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M. Merchat 1/54 © M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source KoSAMTI « Légionelles et installations de refroidissement : gestion du risque» Formations tout métier Expertises et tierce expertise Appui technique Ministère environnement, France [email protected] Gestion du risque légionelle Légionelle et les installations à risque Les systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients L'origine des légionelles dans l’installation L’arbre de défaillance : les facteurs de risque Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque) Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif) Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques) Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés) Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétation Conclusion : sur le terrain 3 métiers 2/54 © M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source Conclusion : sur le terrain 3 métiers

Gestion du risque légionelle - Quebec · Gestion du risque légionelle Légionelle et lesinstallationsà risque Lessystèmesde refroidissement : avantages/inconvénients L'origine

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  • M. Merchat

    1/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    M. MerchatKoSAMTI

    « Légionelles et installations de refroidissement : gestion du risque»Formations tout métier

    Expertises et tierce expertiseAppui technique Ministère environnement, France

    [email protected]

    Gestion du risque légionelle

    Légionelle et les installations à risqueLes systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients

    L'origine des légionelles dans l’installationL’arbre de défaillance : les facteurs de risque

    Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque)Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif)Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques)Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés) Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétation

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

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    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

  • Les installations à risqueSystèmes hydriques artificiels = réservoirs

    Réservoir Génération d’aérosols

    Risque: C° ���� de légionelles dans l’eau + Aérosols + exposition d’individus

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    Réservoir Génération d’aérosols

    Les circuits de distribution d’eau Douches, bains à remous, brumisateurs...

    Les installations de refroidissement par dispersion d’eau dans un flux d’air

    Tours de refroidissement

    Les fontaines décoratives Aspersion

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    Les lagunes d’épuration et leurs réacteurs

    Aérateurs de surface

    Réacteur

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    Éléments de risque: circuit de refroidissement avec TAR

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    Source

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    Cible Vecteur

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  • Systèmes évaporatifsPulvérisation d’eau dans un flux d’air

    L‘eau à refroidir est directement pulvérisée au niveau de la tour

    dans le flux d’air

    L‘eau à refroidir est dans un échangeur de chaleur.

    L’eau du qui circule dans la tour est pulvérisé dans le flux d’air.

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    dans le flux d’air

    Equipement à refroidir

    Equipement à refroidir

    est pulvérisé dans le flux d’air.

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    Equipement à refroidir

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    Systèmes secsRefroidissement par convection

    L’eau à refroidir passe dans un échangeur de chaleur en contact avec l'air. Echange eau/air au travers d’une batterie.

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    Équipement à refroidir

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  • L’eau à refroidir passe dans un échangeur de chaleur en contact avec l’air.Echange thermique amélioré par pré-humidification de l’air.

    3 modes de pré-humidification:

    Systèmes secs avec pré-humidification d’airRefroidissement par convection

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    Pulvérisation d’eau dans un flux d’air

    Équipement à refroidir

    Brumisation

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    Équipement à refroidir

    dans un flux d’air

    Équipement à refroidir

    Ruissellement d’eau sur un media

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    SYSTEME SECS MIXTES HUMIDES

    Pré-humidifiation air dits « Adiabatiques »

    Evaporatifs

    Comparaison des systèmes de refroidissement

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    Refroidissemt Convect°dits « Adiabatiques »

    Mixtes

    Brumisat° Pulvé Media Dispers° eau

    flux d’air

    Performance/ Conso. Élect.

    Poids

    Bruit

    Réchauffemt

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    Réchauffemt

    air

    Disséminat°aérosol

    Conso Eau

    Rejets chimique

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  • Gestion du risque légionelle

    Légionelle et les installations à risqueLes systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients

    L'origine des légionelles dans l’installationL’arbre de défaillance : les facteurs de risque

    Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque)Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif)Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques)Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés) Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétation

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

    9/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

    Radiateur DésinfectionT °C

    70 27 secondes

    Lors de choc thermiqueInactivation de 1000 ufc/l en:

    Légionelles & température

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    Bains à remous

    Circuits de refroidissement

    Douches

    Eau chaude sanitaire

    OptimumMultiplication active

    Survie

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    2 minutes

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    Eau du robinetFontaine décorative

    Humidificateur

    Douches

    Lagune, station d’épuration

    Survie &Multiplication dans les organismeshôtes

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  • Zoom dans l’installation

    Micro-organismes dont Légionelles

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    Matières en suspensions

    Micro-organismes dont Légionelles

    Dépôts des µorganismes sur toutes les surfaces en contact avec l’eau���� Formation de biofilm

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    ���� Formation de biofilm

    Contamination récurrente de l’eau

    • Protection vis à vis des traitements

    • ProliférationL'o

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    Prolifération des Légionellesdans les amibes

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    Le biofilm grouille de vie…

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    Amibe

    Amibe enkystée

    Cilié

    Stockage des Légionellesdans des vésicules de ciliés

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    Surface

    Biofilm

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  • Limiter ou Éviter le relarguage

    = « NETTOYER »

    Arbre des défaillances

    LIMITERDispersion Air

    (aspiration)Nutriments

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    GERER, NETTOYER, TRAITER…

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    DétectionLégionellesdans l’eau

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    � La Concentration« DESINFECTER »

    Entrées eauAppoint, process…

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    DépôtsTartre/corrosion

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    Fonctions supports � Maintenance� Formation� Traitement d’eau

    Bras mortsSusceptible de recirculer

    Marche/arrêt

    Hydraulique

    Matériaux

    Procédés

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    Schéma Merchat M. & Ricordel F, Print, n°48, 2011

    Gestion du risque légionelle

    Légionelle et les installations à risqueLes systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients

    L'origine des légionelles dans l’installationL’arbre de défaillance : les facteurs de risque

    Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque)Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif)Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques)Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés) Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétation

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

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    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

  • Air (aspiration)

    Entrées eau

    Arbre des défaillances

    Barrière Pare goutteNutriments

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    Traitement eau

    Implantation Plan d’entretien

    Filtration

    Désinfection oxydante

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    Schéma Merchat M. & Ricordel F, Print, n°48, 2011

    DétectionLégionellesdans l’eau

    Biofilm

    Entrées eauAppoint, process…

    Tartre, Corrosion, Dégradation

    Matériaux

    Barrière Pare goutte

    Etat surface

    DésinfectionChoc

    Lutte biofilmTraitement eau

    Conception

    Qualité apport eau Réduction OUCompaction

    AT/AC

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    Bras mortsSusceptible de recirculer

    Marche/arrêt

    Fonctions supports � Maintenance� Formation� Traitement d’eau

    Stagnationd’eau

    Conception

    Conception

    Gestion

    ProcéduresCirculation d’eau

    régulière & adaptée

    Le

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    Le Biocide doit:

    Désinfection efficace

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    Le Biocide doit:

    � atteindre sa cible : la légionelle

    � être en contact avec la légionelle pendant un temps suffisant

    � faire des dégâts irréversibles pour la légionelle

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  • Désinfectant

    Efficacité de la désinfection …L

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    Seules lesLégionelles accessiblessont affectées par le

    désinfectant

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    Surface

    désinfectant

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    Circulation d’eau permanente ou régulière

    Principes d’action des procédés à effet tensioactif

    Réduction du biofilmProcédé à effet « tensioactif »

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    Maintien d’un effet tensioactif

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    Début de l’effet tensioactif

    Le « nettoyage » n’est pas immédiat

    Le

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  • Compaction du biofilmAction mécanique de l’eau

    Pour les installations ou l’effet tensio-actif est IMPOSSIBLE

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    � Circulation de l’eau régulière

    � Éviter tout ce qui perturbe l’hydraulique

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    Stagnation d’eau liée à la conception

    Identifier le danger: contamination de l’eau circulante

    Hiérarchiser le risque:

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    Hiérarchiser le risque:

    Volume d’eau stagnant susceptible de passer en circulation

    Caractère prévisionnel ou aléatoire de la remise en circulation

    Traitement préventif : stratégie & efficacité

    Le

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    20/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Durée de la stagnation

    Le

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  • Bras mort permanentPied de colonne

    Stagnation d’eauConception

    Le

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    21/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Eliminer le pied de colonneOU OU

    Prévoir une purge en points bas & vidanger régulièrementRisque plutôt faible si pas de remise en suspension des dépôts

    Pas de circulation d’eau Elimination des boues décantées

    Le

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    Stagnation d’eauConception

    Ex: Raccordement d’extrémité de tube à angle droit

    Le

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    22/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la sourcevu norme XP E 38-424- 2012

    D

  • Ex: Tuyauterie de contournement

    Vers distributeurs

    Vers bassin d’eau froide

    Vidange des points bas

    Stagnation d’eauConception

    Le

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    distributeurs d’eau froide

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    23/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la sourcevu norme XP E 38-424- 2012

    Eau chaude

    vanne

    Le

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    By pass

    Stagnation d’eauConception

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    24/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    � le mode de gestion dépend de la stratégie de traitement mise en oeuvre

    Le

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  • L’équilibrage de plusieurs tours

    Stagnation d’eauConception

    Le

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    25/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    � Très faible circulation = Risque faible� Gestion possible

    Le

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    Arrêt prolongéFormation de biofilmEx les pompes secours

    Stagnation faible volume d’eauau regard du volume d’eau circulante

    Le

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    Procédé

    à refroidir

    Pompes

    secours

    Risque fort

    Remise en serviced’un faible volume d’eau initialement à l’arrêt

    Le

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    26/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    à refroidir Risque fort si coïncide

    avec défaillance traitementL

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  • Arrêt prolongé

    Stagnation grand volume d’eauau regard du volume d’eau circulante

    Le

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    Procédé

    à refroidir

    Pompes

    secours

    Arrêt prolongéFormation de biofilm

    Remise en serviceprogramméed’un important volume d’eau initialement à

    l’arrêt

    Arrêt d’une tour

    Le

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    27/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    à refroidir

    Risque fortdans tous les

    cas

    l’arrêt

    Arrêt d’une machineLe

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    Essai ponctuelsEau stagnante

    Stagnation grand volume d’eauau regard du volume d’eau circulante

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    Procédé

    à refroidir

    Pompes

    secours

    Eau stagnante

    Remise en serviceprogramméed’un important volume d’eau initialement à

    l’arrêt

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    28/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    à refroidir

    Risque fortdans tous les

    cas

    l’arrêt

    Vers GE1 fois/mois ou 1 fois/sem

    Le

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  • Gestion du risque légionelle

    Légionelle et les installations à risqueLes systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients

    L'origine des légionelles dans l’installationL’arbre de défaillance : les facteurs de risque

    Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque)Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif)

    Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques)Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés) Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétation

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

    29/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

    o Type de Traitement

    � Curatif : action ponctuelle pour rétablir une dérive

    � Préventif: action permanente ou ponctuelle pour éviter une dérive

    � Correctif: action pour éliminer un facteur de risque

    Traitements Définitions

    � Correctif: action pour éliminer un facteur de risque

    o Effet

    � Rémanent: persistance du traitement sur une durée

    � Non rémanent: limité au lieu d’application

    o Action

    � Permanente: maintien d’une action dans la durée avec continuité

    Déf

    init

    ion

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    30/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    � Ponctuelle: action choc limitée dans le temps, sans continuité

    o Nettoyage : enlever des salissures, des dépôts

    o Désinfection: tuer des micro-organismes accessibles

    o Procédés chimiques ou physiques ou biologiques

  • Bilan hydrique: concentration et renouvellement d’eau

    EVAPORATION D’EAU

    Traitements

    Facteur deConcentration

    Salinité circuit/appoint

    ENTREES D’EAUD

    éfin

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    31/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    SORTIES D’EAU

    Temps de renouvellement de l’eau du circuit

    T1/2 = 0.7 V/P

    Air (aspiration)

    Entrées eau

    Le traitement de l’eau: facteur de risque possible

    Barrière Pare goutteNutriments

    MESµorganismes

    Désinfection

    continu

    Schéma Merchat M. & Ricordel F, Print, n°48, 2011

    DétectionLégionellesdans l’eau

    Biofilm

    Entrées eauAppoint, process…

    Tartre, Corrosion, Dégradation

    Matériaux

    Barrière Pare goutte

    Etat surface

    µorganismes

    Désinfection

    chocLutte biofilm

    Antitartre anticorrosion

    Effet tensio-actif

    + hydraulique

    Le

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    32/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Bras mortsSusceptible de recirculer

    Marche/arrêt

    Fonctions supports � Maintenance� Formation� Traitement d’eau

    Stagnationd’eau

    Conditions de mises en œuvre !!

    Le

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  • Procédés chimiques

    Produits Désinfectiondétruit les µorganismes

    Effet Tensio actif lutte contre biofilm

    si hydraulique adaptéePréconisations

    Biodispersant Biodétergent

    NON OUI

    PréventifEn permanenceCuratif protocolespécifique

    BO

    Dioxyde de chlore,Ozone, Electrolyse

    OUI OUIPréventifEn permanenceEn curatif (certains -Le

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    33/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Electrolyse En curatif (certains -� corrosion)

    autres OUI NON

    BNO OUI

    NON�ammonium

    quaternaire =

    effet légèrement TA

    Curatif Préventif (pour certains types

    d’installations)

    Le

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    Effet tensio-actifLutte contre le biofilm

    PHASE 1: phase « critique »

    - Nettoyage des surfaces- Contamination de l’eau circulante- Durée : plusieurs semaines

    Phase « stabilisé »

    - Lutte contre la reformation du biofilm- Maintien de l’épaisseur minimale

    Épaisseur de

    Biofilm

    - Durée : plusieurs semaines - Maintien de l’épaisseur minimale

    Le

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    34/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Temps

    Biofilm

    Début

    Effet tensioactifPHASE 1 PHASE 2

    maintient d’une épaisseur minimale seulement si effet permanent + hydraulique adaptée

    Le

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  • Procédés chimiques

    ► Les tensio-actifs

    Effet tensio-actifLutte contre le biofilm

    • les biodispersants

    • les biodétergents � formation de mousses possible

    ►Autres traitement à effet tensio actif

    • 3 Biocides oxydants : Dioxyde de chlore, Electro-chloration, Ozone• Enzymes …?L

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    35/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    • Enzymes …?

    Procédés physiques• Système Magnétique

    • Système Ultrason

    • …

    Le

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    DésinfectionProcédés chimiques : Biocides oxydants

    Injection de BO

    � Abattement de la matière organique: nutriments

    � Consommation du BO

    Biocide oxydant actif résiduel

    Le

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    Désinfection Effet tensio-actif(pour 3 BO seulement)

    Le

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  • DésinfectionProcédés chimiques : Biocides oxydants

    ExemplesChlore, Brome, Bromochlorodimethylhydantoine (BCDMH) ...Dioxyde de chlore, procédés par électrolyse…Dioxyde de chlore, procédés par électrolyse…

    Précautions d’utilisation Mesurer le résiduel (préventif ou curatif) Efficacité peut dépendre du pHRisque corrosion (+ ou – selon matériaux)

    CommentairesLe

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    CommentairesAnalysables sur site & en lignePrésence d’inhibiteur dans le flacons de prélèvements pour analysesPollution environnement (sous produits)

    Exemples:

    Le

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    DésinfectionProcédés chimiques : Biocides non oxydants

    La concentration efficace :

    - dépend de la molécule choisie (voir fiche technique)- dépend des conditions de pH et température- est injectée par rapport au volume du circuit

    80

    100

    % Efficacité

    ConcentrationefficaceSous dosage

    inefficaceSurdosageinutile

    - est injectée par rapport au volume du circuit

    Le

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    Concentration en biocide mg/l

    % Efficacité

    Le

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  • DésinfectionProcédés chimiques : Biocides non oxydants

    ExempleExemples: DiBromoNitriloPropionAmide (DBNPA), Isothiazolones,

    Glutaraldéhyde, Ammonium quaternaire, Glutaraldéhyde, Ammonium quaternaire,

    tetrakishhydroxymethylphosphonium sulfate (THPS)…

    Précautions

    � Vérifier l’injection (pas de mesure de résiduel) � Stabilité de la molécule dépend du pH� Interaction possible avec BO� Injection le plus rapide possibleL

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    39/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    � Injection le plus rapide possible

    Commentaires� Utilisation en curatif� Pollution (� en présence de BO)

    Le

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    DésinfectionProcédés Physiques

    o Désinfection � UV: si amont de la dispersion (pas de rémanence), encombrement

    � Température (sidérurgie…)� Température (sidérurgie…)

    o Effet combiné (désinfection + biofilm ) ?� Champs magnétique

    � Ultra sons

    � …

    Le

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  • Gestion du risque légionelle

    Légionelle et les installations à risqueLes systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients

    L'origine des légionelles dans l’installationL’arbre de défaillance : les facteurs de risque

    Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque)Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif)Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques)

    Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés) Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétation

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

    41/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

    Stratégie de traitement et risque

    Selon le type d’installationDésinfection en chocs

    préventif Réduction du biofilm Compaction biofilm

    Le

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    Curatif : BNO Curatif : BNOLes

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    42/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    BNOpréventif

    Hydraulique

    Curatif : BNO

    Hydraulique

    Curatif : BNOLes

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  • A noter: Protection du personnel

    o Protection contre l’exposition aux aérosolso Protection contre l’exposition aux aérosols

    � Masques adaptés aux travaux effectués

    o Protection contre les produits chimiques

    � Gants, lunettes, combinaisons étanche (usage unique), bottes si opération de nettoyage et désinfection.

    � Rince œil

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    o Signalisation

    Gestion du risque légionelle

    Légionelle et les installations à risqueLes systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients

    L'origine des légionelles dans l’installationL’arbre de défaillance : les facteurs de risque

    Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque)Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif)Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques)Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés)

    Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétationConclusion : sur le terrain 3 métiers

    44/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Conclusion : sur le terrain 3 métiers

  • Plan d’entretien & Plan de surveillance

    Air (aspiration)

    Entrées eau

    Barrière Pare goutte

    Implantation

    NutrimentsMES

    Plan de surveillance

    Traitement eau

    Observation

    Analyses

    Entretien

    Analyses

    Etat

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    DétectionLégionellesdans l’eau

    BiofilmBiofilmBiofilmBiofilm

    Entrées eauAppoint, process…

    Tartre, Corrosion, Dégradation

    Matériaux

    Barrière Pare goutte

    DésinfectionChoc

    Lutte biofilm

    Traitement eau

    Conception

    Qualité/ traitement eau Réduction OUCompaction

    Etat surface

    Analyses

    Analyses

    Analyses

    Analyses

    Enregistrement

    Vérification

    Le

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    45/54© M. Merchat Gestion risque légionelles & circuits TAR – si copie merci d’indiquer la source

    Bras mortsSusceptible de recirculer

    Marche/arrêt

    Fonctions supports � Maintenance� Formation� Traitement d’eau

    Conception

    Gestion

    Stagnationd’eau Circulation

    d’eau régulière

    Identification

    Etude & gestion

    Enregistrement

    Enregistrement

    Compétence

    Analyses

    Le

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    schéma d’après Merchat M. & Ricordel F, Print, n°48, 2011

    Indicateur de surveillance

    Un résultat de mesure

    Le

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    Une mesure = 1 prélèvement + 1 analyse

    Un résultat de mesure est un outil d'aide à la décision pour l'exploitant

    sous certaines conditions

    Le

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    fiabilitéreprésentativité

    pertinence

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

  • Lieu de prélèvement représentatif du risqueinfluence du type d’installation

    Circuit avec eausans contact direct

    Circuit avec eauen contact direct

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

    P

    A

    P

    A

    sans contact directavec le process

    en contact direct avec le process

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

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    PROCESSBASSINÉquipement

    à refroidir

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

    Représentativité Influence de la stratégie de traitement

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

    Biofilm compactou réduit en épaisseur

    Biofilm élastiquePas de gestion Le

    pla

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    rvei

    llan

    ce

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    ou réduit en épaisseurPas de gestion

    La contamination aléatoire de l’eau est issue du biofilmC’est pourquoi:

    • 2 prélèvements consécutifs peuvent être différents• Il faut 1 seul prélèvement divisé en deux pour comparaison

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

  • Les indicateurs biologiques… ce qu’ils mesurent

    Protozoaires

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

    Légionelles

    Germes36°C

    Algues

    …Culture

    CulturePCR

    Protozoaires

    amibes

    ciliés …

    ATP

    Le

    pla

    n d

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    rvei

    llan

    ce

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    Bactéries hétérotrophes

    BSR Germes22°C

    36°C

    …CulturePCR

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

    ATP: Adénosine triphosphate, molécule énergie des organismes vivantsPCR: Polymérase chaine réaction –méthode d’analyse du matériel génétique des légionelles

    Légionelles… détection de ses formes de vie

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

    PCR

    ?

    ?

    Viable cultivable

    Viable non cultivable

    Morte

    Intra amibes/ciliés

    Intra granules

    ?

    culture

    v PCR

    ?

    Le

    pla

    n d

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    rvei

    llan

    ce

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    PCR

    culture

    v PCR

    Corrélation difficile (voire impossible) entre les différentes méthodes d’analysesRisque légionelle: sous estimé ou sur estimé

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

  • Valeur cible - Valeur d’alerte - Action

    Identification des facteurs de risqueMicro-

    Organismesdans l’eau

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce Action mise en œuvre (barrière)

    Choix d’un indicateur

    Mesure de l’indicateur(méthode, fréquence)

    Définition d’une Valeur cibleValeur d’alerte ou seuil d’action : au-delà tout résultat constitue une dérive

    Temps

    Épaisseur du

    Biofilm

    EFFET

    TENSIO

    ACTIF

    Phase

    critique

    Phase

    stabilisée

    dans l’eau

    Le

    pla

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    rvei

    llan

    ce

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    Valeur d’alerte ou seuil d’action : au-delà tout résultat constitue une dérive

    Action curative en cas de dérive (procédure)

    Retour à la valeur cible

    Le

    pla

    n d

    e su

    rvei

    llan

    ce

    Gestion du risque légionelle

    Légionelle et les installations à risqueLes systèmes de refroidissement : avantages/inconvénients

    L'origine des légionelles dans l’installationL’arbre de défaillance : les facteurs de risque

    Le plan d’entretien : mise en œuvre des barrières (gestion du risque)Définitions (nettoyages, désinfection, curatif, préventif, correctif)Les différents procédés (physiques, chimiques, biologiques)Les stratégies de traitement (mode d’utilisation des procédés)

    préventif, curatif, installation en service et à l’arrêtLe plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétation

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    Le plan de surveillance : les indicateurs et leur interprétationConclusions

  • Air (aspiration)

    Entrées eau

    Gestion du risque légionelle: les intervenants

    Barrière Pare goutteNutriments

    MES

    Traiteurs d’eauGestionnaire techniqueUtilisateur de l’installationOrganismes autres…

    Schéma Merchat M. & Ricordel F, Print, n°48, 2011

    DétectionLégionellesdans l’eau

    Biofilm

    Entrées eauAppoint, process…

    Tartre, Corrosion, Dégradation

    Matériaux

    Barrière Pare goutte

    Etat surfaceC

    on

    clu

    sio

    ns

    Organismes autres…

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    Bras mortsSusceptible de recirculer

    Marche/arrêt

    Fonctions supports � Maintenance� Formation� Traitement d’eau

    Stagnationd’eau

    Conclusion: gestion du risque légionelle = 1 métier

    MainteneurMainteneurGestionnaire technique

    Exploitant Production

    Traiteur d’eau

    Co

    nc

    lus

    ion

    s

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    ☺= Gestion risque légionelle☺ Nécessité d’intégrer toutes les données