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Pour recevoir gratuitement ce bulletin d’information, Il vous suffit de en vous inscrire à notre liste de diffusion : En envoyant un courriel vide à : [email protected] Vous pouvez nous contacter à : Mouvement national républicain B.P. 10008 93161 NOISY-LE-GRAND CEDEX Tél.:09.51.45.84.93
Les informations retransmises dans ce bulletin le sont sous la responsabilité exclusive de leurs auteurs et ne sauraient engager la responsabilité du Mouvement National Républicain. L’opinion des auteurs ne coïncide pas forcément avec la position du MNR
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Hebdo GRATUIT diffusé par internet Adresse courriel : [email protected] Mise en page : Francis BOCQUILLET
Editorial : L’autre scénario en épisodes L’autre scénario, pour la France et l’Europe, écrit en 2006 par Bruno MEGRET, est toujours d’actualité, c’est pourquoi, avec son accord, j’ai décidé de publier, un épisode chaque semaine, sur cet Hebdo. En voici une brève présentation : Aujourd’hui, la France semble comme ankylosée, paralysée. Elle subit dans la douleur les chocs d’une mondialisation incontrôlée et s’enfonce dans le marasme et le fatalisme. Pourtant, notre pays ne manque ni de talent, ni d’énergie, mais étouffé par une pensée archaïque, il est de surcroit soumis à des politiciens qui n’ont plus de pouvoir et qui vivent sur des idées fausses. La classe politique, enfermée dans ses certitudes d’un autre siècle, est en fin de cycle, nous vivons la fin d’une époque. C’est pourquoi tout devient possible et, dans ce livre, Bruno Mégret apporte une vision nouvelle de l’avenir de notre nation. Il offre à notre peuple des perspectives d’action audacieuses en réponse aux défis du siècle qui s’ouvre. Jetant les bases d’une politique de puissance française et européenne, il propose un autre scénario pour donner enfin un espoir aux Français. Sortant des schémas passéistes, cet ouvrage fondateur inscrit le combat de la droite de conviction à l’avant-‐garde de la modernité. Je vous invite donc à suivre chaque semaine, un chapitre de ce livre passionnant, facile à lire et à comprendre, qui j’en suis sûr recevra votre approbation. Faites le lire à vos amis et vos proches, afin qu’ils sachent, que des solutions existent en dehors des propositions faites par tous les partis qui se répandent dans les médias à longueur de journée et qui n’ont que pour but de se faire élire ou réélire, non pas dans l’intérêt des Français, mais pour en tirer les dividendes à titre personnel. Aidez le MNR à faire connaître ses solutions, pour que la France redevienne une nation forte dans une Europe puissante. Francis Bocquillet
Sommaire Editorial : L’autre scénario en épisodes
1. PSA ferme une usine mais l'État achète des Ford et des VW
2. Une protestante ouzbèke condamnée 3. Islam défini comme une religion : piège à
bouffons ! 4. «L'islam n'est pas une religion de paix, de
tolérance et d'amour» 5. Le sens d’un suicide ? 6. De l'offensive de l'islam aux révoltes européennes 7. Une candidate Front de gauche aux législatives
rejoint le FN 8. M. Hollande ne comprend rien aux guerres
idéologiques du XXIe siècle 9. Pour limiter les tensions avec les musulmans 10. Les apprentis-sorciers du mondialisme… 11. L’Education nationale française n’a pas évolué 12. Qatar : que vivent les chrétiens ? ������ 13. Quel est l’impact de la mondialisation et… 14. Quand Manuel Valls se prend pour Bachar el-
Hassad ! 15. UMP : 53% des sympathisants donnent raison à
G. Peltier 16. L’islam au Japon, jubilatoire 17. L’OCCIDENT COMPLIQUE face à L’ISLAM
(II) 18. La police abat un voleur armé d’un couteau 19. Code civil, pénal ou code coranique et pénien ? 20. Le pape François et les « racines chrétiennes de
l’Europe » 21. Bordeaux : Des catholiques insultés à la sortie de
la messe 22. Du champagne pour prévenir la maladie
d'Alzheimer ? 23. Premier épisode du livre de Bruno MEGRET
N°53 – 31 Mai 2013
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PSA ferme une usine mais l'État achète des Ford et des VW Par France Presse Infos - Le Gaulois
Absolument stupéfiante cette information est restée confidentielle jusqu’à ce qu’une « Brève » d'"Auto Plus" la révèle. En 2013, la Police française va largement renouveler sa flotte avec des Ford et des Volkswagen, au moment même où PSA annonce la fermeture d'Aulnay pour 2014 ! L'État achète à l'étranger ! On croit rêver ou plutôt cauchemarder ! Ford vient en effet de remporter un appel d'offre de 1.400 véhicules (des Focus et des C-Max) qui
vont remplacer les Renault Mégane et Scénic (fabriquées à Douai) pour les véhicules officiels de la Police. Et Hollande continue de prétendre qu’il redresse l’économie française ! Volkswagen a également remporté un autre marché, au détriment de Citroën cette fois-ci, puisque les cadres de la Police et de la Gendarmerie rouleront en Passat, des volumes qui auraient pu être utiles au site de Rennes menacé. Ce n'est pas une première puisque Ford avait déjà gagné un gros marché pour la Police il y a dix ans, qui avait déjà ému l'opinion publique. Bien sûr, le directeur adjoint des achats de l'UGAP (Union Générale des Achats Publics), la centrale d'achat de l'État, affirme que la très grande majorité des véhicules achetés par l'État viennent de nos constructeurs nationaux. Mais une telle décision fait désordre alors que PSA vient d'annoncer la fermeture de l'usine d'Aulnay. Pire, alors que le marché automobile va très mal dans toute l'Europe ainsi qu'en France, le gouvernement étudie un projet de « super-malus » qui pourrait lourdement pénaliser les véhicules produits à Rennes et Douai (usines spécialisées dans les véhicules les plus imposants de nos constructeurs). Bref, on voudrait provoquer la fermeture de deux usines automobiles de plus que l'on ne s'y prendrait pas différemment, par-delà les gesticulations d'Arnaud Montebourg. À quoi sert le gouvernement ? C'est bien la question que l'on est amené à se poser aujourd'hui. Arnaud Montebourg donne de sa personne mais on se demande bien à quoi il sert. D'ailleurs, il dit être du côté des syndicats, comme s'il en était réduit à n'être qu'un soutien impuissant des salariés sans le moindre moyen. Bref, le gouvernement ne peut pas protéger les usines nationales des importations ou des délocalisations. Il ne peut pas intervenir dans les choix des multinationales, même quand il est actionnaire (rappelons ici que Renault ne produit plus que 23% de ses voitures en France, contre 44% pour PSA). Il est temps qu'Arnaud Montebourg passe des beaux discours aux actes. Il devrait au minimum imposer à nos administrations qu'elles achètent français. Au moins un pourcentage obligatoire. Pour sa part, toute la Police allemande roule en Mercédès ! Une protestante ouzbèke condamnée à 18 mois de travaux forcés pour détention de littérature chrétienne Le 26 05 2013
Sharofat Allamova, une protestante ouzbèke de la ville d’Urgench (nord-ouest de l’Ouzbékistan) a été condamnée à 18 mois de camp de rééducation par le travail par un tribunal d’Urgench sous l’accusation de « production, stockage, importation et diffusion de littérature religieuse prohibée » – en l’occurrence de la documentation chrétienne. Les autorités de cette satrapie orientale officiellement laïque mais à 90 % musulmane, est très “pointilleuse” sur tout ce qui touche à la religion… Sharofat Allamova est en outre interdite de quitter le pays et ne peut se déplacer en
Ouzbékistan qu’avec des autorisations administratives. Elle a fait appel de sa condamnation. Il faut qu’elle s’estime heureuse car ce que lui a dit l’officier des services secrets qui l’a interpellée c’est « que des gens comme elle devraient être rassembler en un endroit et brûlés »… Source : Forum 18 News Service (Norvège)
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Islam défini comme une religion : piège à bouffons ! Par René Marchand Licencié de langue et littérature arabes. En France, le statut des religions est défini par la loi de 1905, dite loi de séparation des Églises et de l’État. En son article premier, ce texte précise : « La République assure la liberté de conscience ». C’est dire très clairement que la République ne saurait accorder le statut de religion (église, culte…) à une idéologie ou une organisation qui ne reconnaît pas la liberté de conscience. En conséquence, l’islam ne peut être défini comme une religion : il est interdit à un musulman de quitter l’islam (au Maroc, les oulémas, sous l’égide du roi, viennent de rappeler
que « l’apostat » est condamné à mort) ; l’enfant d’un mâle musulman est musulman et, à ce titre, il ne peut, lui non plus, renoncer à l’islam ; la fille d’un musulman n’est pas autorisée à épouser un non-musulman… Les textes qui fondent et réglementent l’islam, ainsi que la législation et la pratique des cinquante-sept pays réunis au sein de l’Organisation de la coopération islamique – l’ONU de l’islam – sont sans ambiguïté. Alors pourquoi, dans notre pays, les instances juridiques (à commencer par le Conseil constitutionnel), les pouvoirs publics, les hommes politiques, les grands référents chrétiens et juifs, les intellectuels, les journalistes… se satisfont-ils d’une définition sans fondement ? Ignorance ? Ethnocentrisme de l’ancien dominant qui a plaqué sur une réalité extérieure à sa civilisation et à sa langue un concept totalement inadéquat ? Certainement, mais aussi dérobade devant la difficulté de traiter un problème « sensible ». On voit les avantages que les musulmans, repartis au siècle dernier à la conquête de l’Europe, retirent de la définition de l’islam-religion. Arguant de nos principes, qu’ils méprisent superbement, et en usant des ressources de la subversion (la taqiyya), les taupes implantées chez nous ne cessent de demander des « accommodements raisonnables », des mosquées dénommées pudiquement « lieux de prière »… et interdisent toute critique de leur doctrine et du comportement de leurs fidèles. Leurs revendications ne cesseront qu’après la disparition de notre civilisation – une échéance qui ne fait aucun doute pour eux, parce que décidée de toute éternité par Allah, et dont chaque musulman doit hâter la réalisation par tous les moyens : aujourd’hui la taqiyya, demain, si nécessaire, la violence armée. Le piège est mortel ! Le peuple l’a détecté et, de plus en plus inquiet, il attend une réaction de ses dirigeants, comme le montrent les sondages. Il est clair que, désormais, les citoyens électeurs répartiront leurs voix en jugeant les hommes et les formations, certes sur leur capacité présumée à résoudre la crise économique et financière, mais au moins autant sur leurs déclarations et leurs actes face à l’offensive islamique. C’est là une nouvelle donnée de notre vie politique. Quel parti, devenu réaliste, au moins par intérêt, saura en tirer avantage ? Pour l’heure, à gauche et à droite, on joue les autruches et les Gribouilles. «L'islam n'est pas une religion de paix, de tolérance et d'amour» (Michel Onfray) Le philosophe français Michel Onfray parle de l'islam dans ses textes : le coran, les hadiths et la sira (biographie de Mahomet). Le 18 octobre sur la chaîne française LCI : À ceux qui voudraient répondre en citant certains passages de l’ancien testament pour démontrer qu’il n’y a pas moins de violence dans la bible et, qu’en dernière analyse, tout est dans l’interprétation des textes sacrés, lire cette chronique d'Hélios d'Alexandrie : L'islam et la sanctification de la violence. Voici la conclusion de sa chronique bien étayée : «La violence islamique se distingue nettement des autres violences religieuses par le fait qu’elle ne peut être dissociée de la divinité qui l’ordonne, qui la sacralise et qui en fait la voie la plus sûre du salut. Le jihad est indissociable de la foi en Allah, la terreur est son instrument de conquête privilégié. Le musulman qui s’engage dans le jihad doit tout faire pour instiller la terreur dans le cœur du non-musulman, c’est par la terreur que l’islam conquiert et se répand. Les musulmans d’aujourd’hui sont les descendants de ceux qui jadis ont cédé à la terreur islamique, ils ont embrassé la religion des envahisseurs pour sauver leur vie et épargner à leurs proches l’horreur de l’esclavage. Quelques générations plus tard les vaincus se sont mués en clones de leurs vainqueurs, et ils ont à leur tour asservi d’autres peuples de la même façon que leurs pères ont été asservis. L’arbre de la terreur et de la tyrannie a été planté il y a quatorze siècles, depuis, l’humanité n’a cessé de récolter ses fruits empoisonnés. Les musulmans sont prisonniers du coran et de la violence dont il est rempli ; ils ne peuvent embrasser sincèrement la paix, la tolérance et le bon voisinage sans renier, en tout ou en partie, leur croyance ; s’ils lui restent fidèles, deux choix s’offrent à eux : se soumettre en silence aux extrémistes ou se joindre résolument à eux.»
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LE SENS D’UN SUICIDE ? 22 Mai 2013 par Ch. Vanneste .Président du RPF « Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie. » écrivait Albert Camus au début du Mythe de Sisyphe. Le suicide de Dominique Venner hier renvoie à cette introduction célèbre. Mais son écho est multiple. Mort d’un vaincu fasciné et comme attiré par les défaites ? Drieu La
Rochelle ? Nostalgique d’un ordre ancien offrant sa mort en sacrifice ritualisé à ceux dont ils espère le réveil et la renaissance ? Mishima ? Vieil homme fatigué d’une vie vidée de toute espérance ? Montherlant ? Vengeance de celui qui, déçu par l’ Eglise (et non la religion) et par la Nation auxquelles il a trop cru, va volontairement souiller un des plus hauts lieux symboliques de l’une et de l’autre ? Cet acte a un caractère exceptionnel qui le fait échapper à la sociologie mais dont il faut chercher la signification politique. C’est la notion de sacrifice qui paraît le mieux rendre compte de la démarche. Au bout d’une vie consacrée à des combats sans issue, à la mémoire blessée d’un passé idéalisé et aux soldats perdus de toutes les causes vaincues par la marche de l’histoire, cet homme a jeté sa mort au visage d’un pays dont le devenir lui était insupportable. Il l’a fait le jour du triomphe du lobby gay, qui avait commencé par de nouvelles sottises de Bergé, contre la liberté de conscience cette fois, s’était poursuivi par l’annonce élogieuse du dernier film de Soderbergh et devait s’achever par la « fête » à la Bastille, célébrant la promulgation de la loi. Il l’a fait à Notre-Dame de Paris pour toucher l’un des lieux les plus représentatifs de l’identité française. Il y a de la vengeance dans cette mort ambivalente qui est un reproche violent adressé à tous ceux qui laissent couler la France et aussi un appel au réveil d’un pays qui ne cesse de tomber. L’évènement a mis mal à l’aise les partisans de la loi, et n’a pas atteint ceux à qui le message était sans doute destiné : ceux, « à droite » dont l’imposture et les calculs électoraux sont chaque jour plus visibles. Entre ce cri lancé aux « consciences assoupies » et l’injonction de Bergé aux consciences pour qu’elles se soumettent à la loi, le respect ne peut se partager. Il penche évidemment vers Antigone, vers le coeur rebelle à la médiocrité et au renoncement, vers celui qui pense qu’il y a une Loi supérieure à la loi. Celle de Dominique Venner, qui ne croyait pas au ciel, n’était pas divine, mais elle avait sans doute la force de la nature et de la vie, celle des peuples qui ne veulent pas mourir. C’est pourquoi il mêle assez justement l’idée de la sauvegarde de la famille traditionnelle qui est le support naturel de la vie et de sa transmission à celle de la défense de l’identité nationale et de la résistance au remplacement de la population et de sa culture par une immigration excessive. Lorsqu’on lit De Gaulle de bonne foi, on se dit que ces soucis ne lui étaient pas étrangers, que ce soit dans son allusion à Colombey-les-deux-mosquées ou à travers l’hymne à la continuité de la vie qui clôt les Mémoires de Guerre. D’ailleurs, le Général était un rebelle, comme beaucoup d’extrêmistes de droite qui l’avaient rejoint dès 1940, et qui n’étaient pas tous, d’ailleurs, des adeptes de la famille traditionnelle. Mais là s’arrête la comparaison. Dominique Venner était un nostalgique, un admirateur des soldats magnifiquement vaincus, des Sudistes aux réprouvés Corps-Francs de la Baltiques en passant par les Russes Blancs. De Gaulle, lui, croyait en la victoire et en la nécessité d’offrir à celle-ci les moyens les plus modernes de sauvegarder l’essentiel. C’est ce que font semblant de ne pas comprendre les imposteurs qui prétendent parfois le continuer en confondant le progrès avec la décadence, en dissolvant la France dans l’Europe, en ouvrant les portes de l’immigration massive ou en participant à la destruction de la famille. Parce qu’il était chrétien, De Gaulle était un homme d’espèrance, patriote et humaniste à la fois. Parce qu’il a été contraint de mettre fin à la colonisation avec une cruauté qui n’était pas nécessaire, beaucoup de patriotes l’ont combattu et détesté, et Dominique Venner était sans doute de ceux-là. Mais, l’Homme du 18 Juin nous laisse un double message que le suicide de Notre-Dame doit nous rappeler en contrepoint : d’abord, dans les pires moments, ne jamais renoncer ; ensuite réunir les moyens de la victoire afin de restaurer l’ordre légitime un moment supplanté par le règne du « nul et non avenu ». Ainsi doit-il en être de la loi absurde du mariage unisexe ou des renoncements à l’identité et à la souveraineté nationales.
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De l'offensive de l'islam aux révoltes européennes Les signes précurseurs d'une guerre civile meurtrière au cœur du 21eme siècle En ce début de siècle, partout en Europe les mêmes causes produisent les mêmes effets : -‐ depuis 30 ans, une immigration massive de populations dont la religion et les cultures ne sont pas celles des européennes -‐ un repli communautaire et un refus d'assimilation dans les nations qui les accueillent -‐ une montée du prosélytisme islamique dont l'objectif est, à terme, la prise du pouvoir politique pour imposer un joug tyrannique et moyenâgeux -‐ une délinquance massive de jeunes individus issus de l'immigration pratiquant une violence extrême et brutale -‐ une intensification de scènes de guerre et de trafics illicites dans des zones de non-‐droit islamisées -‐ une irresponsabilité et une incompétence édifiantes des politiques pratiquant la culture de l'excuse et le clientélisme électoral affaiblissant ainsi l'Etat régalien -‐ la compromission des politiques au pouvoir avec les représentants de l'islam -‐ des manifestations de plus en plus nombreuses de populations européennes qui refusent de voir leurs pays s'islamiser, se communautariser et se fragmenter Nous assistons donc à une destruction progressive de l'Europe, de ses peuples et de ses valeurs dont les prémices peuvent aboutir à une guerre civile en plein 21eme siècle Allons-nous sacrifier l'avenir de nos enfants, de nos pays et de notre civilisation ? En mémoire du combat de nos lointains ancêtres et de leur chef Charles Martel au 8eme siècle En mémoire des souffrances de nos ancêtres dans les guerres de religions au 16eme siècle En mémoire du combat pour la liberté de nos aînés contre les tyrannies du 20eme siècle Face à l'inacceptable, face à l'omerta des politiques, citoyens français, européens, révoltez-vous ! Article XI de la Déclaration des Droits de L'Homme et du Citoyen de 1789 : la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la loi. ------------------------------------------ Retrouvez toutes les vidéos sur l'islamisation de la France, de l'Europe et de l'Occident sur la chaîne Revolteseneurope L'Union Européenne complice de l'islamisation : les preuves On ne pourra pas dire à nos enfants qu'on ne savait pas ! Vu sur le Blog révoltes en europe.com Une candidate Front de gauche aux législatives rejoint le FN Anna Rosso-Roig était candidate communiste aux législatives dans les 9e et 10e arrondissements de Marseille. L'an prochain, c'est sous les couleurs de Marseille bleu Marine qu'elle postulera aux municipales.
À la voir discuter avec le conseiller régional Laurent Comas, il faut croire que même au Front national, l'intégration peut parfois fonctionner. Anna Rosso-Roig est une nouvelle venue étonnante au sein du parti d'extrême-droite. Il y a moins d'un an encore, elle était candidate Front de gauche aux législatives dans la 6e circonscription face notamment à ce même Comas. Après avoir réuni 7 % des voix au premier tour, elle avait au second soutenu le candidat EELV-PS Pierre Semeriva dans
une triangulaire dont était sorti vainqueur Guy Teissier.
En mars prochain, sous les couleurs du Rassemblement bleu Marine, Anna Rosso-Roig sera deuxième de liste dans un secteur municipal encore indéterminé, à choisir entre le 1/7 et le 9/10. C'est dans ces derniers arrondissements où elle vit qu'elle aimerait bien concourir, derrière Laurent Comas pour y obtenir, pourquoi pas, un poste de conseillère municipale dans la dizaine qu'espère obtenir son nouveau parti.
NDFB ; Une preuve, s’il en faut, que le FN se gauchise
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M. Hollande ne comprend rien aux guerres idéologiques du XXIe siècle Source : LE MONDE | 21.04.2013 Par Michel Onfray (philosophe)
Le président de la République a décidé d'une guerre au Mali au moment où il commençait à s'effondrer dans les sondages. Quand on choisit des publicitaires pour nourrir son programme politique, il ne faut pas s'attendre à autre chose qu'à une politique de publicitaire, autrement dit, à une opération de communication. Dans la configuration libérale qui fut celle de Nicolas Sarkozy, et qui reste celle de François Hollande, ce qui est fait l'est toujours en regard de ce qu'on en dira dans les médias – donc de stratégie en matière de réélection.
Ici comme ailleurs, cette guerre au Mali montre l'impéritie idéologique du Parti socialiste qui n'a pas de pensée de la guerre – pas plus qu'il ne dispose d'une pensée de l'éducation, d'une pensée de la santé, d'une pensée de la culture, d'une pensée de la bioéthique, etc. Sur ce sujet de la guerre, les pourvoyeurs d'idées du PS en sont restés au logiciel dominant du Clausewitz (1780-1831) qui théorise dans la configuration napoléonienne. LA GUERRE DES PETITS François Hollande commande en effet à l'armée française de mener au Mali une "grande guerre" du genre napoléonien, alors que nous sommes dans ce que Clausewitz nomme la "petite guerre", autrement dit la guerre des petits, menée par une poignée de combattants dépourvus du matériel de haute technologie de l'armée française qui, dans la formule géopolitique et géostratégique malienne, se révèle d'une totale inefficacité. La France dispose d'une technologie de pointe pour mener une guerre haut de gamme contre des adversaires qui combattent en djellaba, chaussés de tongs, se déplacent en pick-up et font trembler le gouvernement français en pouvant rafler dans n'importe quel endroit du pays une poignée de Blancs transformés en otages, ce qui paralyse immédiatement l'action militaire. Le général Giap et la défaite de Dien Bien Phu ont pourtant montré jadis la supériorité de combattants galvanisés par l'idéologie, déterminés à mener une "petite guerre" contre la force occidentale technologique activée par des fonctionnaires commandés par des politiques – aujourd'hui à la remorque des publicitaires. François Hollande aurait pu lire ou relire L'Iliade dans laquelle Homère oppose la force d'Achille à la ruse d'Ulysse. Hollande a fait le choix des forts, qui sont souvent des brutes sans cervelle, contre celui des faibles, qui se révèlent la plupart du temps des malins très avisés. Achille de l'Elysée a choisi la force ; les combattants islamistes ont opté pour la stratégie d'Ulysse, car ils n'avaient pas d'autre solution. Dès lors, que se passe-t-il ? Quand la force avance dans un désert où personne ne résiste ni ne s'oppose, parce que les rusés reculent et se réfugient dans les montagnes, le fort vainc sans péril et triomphe sans gloire, pendant que le faible n'a presque rien perdu de ce combat mené contre lui. Les non-images de ce "conflit" montrées à la télévision témoignent de cette guerre dite victorieuse menée contre un ennemi réellement invisible : elles ressemblent à un film de propagande du service communication de l'armée française. Que fera Achille le fort quand Ulysse le rusé attendra le temps qu'il faudra dans des grottes inaccessibles aux forts ? Enlisée dans le sable, arrêtée au pied des rochers, l'armée française n'aura le choix qu'entre l'interminable et coûteux siège d'une citadelle invisible dans le désert, avec des ennemis impossibles à localiser, et le retrait piteux qui permettra aux rusés de descendre des montagnes et de revenir dans les villes pour y faire régner la terreur à nouveau. LE VIEUX SCÉNARIO DE LA FRANÇAFRIQUE Pour éviter cela, il faudrait à la France rester sur place et installer son armée en force d'occupation. Si tel devait être le cas, pour se justifier, elle activera l'habituelle rhétorique des droits de l'homme, de la tradition républicaine nationale française, de la lutte contre le terrorisme international, du droit d'ingérence cher au bon docteur Kouchner et à ses amis philosophes. Nous retrouverions alors le vieux scénario de la Françafrique. Si d'aventure la France voulait vraiment faire des économies, elle proposerait, entre autres, une armée européenne qui mutualiserait les matériels, les savoir-faire, les troupes, la technologie, la compétence, les budgets, les commandements.
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Mais il faudrait pour cela une pensée de la guerre qui prendrait enfin acte de la fin de la guerre froide, donc de la fin probable en Europe des grandes guerres, puis de l'avènement dans cette même zone d'une nouvelle ère dans les guerres mondiales : celle des "petites guerres". Ajoutons que, pour pareil projet, il faudrait aussi un président avec une crédibilité européenne et un projet politique digne de ce nom. Et des idées. Quand un individu quasi seul peut mettre en péril la sécurité d'un grand pays industrialisé bardé de technologie militaire en fabriquant ses explosifs à partir d'une recette trouvée sur Internet, a-t-on encore vraiment besoin d'un arsenal d'avions furtifs, d'une noria de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, d'un parc nucléaire apocalyptique, d'une armée pléthorique de techniciens ? Ou faut-il repenser la défense moins en regard de la force d'Achille que de la ruse d'Ulysse ? A l'heure actuelle, nous avons moins besoin du Clausewitz occidental de la guerre totale que du Sun Tze oriental qui cherche à "vaincre sans combattre" et à "ne pas ensanglanter la lame". A qui fera-t-on croire que le risque de terrorisme en Europe, ou sur le sol français, viendrait d'une poignée de musulmans vivant dans les dunes africaines plutôt soucieux de leur business local et de leur zonage tribal que d'établir un califat européen ? Soyons sérieux... Il semble plus facile pour un président soucieux de redorer son blason de pourchasser des va-nu-pieds dans le désert plutôt que de s'attaquer à des Etats riches, forts, puissants, disposant d'une véritable armée, voire de bombes atomiques, et qui souscrivent à l'idéal terroriste d'un certain nombre de musulmans intégristes, notamment l'expansion idéologique en Occident ! Pendant qu'elle fait la chasse aux Maliens en sandalettes, la France déroule le tapis rouge à des Etats qui rachètent petit à petit ce que la France en faillite brade aux émirs les plus offrants... Si la gauche voulait montrer sa différence, ce serait le moment ! Pour limiter les tensions avec les musulmans (comme c’est étrange), Myanmar leur impose un maximum de deux enfants par famille 26 mai 2013 |par: Jean-Patrick Grumberg
Un an de violences dans l’État de Rakhine entre bouddhistes et musulmans. Des émeutes de bouddistes excédés, armés de machettes, ont fait des centaines de morts et fait fuir plus de 100 000 musulmans. Les demandes des musulmans – est-il besoin de développer ? – ont provoqué un rejet massif de la population, et des campagnes contre les communautés musulmanes dans tout le pays. «La croissance de la population des musulmans Rohingyas est de dix fois supérieure à celle des bouddhistes Rakhines. La surpopulation est l’une des causes des tensions
actuelles», a dit Win Myaing. En réponse, une décision politique a été prise qui prévoit : La limite de deux enfants par famille musulmane dans les villages de Buthidaung et de Maundaw, peuplés à 95% de musulmans, L’interdiction de la polygamie, Le doublement du nombre d’agents de sécurité dans la région. La mesure ne sera pas implantée pour l’instant dans les autres régions de l’État de Rakhine, car le nombre de musulmans est plus faible. On ne connait pas encore quelle méthode sera adoptée pour appliquer cette politique familiale. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info NE PAS OUBLIER : DE TRANSMETTRE CET HEBDO A TOUS VOS AMIS QUI POSSEDENT
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Les apprentis-sorciers du mondialisme… Chronique de Philippe Randa (23 mai 2013) Cette chronique est paru dans le numéro 15 (mai 2013) du mensuel Salut public(http://troisiemevoie.fr/category/salut-public/) Voilà, la loi autorisant le mariage homosexuel est votée ! On s’y attendait. Reste maintenant à savoir qui a gagné quoi, finalement… Et qui sont réellement les perdants du bras-de-fer des « pour » et des « contre ». Car au-delà de cette incontestable victoire législative des partisans du « Mariage pour tous », que constate-t-on ? D’abord, une formidable mobilisation populaire à travers la France à laquelle personne ne s’attendait… On n’avait rien connu de tel dans les pays qui avaient déjà autorisés ce type de législation. En Belgique, notamment, où « ils » et « elles » peuvent s’unir entre eux et entre elles depuis dix ans, tous les outre-quiévrains s’en tamponnent le coquillard de leur conjoint(e) comme de leur première frite. En France, c’est plus d’un million de manifestants, non seulement de papa et maman (sans bonne, mais avec enfants), cotoyant nombre d’homosexuels hostiles au chamboulement du mariage traditionnel… Ce sont des chrétiens aux coudes-à-coudes avec des musulmans et des juifs tout aussi choqués qu’eux… C’est la France d’en bas – prolétaires, smicards et demandeurs d’emplois – et celle du milieu – cadres, commerçants et professions libérales – accompagnant quelques « nantis » aux fins de mois assurées… Ce sont les jeunes et les moins jeunes des banlieues parisiennes – de l’Est comme de l’Ouest – qui déambulaient au même rythme que ceux venus de Navarre… et c’est, comble de l’abomination, des élus du Front national à quelques enjambées d’élus de l’UMP, qui plus est dépassés par ces derniers dans la surenchère anti-mariage pour tous ! Sans compter un « peuple de gauche » qui pour avoir été peu remarqué dans les medias, n’en était pas moins fort présent. Et très rapidement, au fil des mois, les manifestations se sont poursuivies sans jamais faiblir ; la détermination des participants fut plus assurée de jours en jours, tandis que les hérauts médiatiques habitués à se pavaner avec tapis rouge devant micros et caméras, se sont vus conspués, quand ce ne fut pas coursés dans les gares à l’exemple de la journaliste femelle et passionnaria homosexuelle Caroline Fourest… Ce qui restera toujours assez plaisant à se rappeler. Ce qui l’est moins, ce sont les agressions d’homosexuels, quasiment éradiquées ces dernières années, qui ont réaparrues… et que nombre de Français ayant bien d’autres preoccupations que les bouffonneries d’une coterie en mal de médiatisation, se sont mis à trouver que, quand même ! ça commençait à bien faire et que « les pédés les em… »… Retour en force d’une homophobie physique et d’une homophobie spirituelle : la totale, quoi ! Le gouvernement, voyant la tournure que prenait ce projet de loi dans l’opinion, accéléra alors la procédure pour en finir le plus vite possible, ce qui renforça, quand ce ne la fit pas naître, la conviction que les tenants du « mariage pour tous » n’étaient sans doute pas si majoritaire que cela en France… Pas très rassurés qu’elles étaient, les troupes de dame Taubira ! Et ce projet de loi qui n’avait d’autre finalité que de détourner l’attention des Français des échecs économiques et sécuritaires du gouvernement, n’a réussit, finalement, qu’à canaliser tous les mécontentements. C’est dire si messieurs Hollande et Ayrault n’ont obtenu là qu’une victoire à la Pyrrhus avec la perspective des dommages colatéraux à venir… Au-delà d’ailleurs des conséquences douloureuses pour les socialistes de cette affaire qui ne leur sera en tout cas pas d’un grand profit électoral, il en est une autre qu’on a rarement évoqué ; elle est pourtant significative : la prise de conscience qu’après la perte des emplois – délocalisations effrénées – la perte des frontières – tout le monde a le droit d’être chez lui chez nous – il ne restait plus que l’image de la famille à faire voler définitivement en éclat pour imposer aux citoyens de nouvelles valeurs… Ces nouvelles valeurs des partisans de la mondialisation pour qui les frontières d’un État souverain et les emplois sauvegardés d’un peuple ne sont en aucun cas compatibles avec de rapides et insatiables profits… La cellule familiale leur posait encore un problème. Il leur fallait sa disparition pour avoir le champ totalement libre. Les apprentis-sorciers du mondialisme ont obtenu une loi, mais ont ravivé du même coup chez nombre de nos compatriotes un indéniable sentiment d’identité… qui ne demandait sans doute qu’une occasion pour se manifester au grand jour. Ils furent plus d’un million à sortir ces derniers temps d’une dramatique léthargie… S’il y a des boîtes de pandores qu’il est dangereux d’ouvrir, il y a des pays qu’il est plus imprudent encore de réveiller…
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L’Education nationale française n’a pas évolué depuis les années 1950.
Le niveau des élèves a énormément baissé. Depuis 1968, la contestation remplace la formation. L’on pourrait même le formuler ainsi : la fumisterie remplace la connaissance. La caste des enseignants est devenue la nouvelle bourgeoisie. Elle constitue, avec la caste des journalistes, la caste des universitaires, la caste du showbiz (qui en ce moment à Cannes se tape un festival de callgirls de luxe à 40’000 euros la nuit) et la caste des fonctionnaires, le pouvoir dominant en France depuis 35 ans. Que la droite soit, ou ne soit pas, au pouvoir, ne change rien au fait que le pouvoir dominant en France, est et reste, dans tous les cas de figure, celui de la bourgeoisie de gauche. Les parents qui placent leurs enfants dans des écoles privées payantes doivent néanmoins payer – en plus – l’impôt qui finance l’Education nationale publique, notamment son budget
annuel pharaonique de 50 milliards d’euros qui rémunère 830’000 enseignants. Non seulement l’Education nationale est coûteuse, archaïque et inefficace ; mais en plus, elle s’avère incapable de gérer la violence et la délinquance en milieu scolaire, notamment celles perpétrées par les adolescents issus, non pas de l’immigration en général, mais de l’immigration musulmane en particulier. Sous le prétexte fallacieux que reconnaître cela serait soi-disant « islamophobe » (et donc « raciste »), l’Education nationale favorise – de fait – cette violence et cette délinquance. La chasse aux « islamophobes » (les gens qui ont de bonnes raison d’avoir peur de l’islam), cette chasse est devenue une forme de répression intellectuelle et morale. Ajoutez à cela la lutte contre « les homophobes » (les gens qui affichent sans complexes leur hétérosexualité) ; la théorie du « gender », selon laquelle l’enfant, à la puberté, décide s’il veut ou pas changer de sexe ; et vous avez une image assez précise de l’univers sectaire et délirant qui porte – en réalité usurpe – le nom « d’Education nationale » (rééducation antinationale serait plus exact). A ce propos justement, en France, l’Education nationale ne souffre pas d’un manque de moyens budgétaires ou d’effectifs, mais elle souffre d’une mauvaise organisation et d’une utilisation défaillante des dispositifs existants, estime la Cour des comptes dans un rapport publié, aujourd’hui, mercredi 22 mai 2013. Les principes de gestion du ministère de l’Education nationale n’ont pas évolué depuis le milieu du 20e siècle et ont des effets contraires aux objectifs affichés, ajoute la Cour. L’effort financier consenti par la France est comparable, voire même supérieur à celui des pays qui assurent mieux que les Français la réussite de leurs élèves, ajoute la Cour des comptes. Le système éducatif français souffre avant tout d’une mauvaise organisation, et non d’une insuffisance de ses ressources financières et humaines. La France compte plus de 830’000 enseignants – soit la moitié du total des fonctionnaires de l’Etat – et cela représente une masse salariale astronomique de près de 50 milliards d’euros par an. Avec 65% des néo-titulaires du second degré affectés, soit en établissement difficile, soit comme remplaçants, le système actuel favorise l’instabilité des débutants et encourage peu la mobilité des enseignants expérimentés, qui sont surreprésentés dans les académies attractives. La revalorisation du métier est jugée indispensable pour surmonter la crise d’attractivité que la profession traverse. Un instituteur démarre à 1’801 euros nets par mois et perçoit 2’135 euros nets par mois en milieu de carrière (ndmg – c’est beaucoup si l’on considère la médiocrité du système). En collège et lycée, un professeur certifié entre dans le métier avec 1’843 euros nets par mois et un agrégé 2’268 euros nets par mois. En milieu de carrière, ils gagnent respectivement 2’473 et 3’216 euros nets par mois. La Cour des comptes recommande d’inclure – dans les obligations de service – les heures nécessaires aux activités qui entrent dans le cadre de la mission des enseignants. La Cour des comptes propose de faire des économies, d’une part, en mettant en place une rationalisation de la scolarité ; et d’autre part, en annualisant le temps de travail des enseignants. Une gestion optimale de cette ressource, a fortiori dans le contexte difficile des finances publiques françaises, est une nécessité, estime la Cour des comptes. C’est le moins que l’on puisse dire. Reproduction autorisée Avec mention Michel Garroté www.dreuz.info
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Qatar : que vivent les chrétiens ? 22/05/2013 Clubs de football, grands magasins parisiens, hôtels de luxe… le Qatar affiche ses succès économiques. Qu’en est-il de la situation des chrétiens du pays ?
Chrétiens sans droit de culte Les plus nombreux sont des immigrants venus d’Asie du Sud. Ils travaillent du matin au soir dans des conditions très pénibles, et ils vivent dans des « camps de travail », des villages dortoir pour travailleurs immigrés. Dans ces villages, ils n’ont accès ni à la liberté de culte, ni au droit de réunion. Leurs seuls moments de communion fraternelle doivent se faire dans le secret. Légende : Complexe d'églises de plusieurs confessions, isolé à l'extérieur de la ville de Doha Au Qatar, les chrétiens ont peu ou pas de droits et vivent leur foi dans le secret. On y compte deux sortes de chrétiens. Chrétiens sans droit d’existence
La situation est pire pour les chrétiens d’origine musulmane, la seconde catégorie de chrétiens présents au Qatar. Quitter l’islam pour une autre religion est une grave atteinte à l’honneur de la famille, avec un risque de mise à mort par ses proches. Un Qatari explique : « Si mon fils voulait quitter l’islam à l’âge de 10 ans, je lui ferais lire le Coran, à l’âge de 15 ans, je lui ferais donner des cours à la mosquée ; à l’âge de 20 ans, j’enverrai quelqu’un pour le tuer. » Les chrétiens d’origine musulmane font leur possible pour cacher leur conversion et souffrent d’un manque cruel de communion fraternelle. Un effet coupe du monde ? Le Qatar accueillera le Mondial de football en 2022 et bien que le pays souhaite faire bonne figure sur la scène internationale, il est peu probable, malheureusement, que les chrétiens en bénéficient. Certes, le pays peut se targuer de posséder trois complexes où les chrétiens peuvent se réunir librement, mais ceux-‐ci sont excentrés, trop petits et étroitement surveillés. De plus, ils sont réservés aux chrétiens étrangers. Ailleurs dans le pays, toute réunion chrétienne est interdite.
Quel est l’impact de la mondialisation et du libéralisme sur la société française
Depuis la fin de l’empire soviétique, le marché peut faire la loi sans contre-pouvoir… La chute du Mur de Berlin confère les pleins pouvoirs au capitalisme dans sa formule libérale. Le Parti Socialiste français avait déjà vendu son âme au libéralisme en 1983 avec François Mitterrand qui fut le bradeur de ce qui restait de gauche au PS. Le libéralisme est pour l’instant sans contre-pouvoir efficace. En France, d’aucuns comme moi, qui ne sont pas libéraux ne se retrouvent pas pour autant dans l’antilibéralisme lepéniste ou dans sa version mélenchonienne qui, pour le premier, compose avec un Jean-Marie Le Pen qui cite Brasillach et, pour le second, avec un Jean-Luc Mélenchon qui affirme que Cuba n’est pas une dictature et trouve des vertus aux dictateurs d’Amérique du sud ennemis d’Israël. Jamais le capitalisme ne s’est aussi bien porté : la crise est la preuve de son excellent état de santé ! Ce capitalisme se réjouit probablement de n’avoir en face de lui que des fantoches antilibéraux qui le font rire sous cape ! Poutou ou Arthaud en navires amiraux de la lutte contre le capitalisme planétaire, voilà qui doit faire se tordre de rire le grand capital – pour sa part, le peuple peut préparer ses mouchoirs, comme d’habitude… Michel ONFRAY Philosophe
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Quand Manuel Valls se prend pour Bachar el-Hassad !
De longue date, la gauche française a aimé jouer à se faire peur. Internationale noire, Ordre nouveau, fascisme éternellement renaissant, nervis de Le Pen, 0pus Dei tentaculaire, milices paramilitaires, en attendant le retour du complot jésuite et l’arrivée des Raéliens au pouvoir. S’il est désolant de voir une Frigide Barjot tenter de se dédouaner en dénonçant l’aile « radicale » du collectif de la Manif pour tous, il est
parfaitement grotesque de voir un Manuel Valls potasser à la hâte son Code pénal, juste histoire de voir comment il pourrait dissoudre la nébuleuse du Printemps français, en même temps que Béatrice Bourges, sa porte-‐parole. Ce qui va être coton, c’est qu’à l’instar du GUD, le collectif en question n’a pas la moindre existence juridique. Un peu comme les Indignés de Madrid ou les Occupy Wall Street de New York, mouvements tout aussi informels et pas plus violents que l’objet de ces lignes, mais qui bénéficient d’une rare indulgence médiatique en nos contrées. Comme quoi il y aurait les « bons » et les « mauvais » manifestants… Les révoltés qu’on salue et ceux qu’on rêverait de voir finir au gnouf. Étrange gauche que celle-‐ci. Un pavé dans une main, la matraque dans l’autre. Et dire que ces turlupins osent se prétendre libertaires, militent pour une extension infinie des « droits », tout en voulant sans cesse restreindre ceux des autres, « autres » dont le seul crime, finalement, consiste à refuser de penser au pas et en rang par deux. Plus burlesque encore, cette place Beauvau qui explose le déliromètre paranoïaque : « La ligne jaune a été franchie. C’est le Printemps français lui-même qui s’est placé en dehors de la légalité républicaine… » Rien de moins. Et peut-‐on savoir en quoi cette « ligne républicaine » aurait été « franchie » ? En saccageant le Trocadéro ? En se promenant dans la rue tout en brandissant des drapeaux étrangers ? En fracassant les vitrines ? En mettant le feu aux voitures ? En détroussant les passants ? Ces gens-‐là doivent confondre avec d’autres événements. Ou ils se trompent de bonne foi et nous avons affaire à d’indécrottables ahuris. Ou ils nous baratinent sciemment et là, ils sont encore plus attaqués du bulbe que la moyenne : en effet, qui peut encore, aujourd’hui, croire à de telles fadaises ? Le mensonge d’État, pour être plausible, demande, à défaut d’intelligence politique, un peu plus de vraisemblance. Et dire qu’il y a encore des couillons de droite pour croire que Manuel Valls est la caution « sécuritaire » du gouvernement… N. Gauthier Boulevard Voltaire NDFB : Le titre est tout de même un peu exagéré! UMP : 53% des sympathisants donnent raison à Guillaume Peltier contre 44% à NKM Le bureau politique de l’UMP avait décidé mercredi un rappel à l’ordre de Guillaume Peltier, pour ses propos contre NKM.
C'est un sondage BVA-‐iTélé qui donne le chiffre ce vendredi. 53% de l'UMP estiment qu'il faut une droite affirmée. 44% se placent en revanche sur la ligne d'une droite modérée comme NKM, candidate à la mairie de Paris. Une étude qui donne donc raison à Guillaume Peltier. Pourtant, le vice-‐président du parti d'opposition avait eu un violent rappel à l'ordre des cadres de l'UMP, mercredi. Le Bureau politique "manifeste ainsi sa désapprobation" et demande à Guillaume Peltier "de se conformer à une pratique beaucoup plus respectueuse des uns et des autres", avait précisé un communiqué. Venu du FN puis passé au MPF de Philippe de Villiers, Guillaume Peltier* est, avec Geoffroy Didier, un des deux chefs de file de la motion Droite forte arrivée en tête des courants de l’UMP lors du congrès de novembre 2012. Se réclamant de Nicolas Sarkozy, elle avait réuni 27,8% des voix, devant la Droite sociale de Laurent Wauquiez (21,7%). Selon un participant, Peltier, 36 ans, était absent de la réunion du BP de l’UMP mercredi matin. ND FB * : et surtout formé par Bruno MEGRET lors de son passage au MNR
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L’islam au Japon, jubilatoire 25 mai 2013 | par: Jean-‐Patrick Grumberg Je republie cet article car il est intemporel…
Avez-‐vous jamais lu qu’un dirigeant politique ou un premier ministre d’un pays islamique a visité le Japon ? Avez-‐vous jamais entendu que le roi d’Arabie saoudite ou le Président iranien ont visité le Japon? (Il y a eu 4 visites d’un officiel d’Arabie Saoudite au Japon en presque un siècle, et 1 visite d’un président iranien, en 2000.
Le Japon impose des restrictions strictes à l’islam et aux musulmans. a) Le Japon est le seul pays qui ne donne pas la citoyenneté aux musulmans. b) Au Japon les musulmans n’ont pas droit à la résidence permanente. c) la propagation de l’Islam au Japon est très mal vue par la population. d) Dans les Universités du Japon, l’arabe et l’islam ne sont pas enseignés, dans quelle que langue que ce soit. e) l’importation de Coran en langue arabe est interdite. f) Selon les données du gouvernement japonais, il a été donné le droit à résidence temporaire à seulement 2 musulmans lakhs, qui doivent respecter la loi japonaise. Ces musulmans doivent parler le japonais et effectuer leurs rites religieux dans leurs appartements. g) Le Japon est le seul pays au monde qui dispose d’un nombre négligeable d’ambassades de pays islamiques. h) les Japonais ne sont pas attirés par l’Islam. i) Les rares musulmans résidant au Japon sont des salariés des sociétés étrangères. j) Aujourd’hui, le Japon n’accorde plus de visas aux médecins, ingénieurs, ou gestionnaires musulmans envoyés par des sociétés étrangères. k) Dans la majorité des entreprises, il est précisé dans leurs règlements que les musulmans ne peuvent pas postuler pour un emploi. l) Le gouvernement japonais est d’avis que les musulmans sont des fondamentalistes qui même à l’ère de la mondialisation, ne sont pas prêts à changer leurs lois musulmanes. m) les musulmans peuvent difficilement louer une maison, au Japon. n) Si quelqu’un apprend que son voisin est musulman, tout le quartier est alerté. o) Nul ne peut créer une cellule islamiste ou école islamique, au Japon. p) La charia n’est pas autorisée au Japon. q) Si une femme japonaise se marie avec un musulman, elle est considérée comme une paria. r) Selon M. Komico Yagi (chef de département de l’Université de Tokyo) « Il y a un état d’esprit au Japon selon lequel l’islam est une religion très étroite d’esprit et chacun devrait se tenir à l’écart de cette religion » s) Le journaliste indépendant Mohamed Juber a visité de nombreux pays islamiques après les attentats du 11 septembre, y compris le Japon. Il a constaté que les Japonais sont persuadés que les extrémistes musulmans ne peuvent pas frapper au Japon. t) Le Japon compte 126 millions d’habitants. Interrogé sur le nombre de musulmans, Abu Bakr Morimoto, ex-‐président de l’association islamique japonaise répondait : « franchement, il y a peut-‐être 1000 musulmans japonais, et le nombre de 30.000 est très largement exagéré ». u) Quelques Japonais ont entendu parler de l’islam pour la première fois en 1877, mais seulement comme « histoire des cultures ». v) le « boom de l’islam » au Japon a été provoqué par l’armée japonaise et date de la seconde guerre mondiale. Une mosquée à a été construite à Kobe, et une centaine de livres et journaux ont été publiés sur l’islam. L’objectif de l’armée était d’être mieux équipé afin d’acquérir une bonne connaissance de l’islam et des musulmans. En 1945, l’islam disparu rapidement du Japon. w) en 1890, l’Empire Truc Ottoman a envoyé un vaisseau au Japon dans le but d’entamer des relations diplomatiques et pour présenter l’Islam aux Japonais. Le navire s’appelait Ertugrul, et sur son chemin de retour, il a coulé avec 609 personnes à bord. x) Il y a une trentaine « d’appartements mosquées » dans tout le Japon. y) Les Japonais considèrent que l’islam est une religion étrange de pays sous développés. z) Au Japon, on ne trouve ni nourriture halal, ni éducation islamique, ni médias en arabe, ni littérature islamique. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-‐Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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L’OCCIDENT COMPLIQUE face à L’ISLAM (II) 24 Mai 2013
La multiplication des prétendus « loups solitaires » qui ont le plus souvent fréquenté des mosquées fondamentalistes, effectué des voyages suspects et en tout cas noué des rapports avec la mouvance extrêmiste via internet, est le pendant intérieur du départ pour les « fronts » du djihad, en Afrique ou au Moyen-Orient de combattants islamistes convertis ou non, mais apparemment intégrés aux sociétés occidentales et à la société française, en particulier. Ces
phénomènes ne sont pas massifs, mais ils signifient clairement que la guerre entre l’Islam et et le monde développé chrétien est pour certains ce qui donne un sens à la vie. L’Occident est désemparé face à une situation qu’il a créée en employant pour chasser les soviétiques d’Afghanistan la formule magique d’un apprenti-sorcier : armes américaines, argent séoudien, soutien de l’armée pakistanaise et moujahidines venant se battre pour leur foi. Comme toujours l’apprenti sorcier a été dépassé par un sorilège qui lui échappe et se retourne contre lui. C’est l’histoire d’Al qaïda et de ses métastases. L’ennemi n’est plus seulement le russe, lequel n’est d’ailleurs plus matérialiste ni athée. C’est aussi et surtout le Chrétien occidental, allié à Israël, arrogant par sa richesse, mais affaibli par sa décadence morale sur lequel peuvent se focaliser les souvenirs légendaires des guerres contre les croisés, la mémoire plus récente de l’humiliation coloniale et les frustrations des « indigènes » des quartiers sensibles. Les Puissances Occidentales ne peuvent soutenir longtemps, sur des terres étrangères, des guerres coûteuses en hommes et en moyens, et dont le résultat politique demeure douteux. La mauvaise conscience coloniale, la hantise des démocraties contemporaines d’être confrontées à des pertes humaines importantes, la préférence pour l’économie les poussent à mettre fin aux conflits, quitte à abandonner le terrain en continuant à menacer les ennemis au moyen de drones. Faute d’avoir pu faire de l’Irak ou de l’Afghanistan des démocraties à l’occidentale, pris dans des alliances équivoques avec des pays islamistes, l’Occident connaît une double prise de conscience : en premier lieu, il ne peut vouloir une chose et son contraire, aider les extrêmistes en Syrie et les combattre ailleurs; en second lieu, il ne peut pas davantage nourrir une conception juridique, libérale et formelle de la citoyenneté et accepter dans la communauté nationale des individus qui sont animés par un fanatisme communautaire religieux, faire des citoyens de papier avec des gens pour qui ce papier n’est qu’un chiffon sans valeur. La solution n’est ni économique, ni sociale. Elle est politique et culturelle. La lecture de Malika Sorel doit nous redonner espoir à condition de larguer une fois pour toutes l’idéologie aveugle qui va de pair avec une ouverture excessive des frontières. Que nous dit-elle ? D’abord, que c’est au migrant à s’adapter à la société dans laquelle il veut vivre, et non l’inverse. Ensuite, que « l’intégration se joue entièrement sur le registre affectif et moral. » Ceux qui veulent vivre en France et plus encore, ceux qui veulent devenir Français, doivent sentir un pays fier de lui, de son passé de grande nation chrétienne, résolument tournée vers la construction d’un avenir fondé sur le bonheur sain des familles qui la composent. Les immigrés doivent avoir pour objectif de s’intégrer en considérant comme un progrès personnel le fait de s’assimiler par leur mode de vie à l’ensemble de la population. La pratique religieuse est libre. Elle ne peut en aucun cas servir de prétexte à des provocations ou à des revendications déplacées. Un fichu sur la tête est acceptable. Un niqab ne l’est pas car il est avant tout un défi à la société et non un signe de foi. De même, les services publics qui doivent veiller à leur neutralité n’ont pas à obéir à des exigences alimentaires ou vestimentaires d’ordre confessionnel. Enfin, l’Ecole doit clairement inscrire l’amour de la France à son programme. » L’abandon de la théorie de la victimisation-repentance est une absolue nécessité » , nous dit encore Malika Sorel. La balance des réalisations médicales et scolaires, des infrastructures, des souffrances endurées par les rapatriés, et de la participation aux conflits des troupes « indigènes » doit permettre un respect mutuel. Le choix de vivre en France pour améliorer son niveau de vie et peut-être celui de la famille restée au pays doit éveiller de la reconnaissance pour le pays d’accueil, et non de l’agressivité. Sans complexe, la politique d’immigration doit être avant tout fondée sur l’intérêt national. Le canal qui doit être privilégié de manière quasi-exclusive est le travail, en fonction des offres non pourvues et avec des quotas fondés sur des besoins dans le temps et l’espace. De même, des quotas doivent être établis en fonction de l’origine nationale et une politique très directive du logement doit être mise en oeuvre afin que ne se constituent pas des regoupements au sein desquels se développent des solidarités contraires à l’intérêt du pays. La citoyenneté doit être excusivement réservée à la nationalité. L’accès à cette dernière doit être étroitement limitée à l’expression de la volonté manifestée aussi par un respect absolu des lois.
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La pluri-nationalité doit être encadrée : limitée à l’intérêt national le plus possible, et avec un recours très large à la déchéance pour ceux qui ont failli à leur engagement envers le pays. Les « droits » des individus ne doivent pas conduire à altérer ceux des citoyens, au nom de je ne sais quelle discrimination positive. Cette conception ferme et réaliste est la seule qui puisse faire en sorte qu’il y ait encore des Imad Ibn Zaïten et plus du tout de Merah. Ch. Vanneste président du RPF La police abat un voleur armé d’un couteau (26/05/2013) Homme abattu dans les Marolles: ouverture d'une instruction judiciaire
L’homme venait de poignarder une touriste avec sa lame et s’avançait vers les policiers malgré un tir de sommation BRUXELLES L’homme d’une trentaine d’années, d’origine maghrébine mais sans aucun document d’identité, était sur le point de poignarder une dame du sud de l’Europe en voyage en Belgique après l’avoir blessée à la main avec un couteau mesurant pas moins de 25 cm lorsqu’il a été repéré par des policiers de la zone Bruxelles-‐Capitale/Ixelles à 16h devant la Chapelle des Brigittines, rue de la Chapelle, à Bruxelles. Il voulait se saisir de l’iPhone et du sac de la jeune femme
mais celle-‐ci se débattait. Les policiers ont sorti leur pistolet et ont intimé à l’homme de lâcher son arme, sans succès. Mais l’homme penché sur la victime s’est relevé et a commencé à marcher vers les agents de police, menaçant. “Ils ont été très patients ”, confie un témoin de la scène. Lorsqu’un policier lui lance “Lâche ton couteau”, l’individu s’emballe : “Je n’en ai rien à foutre, c’est la fin du monde ! Tirez-moi dessus ! ” Sur près de 150 m , les policiers ont marché à reculons tandis que l’homme s’avançait vers eux. “Le type ne donnait pas l’impression de vouloir lâcher ”, confie un observateur de la scène depuis son balcon. “Tire sur la jambe ”, aurait crié un voisin, comprenant que la situation risquait de dégénérer. Deux autres équipes de police, prévenues, sont alors arrivées à hauteur de l’action. Mais rien n’y faisait. Après un premier tir de sommation, une balle a été tirée dans la poitrine de l’agresseur. “Les tentatives de réanimation ont échoué ”, indique Bruno Bulthé le procureur du Roi, descendu sur les lieux. Peut-‐on parler de bavure ? “Il est trop tôt pour le dire, une enquête interne aura lieu et une instruction est en cours. Deux dossiers ont été ouverts : un premier sur l’agression de la dame et un second à charge de X concernant le décès de l’homme .” La femme légèrement blessée mais très choquée a été emmenée à l’hôpital pour être soignée. Les policiers, dont les nerfs ont été mis à rude épreuve, sont suivis par la Stress Team de la police. Concernant l’action des policiers, “il s’agit de la procédure classique. Une sommation puis un tir ”, a précisé Christian De Coninck, porte-‐parole de la police locale. Raphaël Cayrol Code civil, pénal ou code coranique et pénien ?
La première question à se poser en rapport avec l’islam serait : est-‐ce qu’on le considère comme une mouvance strictement religieuse ou bien une idéologie qui comprend notamment des aspects juridiques dans ses fondements. Dans le second cas : il suffit de poser la question : est-‐ce que deux systèmes juridiques, dont les fondements sont par ailleurs diamétralement opposés, peuvent-‐ils cohabiter sur un même territoire? Car l’islam est tout sauf une religion, c’est un système politique théocratique, totalitaire, oppresseur, conquérant. Un fléau, à éradiquer, comme le nazisme et la peste. Source Blog Les
jérémiades de Mylestin
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Le pape François et les « racines chrétiennes de l’Europe » Le 25 05 2013 Le pape François a reçu le 24 mai à Rome, en audience privée, le comité exécutif de la Commission des épiscopats
de la Communauté européenne (Comece). Selon un communiqué de cet organisme : « Le Saint Père a exprimé sa profonde appréciation des racines chrétiennes de l’Europe et a demandé aux évêques de transmettre un message d’encouragement à tous ceux qui travaillent à faire avancer le projet européen ». Une appréciation particulièrement bienvenue alors que l’Union Européenne et tant de pays membres s’efforcent depuis des années à nier nos racines chrétiennes et à pousser à la christianophobie ! Source : Comece
Bordeaux : Des catholiques insultés à la sortie de la messe
Une quinzaine de personnes sont venues insulter les paroissiens de Saint-‐Eloi à la sortie de la messe ce dimanche matin. L’information a été divulguée sur le forum catholique par un fidèle de cette paroisse traditionaliste du centre ville. Les insultes n’ont pas provoqué d’incident, la seule réponse utilisée par les chrétiens fut de sortir leurs appareils photos, afin de témoigner. Ce n’est pas la première fois que cette église est visée par des actes christianophobes. Régulièrement taguée par des militants d’extrême gauche, elle fut recouverte l’année dernière d’affiches christianophobes, à l’instar d’autres églises bordelaises et de librairies catholiques.
Interrogé par Infos-‐Bordeaux, un des paroissiens confie : « Le plus surprenant pour nous n’est pas de se faire insulter, le christ ayant lui même été victime de la haine des hommes, mais c’est le silence des autorités. Imaginez le tollé si des fidèles sortant d’une synagogue ou d’une mosquée avaient connu le même sort » ! A noter qu’une plainte a été déposée par le curé de Saint-‐Eloi. Du champagne pour prévenir la maladie d'Alzheimer ?
Selon une étude anglaise, consommer une à trois coupes de champagne par semaine pourrait ralentir le déclin cognitif et prévenir le développement de maladies neuro-dégénératives comme l'Alzheimer. Voilà un remède plaisant, mais un peu coûteux ! Selon les scientifiques de l'Université
de Reading (Grande-‐ Bretagne), le champagne contient des antioxydants appelés "phénols" qui pourraient stimuler les zones cérébrales responsables de la mémoire spatiale et de l'apprentissage. Appelées "hippocampe" et "cortex", celles-‐ci se nourrissent de protéines dont le niveau diminue naturellement avec l'âge, provoquant le déclin cérébral et parfois la démence. Les phénols auraient justement la capacité de relever le taux de ces protéines. Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont administré 1,78ml de champagne à des souris pendant 6 semaines. Ils ont pu constater une amélioration de la mémoire spatiale grâce aux protéines renouvelées. Cependant, il faudra encore attendre avant de déboucher une bouteille car les scientifiques essaient maintenant de voir si ces résultats sont adaptables à l'Homme. L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. Source : Giulia Corona, Phenolic Acid Intake,
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Premier épisode du livre de Bruno MEGRET. Introduction : Fin de cycle, début de siècle Aujourd'hui tout est bloqué, mais demain tout ne pourrait-‐il pas bouger ? La morosité, le fatalisme et le renoncement semblent gagner les Français, mais est-‐on certain que l'ardeur et l'enthousiasme ne pourraient pas les animer à nouveau ? Notre nation subit et s'abandonne, mais est-‐elle vraiment incapable de retrouver la force et l'ambition ? Ce qui n'était pas possible hier ne peut-‐il le devenir demain ? Ne sommes-‐nous pas à la croisée des chemins ? J'ai pour ma part des réponses à ces interrogations. Des réponses qui ont pris la forme d'un espoir et d'une volonté et qui m'ont conduit à écrire cet ouvrage. D'un côté, en effet, et j'en suis le premier désolé, nombre de mes analyses et de mes prévisions sur l'évolution de la société française se trouvent validées par les faits. Mais, de l'autre, et j'en éprouve une grande joie, les valeurs et les idées que je défends et qui peuvent assurer le renouveau de notre pays semblent gagner en audience et en popularité. J'en suis convaincu : le combat qui est le mien depuis mon entrée en politique pourrait bien aboutir dans les quelques années qui viennent. Jamais je n'ai ressenti de façon aussi aiguë la perspective d'un grand changement. Pourtant, comme beaucoup de Français, j'ai été gagné par le doute et, certains soirs, un sentiment de lassitude, voire de désespérance, m'envahissait. Devant le spectacle pitoyable de l'actualité quotidienne, face à l'aggravation incessante des problèmes, l'indigence des politiques et la puissance de la pensée unique, j'ai parfois eu l'impression qu'une spirale irrésistible aspirait notre pays vers l'abîme. À quoi bon dès lors continuer à se battre ? D'autant que les difficultés qui s'amoncelaient sur mon chemin semblaient, tel un signe funeste du destin, m'inviter à renoncer. Éloignement de certains proches, problèmes financiers, persécution judiciaire, occultation médiatique, scores électoraux décevants, chaque épreuve nouvelle résonnait malgré moi comme un message : « La France n'a plus d'avenir, toi non plus, abandonne ! » J'aurais pu alors créer une entreprise, me passionner pour mon métier, me consacrer davantage à ma famille, pourtant je n'ai pas renoncé. Est-‐ce par obstination aveugle ou par intuition clairvoyante, est-‐ce par goût du défi ou par sens du devoir, je l'ignore, mais je sentais au fond de moi comme la chaleur des braises qui indique que le feu peut reprendre. Et j'ai pris du recul. Libéré des contingences de l'action immédiate, n'ayant pas à prendre position à tout moment, à me soumettre aux impératifs des médias et à m'adapter aux actions des adversaires, j'ai réfléchi, j'ai voyagé, j'ai rencontré des gens de toutes conditions. Ma pensée a mûri, j'ai observé les grandes forces qui façonnent le monde de ce début de siècle, j'ai analysé les courants qui traversent notre société. À travers la censure du politiquement correct, je me suis efforcé de décrypter le message de nombreux intellectuels. Derrière le prisme déformant des sondages et des médias, j'ai cherché à comprendre les aspirations véritables de notre peuple. C’est alors qu’une certitude s'est peu à peu imposée à moi : nous vivons la fin d'un cycle politique et idéologique et, si nous sommes à l'aube d'un nouveau siècle, ce peut être aussi le début d'une ère nouvelle pour notre nation et notre civilisation. Dès lors, rien n'est joué, notre pays n'est pas condamné au déclin, il peut même connaître une authentique renaissance. Certes, dans les apparences rien n'est changé ou, plutôt, tout continue à empirer. Mais, en profondeur, de puissants courants sont à l'œuvre qui peuvent bouleverser complètement le destin de notre nation. Cette évolution n'est évidemment pas visible dans le comportement officiel du pouvoir politique ou médiatique, mais elle prend une ampleur croissante auprès d'une majorité de nos compatriotes et chez les plus éclairés des intellectuels. Malgré la pression du conformisme officiel, la chape de plomb du politiquement correct se fissure progressivement. Sur des sujets autrefois tabous, les lignes de défense de la pensée unique commencent à céder. Notre pays entre donc dans une période critique. Il s'approche du gouffre où il pourrait sombrer, mais, à mesure que le danger grandit, les réactions salvatrices se multiplient. Aujourd'hui, les signes précurseurs de son redressement se perçoivent déjà. Les poncifs de la pensée unique sont rejetés par le peuple et désavoués par les faits. Les tenants du système sont de plus en plus contestés. Des idées neuves émergent. De nouvelles perspectives s'ouvrent. Des cartes vont être redistribuées. Aussi suis-‐je convaincu que notre nation peut connaître, dans un avenir relativement proche, un véritable sursaut. Malgré la complexité du monde contemporain, malgré les contraintes qui semblent le paralyser, notre pays peut se ressaisir, cesser de subir et s'ouvrir un chemin. L'objet de ce livre est d'explorer cette voie nouvelle et de lui donner une expression politique. Nos compatriotes cherchent en effet une issue à leurs difficultés et ne voient pour l'instant aucun projet ni aucune force vers lesquels se tourner. Les maîtres de la pensée unique s'efforcent de leur faire croire qu'il n'y a pas d'autres possibilités que celles qu'ils incarnent. Dans cet ouvrage, je veux leur dire qu'il est une autre voie capable de leur rendre l'espoir et d'assurer l'avenir de notre nation. Il existe pour la France et l'Europe un autre scénario que celui du renoncement et de l'abandon. C'est cette stratégie que je veux présenter. C'est cette voie que je veux ouvrir. Prochain épisode : la semaine prochaine
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