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Et aussi...

Conrad Stolz étrenneses lauriers

Interview de Mark Allen

Fred Van Lierde annonce lacouleur ...

www.triathlon-hebdo.com

ah... les mauvaises langues !!!!

55 000 visiteurs uniques sur le site trimax-hebdo et ça, hors-saison ? Ils abusent pas un peu Pierrot et Jacvan avec leurs chif-fres un peu gonflés à l’hélium ?

Allez les gars, dites-nous la vérité... C’est plutôt 5500 visiteurs uniques. Vous n’étiez pas très bon en math à l’école et vous avez rajouté un zéro de plus ?Ou alors vous êtes plutôt du type «pipeau et compagnie» un peu comme la sardine qui a bouché le Vieux Port à Marseille ?Quoi ? Ce sont les vrais chiffres... vrais de chez vrai ?C’est pas possible...

Ces remarques, nous avons a les subir depuis des mois. Avant nous, Thierry Clé-mens avait eu à les subir... Il est parfois plus facile de critiquer et de tirer sur la concurrence plutôt que de reconnaître que le travail est bon et que franchement, pour un gratuit, on se débrouille plutôt pas mal.Reconnaître du bon travail quand il ne vient pas de soi, c’est faire preuve d’hu-milité et de professionnalisme. Le triathlon avec ses un peu plus de

20 000 licenciés est un sport confiden-tiel au regard du football. Pourtant, nous pouvons recenser 3 magazines papier, plusieurs sites internet, des blogs de pas-sionnés... Nous, cette pluralité nous ravit et c’est toujours avec un grand intérêt que nous découvrons chaque nouveau numéro, chaque nouvelle news, chaque innovation en matière d’information... Evidemment, ils nous arrivent parfois de critiquer mais jamais de manière stérile, toujours de manière constructive et pas publiquement... Nous ne sommes pas parfaits mais nous avons le respect du travail. Il y a deux expressions que j’adore :- « d’un âne on n’en fait pas un cheval de course »- « il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent pas»Choisissez celle qui conviendra le mieux. Nous, on clot le chapitre et on continue de bosser. Et pour ce numéro, nous vous proposons outre le 70.3 et le Xterra d’Afri-que du Sud, une interview vérité de Mon-sieur Mark Allen. Bonne lecture...

La rédac’

CLIC'ON

Couverture : Frederik Van Lierde

Photo JACVAN

www.alpetriathlon.com

www.azurtriandrun.com

www.challengevichy.com

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www.calvixtri.fr

www.ckt-trievent.com

www.ekoi.fr

www.foor.fr

www.hawk-racing.fr

www.triangle.cc

www.triathlongcotedebeaute.com

www.tri-coaching64.com

http://tridulion.fr/

Frédéric Van Lierde annonce la couleur...

Le Belge n’en finit plus de multiplier les places d’hon-neur et les victoires. Et dès ce début de saison, il a frappé fort en atomisant la concurrence lors du 70.3 d’Afrique du Sud. Un avertissement à la concurrence : il faudra

compter sur lui dans un mois à Abu Dhabi qui constituera son premier objectif de sai-son. Côté féminines, Jodie Swallow a démontré que ses lauriers mondiaux sur la distance étaient solidement vissés sur sa tête.

événement.fr

L’Afrique du Sud a fait honneur cette année encore à deux nouveaux champions : Van Lierde et Swal-low ont surclassé leurs adversaires tout comme les conditions climatiques difficiles. Ce qui avait com-

mencé comme une radieuse journée avec une mer relativement calme est soudainement de-venu un défi pour tous les athlètes face au vent et à la pluie.

Van Lierde sortait de l’eau en tête à égalité avec le Hongrois Balazs Csoke. Grâce à une meilleure transition, Csoke prenait l’avantage en enfour-chant le premier son vélo mais à une poignée de secondes seulement du Belge mais également du Sud Africain Conrad Stoltz et de l’Australien Richie unningham. Côté féminin, la champion-ne du monde de 70.3 en 2010, Jodie Swallow s’extirpait la première de l’eau et 5e au gé-néral en 25’16 ! La tenante du titre, la Sud Africaine Mari Rabie comme la Tchèque Lucie Zelenkova étaient ainsi reléguées à plus d’une minute.

Il ne fallait pas longtemps à Van Lierde pour pren-dre la tête de la course tandis que le grand favori,

James Cunnama sorti 10e de l’eau faisait une belle remontée espérant ainsi accrocher la place de lea-

Texte et photo Organisation

événement.fr

der avant de retourner au parc à vélo. Mais c’était sans compter sur Van Lierde qui voyait là une belle chance de victoire. D’autant que les conditions climatiques semblaient donner l’avantage au Belge sur le Sud Africain moins habitué au vent et à la pluie. Avec 7 minutes d’avance, il pouvait aborder sereinement la dernière ligne droite : le semi marathon.Derrière, la bataille faisait rage pour les pla-ces d’honneur et c’est sans doute Cunnama qui réalisait la plus belle perf du jour en remontant à la deuxième place au 30e km après une belle bataille avec Csoke, Cunnin-gham, Storm et Degasperi. La course sem-blait figée… jusqu’à ce que Storm le dépasse au 60e km. Mais pas question pour le Sud Africain d’abandonner toute chance de vic-toire. Et dans un nouvel effort pour se rap-procher de la fusée Van Lierde, il reprenait à nouveau la deuxième place, à 7 minutes de la tête. Mais il ne lâchait rien parvenant à avaler les minutes de retard lors de la partie

pédestre pour n’avoir plus qu’un écart de 2 minutes au km16. Imperturbable, Van Lierde continuait sa chevauchée solitaire vers une victoire qui ne pouvait pas lui échapper. Et malgré une superbe prestation de Cunnama, celui-ci devait se contenter de la deuxième place devant l’Italien Degasperi.Chez les féminines, la course ressemblait à celle du championnat du monde de 70.3. Sor-tie de l’eau en 5e place au scratch, elle n’a jamais semblé été inquiétée par la concur-rence. La Belge Tine Deckers faisait une belle remontée à vélo, à la conquête de la Britan-nique. Mais Jodie Swallow gardait le rythme pour s’octroyer la victoire devant Tine Dec-kers. La vainqueur de l’édition 2010, Mari Ra-vie devait se contenter de la 3e place.Malgré le temps, la fête était au rendez-vous avec musique et fanfare pour donner du courage aux concurrents, du premier au dernier.

Les résultats

Classement hommes :

1. Frederik van Lierde BEL 04:06:30

2. James Cunnama RSA 04:08:41

3. Alessandro Degasperi ITA 04:15:16

4. Richie Cunningham AUS 04:18:12

5. Balazs Csoke HUN 04:18:51

Classement femmes :

1. Jodie Swallow GBR 04:39:19

2. Tine Deckers BEL 04:42:25

3. Mari Rabie RSA 04:45:45

4. Lucie Zelenkova CZE 04:49:51

5. Sonja Tajsich DEU 04:51:26

xterra.fr

Stoltz étrenne ses lauriers mondiaux

On ne l’avait plus aperçu sur une course Xterra depuis son 4e sacre mondial sur Xterra en octo-bre dernier. Mais pour ceux qui pouvaient encore avoir des doutes, Conrad Stoltz a démontré qu’il était déjà très en forme en atomisant la concur-rence lors du Xterra de Buffelspoort en Afrique du Sud. Chez les féminines, Carla Van Huyssteen a remporté la course.

Pour Conrad Stoltz, c’était une occasion im-

manquable d’évoluer à domicile tout auréolé

de son quatrième titre mondial. « Je me suis vraiment fait plaisir sur cette course. J’ai réa-lisé une bonne natation suivie d’une transition rapide avant d’entamer le VTT. Tout s’est bien passé dans ce décor exceptionnel avec une course à pied à flanc de barrage. Je regrette de ne pas avoir couru plus de Xterra en Afrique du Sud. Mais grâce aux conseils de mon nou-vel entraîneur, Ian Rodger, cela va changer. J’ai vraiment vécu une superbe course».De fait, Dan Hugo comme Lieuwe Boonstra de-

vaient se contenter de la 2e et 3e place.

Chez les féminines, Carla Van Huyssteen dé-

crochait le leadership dès le début de la cour-

se. Elle n’avait plus couru sur cette épreuve

Texte et photo Organisation

xterra.fr

depuis trois ans.

«J’ai réalisé une bonne natation mais des crampes d’estomac ne m’ont pas permis de donner toute la puissance nécessaire lors du VTT. Et puis j’ai réussi à me ré-hydrater pendant la partie cycliste pour avoir une course à pied assez solide pour remporter la victoire. Et puis, le paysage somptueux m’a bien rappelé pourquoi

j’aimais participer à cette course qui est véritablement un événement internatio-nal incontournable pour ne pas dire le meilleur ! »Elle n’a donc laissé aucune chance à ses

adversaires du jour. Riana De Lange et

Carla Rowley montent dans cet ordre, sur

le podium.

Les résultats

Classement hommes :

1. Conrad Stoltz 2h14’02

2. Dan Hugo 2h20’56

3. Lieuwe Boonstra 2h21’34

4. Justin Porteous 2h24’45

5. Daniel Carleton 2h27’56

6. Raoul De Jongh 2h29’06

7. Andre Booyens 2h30’48

8. Nico Sterk 2h31’10

9. Rohan Kennedy 2h31’51

10. Tyronne White 2h35’49

Classement femmes :

1. Carla Van Huyssteen 2h40’58

2. Riana De Lange 3h02’55

3. Carla Rowley 3h05’08

4. Jenni Soutar 3h11’49

5. Karyn Southgate 3h20’27

6. Catherine Van Liendren 3h28’14

7. Noelle Gornall 3h29’23

8. Michelle Van Zyl 3h29’23

9. Teresa Moller 3h32’20

10. Rebecca Van Der Linde 3h33’48

interview.fr

Mark Allen : Le triathlon… « Pour nous, c’était une exploration de l’inconnu. Aujourd’hui, c’est une

exploration de la performance »

Trimax-Hebdo : Tu es entré au rang des légen-des du triathlon, mais peux-tu nous retracer ton parcours ? Mark Allen : J’avais 24 ans. J’ai vu l’Ironman à la télé et ça m’a donné envie d’essayer, de voir si j’étais capable de franchir cette ligne d’arrivée. J’étais un nageur, donc je savais que je serai capable de fi-nir la natation, mais pour ce qui est du vélo et de la course à pied, c’était une autre histoire…

Ta carrière s’est très vite orientée vers le longue distance…Durant ma première an-née j’ai fait deux distances olympiques et un demi-Ironman. J’ai fini par battre deux des meilleurs gars de l’époque, Scott Molina et

Scott Tinley, sur le demi-Ironman … J’étais cho-qué ! Je ne me doutais pas du tout que j’avais le po-tentiel d’un bon triathlète. J’étais un bon nageur, car cela faisait 12 ans que je nageais, de l’âge de 10 ans jusqu’à l’université, mais je suppose que j’avais la car-rure d’être meilleur triath-lète que nageur.

Pourquoi le choix du

Long ?J’ai toujours été inspiré par l’Ironman ; je pensais que j’allais faire cette course une fois, pour la finir, et reprendre une vie normale par la suite. Mais dès la fin de cette première année, j’ai été invité à rejoindre l’équipe de San Diego, ce qui me permettait d’avoir un soutien financier afin de pouvoir m’entraîner à plein temps. Tout de suite

Par Marie Schneider - Photos Rich Cruise

interview.fr

après, j’ai également été contacté par Nike qui m’a également apporté son soutien, comme d’autres gros sponsors. Donc, ce rêve d’une vie s’est trans-formé en une carrière de 15 ans !

Nos lecteurs ont des moments mémorables en tête quand ils pen-sent à toi, mais quels sont les moments qui te restent en mémoire ?Il y en a plusieurs ; à vrai dire, il y en a beaucoup !

Mes 10 victoires à Nice sont d’excellents souvenirs. Très peu de gens parlent de ces victoires, mais gagner 10 fois sur 10 courses repré-sente plus à mes yeux que mes 6 victoires à Kona. Il y a eu aussi les cham-pionnats du monde Courte Distance ITU à Avignon en 1989, qui étaient d’ailleurs les premiers championnats du monde CD ITU, où j’ai eu l’honneur d’être sacré. La plupart des gens ne se rendent pas compte que je suis capable d’être rapide,

sur du Court comme sur du Long, et cet événement se démarque comme étant le summum de mes perfor-mances sur les courses de Courte Distance.Après, bien sûr, il y a deux victoires Ironman qui sont mémorables : la première et la dernière.La première en 1989 contre Dave Scott était incroya-ble, car il a fallu 7 ans et de nombreuses courses an-goissantes pour y arriver. Mais ma dernière victoire en 1995 était peut-être la meilleure course de ma carrière, vu la façon dont elle s’est déroulée et ce qu’il a fallu pour arracher la victoire. J’avais 37 ans et personne n’avait jamais ga-gné à cet âge auparavant ; j’ai fait la course contre des gars qui étaient de 10-15 ans plus jeunes que moi. Je suis descendu du vélo der-rière Thomas Hellreigel, un gars que personne n’avait jamais pu rattraper aupa-ravant. J’essayais aussi de gagner mon sixième titre Ironman sur six (encore une fois, quelque chose que personne n’avait pu réussir auparavant). J’ai donc dû faire face dès le début du

marathon à trois difficultés totalement impossibles à franchir et, pour être tota-lement honnête, à de nom-breux moments, durant les premiers kilomètres du marathon, je voulais laisser tomber et abandonner. Mais j’avais fait un en-traînement que personne d’autre n’avait, j’étais un élève de Brant Secunda, qui est un shaman, guéris-seur et chef de cérémonie dans la tradition indienne Huichol du Mexique. J’avais étudié avec lui pendant en-viron cinq ans, et en 1995,

il m’avait vraiment prépa-ré pour ce genre de défi. Il insistait sur la capacité mentale de notre esprit à atteindre la victoire quand ça paraît impossible, à la-quelle j’ai dû faire appel plus d’une fois durant cette course. Il m’a répété mille fois de ne jamais aban-donner, que ce n’est pas fini jusqu’à ce que se soit vraiment terminé ; ce qui signifie qu’il importe peu que les choses semblent impossibles à un moment donné ; il est important de continuer et de donner tout

ce que vous avez, la façon dont le monde te regarde peut changer dès l’instant suivant.Et je l’ai fait car, juste au moment où j’étais prêt à abandonner, je me suis rappelé les mots de Brant. Au 5ème km du marathon environ, j’ai su que le mo-ment était venu de faire un choix ... abandonner ou tout donner. Et j’ai choisi l’option 2. J’ai demandé de l’aide à la Big Island et lui ai dit qu’en dé-pit du risque, j’allais don-ner tout ce que j’avais … et

interview.fr

la course a pris immédiate-ment une autre tournure. Presque une minute après, j’ai dépassé Greg Welch, qui était en difficulté, et me suis retrouvé 4ème, puis j’ai continué à dépasser les gars devant lui. A 9 miles de l’arrivée, je prenais la deuxième place. Tou-jours prisonnier de mes pensées, qui pourraient faire dérailler mes plus beaux efforts, j’ai à nouveau demandé de l’aide à la Big Island, comme Brant m’avait dit de faire, il affirme que tous les grands en-droits sur cette planète sont vivants et qu’ils entendent et voient ce que nous faisons. Quel-ques kilomètres plus tard, j’ai enfin rattrapé l’écart sur Hellreigel et j’ai conti-nué jusqu’à remporter ma sixième et dernière victoire Ironman ! Brant et moi-même avons fini par écrire un livre en-semble, qui contient beau-coup d’ histoires comme celle-ci, ainsi que les outils qui m’ont aidé à acqué-rir ces six victoires. On l’a intitulé Fit Soul, Fit Body (Esprit Sain, Corps Sain) :

les 9 clés pour vivre une vie plus saine et heureuse. Nous avons aussi un site internet qui met en avant un grand nombre de ces informations :www.fitsoul-fitbodycom

On te comparait à Dave Scott, quelle relation entretenais-tu avec lui ?Une bonne camaraderie nous unit. Nous sommes différents, mais ayant vécu beaucoup de moments dif-ficiles ensemble pendant les courses, on se respecte mutuellement.

A quel moment as-tu décidé d’arrêter ta car-rière ?

Avant la course de 1995, je savais que j’avais déjà fait tout mon possible pour être le meilleur et que cette course serait mon dernier Ironman, indépendam-ment du résultat. Je n’étais ni blessé et ni épuisé, je

voulais prendre toute cette énergie positive et la mettre en avant pour le reste de ma vie.

Quel regard portes-tu sur le triathlon aujourd’hui ? Pour nous, c’était une exploration de l’incon-nu. Aujourd’hui, c’est une exploration de la performance. Les gens pensent qu’ils vont fi-

nir un Ironman, qu’ils vont devenir pro et gagner de l’argent pour leurs efforts. Nous, nous ne savions pas ce qui allait se passer. Nous ne savions vraiment pas si nous allions être en mesure de terminer un Ironman, encore moins de le gagner. Nous faisions cela par passion, c’était un moyen de tester nos limi-tes. Aujourd’hui, beaucoup de gens ont tourné leurs top performances en en-

interview.fr

treprise, ce qui est bien, mais derrière cela il est im-portant de se rappeler que vous êtes là pour tester vos limites et faire de votre mieux, et si cela reste vo-tre but tout le reste suivra.

Tu as été un modèle pour toute une généra-tion et tu as largement contribué à la notoriété du triathlon... Je me sens honoré et béni d’être entré dans le sport au bon moment et d’avoir obtenu ce que j’ai, de la manière dont je l’ai fait. Il y a seulement quelques pionniers par sport et je suppose que j’ai été l’un d’entr’eux, et j’en suis très

reconnaissant. Il n’y a pas de pion-niers de nos jours, les pionniers sont des innovateurs, ils poussent les choses au-delà de tout ce dont on rêvait dans le passé. Ce sont les pionniers modernes, mais c’est différent.

Quel chemin a pris ta reconversion aujourd’hui ?J’ai une société d’en-traînement qui mar-

che bien...www.markalle-nonline.com... je l’ai créée il y a environ dix ans.Nous aidons les gens dans plus de 50 pays et nous étions représentés par presque 30 athlètes à Kona cette année. J’anime aussi des ateliers/stages et j’ai écrit avec Brant Secunda le livre décrit ci-dessus.Sur notre site www.fitsoul-fitbody.com vous trouve-rez tous nos événements à venir. Dans mes discours au sein d’entreprises, je parle de mes expériences Ironman, et de leur pos-sible application à la vie quotidienne. Par ailleurs, je

collabore avec une société qui fabrique des produits nutritionnels permettant aux gens de dépasser ce qu’ils ont toujours pensé être capables d’atteindre, tant en matière de santé physique que dans la vie (www.markallen.tv).

Tu as encore du temps pour quelques entraî-nements ?Je fais du sport pratique-ment tous les jours, prin-cipalement du surf car je réside à Santa Cruz, Ca-lifornie, très bon endroit pour pratiquer ce sport. Je fais aussi de la muscula-tion deux fois par semaine et je cours presque tous les jours. Pendant l’été, quand il n’y a pas de bel-les vagues et que l’océan est calme, j’en profite pour monter sur mon vélo. Mon mode de vie actuel est mon sport!

Un message à faire pas-ser à nos lecteurs ?Amusez-vous ! Testez vos limites, mais appréciez vos accomplissements ; peu importent les résultats, au moins vous aurez essayé.