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Dimanche 19 Février 2017 A la chasse aux Pokémon > Lire en page 5 Thierry Homberg, directeur de l’agence naborienne Pôle emploi, fait le bilan du 3 e trimestre 2016 pour le bassin de Forbach - Saint-Avold : le chômage est en baisse. Notamment parce que des secteurs recrutent comme celui de la restauration. Mais les candi- dats sont rares. Michaël Garni de Mets envies dresse décrit le métier. > Les articles d’Olivia Fortin en page 4 EMPLOI Saint-Avold : le chômage en baisse Photo RL Les D3E (ou DEEE) sont des déchets d’équipement électri- ques et électroniques qui fonctionnent avec une pile, une batterie ou une prise de courant. « Depuis 2012, la perfor- mance de collecte des D3E ne cesse d’augmenter en déchetterie de Boulay », indique le Sydeme. > En page 6, les articles de Nicolas Thiercy Recyclage électronique : au top ! BOULAY-MOSELLE Photo archives RL GUINGLANCE Le monde agricole traverse une grave crise économique. Pourtant, Florent Dory de Guinglange est un paysan qui cultive un optimisme bienfaiteur. Il voit « le verre à moitié plein » tout en gardant la tête sur les épaules et les pieds bien ancrés dans sa terre nourricière. En plus d’être céréalier, l’homme entretient près de 5 000 pommiers. > En page 2, les articles d’Odile Boutserin Les 5 000 pommiers du céréalier Photo Thierry Sanchis Pour la première fois, les pigeons seront absents du Salon de l’agriculture à Paris, pour limiter les risques de grippe aviaire. Dans la région, même si aucune mesure de restriction n’a été prise, les éleveurs sont vigilants et prennent toutes les dispositions pour anticiper toute contamination. > En page 2, l’article de François Pradayrol Grippe aviaire : vigilance autour des pigeons Photo Archives RL

GUINGLANCE EMPLOI Les 5 000 pommiers du céréalier · Underworld-Blood Wars : à 18 h et 20 h 30. Méga Kiné à Freyming-Merlebach A cure for life : à 15 h 15, 18 h et 21 h. Alibi

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Page 1: GUINGLANCE EMPLOI Les 5 000 pommiers du céréalier · Underworld-Blood Wars : à 18 h et 20 h 30. Méga Kiné à Freyming-Merlebach A cure for life : à 15 h 15, 18 h et 21 h. Alibi

Dimanche 19 Février 2017

A la chasse aux Pokémon> Lire en page 5

Thierry Homberg, directeur de l’agence naborienne Pôle emploi,fait le bilan du 3e trimestre 2016 pour le bassin de Forbach -Saint-Avold : le chômage est en baisse. Notamment parce que dessecteurs recrutent comme celui de la restauration. Mais les candi-dats sont rares. Michaël Garni de Mets envies dresse décrit lemétier.

> Les articles d’Olivia Fortin en page 4

EMPLOI

Saint-Avold : le chômage en baisse

Photo RL

Les D3E (ou DEEE) sont des déchets d’équipement électri-ques et électroniques qui fonctionnent avec une pile, unebatterie ou une prise de courant. « Depuis 2012, la perfor-mance de collecte des D3E ne cesse d’augmenter en déchetteriede Boulay », indique le Sydeme.

> En page 6, les articles de Nicolas Thiercy

Recyclage électronique : au top !

BOULAY-MOSELLE

Photo archives RL

GUINGLANCE

Le monde agricole traverse une grave crise économique. Pourtant, Florent Dory de Guinglange est un paysan quicultive un optimisme bienfaiteur. Il voit « le verre à moitié plein » tout en gardant la tête sur les épaules et les piedsbien ancrés dans sa terre nourricière. En plus d’être céréalier, l’homme entretient près de 5 000 pommiers.

> En page 2, les articles d’Odile Boutserin

Les 5 000 pommiers du céréalier

Photo Thierry Sanchis

Pour la première fois, les pigeons seront absents du Salon de l’agriculture à Paris, pour limiter les risques de grippe aviaire. Dans la région, même si aucune mesure de restriction n’a été prise, les éleveurs sont vigilants et prennent toutes les dispositions pour anticiper toute contamination.

> En page 2, l’article de François Pradayrol

Grippe aviaire : vigilance autour des pigeons

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Page 2: GUINGLANCE EMPLOI Les 5 000 pommiers du céréalier · Underworld-Blood Wars : à 18 h et 20 h 30. Méga Kiné à Freyming-Merlebach A cure for life : à 15 h 15, 18 h et 21 h. Alibi

Temps forts en Moselle-EstDimanche 19 Février 2017 SRG 21

le chiffre

La Sarre aussi est lancée dans unecampagne électorale. Seize partis

et groupements sont en lice le26 mars lors des élections pour leLandtag, le parlement du land deSarre. Associées depuis cinq ansdans une grande coalition CDU-

SPD, la ministre-présidente Anne-gret Kramp-Karrenbauer (CDU) etsa vice-présidente Anke Rehlinger

(SPD) sont redevenues rivalesdans cette campagne au

scrutin proportionnel.

16sarrebruck

Mi-femme mi-poisson, la sirène a ins-piré bien des légendes et bien des con-tes. Deux piscines de Sarrebruck propo-sent une approche lud ique duphénomène lors de stages d’initiationd’une journée pour enfants de 8 à 12ans. La queue de sirène avec palmeunique est louée sur place. La séance setermine par une photo-souvenir sousl’eau. Toute l’activité se déroulant en eauprofonde dans les piscines couvertes deDudweiler et d‘Altenkessel, ces stages nes’adressent qu’aux enfants bonsnageurs.

www.saarbruecker-baeder.deUne initiation est proposée aux 8/12 ans.

Photo : Landeshauptstadt Saarbrücken

Nager comme une sirène

l’insolite

La Sarre se prépare aux grandescavalcades du Rosenmontag et ne

peut ignorer ce qui s’est passé àNice et à Berlin.

À Sarrebruck-Burbach et à Neun-kirchen où ont lieu les deux prin-

cipalesmanifestations, les rues d’accès

seront bloquées. Des blocs debéton ainsi que des camions pla-

cés en travers de la routedoivent empêcher toute intrusion

terroriste par véhicule. La pré-sence policière, en uniforme et en

civil, sera intensifiée.

La sécurité descavalcades

De janvier à mi-mars, Florent Dorypasse la majeure partie de son temps àtailler ses milliers de pommiers plantés

sur 5 ha 72. Photo Thierry Sanchis

Florent Dory, fils et petit-fils de paysan,exploite une ferme de 154 ha perdueau milieu de la nature, à mi-chemin

entre Fouligny et Guinglange. Exactementau lieu-dit Vitrange. « Autrefois, il y avaitun hameau ici », fait savoir l’agriculteur.En 1870, on comptait 72 habitants.Aujourd’hui, une seulefamille – la sienne- vit aumilieu des champs, prai-ries et non loin d’un ver-ger de… 5 000 pommiers ! Lessiens depuis 26 ans. « Jen’ai jamais fait d’élevagesur mon exploitation, uni-quement des céréales », situe-t-il. Colza,blé, orge, pois, féveroles, maïs, tournesol,lin oléagineux… L’idée de tester de nouvel-les cultures a toujours été « un carbu-rant », explique le paysan, curieux d’enapprendre toujours plus sur les plantes.

Pourquoi la pomme alors ? « Dans lesannées 80, le conseil général souhaitaitrelancer la culture fruitière dans le départe-ment et notamment la mirabelle. Je ne mevoyais pas planter des mirabelliers sachantque la récolte tombe en pleine moisson.

Mais je n’ai pas pour autant abandonnél’idée des arbres fruitiers. » L’occasion seprésente en 1990. Réa cherche des pro-ducteurs de pommes à jus, assure leurformation arboricole et un suivi des cultu-res pendant cinq ans. « C’était motivant ! », qualifie Florent

pour justifier la nou-velle activité qui secale aisément dans lecalendrier des travauxà la ferme. Plus de cinqhectares de céréalessont transformés enun verger de pommiers« à raison de 930

arbres par hectare, laissant suffisammentde place entre les rangs pour faire passermes machines ». Au bout des branches,neuf variétés de pommes à jus, rustiques,acidulées, moins sensibles que les fruitsde table. De janvier à mi-mars, le paysans’affaire à la taille des arbres. Puis vient leprintemps, la floraison, les potentiellesgelées ravageuses… « La particularité desneuf variétés de pommiers est qu’ellesfleurissent à quinze jours d’intervalle.Donc, avec un peu de chance, on a tou-

jours une récolte. » Mais le printemps estaussi propice au développement des mala-dies. « Entre le 20 mars et le 20 juin, noussurveillons de près nos arbres pour inter-venir rapidement si le carpocapse (larve depapillon) ou la tavelure (champignon) sedéveloppe sur les jeunes pousses. » Flo-rent sort alors le pulvéri-sateur pour traiter auplus vite. « Nous ne fai-sons que cinq à sept trai-tements à l’année etusons aussi de la bouilliebordelaise », insiste-t-ilcomme pour faire taireles détracteurs, « les gens ne s’imaginentpas combien tout ce que nous faisons estcontrôlé et bien cadré ! ». Puis arrivel’automne, le temps de la récolte destinéeà une coopérative fruitière de Sarre-Union,Jucoop. « À partir d’octobre et pendanttrois semaines, trois saisonniers nousaident à ramasser mécaniquement et àtrier manuellement trente tonnes de pom-mes l’hectare les meilleures années, huittonnes, les mauvaises saisons. Ce n’estqu’à partir de 19 tonnes que je commenceà gagner de l’argent sachant que le prix

fluctue de 75 € à 140 € la tonne. » Des prixqui contrarient et titillent la fibre syndicalede Florent Dory. « Pour la troisième année,on subit les conséquences de l’embargoentre la Russie et la Pologne, plus grosproducteur de pommes. Comme les Polo-nais ne peuvent plus vendre leur produc-

tion aux Russes, ils per-ç o i v e n t u n ec o m p e n s a t i o n d el’Union européennemais continuent malgrétout à inonder le mar-ché avec leurs fruitsd’où une baisse du prix

fixé au producteur. Je n’ai rien contre cesgens-là qui font leur travail. C’est au sys-tème et à Bruxelles que j’en veux ! ».Contrairement au blé qui peut être stockéet vendu au bon moment et à un bon prix,« les pommes doivent être cédées au plusvite car ce sont des produits périssables.Les acheteurs nous font bien comprendreque c’est à prendre ou à laisser. Je ne mevois pas laisser pourrir mes pommes sousl’arbre ! ».

Odile BOUTSERIN.

AGRICULTURE guinglange

Du jus pour booster le paysan

« Je ne me voyais pas planter des mirabelliers sachant que la récolte

tombe en pleine moisson ».

Le monde agri-cole traverse une

grave crise économique.

Pourtant, nous avons rencontré un paysan qui cultive un opti-misme bienfai-teur, qui voit

« le verre à moi-tié plein » tout engardant la tête

sur les épaules et les pieds bien ancrés dans sa

terre nourricière. En plus d’être

céréalier, il entre-tient près de

5 000 pommiers.

Il y a quelques semaines,Florent Dory a pris la suc-

cession de Michel Zim-mermann à la tête de la

FDSEA (syndicat agricole)pour le canton de Faul-quemont-Créhange. Le

céréalier de Guinglange aaccepté le poste « car

mon mandat de vice-pré-sident à la coopérative de

jus de fruits Jucoop deSarre-Union est arrivé à

terme. Je suis plus dispo-nible pour prendre cesnouvelles responsabili-

tés ». Florent n’est pas unnovice dans le syndica-lisme. « Il y a 35 ans en

arrière, mon père étaitdéjà président cantonal.

Nous avons toujours étécotisants que ce soit pourles Jeunes agriculteurs oula FDSEA. » Dans un pre-mier temps, le président

s’est donné pour missionde « rassembler les pay-

sans plutôt que de les diviser »,

de renouer avec le dialo-gue, « il faut que les gens

se parlent et se comprennent pour poser

des fondations et agirensuite… ».

À noter que Florent Doryest également vice-prési-

dent de la Fredon Lorraine(Fédération régionale dedéfense contre les orga-

nismes nuisibles) quiœuvre pour la santé desvégétaux et la préserva-tion de l’environnement

(surveillance, diagnostic,lutte, conseil phytosani-

taire).

l’info en plus

Après le père, le fils

«Ce n’est qu’à partir de 19 tonnes que je commence à gagner

de l’argent ».

Le Paris à ForbachCinquante nuances plus som-

bres : à 14 h, 17 h et 20 h 30.Lego Batman : à 14 h et 18 h.Raid dingue : à 16 h et 20 h

30.Rock’n’roll : à 14 h, 17 h et

20 h 15.Tempête de sable : à 16 h.Tous en scène : à 14 h.Underworld-Blood Wars : à

18 h et 20 h 30.

Méga Kiné à Freyming-MerlebachA cure for life : à 15 h 15, 18 h

et 21 h.Alibi. com : à 11 h 15, 13 h 45,

15 h 45, 18 h, 20 h et 22 h.L’empereur : à 11 h 15,

13 h 30, 15 h 45 et 18 h.Rock’n ‘roll : à 11 h 15,

13 h 45, 16 h 15, 19 h 45 et22 h 10.

Underworld blood wars : à 13 h 45 et 20 h ; en 3D à 11 h 15, 15 h 45 et 22 h.

Cinquante nuances plus som-bres : à 11 h 15, 13 h 45, 16 h 15, 19 h 45 et 22 h 10.

Lego batman : à 11 h 15, 13 h 40 et 17 h 45 ; en 3D à15 h 45.

Seuls : à 13 h 45.Le cercle rings : à 15 h 45, 20 h

et 22 h.Raid dingue : à 11 h 15,

13 h 40, 15 h 50, 17 h 45, 20 h et 22 h 10.

Sahara : à 11 h 15, 13 h 45 et 18 h.

L’Ascension : à 20 h et 22 h 10

Tous en scène : à 11 h 15, 13 h 40 et 17 h 45. En 3D à 15 h 45.

Corniche kennedy : à 11 h 15 et 18 h.

Il a déjà tes yeux : à 20 h et 22 h.

XXX Reactivated : à 20 h et 22 h 10.

Forum à SarregueminesAlibi. com : à 11 h, 13 h 45,

17 h 45 et 20 h.Rock’n roll : à 11 h, 13 h 45,

17 h 30 et 20 h.Underworld : blood wars : à

16 h et 20 h.L’empereur : à 11 h, 13 h 45,

17 h 45 et 20 h.Cinquante nuances plus som-

bres : à 11 h, 14 h, 16 h 30,et 20 h.

Seuls : à 17 h 45.Lego Batman : à 11 h, 13 h 45

et 15 h 45.Raid Dingue : à 11 h, 13 h 45,

15 h 45, 17 h 45 et 20 h.Le cercle rings : à 20 h.Sahara : à 13 h 45.La La Land : à 20 h.Tous en scène : à 11 h,

13 h 45, 15 h 45 et 17 h 45.Un sac de billes : à 15 h 30.Il a déjà tes yeux : à 15 h 45.Mascha et Mischka : à 11 h et

15 h 45.Fleur de tonnerre : à 17 h 45.

Salle Truffaut à Saint-AvoldRaid dingue: à 17 h.

CINÉMAS

La Société d’Histoire du Pays Naborien orga-nise une conférence sur le thème « La ligneMaginot entre Rosselle et Sarre » le vendredi24 février à 20h à la salle des congrès. Dans cetteconférence, Philippe Keuer posera son regardsur des événements qui, bien qu’encore à portéede mémoire, n’ont pas tenu une grande placedans la mémoire collective.

Il évoquera l’histoire de laligne Maginot dans notrerégion à travers deux secteursvoisins, mais très différents : lesecteur fortifié de Faulquemontet le secteur défensif puis forti-fié de la Sarre. Le premier étaitdoté de ce qu’il y avait de plusmoderne en matière de fortifi-cation, c’est-à-dire des ouvrages souterrainsfaits de béton et d’acier, et le second était forméd’un système de défense reposant sur l’eau.

Le conférencier présentera les troupes deforteresse venues s’implanter au coeur de noscampagnes, qui connaîtront des conditions devie très différentes selon qu’ils servaient dansles ouvrages ou dans les intervalles de la ligneMaginot.

Ces fortifications et cette présence militairescelleront au milieu des années 30 le destin denotre région en la transformant en champ debataille préparé. Philippe Keuer évoquera égale-ment les milliers d’autres soldats venus occuperla ligne Maginot après la déclaration de guerrede septembre 1939 en insistant sur la place

tenue par la ligne Maginot pen-dant la drôle de guerre et sadestinée lors des événementsde mai et juin 1940.

Philippe Keuer est actuelle-ment coprésident de l’associa-tion des Amis du Pays d’Albe(Sarralbe) et secrétaire del ’ a s soc i a t ion Ascomemo(Hagondange).

Il a rédigé avec Philippe Wilmouth le livre Labataille du 14 juin 1940 dans la Trouée de laSarre (Fensch Vallée Editions 2007) et il estl’auteur du hors-série De la Trouée de la Sarre…à l’opération Tiger (Association des Amis duPays d’Albe, juin 2016). Il exerce aussi lafonction de guide sur le circuit « Route de laLigne Maginot Aquatique entre Sarralbe etHoste ».

PATRIMOINE à saint-avold

La ligne Maginot entre Rosselle et Sarre

Philippe Keuer, spécialiste de la Ligne Maginot. Photo Archives RL

« Ces fortifications et cette présence militaire scelleront le destin de

notre région en la transformant en champ de bataille préparé ».

Le symbole est fort et provo-que des interrogations.

Pour la première fois, lespigeons ne seront pas pré-sents au Salon de l’agriculturede Paris, qui commence leweek-end prochain. En cause,le principe dep r é c a u t i o nappliqué face àla menace degrippe aviairequi touche déjàles volailles.

Malgré tout,l’heure n’est pas à l’alarmismedans la région : « Les mesuresde restriction ne concernentpas les pigeons pour lemoment », explique RémiGrosz, président du Pigeon-club du bassin houiller deLorraine, et qui possède unélevage à Freyming-Merle-bach. « Et de toute façon,nous qui faisons de l’élevagebeauté, pour les concours, lespigeons sont quasiment tousconfinés dans les volières. Cela limite automatiquement

le risque. » Pour ceux qui dou-teraient encore, le spécialisteajoute : « Nos élevages sonttous très bien tenus, avec unehygiène impeccable. Surtout,nous ne rencontrons pas deproblèmes de surpeuplement,

propices àla propaga-tion de lamaladie. »

N é a n -moins, pasquestion dese laisser

aller pour autant et de secroire totalement à l’abri.« Nous restons très vigilants.Nous donnons de nombreuxconseils lors de nos réunionset des expositions. Nousessayons de sensibiliser aumaximum, en suggérantnotamment de limiter lesdéplacements et les échan-ges », conclut Rémi Grosz. Dequoi envisager les prochainesexpositions avec sérénité.

François PRADAYROL.

AGRICULTURE bassin houiller

Grippe aviaire : pigeons sous surveillanceMême si aucune mesure de restriction n’a été prise concernant les pigeons sur le secteur, la vigilance reste de mise face au risque de grippe aviaire.

Rémi Grosz, président du Pigeon-club du bassin houiller deLorraine, se veut à la fois attentif et rassurant. Photo Archives RL

« Nous donnons de nombreux conseils lors de nos réunions

et des expositions. »