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Infonuagique et collaboration virtuelle
Présentation dans le cadre de la rencontre des
REPTIC
François Casabon
Fédération des cégeps
Octobre 2015 version 1.8
Agenda 1. Introduction
2. Mise en contexte
Législation, tendances TI, équipes virtuelles, etc.
3. Considérants
Considérants juridiques, techniques et financiers
4. L’infonuagique (Cloud computing)
5. État de situation du réseau collégial
6. Conclusion
Durée de la présentation
– 75 minutes
2
1. Introduction
3
Introduction
Formation et expérience
Maîtrise administration publique
Management des organisations et gestion des TI
Enseignant en informatique
Coordonnateur de département d’informatique
Reptic
Plan d’intégration des TIC
Élaboration d’AEC et DEC
Formation continue (TI)
Coordonnées
4
Introduction
Mise en garde :
Pas un spécialiste du secteur juridique
Pas un spécialiste infonuagique (O365 et Google apps)
Pas un vendeur Microsoft
Rôle orienté vers les DTI et DG
Majorité des collèges implantent O365
Prolongement de l’infrastructure technologique
Concentrer nos efforts pour maximiser le ROI
Nouveauté et évolution rapide de l'infonuagique
Réalité différente des collèges (déploiement)
Qualité discutable des textes? (provenance Internet)
5
Introduction
Contenu de la présentation
Lien entre les DTI et pédagogie (rencontre reptic)
Pas une démonstration d’applications
Vue 1000 pieds d’altitude et à 360o
Concepts de l’infonuagique
Avantages et désavantages
Collaboration virtuelle
Transformation des organisations
Survol des applications du réseau collégial
Collaboration virtuelle
Présentation avec interaction
Alimenter la réflexion du réseau
6
2. Mise en contexte
7
Mise en contexte
Stratégie infonuagique du Gouv. Québec
Stratégie numérique du Gouv. Québec
Stratégie en TI du Gouv. Québec
Plan RI de la Fédération des Cégeps
Cefrio : La transformation de la prestation de services -
Grâce aux ressources informationnelles
Rapport Demers (FAD)
EDUCAUSE
Gouvernement : Loi, directives, cadres de références, etc.
8
Priorités – EDUCAUSE
9
11
Soutenir les collèges dans
la mise en œuvre de la
législation liée à la Loi sur
la gouvernance et la
gestion des ressources
informationnelles
(LGGRI), à la Loi
canadienne anti-pourriel
(LCAP) et à la Loi sur les
contrats des organismes
publics (LCOP)
- Définition et mise en œuvre d’un
processus de collaboration avec
l’association des informaticiens des
collèges du Québec (AICQ)
- Participation à la mise en œuvre de la
loi, des directives et des cadres de
gestion (sécurité, gestion de projets,
etc.) gouvernementaux en matière de
technologies de l’information
- Participation à la réalisation de projets
technologiques conjoints avec les DTI
des collèges (identification et
recommandations)
- Création de liens interordres avec les
réseaux des commissions scolaires,
universitaires et autres acteurs de la
communauté
AICQ-Fédération
. Comité CCRI
. Colloque AICQ
Comité LGGRI
Dossier appel d’offres
VTÉ - LCOP
Projets : Directive de
sécurité, LCAP et
LCOP grille d’impacts
systèmes ERP (Coba-
Skytech)
Autres comités
. Universités du
Québec
. RISQ (Comité CC)
Continuité
E2015
Continuité
Réalisé
E2016
Continuité
Continuité
Enjeux Objectifs Actions Échéancier
Priorités – Plan RI
12
Participer à l’élaboration et
la mise en œuvre d’un
cadre de gouvernance des
technologies de
l’information avec les
collèges
- Élaboration de gabarits de politiques,
directives et procédures pour encadrer les
services technologiques
- Élaboration d’un cadre de référence pour
la gestion et l’alignement stratégique des
technologies de l’information pour les
collèges
Bureau de projets TI
. Politiques, gabarits, fiches
de projets, etc.
. Portail de gestion de
projets du réseau collégial
H2016
A2015
Développer avec les
collèges une stratégie pour
le réseau collégial
concernant la prestation
de services en mode
numérique incluant
l’infonuagique (CLOUD).
- Préparation de recommandations
concernant les différents enjeux
(techniques, juridiques, financiers, etc.)
- Participation à l’élaboration d’un cadre de
travail pour optimiser l’offre de services
- Évaluation de solutions pour assurer la
prestation des services technologiques
qui utilisent l’infonuagique, les appareils
mobiles personnels (BYOD), etc.
Projet réseau de plate-
forme infonuagique
. Accès plate-forme
. Réseau privé collégial
(nuage privé - QOS)
Projet réseau de
communications unifiées
. Visioconférence
. Téléphonie IP
. Plate-forme
d’enregistrement et de
contenus multimédias
E2015
E2016
A2015
A2015
H2016
Enjeux Objectifs Actions Échéancier
Priorités – Plan RI
Mise en contexte
Les mutations peu consensuelles de l’éducation http://www.ledevoir.com/societe/education/451930/le-devoir-de-debattre-les-mutations-peu-consensuelles-de-l-education
• La connexion, partout, tout le temps et maintenant au coeur de l’école. Pourquoi évaluer les élèves sur
des questions auxquelles Google pourrait facilement répondre à leur place ? Une question lancée par le
journaliste Fabien Deglise, qui a donné le ton au Devoir de débattre de mardi soir, qui s’attaquait à
l’épineuse discussion autour du numérique en éducation.
• « C’est incommensurable le monde de savoirs sur lequel ouvre le numérique », a commencé Lise
Bissonnette, ex-directrice du Devoir, en retraçant brièvement l’histoire de la pédagogie au Québec.
Prompte à adopter des réformes de l’éducation, la province a fait son chemin entre le paradigme de la fin
de l’enseignant, cette métamorphose du rôle du « maître », puis celui du fameux « apprendre à
apprendre » qui a mené au renouveau pédagogique, pour en être aujourd’hui à l’aube d’une révolution
technologique à l’école. Et cette révolution sera bénéfique, à condition de « rediscipliner l’école, de la
restructurer », a lancé Mme Bissonnette après avoir mis la table.
• Bien d’accord avec le fait que les nouvelles façons d’enseigner ne font pas de miracles, Mme Gauthier
fonce quant à elle dans le numérique. « Il faut donner des orientations [aux étudiants], les obliger à
laisser des traces, pour qu’ils ne se perdent pas et qu’ils deviennent paresseux », a renchéri cette
professeure de français et cosignataire du Manifeste pour une pédagogie renouvelée.
• Voir ses élèves assis devant une tablette ou un ordinateur comporte tous les écueils du « butinage
numérique », ont poursuivi Mme Bissonnette et M. Bergeron. Raison de plus, de rétorquer Marie-Claude
Gauthier : « Est-ce que ça signifie qu’on doive les laisser tomber ? C’est un devoir de leur apprendre à
lire sur une tablette, qu’on le souhaite ou non. » 13
Mise en contexte
Technologie de rupture
Une technologie de rupture, également connue comme « rupture technologique », est une
innovation technologique qui porte sur un produit ou un service et qui finit par remplacer une
technologie dominante sur un marché.
Cette disparition de la technologie existante se fera bien que la technologie de rupture soit
radicalement différente et qu’elle soit souvent moins performante à l’origine selon les critères
traditionnels de mesure. Une technologie de rupture survient et domine un marché déjà
existant soit en remplissant une fonction que la technologie traditionnelle ne pouvait pas
remplir pour une application particulière (comme ce fut le cas des petites disquettes
initialement plus chères et de capacité réduite développées pour les ordinateurs portables) ou
bien en augmentant progressivement les parts de marché au fur et à mesure que les
performances augmentent, jusqu’à remplacer ceux qui étaient établis sur le marché (comme
ce fut le cas avec la photographie numérique).
Par opposition aux technologies de rupture, les technologies de continuité ou d’amélioration
continue ne créent pas de nouveaux marchés : elle procèdent par améliorations et incréments
graduels successifs des performances de la technologie actuelle.
14
Mise en contexte
Technologie de rupture et infonuagique
UBER
AIRBNB
Musify - Musique en lecture continue (streaming)
Amazon
EBAY
NETFLIX
Google apps et Office 365
Skype (communication unifiée)
Facebook et LinkedIn
TripAdvisor
Objets connectés (porte, température, montre, etc.)
Téléphone intelligent et tablette
Wikipédia
Quel est le lien avec l’éducation?
15
Mise en contexte
Collaboration et innovation : Les moteurs de la réussite commerciale
Des études récentes ont démontré que l’investissement en collaboration est bénéfique : Les entreprises qui mettent en place des technologies poussant la collaboration de la main-d’æuvre et soutenant les programmes de travail flexibles peuvent récolter les fruits d’une innovation supérieure. Les organismes qui sont des chefs de file en matiére d’innovation peuvent générer une rentabilité et des niveaux de productivité trois fois plus élevés que ceux des concurrents.
http://www.directioninformatique.com/commandite/collaboration-et-innovation-les-moteurs-de-la-reussite-commerciale
16
Équipe virtuelle
17
•Une équipe virtuelle est un groupe de personnes qui travaillent à travers le
temps, l'espace et les frontières organisationnelles avec des liens renforcés par la
technologie de la communication. Elles ont des compétences complémentaires et
se sont engagées à un objectif commun de performance interdépendant, et de
partage d’une approche du travail pour lequel il faut se tenir mutuellement
responsable.
•Les équipes dispersées géographiquement permettent aux entreprises
d'embaucher et de retenir les meilleures personnes indépendamment de leur
emplacement. Les membres des équipes virtuelles peuvent communiquer
électroniquement, sans se rencontrer face à face. Toutefois, la plupart des
équipes se retrouveront à un moment donné dans le temps.
•Une équipe virtuelle ne signifie pas toujours télétravailleur. Les télétravailleurs
sont définis comme des individus qui travaillent à domicile. De nombreuses
équipes virtuelles dans les organisations d'aujourd'hui sont composées de
collaborateurs travaillant soit à la maison ou soit dans les bureaux avec de petits
groupes mais aussi dans différents lieux géographiques.
Source : Wikipédia
Équipe virtuelle
18
Pourquoi les équipes virtuelles ?
•Les meilleurs employés peuvent être situés n'importe où dans le monde.
•Les travailleurs ont besoin de souplesse personnelle.
•Une organisation souple est plus compétitive et adaptée au marché.
•Les travailleurs ont tendance à être plus productifs, c'est-à-dire, ils passent
moins de temps aux déplacements entre le domicile et le lieu de travail.
•La mondialisation croissante du commerce et de l'activité de l'entreprise.
•La journée mondiale est de 24 contre 8 heures.
•L'émergence d'environnements qui exigent la coopération inter-organisations,
ainsi que la concurrence.
•Les changements dans les attentes des travailleurs de la participation de
l'organisation.
Source : Wikipédia
Équipe virtuelle
19
Problèmes avec des équipes virtuelles?
•Difficulté à gérer le rendement de l'équipe.
•Malentendu dans les communications est la plainte de premier plan parmi les
membres des équipes virtuelles.
•Ce problème est amplifié lorsque l'on travaille avec des équipes à travers les
frontières culturelles en raison de nuances dans la langue anglaise.
•Les différences de fuseaux horaires.
•Il peut être difficile pour les membres de l'équipe de comprendre pleinement le
sens du texte de base des messages.
•Bâtir la confiance peut être difficile parce que les mécanismes différents de
ceux utilisés dans les face-à-face les équipes sont tenus d'établir la confiance.
•Une équipe virtuelle présente des défis uniques pour un chef d'équipe virtuelle.
Les équipes virtuelles nécessitent de nouvelles façons de travailler par delà les
frontières grâce à des systèmes, des processus, la technologie, et les gens (Duarte
et Snyder, 1999), qui exige un leadership efficace ...
Source : Wikipédia
Équipe virtuelle
20
Neuf étapes clés pour développer des équipes virtuelles
Sécuriser un projet basé sur l'idée propice à la collaboration.
Construire un plan d'activités pour inclure la vision de l'équipe, le
but et l’objectif. Identifier les acteurs essentiels pour soutenir le
projet. Choisir des personnes qui peuvent apporter leurs
compétences de base pour le projet. Obtenir leur service. Mettre
en place une première réunion avec les membres de fixer les
bases, établir des lignes directrices et des processus.
Stratégiquement aligner tous les membres à l'objectif du projet.
Fixer un calendrier. Surveiller les activités et les progrès
accomplis.
Source : Wikipédia
Équipe virtuelle
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Logiciels pour aider les équipes virtuelles
•La réponse est qu'ils utilisent la technologie de collaboration - en particulier, ils
utilisent un logiciel qui permet aux équipes virtuelles d’être aussi efficace que les
équipes de localisation.
•Logiciel qui facilite le fonctionnement d'équipes virtuelles peuvent être séparés
en deux catégories principales - un logiciel qui offre une facilité de
communication et de logiciel qui fournit des tâches et l'organisation des
documents.
•Un logiciel qui améliore la facilité de communication comprend souvent des
fonctionnalités telles que l'indication de présence, la messagerie instantanée et
les conférences Web. Ces outils permettent aux membres de l'équipe d’être
disponibles pour leurs équipes 24 heures par jour. Les membres peuvent avoir
des conversations en temps réel.
Source : Wikipédia
Équipe virtuelle
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Logiciels pour aider les équipes virtuelles (suite)
•Les applications logicielles qui organisent des travaux d'équipe ainsi que les
documents pour améliorer l'efficacité de leurs équipes. Ces programmes
consistent en un lieu central où tous les membres peuvent accéder à des
documents importants pour l'équipe, suivre les progrès accomplis, assigner les
tâches, et même créer des calendriers avec des dates clés.
•Un logiciel de ce type est un domaine en rapide évolution, afin que les
organisations doivent souvent chercher des logiciels que la taille du costume et la
fonctionnalité de leurs équipes.
Source : Wikipédia
Équipe virtuelle
23
Équipe virtuelle : les 7 compétences clés
Renforcer son leadership au sein d’équipe virtuelle?
•Bon nombre de spécialistes soulignent que la globalisation des marchés et la
concurrence mondiale obligent les organisations d’aujourd’hui à repenser leurs
méthodes de travail. Pas étonnant que la formation d’équipes « virtuelles » fasse
maintenant partie intégrante des stratégies organisationnelles.
•Cependant, il ne suffit pas de regrouper des gens et de les doter de moyens de
communication pour améliorer la performance d’une organisation. L’entreprise
doit connaître les enjeux associés au télétravail, sélectionner les bonnes
personnes et surtout choisir un gestionnaire adapté à la situation!
•En plus de posséder de solides habiletés en gestion et des aptitudes pour le
télétravail, le gestionnaire doit faire preuve d’agilité pour être en mesure de
composer avec la complexité qui caractérise les équipes virtuelles.
Source : https://www.spb.ca/fr/articles/spb-contact/competences-cles-du-gestionnaire
Équipe virtuelle
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Équipe virtuelle : les 7 compétences clés (suite)
•Communication : transmettre ses idées et choisir adéquatement la technologie
pour favoriser une bonne performance d’équipe
•Adaptabilité : faire face aux imprévus et trouver les meilleures solutions
•Soutien : faciliter le travail des membres de l’équipe
•Consultation des autres : inspirer confiance et favoriser la collaboration
•Délégation : responsabiliser et maintenir l’intérêt
•Flexibilité interpersonnelle : gérer sainement les différences qui font la
différence!
•Gestion de conflit : être en mesure de comprendre les points de vue de chacun
pour faire avancer le travail
Source : https://www.spb.ca/fr/articles/spb-contact/competences-cles-du-gestionnaire
Mise en contexte
Nouvelles considérations des concepts de présence /
distance, enseigner / apprendre face à l'espace (mobilité)
et au temps (flexibilité).
De la formation à distance (FAD).
Évolution des technologies de l'information et de la
communication (TIC)
du laboratoire
à la salle de classe
en s'étendant dans les établissements
jusque dans les nuages.
Quels impacts sur la pédagogie ?
25
26
3. Considérants
27
Considérants juridiques
Loi d'accès à l'information publique et aux renseignements personnels
Principes
Le nom d'une personne physique n'est pas un renseignement
personnel, sauf lorsqu'il est mentionné avec un autre renseignement
la concernant ou lorsque sa seule mention révélerait un
renseignement personnel concernant cette personne
Les renseignements personnels suivants ont un caractère public:
Le nom, le titre, la fonction, la classification, le traitement,
l'adresse et le numéro de téléphone du lieu de travail d'un membre
d'un organisme public, de son conseil d'administration ou de son
personnel de direction et, dans le cas d'un ministère, d'un sous-
ministre, de ses adjoints et de son personnel d'encadrement; 28
Considérants juridiques
Un organisme public doit prendre les mesures de sécurité propres
à assurer la protection des renseignements personnels collectés, utilisés, communiqués, conservés ou détruits et qui sont raisonnables compte tenu, notamment, de leur sensibilité, de la finalité de leur utilisation, de leur quantité, de leur répartition et de leur support.
Si l'organisme public estime que les renseignements visés au premier alinéa ne bénéficieront pas d'une protection équivalant à celle prévue à la présente loi, il doit refuser de les communiquer ou refuser de confier à une personne ou à un organisme à l'extérieur du Québec la tâche de les détenir, de les utiliser ou de les communiquer pour son compte.
29
Considérants juridiques
Quiconque confie un document technologique à un prestataire de
services pour qu'il en assure la garde est, au préalable, tenu
d'informer le prestataire quant à la protection que requiert le
document en ce qui a trait à la confidentialité de l'information et
quant aux personnes qui sont habilitées à en prendre
connaissance.
30
Considérants juridiques
ÉTUDE SUR LES INCIDENCES JURIDIQUES DE
L’UTILISATION DE L’INFONUAGIQUE PAR LE
GOUVERNEMENT DU QUÉBEC
Préoccupations légitimes, notamment :
Un risque de perte de contrôle des données;
Une gestion difficile et incertaine des accès;
La dépendance à un fournisseur;
La perte de confidentialité des données sensibles;
La vulnérabilité face aux cyberattaques;
La difficulté de détruire les données stockées.
31
Considérants juridiques
Exemples concrets :
Notes de cours
Plans de cours
Listes de classes
Documents de travail
Travaux d'étudiants
Courriels
Mémos internes
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Considérants juridiques
État de situation
Microsoft – centre de données
Organismes publiques dans le nuage
Contrats
Sécurité de l’information
Rencontre infonuagique (SCT, DPI, DGGRIR)
Travaux de la Fédération
Projet en sécurité de l’information
Avis ou note juridique sur l’infonuagique
33
Considérants juridiques http://www.tresor.gouv.qc.ca/ressources-informationnelles/architecture-dentreprise-
gouvernementale/volets-et-segments/volet-infrastructures/
34
Considérants juridiques
Guide de l’infonuagique L’infonuagique peut être vue comme une extension de l’architecture orientée services.
Ainsi, pour encadrer l’utilisation de l’infonuagique dans l'Administration québécoise, les
premières actions prioritaires ont été la réalisation d’un guide pratique de l’infonuagique en
quatre volumes et une étude portant sur les incidences juridiques de l’infonuagique sur le
gouvernement du Québec.
• Guide de référence de l'infonuagique : volume 1 - Notions fondamentales
• Guide de référence de l'infonuagique : volume 2 - Considérations en protection
de renseignements personnels ou autrement confidentiels
• Guide de référence de l'infonuagique : volume 3 - Considérations de contrôle
et de sécurité
• Guide de référence de l'infonuagique : volume 4 - Considérations en gestion
contractuelle
35
Considérants juridiques
Vue d’ensemble des orientations gouvernementales
infonuagique
36
37
http://www.tresor.gouv.qc.ca/ressources-informationnelles/strategie-
gouvernementale-en-technologies-de-linformation/
Considérants techniques
LES CRAINTES LES PLUS COMMUNES FACE AUX SERVICES DANS LE NUAGE
Il nous est arrivé plusieurs fois d’entendre les mêmes craintes face aux services dans le nuage par les entreprises.
Ces craintes ne sont pas sans fondement mais on peut facilement y répondre si on s’adresse aux bons fournisseurs
et vous pourrez, en toute quiétude, utiliser ces services.
• Mes données se retrouveront aux États-Unis où n’importe où dans le monde;
– Faux, il y a maintenant plusieurs fournisseurs (CSP) auxquels vous pouvez demander à
ce que vos données restent au Canada et en tout temps vous pouvez le vérifier.
• Le fournisseur (CSP) pourrait fermer demain et je perdrais mes données;
– Faux, si vous faites affaire avec un fournisseur (CSP) sérieux comme IBM SoftLayer,
Microsoft-Azure, iWeb-Internap, ou autre gros nom ce ne sera pas le cas. Ils ont des
assises financières très solides et des polices d’assurance couvrant cela.
• Le fournisseur (CSP) ou un organisme gouvernemental pourrait accéder à mes données à mon
insu;
– Faux, ces services sont régis par des contrats qui vous protègent de la même façon que
si vos données étaient dans vos locaux. Ce point est explicitement couvert dans les
contrats. Et si vous le désirez, il existe une solution qui vous permet de masquer vos
données chez le fournisseur, qui les rendent alors inutilisables pour toutes autres
personnes que vous.
Référence : http://danslenuage.quebec/2015/10/08/les-craintes-les-plus-communes-face-aux-services-dans-le-nuage-cloud/
38
Considérants techniques
LES CRAINTES LES PLUS COMMUNES FACE AUX SERVICES DANS LE NUAGE (SUITE)
• J’ai vraiment besoin d’un serveur physique pour mon application et ce n’est pas possible
dans le nuage;
– Faux, plusieurs fournisseurs (CSP) offrent maintenant le service « BareMetal as a
service (BMaaS) » ce qui vous procure un serveur physique à usage réservé
uniquement pour vous en aussi peu que 4 heures de délai. Et c’est facturable à
l’heure ou au mois. Avec la même flexibilité que les autres services.
• La sécurité, mes données seront vulnérables aux hacks;
– Faux, les fournisseurs (CSP) utilisent des contrôles d’accès très stricts, de
l’encryption et des protocoles d’authentifications fortes. Ils exécutent des tests de
pénétration très évolués pour se protéger des attaques internet et le client a un
contrôle total sur la configuration de sa sécurité d’accès.
– De plus, si vous désirez protéger vos données contre une attaque possible vous
pouvez masquer celles-ci et elles n’auront plus aucune valeur pour eux.
• Ce n’est pas encore au point, vaut mieux attendre quelques années;
– Faux, nous sommes maintenant rendus à pleine maturité pour ces services. Le
meilleur exemple est la nouvelle politique du gouvernement américain et britannique
en rapport au service Cloud, c’est maintenant une obligation avant toute autre
solution. (Gouvernement Américain http://gsa.gov/portal/content/190333 et Gouvernement Britannique:
https://www.gov.uk/government/news/government-adopts-cloud-first-policy-for-public-sector-it et https://gov.uk/digital-
marketplace )
39
Considérants techniques
LES CRAINTES LES PLUS COMMUNES FACE AUX SERVICES DANS LE NUAGE (SUITE)
• En tant que gestionnaire de réseau, je n’aurai plus rien à faire, je vais perdre mon emploi;
– Faux, en nuage, selon le modèle choisi, il ne peut y avoir que la couche physique et
l’hyperviseur qui soient fournis pour les principaux services utilisés, vous aurez quand
même à gérer vos applications et les différents services à vos utilisateurs en plus du parc
de postes clients de votre entreprise. Vous aurez même plus de temps pour vous concentrer
sur ce qui apporte de la valeur à l’entreprise.
• Les coûts de départ peuvent-être moins chers, mais, après, ils vont aller en augmentant et je
n’aurai pas le choix;
– Faux, la tendance est plutôt à l’inverse : le coût est soit inchangé ou à la baisse dans les
dernières années. La compétition entre les différents fournisseurs (CSP) est très féroce.
• Le support n’est qu’en anglais et pas facile d’accès;
– Faux, si vous faites affaire avec un courtier, le support technique en français est offert par
celui-ci, il prend en charge toutes vos demandes et fait l’intermédiaire avec les fournisseurs
(CSP).
• Une fois que mes données seront chez un fournisseur (CSP), il me sera très difficile d’en
changer;
– Faux, il est possible de passer un fournisseur (CSP) à un autre et ce, pratiquement sans
interruption de service.
• Les contrats sont très rigides;
– Faux, les offres sont très flexibles. Pour des serveurs, par exemple, vous pouvez aller aussi
granulaire que l’ajout de 2GB de ram, d’un CPU, d’espace additionnel ultra performant ou
standard et ce pour une courte période planifiée ou non. La facturation se fait
mensuellement et vous pouvez ajouter ou retirer des services quand vous le désirez.
40
Considérants techniques
Client riche
Le client riche permet de développer des applications traditionnelles type
client lourd, ou des applications type client-serveur. Il propose :
• un framework de développement et des composants de base pour
faciliter le travail des développeurs;
• un environnement d'exécution à installer sur les postes clients,
comprenant des composants de base sur lequel seront déployées les
applications;
• La technologie client riche, propose une ergonomie enrichie.
• ATTENTION : Fortement recommandé pour un usage intensif
(fonctions avancées) des applications.
Source : Wikipédia
41
Considérants techniques
Client léger
Les applications client léger visent à éviter l'installation et les mises à jour des applications sur
chaque poste utilisateur, qui occasionnent de forts coûts d'administration. Dans cette
architecture apparue avec l'avènement du Web, toute la logique de traitement est en effet
présente sur le serveur :
• La logique de traitement s'exécute pour une large part sur le serveur, occasionnant une
charge réseau importante ;
• Une partie des traitements, notamment relevant de l'ergonomie, peut cependant s'exécuter
sur le poste client, par exemple via le langage JavaScript.
• Le client léger est massivement utilisé aujourd'hui, beaucoup d'applications web
fonctionnant sur ce modèle ; le client léger désigne alors le navigateur web.
• C'est l'apparition de ce type d'architecture qui a engendré, par caricature, la dénomination
péjorative de 'client lourd' pour les précédentes architectures
Source : Wikipédia
42
Considérants techniques
O365 sans frais supplémentaires (téléchargement dans la plate-
forme) dans le cadre de l'entente de la VTÉ et Microsoft dont le collège MV bénéficie.
Disparition des barrières technologiques
Licences pour plusieurs équipements
Intégration de toutes les plates-formes matérielles et systèmes exploitations (Tablette, Mac, PC avec MacOS, iOS, Windows x, Android, etc.) depuis des interfaces web et des clients "riches".
Intégration à une infrastructure existante (réseau local)
Répertoire des ressources - gestion des identités (AD)
Support technique, langues, documentation, fournisseurs, etc.
43
Considérants techniques
Avantages de l'infonuagique : collaboration virtuelle, sécurité,
mobilité, plate forme (matériel et logiciel), ubiquité, etc.
Avantages versus autres médias : clé usb et courriel, mode correction, version, partage en temps réel, etc.
Intégration, compatibilité et simplicité (interface unique)
Courbe d'apprentissage accélérée
Taux de disponibilité
Niveau de sécurité (ISO 27 000) et de confidentialité (contrats)
Payable à l'utilisation
Déploiement rapide des applications (agilité)
44
Considérants techniques
Développement durable de l’infonuagique
• https://www.youtube.com/watch?v=b1gIqOlVqN0
45
Considérants financiers
Coût d’acquisition
Coût d’implantation
Coût de maintenance
Coût de formation
Coût d’utilisation (qté de données)
Coût de support
Coût d’économie
Coût total de propriété = CTP (TCO)
46
4. L’infonuagique (Cloud computing)
47
INFONUAGIQUE
Le cloud computing, ou l’informatique en nuage ou nuagique ou encore
l’infonuagique (au Québec), est l'exploitation de la puissance de calcul ou de
stockage de serveurs informatiques distants par l'intermédiaire d'un réseau,
généralement l'internet. Ces serveurs sont loués à la demande, le plus
souvent par tranche d'utilisation selon des critères techniques (puissance,
bande passante, etc.) mais également au forfait. Le cloud computing se
caractérise par sa grande souplesse : selon le niveau de compétence de
l'utilisateur client, il est possible de gérer soi-même son serveur ou de se
contenter d'utiliser des applicatifs distants. le cloud computing est l'accès
via un réseau de télécommunications, à la demande et en libre-service, à des
ressources informatiques partagées configurables. Il s'agit donc d'une
délocalisation de l'infrastructure informatique.
Source : Wikipédia
48
L’IT à deux vitesses – un peu comme le mail et les réseaux sociaux
« Mais à vrai dire, comme dans l’exemple du mail et des réseaux
sociaux, vous aurez toujours besoin des deux. La demande d’agilité à
l’ère du mobile, social et d’Internet exige de nouvelles technologies,
d’un développement agile et des méthodes plus rapides d’adopter,
déployer et modifier l’infrastructure. Mais à la fois, il faut continuer à
investir en systèmes stables existants qui vont apporter des bénéfices
basés sur les processus systématiques, contrôlables, sécurisés et
économiques. Gartner vient de l’annoncer ce concept en tant que
« l’IT à deux vitesses » et dire que 45 % des responsables IT le font
déjà. Certains parlent du modèle « bimodal » de l’IT. Ceci permet de
répondre vite à de nouvelles exigences professionnelles sans affecter
les opérations quotidiennes.» • par Chris Coggrave,
• Chief Technologist & Strategist, HP Data Center Consulting
49
INFONUAGIQUE
– Les acteurs importants :
• Facebook, Twitter, LinkedIn, Youtube, Wikipédia, Hotmail,
Google, Skype, Amazone, EBAY, etc.
• Amazone AWS, Microsoft Azure, IBM, Orable, Google, OVH,
etc.
• Inter connecteur – fournisseurs d’accès Internet
• RISQ : Réseau d’éducation privé - Intra RISQ
50
51
Medinsoft
Ce qu'il faut savoir sur le Cloud Computing
HTTP://FR.SLIDESHARE.NET/MEDINSOFT/CE-QUIL-FAUT-SAVOIR-SUR-LE-CLOUD-
COMPUTING?RELATED=1
52
Medinsoft
Ce qu'il faut savoir sur le Cloud Computing
HTTP://FR.SLIDESHARE.NET/MEDINSOFT/CE-QUIL-FAUT-SAVOIR-SUR-LE-CLOUD-
COMPUTING?RELATED=1
53
Medinsoft
Ce qu'il faut savoir sur le Cloud Computing
HTTP://FR.SLIDESHARE.NET/MEDINSOFT/CE-QUIL-FAUT-SAVOIR-SUR-LE-CLOUD-
COMPUTING?RELATED=1
54
Medinsoft
Ce qu'il faut savoir sur le Cloud Computing
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BYOD
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« Bring your own device » : « Apportez vos appareils personnels » ; en
français : PAP, abréviation de « Prenez vos appareils personnels » est une
pratique qui consiste à utiliser ses équipements personnels (téléphone,
ordinateur portable, tablette électronique) dans un contexte professionnel.
Ces appareils facilitent l’accès aux informations et applications de l’entreprise.
Cette pratique pose des questions relatives à la sécurité de l'information et à la
protection des données, ainsi que sociales et juridiques.
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« Shadow IT » est un terme fréquemment utilisé pour désigner des systèmes
d'information et de communication réalisés et mis en œuvre au sein
d'organisations sans approbation de la direction des systèmes d'information.
le Shadow IT représente un risque pour l'organisation, les solutions de ce type
étant réalisées au mépris des bonnes pratiques en vigueur, notamment en
matière de tests, de documentation, de sécurité, de fiabilité, etc.
Source : Wikipédia
BYOD
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QUEL EST LE DANGER DU BYOD ?
C’est assez simple en fait, jusqu’alors, il était assez facile de sécuriser les
données de l’entreprise dans des silos de données physiquement et
logiciellement fermés.
On ne donnait accès à ces données qu’à des équipements connus, fournis
et équipés de logiciels par l’entreprise. Ces équipements étant maintenus à
jour et parfaitement maîtrisés, le risque, lorsque tout était fait dans les règles de
l’Art, était très faible.
Même lorsque les utilisateurs étaient mobiles, on les dotait de liaisons VPN
(Virtual Private Network), de système à double ou triple authentifications,
parfois fortes à l’aide de token et autre lecteur d’empreinte digitale. On chiffrait
leur disque dur et leur clé USB fournis par l’entreprise.
Source : http://www.om-conseil.fr/byod-conseils-pour-transformer-ces-nouvelles-pratiques-en-veritable-succes/
BYOD
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QUEL EST LE DANGER DU BYOD ?
La perte et le vol des données
Puisque l’on peut joindre, synchroniser et stocker des données de l’entreprise sur
des équipements de faible taille qui n’appartiennent pas à l’entreprise, on
augmente le risque de les perdre mais pire encore, de se les faire voler.
L’attaque virale
On ne peut se protéger de ce que l’on ne voit pas. Puisque de plus en plus de
terminaux non contrôlés donc non vus par les informaticiens en charge de la
sécurité vont se connecter, on augmente grandement le risque d’infection par des
virus et autres menaces telles que les keyloggers et trojans.
Le surcoût et la complexité du support à fournir
Il faudra en effet prévoir une équipe support formée aux différents systèmes
envisageables. Les techniciens devront pouvoir soutenir des équipes dont les
membres utiliseront de plus en plus d’équipements disparates et pourtant
communiquant entre eux…
Source : http://www.om-conseil.fr/byod-conseils-pour-transformer-ces-nouvelles-pratiques-en-veritable-succes/
EXEMPLE DE PLATE-FORME
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EXEMPLE DE PLATE-FORME
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EXEMPLE DE PLATE-FORME
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EXEMPLE DE PLATE-FORME
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4. État de situation du réseau collégial
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État de situation
Infonuagique
Plate-forme infonuagique
Microsoft et Google
Sondage sur les collèges dans le nuage
Qté, mode, échéancier, modules, etc.
Activation des modules très variable
Choix de la plate-forme infonuagique (choix du collège)
Stockage en ligne
Dropbox, Owncloud, etc.
Support technique limité (pénurie de ressources)
Documentation et formation (constante évolution)
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État de situation
Situation logiciel libre - nuage
Entente : Savoir-faire Linux et Microsoft Canada
Problématique - Infrastructure technologique (équipements)
Plusieurs produits serveurs (Openstack, etc.)
Suite bureautique et de collaboration (à venir)
Libre office (sortie en 2016)
Systèmes d’exploitation réseau et local
Prolongement des infrastructures (compatibilité-simplicité)
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État de situation
Application de type : LMS-ENA
Moodle
Relation avec l’infonuagique
Liste des portails pédagogiques (administratifs)
Omnivox, Col.NET, etc.
Relation avec les partenaires Skytech et Coba
Applications de de type : visioconférence
Adobe Connect, Via SVI (support), WebEx, Skype, Hangouts,
H.323, etc.)
Note : Potentiel élevé de maximiser les investissements, le
développement et le partage des outils à travers le réseau.
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6. Conclusion
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Conclusion
Réflexion importante sur la place du numérique
Réingénierie-E de nos processus d’affaires et méthodes de travail
(E-Engineering) - Revoir notre modèle
Bureau virtuel = Suite bureautique + Communication unifiée (UC) +
Entrepôts de mégadonnées (BigData) + Communautés de pratique
(média sociaux) + Plate-forme de collaboration + Outils d’analyses
des données + Autres outils spécialisé…
Comment y arriver = AAA (BYOD)
Collaboration d’équipes virtuelles
Technologie de rupture
Appropriation de la plate-forme
Rien de parfait
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Conclusion
Positionnement (informatique à deux vitesses)
Aspects ou enjeux à valider (technique, juridique, financier)
Disparition des barrières géographiques
Disparition des barrières technologiques
Plate-forme physique (équipement)
Plate-forme d’exploitation (OS)
Le marché des affaires
Impacts sur l’organisation physique des bureaux
Impacts sur l’organisation du travail
Horaire de travail (AAA)
Méthode de travail (équipe virtuelle et espace virtuel)
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Conclusion
Perspective enseignants, étudiants et marché du travail Aspect pédagogique, préparation de cours, outils de travail, diffusion
d’un cours, partage, tutorat, évaluation, correction, communication, etc.
Pression technologique des étudiants avec les NTIC
Pression technologique des entreprises
Réalité de notre environnement avec les BOYD
Équipes virtuelles et espaces virtuels de travail (AAA)
Espace géographique
Espace temps
Espace technologique
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Conclusion
Opportunités et défis des cégeps face aux nouveaux outils
technologiques et aux tendances pédagogiques
Formation
Plan de formation
Capsule de formation
Guide d’utilisation
Gestion de projet RI
BOYD
Législation TI (compétences TIC – informatique)
Contenu des AEC et DEC en TI
Réallocation des ressources
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QUESTIONS ET COMMENTAIRES
RÉFÉRENCES
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