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Qu’est-ce que l’histoire pour toi génération de l’accélération ? Accélération des sciences et des techniques, de nos capacités de com- prendre, d’intégrer, d’être et d’agir... nos ados nés après Internet ont déjà une vision multidimensionnelle de la réalité, ils jouent avec la complexité... mais aujourd’hui le monde du travail est organisé entre délais, planning, deadline, les distances se comptent en temps (Paris-Pékin 12 heures quand la route de la soie mettait 12 mois...). Quel temps reste-t-il pour vivre autrement et pour penser notre réalité de manière complexe ? L’histoire nous permet de sortir de l’immédiat, de l’immédiateté obli- gatoire. Elle sert à cette mise en distance indispensable pour agir plus juste aujourd’hui et pour être à l’offensive autrement pour notre avenir. Pour changer de regard sur la place de notre action dite « sociale » dans la grande Histoire, pour permettre à d’autres d’élargir leur réflexion sur la place et le rôle de l’action syndicale dans l’évolu- tion de la société et de la vie de chacun, l’histoire est un point d’ap- pui précieux. Une réflexion historique ça s’organise et c’est ce que propose l’IHS de l’UGICT-CGT en agissant sur plusieurs axes, en lien avec l’UGICT et ses organisations : des archives à conserver, à classer... des études à réaliser par thème... des débats. colloques, expos... Et toi Femme et Homme de l’accélération, nous te proposons de perdre un peu de temps pour en gagner en t’arrêtant un instant sur ton histoire de technicien, technicienne... pour permettre à un maximum de tes collègues d’avoir un regard différent sur les acquis de ce syndicalisme spécifique, ses avancées, ses erreurs. C’est un bon moyen aussi pour donner à toucher un peu la force de l’action collective et le recul des fatalités qu’elle engen- dre par la mise en œuvre d’énergies plurielles réunies dans les luttes passées mais aussi dans celles d’aujourd’hui et à venir. Le Bureau de l’IHS de l’UGICT-CGT Institut d’Histoire Sociale de l’UGICT-CGT LA FONCTION TECHNICIENNE Notre histoire c’est notre image dans la société Notre histoire c’est notre image dans la société Parce qu’elle croit en son avenir , l’UGICT-CGT conserve les traces de son histoire dans la société

Institut d’Histoire Sociale de l’UGICT-CGT ET LA FONCTION TECHNICIENNE

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Institut d’Histoire Sociale de l’UGICT-CGT ET LA FONCTION TECHNICIENNE

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Page 1: Institut d’Histoire Sociale de l’UGICT-CGT ET LA FONCTION TECHNICIENNE

Qu’est-ce que l’histoire pour toi génération de l’accélération ?

Accélération des sciences et des techniques,de nos capacités de com-prendre, d’intégrer, d’être et d’agir... nos ados nés après Internet ontdéjà une vision multidimensionnelle de la réalité, ils jouent avec lacomplexité... mais aujourd’hui le monde du travail est organiséentre délais, planning, deadline, les distances se comptent en temps(Paris-Pékin 12 heures quand la route de la soie mettait 12 mois...).

Quel temps reste-t-il pour vivre autrement et pour penser notreréalité de manière complexe ?

L’histoire nous permet de sortir de l’immédiat,de l’immédiateté obli-gatoire. Elle sert à cette mise en distance indispensable pour agirplus juste aujourd’hui et pour être à l’offensive autrement pournotre avenir.

Pour changer de regard sur la place de notre action dite « sociale »dans la grande Histoire, pour permettre à d’autres d’élargir leurréflexion sur la place et le rôle de l’action syndicale dans l’évolu-tion de la société et de la vie de chacun, l’histoire est un point d’ap-pui précieux.

Une réflexion historique ça s’organise et c’est ce que propose l’IHSde l’UGICT-CGT en agissant sur plusieurs axes, en lien avecl’UGICT et ses organisations :

cc des archives à conserver, à classer...cc des études à réaliser par thème...

cc des débats. colloques, expos...

Et toi Femme et Homme de l’accélération, nous te proposons deperdre un peu de temps pour en gagner en t’arrêtant un instantsur ton histoire de technicien, technicienne... pour permettre àun maximum de tes collègues d’avoir un regard différent sur lesacquis de ce syndicalisme spécifique, ses avancées, ses erreurs.C’est un bon moyen aussi pour donner à toucher un peu laforce de l’action collective et le recul des fatalités qu’elle engen-dre par la mise en œuvre d’énergies plurielles réunies dans lesluttes passées mais aussi dans celles d’aujourd’hui et à venir.

Le Bureau de l’IHS de l’UGICT-CGT

Institut d’Histoire Sociale

de l’UGICT-CGT

LA FONCTION TECHNICIENNE

Notre histoire c’est notre image dans la sociétéNotre histoire c’est notre image dans la société

Parce qu’elle croit en son avenir, l’UGICT-CGT conserve les traces de son histoire dans la société

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Lors de ce 3eme congrès s’est posée avec force la question de la situa-tion des techniciens et de sa prise en compte dans notre organisation :ainsi l’UGIC est-elle devenue l’UGIC-T après l’année 1968 qui avaitconnu une explosion de grèves et manifestations et dans lesquellesles catégories techniciennes avaient surgi, déjà massivement dans cer-tains secteurs d’activité.La préparation du congrès a donné lieu à une étude aussi détaillée quepossible de l’état des lieux. Tout d’abord c’est l’augmentation du nom-bre de techniciens qui est soulignée, soit de 1962 à 1968 : + 55,2 %(Ensemble des salariés : + 12 %). L’étude relève que ce mouvementaccompagne « le rapide développement des sciences et des techni-ques » avec élévation des qualifications et diversification des fonctionsdes salariés. Le nombre de jeunes diplômés BTS et DUTqui arrivent surle marché du travail à cette période en témoigne.La préoccupation des camarades de l’UGIC va au-delà du constat surle nombre, pour affiner notre connaissance des problèmes spécifiquesaux techniciens : en vue du renforcement de la CGT ; pour une partici-pation plus active de ces salariés aux luttes d’ensemble pour desrevendications plus générales ; et de souhaiter que le congrèsélaboreune « plate-forme revendicative précise pour ces catégories ».On reconnaît bien là l’organisation spécifique de la CGT dont la voca-tion est de prendre en compte les problèmes particuliers des ICTAM etde travailler au rassemblement de tous les salariés. Ce document depréparation du 3eme congrès de l’UGIC, en marquant la préoccupation del’organisation à prendre en compte une situation nouvelle avec l’émer-gence de la catégorie des techniciens et de leurs préoccupations, légi-

time déjà largement l’UGICT comme lieu d’affiliation de ces catégories.Quelques extraits de l’étude « …on peut affirmer que l’activité del’UGICT aura un impact bien particulier chez ceux des techniciens qui,par leurs préoccupations, se rapprochent des ingénieurs et des cadresadministratifs… ». « Vouloir cerner la question au plus près pour unemeilleure activité syndicale nous conduit surtout à constater une conti-nuité entre le travail de l’ingénieur et celui du technicien, les deux s’ap-portant mutuellement leurs connaissances et leurs expériences ».[...] Depuis, la profession s’est élargie et avec cette évolution de nou-veaux problèmes ont surgi avec force comme celui de la reconnais-sance de la qualification. L’UGICT a promu l’idée de la création d’unstatut propre à ces catégories que d’aucuns nommaient « les niouvriers ni cadres ». La question de leur reconnaissance profession-nelle et sociale reste posée. Elle le restera tant que l’organisation dutravail restera inchangée et tant qu’une forte convergence de leursaspirations n’aura pu se réaliser.Le syndicalisme ICT n’est pas un syndicalisme catégoriel. A l’inverse, ilévite la coupure entre les catégories OE et ICT. Il tend à ouvrir des pers-pectives de carrière aux techniciens dans la proximité avec les ingé-nieurs et cadres. Il propose d’agir en commun dans les choix de gestionet d’avenir de la société : un chantier largement ouvert à poursuivre.A l’époque, d’âpres débats ont lieu sur ce rattachement syndical de lacatégorie à celles des I et C. Aujourd’hui les techniciens sont 5 millionsde salariés. Un important travail doit de poursuivre.

JJuulliieenn GGUUEERRIINNExtraits d’intervention en AG constitutive de l’IHS UGICT le 2/10/2008

EEnn 11996699,, àà ssoonn 33eemmee ccoonnggrrèèss,, ll’’UUGGIICC ddéécciiddee dd’’iinnttééggrreerr llee TT ddee tteecchhnniicciieenn

1974 : après une action forte, la Fédération CGTdes Employés et Cadresde la Sécurité sociale signe des accords qui revalorisent la classificationdes salariés. Ces reclassements, concernant les coefficients et les salai-res, n’oublient qu’une catégorie de salariés : « les interpros ». Ce sonttous les techniciens para médicaux, informaticiens et juridiques desorganismes sociaux qui sont en plein développement dans ces secteurs.« Calés » dans la grille générale, sans tenir compte de leurs qualificationsni de leurs diplômes, sans équivalence reconnue avec certains emploisde cadres malgré les responsabilités assumées, ils n’ont pas suivi les

filières de cours internes à la sécu pour être recrutés ou promus et sontquasiment méconnus des employés et des cadres, mais aussi des direc-tions. Ce n’est pas de l’ostracisme, mais leur activité plus techniquequ’administrative, dans des Caisses de Sécu, en fait presque un mondeà part… Cet épisode mémorable conduira à la création d’un syndicat spé-cifique UGICT à la CRAMA, impulsé dans les années 80 par tous ces « oubliés » mécontents qui voulaient que la CGT s’occupe d’eux.

AAnnnnyy GGLLEEYYRROOUUXX, Technicienne de labo. CRAMA Bordeaux

… Les occupations d’usines de 1968 avaient été marquées par trois gran-des préoccupations : les salaires et notamment les plus bas ; la prise encompte des diplômes et qualifications ; les conditions et organisationssur travail. Les augmentations de salaires et du Smig avaient été subs-tantielles. Les organisations du travail avaient été critiquées de manièresconstructives, les cahiers de revendications élaborés au long des deuxmois d’occupation pour en dégager de multiples évolutions, efficaces deleur point de vue. Restait la question des carrières et des qualifications-diplômes qui feront l’objet des négociations ouvertes en 1969.Là se trouvent engagées les réflexions qui conduiront notre Fédération à

intensifier son activité, envers les ETDA (les mensuels) [...], puis par lacréation de l’UFICT, intégrant le SNCIM, au début des années 1970, mou-vement qui aura confirmé en grand l’urgence d’une telle mutation pourla CGT. Et l’UFICT aura tout de suite joué un rôle décisif dans l’activité dela Fédération au lendemain de 68 : les négociations à l’UIMM sur les gril-les de classifications à partir de deux conflits majeurs : Merlin Gérin àGrenoble en 1966 et les « mensuels » de Saint-Nazaire en 1967.

MMiicchheell DDAAUUBBAA, Fédération de la métallurgie

Affectée dans une équipe pluridisciplinaire de psychiatrie infanto-juvé-nile, ma première lutte, en 1979, portait sur la reconnaissance ducontenu professionnel des paramédicaux (orthophoniste, psychomo-tricien), sociaux (assistante sociale, éducateur spécialisé), psycholo-gue, composant les équipes face à la toute-puissance d’un petit nom-

bre de médecins psychiatres. Le syndicat, sollicité pour soutenir cemouvement, nous faisait « confiance » mais n’avait pas d’apport dansla réflexion collective.

MMaarrttiinnee PPEEYYRREE SSAARRCCOOSS, Assistante sociale, Toulouse

C’est ainsi qu’un jour, nous nous sommes rendus à l’UGICT, rueLafayette, en délégation d’assistantes sociales et nous avons réussià imposer notre point de vue à René Le Guen, secondé de GuyJuquel, pour « éclater » ce syndicat national, pour rejoindre les Ufictdans les fédérations. Notre détermination était grande, soutenue par

Henri Sauvinet, Secrétaire aux revendications. Désormais, les assis-tantes sociales partagent dans leurs branches respectives les reven-dications de leurs collègues.

JJoocceellyynnee GGUUIIHHEEUUXX, Assistante sociale

L’ensemble de ces collègues ont leur place dans la CGT qui regroupetous les travailleurs. Notre intention n’est point de marquer une sépa-ration ou une coupure avec la classe ouvrière ou les autres catégoriesde travailleurs, mais de tenir compte de situations objectives qui sedégagent de la formation, du niveau des connaissances, du niveau desresponsabilités, de la place dans l’entreprise capitaliste quant à lanotion d’encadrement et qui, de ce fait, anime des préoccupations

spécifiques, tant de l’aspect revendicatif que dans l’exercice de leursfonctions. Préoccupations dont la particularité est qu’elles convergentavec celles, peut-être à plus long terme, des autres catégories de tra-vailleurs.

AAnnddrréé JJAAEEGGLLEE, Secrétaire de l’UGICT. Extrait de l’éditorial d’Options, juillet-aout 1969

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En se démarquant de l’hégémonie du syndicalisme catégoriel incarnépar la CGC, la CGT et son UGIC, dès 1963, vont analyser de manièrecohérente, les modifications ayant trait à l’organisation du travail, les

préoccupations des différentes catégories, leurs positions sociales, leurrôle et place dans l’organisation du travail, en plein bouleversement avecl’essor des sciences et techniques.

Cela fait ainsi apparaître « le cas des techniciens », leur nombre croissant etceci dans l’ensemble des secteurs professionnels.

Ce mouvement :

aa exige l’élévation des qualifications du fait de la formationprofessionnelle ;

aa voit l’augmentation du nombre d’ingénieurs ;aa voit des diversités de fonctions, et ceci dans les domaines

de la production et dans les autres domaines : servicesmédicaux et sociaux, etc…

C’est ce dernier aspect qui explique le développement plus rapide des tech-niciens. Le document note l’évolution des techniques et des fonctions avecune faible proportion de diplômés chez les techniciens (13,4 %), alors que67,5 % des ingénieurs le sont. De techniciens issus du rang, on passe ainsi àl’apparition de techniciens diplômés, avec la montée en charge de formationscomme les bacs techniques et de techniciens, les CAP, BEP, BTS, DUT etc…

De même, on note la part importante prise par les techniciens dans les luttesde mai et juin 1968, revendiquant une réelle reconnaissance. Cette combati-vité se traduit par une importante influence électorale dans le deuxième col-lège et par un nombre important d’adhésions à la CGT. Le travail syndicalparmi ces catégories était cependant dilué : mensuels, ETDA, ETAM…

Or, il apparait que l’activité de l’UGIC est de nature à impulser la CGT parmiles techniciens. Déjà, « le problème de la définition de ce qu’est un techni-cien » est évoqué, problème qu’on ne pourra éluder longtemps sans courirle risque de retarder les mesures d’organisation indispensables à uneaction efficace ! Les techniciens, de par leurs préoccupations, se rappro-chent des ingénieurs et cadres avec le développement du travail d’équipe. Le congrès va ainsi analyser les conditions de travail, de rémunération et dequalification des techniciens, affiner la reconnaissance des problèmes spé-cifiques à ceux-ci, en cohérence avec les autres catégories de salariés, leursrapports dans l’organisation du travail.

On peut ainsi lire : « la définition par les fonctions nous conduit à laconstatation que le technicien échappe en grande partie à la sphère de laproduction matérielle, son travail s’étendant de la recherche à la fabrica-tion, en passant par la conception, l’étude, les essais et contrôles, le trai-tement de l’information ».

D’une part est analysée la continuité de la carrière professionnelle destechniciens vers le niveau cadre, à laquelle le patronat s’oppose ; d’autrepart leur tendance à la spécialisation pour « … en faire un simple intermé-diaire d’applications dans un domaine réduit », alors que l’analyse mêmeconduit à la diversité et à la multiplication des fonctions couvertes sous cemême vocable de techniciens.

Au vu des différents éléments, il s’agit bien d’un congrès des plus nova-teurs, posant à travers la question des techniciens, celle de toute l’évolu-tion du travail, l’impact des sciences et techniques, les convergences d’in-térêt entre catégories, en particulier, parmi les ingénieurs, cadres et techni-ciens. Cela va donner naissance à l’UGICT telle que nous la connaissonsaujourd’hui, avec l’idée d’être l’organisation de toutes et tous dans un sala-riat en plein bouleversement.

GGéérraarrdd SSAALLKKOOWWSSKKYY

3eme congrès de l’UGIC (21 et 22 juin 1969)

Synthèse et extraits du document

sur les techniciens

Un numéro des Cahiers d’Histoire de l’IHS consacré aux Technicien-nes,

à leurs histoire dans celle de l’Ugict-CGT :aa témoignages ;aa analyses ;aa documents ;aa articles de presse...

À paraître prochainement

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La conservation des archivesLes archives, matériau de base précieux de l’histoire, sont le domaine qui doit particulièrement et prioritairement attirerl’attention de tous, y compris celle des producteurs d’archives d’aujourd’hui, toi, nous, puisque l’histoire s’écrit à chaqueminute qui passe.

A ce jour il est encore recommandé par tous les spécialistes que tout courrier, tract, info, intervention, compte rendu ou écritde toute nature, soit non seulement conservé sur informatique et sur disque séparé mais soit aussi tiré sur papier car c’estencore ce support qui se conserve le mieux en l’état de la technologie.

u Garder ses archives : c’est indispensable

u Faire un pré tri et organiser le stockage : c’est bien

u Contacter l’IHS UGICT et/ou celui de sa fédé et celui de sa région/département pour la suite : c’est mieux

u Se former (un peu) pour la conservation des archives : c’est parfait

u Donner un coup de main à l’activité de l’IHS UGICT : ce ne serait pas du luxe et quand on aime c’est passionnant !

Trajectoires militantesSur la suggestion des historiens membres du Conseil scientifique de l’IHS de l’UGICT, nous entreprenons de fixer surle papier ce patrimoine irremplaçable que constitue la mémoire des parcours syndicaux et sociaux accomplis par lesmilitants de l’UGICT.

Depuis la date de votre adhésion jusqu’à ce jour en passant par le regard sur l’organisation spécifique porté par lesmilitants, par vos collègues, vos propres motivations, les événements auxquels vous avez été associé, etc.

Et, pourquoi pas, si vous le jugez utile, l’environnement familial ou social qui vous a conduit vers l’UGICT.

Enfin, tout ce qui fait que l’UGICT-CGT tient une place importante dans l’histoire sociale française.

Rejoignez l’IHS-UGICT… adhérez… rejoignez l’IHS-UGICT… adhérez

u Adhésion individuelle ££comprenant l’abonnement aux « Cahiers d’histoire de l’UGICT-CGT » (4 numéros par an - port compris) 20 euros.

v Adhésion collective ££comprenant l’abonnement aux « Cahiers d’histoire de l’UGICT-CGT » (4 numéros par an - port compris) 80 euros.

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