois Temples au Grand Orient de France : renouvellement de la de-mande de patentes de constitution ; la Loge préférerait être installée par les Sept Amis plutôt que par la Vraie Concorde (Orient de Genève). Les Trois Temples aux Sept Amis : lettre accompagnant la pièce précédente. 30 septembre 1788

52. Le Frère Colloz, député de la Loge, au Frère Chabert, secrétaire des Sept Amis : Grand Orient de France ne peut accorder de constitution aux Trois Temples qu’après avoir rendu son jugement quant à la querelle du Grand Orient sarde. 19 novembre 1788

53. Le Frère de Vermondan, député de la Loge, aux Sept Amis : le Frère de Vermondan prend connaissance du dossier de l’affaire ; il informe les Sept Amis qu’ils n’ont pas le droit de solliciter des patentes de constitution de la Grande Loge d’Edimbourg pour l’érection d’un Chapitre, et il leur demande d’échanger celles qu’ils ont reçue contre des patentes que leur délivrera le Grand Orient de France. 9 mai 1789

54. Le Frère Fantin du Grand Orient de France, au Frère Arminjon, Vénérable des Sept Amis : annonce que les trois Chambres du Grand Orient ont tran-ché en faveur des Sept Amis. 29 juin 1789


55. Le Frère de Vermondan, député de la Loge, aux Sept Amis : annonce du ju-gement rendu dans la querelle du Grand Orient sarde. Il conseille vivement aux Sept Amis de demander des lettres capitulaires au Grand Orient de France. 9 juillet 1789

56. La Vraie Amitié (Orient de Rumilly) aux Sept Amis : demande de patentes de constitutions du Grand Orient de France afin de travailler dans la régulari-té. 30 juillet 1789

57. Le Frère Magnin, Orateur de la Vraie Amitié, au Frère Arminjon, Vénérable des Sept Amis : à propos de la demande de patentes de constitution formu-lée par la Vraie Amitié. 3 août 1789

58. Le Frère Magnin, Orateur de la Vraie Amitié, Grand Orient de France envoi de diverses pièces nécessaires à l’octroi de patentes de constitution. 11 août 1789

59. La Triple Equerre aux Sept Amis : à propos de la demande de patentes de constitution formulée par la Vraie Amitié. 6 septembre 1789

60. Le Frère de Vermondan, député de la Loge, au Frère Chabert, secrétaire des Sept Amis : à propos du retard apporté à la délivrance des patentes de constitution des Loges de Carouge et de Rumilly. Problème des lettres capi-tulaires que les Sept Amis n’ont toujours pas demandées au Grand Orient de France. 22 novembre 1789

61. Le Frère Baugin du Grand Orient de France, au Frère Arminjon, Vénérable des Sept Amis : réponse concernant la suspension de la délivrance des pa-tentes constitutives sollicitées par les Sept Amis pour les Loges de Carouge et de Rumilly. 2 octobre 1790

62. La Concorde des Centrons (Orient de Moûtiers) aux Sept Amis : annonce du désir de cette Loge d’obtenir des patentes de constitution du Grand Orient de France et demande d’instructions. 5 novembre 1790

63. Le Frère Baugin du Grand Orient de France, au Frère Arminjon, Vénérable des Sept Amis : explication du retard apporté à la délivrance des patentes de constitution des Loges de Carouge et de Rumilly. 18 décembre 1790

64. Le Frère Lacroix, 1er surveillant à la Concorde des Centrons, au Frère Vil-lemenet, des Sept Amis : explication concernant la scission de la Loge après l’ordre de dissolution donné par les Trois Mortiers ; un petit nombre de Frè-res de la Concorde des Centrons persiste néanmoins à demander des pa-tentes de constitution du Grand Orient de France. 27 décembre 1790

65. Le Grand Orient de France aux Sept Amis : commission concernant l’installation de la Vraie Amitié à l’Orient de Rumilly. 24 janvier 1791

66. Le Grand Orient de France aux Sept Amis : instruction concernant l’installation de la Vraie Amitié. 24 janvier 1791

67. Le Grand Orient de France aux Sept Amis : annonce de l’expédition des pa-tentes de constitution de la Loge de Rumilly. 11 février 1791

68. Les Trois Temples (Orient de Carouge) aux Sept Amis : annonce de leur installation par la Vraie Concorde (Orient de Genève). 12 février 1791

69. Les Trois Temples aux Sept Amis : annonce de la date de leur installation et demande l’envoi d’une députation des Sept Amis à cette occasion. 17 février 1791

70. La Vraie Amitié (Orient de Rumilly) aux Sept Amis : demande quel jour conviendrait le mieux pour l’installation de leur Loge. 1 mars 1791

71. Le Frère Abbé de Vermondan, député de la Loge auprès du Grand Orient, aux Sept Amis : accusé de réception de métaux pour l’octroi de lettres capi-tulaires, qui ne seront délivrées qu’en échange des lettres capitulaires qui ont été accordées par la Grande Loge d’Edimbourg. Gain de la cause des Sept Amis dans l’affaire du Grand Orient sarde et délivrance des patentes de constitution des Loges de Carouge et de Rumilly. 6 mars 1791


26F 24 Correspondance (247 articles), 1800-1815

1 Instructions particulières aux Vénérable Frère députés du Grand Orient chargés par lui d’installer la Respectable Loge de Saint Jean sous le titre des Amis Réunis à l’Orient de Chambéry. 3 septembre 1800

2 Circulaire du Grand Orient aux Sept Amis : nomination du Frère Chéreau comme Rapporteur afin d’examiner les pièces présentées par la Respectable Loge de l’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains). 9 décembre 1800

3 Le Frère Chéreau au Frère Chabert (des Sept Amis) : le Grand Orient de France ayant repris ses activités, les Sept Amis peuvent reprendre leurs travaux. Demande d’enquête sur la moralité des Frères composant la Loge de l’Intimité. 14 décembre 1800

4 Les Amis Réunis à l’(Orient de Chambéry) Grand Orient de France : demande de régularisation des travaux de la Loge constituée « le 3ème jour du 7ème mois de l’année courante de la Vrai Lumière ». 21 décembre 1800

5 Les Amis Réunis au Frère Willemenet : la Loge sollicite ce Frère d’être son parrain. 21 décembre 1800

6 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) aux Sept Amis : demande mon avis favorable en vue d’obtenir des patentes en constitution du Grand Orient de France. 28 décembre 1800

7 Les Maitres composant la Très Respectable Loge de l’Intimité au Frère Chabert (des Sept Amis) : témoignage d’amitié et demande d’avis favorable pour l’obtention de patentes de constitution. 28 décembre 1800

8 Le Frère Chéreau (du Grand Orient) au Frère Chabert : demande de renseignements sur l’Intimité : annonce que le Grand Orient de France a accordé « à celui de Genève, d’après sa demande, le titre de Grande Loge provincialle » (réunion du Grand Orient de Genève à celui de France). 28 décembre 1800

9 Le Frère Willemenet aux Sept Amis : demande de précisions quant à la reprise des travaux des Sept Amis. 21 janvier 1801

10 Le Frère Viervill (Secrétaire des Trois Mortiers, Orient de Chambéry) à X : annonce l’envoi d’un extrait de l’arrêté pris par les Trois Mortiers en vue de la réunion de cette Loge aux Sept Amis. 23 janvier 1801

11 Le Frère Piffé-Caubray (du Grand Orient) aux Sept Amis : annonce qu’il est nommé rapporteur quant à la demande des Sept Amis et il leur demande de prendre contact avec des Loges de Genève afin de faire viser leur Tableau. 1 février 1801

12 Le Grand Orient aux Sept Amis : annonce la nomination du Frère Piffé-Caubray comme rapporteur pour la demande de constitution des Amis Réunis. Sur la même lettre, le Frère Piffé-Caubray demande ses renseignements sur les Amis Réunis. 1 février 1801

13 Le Frère Dulac, Maître Maçon, au Vénérable Maître Mavou : lettre de recommandation pour le Frère Possi, Napolitain. 10 février 1801

14 Les Sept Amis au Frère Bataillard, Vénérable Maître des Trois Mortiers : envoi de l’extrait des travaux concernant la réunion des deux ateliers. 1 mars 1801

15 Les Trois Mortiers : nomination de Commissaires pour faire part aux Sept Amis de l’arrêté pris par la Loge en vue de la réunification des deux ateliers. 11 mars 1801

16 Arrêté pris par les Sept Amis concernant la réunion des deux Ateliers. 11 mars 1801


17 Le Frère Willemenet au Frère Bernard (des Amis Réunis) : annonce que les constitutions de la Loge sont accordées. Il propose que l’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) soit l’installatrice de la Loge. 28 mars 1801

18 Le Frère Willemenet au Frère Bernard : annonce que l’installatrice sera une Loge de Genève, et le déplore. 30 mars 1801

19 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) aux Sept Amis : remerciements pour venir installer la Loge. 5 avril 1801

20 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) aux Sept Amis : annonce que la date de son installation est fixée au 10 du 3ème mois prochain (20 floréal, ère vulgaire). 18 avril 1801

21 Le Frère Willemenet au Frère Bernard (des Amis Réunis) : annonce l’envoi des constitutions et des cahiers symboliques. 21 avril 1801

22 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) aux Amis Réunis : la date de l’installation de la Loge est fixée au 20 Floréal (An 9) ; demande aux Amis Réunis d’envoyer une députation. Mai 1801

23 Le Frère Bernard (des Amis Réunis) au Frère Willemenet : témoignage de reconnaissance. Mai 1801

24 Le Frère Sibuet (des Amis Réunis) aux Amis Réunis : les Frères genevois, chargés d’installer la Loge viendront le 11 Prairial suivant. 15 mai 1801

25 Le Frère Bordas (député de la Loge auprès du Grand Orient à Paris) à « la Respectable Loge naguère des 7 Amis et dans ce moment la Triple Union » : remerciements pour avoir été choisi comme député de la Loge auprès du Grand Orient. 18 mai 1801

26 Le Frère Barnault (du Grand Orient) aux Sept Amis : « la reprise des travaux des 7 Amis a été accueillie avec joie » ; Bordas a été admis comme député de la Loge ; demande de précisions quant au changement de titre de la Loge. 18 mai 1801

27 Le Frère Willemenet aux Amis Réunis : accepte et remercie d’avoir été choisi pour remplir l’office de député de la Loge auprès du Grand Orient Conseils de prudence au Frère Bernard quant au choix des membres de la Loge. 22 mai 1801

28 Extrait de la délibération du 27ème jour du 3ème mois de l’an de la Vrai Lumière 5801 de l’Intimité : nomination de députés pour assister à l’installation des Amis Réunis, le 1er juin 1801. 27 mai 1801

29 Les Amis Réunis à la Triple Union : demande l’envoi d’une députation pour assister à l’installation de la Loge. 27 mai 1801

30 La Vraie Amitié (Orient de Rumilly) aux Amis Réunis : regrets de ne pouvoir envoyer une députation pour assister à l’installation de la Loge. 30 mai 1801

31 Le Frère Willemenet au Frère Marin (de la Triple Union) : dispositions prises afin que la Loge de la Triple Union conserve l’ancienneté qu’elle avait sous le titre des Sept Amis. 6 juin 1801

32 Le Frère Sibuet (des Amis Réunis) au Frère Bernard. 22 juin 1801

33 Les Amis Réunis à l’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) : échange de députations pour la fête de la saint Jean. 23 juin 1801

34 Les Amis Réunis au Frère Willemenet : témoignage de reconnaissance pour son action en leur faveur. 24 juin 1801

35 Les Amis Réunis au Grand Orient : envoi d’un extrait de délibération du 24ème jour du 4ème mois 5801 portant nomination de Willemenet comme député (+ brouillon de la lettre précédente). 24 juin 1801


36 Le Frère Willemenet au Frère Marin (de la Triple Union) : envoi prochain des patentes de constitution avec le changement de titre de la Loge sous paiement de finances. 24 juin 1801

37 Le Frère Bordas (Grand Orient) au Frère Marin : envoi prochain des patentes de constitution avec le changement de titre de la Loge sous paiement de finances. 27 juin 1801

38 Extrait de la planche tracée par la Respectable Loge de la Triple Union dans la séance du 9ème jour du 5ème mois 5801 : propositions tendant à modifier certains articles du règlement intérieur de la Loge. 9 juillet 1801

39 La Triple Union aux Amis Réunis : lettre accompagnant l’envoi d’un tableau de Loge. 11 juillet 1801

40 La Vraie Amitié (Orient de Rumilly) aux Amis Réunis : lettre accompagnant l’envoi d’un tableau de Loge. 18 juillet 1801

41 Le Frère Willemenet au Frère Marin : annonce l’envoi de documents. 18 juillet 1801

42 Le Frère Willemenet à la Triple Union : lettre concernant une plainte de l’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) relative à l’admission d’un profane d’Aix à la Triple Union. 28 juillet 1801

43 Brouillon de réponse de la Triple Union au Frère Willemenet et justification. 28 juillet 1801

44 Le Frère Willemenet au Frère Marin (de la Triple Union) : rappel de sa lettre du 28. 29 juillet 1801

45 Copie de lettres adressées à des Loges de Rumilly, Carouge, Genève et Thonon. 8 août 1801

46 Le Frère Willemenet au Frère Crépin le jeune (des Amis Réunis) : fait part de son irritation à propos de la querelle entre la Triple Union et l’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains). 12 août 1801

47 Le Frère Falcone (Orient de Grenoble) au Frère Chabert (de la Triple Union) :demande d’instructions pour l’organisation d’une Loge à Grenoble. 15 août 1801

48 Discours prononcé devant la Triple Union par son Orateur, le Frère Marin. 28 août 1801

49 Le Frère Batteau au Frère Bernard (des Amis Réunis) pour s’aquitter de ce qu’il doit à la Loge. 24 novembre 1801

50 Rapport du Frère Marin au nom de la Commission de Construction et arrêté pris en conséquence. 11 décembre 1801

51 Le Frère Bernard (Vénérable des Amis Réunis) aux Frères de la Loge : remerciements pour le réconfort qu’ils lui ont apporté dans son chagrin. 31 décembre 1801

52 Les Maîtres composant la Loge de l’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) au Très Cher Frère Chabert (de la Triple Union) : demande d’avis favorable quant à leur demande de constitution au Grand Orient. 7 janvier 1802

53 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Triple Union : annonce de la constitution de Saint Jean des Alpes à l’Orient de Saint Jean de Maurienne. 20 janvier 1802

54 Le Frère Willemenet aux Amis Réunis : questions diverses (certificats, etc.). 22 janvier 1802

55 Le Frère Abraham (Grand Orient) au Frère Chabert (La Triple Union) : annonce de l’insertion dans le Miroir de la Vérité de l’inauguration de la Triple Union. 24 janvier 1802

56 La Triple Union aux Amis Réunis : invitation à envoyer une députation pour assister à l’inauguration de la Loge le 12 février suivant, à 8 heures du matin. 25 janvier 1802

57 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) à « la Très Respectable Loge des Frères Réunis » (Orient de Chambéry) : annonce de la construction d’un Temple au Grand Architecte de l’Univers et de son inauguration fixée au


28ème jour du 1er mois de l’an de la Vrai Lumière 5802. Demande l’envoi d’une députation. 20 mars 1802

58 Les Amis Réunis au Frère Batteau : lettre destinée à permettre à ce Frère de se faire reconnaître comme Compagnon par les Loges régulières du Grand Orient. 21 mars 1802

59 Le Frère Abraham (Grand Orient) au Frère Chabert (La Triple Union) : propose une souscription pour des certificats maçonniques et demande qu’on lui envoie les travaux de l’inauguration. 23 mars 1802

60 Le Frère Bonnet au Frère Chabert (La Triple Union) : demande de secours. 28 mars 1802

61 Extrait d’un arrêté pris par la Triple Union (souscription d’actions). 31 mars 1802

62 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) aux Amis Réunis : demande d’appui pour obtenir des constitutions du Grand Orient. 20 avril 1802

63 Extrait d’un arrêté pris par la Triple Union au sujet de l’incendie qui a eu lieu à Jacob. 30 avril 1802

64 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) aux Amis Réunis : expédition d’un tableau de Loge et demande d’approbation de celui-ci. 6 mai 1802

65 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Triple Union : quelques rectifications concernant le Tableau de Loge envoyé précédemment. 6 mai 1802

66 Le Frère Chabert au Frère Jacquemoud (la Triple Union) : au sujet des comptes des trois Frères. 9 mai 1802

67 La Triple Union aux Amis Réunis : à propos du Tableau de Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne). 20 mai 1802

68 Le Frère Chabert au Frères composant la Commission d’Administration : arrêté concernant des problèmes financiers. 23 mai 1802

69 Le Frère Bernard au Frère Sibué (Secrétaire des Amis Réunis) : convocation des Frères. 27 mai 1802

70 Le Frère Bataillard aux Frères composant la Commission d’Administration de la Triple Union. 28 mai 1802

71 Le Frère Chabert au Frères composant la Commission d’Administration de la Triple Union, à propos des réparations qu’il convient de faire dans le Temple. 6 juin 1802

72 Du même aux mêmes : au sujet des élections des officiers. 6 juin 1802

73 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) aux Sept Amis : invitation à envoyer une députation pour célébrer la saint Jean d’été. 15 juin 1802

74 Les Amis Réunis à la Triple Union : envoi du Tableau de Loge de Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne), visé et certifié. 17 juin 1802

75 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) aux Sept Amis : annonce de l’envoi d’une députation. 24 juin 1802

76 Le Capitaine d’Habillement de la 19ème Demi-Brigade d’Infanterie légère au Frère Bernard, Vénérable des Amis Réunis : annonce de la création d’une Loge « dans la demi-brigade, à l’Orient de la 19ème légère, sous le titre distinctif des Amis de la Gloire et des Arts ». Cette Loge « comprend maintenant 30 membres ayant commencé le 16 Nivôse à 5 fondateurs ». 13 juillet 1802

77 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis : remerciements et témoignage d’amitié. 13 juillet 1802

78 Le Frère Chabert au Frères composant la Commission d’Administration de la Triple Union : arrêté concernant les dispenses d’assiduité aux tenues. 26 juillet 1802


79 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) à la Triple Union : demande l’aide de la Triple Union pour obtenir des constitutions du Grand Orient. 30 juillet 1802

80 Le Frère Bordas (Grand Orient) au Frère Chabert (La Triple Union) : annonce l’expédition de 11 certificats et dit qu’il hâte les constitutions de Saint Jean des Alpes (Oriende Saint Jean de Maurienne). 1 août 1802

81 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) au Frère Chabert (secrétaire de la Triple Union) : remerciements et demande de renseignements complémentaires. La Loge de la Prudence (Orient de Genève) a déjà accordé sa caution aux Vrais Amis. 5 août 1802

82 Le Frère Chabert au Frères composant la Commission d’Administration de la Triple Union : achat d’une gravure maçonnique. 8 août 1802

83 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) à la Triple Union : témoignage de reconnaissance pour avoir certifié leur tableau. 12 août 1802

84 Le Frère Chabert au Frère Jacquemoud (la Triple Union) : questions d’argent. 23 août 1802

85 Extrait du Livre d’Architecture de la Triple Union portant nomination d’une Commission chargée d’étudier la possibilité d’élever une Grande Loge provinciale à Chambéry. 29 août 1802

86 La Triple Union aux Amis Réunis : notification de l’arrêté ci-dessus. 29 août 1802

87 Le Frère Chabert aux Frères de la Commission d’Administration de la Triple Union : problèmes financiers. 29 août 1802

88 Du meme aux mêmes : « en addition à la planche de ce jour 29ème du 6ème mois 5802 » : même sujet. 29 août 1802

89 Le Frère Salomon au Vénérable Maître des Amis Réunis : demande d’un certificat lui permettant de se présenter dans les différentes Loges qu’il rencontrera sur sa route. 4 septembre 1802

90 Le Frère Chabert aux Frères de la Commission d’Administration de la Triple Union : problèmes financiers. 20 septembre 1802

91 Le Frère L’Allemand (Orateur de la Loge de l’Humanité, à l’Orient de Grenoble) au Frère Chabert (secrétaire de la Triple Union) : « au sujet du visa de son Tableau pour obtenir des constitutions du Grand Orient ». 5 octobre 1802

92 Le Frère Chabert aux Frères de la Commission d’Administration de la Triple Union : problèmes financiers. 19 octobre 1802

93 L’Humanité (Orient de Grenoble) à la Triple Union : « sollicite le visa de son Tableau et un avis favorable aux fins d’obtenir des constitutions du Grand Orient ». 30 octobre 1802

94 La Triple Union aux Amis Réunis : l’Intimité accepté l’idée d’une Grande Loge provinciale et les choses semblent en bonne voie. 19 décembre 1802

95 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Triple Union : l’installation de la Loge est repoussée « à l’ouverture du printemps » pour que les Commissaires puissent « le plus agréablement entreprendre le voyage ». 19 décembre 1802

96 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) à la Triple Union : annonce qu’elle attendra, pour viser le Tableau de l’Humanité, la décision de la Chambre d’Administration du Grand Orient, faute d’une « connaissance suffisante des qualités maçonniques des divers membres qui composent la Loge ». 20 décembre 1802

97 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) aux Amis Réunis : installation de la Loge par les Amis Réunis fixée au 9 janvier 1803. 24 décembre 1802

98 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) aux Amis Réunis : remerciements pour l’annonce de l’envoi d’une députation à l’occasion de l’installation de la Loge. 7 janvier 1803


99 Les Amis de la Gloire et des Arts (Orient de Montpellier) à la Triple Union : lettre accompagnant l’envoi de pièces diverses ; témoignage d’amitié. 23 janvier 1803

100 Le Frère Gonnet au Frère Filliard (Orient de Chambéry) : problèmes financiers. 31 janvier 1803

101 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Triple Union : la cérémonie d’installation est fixée au 24ème jour du 2ème mois de cette année (4 Floréal, an II). 21 mars 1803

102 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Triple Union : la date de la cérémonie d’installation est avancée « au 14ème jour du 2ème mois (24 du présent mois de Germinal) ». 31 mars 1803

103 Extrait de la planche tracée par la Loge de Saint Jean sous le titre distinctif de Saint Jean des Alpes, Orient de Saint Jean de Maurienne, du 14ème jour du 2ème mois de l’an de la Vrai Lumière 5803 (24 Germinal, an II). 14 avril 1803

104 Le Frère Gilbert (Saint Jean des Alpes) au Frère Sancet (Vénérable de la Triple Union) : lettre accompagnant l’envoi de la pièce ci-dessus. 19 avril 1803

105 La Triple Union aux Amis Réunis : divers ; rappel de la délibération de la Loge en vue de la création d’une Grande Loge provinciale. 1 mai 1803

106 Le Frère Voullaire (Orient de Genève) au Frère Chabert (secrétaire de la Triple Union) : demande de renseignements sur une loge nouvellement constituée à l’Orient de Chambéry sous le titre distinctif de la Concorde. 6 mai 1803

107 La Vraie Amitié (Orient de Rumilly) à la Triple Union : extrait du Livre d’Architecture de la Respectable Loge de la Vraie Amitié. Travaux du 8ème jour du 3ème mois de l’An de la Vraie Lumière 5803. La Vraie Amitié ne voit pas l’utilité d’établir une Grande Loge provinciale à Chambéry. 13 mai 1803

108 Le Frère Willemenet Grand Orient au Frère Chabert (la Triple Union) : à propos de la demande de constitutions de la Concorde (Orient de Chambéry), demande « faite assez irrégulièrement, signée Doppet ». Demande de renseignements. 15 mai 1803

109 Le Frère Voullaire (Orient de Genève) au Frère Chabert (la Triple Union) : annonce qu’une Loge a déjà visé le Tableau de la Concorde et demande, « s’il n’y a pas de motifs fondés », que la Triple Union veuille bien être favorable aux Frères de la Concorde. 16 mai 1803

110 La Concorde (Orient de Chambéry) à la Triple Union : demande le visa de son Tableau et un avis favorable pour pouvoir obtenir des constitutions du Grand Orient. 26 mai 1803

111 Le Frère Voullaire (Orient de Genève) au Frère Chabert (la Triple Union) : envoi confidentiel du Tableau de Loge de la Concorde. 28 mai 1803

112 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis : témoignage d’amitié et invitation pour la fête de l’Ordre qui sera célébrée le 14ème jour du 5ème mois. Juin 1803

113 Le Frère Débrit au Vénérable Maître et à tous les Membres de la Respectable Loge des Amis Réunis : demande de congé pour raisons personnelles. 1 juin 1803

114 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) à la Triple Union : annonce que la Concorde a demandé le visa de son Tableau de Loge et en informe la Triple Union. 5 juin 1803

115 Les Amis Réunis à la Triple Union : signale que le Vénérable Maître de la Loge de la Concorde, nouvellement constituée à Chambéry, a été, en raison du désordre de sa conduite, suspendu de la Loge. 12 juin 1803

116 La Triple Union aux Amis Réunis : Envoi du Tableau de Loge de la Sincérité (Orient de Montmélian) et invitation à la fête de l’Ordre, le 26 du mois. 12 juin 1803


117 L’Intimité (Orient d’Aix-les-Bains) aux Amis Réunis : Envoi du Tableau de Loge pour l’année 1803-1804. 4 juillet 1803

118 La Vraie Amitié (Orient de Rumilly) aux Amis Réunis : Envoi du Tableau de Loge pour l’année 1803-1804. 25 juillet 1803

119 La Triple Union aux Amis Réunis : Envoi du Tableau de Loge pour l’année 1803-1804. 29 juillet 1803

120 Le Frère Savin (Grand Orient) aux Amis Réunis : annonce l’expédition des Constitutions de la Sincérité (Orient de Montmélian). 22 septembre 1803

121 L’Humanité (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis : annonce qu’elle a obtenu ses constitutions du Grand Orient et quelle date de son installation est fixée au 23 du 8ème mois de l’an de la Vrai Lumière 5803 à 10 heures du matin. Demande l’envoi d’une députation. 2 octobre 1803

122 Le Frère Willemenet (Grand Orient) aux Amis Réunis : questions diverses. 8 octobre 1803

123 Le Frère Falcone (L’Humanité, Orient de Grenoble) au Frère Chabert (la Triple Union, Orient de Chambéry) : à propos de la demande en constitutions faite par « l’Humanité ». 29 octobre 1803

124 Instructions particulières pour les Vénérables Frères députés du Grand Orient de France chargés par lui de l’installation d’une Loge, à l’Orient de Montmeillan (Montmélian) sous le titre distinctif de « la Sincérité ». 1804

125 La Sincérité (Orient de Montmélian) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : invitation à assister à l’inauguration de la Loge, fixée au 14ème jour du 4ème mois de l’an de la Vrai Lumière 5804. 28 mai 1804

126 La Sincérité (Orient de Montmélian) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : annonce de la date de l’installation de la Loge. 28 mai 1804

127 L’Humanité (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande d’échange de députations à l’occasion de la fête de la saint Jean d’été. 11 juin 1804

128 Extrait de la planche tracée des travaux de l’installation de la Respectable Loge de la Sincérité, Orient de Montmélian. 14 juin 1804

129 Le Grand Orient de France à la Triple Union (Orient de Chambéry) : accusé de réception de pièces diverses. 13 août 1804

130 L’Humanité (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un tableau de Loge et informant les « Amis Réunis » que les Frères qui n’y sont pas portés se trouvent en situation irrégulière, « s’étant retirés sans avoir donné leur démission ou satisfait aux devoirs de la Loge ». 24 août 1804

131 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : invitation à participer à la célébration de la saint Jean d’hiver. 16 décembre 1804

132 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : divers. 17 février 1805

133 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : nomination d’une députation de cinq Frères pour aller visiter la Triple Union. 3 mars 1805

134 Extrait du Registre des délibérations de la Respectable Loge de la Triple Union, Orient de Chambéry, au sujet de « la proposition qui lui avait été faite par le Très Cher Vénérable de la Respectable Loge des Amis Réunis de cet Orient », de donner conjointement une fête au Prince Joseph, Grand Maître de l’Ordre, qui devait s’arrêter dans cette ville ». 9 mars 1805

135 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre annonçant l’envoi de l’extrait de délibération du 9 mars 1805. 2 avril 1805


136 Le Frère X au Frère Willemenet (Grand Orient) : reproches pour ne pas avoir envoyé les récépissés du Grand Orient pour le don gratuit de 5803 et 5804. Avril 1805

137 L’Humanité (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande l’envoi d’une députation. 10 juin 1805

138 L’Humanité (Orient de Grenoble) à la Parfaite Union (Orient de Chambéry) : demande l’envoi d’une députation. 10 juin 1805(?)

139 Extrait du Livre d’architecture de la Respectable Loge Saint Jean sous le titre distinctif de l’Humanité, Orient de Grenoble : nomination de députés pour assister à la célébration de la fête de l’Ordre à l’Orient de Chambéry. 11 juin 1805

140 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à la célébration de la fête de l’Ordre. 13 juin 1805

141 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à la célébration de la fête de l’Ordre. 13 juin 1805

142 Brouillon de la planche tracée des travaux de la Triple Union (Orient de Chambéry). 16 juin 1805

143 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à la célébration de la saint Jean d’été. 17 juin 1805

144 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à la célébration de la saint Jean d’été. 17 juin 1805

145 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à la célébration de la saint Jean d’été. 19 juin 1805

146 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande d’échange de députation à l’occasion de la fête de la saint Jean d’été. 21 juin 1805

147 Le Vénérable de la Parfaite Union (Orient de Grenoble) à la Très Respectable Loge de la Triple Union (Orient de Chambéry) : des événements fâcheux contraignent la Parfaite Union à renvoyer la fête de la saint Jean d’été et à refuser l’invitation de la Triple Union. 21 juin 1805

148 La Sincérité (Orient de Montmélian) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : annonce de l’envoi d’une députation et demande la réciprocité à l’occasion de la saint Jean d’été. 22 juin 1805

149 Extrait de la délibération du 25 du 4ème mois de l’an de la Vrai Lumière 5805 correspondant au 6 messidor an 13. Tiré du livre d’architecture de la Respectable Loge de la Parfaite Union, Orient de Grenoble : nomination de députés pour aller assister à la célébration de la Saint Jean d’été avec la Respectable Loge des Amis Réunis (Orient de Chambéry). 25 juin 1805

150 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : accusé de réception du procès-verbal de délibération portant nomination de députés. 25 juin 1805

151 Extrait du livre d'archiviste de la Loge des Cœurs Constants (Orient de Grenoble) portant nomination de 3 députés chargés d’assister à la célébration de la fête de Saint Jean, sur l’invitation de la Loge des Amis Réunis (Orient de Chambéry). 26 juin 1805

152 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) à la Parfaite Union (Orient de Chambéry) : annonce de la constitution de la Loge. 27 juin 1805


153 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : témoignage d’amitié et annonce de l’envoi d’une députation pour la saint Jean d’été. 27 juin 1805

154 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour « la fête que nous devons célébrer le 14ème jour du 5ème mois prochain ». 27 juin 1805

155 Extrait du livre d’architecture de la Très Respectable Loge de l’Humanité, Orient de Grenoble, portant nomination de députés pour assister à la célébration de la saint Jean d’été sur l’invitation des Amis Réunis (Orient de Chambéry). 28 juin 1805

156 Discours d’un Frère de la Respectable Loge des Cœurs Constants (Orient de Grenoble) venu en députation visiter la Respectable Loge des Amis Réunis (Orient de Chambéry). 30 juin 1805

157 Les Frères servants au Vénérable Maître des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : dénonciation d’un Frère de la Loge qui a traité les Frères servants en domestiques. 11 juillet 1805

158 Le Frère Nicolet « aux Vénérables, officiers, dignitaires et membres composant la Respectable Loge des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : accepte la charge de représenter la Loge auprès du Grand Orient en remplacement du Frère Willemenet. 18 juillet 1805

159 La Parfaite Union (Orient de Douai) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge. 30 juillet 1805

160 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge. 8 août 1805

161 Le Grand Orient à la Triple Union (Orient de Chambéry) : accusé de réception de pièces diverses. 26 août 1805

162 Le Frère Bordas (Grand Orient) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : témoignage de satisfaction devant « les progrès de l’art maçonnique dans l’Orient de Chambéry » et questions diverses. 27 août 1805

163 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : envoi de Tableau de Loge et témoignage de gratitude pour l’accueil réservé aux députés de la Loge. 13 septembre 1805

164 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : envoi de Tableau de Loge et témoignage de gratitude pour l’accueil réservé aux députés de la Loge. 13 septembre 1805

165 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation à l’occasion de la célébration de la saint Jean d’hiver. 8 décembre 1805

166 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) réponse affirmative à la précédente et demande de réciprocité. 26 décembre 1805

167 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : accord à l’agrégation du Frère Balmain, anciennement à Saint Jean des Alpes, à la Loge de la Triple Union. 26 janvier 1806

168 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) : planche tracée des travaux célébrant la Fête des Victoires et de la paix. 2 février 1806

169 Le Frère Monet au Vénérable Maître des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : pour excuser son absence. 6 février 1806

170 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi de la planche tracée du 2 février 1806. 30 mars 1806


171 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi de la planche tracée du 2 février 1806. 30 mars 1806

172 Circulaire du Grand Orient aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) concernant les modalités du paiement des dons gratuits au Grand Orient. 21 avril 1806

173 Les Vrais Amis Réunis (Orient de Nice) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : accompagne l’envoi d’un Tableau de Loge et recommandation en faveur du Frère De Butet, … et 2nd Surveillant de la Loge symbolique de cet Atelier. 30 mai 1806

174 L’Humanité (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation à l’occasion de la Saint Jean d’été. Juin 1806

175 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) aux Cœurs Constants (Orient de Grenoble) : remerciements pour la correspondance du 30 mars 1806. 1 juin 1806

176 Le Secrétaire de la Loge au Trésorier de la Triple Union (Orient de Chambéry) : paiement du loyer du local occupé par la Loge. 1 juin 1806

177 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : proposition pour une célébration commune de la fête de l’Ordre. 6 juin 1806

178 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : réponse favorable à la précédente. 7 juin 1806

179 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à la célébration de la Saint Jean d’été. 16 juin 1806

180 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à la célébration de la saint Jean d’été. 16 juin 1806

181 Les Vrais Amis et la Triple Union (Orient de Chambéry) à X : annonce de la célébration commune de la Saint Jean d’été et demande d’envoi d’une députation. 18 juin 1806

182 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Respectables Loges de la Triple Union et aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : réponse à la précédente et annonce de l’envoi d’une députation. 23 juin 1806

183 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de maurienne) aux Respectables Loges de la Triple Union et des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : réponse à la précédente et annonce de l’envoi d’une députation. 26 juin 1806

184 Extrait du livre de la Respectable Loge de la Parfaite Union à l’Orient de Grenoble ) : réponse à la précédente et annonce de l’envoi d’une députation. 27 juin 1806

185 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande d’envoi d’une députation pour assister à « la fête solennelle que nous célébrons Dimanche prochain 6 courant en l’honneur du héros qui nous gouverne et de son auguste frère, Joseph, dont nous inaugurons les bustes en reconnaissance des bienfaits dont le premier n’a cessé de combler la France et de la protection signalée que le second apporte à la Maçonnerie. 1 juillet 1806

186 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : présentation d’excuses pour avoir donné « à vos jeunes députés et principalement à notre Très Cher Frère Joseph Marin des grades auxquels ils ne pouvaient encore prétendre ». 8 juillet 1806

187 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de loge. 15 juillet 1806


188 Le Frère Corcellet aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : déplore « l’insouciance de beaucoup de Frères pour les travaux et leur inexactitude dans le versement des métaux ». Demande à la Loge de lui rembourser 261 Frs. 16 juillet 1807

189 Saint Jean du Parfait Silence (Orient de Lyon) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge. 19 juillet 1806

190 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge. 23 juillet 1806

191 L’Humanité (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge. 31 août 1806

192 La Parfaite Union (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : ibidem, ainsi que le procès-verbal de la fête pour l’inauguration du buste de Napoléon. 4 septembre 1806

193 Les Amis de la Paix (Orient de Barsac) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre-circulaire faisant la publicité d’une « pièce d’architecture sur l’excellence de notre Ordre… » 10 septembre 1806

194 Le Frère Corcellet aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : rappel de sa créance. 11 novembre 1806

195 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : nomination de députés pour assister aux travaux du 27 courant « en l’assistance du Très Respectable Frère Bailhache, Grand officier du Grand Orient de France ». 26 février 1807

196 Extrait du livre d’Archiviste de la Très Respectable Loge des Amis Réunis (Orient de Chambéry) portant nomination de députés (voir lettre ci-dessus). 26 février 1807

197 Le Frère Bailhache, Grand Inspecteur Général, Membre du Suprême Conseil du 33e Degré, aux Très Chers et Très Respectables Frères composant la Très Respectable Loge des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : remerciements. 22 avril 1807

198 Le Frère Frotche, à la Très Respectable Loge] des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre d’adieu. 2 mai 1807

199 Du meme au Frère Gouvert, Vénérable des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre d’adieu. 2 mai 1807

200 Saint Jean d’Ecosse de la Bienfaisance (Orient de Lyon) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de loge. 20 mai 1807

201 Le Frère Bazaine au Frère Masson, secrétaire des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : remerciements pour lui avoir envoyé un diplôme. 9 juin 1807

202 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : invitation à envoyer quelques députés à l’occasion de la fête de l’Ordre. 18 juin 1807

203 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : invitation à envoyer quelques députés à l’occasion de la fête de l’Ordre. 26 juin 1807

204 Le Parfait Silence (Orient de Lyon) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de loge. 4 août 1807

205 L’Indivisible (Orient de Spa) à toutes les Respectables Loges régulières de l’Orient de France : circulaire appelant à la bienfaisance de tous les Frères à la suite de l’incendie qui, le 21 août, consuma 183 maisons. 26 août 1807

206 L’Humanité (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge. 1 septembre 1807

207 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge et informant


de la nomination de députés pour assister aux travaux au 3è grade ainsi qu’à ceux de Banquet. 12 septembre 1807

208 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : envoi de trois diplômes. 28 septembre 1807

209 Le Frère Jarillon (des Cœurs Constants, Orient de Grenoble) au Frère Bernard (Vénérable des Amis Réunis, Orient de Chambéry) : rectification d’une erreur dans l’envoi des diplômes. 8 novembre 1807

210 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : nomination de députés pour assister à la fête de l’Ordre, le 27 du mois. 24 décembre 1807

211 Le Frère Jacquemoud à la Très Respectable Loge de la Triple Union (Orient de Chambéry) : renvoi à la Loge de pièces qu’il avait conservées. Ce Frère maintient sa résolution de ne plus assister aux travaux de la Loge. 25 décembre 1807

212 Le Frère X… aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande de secours financier. 28 décembre 1807

213 Le Frère Bertini (1er Surveillant de l’Amitié Eternelle, à l’Orient de Turin) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : recommandation d’un Frère dans le besoin. 2 janvier 1808

214 La Triple Union (Orient de Chambéry) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande l’envoi d’une députation pour assister aux travaux du 21 du même mois. 14 février 1808

215 Les Amis Réunis (Orient de Chambéry) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : brouillon de réponse à la précédente, indiquant la nomination de cinq députés. 14 février 1808

216 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : témoignage d’amitié à l’occasion de la fête de l’Ordre. 14 juin 1808

217 Le Frère Brice d’Uzy, officier au Grand Orient de France, aux Amis Réunis (Orient de Chambéry : circulaire. 20 juin 1808

218 Du même à la Triple Union (Orient de Chambéry : circulaire. 20 juin 1808

219 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : regrets de n’avoir pu assister à la fête de l’Ordre à Chambéry. 22 juin 1808

220 Le Frère Compagnon au Frère Masson, secrétaire des Amis Réunis (Orient de Chambéry) : demande sa mise en congé de la Loge pour affaires. 26 juin 1808

221 Circulaire annonçant la fusion des deux Loges chambériennes et la naissance de la Loge de la Réunion. Juillet 1808

222 Le Frère Michon au Frère Huguenin (secrétaire de la Triple Union, Orient de Chambéry) : excuses pour ne pourvoir assister aux travaux. 10 juillet 1808

223 Le Frère Tissot au Frère Huguenin : demande la raison pour laquelle le Frère Dumont n’est pas porté sur le Tableau de la Réunion. 10 juillet 1808

224 Le Frère Rivoire au Frère Huguenin : manifeste sa joie d’être porté sur le Tableau de la Réunion. 11-07-1808

225 Le Frère Bésuchet (des Amis Réunis, Orient de Chambéry) au Frère Huguenin : refuse d’assister dorénavant aux travaux maçonniques. 15 juillet 1808

226 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) aux Amis Réunis (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge. 15 juillet 1808

227 Le Frère Python au Frère Gouvert : se félicite de la réunion des deux Loges et demande son congé pour raisons personnelles. 17 juillet 1808

228 La Vraie Amitié (Orient de Rumilly) à la Réunion (Orient de Chambéry) : nomination d’un député pour assister à la fête de l’Ordre. 19 juillet 1808


229 La Sincérité (Orient de Montmélian) à la Réunion (Orient de Chambéry) : nomination d’un député pour assister à la fête de l’Ordre et extrait de la délibération. 20 juillet 1808

230 Les Vrais Amis (Orient d’Annecy) à la Réunion (Orient de Chambéry) : nomination de cinq députés pour assister à la fête de l’Ordre. 22 juillet 1808

231 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Réunion (Orient de Chambéry) : lettre accompagnant l’envoi d’un Tableau de Loge et portant nomination d’une Commission pour aller féliciter de cette réunion des deux loges. 22 juillet 1808

232 Les Frères Bartet et Renaud : demandent à faire partie de la Réunion. 24 juillet 1808

233 Le Frère X… au Frère X… : demande de faire tenir un paquet à la Réunion. 27 juillet 1808

234 La Sincérité (Orient de Montmélian) à la Réunion (Orient de Chambéry) : invitation à célébrer la fête de l’Ordre le 21 du mois à Montmélian. 11 août 1808

235 Le Frère Perrin à la Parfaite Union (Orient de Chambéry) : lettre de démission pour raisons personnelles. 1 mars 1809

236 Le Frère Renaud à la Réunion (Orient de Chambéry) : réclame un diplôme ou, à défaut, le remboursement de l’argent qu’il a versé lors de son initiation, puisqu’il n’est pas admis au sein de la Réunion. 5 mars 1809

237 Le Grand Orient de France à la Réunion (Orient de Chambéry) : nomination du Frère Geneux comme rapporteur des pièces présentées par la Loge. 7 mars 1809

238 Le Frère Geneux à la Réunion (Orient de Chambéry) : liste des pièces nécessaires pour que le nouveau titre de la Loge soit reconnu par le Grand Orient. 12 mars 1809

239 Saint Joseph Napoléon (Orient de Deux Ponts) à la Triple Union (Orient de Chambéry) : demande de contribution financière pour la restauration de l’ancien château ducal. 27 mars 1809

240 Le Frère Barruel-Beauvert : planche au sujet de son admission en qualité de Visiteur dans la principale Loge maçonnique de Chambéry. 18 juin 1809

241 Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne) à la Réunion (Orient de Chambéry) : lettre de recommandation en faveur du Frère Antoine Moldetti, artiste. 20 juin 1809

242 Le Triomphe de la Vraie Amitié (Orient de Rumilly) à la Réunion (Orient de Chambéry) : demande l’envoi d’une députation pour célébrer la fête de l’Ordre. 23 juin 1809

243 La Sincérité (Orient de Montmélian) à la Réunion (Orient de Chambéry) : nomination de députés pour assister à la fête de l’Ordre. 29 juin 1809

244 Le Frère Moreau (ex-Vénérable des Vrais Amis) au Frère Marin. 30 juin 1809

245 Les Cœurs Constants (Orient de Grenoble) à la Réunion des Amis (Orient de Chambéry) : témoignage d’amitié. 1 juillet 1809

246 « Notte du mobilier qui a été laissé dans la maison de Mr Joseph l’ainé Regard de Villeneuve, situé à Chambéry, rue Couverte, appartement à la société de la Loge de la Réunion, le 12è Xbre 1815 lors de l’entrée des troupes du Roi de Sardaigne à Chambéry, qui a eu lieu le 16 du même mois ». 12 décembre 1815


26F 25 Correspondance non daté (75 articles)

1 Convocation de la Loge des « Sept Amis » (Orient de Chambéry) au citoyen Tibère, rentier à Chambéry.

2 Témoignage d’amitié, lu par les Frères députés des « Vrais Amis » (Orient d’Annecy).

3 Brouillon de lettre concernant l’approbation du Tableau de la loge de “Saint Jean des Alpes” (Orient de Saint Jean de Maurienne) en vue de la constitution de cette loge.

4 Les “Amis Réunis” (Orient de Chambéry) au Frère Nicolas, trésorier de la loge : convocation pour vérification des comptes.

5 Les “Amis Réunis” (Orient de Chambéry) au Frère Willemenet, son député au Grand Orient : demande de certificats.

6 Les “Amis Réunis” (Orient de Chambéry) au Grand Orient : demande de certificats.

7 Les “Amis Réunis” (Orient de Chambéry) au Grand Orient : ibidem.

8 Le Frère Bordas, représentant de “La Triple Union” (Orient de Chambéry) auprès du Grand Orient, à « la Triple Union : lettre concernant la constitution de « Saint Jean des Alpes (Orient de Saint Jean de Maurienne).

9 « La Triple Union » (Orient de Chambéry) à « Saint Jean de la Parfaite Union » (Orient de Lyon) : remerciements pour l’envoi de deux Tableaux de Loge.

10 « La Triple Union » (Orient de Chambéry) aux « Amis Réunis » (Orient de Chambéry) : envoi de députés.

11 « La Triple Union » (Orient de Chambéry) au Très Respectable Frère, Vénérable, officiers et dignitaires des « Amis Réunis » (Orient de Chambéry) : invitation à envoyer une députation.

12 Le Frère X. au Frère Du Bureaux : discours à l’occasion de l’initiation du Frère Du Bureaux.

13 Le Frère X. au Frère X. : discours à l’occasion de l’initiation du Frère Du Bureaux.

14 Discours des Frères des « Cœurs Constants » (Orient de Grenoble) venus en députation.

15 Le Frère X. de « Saint Jean du Parfait Silence » (Orient de Lyon) : remerciements pour l’envoi d’un Tableau de Loge.

16 Le Frère X. au Frère X. : annonce de l’envoi d’une députation.

17 Le Frère Aumereau (de « la Parfaite Union, Orient de Toulon, et du « Triomphe de l’Amitié », Orient de Draguignan) au Vénérable des « Amis Réunis » (Orient de Chambéry) : demande de secours.

18 Testament philosophique comportant trois questions et leurs réponses : quelle est la vraie grandeur de l’homme ? Où doit-il chercher la félicité ? quel est son premier devoir ?

19 Lettre d’excuses pour ne pas avoir tiré la santé du Premier Consul.

20 Le Frère Dupont au Vénérable Maître des « Amis Réunis » (Orient de Chambéry) : mise au point, après que le Frère Dupont n’ait pas été convoqué aux travaux de la loge.


21 Fin d’une planche remerciant un Général d’avoir assisté aux travaux de la Loge.

22 Le Frère Delacroix, de la Respectable Loge de « l’Union Parfaite de la persévérance » (Orient de Paris) au Frère X. : demande de secours.

23 Le Frère X. au Frère X. : recommandation pour le Frère Tabere.

24 Le Frère X. à la loge : remerciements pour avoir assisté aux travaux de la Loge.

25 Le Frère X. au Frère X. : discours de réception d’un apprenti ; les traits qui caractérisent un vrai Maçon.

26 Le Frère Jean-François Latour, à la Loge de Jacob : demande de secours.

27 Planche tracée des travaux de « la Triple Union ».

28 Le Frère X. au Frère X. : discours de réception d’un apprenti.

29 Brouillon de lettre à adresser aux Loges de la correspondance destiné à accompagner l’envoi d’un Tableau de Loge.

30 Les « Amis Réunis » au Frère Willemenet : remerciements pour ses bons offices.

31 Le Frère Bernard au Frère Willemenet : annonce que la loge a fait les démarches conseillées par le Grand Orient pour se faire installer par une loge de Genève.

32 Le Frère X. (illisible) au Frère Bernard : remerciements.

33 Le Frère Nicolas au Vénérable Maître des « Amis Réunis » (Orient de Chambéry) : à propos de la vérification des comptes.

34 Le Frère Balmain au Frère Jacquemoud : remerciements pour avoir été accueilli comme membre de « La Triple Union » (Orient de Chambéry).

35 Le Frère Salomon aux « Amis Réunis » (Orient de Chambéry) : mise au point concernant son retard dans le paiement de sa cotisation. En vertu du règlement, il ne peut assister aux travaux, mais il demande que les Frères en soient informés et cessent de répandre le bruit qu’il a été expulsé de la Loge.

36 Le Frère Salomon aux « Amis Réunis » : le Frère Salomon ne peut satisfaire à ce qu’il doit à la loge et il se soumet au règlement qui lui interdit de participer aux travaux.

37 Enveloppe relative à la demande de constitutions faite par la Loge de « La Vraie Amitié » (Orient de Rumilly).

38 Liste de pièces diverses.

39 Le Frère Willemenet aux « Amis Réunis » (Orient de Chambéry) : demande que la Loge accuse réception de 23 certificats.

Circulaires et pièces diverses, 1774-1815

1 Circulaire du Frère Besole, concernant son ouvrage : Abrégé des causes célèbres.

2 Catalogue de décors et bijoux maçonniques.

3 Catalogue de décors et bijoux maçonniques du Frère Brun.

4 Etat nominatif des membres de la Loge de « La Triple Union ».


5 24 pages de l’Almanach du Frère Abraham.

6 Patentes de constitution de « La Parfaite Union » (Orient de Chambéry), délivrées par la Très Respectable Grande Loge Maîtresse de « Saint Jean des Trois Mortiers », le 23 May 1774. 1774

7 Prospectus de souscription pour l’établissement de quatre nouveaux hôpitaux capables de suppléer à l’insuffisance de l’Hôtel Dieu de Paris. 1787

8 Soumission des Loges de la correspondance du Grand Orient pour la souscription ci-dessus. 1787

9 Certificat pour le Frère Dumas, membre de la Respectable Loge de « La Constance Eprouvée », à l’Orient de Paris, le 1er jour du 4ème mois de l’An de la Vrai Lumière 5801. 1er juin 1801

10 Un cahier de 8 feuilles (comprenant sur le 1er f° la liste des réceptions depuis le 29ème jour du 3ème mois de l’An de la Vrai Lumière 5801, et ensuite des comptes divers). 1801

11 Etat général des perceptions à faire dans la Loge à la date du 26 Germinal, an 10. 16 avril 1802

12 Un catalogue du Frère Brun (décors et bijoux maçonniques) en date du 24 Ventôse, an XI. 15 mars 1803

13 Certificat de Rose-Croix du Frère Dumas, délivré par le Chapitre du Grand et Sublime Ordre d’Héredom de Kilwinning, sous le titre distinctif du « Vrai Zèle », à Paris, le 7 Mai 1804. 7 mai 1804

14 Catalogue de cachets et timbres, en date du 7 Pluviôse, an XIII 27 janvier 1805

15 Pacte social, en date du 20ème jour du 3ème mois 5805 20 mai 1805

16 Un catalogue décors et bijoux maçonniques, en date du 1er Prairial, an XIII 21 mai 1805

17 Un catalogue décors et bijoux maçonniques du Frère Brun 19 avril 1806

18 Procès-verbal de la tenue de la “Réunion” 22 juin 1815

Comptes divers, 1800-1808

1 19 feuillets concernant des comptes divers. Sans date

2 Dette du Frère Lafond. 17 novembre 1800

3 Convention passée avec des ouvriers pour effectuer des réparations dans le Temple. 26 mai 1801

4 Convention passée avec des ouvriers pour effectuer des réparations dans le Temple. 28 mai 1801

5 Convention passée avec des ouvriers pour effectuer des réparations dans le Temple. 10 juin 1801

6 Note acquittée (bougies). 20 juillet 1801

7 Arrêté de comptes du Frère Trésorier à la date du 9 Ventôse, an 10. 28 février 1802

8 Rapport du Frère Grand au nom d’une Commission nommée pour régler et apurer les comptes. 21 mars 1802

9 Rapport du Frère Herbin au nom de la Commission d’Administration. 31 mars 1802

10 Liste des matériaux fournis par J.A. Jordanis pour les réparations du Temple. 6 juin 1802

11 Facture. 28 août 1802


12 Facture acquittée. 5 septembre 1802

13 Reçu du Trésorier Général du Grand Orient du don gratuit des « Amis Réunis » (Orient de Chambéry). 22 août 1805

14 Un cahier de 8 pages : comptes divers, de 1805 à juin 1807. 1805-1807

15 Etat de situation de la Loge des « Amis Réunis », au 9 avril 1807. 9 avril 1807

16 Etat de situation de la Loge des « Amis Réunis », à la date du 11 décembre 1807. 11 décembre 1807

17 Etat de situation de la Loge des « Amis Réunis », à la date du 19 juin 1808. 19 juin 1808

18 Etat de situation de la Loge des « Amis Réunis », à la date du 7 juillet 1808. 7 juillet 1808