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Pour recevoir gratuitement ce bulletin d’information, Il vous suffit de en vous inscrire à notre liste de diffusion : En envoyant un courriel vide à : [email protected] Vous pouvez nous contacter à : Mouvement national républicain B.P. 10008 93161 NOISY-LE-GRAND CEDEX Tél.:09.51.45.84.93 Les informations retransmises dans ce bulletin le sont sous la responsabilité exclusive de leurs auteurs et ne sauraient engager la responsabilité du Mouvement National Républicain. L’opinion des auteurs ne coïncide pas forcément avec la position du MNR Désinscription: envoyez un courriel vide à [email protected] Hebdo GRATUIT diffusé par internet Adresse courriel : [email protected] Mise en page : Francis BOCQUILLET Editorial : L’autre scénario en épisodes L’autre scénario, pour la France et l’Europe, écrit en 2006 par Bruno MEGRET, est toujours d’actualité, c’est pourquoi, avec son accord, j’ai décidé de publier, un épisode chaque semaine, sur cet Hebdo. En voici une brève présentation : Aujourd’hui, la France semble comme ankylosée, paralysée. Elle subit dans la douleur les chocs d’une mondialisation incontrôlée et s’enfonce dans le marasme et le fatalisme. Pourtant, notre pays ne manque ni de talent, ni d’énergie, mais étouffé par une pensée archaïque, il est de surcroit soumis à des politiciens qui n’ont plus de pouvoir et qui vivent sur des idées fausses. La classe politique, enfermée dans ses certitudes d’un autre siècle, est en fin de cycle, nous vivons la fin d’une époque. C’est pourquoi tout devient possible et, dans ce livre, Bruno Mégret apporte une vision nouvelle de l’avenir de notre nation. Il offre à notre peuple des perspectives d’action audacieuses en réponse aux défis du siècle qui s’ouvre. Jetant les bases d’une politique de puissance française et européenne, il propose un autre scénario pour donner enfin un espoir aux Français. Sortant des schémas passéistes, cet ouvrage fondateur inscrit le combat de la droite de conviction à l’avant garde de la modernité. Je vous invite donc à suivre chaque semaine, un chapitre de ce livre passionnant, facile à lire et à comprendre, qui j’en suis sûr recevra votre approbation. Faites le lire à vos amis et vos proches, afin qu’ils sachent, que des solutions existent en dehors des propositions faites par tous les partis qui se répandent dans les médias à longueur de journée et qui n’ont que pour but de se faire élire ou réélire, non pas dans l’intérêt des Français, mais pour en tirer les dividendes à titre personnel. Aidez le MNR à faire connaître ses solutions, pour que la France redevienne une nation forte dans une Europe puissante. Francis Bocquillet Sommaire Editorial : L’autre scénario en épisodes 1. PSA ferme une usine mais l'État achète des Ford et des VW 2. Une protestante ouzbèke condamnée 3. Islam défini comme une religion : piège à bouffons ! 4. «L'islam n'est pas une religion de paix, de tolérance et d'amour» 5. Le sens d’un suicide ? 6. De l'offensive de l'islam aux révoltes européennes 7. Une candidate Front de gauche aux législatives rejoint le FN 8. M. Hollande ne comprend rien aux guerres idéologiques du XXIe siècle 9. Pour limiter les tensions avec les musulmans 10. Les apprentis-sorciers du mondialisme… 11. L’Education nationale française n’a pas évolué 12. Qatar : que vivent les chrétiens ? 13. Quel est l’impact de la mondialisation et… 14. Quand Manuel Valls se prend pour Bachar el- Hassad ! 15. UMP : 53% des sympathisants donnent raison à G. Peltier 16. L’islam au Japon, jubilatoire 17. L’OCCIDENT COMPLIQUE face à L’ISLAM (II) 18. La police abat un voleur armé d’un couteau 19. Code civil, pénal ou code coranique et pénien ? 20. Le pape François et les « racines chrétiennes de l’Europe » 21. Bordeaux : Des catholiques insultés à la sortie de la messe 22. Du champagne pour prévenir la maladie d'Alzheimer ? 23. Premier épisode du livre de Bruno MEGRET N°53 – 31 Mai 2013

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Les informations retransmises dans ce bulletin le sont sous la responsabilité exclusive de leurs auteurs et ne sauraient engager la responsabilité du Mouvement National Républicain. L’opinion  des  auteurs  ne  coïncide  pas  forcément  avec  la  position  du  MNR  

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 Hebdo      GRATUIT  diffusé  par  internet    Adresse  courriel  :  [email protected]        Mise  en  page  :  Francis  BOCQUILLET  

   Editorial  :  L’autre  scénario  en  épisodes      L’autre  scénario,  pour  la  France  et  l’Europe,  écrit  en  2006  par  Bruno   MEGRET,   est   toujours   d’actualité,   c’est   pourquoi,   avec  son  accord,   j’ai  décidé  de  publier,  un  épisode  chaque  semaine,  sur  cet  Hebdo.  En  voici  une  brève  présentation  :  Aujourd’hui,   la   France   semble   comme   ankylosée,   paralysée.  Elle   subit   dans   la   douleur   les   chocs   d’une   mondialisation  incontrôlée   et   s’enfonce   dans   le   marasme   et   le   fatalisme.  Pourtant,  notre  pays  ne  manque  ni  de  talent,  ni  d’énergie,  mais  étouffé   par   une   pensée   archaïque,   il   est   de   surcroit   soumis   à  des  politiciens  qui  n’ont  plus  de  pouvoir  et  qui  vivent  sur  des  idées  fausses.  La  classe  politique,  enfermée  dans  ses  certitudes  d’un   autre   siècle,   est   en   fin   de   cycle,   nous   vivons   la   fin   d’une  époque.  C’est   pourquoi   tout   devient   possible   et,   dans   ce   livre,   Bruno  Mégret  apporte  une  vision  nouvelle  de  l’avenir  de  notre  nation.  Il   offre   à   notre   peuple   des   perspectives   d’action   audacieuses    en   réponse   aux   défis   du   siècle   qui   s’ouvre.   Jetant   les   bases  d’une   politique   de   puissance   française   et   européenne,   il  propose   un   autre   scénario   pour     donner   enfin   un   espoir   aux  Français.   Sortant   des   schémas   passéistes,   cet   ouvrage  fondateur  inscrit  le  combat  de  la  droite  de  conviction  à  l’avant-­‐garde  de  la  modernité.  Je  vous  invite  donc  à  suivre  chaque  semaine,  un  chapitre  de  ce  livre  passionnant,  facile  à  lire  et  à  comprendre,  qui  j’en  suis  sûr  recevra   votre   approbation.   Faites   le   lire   à   vos   amis   et   vos  proches,   afin   qu’ils   sachent,   que   des   solutions   existent   en  dehors   des   propositions   faites   par   tous   les   partis   qui   se  répandent  dans   les  médias  à   longueur  de   journée  et  qui  n’ont  que  pour  but  de  se  faire  élire  ou  réélire,  non  pas  dans  l’intérêt  des   Français,   mais   pour   en   tirer   les   dividendes   à   titre  personnel.    Aidez   le   MNR   à   faire   connaître   ses   solutions,   pour   que   la  France  redevienne  une  nation  forte  dans  une  Europe  puissante.      Francis Bocquillet

Sommaire Editorial : L’autre scénario en épisodes

1. PSA ferme une usine mais l'État achète des Ford et des VW

2. Une protestante ouzbèke condamnée 3. Islam défini comme une religion : piège à

bouffons ! 4. «L'islam n'est pas une religion de paix, de

tolérance et d'amour» 5. Le sens d’un suicide ? 6. De l'offensive de l'islam aux révoltes européennes 7. Une candidate Front de gauche aux législatives

rejoint le FN 8. M. Hollande ne comprend rien aux guerres

idéologiques du XXIe siècle 9. Pour limiter les tensions avec les musulmans 10. Les apprentis-sorciers du mondialisme… 11. L’Education nationale française n’a pas évolué 12. Qatar : que vivent les chrétiens ? ������ 13. Quel est l’impact de la mondialisation et… 14. Quand Manuel Valls se prend pour Bachar el-

Hassad ! 15. UMP : 53% des sympathisants donnent raison à

G. Peltier 16. L’islam au Japon, jubilatoire 17. L’OCCIDENT COMPLIQUE face à L’ISLAM

(II) 18. La police abat un voleur armé d’un couteau 19. Code civil, pénal ou code coranique et pénien ? 20. Le pape François et les « racines chrétiennes de

l’Europe » 21. Bordeaux : Des catholiques insultés à la sortie de

la messe 22. Du champagne pour prévenir la maladie

d'Alzheimer ? 23. Premier épisode du livre de Bruno MEGRET

 

N°53 – 31 Mai 2013  

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PSA ferme une usine mais l'État achète des Ford et des VW Par France Presse Infos - Le Gaulois

Absolument stupéfiante cette information est restée confidentielle jusqu’à ce qu’une « Brève » d'"Auto Plus" la révèle. En 2013, la Police française va largement renouveler sa flotte avec des Ford et des Volkswagen, au moment même où PSA annonce la fermeture d'Aulnay pour 2014 ! L'État achète à l'étranger ! On croit rêver ou plutôt cauchemarder ! Ford vient en effet de remporter un appel d'offre de 1.400 véhicules (des Focus et des C-Max) qui

vont remplacer les Renault Mégane et Scénic (fabriquées à Douai) pour les véhicules officiels de la Police. Et Hollande continue de prétendre qu’il redresse l’économie française ! Volkswagen a également remporté un autre marché, au détriment de Citroën cette fois-ci, puisque les cadres de la Police et de la Gendarmerie rouleront en Passat, des volumes qui auraient pu être utiles au site de Rennes menacé. Ce n'est pas une première puisque Ford avait déjà gagné un gros marché pour la Police il y a dix ans, qui avait déjà ému l'opinion publique. Bien sûr, le directeur adjoint des achats de l'UGAP (Union Générale des Achats Publics), la centrale d'achat de l'État, affirme que la très grande majorité des véhicules achetés par l'État viennent de nos constructeurs nationaux. Mais une telle décision fait désordre alors que PSA vient d'annoncer la fermeture de l'usine d'Aulnay. Pire, alors que le marché automobile va très mal dans toute l'Europe ainsi qu'en France, le gouvernement étudie un projet de « super-malus » qui pourrait lourdement pénaliser les véhicules produits à Rennes et Douai (usines spécialisées dans les véhicules les plus imposants de nos constructeurs). Bref, on voudrait provoquer la fermeture de deux usines automobiles de plus que l'on ne s'y prendrait pas différemment, par-delà les gesticulations d'Arnaud Montebourg. À quoi sert le gouvernement ? C'est bien la question que l'on est amené à se poser aujourd'hui. Arnaud Montebourg donne de sa personne mais on se demande bien à quoi il sert. D'ailleurs, il dit être du côté des syndicats, comme s'il en était réduit à n'être qu'un soutien impuissant des salariés sans le moindre moyen. Bref, le gouvernement ne peut pas protéger les usines nationales des importations ou des délocalisations. Il ne peut pas intervenir dans les choix des multinationales, même quand il est actionnaire (rappelons ici que Renault ne produit plus que 23% de ses voitures en France, contre 44% pour PSA). Il est temps qu'Arnaud Montebourg passe des beaux discours aux actes. Il devrait au minimum imposer à nos administrations qu'elles achètent français. Au moins un pourcentage obligatoire. Pour sa part, toute la Police allemande roule en Mercédès ! Une protestante ouzbèke condamnée à 18 mois de travaux forcés pour détention de littérature chrétienne Le 26 05 2013

Sharofat Allamova, une protestante ouzbèke de la ville d’Urgench (nord-ouest de l’Ouzbékistan) a été condamnée à 18 mois de camp de rééducation par le travail par un tribunal d’Urgench sous l’accusation de « production, stockage, importation et diffusion de littérature religieuse prohibée » – en l’occurrence de la documentation chrétienne. Les autorités de cette satrapie orientale officiellement laïque mais à 90 % musulmane, est très “pointilleuse” sur tout ce qui touche à la religion… Sharofat Allamova est en outre interdite de quitter le pays et ne peut se déplacer en

Ouzbékistan qu’avec des autorisations administratives. Elle a fait appel de sa condamnation. Il faut qu’elle s’estime heureuse car ce que lui a dit l’officier des services secrets qui l’a interpellée c’est « que des gens comme elle devraient être rassembler en un endroit et brûlés »… Source : Forum 18 News Service (Norvège)

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Islam défini comme une religion : piège à bouffons ! Par René Marchand Licencié de langue et littérature arabes. En France, le statut des religions est défini par la loi de 1905, dite loi de séparation des Églises et de l’État. En son article premier, ce texte précise : « La République assure la liberté de conscience ». C’est dire très clairement que la République ne saurait accorder le statut de religion (église, culte…) à une idéologie ou une organisation qui ne reconnaît pas la liberté de conscience. En conséquence, l’islam ne peut être défini comme une religion : il est interdit à un musulman de quitter l’islam (au Maroc, les oulémas, sous l’égide du roi, viennent de rappeler

que « l’apostat » est condamné à mort) ; l’enfant d’un mâle musulman est musulman et, à ce titre, il ne peut, lui non plus, renoncer à l’islam ; la fille d’un musulman n’est pas autorisée à épouser un non-musulman… Les textes qui fondent et réglementent l’islam, ainsi que la législation et la pratique des cinquante-sept pays réunis au sein de l’Organisation de la coopération islamique – l’ONU de l’islam – sont sans ambiguïté. Alors pourquoi, dans notre pays, les instances juridiques (à commencer par le Conseil constitutionnel), les pouvoirs publics, les hommes politiques, les grands référents chrétiens et juifs, les intellectuels, les journalistes… se satisfont-ils d’une définition sans fondement ? Ignorance ? Ethnocentrisme de l’ancien dominant qui a plaqué sur une réalité extérieure à sa civilisation et à sa langue un concept totalement inadéquat ? Certainement, mais aussi dérobade devant la difficulté de traiter un problème « sensible ». On voit les avantages que les musulmans, repartis au siècle dernier à la conquête de l’Europe, retirent de la définition de l’islam-religion. Arguant de nos principes, qu’ils méprisent superbement, et en usant des ressources de la subversion (la taqiyya), les taupes implantées chez nous ne cessent de demander des « accommodements raisonnables », des mosquées dénommées pudiquement « lieux de prière »… et interdisent toute critique de leur doctrine et du comportement de leurs fidèles. Leurs revendications ne cesseront qu’après la disparition de notre civilisation – une échéance qui ne fait aucun doute pour eux, parce que décidée de toute éternité par Allah, et dont chaque musulman doit hâter la réalisation par tous les moyens : aujourd’hui la taqiyya, demain, si nécessaire, la violence armée. Le piège est mortel ! Le peuple l’a détecté et, de plus en plus inquiet, il attend une réaction de ses dirigeants, comme le montrent les sondages. Il est clair que, désormais, les citoyens électeurs répartiront leurs voix en jugeant les hommes et les formations, certes sur leur capacité présumée à résoudre la crise économique et financière, mais au moins autant sur leurs déclarations et leurs actes face à l’offensive islamique. C’est là une nouvelle donnée de notre vie politique. Quel parti, devenu réaliste, au moins par intérêt, saura en tirer avantage ? Pour l’heure, à gauche et à droite, on joue les autruches et les Gribouilles. «L'islam n'est pas une religion de paix, de tolérance et d'amour» (Michel Onfray) Le philosophe français Michel Onfray parle de l'islam dans ses textes : le coran, les hadiths et la sira (biographie de Mahomet). Le 18 octobre sur la chaîne française LCI : À ceux qui voudraient répondre en citant certains passages de l’ancien testament pour démontrer qu’il n’y a pas moins de violence dans la bible et, qu’en dernière analyse, tout est dans l’interprétation des textes sacrés, lire cette chronique d'Hélios d'Alexandrie : L'islam et la sanctification de la violence. Voici la conclusion de sa chronique bien étayée : «La violence islamique se distingue nettement des autres violences religieuses par le fait qu’elle ne peut être dissociée de la divinité qui l’ordonne, qui la sacralise et qui en fait la voie la plus sûre du salut. Le jihad est indissociable de la foi en Allah, la terreur est son instrument de conquête privilégié. Le musulman qui s’engage dans le jihad doit tout faire pour instiller la terreur dans le cœur du non-musulman, c’est par la terreur que l’islam conquiert et se répand. Les musulmans d’aujourd’hui sont les descendants de ceux qui jadis ont cédé à la terreur islamique, ils ont embrassé la religion des envahisseurs pour sauver leur vie et épargner à leurs proches l’horreur de l’esclavage. Quelques générations plus tard les vaincus se sont mués en clones de leurs vainqueurs, et ils ont à leur tour asservi d’autres peuples de la même façon que leurs pères ont été asservis. L’arbre de la terreur et de la tyrannie a été planté il y a quatorze siècles, depuis, l’humanité n’a cessé de récolter ses fruits empoisonnés. Les musulmans sont prisonniers du coran et de la violence dont il est rempli ; ils ne peuvent embrasser sincèrement la paix, la tolérance et le bon voisinage sans renier, en tout ou en partie, leur croyance ; s’ils lui restent fidèles, deux choix s’offrent à eux : se soumettre en silence aux extrémistes ou se joindre résolument à eux.»

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LE SENS D’UN SUICIDE ? 22 Mai 2013 par Ch. Vanneste .Président du RPF « Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale   de la philosophie. » écrivait Albert Camus au début du Mythe de Sisyphe. Le suicide de Dominique Venner hier renvoie à cette introduction célèbre. Mais son écho est multiple. Mort d’un vaincu fasciné et comme attiré par les défaites ? Drieu La

Rochelle ? Nostalgique d’un ordre ancien offrant sa mort en sacrifice ritualisé à ceux dont ils espère le réveil et la renaissance ? Mishima ? Vieil homme fatigué d’une vie vidée de toute espérance ? Montherlant ? Vengeance de celui qui, déçu par l’ Eglise (et non la religion) et par la Nation auxquelles il a trop cru, va volontairement souiller un des plus hauts lieux symboliques de l’une et de l’autre ? Cet acte a un caractère exceptionnel qui le fait échapper à la sociologie mais dont il faut chercher la signification politique. C’est la notion de sacrifice qui paraît le mieux rendre compte de la démarche. Au bout d’une vie consacrée à des combats sans issue, à la mémoire blessée d’un passé idéalisé et aux soldats perdus de toutes les causes vaincues par la marche de l’histoire, cet homme a jeté sa mort au visage d’un pays dont le devenir lui était insupportable. Il l’a fait le jour du triomphe du lobby gay, qui avait commencé par de nouvelles sottises de Bergé, contre la liberté de conscience cette fois, s’était poursuivi par l’annonce élogieuse du dernier film de Soderbergh et devait s’achever par la « fête » à la Bastille, célébrant la promulgation de la loi. Il l’a fait à Notre-Dame de Paris pour toucher l’un des lieux les plus représentatifs de l’identité française. Il y a de la vengeance dans cette mort ambivalente qui est un reproche violent adressé à tous ceux qui laissent couler la France et aussi un appel au réveil d’un pays qui ne cesse de tomber. L’évènement a mis mal à l’aise les partisans de la loi, et n’a pas atteint ceux à qui le message était sans doute destiné : ceux, « à droite » dont l’imposture et les calculs électoraux sont chaque jour plus visibles. Entre ce cri lancé aux « consciences assoupies » et l’injonction de Bergé aux consciences pour qu’elles se soumettent à la loi, le respect ne peut se partager. Il penche évidemment vers Antigone, vers le coeur rebelle à la médiocrité et au renoncement, vers celui qui pense qu’il y a une Loi supérieure à la loi. Celle de Dominique Venner, qui ne croyait pas au ciel, n’était pas divine, mais elle avait sans doute la force de la nature et de la vie, celle des peuples qui ne veulent pas mourir. C’est pourquoi il mêle assez justement l’idée de la sauvegarde de la famille traditionnelle qui est le support naturel de la vie et de sa transmission à celle de la défense de l’identité nationale et de la résistance au remplacement de la population et de sa culture par une immigration excessive. Lorsqu’on lit De Gaulle de bonne foi, on se dit que ces soucis ne lui étaient pas étrangers, que ce soit dans son allusion à Colombey-les-deux-mosquées ou à travers l’hymne à la continuité de la vie qui clôt les Mémoires de Guerre. D’ailleurs, le Général était un rebelle, comme beaucoup d’extrêmistes de droite qui l’avaient rejoint dès 1940, et qui n’étaient pas tous, d’ailleurs, des adeptes de la famille traditionnelle. Mais là s’arrête la comparaison. Dominique Venner était un nostalgique, un admirateur des soldats magnifiquement vaincus, des Sudistes aux réprouvés Corps-Francs de la Baltiques en passant par les Russes Blancs. De Gaulle, lui, croyait en la victoire et en la nécessité d’offrir à celle-ci les moyens les plus modernes de sauvegarder l’essentiel. C’est ce que font semblant de ne pas comprendre les imposteurs qui prétendent parfois le continuer en confondant le progrès avec la décadence, en dissolvant la France dans l’Europe, en ouvrant les portes de l’immigration massive ou en participant à la destruction de la famille. Parce qu’il était chrétien, De Gaulle était un homme d’espèrance, patriote et humaniste à la fois. Parce qu’il a été contraint de mettre fin à la colonisation avec une cruauté qui n’était pas nécessaire, beaucoup de patriotes l’ont combattu et détesté, et Dominique Venner était sans doute de ceux-là. Mais, l’Homme du 18 Juin nous laisse un double message que le suicide de Notre-Dame doit nous rappeler en contrepoint : d’abord, dans les pires moments, ne jamais renoncer ; ensuite réunir les moyens de la victoire afin de restaurer l’ordre légitime un moment supplanté par le règne du « nul et non avenu ». Ainsi doit-il en être de la loi absurde du mariage unisexe ou des renoncements à l’identité et à la souveraineté nationales.

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De  l'offensive  de  l'islam  aux  révoltes  européennes Les  signes  précurseurs  d'une  guerre  civile  meurtrière  au  cœur  du  21eme  siècle   En  ce  début  de  siècle,  partout  en  Europe  les  mêmes  causes  produisent  les  mêmes  effets  : -­‐  depuis  30  ans,  une  immigration  massive  de  populations  dont  la  religion  et  les  cultures  ne  sont  pas  celles  des  européennes -­‐  un  repli  communautaire  et  un  refus  d'assimilation  dans  les  nations  qui  les  accueillent -­‐  une  montée  du  prosélytisme  islamique  dont  l'objectif  est,  à  terme,  la  prise  du  pouvoir  politique  pour  imposer  un  joug  tyrannique  et  moyenâgeux -­‐   une   délinquance   massive   de   jeunes   individus   issus   de   l'immigration   pratiquant   une   violence   extrême   et  brutale -­‐  une  intensification  de  scènes  de  guerre  et  de  trafics  illicites  dans  des  zones  de  non-­‐droit  islamisées -­‐   une   irresponsabilité   et   une   incompétence   édifiantes   des   politiques   pratiquant   la   culture   de   l'excuse   et   le  clientélisme  électoral  affaiblissant  ainsi  l'Etat  régalien -­‐  la  compromission  des  politiques  au  pouvoir  avec  les  représentants  de  l'islam -­‐  des  manifestations  de  plus  en  plus  nombreuses  de  populations  européennes  qui  refusent  de  voir  leurs  pays  s'islamiser,  se  communautariser  et  se  fragmenter Nous   assistons   donc   à   une   destruction   progressive   de   l'Europe,   de   ses   peuples   et   de   ses   valeurs   dont   les  prémices  peuvent  aboutir  à  une  guerre  civile  en  plein  21eme  siècle Allons-­nous  sacrifier  l'avenir  de  nos  enfants,  de  nos  pays  et  de  notre  civilisation  ? En  mémoire  du  combat  de  nos  lointains  ancêtres  et  de  leur  chef  Charles  Martel  au  8eme  siècle En  mémoire  des  souffrances  de  nos  ancêtres  dans  les  guerres  de  religions  au  16eme  siècle En  mémoire  du  combat  pour  la  liberté  de  nos  aînés  contre  les  tyrannies  du  20eme  siècle Face  à  l'inacceptable,  face  à  l'omerta  des  politiques,  citoyens  français,  européens,  révoltez-­vous  ! Article  XI  de  la  Déclaration  des  Droits  de  L'Homme  et  du  Citoyen  de  1789 :  la  libre  communication  des  pensées  et  des  opinions  est  un  des  droits  les  plus  précieux  de  l’Homme  :  tout  Citoyen  peut  donc  parler,  écrire,  imprimer  librement,  sauf  à  répondre  de  l’abus  de  cette  liberté,  dans  les  cas  déterminés  par  la  loi. ------------------------------------------ Retrouvez toutes les vidéos sur l'islamisation de la France, de l'Europe et de l'Occident sur la chaîne Revolteseneurope L'Union Européenne complice de l'islamisation : les preuves On ne pourra pas dire à nos enfants qu'on ne savait pas ! Vu  sur  le  Blog  révoltes  en  europe.com   Une  candidate  Front  de  gauche  aux  législatives  rejoint  le  FN  Anna Rosso-Roig était candidate communiste aux législatives dans les 9e et 10e arrondissements de Marseille. L'an prochain, c'est sous les couleurs de Marseille bleu Marine qu'elle postulera aux municipales.  

À la voir discuter avec le conseiller régional Laurent Comas, il faut croire que même au Front national, l'intégration peut parfois fonctionner. Anna Rosso-Roig est une nouvelle venue étonnante au sein du parti d'extrême-droite. Il y a moins d'un an encore, elle était candidate Front de gauche aux législatives dans la 6e circonscription face notamment à ce même Comas. Après avoir réuni 7 % des voix au premier tour, elle avait au second soutenu le candidat EELV-PS Pierre Semeriva dans

une triangulaire dont était sorti vainqueur Guy Teissier.

En mars prochain, sous les couleurs du Rassemblement bleu Marine, Anna Rosso-Roig sera deuxième de liste dans un secteur municipal encore indéterminé, à choisir entre le 1/7 et le 9/10. C'est dans ces derniers arrondissements où elle vit qu'elle aimerait bien concourir, derrière Laurent Comas pour y obtenir, pourquoi pas, un poste de conseillère municipale dans la dizaine qu'espère obtenir son nouveau parti.

NDFB  ;  Une  preuve,  s’il  en  faut,  que  le  FN  se  gauchise    

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M. Hollande ne comprend rien aux guerres idéologiques du XXIe siècle Source : LE MONDE | 21.04.2013 Par Michel Onfray (philosophe)

Le président de la République a décidé d'une guerre au Mali au moment où il commençait à s'effondrer dans les sondages. Quand on choisit des publicitaires pour nourrir son programme politique, il ne faut pas s'attendre à autre chose qu'à une politique de publicitaire, autrement dit, à une opération de communication. Dans la configuration libérale qui fut celle de Nicolas Sarkozy, et qui reste celle de François Hollande, ce qui est fait l'est toujours en regard de ce qu'on en dira dans les médias – donc de stratégie en matière de réélection.

Ici comme ailleurs, cette guerre au Mali montre l'impéritie idéologique du Parti socialiste qui n'a pas de pensée de la guerre – pas plus qu'il ne dispose d'une pensée de l'éducation, d'une pensée de la santé, d'une pensée de la culture, d'une pensée de la bioéthique, etc. Sur ce sujet de la guerre, les pourvoyeurs d'idées du PS en sont restés au logiciel dominant du Clausewitz (1780-1831) qui théorise dans la configuration napoléonienne. LA GUERRE DES PETITS François Hollande commande en effet à l'armée française de mener au Mali une "grande guerre" du genre napoléonien, alors que nous sommes dans ce que Clausewitz nomme la "petite guerre", autrement dit la guerre des petits, menée par une poignée de combattants dépourvus du matériel de haute technologie de l'armée française qui, dans la formule géopolitique et géostratégique malienne, se révèle d'une totale inefficacité. La France dispose d'une technologie de pointe pour mener une guerre haut de gamme contre des adversaires qui combattent en djellaba, chaussés de tongs, se déplacent en pick-up et font trembler le gouvernement français en pouvant rafler dans n'importe quel endroit du pays une poignée de Blancs transformés en otages, ce qui paralyse immédiatement l'action militaire. Le général Giap et la défaite de Dien Bien Phu ont pourtant montré jadis la supériorité de combattants galvanisés par l'idéologie, déterminés à mener une "petite guerre" contre la force occidentale technologique activée par des fonctionnaires commandés par des politiques – aujourd'hui à la remorque des publicitaires. François Hollande aurait pu lire ou relire L'Iliade dans laquelle Homère oppose la force d'Achille à la ruse d'Ulysse. Hollande a fait le choix des forts, qui sont souvent des brutes sans cervelle, contre celui des faibles, qui se révèlent la plupart du temps des malins très avisés. Achille de l'Elysée a choisi la force ; les combattants islamistes ont opté pour la stratégie d'Ulysse, car ils n'avaient pas d'autre solution. Dès lors, que se passe-t-il ? Quand la force avance dans un désert où personne ne résiste ni ne s'oppose, parce que les rusés reculent et se réfugient dans les montagnes, le fort vainc sans péril et triomphe sans gloire, pendant que le faible n'a presque rien perdu de ce combat mené contre lui. Les non-images de ce "conflit" montrées à la télévision témoignent de cette guerre dite victorieuse menée contre un ennemi réellement invisible : elles ressemblent à un film de propagande du service communication de l'armée française. Que fera Achille le fort quand Ulysse le rusé attendra le temps qu'il faudra dans des grottes inaccessibles aux forts ? Enlisée dans le sable, arrêtée au pied des rochers, l'armée française n'aura le choix qu'entre l'interminable et coûteux siège d'une citadelle invisible dans le désert, avec des ennemis impossibles à localiser, et le retrait piteux qui permettra aux rusés de descendre des montagnes et de revenir dans les villes pour y faire régner la terreur à nouveau. LE VIEUX SCÉNARIO DE LA FRANÇAFRIQUE Pour éviter cela, il faudrait à la France rester sur place et installer son armée en force d'occupation. Si tel devait être le cas, pour se justifier, elle activera l'habituelle rhétorique des droits de l'homme, de la tradition républicaine nationale française, de la lutte contre le terrorisme international, du droit d'ingérence cher au bon docteur Kouchner et à ses amis philosophes. Nous retrouverions alors le vieux scénario de la Françafrique. Si d'aventure la France voulait vraiment faire des économies, elle proposerait, entre autres, une armée européenne qui mutualiserait les matériels, les savoir-faire, les troupes, la technologie, la compétence, les budgets, les commandements.

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Mais il faudrait pour cela une pensée de la guerre qui prendrait enfin acte de la fin de la guerre froide, donc de la fin probable en Europe des grandes guerres, puis de l'avènement dans cette même zone d'une nouvelle ère dans les guerres mondiales : celle des "petites guerres". Ajoutons que, pour pareil projet, il faudrait aussi un président avec une crédibilité européenne et un projet politique digne de ce nom. Et des idées. Quand un individu quasi seul peut mettre en péril la sécurité d'un grand pays industrialisé bardé de technologie militaire en fabriquant ses explosifs à partir d'une recette trouvée sur Internet, a-t-on encore vraiment besoin d'un arsenal d'avions furtifs, d'une noria de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, d'un parc nucléaire apocalyptique, d'une armée pléthorique de techniciens ? Ou faut-il repenser la défense moins en regard de la force d'Achille que de la ruse d'Ulysse ? A l'heure actuelle, nous avons moins besoin du Clausewitz occidental de la guerre totale que du Sun Tze oriental qui cherche à "vaincre sans combattre" et à "ne pas ensanglanter la lame". A qui fera-t-on croire que le risque de terrorisme en Europe, ou sur le sol français, viendrait d'une poignée de musulmans vivant dans les dunes africaines plutôt soucieux de leur business local et de leur zonage tribal que d'établir un califat européen ? Soyons sérieux... Il semble plus facile pour un président soucieux de redorer son blason de pourchasser des va-nu-pieds dans le désert plutôt que de s'attaquer à des Etats riches, forts, puissants, disposant d'une véritable armée, voire de bombes atomiques, et qui souscrivent à l'idéal terroriste d'un certain nombre de musulmans intégristes, notamment l'expansion idéologique en Occident ! Pendant qu'elle fait la chasse aux Maliens en sandalettes, la France déroule le tapis rouge à des Etats qui rachètent petit à petit ce que la France en faillite brade aux émirs les plus offrants... Si la gauche voulait montrer sa différence, ce serait le moment !  Pour limiter les tensions avec les musulmans (comme c’est étrange), Myanmar leur impose un maximum de deux enfants par famille 26 mai 2013 |par: Jean-Patrick Grumberg

Un an de violences dans l’État de Rakhine entre bouddhistes et musulmans. Des émeutes de bouddistes excédés, armés de machettes, ont fait des centaines de morts et fait fuir plus de 100 000 musulmans. Les demandes des musulmans – est-il besoin de développer ? – ont provoqué un rejet massif de la population, et des campagnes contre les communautés musulmanes dans tout le pays. «La croissance de la population des musulmans Rohingyas est de dix fois supérieure à celle des bouddhistes Rakhines. La surpopulation est l’une des causes des tensions

actuelles», a dit Win Myaing. En réponse, une décision politique a été prise qui prévoit : La limite de deux enfants par famille musulmane dans les villages de Buthidaung et de Maundaw, peuplés à 95% de musulmans, L’interdiction de la polygamie, Le doublement du nombre d’agents de sécurité dans la région. La mesure ne sera pas implantée pour l’instant dans les autres régions de l’État de Rakhine, car le nombre de musulmans est plus faible. On ne connait pas encore quelle méthode sera adoptée pour appliquer cette politique familiale. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info  NE  PAS  OUBLIER  :  DE  TRANSMETTRE  CET  HEBDO  A  TOUS  VOS  AMIS  QUI  POSSEDENT  

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Les apprentis-sorciers du mondialisme… Chronique de Philippe Randa (23 mai 2013) Cette chronique est paru dans le numéro 15 (mai 2013) du mensuel Salut public(http://troisiemevoie.fr/category/salut-public/) Voilà, la loi autorisant le mariage homosexuel est votée ! On s’y attendait. Reste maintenant à savoir qui a gagné quoi, finalement… Et qui sont réellement les perdants du bras-de-fer des « pour » et des « contre ». Car au-delà de cette incontestable victoire législative des partisans du « Mariage pour tous », que constate-t-on ? D’abord, une formidable mobilisation populaire à travers la France à laquelle personne ne s’attendait… On n’avait rien connu de tel dans les pays qui avaient déjà autorisés ce type de législation. En Belgique, notamment, où « ils » et « elles » peuvent s’unir entre eux et entre elles depuis dix ans, tous les outre-quiévrains s’en tamponnent le coquillard de leur conjoint(e) comme de leur première frite. En France, c’est plus d’un million de manifestants, non seulement de papa et maman (sans bonne, mais avec enfants), cotoyant nombre d’homosexuels hostiles au chamboulement du mariage traditionnel… Ce sont des chrétiens aux coudes-à-coudes avec des musulmans et des juifs tout aussi choqués qu’eux… C’est la France d’en bas – prolétaires, smicards et demandeurs d’emplois – et celle du milieu – cadres, commerçants et professions libérales – accompagnant quelques « nantis » aux fins de mois assurées… Ce sont les jeunes et les moins jeunes des banlieues parisiennes – de l’Est comme de l’Ouest – qui déambulaient au même rythme que ceux venus de Navarre… et c’est, comble de l’abomination, des élus du Front national à quelques enjambées d’élus de l’UMP, qui plus est dépassés par ces derniers dans la surenchère anti-mariage pour tous ! Sans compter un « peuple de gauche » qui pour avoir été peu remarqué dans les medias, n’en était pas moins fort présent. Et très rapidement, au fil des mois, les manifestations se sont poursuivies sans jamais faiblir ; la détermination des participants fut plus assurée de jours en jours, tandis que les hérauts médiatiques habitués à se pavaner avec tapis rouge devant micros et caméras, se sont vus conspués, quand ce ne fut pas coursés dans les gares à l’exemple de la journaliste femelle et passionnaria homosexuelle Caroline Fourest… Ce qui restera toujours assez plaisant à se rappeler. Ce qui l’est moins, ce sont les agressions d’homosexuels, quasiment éradiquées ces dernières années, qui ont réaparrues… et que nombre de Français ayant bien d’autres preoccupations que les bouffonneries d’une coterie en mal de médiatisation, se sont mis à trouver que, quand même ! ça commençait à bien faire et que « les pédés les em… »… Retour en force d’une homophobie physique et d’une homophobie spirituelle : la totale, quoi ! Le gouvernement, voyant la tournure que prenait ce projet de loi dans l’opinion, accéléra alors la procédure pour en finir le plus vite possible, ce qui renforça, quand ce ne la fit pas naître, la conviction que les tenants du « mariage pour tous » n’étaient sans doute pas si majoritaire que cela en France… Pas très rassurés qu’elles étaient, les troupes de dame Taubira ! Et ce projet de loi qui n’avait d’autre finalité que de détourner l’attention des Français des échecs économiques et sécuritaires du gouvernement, n’a réussit, finalement, qu’à canaliser tous les mécontentements. C’est dire si messieurs Hollande et Ayrault n’ont obtenu là qu’une victoire à la Pyrrhus avec la perspective des dommages colatéraux à venir… Au-delà d’ailleurs des conséquences douloureuses pour les socialistes de cette affaire qui ne leur sera en tout cas pas d’un grand profit électoral, il en est une autre qu’on a rarement évoqué ; elle est pourtant significative : la prise de conscience qu’après la perte des emplois – délocalisations effrénées – la perte des frontières – tout le monde a le droit d’être chez lui chez nous – il ne restait plus que l’image de la famille à faire voler définitivement en éclat pour imposer aux citoyens de nouvelles valeurs… Ces nouvelles valeurs des partisans de la mondialisation pour qui les frontières d’un État souverain et les emplois sauvegardés d’un peuple ne sont en aucun cas compatibles avec de rapides et insatiables profits… La cellule familiale leur posait encore un problème. Il leur fallait sa disparition pour avoir le champ totalement libre. Les apprentis-sorciers du mondialisme ont obtenu une loi, mais ont ravivé du même coup chez nombre de nos compatriotes un indéniable sentiment d’identité… qui ne demandait sans doute qu’une occasion pour se manifester au grand jour. Ils furent plus d’un million à sortir ces derniers temps d’une dramatique léthargie… S’il y a des boîtes de pandores qu’il est dangereux d’ouvrir, il y a des pays qu’il est plus imprudent encore de réveiller…

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L’Education nationale française n’a pas évolué depuis les années 1950.

Le niveau des élèves a énormément baissé. Depuis 1968, la contestation remplace la formation. L’on pourrait même le formuler ainsi : la fumisterie remplace la connaissance. La caste des enseignants est devenue la nouvelle bourgeoisie. Elle constitue, avec la caste des journalistes, la caste des universitaires, la caste du showbiz (qui en ce moment à Cannes se tape un festival de callgirls de luxe à 40’000 euros la nuit) et la caste des fonctionnaires, le pouvoir dominant en France depuis 35 ans. Que la droite soit, ou ne soit pas, au pouvoir, ne change rien au fait que le pouvoir dominant en France, est et reste, dans tous les cas de figure, celui de la bourgeoisie de gauche. Les parents qui placent leurs enfants dans des écoles privées payantes doivent néanmoins payer – en plus – l’impôt qui finance l’Education nationale publique, notamment son budget

annuel pharaonique de 50 milliards d’euros qui rémunère 830’000 enseignants. Non seulement l’Education nationale est coûteuse, archaïque et inefficace ; mais en plus, elle s’avère incapable de gérer la violence et la délinquance en milieu scolaire, notamment celles perpétrées par les adolescents issus, non pas de l’immigration en général, mais de l’immigration musulmane en particulier. Sous le prétexte fallacieux que reconnaître cela serait soi-disant « islamophobe » (et donc « raciste »), l’Education nationale favorise – de fait – cette violence et cette délinquance. La chasse aux « islamophobes » (les gens qui ont de bonnes raison d’avoir peur de l’islam), cette chasse est devenue une forme de répression intellectuelle et morale. Ajoutez à cela la lutte contre « les homophobes » (les gens qui affichent sans complexes leur hétérosexualité) ; la théorie du « gender », selon laquelle l’enfant, à la puberté, décide s’il veut ou pas changer de sexe ; et vous avez une image assez précise de l’univers sectaire et délirant qui porte – en réalité usurpe – le nom « d’Education nationale » (rééducation antinationale serait plus exact). A ce propos justement, en France, l’Education nationale ne souffre pas d’un manque de moyens budgétaires ou d’effectifs, mais elle souffre d’une mauvaise organisation et d’une utilisation défaillante des dispositifs existants, estime la Cour des comptes dans un rapport publié, aujourd’hui, mercredi 22 mai 2013. Les principes de gestion du ministère de l’Education nationale n’ont pas évolué depuis le milieu du 20e siècle et ont des effets contraires aux objectifs affichés, ajoute la Cour. L’effort financier consenti par la France est comparable, voire même supérieur à celui des pays qui assurent mieux que les Français la réussite de leurs élèves, ajoute la Cour des comptes. Le système éducatif français souffre avant tout d’une mauvaise organisation, et non d’une insuffisance de ses ressources financières et humaines. La France compte plus de 830’000 enseignants – soit la moitié du total des fonctionnaires de l’Etat – et cela représente une masse salariale astronomique de près de 50 milliards d’euros par an. Avec 65% des néo-titulaires du second degré affectés, soit en établissement difficile, soit comme remplaçants, le système actuel favorise l’instabilité des débutants et encourage peu la mobilité des enseignants expérimentés, qui sont surreprésentés dans les académies attractives. La revalorisation du métier est jugée indispensable pour surmonter la crise d’attractivité que la profession traverse. Un instituteur démarre à 1’801 euros nets par mois et perçoit 2’135 euros nets par mois en milieu de carrière (ndmg – c’est beaucoup si l’on considère la médiocrité du système). En collège et lycée, un professeur certifié entre dans le métier avec 1’843 euros nets par mois et un agrégé 2’268 euros nets par mois. En milieu de carrière, ils gagnent respectivement 2’473 et 3’216 euros nets par mois. La Cour des comptes recommande d’inclure – dans les obligations de service – les heures nécessaires aux activités qui entrent dans le cadre de la mission des enseignants. La Cour des comptes propose de faire des économies, d’une part, en mettant en place une rationalisation de la scolarité ; et d’autre part, en annualisant le temps de travail des enseignants. Une gestion optimale de cette ressource, a fortiori dans le contexte difficile des finances publiques françaises, est une nécessité, estime la Cour des comptes. C’est le moins que l’on puisse dire. Reproduction autorisée Avec mention Michel Garroté www.dreuz.info

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Qatar  :  que  vivent  les  chrétiens  ?    22/05/2013      Clubs  de  football,  grands  magasins  parisiens,  hôtels  de  luxe…  le  Qatar  affiche  ses  succès  économiques.  Qu’en  est-­il  de  la  situation  des  chrétiens  du  pays  ?  

   Chrétiens  sans  droit  de  culte  Les   plus   nombreux   sont   des   immigrants   venus   d’Asie   du   Sud.   Ils  travaillent  du  matin  au  soir  dans  des  conditions  très  pénibles,  et  ils  vivent   dans  des   « camps  de   travail »,   des   villages   dortoir   pour  travailleurs  immigrés.  Dans  ces  villages,  ils  n’ont  accès  ni  à  la  liberté  de   culte,   ni   au   droit   de   réunion.   Leurs   seuls   moments   de  communion  fraternelle  doivent  se  faire  dans  le  secret.    Légende   :  Complexe  d'églises  de  plusieurs  confessions,   isolé  à   l'extérieur  de   la  ville  de  Doha  Au  Qatar,   les  chrétiens  ont  peu  ou  pas  de  droits  et  vivent   leur   foi  dans   le  secret.    On  y  compte  deux  sortes  de  chrétiens.  Chrétiens  sans  droit  d’existence  

La   situation   est  pire  pour   les   chrétiens  d’origine  musulmane,   la   seconde   catégorie  de   chrétiens  présents   au  Qatar.  Quitter  l’islam  pour  une  autre  religion  est  une  grave  atteinte  à  l’honneur  de  la  famille,  avec  un  risque  de  mise  à  mort  par  ses  proches.  Un  Qatari  explique :  « Si  mon  fils  voulait  quitter  l’islam  à  l’âge  de  10  ans,  je  lui  ferais  lire  le  Coran,  à  l’âge  de  15  ans,  je  lui  ferais  donner  des  cours  à  la  mosquée ;  à  l’âge  de  20  ans,  j’enverrai  quelqu’un  pour  le  tuer. »  Les  chrétiens  d’origine  musulmane  font  leur  possible  pour  cacher  leur  conversion  et  souffrent  d’un  manque  cruel  de  communion  fraternelle.    Un  effet  coupe  du  monde  ?  Le  Qatar  accueillera  le  Mondial  de  football  en  2022  et  bien  que  le  pays  souhaite  faire  bonne  figure  sur  la  scène  internationale,  il  est  peu  probable,  malheureusement,  que  les  chrétiens  en  bénéficient.      Certes,  le  pays  peut  se  targuer  de  posséder  trois  complexes  où  les  chrétiens  peuvent  se  réunir  librement,  mais  ceux-­‐ci  sont  excentrés,  trop  petits  et  étroitement  surveillés.  De  plus,   ils  sont  réservés  aux  chrétiens  étrangers.  Ailleurs  dans  le  pays,  toute  réunion  chrétienne  est  interdite.        

Quel est l’impact de la mondialisation et du libéralisme sur la société française

Depuis la fin de l’empire soviétique, le marché peut faire la loi sans contre-pouvoir… La chute du Mur de Berlin confère les pleins pouvoirs au capitalisme dans sa formule libérale. Le Parti Socialiste français avait déjà vendu son âme au libéralisme en 1983 avec François Mitterrand qui fut le bradeur de ce qui restait de gauche au PS. Le libéralisme est pour l’instant sans contre-pouvoir efficace. En France, d’aucuns comme moi, qui ne sont pas libéraux ne se retrouvent pas pour autant dans l’antilibéralisme lepéniste ou dans sa version mélenchonienne qui, pour le premier, compose avec un Jean-Marie Le Pen qui cite Brasillach et, pour le second, avec un Jean-Luc Mélenchon qui affirme que Cuba n’est pas une dictature et trouve des vertus aux dictateurs d’Amérique du sud ennemis d’Israël. Jamais le capitalisme ne s’est aussi bien porté : la crise est la preuve de son excellent état de santé ! Ce capitalisme se réjouit probablement de n’avoir en face de lui que des fantoches antilibéraux qui le font rire sous cape ! Poutou ou Arthaud en navires amiraux de la lutte contre le capitalisme planétaire, voilà qui doit faire se tordre de rire le grand capital – pour sa part, le peuple peut préparer ses mouchoirs, comme d’habitude… Michel ONFRAY Philosophe

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Quand Manuel Valls se prend pour Bachar el-Hassad !

De   longue   date,   la   gauche   française   a   aimé   jouer   à   se   faire   peur.  Internationale   noire,   Ordre   nouveau,   fascisme   éternellement   renaissant,  nervis  de  Le  Pen,  0pus  Dei  tentaculaire,  milices  paramilitaires,  en  attendant  le  retour  du  complot  jésuite  et  l’arrivée  des  Raéliens  au  pouvoir.  S’il   est   désolant   de   voir   une   Frigide   Barjot   tenter   de   se   dédouaner   en  dénonçant   l’aile   «  radicale  »   du   collectif   de   la   Manif   pour   tous,   il   est  

parfaitement   grotesque   de   voir   un   Manuel   Valls   potasser   à   la   hâte   son   Code   pénal,   juste   histoire   de   voir  comment  il  pourrait  dissoudre  la  nébuleuse  du  Printemps  français,  en  même  temps  que  Béatrice  Bourges,  sa  porte-­‐parole.   Ce   qui   va   être   coton,   c’est   qu’à   l’instar   du   GUD,   le   collectif   en   question   n’a   pas   la   moindre  existence   juridique.   Un   peu   comme   les   Indignés   de   Madrid   ou   les   Occupy   Wall   Street   de   New   York,  mouvements  tout  aussi  informels  et  pas  plus  violents  que  l’objet  de  ces  lignes,  mais  qui  bénéficient  d’une  rare  indulgence  médiatique  en  nos  contrées.  Comme  quoi   il  y  aurait   les  «  bons  »  et   les  «  mauvais  »  manifestants…  Les  révoltés  qu’on  salue  et  ceux  qu’on  rêverait  de  voir  finir  au  gnouf.  Étrange  gauche  que  celle-­‐ci.  Un  pavé  dans  une  main,  la  matraque  dans  l’autre.  Et  dire  que  ces  turlupins  osent  se   prétendre   libertaires,   militent   pour   une   extension   infinie   des   «  droits  »,   tout   en   voulant   sans   cesse  restreindre  ceux  des  autres,  «  autres  »  dont  le  seul  crime,  finalement,  consiste  à  refuser  de  penser  au  pas  et  en  rang  par  deux.  Plus   burlesque   encore,   cette   place   Beauvau   qui   explose   le   déliromètre   paranoïaque  :   «  La   ligne   jaune   a   été  franchie.   C’est   le   Printemps   français   lui-­même   qui   s’est   placé   en   dehors   de   la   légalité   républicaine…  »   Rien   de  moins.   Et   peut-­‐on   savoir   en   quoi   cette   «  ligne   républicaine  »   aurait   été   «  franchie  »  ?   En   saccageant   le  Trocadéro  ?   En   se   promenant   dans   la   rue   tout   en   brandissant   des   drapeaux   étrangers  ?   En   fracassant   les  vitrines  ?  En  mettant   le   feu  aux  voitures  ?  En  détroussant   les  passants  ?  Ces  gens-­‐là  doivent   confondre  avec  d’autres  événements.  Ou   ils   se   trompent  de  bonne   foi  et  nous  avons  affaire  à  d’indécrottables  ahuris.  Ou   ils  nous  baratinent   sciemment  et   là,   ils   sont   encore  plus   attaqués  du  bulbe  que   la  moyenne  :   en  effet,   qui  peut  encore,   aujourd’hui,   croire  à  de   telles   fadaises  ?  Le  mensonge  d’État,  pour  être  plausible,  demande,   à  défaut  d’intelligence  politique,   un  peu  plus   de   vraisemblance.   Et   dire   qu’il   y   a   encore  des   couillons   de  droite   pour  croire  que  Manuel  Valls  est  la  caution  «  sécuritaire  »  du  gouvernement…  N.  Gauthier  Boulevard  Voltaire  NDFB : Le titre est tout de même un peu exagéré! UMP  :  53%  des  sympathisants  donnent  raison  à  Guillaume  Peltier  contre  44%  à  NKM  Le bureau politique de l’UMP avait décidé mercredi un rappel à l’ordre de Guillaume Peltier, pour ses propos contre NKM.

C'est   un   sondage   BVA-­‐iTélé   qui   donne   le   chiffre   ce   vendredi.   53%   de   l'UMP   estiment   qu'il   faut   une   droite  affirmée.  44%  se  placent  en  revanche  sur  la  ligne  d'une  droite  modérée  comme  NKM,  candidate  à  la  mairie  de  Paris.  Une  étude  qui  donne  donc  raison  à  Guillaume  Peltier.  Pourtant,   le  vice-­‐président  du  parti  d'opposition  avait  eu  un  violent  rappel  à  l'ordre  des  cadres  de  l'UMP,  mercredi.  Le   Bureau   politique  "manifeste   ainsi   sa   désapprobation"  et   demande   à   Guillaume   Peltier  "de   se   conformer   à  une  pratique  beaucoup  plus  respectueuse  des  uns  et  des  autres",  avait  précisé  un  communiqué.  Venu  du  FN    puis  passé  au  MPF  de  Philippe  de  Villiers,  Guillaume  Peltier*  est,   avec  Geoffroy  Didier,  un  des  deux   chefs   de   file   de   la   motion   Droite   forte   arrivée   en   tête   des   courants   de   l’UMP   lors   du   congrès   de  novembre  2012.  Se  réclamant  de  Nicolas  Sarkozy,  elle  avait  réuni  27,8%  des  voix,  devant  la  Droite  sociale  de  Laurent  Wauquiez   (21,7%).   Selon  un  participant,   Peltier,   36  ans,   était   absent  de   la   réunion  du  BP  de   l’UMP  mercredi  matin.  ND FB * : et surtout formé par Bruno MEGRET lors de son passage au MNR

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L’islam  au  Japon,  jubilatoire  25  mai  2013  |  par:  Jean-­‐Patrick  Grumberg  Je  republie  cet  article  car  il  est  intemporel…  

Avez-­‐vous   jamais   lu   qu’un   dirigeant   politique   ou   un   premier   ministre   d’un   pays  islamique  a  visité  le  Japon  ?  Avez-­‐vous  jamais  entendu  que  le  roi  d’Arabie  saoudite  ou  le  Président  iranien  ont  visité  le   Japon?   (Il   y   a   eu   4   visites   d’un   officiel   d’Arabie   Saoudite   au   Japon   en   presque   un  siècle,  et  1  visite  d’un  président  iranien,  en  2000.    

Le  Japon  impose  des  restrictions  strictes  à  l’islam  et  aux  musulmans.  a)  Le  Japon  est  le  seul  pays  qui  ne  donne  pas  la  citoyenneté  aux  musulmans.  b)  Au  Japon  les  musulmans  n’ont  pas  droit  à  la  résidence  permanente.  c)  la  propagation  de  l’Islam  au  Japon  est  très  mal  vue  par  la  population.  d)  Dans  les  Universités  du  Japon,  l’arabe  et  l’islam  ne  sont  pas  enseignés,  dans  quelle  que  langue  que  ce  soit.  e)  l’importation  de  Coran  en  langue  arabe  est  interdite.  f)  Selon  les  données  du  gouvernement  japonais,  il  a  été  donné  le  droit  à  résidence  temporaire  à  seulement  2  musulmans  lakhs,  qui  doivent  respecter  la  loi  japonaise.  Ces  musulmans  doivent  parler  le  japonais  et  effectuer  leurs  rites  religieux  dans  leurs  appartements.  g)  Le  Japon  est  le  seul  pays  au  monde  qui  dispose  d’un  nombre  négligeable  d’ambassades  de  pays  islamiques.  h)  les  Japonais  ne  sont  pas  attirés  par  l’Islam.  i)  Les  rares  musulmans  résidant  au  Japon  sont  des  salariés  des  sociétés  étrangères.  j)  Aujourd’hui,  le  Japon  n’accorde  plus  de  visas  aux  médecins,  ingénieurs,  ou  gestionnaires  musulmans  envoyés  par  des  sociétés  étrangères.  k)  Dans   la  majorité  des  entreprises,   il   est  précisé  dans   leurs   règlements  que   les  musulmans  ne  peuvent  pas  postuler  pour  un  emploi.  l)  Le  gouvernement   japonais  est  d’avis  que   les  musulmans  sont  des   fondamentalistes  qui  même  à   l’ère  de   la  mondialisation,  ne  sont  pas  prêts  à  changer  leurs  lois  musulmanes.  m)  les  musulmans  peuvent  difficilement  louer  une  maison,  au  Japon.  n)  Si  quelqu’un  apprend  que  son  voisin  est  musulman,  tout  le  quartier  est  alerté.  o)  Nul  ne  peut  créer  une  cellule  islamiste  ou  école  islamique,  au  Japon.  p)  La  charia  n’est  pas  autorisée  au  Japon.  q)   Si   une   femme   japonaise   se   marie   avec   un   musulman,   elle   est   considérée   comme   une   paria.  r)  Selon  M.  Komico  Yagi  (chef  de  département  de  l’Université  de  Tokyo)  «  Il  y  a  un  état  d’esprit  au  Japon  selon  lequel  l’islam  est  une  religion  très  étroite  d’esprit  et  chacun  devrait  se  tenir  à  l’écart  de  cette  religion  »  s)  Le  journaliste  indépendant  Mohamed  Juber  a  visité  de  nombreux  pays  islamiques  après  les  attentats  du  11  septembre,  y  compris  le  Japon.  Il  a  constaté  que  les  Japonais  sont  persuadés  que  les  extrémistes  musulmans  ne  peuvent  pas  frapper  au  Japon.  t)  Le  Japon  compte  126  millions  d’habitants.  Interrogé  sur  le  nombre  de  musulmans,  Abu  Bakr  Morimoto,  ex-­‐président   de   l’association   islamique   japonaise   répondait   :   «  franchement,   il   y   a   peut-­‐être   1000  musulmans  japonais,  et  le  nombre  de  30.000  est  très  largement  exagéré  ».  u)   Quelques   Japonais   ont   entendu   parler   de   l’islam   pour   la   première   fois   en   1877,  mais   seulement   comme  «  histoire  des  cultures  ».  v)  le  «  boom  de  l’islam  »  au  Japon  a  été  provoqué  par  l’armée  japonaise  et  date  de  la  seconde  guerre  mondiale.  Une   mosquée   à   a   été   construite   à   Kobe,   et   une   centaine   de   livres   et   journaux   ont   été   publiés   sur   l’islam.  L’objectif   de   l’armée   était   d’être   mieux   équipé   afin   d’acquérir   une   bonne   connaissance   de   l’islam   et   des  musulmans.  En  1945,  l’islam  disparu  rapidement  du  Japon.  w)   en   1890,   l’Empire   Truc   Ottoman   a   envoyé   un   vaisseau   au   Japon   dans   le   but   d’entamer   des   relations  diplomatiques   et   pour   présenter   l’Islam   aux   Japonais.   Le   navire   s’appelait   Ertugrul,   et   sur   son   chemin   de  retour,  il  a  coulé  avec  609  personnes  à  bord.  x)  Il  y  a  une  trentaine  «  d’appartements  mosquées  »  dans  tout  le  Japon.  y)   Les   Japonais   considèrent   que   l’islam   est   une   religion   étrange   de   pays   sous   développés.  z)   Au   Japon,   on   ne   trouve   ni   nourriture   halal,   ni   éducation   islamique,   ni   médias   en   arabe,   ni   littérature  islamique.  Reproduction  autorisée  avec  la  mention  suivante  :  ©  Jean-­‐Patrick  Grumberg  pour  www.Dreuz.info  

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 L’OCCIDENT COMPLIQUE face à L’ISLAM (II)    24 Mai 2013  

La multiplication des prétendus « loups solitaires » qui ont le plus souvent fréquenté des mosquées fondamentalistes, effectué des voyages suspects et en tout cas noué des rapports avec la mouvance extrêmiste via internet, est le pendant intérieur du départ pour les « fronts » du djihad, en Afrique ou au Moyen-Orient de combattants islamistes convertis ou non, mais apparemment intégrés aux sociétés occidentales et à la société française, en particulier. Ces

phénomènes ne sont pas massifs, mais ils signifient clairement que la guerre entre l’Islam et et le monde développé chrétien est pour certains ce qui donne un sens à la vie. L’Occident est désemparé face à une situation qu’il a créée en employant pour chasser les soviétiques d’Afghanistan la formule magique d’un apprenti-sorcier : armes américaines, argent séoudien, soutien de l’armée pakistanaise et moujahidines venant se battre pour leur foi. Comme toujours l’apprenti sorcier a été dépassé par un sorilège qui lui échappe et se retourne contre lui. C’est l’histoire d’Al qaïda et de ses métastases. L’ennemi n’est plus seulement le russe, lequel n’est d’ailleurs plus matérialiste ni athée. C’est aussi et surtout le Chrétien occidental, allié à Israël, arrogant par sa richesse, mais affaibli par sa décadence morale sur lequel peuvent se focaliser les souvenirs légendaires des guerres contre les croisés, la mémoire plus récente de l’humiliation coloniale et les frustrations des « indigènes » des quartiers sensibles. Les Puissances Occidentales ne peuvent soutenir longtemps, sur des terres étrangères, des guerres coûteuses en hommes et en moyens, et dont le résultat politique demeure douteux. La mauvaise conscience coloniale, la hantise des démocraties contemporaines d’être confrontées à des pertes humaines importantes, la préférence pour l’économie les poussent à mettre fin aux conflits, quitte à abandonner le terrain en continuant à menacer les ennemis au moyen de drones. Faute d’avoir pu faire de l’Irak ou de l’Afghanistan des démocraties à l’occidentale, pris dans des alliances équivoques avec des pays islamistes, l’Occident connaît une double prise de conscience : en premier lieu, il ne peut vouloir une chose et son contraire, aider les extrêmistes en Syrie et les combattre ailleurs; en second lieu, il ne peut pas davantage nourrir une conception juridique, libérale et formelle de la citoyenneté et accepter dans la communauté nationale des individus qui sont animés par un fanatisme communautaire religieux, faire des citoyens de papier avec des gens pour qui ce papier n’est qu’un chiffon sans valeur. La solution n’est ni économique, ni sociale. Elle est politique et culturelle. La lecture de Malika Sorel doit nous redonner espoir à condition de larguer une fois pour toutes l’idéologie aveugle qui va de pair avec une ouverture excessive des frontières. Que nous dit-elle ? D’abord, que c’est au migrant à s’adapter à la société dans laquelle il veut vivre, et non l’inverse. Ensuite, que « l’intégration se joue entièrement sur le registre affectif et moral. » Ceux qui veulent vivre en France et plus encore, ceux qui veulent devenir Français, doivent sentir un pays fier de lui, de son passé de grande nation chrétienne, résolument tournée vers la construction d’un avenir fondé sur le bonheur sain des familles qui la composent. Les immigrés doivent avoir pour objectif de s’intégrer en considérant comme un progrès personnel le fait de s’assimiler par leur mode de vie à l’ensemble de la population. La pratique religieuse est libre. Elle ne peut en aucun cas servir de prétexte à des provocations ou à des revendications déplacées. Un fichu sur la tête est acceptable. Un niqab ne l’est pas car il est avant tout un défi à la société et non un signe de foi. De même, les services publics qui doivent veiller à leur neutralité n’ont pas à obéir à des exigences alimentaires ou vestimentaires d’ordre confessionnel. Enfin, l’Ecole doit clairement inscrire l’amour de la France à son programme. » L’abandon de la théorie de la victimisation-repentance est une absolue nécessité » , nous dit encore Malika Sorel. La balance des réalisations médicales et scolaires, des infrastructures, des souffrances endurées par les rapatriés, et de la participation aux conflits des troupes « indigènes » doit permettre un respect mutuel. Le choix de vivre en France pour améliorer son niveau de vie et peut-être celui de la famille restée au pays doit éveiller de la reconnaissance pour le pays d’accueil, et non de l’agressivité. Sans complexe, la politique d’immigration doit être avant tout fondée sur l’intérêt national. Le canal qui doit être privilégié de manière quasi-exclusive est le travail, en fonction des offres non pourvues et avec des quotas fondés sur des besoins dans le temps et l’espace. De même, des quotas doivent être établis en fonction de l’origine nationale et une politique très directive du logement doit être mise en oeuvre afin que ne se constituent pas des regoupements au sein desquels se développent des solidarités contraires à l’intérêt du pays. La citoyenneté doit être excusivement réservée à la nationalité. L’accès à cette dernière doit être étroitement limitée à l’expression de la volonté manifestée aussi par un respect absolu des lois.

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La pluri-nationalité doit être encadrée : limitée à l’intérêt national le plus possible, et avec un recours très large à la déchéance pour ceux qui ont failli à leur engagement envers le pays. Les « droits » des individus ne doivent pas conduire à altérer ceux des citoyens, au nom de je ne sais quelle discrimination positive. Cette conception ferme et réaliste est la seule qui puisse faire en sorte qu’il y ait encore des Imad Ibn Zaïten et plus du tout de Merah. Ch. Vanneste président du RPF  La police abat un voleur armé d’un couteau (26/05/2013) Homme  abattu  dans  les  Marolles:  ouverture  d'une  instruction  judiciaire  

L’homme  venait  de  poignarder  une  touriste  avec  sa  lame  et  s’avançait  vers  les  policiers  malgré  un  tir  de  sommation  BRUXELLES  L’homme   d’une   trentaine   d’années,   d’origine   maghrébine   mais   sans   aucun  document   d’identité,   était   sur   le   point   de   poignarder   une   dame   du   sud   de  l’Europe  en  voyage  en  Belgique  après  l’avoir  blessée  à   la  main  avec  un  couteau  mesurant  pas  moins  de  25  cm  lorsqu’il  a  été  repéré  par  des  policiers  de  la  zone  Bruxelles-­‐Capitale/Ixelles   à   16h   devant   la   Chapelle   des   Brigittines,   rue   de   la  Chapelle,  à  Bruxelles.  Il  voulait  se  saisir  de  l’iPhone  et  du  sac  de  la  jeune  femme  

mais  celle-­‐ci  se  débattait.  Les  policiers  ont   sorti   leur  pistolet   et   ont   intimé  à   l’homme  de   lâcher   son  arme,   sans   succès.  Mais   l’homme  penché  sur  la  victime  s’est  relevé  et  a  commencé  à  marcher  vers  les  agents  de  police,  menaçant.  “Ils  ont  été  très  patients  ”,  confie  un  témoin  de  la  scène.  Lorsqu’un  policier  lui  lance  “Lâche  ton  couteau”,  l’individu  s’emballe  :  “Je  n’en  ai  rien  à  foutre,  c’est  la  fin  du  monde  !  Tirez-­moi  dessus  !  ”  Sur  près  de  150  m   ,   les  policiers  ont  marché  à   reculons   tandis  que   l’homme  s’avançait  vers  eux.   “Le   type  ne  donnait  pas   l’impression  de  vouloir   lâcher  ”,  confie  un  observateur  de   la  scène  depuis  son  balcon.  “Tire  sur   la  jambe  ”,  aurait  crié  un  voisin,  comprenant  que  la  situation  risquait  de  dégénérer.  Deux  autres  équipes  de  police,  prévenues,  sont  alors  arrivées  à  hauteur  de  l’action.  Mais  rien  n’y  faisait.  Après  un  premier  tir  de  sommation,  une  balle  a  été  tirée  dans  la  poitrine  de  l’agresseur.  “Les  tentatives  de  réanimation  ont  échoué  ”,  indique  Bruno  Bulthé  le  procureur  du  Roi,  descendu  sur  les  lieux.  Peut-­‐on  parler  de  bavure  ?   “Il  est   trop  tôt  pour   le  dire,  une  enquête   interne  aura   lieu  et  une   instruction  est  en  cours.  Deux  dossiers  ont  été  ouverts  :  un  premier  sur  l’agression  de  la  dame  et  un  second  à  charge  de  X  concernant  le  décès  de  l’homme  .”  La   femme   légèrement  blessée  mais   très   choquée  a  été  emmenée  à   l’hôpital  pour  être   soignée.  Les  policiers,  dont  les  nerfs  ont  été  mis  à  rude  épreuve,  sont  suivis  par  la  Stress  Team  de  la  police.  Concernant  l’action  des  policiers,  “il  s’agit  de  la  procédure  classique.  Une  sommation  puis  un  tir  ”,  a  précisé  Christian  De  Coninck,  porte-­‐parole  de  la  police  locale.    Raphaël Cayrol      Code civil, pénal ou code coranique et pénien ?

La  première  question  à  se  poser  en  rapport  avec  l’islam  serait  :  est-­‐ce  qu’on  le   considère   comme   une   mouvance   strictement   religieuse   ou   bien   une  idéologie   qui   comprend   notamment   des   aspects   juridiques   dans   ses  fondements.  Dans  le  second  cas  :  il  suffit  de  poser  la  question  :  est-­‐ce  que  deux  systèmes  juridiques,  dont  les  fondements  sont  par  ailleurs  diamétralement  opposés,  peuvent-­‐ils  cohabiter  sur  un  même  territoire?  Car   l’islam   est   tout   sauf   une   religion,   c’est   un   système   politique  théocratique,  totalitaire,  oppresseur,  conquérant.  Un   fléau,   à   éradiquer,   comme   le   nazisme   et   la   peste.   Source   Blog   Les  

jérémiades  de  Mylestin          

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Le pape François et les « racines chrétiennes de l’Europe » Le 25 05 2013 Le pape François a reçu le 24 mai à Rome, en audience privée, le comité exécutif de la Commission des épiscopats

de la Communauté européenne (Comece). Selon un communiqué de cet organisme : « Le Saint Père a exprimé sa profonde appréciation des racines chrétiennes de l’Europe et a demandé aux évêques de transmettre un message d’encouragement à tous ceux qui travaillent à faire avancer le projet européen ». Une appréciation particulièrement bienvenue alors que l’Union Européenne et tant de pays membres s’efforcent depuis des années à nier nos racines chrétiennes et à pousser à la christianophobie ! Source : Comece

Bordeaux : Des catholiques insultés à la sortie de la messe

Une  quinzaine  de  personnes  sont  venues  insulter  les  paroissiens  de  Saint-­‐Eloi  à  la  sortie  de  la  messe  ce  dimanche  matin.  L’information  a  été  divulguée  sur  le  forum  catholique  par  un  fidèle  de  cette  paroisse  traditionaliste  du  centre  ville.  Les   insultes   n’ont   pas   provoqué  d’incident,   la   seule   réponse   utilisée   par   les  chrétiens  fut  de  sortir  leurs  appareils  photos,  afin  de  témoigner.  Ce   n’est   pas   la   première   fois   que   cette   église   est   visée   par   des   actes  christianophobes.  Régulièrement  taguée  par  des  militants  d’extrême  gauche,  elle   fut   recouverte   l’année   dernière   d’affiches   christianophobes,   à   l’instar  d’autres  églises  bordelaises  et  de  librairies  catholiques.  

Interrogé  par   Infos-­‐Bordeaux,  un  des  paroissiens  confie  :  «  Le  plus   surprenant  pour  nous  n’est  pas  de   se   faire  insulter,  le  christ  ayant  lui  même  été  victime  de  la  haine  des  hommes,  mais  c’est  le  silence  des  autorités.  Imaginez  le  tollé  si  des  fidèles  sortant  d’une  synagogue  ou  d’une  mosquée  avaient  connu  le  même  sort  »  !  A  noter  qu’une  plainte  a  été  déposée  par  le  curé  de  Saint-­‐Eloi.    Du champagne pour prévenir la maladie d'Alzheimer ?

Selon   une   étude   anglaise,   consommer   une   à   trois   coupes   de   champagne   par  semaine   pourrait   ralentir   le   déclin   cognitif   et   prévenir   le   développement   de  maladies  neuro-­dégénératives  comme  l'Alzheimer.    Voilà  un  remède  plaisant,  mais  un  peu  coûteux  !  Selon  les  scientifiques  de  l'Université  

de   Reading   (Grande-­‐   Bretagne),   le   champagne   contient   des   antioxydants   appelés   "phénols"   qui   pourraient  stimuler   les   zones   cérébrales   responsables   de   la   mémoire   spatiale   et   de   l'apprentissage.   Appelées  "hippocampe"   et   "cortex",   celles-­‐ci   se   nourrissent   de   protéines   dont   le   niveau   diminue   naturellement   avec  l'âge,   provoquant   le   déclin   cérébral   et   parfois   la   démence.   Les   phénols   auraient   justement   la   capacité   de  relever   le  taux  de  ces  protéines.  Pour  en  arriver  à  cette  conclusion,   les  chercheurs  ont  administré  1,78ml  de  champagne   à   des   souris   pendant   6   semaines.   Ils   ont   pu   constater   une   amélioration   de   la  mémoire   spatiale  grâce  aux  protéines  renouvelées.  Cependant,   il   faudra  encore  attendre  avant  de  déboucher  une  bouteille  car  les   scientifiques  essaient  maintenant  de  voir   si   ces   résultats   sont  adaptables  à   l'Homme.    L'abus  d'alcool   est  dangereux  pour  la  santé.    Source  :  Giulia  Corona,  Phenolic  Acid  Intake,        

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Premier  épisode  du  livre  de  Bruno  MEGRET.      Introduction  :  Fin  de  cycle,  début  de  siècle      Aujourd'hui   tout   est   bloqué,   mais   demain   tout   ne   pourrait-­‐il   pas   bouger   ?   La   morosité,   le   fatalisme   et   le  renoncement  semblent  gagner  les  Français,  mais  est-­‐on  certain  que  l'ardeur  et  l'enthousiasme  ne  pourraient  pas  les  animer  à  nouveau  ?  Notre  nation  subit  et  s'abandonne,  mais  est-­‐elle  vraiment  incapable  de  retrouver  la  force  et   l'ambition  ?  Ce  qui  n'était  pas  possible  hier  ne  peut-­‐il   le  devenir  demain  ?  Ne  sommes-­‐nous  pas  à   la  croisée  des  chemins  ?  J'ai  pour  ma  part  des  réponses  à  ces  interrogations.  Des  réponses  qui  ont  pris  la  forme  d'un   espoir   et   d'une   volonté   et   qui   m'ont   conduit   à   écrire   cet   ouvrage.     D'un   côté,   en   effet,   et   j'en   suis   le  premier   désolé,   nombre   de   mes   analyses   et   de   mes   prévisions   sur   l'évolution   de   la   société   française   se  trouvent  validées  par  les  faits.  Mais,  de  l'autre,  et  j'en  éprouve  une  grande  joie,  les  valeurs  et  les  idées  que  je  défends  et  qui  peuvent  assurer  le  renouveau  de  notre  pays  semblent  gagner  en  audience  et  en  popularité.  J'en  suis   convaincu   :   le   combat   qui   est   le   mien   depuis   mon   entrée   en   politique   pourrait   bien   aboutir   dans   les  quelques   années   qui   viennent.   Jamais   je   n'ai   ressenti   de   façon   aussi   aiguë   la   perspective   d'un   grand  changement.     Pourtant,   comme   beaucoup   de   Français,   j'ai   été   gagné   par   le   doute   et,   certains   soirs,   un  sentiment   de   lassitude,   voire   de   désespérance,   m'envahissait.   Devant   le   spectacle   pitoyable   de   l'actualité  quotidienne,   face   à   l'aggravation   incessante   des   problèmes,   l'indigence   des   politiques   et   la   puissance   de   la  pensée  unique,  j'ai  parfois  eu  l'impression  qu'une  spirale  irrésistible  aspirait  notre  pays  vers  l'abîme.    À  quoi  bon  dès  lors  continuer  à  se  battre  ?  D'autant  que  les  difficultés  qui  s'amoncelaient  sur  mon  chemin  semblaient,  tel  un  signe   funeste  du  destin,  m'inviter  à   renoncer.  Éloignement  de  certains  proches,  problèmes   financiers,  persécution   judiciaire,   occultation   médiatique,   scores   électoraux   décevants,   chaque   épreuve   nouvelle  résonnait  malgré  moi  comme  un  message  :  «  La  France  n'a  plus  d'avenir,  toi  non  plus,  abandonne  !  »  J'aurais  pu  alors  créer  une  entreprise,  me  passionner  pour  mon  métier,  me  consacrer  davantage  à  ma  famille,  pourtant  je  n'ai  pas  renoncé.  Est-­‐ce  par  obstination  aveugle  ou  par   intuition  clairvoyante,  est-­‐ce  par  goût  du  défi  ou  par  sens  du  devoir,  je  l'ignore,  mais  je  sentais  au  fond  de  moi  comme  la  chaleur  des  braises  qui  indique  que  le  feu  peut   reprendre.     Et   j'ai   pris   du   recul.   Libéré   des   contingences   de   l'action   immédiate,   n'ayant   pas   à   prendre  position  à  tout  moment,  à  me  soumettre  aux  impératifs  des  médias  et  à  m'adapter  aux  actions  des  adversaires,  j'ai  réfléchi,  j'ai  voyagé,  j'ai  rencontré  des  gens  de  toutes  conditions.    Ma  pensée  a  mûri,  j'ai  observé  les  grandes  forces  qui   façonnent   le  monde  de  ce  début  de  siècle,   j'ai  analysé   les  courants  qui   traversent  notre  société.  À  travers   la   censure   du   politiquement   correct,   je   me   suis   efforcé   de   décrypter   le   message   de   nombreux  intellectuels.   Derrière   le   prisme   déformant   des   sondages   et   des   médias,   j'ai   cherché   à   comprendre   les  aspirations  véritables  de  notre  peuple.  C’est  alors  qu’une  certitude  s'est  peu  à  peu  imposée  à  moi  :  nous  vivons  la  fin  d'un  cycle  politique  et  idéologique  et,  si  nous  sommes  à  l'aube  d'un  nouveau  siècle,  ce  peut  être  aussi  le  début  d'une  ère  nouvelle  pour  notre  nation  et  notre  civilisation.  Dès  lors,  rien  n'est  joué,  notre  pays  n'est  pas  condamné  au  déclin,   il  peut  même  connaître  une  authentique  renaissance.    Certes,  dans   les  apparences   rien  n'est  changé  ou,  plutôt,  tout  continue  à  empirer.  Mais,  en  profondeur,  de  puissants  courants  sont  à  l'œuvre  qui  peuvent   bouleverser   complètement   le   destin   de   notre   nation.   Cette   évolution   n'est   évidemment   pas   visible  dans   le   comportement   officiel   du   pouvoir   politique   ou  médiatique,  mais   elle   prend   une   ampleur   croissante  auprès  d'une  majorité  de  nos   compatriotes   et   chez   les  plus   éclairés  des   intellectuels.  Malgré   la   pression  du  conformisme  officiel,   la  chape  de  plomb  du  politiquement  correct  se   fissure  progressivement.  Sur  des  sujets  autrefois  tabous,  les  lignes  de  défense  de  la  pensée  unique  commencent  à  céder.    Notre  pays  entre  donc  dans  une  période  critique.  Il  s'approche  du  gouffre  où  il  pourrait  sombrer,  mais,  à  mesure  que  le  danger  grandit,  les  réactions   salvatrices   se  multiplient.   Aujourd'hui,   les   signes   précurseurs   de   son   redressement   se   perçoivent  déjà.   Les   poncifs   de   la   pensée   unique   sont   rejetés   par   le   peuple   et   désavoués   par   les   faits.   Les   tenants   du  système  sont  de  plus  en  plus  contestés.  Des  idées  neuves  émergent.  De  nouvelles  perspectives  s'ouvrent.  Des  cartes   vont   être   redistribuées.    Aussi   suis-­‐je   convaincu   que   notre   nation   peut   connaître,   dans   un   avenir  relativement   proche,   un   véritable   sursaut.   Malgré   la   complexité   du   monde   contemporain,   malgré   les  contraintes   qui   semblent   le   paralyser,   notre   pays   peut   se   ressaisir,   cesser   de   subir   et   s'ouvrir   un   chemin.    L'objet   de   ce   livre   est   d'explorer   cette   voie   nouvelle   et   de   lui   donner   une   expression   politique.   Nos  compatriotes  cherchent  en  effet  une  issue  à  leurs  difficultés  et  ne  voient  pour  l'instant  aucun  projet  ni  aucune  force  vers  lesquels  se  tourner.  Les  maîtres  de  la  pensée  unique  s'efforcent  de  leur  faire  croire  qu'il  n'y  a  pas  d'autres   possibilités   que   celles   qu'ils   incarnent.   Dans   cet   ouvrage,   je   veux   leur   dire   qu'il   est   une   autre   voie  capable  de   leur   rendre   l'espoir  et  d'assurer   l'avenir  de  notre  nation.    Il   existe  pour   la  France  et   l'Europe  un  autre  scénario  que  celui  du  renoncement  et  de  l'abandon.  C'est  cette  stratégie  que  je  veux  présenter.  C'est  cette  voie  que  je  veux  ouvrir.      Prochain  épisode  :  la  semaine  prochaine  

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