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Zoé Rumeau & Émilie Bazus «I DON’T LIKE THE SEA» GALERIE LAURE ROYNETTE 22 novembre 2018 - 6 janvier 2019 GALERIE LAURE ROYNETTE - 20 RUE DE THORIGNY, 75003 PARIS, FRANCE - +33 6 08 63 54 41

GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

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Page 1: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Zoé Rumeau & Émilie Bazus

«I DON’T LIKE THE SEA»

GALERIE LAURE ROYNETTE

22 novembre 2018 - 6 janvier 2019

GALERIE LAURE ROYNETTE - 20 RUE DE THORIGNY, 75003 PARIS, FRANCE - +33 6 08 63 54 41

Page 2: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

« Regardons les, ces migrants, sur le pont des navires, couchés sur le sol, brûlés par le soleil, desséchés par la soif et la faim, regardons les. Ils ne nous sont pas étrangers. Ils ne sont pas des envahisseurs. Ils sont nos semblables, ils sont notre famille. » J.M.G Le Clézio

Zoé est allée à la rencontre de ces frères et soeurs aux mille blessures. Les sens aiguisés, tendus vers le désir d’une rencontre. Porter un regard sur des êtres maltraités pour espérer, peut-être, un peu, tracer les lettres de l’accueil aux frontons de nos abris.

C’est avec l’arme de la langue qu’elle s’est d’abord lancée. Enseigner le français. Permettre le début d’une communication. Construire un socle , un pont fragile pour commencer la fondation.

Puis nous avons parlé de mémoire et d’empreintes, dans ce lieu de transition, petites cabanes d’accueil qui voient passer les femmes, les hommes et les enfants à Ivry, le temps de la « primo-arrivée ». Un point sur le chemin. Sûr et calme.

Quel est-il ce long chemin ? Face à quelles terribles épreuves nos frères et soeurs ont ils déployé des trésors d’instinct de survie ?

Arriver c’est laisser une empreinte. Tisser des liens. Zoé s’est faite portraitiste, brodeuse, petite main observatrice, humble et finement curieuse.

Car ces fameux « migrants » qui frappent à nos portes, alourdis frontières après frontières de plus de chaînes, de cordes et d’entraves, ces compagnons de survie, ce sont nos reflets dans les eaux troubles des guerres et des famines. L’asile tant espéré, nous le leur devons car nous sommes reponsables.

Que ferions nous ? Qui serions nous à leur place ?

Vers quels eldorados chercherions nous la fuite ? Sous quels abris cacherions nous nos enfants pour échapper aux bombes ?

Zoé a tracé un monde de traits de charbon et de fils d’or. Elle a sculpté les mains tendues et scruté les regards lourds. Pour leur donner une voix, un corps et éveiller nos consciences

Oui regardons les, engageons nous à les regarder comme nos propres reflets dans nos miroirs : avec dignité.

Gabrielle de PrevalCoordinatrice socio-culturelle

CHU d’Ivry /Emmaüs Solidarité

Page 3: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Partir 1, Zoé Rumeau, 2018, 157x206cm ,

Page 4: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Loneliness, Zoé Rumeau, 2018, 53x58cm Coiffe de survie, Zoé Rumeau, 2018, 35x27cm

Page 5: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

I don’t like the sea 1, Zoé Rumeau, 2018, 63x83cm I don’t like the sea 1 ( détail )

Page 6: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Rebka, Zoé Rumeau, 2018, 40x30cm

Page 7: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Partir 1, Zoé Rumeau, 2018, 157x206cm , Partir 1 (détail)

Page 8: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

« À vrai dire, rien ne ressemble plus à l’exil que la naissance. S’arracher par instinct de survie ou pas néces-sité, avec violence et espoir, à sa demeure première, à sa coque pro-tectrice, pour être propulsé dans un monde inconnu où il faut s’ac-comoder sans cesse des regards curieux. Aucun exil n’est coupé du chemin qui mène, du canal utérin, sombre trait d’union entre le passé et l’avenir, qui une fois franchi se referme et condamne à l’errance.»

«Désorientale» de Négar DjavadiNo one shall separate a child from his mother, Zoé Rumeau, 2018, 14x19x8cm,

Page 9: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Mrs Walesh, Zoé Rumeau, 2018, 30x40cm Sans titre, Zoé Rumeau, 2018, 50x50x160 cm

Page 10: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Femme au collier, Zoé Rumeau, 2018, 43x53cm

Page 11: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Helen, Zoé Rumeau, 2018, 103x73cm Rohingya, Zoé Rumeau, 2018, 53x58cm

Page 12: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

ZOÉ RUMEAU2018- Exposition «I don’t like the sea», Galerie Laure Roynette- Exposition «le Beau, la Belle et la Bête» Château du Rivau, Le Coudray - 37120 Léméré- Exposition «Utopia Botanica», Galerie Laure Roynette - PARIS

2017- Exposition « NO HEAD » - Galerie Laure Roynette - PARIS- Installation « nids « BONPOINT - NEW YORK et LONDRES- Exposition chez MERCI pour les 25 ans du vase d’avril des TSé-TSé- Projet de dessins pour assiettes Restaurant MISS KO (STARCK)

2016- Exposition de sculptures DUBAI au COMPTOIR 102- DRAGON monumental, sculpture BAMBOU - PARIS- Installation « FLAMINGO » chez BONPOINT-NEW YORK- Installation en fil de fer et fleurs pour DOOLITTLE-LUXOTTICA- Installation de chevaux pour BONPOINT- NEW YORK et LONDRES

2015- Exposition à SIFNOS - GRECE des « os » dans un monastère, parcours Art contemporain- Sculpture monumentale CLOUD, publicité internationale Roche Bobois- Vitrines Pour BABY DIOR - PARIS- Création d ‘une Dacha monumentale pour BONPOINT bois et tissus brodés - PARIS- Installation pour MAISON PLISSON en fils de fer lumineux - PARIS

2014- Création du nouveau mannequin BABY DIOR (prototype moulage et tirage en aluminium )- Sculpture monumentale d’une sphère végétale pour BONPOINT - PARIS- Diadème géant en aluminium, perles et sequins pour HARRODS - LONDRES- Suspension WILD FOREST publicité internationale, Roche Bobois- Sculpture murale pour GUERLAIN - PARIS

2013- Exposition «COUSU MAIN», galerie des petits carreaux - PARIS- Résidence en Inde, Jaipur, finalisation Burqa- Moulage et tirage d ‘Esther et Josef grandeur nature- Projet lustre pour GUERLAIN (de 2M60) - VERSAILLES, cour des senteurs

2012- Exposition «BÊTES» chez MERCI - PARIS- Installation “CHRISTMAS Gun” chez HOD - PARIS- Sculpture fil de fer, Poncho Gallery - PARIS- Lustre pour BONPOINT - PARIS- Tissage de sculpture “nids de cheveux”

2011- Sculptures “Chevaux” pour BONPOINT – NEW YORK- Installation “75 étoiles lumineuses”- MERCI - PARIS- Sculpture “Otaries” pour BONPOINT – NEW YORK- Installation chez HOD - PARIS

2010- Dessins pour Georges Verney Carron — LYON- Résidence d’artiste chez Paul FLURY, LA SAGNE- Tirage de 35O portraits en platre pour l installation “Famille”- Sculpture “table arbre” pour BONPOINT – PARIS

2009- Lustre papillons pour BONTON – PARIS- Installation mannequins de fil de fer, BONPOINT»JAPON- Installation “Os” pour MERCI - PARIS- Tirage des 7 ventres en bronze de la sculpture “Josef en moi”- Sculpture monumentale “la peau”, en astrakan brulé.

2008- Exposition “y laisser des plumes”- STUDIO TIEPOLO»ROME- 33 grottes en résine, terre et fourrure- Installation “44 bicyclettes” fil de fer, BONPOINT – JAPON

2007- Exposition de murs de terre & l arbre “if”, galerie UNIVER - PARIS,- Installation 50 Tours Eiffel” Fil de fer BONPOINT - PARIS, NEW YORK, LONDRES- Igloo pour BONPOINT – PARIS

2006- Exposition loft 0044, chez le styliste SHIMAMURA - PARIS- Exposition de murs de terre & l arbre “if”, pour “MINERAL 2” centre artistique de Verderonne- Exposition de murs de bois & cristal, galerie BEATRICE SOULIE - PARIS- Commande installation 5O Empire state building fil de fer, BONPOINT - NEW YORK

2000-2005- Assistante du sculpteur PAUL FLURY

1998-1999- Résidence d’artiste à Marrakech pour assister les artistes :SATCH HOYT, PUCCI de ROSSI, LAURENT BEYNE, JACQUES JARRIGE

1991-1997- Muséologie, Ecole du LOUVRE,réalisation et publication en collaboration avec ERRO — Mémoire “ERRO au travail”- Maitrise d’art contemporain avec Serge LEMOINE, ERRO: la consommation et l’histoire des années 1960 à nos jours”, Paris 4, Sorbonne

Page 13: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Anonyme X, Émilie Bazus, huile sur toile, 130x162cm

CABANES CALAIS Habiter c’est juste se couvrir la tête, s’isoler d’un sol boueux et froid, quelques centimètres au-dessus de la terre humide et un carré de plastique pour se protéger, se désolidariser du ciel. Ne pas se retrouver surpris et trempé par la pluie, transi sans doute, mais au moins sec, les vêtements secs, la photo de famille cornée mais in-tacte dans la poche arrière du jean, les quelques dizaines d’euros froissés en boule dans la poche poitrine, rester sec, ne pas se sentir souillé par la pluie acide de Calais, une pluie, ils ne le savent pas encore, qui les poursuivra jusque de l’autre côté de la Manche.(…) Ils vivent dans les bois, ils vivent dans des cabanes en espérant. C’est là que logent les exilés, des journées entières dans les arbres, dans les ronces, dans la merde et les ordures. À attendre de passer de l’autre côté, du bon côté –- si seulement.(…) Ce qu’ils appellent jungle est un maquis de broussailles, ronces, orties, arbrisseaux, plantes griffantes, ur-ticantes, bouleaux pelés, arbres chétifs et carbonisés par les effluves toxiques, lierre et mousse oxydés, végétation indéfinissable, tapis de feuilles mortes, mortes toute l’année, le printemps n’arrive pas jusque là, ne traverse pas l’autoroute.(…) Les cabanes sont couvertes de cartons plats, de plastiques transparents, noirs épais, bleus piquetés, verts enduits, de sacs de gravats découpés et dépliés, de couvertures bariolées, parfois un carré de tôle ondulée. Em-pilements de branchages et de toiles pour se calfeutrer et créer un peu d’obscurité. De grosses pierres, des pneus retiennent au sol les bâches contre le vent. (…) Les abris sont infestés de puces, les épidémies de gale se propagent d’un campement à l’autre, de natio-nalité en nationalité ; on se dit qu’on n’est là que pour quelques jours, quelques semaines, qu’on se soignera en Angleterre. Ces cabanes sont des trous noirs, des béances, abris en lambeaux pris dans les branchages comme une toile de parachute déchirée et laissée là par un soldat blessé dans sa chute, parti chercher du renfort en boi-tant. Début janvier, une fine pellicule de neige couvre le bois et, la nuit, les cabanes éclairées par les feux de camp sont comme des tentes de Bédouins dans le désert, à peine dissimulées par l’enchevêtrement d’arbres clairsemés ; des pans de tissus et de couvertures colorés retombent comme des rideaux de théâtre. Les cabanes s’allument et ce sont des feux follets, des lampions doucement battus par la brise du soir, des balises de détresse, des spots de cou-leurs dans l’indistinct vert-de-gris des sous-bois ; au dessus passent des lignes à haute tension. L’oeil un instant apai-sé se fixe passivement sur cette couverture orange éclairée par les flammes, y voit quelque chose de l’ingéniosité humaines qui empiète sur la détresse. Des ombres qui s’animent, ça bouge dans les cabanes où l’on se tient courbé, mais quand même on se tient, presque à hauteur d’homme. Et puis le jour se lève, la neige a tourné en boue grise et collante, les abris à nouveau se fondent dans les décharges sauvages qui colonisent les bois, on ne veut plus croire que ces cabanes sont habitées, perdues au mi-lieu des détritus elles y ressemblent, échouées comme des radeaux emmenées là par une tempête sauvage, une mer démontée, de ces mers que prennent les exilés pour une vie meilleure. Le sol est jonché de bouteilles et sac plastique, de boîtes de conserve vides et rouillées, d’emballages divers, de vêtements déchirés et rigidifiés par la crasse, abandonnés là après avoir été imprégnés de gaz lacrymogène. (…) Ils ont traversé en clandestins nombre de frontières, n’ont jamais ralenti le pas, ont buté contre un bras de mer fondu dans le brouillard, le dernier passage, ralentis par les broussailles des bois du Nord dont ils tentent de se dépêtrer chaque nuit ; c’est ce soir qu’ils s’arrachent, c’est décidé c’est ce soir, à bord d’un camion de mar-chandises hollandais, chargé de fruits et de fleurs, son chauffeur est négligent ou bien complice, trente kilomètres et laisser derrière soi la pourriture d’une vie de terreur et de faim qu’aucune habitation, si décente soit-elle, ne saurait apaiser.

Extraits de « Gros oeuvre » de Joy Sorman, publié en 2009 chez Gallimard.

Page 14: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Anonyme XI, Émilie Bazus, huile sur toile, 146x228cm

Page 15: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Anonyme VI, Émilie Bazus, huile sur toile, 27x35cm Anonyme V, Émilie Bazus, huile sur toile, 27x35cm

Page 16: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Anonyme VIII, Émilie Bazus, huile sur toile, 46x62cm Anonyme VII, Émilie Bazus, huile sur toile, 46x62cm

Page 17: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Anonyme IV, Émilie Bazus, huile sur toile, 27x35cm Anonyme III, Émilie Bazus, huile sur toile, 27x35cm

Page 18: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Anonyme II, Émilie Bazus, huile sur toile, 27x35cm Anonyme I, Émilie Bazus, huile sur toile, 27x35cm

Page 19: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

ÉMILIE BAZUS EXPOSITIONS

Novembre 2018Exposition «I don’t like the sea», Galerie Laure Roynette

Juillet 2018Utopia botanica, Galerie Laure Roynette. Curateur Soriana Stagnitta et Pauline Lisowski Exposition col-lective.

Janvier 2017No head, avec Zoé Rumeau. Galerie Laure Roynette.

Décembre 2016La belle Etoile, Stella Studio. Exposition collective

Juin 2015Art Olympia, Tokyo. Exposition collective.

Juin 2015Serendipity, Galerie Laure Roynette. Exposition personnelle.

Mai 201560 ème anniversaire du salon de Montrouge. Exposition collective.

Janvier 2015Fairy tales, avec Marion Davout. Maison des Arts de Créteil.

Juin 2014Fairy tailes, avec Marion Davout. Galerie Laure Roynette.

Avril 2013Maison de l’université de Rouen. Exposition personnelle.

Novembre 2012Salon de Montrouge, vente aux enchères. Exposition collective.

Mai 2012Salon de Montrouge. Exposition collective.

Juin 2011 - Petits et Grands BazarsMerci. Exposition personnelle.

Mai 2010 - Petits BazarsHopital Paul Brousse, le temps du regard, commissaire de l’exposition :Jeanne Gatard. Expositionpersonnelle.

Juin 2008 - SistersStella studio. Exposition personnelle.

Janv 2006 - Atelier 118

Jeune Théatre National - Exposition collective.

Nov 2005 - Re-naissanceVilla Florin - Exposition personnelle.

Mars 2005 - 10 peintresJeune Théâtre National - Exposition collective.Mars 2004 - Emilie BazusCaravane chambre 19, Paris - Exposition personnelle.

Oct 2003 - Emilie Bazus, Marion Davout, Agata MachayWeiterbildungszentrum, Centre d’Art Contemporain Norden, Allemagne.

Dec 2002 - Ethnies BontonExposition personnelle.

Sep 2002 - Festival MétissageExposition collective.

Dec 2001 - Atelier PradaliéExposition collective.

Oct 2001 - Visions Artificielles ou NaturelleMairie de Paris. Exposition collective.

Mai 2001 - Portes Ouvertes des Ateliers de MontreuilExposition collective.

Déc 2000 - Portes Ouvertes des Ateliers de MontreuilExposition collective.

Sep 2000 - Move Expo Galeries LafayetteExposition collective.

Nov 1997 - Quartier OberkampfExposition collective.

FORMATION

Juin 2000 Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES

1998 -2018 Scénographe, Peintre-décorateur « freelance » pour diverses sociétés :

Page 20: GALERIE LAURE ROYNETTE «I DON’T LIKE THE SEA»

Laure Roynette ouvre sa galerie en 2011 dans le quartier du Marais. Elle y représente la jeune garde artis-tique et soutient le travail hors les murs de ses artistes. A deux pas du musée Picasso, la galerie représente aujourd’hui une quinzaine d’artistes performers, peintres, vidéastes, photographes, « avec davantage de femmes que d’hommes » comme le remarquent certains observateurs... Laure Roynette aime surprendre ses collectionneurs et, faisant sienne l’expression de Robert Storr « Machines à aura », aime « les œuvres qui stimulent, aident à réfléchir sur la vision du monde et peut-être même parfois à la changer ».

CONTACT PRESSE

Laure Roynette GALERIE LAURE ROYNETTE20 rue de Thorigny 75003 Paris

+33 6 08 63 54 [email protected]

mardi au samedi 14h à 19h ou sur RDV

GALERIE LAURE ROYNETTE

laureroynette.com