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Le Brésil est le principal producteur mondial de café et de sucre. La Russie est le plus important exportateur mondial de gaz naturel. L’Inde est un leader mondial de l’impartition. La Chine est la deuxième économie du monde. Les possibilités de placement s’étant mondialisées, les marchés émergents occupent une place croissante dans les portefeuilles sous gestion professionnelle (y compris les Portefeuilles INNOVA Scotia). Pour mieux cerner ce phénomène, nous présentons ci-dessous quatre facteurs qui expliquent l’intérêt pour les économies émergentes et leurs marchés financiers. Convergence démographique Les pays émergents comptent pour environ 85 % de la population du monde et 75 % de la masse terrestre. À l’échelle planétaire, une personne sur six vit en Chine et une sur cinq en Inde. Qui plus est, dans les pays en développement, plus de la moitié de la population a moins de 25 ans et des millions de personnes accèdent chaque année à la classe moyenne. Transformation du paysage économique Parmi les marchés émergents, les pays BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) ouvrent la voie à la croissance mondiale. Dans les pays émergents, la croissance économique est redescendue de son sommet du milieu des années 2000, mais le Fonds monétaire international prévoit encore une progression de 4,9 % du PIB en 2014, contre seulement 2,2 % dans les économies développées. On comprend donc l’enthousiasme que suscitent ces marchés. Amélioration du climat des affaires Dans bon nombre de pays en développement, le resserrement des politiques financières s’est traduit par une meilleure gestion des entreprises et une augmentation de l’investissement étranger. Les bilans plus solides, l’amélioration des méthodes de gestion et l’engagement à maximiser la valeur pour l’actionnaire ont tous contribué à assainir le climat des affaires et les conditions d’investissement dans les pays émergents. Potentiel amélioré Malgré leur vaste population et la croissance impressionnante de leur PIB, les pays émergents ne représentent que 11 % du marché boursier mondial. Ce chiffre est appelé à augmenter de façon spectaculaire d’ici 20 ans, les actions de ces pays étant de plus en plus reconnues comme une catégorie d’actif importante offrant un potentiel de croissance et une occasion de diversifier les portefeuilles. Page 2 – Les Portefeuilles INNOVA Scotia et les marchés émergents La mondialisation a rapproché les humains, donnant l’impression que les distances sont plus courtes et ouvrant de nouveaux horizons aux investisseurs. FINAL - 071812 Nouvelles frontières, nouvelles occasions Actualités INNOVA Solides. Stables. Bien pensés. Printemps 2014 | Numéro 21 • Volume 5 www.fondsscotia.com

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Le Brésil est leprincipal producteurmondial de café et desucre.

La Russie est le plusimportant exportateurmondial de gaz naturel.

L’Inde est un leadermondial de l’impartition.

La Chine est ladeuxième économie dumonde.

Les possibilités de placements’étant mondialisées, les marchésémergents occupent une placecroissante dans les portefeuillessous gestion professionnelle (ycompris les Portefeuilles INNOVAScotia).

Pour mieux cerner ce phénomène,nous présentons ci-dessous quatrefacteurs qui expliquent l’intérêtpour les économies émergentes etleurs marchés financiers.

Convergencedémographique

Les pays émergents comptentpour environ 85 % de lapopulation du monde et 75 % dela masse terrestre. À l’échelleplanétaire, une personne sur six viten Chine et une sur cinq en Inde.Qui plus est, dans les pays endéveloppement, plus de la moitiéde la population a moins de 25ans et des millions de personnesaccèdent chaque année à la classemoyenne.

Transformation du paysageéconomique

Parmi les marchés émergents, lespays BRIC (Brésil, Russie, Inde,

Chine) ouvrent la voie à lacroissance mondiale. Dans les paysémergents, la croissanceéconomique est redescendue deson sommet du milieu des années2000, mais le Fonds monétaireinternational prévoit encore uneprogression de 4,9 % du PIB en2014, contre seulement 2,2 %dans les économies développées.On comprend doncl’enthousiasme que suscitent cesmarchés.

Amélioration du climat desaffaires

Dans bon nombre de pays endéveloppement, le resserrementdes politiques financières s’esttraduit par une meilleure gestiondes entreprises et uneaugmentation de l’investissementétranger. Les bilans plus solides,l’amélioration des méthodes degestion et l’engagement àmaximiser la valeur pourl’actionnaire ont tous contribué àassainir le climat des affaires et lesconditions d’investissement dansles pays émergents.

Potentiel amélioré

Malgré leur vaste population et lacroissance impressionnante de leur

PIB, les pays émergents nereprésentent que 11 % du marchéboursier mondial. Ce chiffre estappelé à augmenter de façonspectaculaire d’ici 20 ans, lesactions de ces pays étant de plusen plus reconnues comme unecatégorie d’actif importante offrant

un potentiel de croissance et uneoccasion de diversifier lesportefeuilles.

Page 2 – Les PortefeuillesINNOVA Scotia et les marchésémergents

La mondialisation a rapproché les humains, donnant l’impression que les

distances sont plus courtes et ouvrant de nouveaux horizons aux

investisseurs.

FINAL - 071812

Nouvelles frontières,nouvelles occasions

Actualités INNOVASolides. Stables. Bien pensés. Printemps 2014 | Numéro 21 • Volume 5

www.fondsscotia.com

Conversation avec Judith Chan, CFA,gestionnaire deportefeuille, PortefeuillesINNOVA Scotia

Qu’est-ce qui distingueles marchés émergents les

uns des autres ?

Avec plus de 21 pays répartis en

Asie, en Afrique, en Europe, en

Amérique latine et au Moyen-

Orient, le groupe des marchés

émergents est loin d’être

homogène. Les moins développés

de ces pays, souvent appelés

marchés frontières, en sont aux

premiers stades de leur cycle

d’investissement à long terme. La

situation économique, le cadre

politique et réglementaire, le

climat des affaires, les

investissements directs étrangers

et la stabilité monétaire varient

d’un pays à l’autre; chacun

présente donc un éventail

d’occasions et un profil de risque

particuliers. Ces dernières années,

l’écart s’est creusé entre les pays

dont les fondamentaux

s’améliorent et ceux dont les

fondamentaux se détériorent. Il

faut absolument investir au bon

endroit pour réussir dans cette

partie du monde.

Y a-t-il des thèmes qui retiennent

particulièrement votreattention ?

D’un point de vue

macroéconomique, nous sommes

très intéressés à investir dans les

secteurs et les sociétés des pays

émergents qui profitent de la

croissance intérieure et de la

demande grandissante des

consommateurs. Les thèmes

associés à la demande locale,

comme la consommation, le

logement et les investissements en

infrastructures, sont des facteurs

clés qui sous-tendent le

renforcement des perspectives de

croissance. Ceci contraste avec les

marchés et les secteurs qui

dépendent davantage des

exportations et dont le sort est

plus étroitement lié aux pays

développés, et notamment les

secteurs cycliques comme

l’énergie et les matériaux qui sont

intrinsèquement plus volatils.

Comment abordez-vousles marchés émergents

dans le cadre desPortefeuilles INNOVA

Scotia ?

Dans le cadre d’INNOVA, les

marchés émergents font l’objet

d’une gestion active qui table sur

la compétence d’une vaste équipe

de spécialistes locaux œuvrant au

niveau des pays et des secteurs.

De plus, nous tirons parti des

secteurs et des sociétés tributaires

de la croissance régionale et locale

grâce à un placement conçu

exclusivement pour INNOVA.

Enfin, nous investissons dans les

titres de créance des pays

émergents pour profiter de

rendements plus élevés et de

l’amélioration des notations de

crédit.

Les marchés émergents présentent des possibilités de placement convaincantes, qui

s’accompagnent toutefois de complexités et de risques. Les Portefeuilles INNOVA

Scotia misent sur de l’expertise, ici et dans le monde entier, pour profiter

intelligemment de tout ce que le monde a à offrir.

Portefeuilles Scotia 3 mois 6 mois 1 an 3 ans 5 ans Depuis lacréation*

Portefeuilles INNOVA Scotia – Série AINNOVA Scotia – Revenu 1,66 % 4,02 % 4,50 % 4,93 % 6,47 % 6,55 %*

INNOVA Scotia – Revenu équilibré 2,43 % 5,16 % 7,33 % 5,59 % 7,44 % 7,87 %*

INNOVA Scotia – Croissance équilibrée 3,30 % 6,58 % 11,32 % 6,39 % 8,58 % 9,07 %*

INNOVA Scotia – Croissance 3,96 % 7,65 % 14,82 % 7,05 % 9,41 % 10,35 %*

INNOVA Scotia – Croissance maximale 4,45 % 8,98 % 20,19 % 8,01 % 10,75 % 11,56 %*

Rendement des portefeuilles au 30 avril 2014)

* Janvier 2009

Un placement dans des fonds communs de placement peut donner lieu à des commissions, des commissions desuivi, des frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire les prospectus avant d’investir. Les fonds communs deplacement ne sont garantis ou assurés ni par la Société d’assurance-dépôts du Canada, ni par une autre sociétéd’assurance-dépôts gouvernementale, leur valeur fluctue souvent et leur rendement passé n’est pas indicatif deleur rendement dans l’avenir.Chaque taux de rendement indiqué est un taux de rendement total composé annuel historique au 30 avril 2014qui tient compte des fluctuations de la valeur des parts et du réinvestissement de toutes les distributions, mais quin’inclut pas les frais d’achat, de rachat et de distribution, les frais facultatifs ou l’impôt sur le revenu payables parun porteur, qui auraient pour effet de réduire le rendement.

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Actualités INNOVA | Fonds Scotia

Six ans plus tard, et avec desdroits de cotisation cumulés de31 000 $ jusqu’en 2014, latendance à comparer le CELI auREER s’est accentuée. Voici ceque nous en pensons :

Payer maintenant, payerplus tard

L’une des principales différencesentre le REER et le CELI résidedans la possibilité de reporterl’imposition sur les cotisations auREER. Lorsque vous cotisez auREER, vous pourriez être enmesure de réduire votre revenuimposable* aujourd’hui, dansvotre tranche d’impositionactuelle. Cependant, vous devrezvraisemblablement payer cetimpôt plus tard, lorsque voustirerez un revenu de ce régime(probablement sous forme deversements d’un FERR).

Par contraste, la même cotisationau CELI ne vous procure pas dedéduction fiscale immédiate etn’entraînera pas de versementimposable à l’avenir.

Les deux régimes fonctionnenttoutefois de façon identiqueentre le moment de la cotisationet celui des retraits. Durant cette

période, vous ne payez aucunimpôt sur le revenu gagné àl’intérieur du REER ou du CELI.

Les droits de cotisation

Autre différence importanteentre les deux régimes, lescotisations au CELI nedépendent pas du revenugagné contrairement à cellesdu REER. Les droits decotisation sont les mêmespour tout le monde, peuimporte le revenu. Cecipeut avoir sonimportance sivotre revenuprend une autreforme qu’unrevenud’emploi traditionnel.

Les habitudes d’épargnen’ont pas à cesser à laretraite

Tandis que le REER doit êtreconverti en source de revenul’année de vos 71 ans, le CELIn’a pas de date d’expirationet vous pouvez continuerindéfiniment d’y déposer desfonds et de mettre votrerevenu à l’abri de l’impôt.

Plus il y en a, mieux c’est

En définitive, vous n’avez peut-être pas à choisir entre les deuxrégimes. De fait, le CELI complètetrès bien un REER et d’autresrégimes enregistrés comme lerégime enregistré d’épargne-études (REEE) et même le fondsenregistré de revenu de retraite(FERR). Comme les autres régimesenregistrés, le CELI n’est passimplement un compte (commele « C » de son nom pourrait lefaire croire), mais un régime oùvous pouvez investir dans unlarge éventail de placementscomme des fonds communs etdes CPG afin d’atteindre vosobjectifs.**

L’avènement du CELI a créé unemultitude de possibilités quidépassent de loin le simple choixentre ce régime et le REER. Votreconseiller de la Banque Scotiapeut vous présenter les options etvous aider à prendre la décisionqui vous convient.

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L’ancien et lenouveauIl est dans la nature humaine de comparer les nouveautés àce qui existe déjà. Ainsi, le lancement du compted’épargne libre d’impôt (CELI) en 2009 a déclenché uneavalanche d’articles et de conversations sur les méritesrespectifs de ce nouveau véhicule et du régime enregistréd’épargne-retraite (REER) offert de longue date et surl’opportunité de cotiser désormais au CELI « ou » au REER.

* La situation fiscale de chacun estdifférente. Veuillez consulter votreconseiller en fiscalité pour discuter devotre situation.

**Pour plus de renseignements sur le CELI, allez àwww.banquescotia.com/celi

Printemps 2014 | Numéro 21 • Volume 5

La réduction de lastimulation monétaire n’apas freiné la progression desactions américaines.

Les actionsaméricaines ontpoursuivi leurascension au premiertrimestre, malgré le

retrait de 20 milliards de dollarsUS de stimulation fin décembre etdébut mars. Le S&P 500 a clôturéle trimestre proche de son sommethistorique, rapportant 5,92 % endollars canadiens. Les actionsaméricaines ont été portées par lerétablissement de l’économie et labaisse du chômage, et par lespropos de la présidente de la FedJanet Yellen qui a déclaré en fin detrimestre que l’économieaméricaine aurait encore besoind’être stimulée par la Fed « pendant un certain temps ».

Les soins de santé et lesmatériaux font grimper lecours des actionscanadiennes

Les secteurs des soinsde santé et desmatériaux ont faitmonter les actions

canadiennes, qui ont clôturé letrimestre en hausse de 6,06 %,malgré le retrait progressif desassouplissements de la Réservefédérale américaine et les tensionsgéopolitiques en Ukraine. Lesmarchés ont été dopés par laprolifération des acquisitions desociétés, qui ont augmenté de 20 % par rapport au premiertrimestre de 2013, pour atteindre35,7 milliards de dollars US. Lessecteurs de l’énergie, desmatériaux, des soins de santé etdes services d’utilité publique ontgagné chacun plus de 7 % sur letrimestre.

Les marchés émergents serenforcent.

Malgré l’effet négatifdu retrait desassouplissementsmonétaires aux États-Unis, les marchés

émergents ont enregistré un gainde 3,49 % sur le trimestre. Lasituation de plus en pluspréoccupante en Ukraine s’estrépercutée sur le sentiment desinvestisseurs envers l’économierusse; la Russie, que l’on jugeait

au bord de la récession avant sonincursion en Crimée, feradésormais face à une situationéconomique encore plus difficileen raison des sanctions. Lesactions internationalesreprésentées par l’indice MSCIMonde en $ CA ont rapporté 5,32 % sur le trimestre, soit unpeu moins que les actionscanadiennes et américaines.

L’Europe s’entend sur uneunion bancaire.

Les pays membres del’Union européenneet le Parlementeuropéen ontconvenu des détails

d’une union bancaire quipermettra la prise en charge detoute crise bancaire future. Unfonds conjoint de 55 milliardsd’euros, appelé Mécanisme deRésolution Unique, sera mis enplace pour procurer des fonds auxbanques éprouvant des difficultésfinancières. L’entente doit êtreapprouvée officiellement avantd’entrer en vigueur.

© 2014 Gestion d’actifs 1832 s.e.c. Tous droits réservés.Ce document a été préparé par Gestion d’actifs 1832 s.e.c. et ne doit pas être redistribué. Il est fourni uniquement à titre d’information et aucune autre personne ne peut l’utiliser ou se fonder sur son contenu.Dans la mesure où il contient des renseignements provenant de tiers, ces derniers sont jugés exacts et fiables, mais Gestion d’actifs 1832 s.e.c. ne les garantit pas comme tels. Ce document n’a pas pour but de fournir des conseils de placement. Les investisseurs qui prévoient mettre en œuvre une stratégie de placement devraient s’adresser à leur propre conseiller professionnel pourobtenir des conseils de placement adaptés à leurs besoins. Ainsi, il sera tenu compte de leur situation et les décisions seront prises d’après l’information la plus récente. Les renseignements fournis dans cedocument, notamment sur les taux d’intérêt, les conditions des marchés, les règles fiscales et d’autres aspects des placements, peuvent être modifiés sans préavis. Aucune disposition de ce document ne constitueune promesse ou une déclaration quant à l’avenir. Ce rapport peut contenir des énoncés prospectifs sur le fonds. Ces énoncés sont de nature prédictive et dépendent d’événements ou de situations futurs, ou y renvoient. Par ailleurs, toute déclaration sur lerendement futur, les stratégies, les perspectives, les plans d’action ou les projets constitue également un énoncé prospectif. Les énoncés prospectifs comportent des risques connus et inconnus, des incertitudes etd’autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats, le rendement, les événements, les activités et les réalisations réels diffèrent sensiblement de ceux décrits explicitement ou implicitement par cesénoncés. Ces facteurs comprennent entre autres : l’économie générale, la situation politique, la conjoncture du marché ainsi que les taux d’intérêt et les taux de change, une instance réglementaire ou judiciaire, unchangement technologique ou des catastrophes. Le lecteur doit peser avec soin ces facteurs ou d’autres avant de prendre une décision en matière de placement et de s’appuyer sur ces énoncés prospectifs. Nousn’avons pas l’intention de mettre à jour ces énoncés prospectifs, que ce soit après avoir pris connaissance de nouveaux renseignements, à la suite d’événements futurs ou pour d’autres raisons.

MD Marque déposée de La Banque de Nouvelle-Écosse, utilisée sous licence.Les Fonds Scotia sont gérés par Gestion d’actifs 1832 s.e.c., société en commandite dont le commandité estdétenu en propriété exclusive par La Banque de Nouvelle-Écosse. Les Fonds Scotia sont offerts par PlacementsScotia Inc. et par d’autres courtiers et conseillers, y compris ScotiaMcLeodMD et Scotia iTRADEMD qui sont desdivisions de Scotia Capitaux Inc., membre du Fonds canadien de protection des épargnants et de l’Organismecanadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières. Placements Scotia Inc. et Scotia CapitauxInc. sont des filiales en propriété exclusive de La Banque de Nouvelle-Écosse.

Un placement dans des fonds communs de placement peut donner lieu àdes commissions, des commissions de suivi, des frais de gestion et d’autresfrais. Veuillez lire le prospectus avant d’investir. Les fonds communs deplacement ne sont garantis ou assurés ni par la Société d’assurance-dépôtsdu Canada, ni par une autre société d’assurance-dépôts gouvernementale,leur valeur fluctue souvent et leur rendement passé n’est pas indicatif deleur rendement dans l’avenir.

Ensoleillé

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Rendements des marchés(rendements trimestriels au 30 avril 2014)

3,3 % Obligations canadiennes(indice obligataire universel FTSE TMX)

8,6 % Actions canadiennes (Indice composé S&P/TSX)

5,7 % Actions américaines (indice S&P 500, en $ CA)

5,6 % Actions mondiales (indice MSCI Monde, en $ CA)

3,0 % Actions des marchés émergents (indice MSCI Marchés émergents, en $ CA)

Source : Bloomberg

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