Introduction à l'Étude Des Idées Morales Dans l'Egypte Antique Par Jules Baillet,... Baillet, Jules (1864-1924)

8/19/2019 Introduction à l'Étude Des Idées Morales Dans l'Egypte Antique Par Jules Baillet,... Baillet, Jules (1864-1924)
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S lli b f f / Bibli thè ti l d F
Introduction à l'étude des
Baillet, Jules (1864-1924). Introduction à l'étude des idées morales dans l'Egypte antique / par Jules Baillet,.... 1912.
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.
CIMV.
IVMI.
OKITIIXKU
Nanties, in-S'
.
DES
IDÉES
MORALES
DANS
l/ÊGYPTK
ANTIQUE
2,
Rue
Haute,
2
1912
la
Grèce
Ibid.,
Il,
148.
leurs
admirateurs
modernes
constaterait nulle
Histoire
de
la
littérature
grecque,
184J
trad.
HILLIMAXD,
3«
éd.
1883).
do
Champollion
et
les
beaux
travaux
de
sans
doute
ils
•
Athanase
KIKCRIR,
ObelUcu*
Pamphiliut,
Grignani,
1850;
OEdiput
Mguptiacus,
Rom*,
1MM6S4.
tianisme
et
mais
il
serait
soin
contes
populaires
biographies
do
personnages
plus
ou
moins
illustres
dithyrambes
en
point
de
différence
entre
les
idées
S il
».
jamais
il
se
produisit
p
287.
la
en
plus
exigeante
ont
réalisé
ces
progrès.
princn Hardidif fonctionnaire
3,
compte,
sans
à
un
aveugle
île
nais-
sance
qui
se
figure
non
la
recourir déjà
ne
capable d en saisir
uno
de
lloulag
n*
-I,
p.
u.
méta-
physique
Ici,
en
effet,
l histoire
d Egypte
quo
de
même
époque
où
dont
nous
ignorerions
ou
plus élémentaires.
observera l influence
c
Le
cours
du
ce
que
répond
la
maîtresse
de
p.
16i>.
naient les
le
mépris
pour
les
traditions
antiques1.
Patrologia
greeea
de
Mw.ii,
t.
xix-xitr,
1896-57.
Cour,
Paris,
1804).
Cacsics,
1887).
et
Lopago-
Renouf
10
NATILLE,
Thefuneral
papyrus
ofJouiya,
IW.
dos
couloirs
ou
chambres,
soit
dans
rois
de
IX, l OS
Caire, XV).
royaux.
V.
62-65
et
152-
Guimet,
Bibl..
I.
XIV).
p.
413-111).
et
pl.
i-u).
1866;
PBISSE
;
p.
513
et
passim.
tradi-
tionnelle,
mais
MALLET
Thèse.
1886.
Autres
dans
les
papyrus
de
Vienne,
etr.
MASPZRO,
135-142.
1887;
Us
moines
ég..
Schnoudi,
d Atnon, Bak-ni-
der
teg.
Alterlhûmer,
in-12.
1870;
Wandgemarldc,
1879;
etc., etc.
morcellement.
sentaient
pas
tous
les
peu
à
son
fait,
on
lit
une
partie
empire.
».
I.
7
(MSSTERO,
Pap.
du
Loucre,
p.
72).
Mais
commun
qui
ne
serait
autre
quo
l'un
de
ces
livres
3.
Des
écoles
certes
il
en
existait.
Chaque
quer par
comme cer-
p.
71-99;
MASPERO,
Contes,
p.
173
et
174).
ou
pseudo-historique^
est
<
Cf.
Mtsrr.Ro.
Proceal.
Soc.
Bibl.
Arch.,
1891.
les
religions
positives.
par
la
vue
ou
le
récit
de
leur
tour
les
préceptes
formulés
réa-
recouvre
progresse
et
tient
pour
acquis
tout
progrès
effectué,
chaque
hommo
refait
son-
blàmo
libre
do
ces
?
comment
poêles
XI dynastie.
Très
souvent
les
deux
mots
sont
écrits
seulement
par
le
déterminalif,
ce
qui
permet
de
Cams.
Mél,
n'y
a
«jue
le
déterminalif.
du
calante
au
autrefois
p.
32).
Qu il
H.
Or..
I,
290-296).
reconnaître
la
c.
42).
Thot, le
scribo du
mérites
du
dieu,
et
quo
Péloge
26
(Puaaer,
Rec.,
Il,
25;
GXTBT.
XII*
dyn.,
pl.
16
(Hu-
rxto.
p.
39).
et
d Eschmoun.
premières
années
du
règne
du
nom
de
père.
le petit
i
Il k
pl.
7.1.
3.
sqq.
MSSPEBO,
p.
38).
lo métier
plus
libéralement
de
celle
de
Tanis.
xvm,
2-7
(d'après
VIBET,
p.
102-103).
reproduction
,
on
méthodo
et
la
sûreté
des
résultats.
nouveau
E
se
mêlent
à
iil s«|«|.).
la
méthode
est
la
môme
dans
toutes
les
écoles;
et
co
en
llor
rii
nti
AU
Vatican
(DE
sacrée
et
ils
du
mot.
;
c est la
il n en
isolés,
tenant
de
9
sqq.;
Pap.
Anastasi
V,
p.
8
I.
1
sqq.
faisaientdéposer
avec
eux
dans
U
tombe.
le
front
et
baisant
ses
mains
les
honneurs
dus
aux
béliers
Esxas,
pl.
cm).
à
ceux
Cf.Arttcnuc,
Elles,p.
vn-i.
pl. 6,1.7-9.
»
ne
mènerait
xvn,
10-11
(VIBBT,
p.
101).
do faire
Hymne,
p.
65-66).
les
explique
en
détail,
car
sans
explication
on
112).
Hâ
eo
ses
lerers,
le
pèi-e
Hâ,
créateur
:
>
E.
DB
Rocoé,
Biluel;
PUBBET,
Litre
des
Morts,
p.
63-64.
;
provoque
Pap.
AnasUsi
I,
pl.
I,
I.
3
MASPESO,
G.
ép.,
p.
107).
ou
de
complète
docilité,
en
esclavage
ou
les
1
Par
exemple,
Séti
I
sur
les
murs
nom
(MASPEB«>,
Hist.,
p.
259).
(p.
415).
l habitude
ou
le
telle)
rien.
de
qui
ne
voulait
pas
se
soumettre
à
la
circoncision,
et
qu ils n avaient
Ibid.,
r.nii,
I.
12
(p.
55.1).
a
la
bouche
il
a
fallu
que
les
prèlres
lui
avouassent
triotes, méprisant
haine
du
mal
et
nité.
en
marque
sinon
le
terme
au
de l àme:
le faire.
sage?
Lorsque
vi,
5.
sage
à
Iv7).
écoule;
et
Poil,
1890,107).
Bulletin
égyptienne, 1886
Sur
sa
diversité,
cf.,
MASPBBO,
Guide
au
musée
de
Boulaq,
1884,
p.
148
vie.
Quelles
furent
à
formule
cer-
et,
parti-
cipant
à
leur
puissance,
a
point
Méthode
comparante,
1909,
p.
151.
étang
sur
lo
reste
puis
la
remot
on
place,
Didi
recollo
la
la
royauté
pharaonique,
1902.
révélées
3,
15.
autre
et
le
sentiment
religieux,
déposés
par
S.,
1875).
foi
pas
droit
au
culte
par
cela
mémo
dieux, chap. II.
le
pouvoir
no
peut-il
pas
aussi
bien
quo
lo
Ibid..
XVII,
I.
devenaient plus
qu un
prin-
cipe
l'empire accordé
XIV,
31).
fétichisme,
a
dépassé
le
naturalismo
même
échango de
la piété
4
(NATILLK.
La
litanie,
p.
21).
et
de
la
justice,
ot
ne
gardora
plus
do
son
principal
des
Pyramides.
etc.
cités pour md-khroou
:*
)
Attique, 1904.
verseraient-elles
aux
et
souve-
méta-
physiques
de
avec
telle
ou
telle
divinité
à
Ja révolte; il
les
coutumes;
et
bienfaisant.
ne
présentait
un
code
immuable.
cal-
culé
et
implique l idée d équité dans l échange. La piété devient
franchement morale
.
transforme parallèlement.
ou
et
même
en
dépit
défaillances. Les
prêtres et leurs sages n oubliaient donc point de proposer aux
hommes
une
tion
et
de
à
peu
Téfabi
MARIETTE,
M.
D.,
pl.
69,
p.
22).
penses
I,
p.
71-72,
pl.
XII).
chercheront-ils
à
toucher
menace
ou
CHABAS,
tnscr.
hislor.
à
Karnak
LEGRHS,
attenterait à
l apanage
talion
à
175).
5-6
mai.
41,
p.
258).
au
paclo
social
esl
par
H.,
pl.
vu).
héros
de
légende
Sinouhii
dit
de
même
.s.
Je
ne
redoutais
Outehorrisniti,etc.
p.
112-113).
Z.,
1887,
37).
empire,
I,
33).
* m
Amis
des
hommes
68).
rites
efficaces
dans
les
rapports
avec
R.
Tr.,
I,
72).
divinité
exerce
le
môme
que
mes
deux
geux
1880,
III).
p.
237
et
851.
(Turin,
n*
p.
W).
J. B., Régime
5
1887,121).
A).
MASPEKO,
//. Or..
II.
2(1).
par
laquelle
le
(là.,
vin.
8).
(DAKZSST,
M.-H.,
p.
74).
de les imiter,
qu il
se per-
île
.-a
mémoire
Statue
de
Nsihor,
Louvre
A
90
(supra,
p.
122.
n.
1).
AS.
Z.,
1887,122).
ou
à
la
profon-
deur
150
et
161).
MORET,
R.
Tr.,
XIX,
136).
tard,
et
de
mystère
toujours.
Mais,
Rame*
à
Thèbes
PIEHL,
AZ.
Z.,
1883.
127-128).
chrétienne,
pendant le
traduction,
p.
3).
Hymnes, formules
et rubriques
un
tant
soit
peu
développées.
et
gigantesque,
où
ils
vaquent
dans
l espace.
d éléments
9-12:
Cuints,
Textes
sqq.
VIRET,
Religion,
p.
237.
autres
sentiments
éprouvés
par
les
vivants
au
cours
de
la
55)
«
«
Litre
des
Morts,
ch.
u
et
ch.
AMI
3
bis
et
passim.
8i-92).
ses
membres
saison,
0;
(II.
Tr.
III,
197,
IAIWII,
14.
appellent
même
interprétation.
texpression
ma-khrôou.
1880
(B.
Eg.,
pir
kheroukhefl
nasf»
(VIRRT,
M.M.C.,
V,
299).—
Zaïnni
IV, 71).
mort.
MASPERO,
Osiris 3,
R. Tr., 1,43).
Supra,
p.
136.
a
été
remplacé
par
le
CXXY*,
mais
U
a
des
éléments
très
anciens.
morts
so
rendent
dans
les
domaines
dos
s expliquo
sont
faites,
pourquoi
ne
10
Les
hôtes
innombrables
de
*
Je
me
tiens
debout
me
dieux,
hôtes
des
morts,
aient
passé
pour
des
paradis
de
délices.
Us
là
el
ils
on
encore
Y
A
menti
(Ch.
XCVIII).
MASPEIO.
Hypogées
[B.
Eg.,
II.
64-37).
Delta,
se
sens
de
de
vieux
étymologues
égyptiens.
De
Allou.
XIV.
188-190).
des .Morts
t
on
peut
sortir
des Offrandes.
et
de
Sit.
162.
151
LXXVIII,L 8.
cette
transformation,
à
aborder l àmo
XI,
Il
XIV.
188).
5-V5fi|
Eg..
Il,
163-166).
des
monstresextra-
ordinaires
contre
lesquels
Met. IV, 258-271.
I, 183.
variante
citée
par
LEFÉSCRK
ap.
CHABAS.
Met.,
IV,
220).
et
Portes
[supra,
p.
22,
n.
2
et
5).
rôle
89-91,
p.
58-59).
bis (MASPEKO, R.
Tr., III, 105-106).
»).
entre
le
pauvre
et
le
riche
Litre
des
Morts,
ch.
cix,
1-2.
de
primitiLCf.

154
1.594-595 (R. Tr., IY, 72-73).
Voir
ci-dessus,
p.
142-144.
n
Voir
ci-dessus,
p.
150-151.
défunt
qui
proteste
de
son
innocence
et
demande
à
supra,
p.
Mi
133.
llfnkoii
a
abstenu.
1901,
p.
497.
méchantn'évitera
donc
aucun
despérils
auxquels
R.
Tr..
4.
Dans
traduction
de
Lirre
CLIII,
9,
que
ces
transformations
soient
une
épreuve
223.
Kg.,
V.
309).
pour penser;
l Egypte
procédés didactiques.
;
0,
13
éd.
AKÉLISIAC),
bien
remplie.
rielle
accompagnée
du
mot
c
coeur
ne
distinguerions-nous
qui
ou
15
CHABAS,
p.
113-126;
AatLBEAV,
p.
5347).
et
une
conti-
pouvons
pour
conceptionde
;
s élabore,
assez différent

la
vie,
et
sortent
frater-
nité
sur
les
rapports
de
la
vie
ter-
restre
et
pharaonique,
p.
213-220.
du
Nil
imposent
dirige les
tiquité 1907.
mort
Lcc,
XI,
27).
crimes réprouvés
519-621).
dos
Pyramides
Du
labeur
otdela
tait
pas
réservé
aux
plus
humbles
ouvriers
constituer
une
milice
leur
ressort
administratif
do
plus
en
Il
en
résulte
un
et
vivifleateur
p.
221-269).
Un
et
honnête.
des
égaux
et
des
amis
la
retenue
vis-à-vis
finexac-
aimables.
Au
nature
on
pouvait
en
Egypte
so
croire
au
paradis
terrestre
dans
c
le
D.,
Il,
23).
Cf.
J.
B.,
Régime
pharaonique,
p.
201-205.
nocher
Rois
et
dieux,
p.
119-159.
;
romain 1911.
les ::i|,:i7, 17,107;
les
chiffres
en
italiques
signalent
les
principales
références.
ARISTOTI,
171.
Uabylone,
186.
.7;>,
39.
BAK-.NI-KHO.NSOU
13
35, 42.
141.
Création,
68,
169.
DKVERIA,
00,
78, 101, 178.
20,
129-170,
177,
187.
Eschmoun,
52.
Esclavage,
51,
71,107,182-3.
Esnéb,
23,25.
Grecque Langue), 174.
131,134,143,
156.
tfotepou
(Champs),153.
Hou,
dieu,
59.
KAKT, 174.
Kaoui-
Mékhir
an
XI
(Chant
de),
31.
189.
147,130,
131,166;
voir
Deux
frères.
ORCURTI,
33.
116, 123, 126,
ai,
63,
66,
67,
83,
121,
131,
132,
134-9,
142,
150,
131,
158.162,161.
Plagiat, 70, 71.
Amour du), 178.
32-4,
38,
59-
61,63,406,109,
111,116.
181, 188
(ami), 48.
157.
Typhon,
99.
14
97,
104,
408
*/V
enthousiasme
des
Grecs
(1-2).
Fon-
Les écoles
incantations (152-154).
L. LIARD.
IUUTS.
-6080

Documents

Introduction à l'Étude Des Idées Morales Dans l'Egypte Antique Par Jules Baillet,... Baillet, Jules (1864-1924)