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REALISATION PRATIQUE D'UN PRELEVEMENT SOUS IRMX PratMontpellier - FranceCorrespondance: x,[email protected]
QUAND ET COMMENT REALISER UN PRELEVEMENTSOUS TDM D'UN REHAUSSEMENT VU A L'IRM ?PChérel, C Hagay, C De Maulmont, SEngerand,A Langer, B Benaim, C Bélichard V BecetteSaint-Cloud - FranceCorrespondance: p,cherel@stcloud-huguenin,org
Durée: 15 minutes
Durée: 15 minutes11 h 45
LE CONCEPT DE MALTRAITANCECRey-SalmonParis - FranceCorrespondance: caroline.rey@trs,ap-hop-paris,fr
10 h 30
Séance organisée par la SFI?? et la Société Française de MédecineLégale
Imagerie et maltraitance à enfants en 2008
DISCUSSION GENERALE: LA GESTIONDU REHAUSSEMENT ISOLE: LE PROBLEME PRATIQUECLINIQUE MAJEUR EN IRM DU SEIN
Modérateurs: Catherine Adamsbaum, Didier Gasset
Objectifs pédagogiquesConnaître les pièges et les diagnostics différentiels de l'imagerieeffectuée dans le cadre d'une suspicion de maltraitance à l'enfant.Connaître les limites des différentes techniques d'imagerie, classiques et modernes, dans le diagnostic et la datation de la maltraitance.Savoir rédiger un compte-rendu d'imagerie.
Responsable: Francis Joffre
Un mini-bilan de coagulation est nécessaire. La patiente est perfuséepuis installée en procubitus, le sein à biopsier légèrement comprimé.Des séquences pré et post contraste sont réalisées, puis le rehaussement est identifié. Un programme calcule les déplacements à réaliserpour aller d'un repère apparent à l'IRM jusqu'au rehaussement (différentes angulations de trajet possibles). Après désinfection et anesthésie locale, un trocard est inséré et un repère en plastique est laisséen place, dont on vérifie par une séquence la position correctevis-à-vis du rehaussement visé.Le repère en plastique est ressorti du coaxial, et la macrobiopsie estréalisée, l'aiguille du pistolet passant dans le même coaxial. Une vérification post macrobiopsie est réalisée en fin de procédure (1 ou2 acquisitions) et un clip peut être laissé en place en vue d'un éventuelrepérage radiologique pré-chirurgical (en passant toujours dans lemême coaxial).
Mots clés: Sein - IRM, biopsie
Objectifs: Connaître l'histoire des mauvais traitements à enfants.Connaître les difficultés de reconnaissance des mauvais traitements.Définir le concept de maltraitance, celui de bientraitance et celui derésilience.Points clés: La maltraitance à enfants existe depuis toujours.La reconnaissance du phénomène a été difficile du fait de nombreuxfacteurs de résistance.Le concept de maltraitance est un concept social et politique.Le concept de maltraitance est à l'origine du concept de bientraitanceet de résilience.Résumé: La maltraitance à enfants a existé de tous temps et soustoutes les latitudes. Sa reconnaissance a été possible grâce aux médecins légistes français à la fin du 1ge siècle, puis aux radiopédiatresaméricains dans la première partie du 20' siècle. Le célèbre article duDr KEMPE « Le syndrome de l'enfant battu », publié en 1962, a permis d'expliquer que des parents pouvaient se livrer sur leurs enfantsà des actes volontaires de violences. D'autres formes de maltraitanceont été ensuite identifiées. Parallèlement à la reconnaissance du phénomène, le concept de maltraitance s'est développé. Le mot « mal-
Durée: 15 minutes
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Le classement ACR3 repose sur des critères morphologiques et dynamiques.Ce classement difficile est aidé par l'utilisation de système de scores.Une corrélation topographique avec l'échographie et la mammographie s'impose.La VPP de l'ACR 3 IRM semble supérieure à celle de l'ACR 3 mammographique surtout en cas de traduction échographique de la lésion,en cas de cancer synchrone et chez les femmes à risque.Résumé: Le classement ACR 3 d'un rehaussement en IRM est difficile, il repose principalement sur une analyse morphologique dequalité mais également quantitative. L'utilisation de système de scorepeut être une aide à la décision. Une corrélation secondaire à la mammographie et surtout à l'échographie est fondamentale. L'existenced'antécédents familiaux ou personnels de cancer traité, d'un cancersynchrone, d'une traduction échographique de la lésion sont des facteurs qui majorent le risque de lésion maligne sous-jacente. Les données de la littérature révèlent une VPP entre 1 et 6 % pour lesrehaussements IRM classés ACR 3.
Mots clés: Sein - IRM - Risque
Objectifs: Connaître les techniques et les indications des repéragesTDM pré-opératoires de rehaussements mammaires occultes.Connaître les types et les indications des prélèvements guidés parTDM.Points clés: Le repérage TDM pré-opératoire des lésions mammairesvues en imagerie de contraste est une technique facile à réaliser,rapide et fiable.Le repérage TDM pré-opératoire nécessite une bonne coopérationavec le chirurgien et le pathologiste.Les biopsies guidées sous TDM n'ont pas fait leur preuve d'efficacitéen raison de l'absence de contention du sein.Les cytoponctions guidées sous TDM ont une faible sensibilité et unespécificité correcte.Résumé: Rappel de la technique de la TDM mammaire utilisée pourles actes interventionnels. Présentation de notre expérience de repérages TDM pré-opératoires de rehaussements mammaires anormauxà partir de 64 procédures (techniques de repérage, résultats). Technique,résultats et limites des prélèvements guidés par TDM.
Mots clés: Sein - Scanographie, biopsie
Objectifs: Connaître le déroulement d'une macrobiopsie sous IRM.Comprendre son importance en dépit de sa non rentabilité.Savoir quand penser à y recourir.Points clés: Les rehaussements IRM supects isolés peuvent nécessiter une macrobiopsie sous IRM pour faire leur preuve histologique.La macrobiopsie sous IRM est une procédure longue (1 h 30), nonrentable, mais ambulatoire et quasiment toujours réalisable.Résumé: La grande sensibilité de l'IRM implique l'existence derehaussements suspects sans équivalent clinique, mammographiqueou échographique.Un second look post IRM trouve une cible mammo ou échographique1 fois sur 2. Sinon, il faut discuter un prélèvement macrobiopsiquesous guidage IRM. La macrobiopsie sous IRM est une procédurelongue (l h 30), non rentable, mais ambulatoire et quasiment toujoursréalisable.
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