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Personne ■références, Ivcc femme jrsonnes). Irnal. 2214 le suite nn pcher et I ans, g a ^ c jrnal. 22i8 |ier plom- est de- CocvÉ, rue tail assuré. 2232 E, maréchal, à Senlis, maréchal 2239 ^oldat li- et sachant 1 travail, brnal. 2241 Bune fille bmme bonne [irnal. 2242 1 charron éférences. ERB\Sr» h 2243 11, coiffeur, lis, demande ] lô ans, pré- 2230 SE, 3, rue i-Valois, de- I n n é sachant pisinc, munie 2231 ayant bébé un nour* burnal. 2262 bELETS SUCCÈS bNCÉDibS le à Précy-sur- 1 Uoarbière, le-Maxence. — 2091 voire gare, l )ii’È3 Mâoon. Vieux (Oise) im llaires IS I ons knn ffiro IONS' . 41 fr, 70 IONS FtIBLSS. 00 m s ‘^' -.ii' i^e loot autre bar la ô ^ d ie le prL mmvù'k la ^ ») det« Bi06 ^ïî»ÿ*.v?.:.'■■ ê(^AHKée, — cHNa CINQ CENUiafiS Paraissant le Jeudi et fe Dimanche. ^OURttÀi D£ SENLIS Rédac^em en chef : Loap BEf^TROZ. Paraissant le Jeudi et Le Dr .â.BOXrX!rS]lÆSIT^S SfflUii et Dite. (bu ..................... 6 fr. t a atoii.................. 4 fr. litneaip. Sir. Sfr. Xoa Abonnnmttnta partmt da Ou l'iM na aux Botmiz da InmX H dau teot 1mbareanx à» poste. — L’abouMteat a^t MaU* (TaTaDoe et eontiiiae de plein droU joaqa’à tfaq tast d'avis eutiaira. eu da iB dt abogiM tælu. BUREAUX. RÉDACTION & ADMINISTRATION SBIiltlS » n«c« 4» - SÇiniIilS 'X'iâ.x. iS:p xt OTf M ' nÿ « Les mantisorits, insérés ou nbn, ne sont pas rendus. Annonces Idgales.... I v^taires ■<rrs^ Les aanonces, Senlis, le 20 Janvier. Ita réforme électorale. Si tous ceux qui s’agitent autour de la réforme électorale avaient le ferme propos.de la faire aboutir, on ponrrait affirmer que le scrutin d’arrondisse*. ment est condamné. Personne ne le défend,' et ses défauts sont crûment dénoncés k la première page de tous les journaux. Mais ü n%n résulte aucunement que la réforme électorale soit sur le pomt de s’accomplir. On en parle beaucoup parce qu’il faut bien donner au pays une apparence de sa tisfaction pour racheter le mauvais effet des 15.000 francs. VRumanMè lie se gêne pas pour le dire encore ce matin. « Les parlementaires, M. Clé- menceau le sait mieux que personne, se sont mis en très mauvaise posture par le vote de certaine loi alimentaire - qui a démontré qu’ils pouvaient ac complir pour eux-mêmes, en cinq mi nutes, des miracles budgétaires qui, pour d’autres catégories sociales, exigent des années, voire des décades. En conséquence, les auteurs desdits miracles n’auraient qu’à gagner, semble-t-il, à un changement de scru tin qui, en transformant pour chacun d’eux son corps électoral de la veille et en favorisant la formation de grands courants politiques, détournerait, en partie du moins, de la question déli cate quel’on sait, l’attention dusuffrage universel. » La réflexion est parfaite ment juste. Le seul problème à ré soudre, pour beaucoup de députés sor tants, c’est de rentrer d’une manière ou d’une autre, par la grande porte ou par la petite. La petite porte c’est le scrutin d’ar rondissement. La grande, c’est le scrutin -de hste. Mais quel scrutin de liste 7 Au fond, les députés d’arrqndis- sement ne demanderaient qu’à devenir des députés de département. Ils se raient un peu plus tranquilles, un peu plus indépendants, mais pas beaucoup plus, si le scrutin de hste n’est pas complété par la représentation pro portionnelle. En effet, la liste se for mera par arrondissement, sauf dans lés départements où la réduction du nomhrédesiièges ne permettra pas à tous les arrondissements d’obténir une ^ c e à table. Encore, dans ce cas-là, faut-il s’attendre à d » cominnaisons groupait les àirondissements voisins comme il arrive pour le Sénat. Chaque député contihuera donc .d’être p a^ - cuüèrement aux ordres, d’une, poison du département qui sera .considérée nomme ..sa drconscri^on propre. G’est^uisùoi le scrutin de liste, sans ;ie eerrecM de la r^résentatimi pro^ .portionaelle, ne nous panüt constituer progt>ës très cimtéstahle. Il se lès mardiandages, k tous les téprs de passe-pfflse dé la candidstiire t^cicllé.' En outre, il sa,cixfié i Sfuis lés mmoii^s^^^^u- yé^/éD*pi« moyen, dahs-;;làeB,. des endroits, de garder un ou deux sièges d’arrondissement d ^ ^ un . départe- ■üftpLt écqnis ^èn majo'ntê,à autré ;paîrtit Kdns„'ne. feartâèèQhti djarié dètiiChem^t''d^, . se,^prononcent sç^tin de Este .avec., puja^S:ii^ré- sën’tàtion proportionnelle », en mani- m ' ' pour la secondé hypoffièsê. Le scrutin ..dp<E^ .seul, ne nous ^parait pas V .PQ m ^st^^eur au scrutin A’arronh lÆssément. ^ Æ nrlaut pas se payer de mots ni d’ÜBskms. Lé scrutin (fe" O^nbrë ij,îecf- ^ _____ âûjçaeà t Contré luilës fontpasîesfflCMç éibruiti ;fatiUiéorivenlpa» ^àcticles'^daiis les -yMftnmrx, mra» «d,. ss s e n ^ n t les coudas piffàR uèflïfflfrhifeH 'Eanf’ ^ê^ w’ ÿrqj^^ dp ^ te du pufâs dqnt.i^ çÈ ^ seitiw n » aacnâé; Au contraire, la contimudtqn idoS^ys- >itèineACtiM«nti^ëraîfnne atigmen- ^tioonéDnÿêrdes’ ' " " ^ des arrondissememS dépeuplent gardent toujours leur dé puté (exemple, Barcelonnette avec un député pour 13.885 habitants), tandis que ceux qui parviennent à dépasser 100.000 en obtiennent deux. C’est ainsi que la (3iambre de 1876 comptait 533 membres et que celle de 1910 an comptera 597. Au prix où sont les dé putés, c’est Un système dont le pays n’a pas heu de se féhciter, mais dont les professionnels de la pohtique n’ont qu’a se louer. Et ils voteront contre le scrutin dehste. Beaucoup de partisans de la Représentation proportionnelle adopteront sans doute la même atti tude, car le scrutin de hste pur et simple est encore plus oppressif, plus ignorant des minorités, que le mo^è de nomination actuel. Et c’est ainsi que la réforme électorale n’aboutira pas et ne méritera pas d’aboutir si la Représentation proportionnehe n’en est pas l’idée directnce. EÛ cas d’échec, on pourrait tout au moins enlever au scrutm d’airondisse- œentun de ses défauts les plus criants. Pour empêcher l’accroissement indé-. flni du nombre des députés et même pour le réduire un tant^soit peu, U faudrait emprunter aux projets en pré- laration une bonne disposition de étaü : défalquer du chiffre delà popu lation les étrangers. C’est une question de bon sens et de loyauté;nul argu ment ne saurait justifier le système actuel en vertu duquel la présence ac- cidentehe d’un groupe d’étrangers peut suffire à créer une circonscription électorale française. Il conviendrait, en outre, de supprimer la plupart des députés des colonies. Que représente un député de l’Inde ? Nul ne l’ignore, et lui moins que personne. Le cas n’est pas sensiblement différent en Gochin- chine, à la Guyane et même au Séné gal. n y a là des coupes sombres à opérer. Cela vaudrait mieux assuré ment que de rebâtir la sahe des séan ces, devenue trop exiguë pour les six cents élus que nous aurons demain si l’on n’y met bon ordre. (Débats.) Les M i t s répilcÉs patriotes CONTRE THALAUÀS L’Union des étudiants républicains pa triotes anticollectivistes et la Ligue des Patriotes avaient organisé une réunion pour protester contrel e cours antifrançais de M. Lhalamas, à la Sorbennel Cette réunion a eu lieu au café Souillot, jeudi soir, sous la présidence de M. Dou- tanville, ancien professeur d’histoire, agrégé de l’Université, assisté de MM. René Lambert et Càrnoy, présidents des deux groupements. L'ordre du jour suivant a été adopté & l’untuiimité ; Deux cents étudiants républicains, réunis salle Soufflot, prient les représentànts républi cains modérés de Paris, au Parlement, d’inter venir auprès des pouvoirs publics pour faire cesser lojscandale causé par la présence de H. Tbalamas à la Soebonne ; regrettent que le cours, de rbônortdile professeur Pnech, irai s’est totûonrs tenu & l'écart dès luttes poli tiques, ait été tKwblé : toett lettent le vœu ^ e l e i eoon libres, soient ou wmpriinés ,on acoordép sens distinction ^opinion; demandent.indp qat^Ogi étuq)^ né pui!»e être Tobjet d'une .'peiné ^bsciimapre saasâvoir pu préparer et presentérW ldâ^se. Echos et "Nouvelles. . jnnStçiùe' Erneet dernier dans sa -<'l(oirt de sr.’ Myeri ’CiLff .^enif'côâipbsiti 'Sevér sPëëf' .'Steint 'veL vilm du Lastûdsu (Vàrjy :de SB ans, après avoir reçu en pleine connaissance les derniers sacrements. C'est, avec Berlios.im t e nlusràlèbres mu- sicMbsWKîa&FdHmSpiMt.Sêi^beft-d’^^ vres sont : Sigurd, la Statue, Salambo. Reyer a été iohmné A 'Marseillé,- éon pays natal. , Le taunpoimemsmt de.Rtqrî>a. r. Leàtrain de luxe se dirigeant ’Vërs Pau, a rencontré samedi dernier, ;prèr.du tonnel de Jlisson-fiabas, un train omnibus, venant de ynÿ(k>; deùX personnes ont.été. tuées et IS blessées. . , ’. L'aviateur Wrigtli ét, le qni se trouvaient dabs r" rement contusionnée; - iM Véd&etMon ] ■■ ■, y ryçxr- cours ont,été.prononcés à crttdwraâoiu, et ttifibaidqàet' d'nne'centUHéùib 'éêâüftihÿ’rêunis- leLpiDgrsssistes antoarde Ml Citton, ad- ASUed’Orléa ' ' - - doi^au. tay, et Daditay, aniben Ur = ------ „ itiisnsàré dePt- iputé.- par l’Action Une henrense innovation. La Compagnie du Nord expérimente, en ce moment, un nouveau dispositif combiné avec l’enregistreur de vitesse Farman,-permettant d'enregistrer les signaux franchis &l’arrèt. Le mécanicien, lorsqull passe un signal à l'arrêt, en est avisé au moyen d'un sifflet spécial ac tionné par un électro-aimant. De plus, une bande enregistre le signal firanchi.' eil, ! . ayant donné de bons résultats, a été ap'p'liqué à une dizaine de macbines et sera dans 1avenir généralisé. La nouvelle de la mise en serviqe du nou veau système, qui augmente la sépurité des voyageurs, sera certainement bien vue du pu blic. be rfonioïi'importuit^.Ai^tq|iatle.assis- i p’anditeuqïf'jiiÿ&aBtalBS et ^ e m è n to rg ^ d S dimanche irale PtqndMre. Sqe|disc^^ int été'rtunô#*êst;riiar MM . iu,'de0iitéftbifl’Hérautt et de Ls' RM»G«n>«M;esimt- rAjLi.«i; Cbbbal, îjBôqoIllé* oÆteieUos* Leieanndi ii2 meeaiête^it fiiérntd é f f i ^ tOiBanxdtté dn^munedi üà ddtènbbe. tés côm- dq^-toiuoat-ollas validasl le im -r . ---- ^’j^tiœrdela ■me mon- àCni^te, «agnè va» smxaBUtine de -àbeaù.në.paA L^dass smi Questions M [[liaires Réservistes et territoriaux. Fréquemment, des réservistes ou des terri toriaux demandent à faire leurs périodes dans une garnison autre que celle pour laquelle ils sont désignés. Il faut que tous sachent bien qu'aujourd'hui une pareille faveur, exceptionnellement accor dée autrefois, est actuellement impossible, la loi du 14 avril 190g ne l'autorise pas et rinsr truetion ministérielle pourl’applicationde’ladité loi précise cette disposition. Les réservistes ou territoriaux ne peuvent faire leur période d'appel ailleurs que dans la garnison pour laquelle ils sont désignés, qu’en obtenant au préalable un changement dd corps définitif, ebangemeut qui peut être accorde, mais seulement pour des raisons justifiées et reconnues telles par le ministre de la Guerre. AU PARLEMENT A L A .QHAMBBB Séance du lundi ! 8 janvier. A propos des crédits demandés ponr le Maroc, M. Jaurès prononce un discours où il demande, pour la France, le rôle d’apôtre de la paix.' On entend ensuite M. Denus-Cochm qui demande un peu plus de décision dans nos rapports avec Moulay-Hafid, et M. Pichon, naturelle ment, fait l’éloge de notre politique ma rocaine. Là-dessus la Chambre adopte, par 380 voix contre 98, l’ordre du jour Hubert : La Chambre, confiante dans le gouverne ment pour poursuivre au Maroc la politique de collaboration et de eivilisation que lui dictent ses traditions, ses intérêts, ses accords et les engagements pris à Algésiras, paîsSe à l’ordre du jour. Les crédits pour le Maroc, dont le total s’élève à 23.118.000 francs, ont été ensuite votés par 4S9 voix contre 67. Séance du mardi i 9 janvier. On reprend (a discussion de l’Impôt sur le Revenu ; après avoir rejeté l’àmende- ment Ollivier-Lefas, par 348 voix contré 198, la Chambre vote rarticlé 55 du projet et s’ajourne à demain. Républicain... tout Court.. La représratation proportionnelle. La discussion du projet de réforme élec torale viendra, devant la Chambre, vers le 15 mars prochain. C’est le moment d’ex poser à nos lecteurs tous les inconvénients du mode actuel de scrutin par arrondisse ments, et de faire ressortir les avantages de la représentation proportionnelle, lé système électoral qui consacrerait l’éga lité de tous les citoyens devant le bulletin de vote. Avec notre mode actuel d’élections, le scrutin d’arrondissement, la majorité est tout, la minorité n’est rien. Prenons, au hasard, là l ’ circonscription de Lille (Reu- baix) : H.S45 sociahstés et ii.OiS pro gressistes sont en lutte. Les socialistes se voient r»résentés àu Parlement par M. Guesde. M. Motte qui réunit presque au tant dé sçpr^és n est plus nen... Autre exemple : dans llndro 4S.000 radicaux sont représéfités par 5 députés 55.000 H les libéraux n’ont droit \ aucun siège., N’est-ée pas, on le voit, une injustice fla grante; Avec la représentation proportionnehe les raihcaux auraient S députes au Palais- Bourhon, lés libéraux 2, et ce ne serait que justice I D’autre part, il est absolument inique que certains arrondissements peu peuplés aient autant de députés que d'autres où les électeurs sont en nombrè dix fois su périeur. Ainsi la circonscription de Barcelon- n’a également qu’un tféjBufé. Les tableaux suivants, puisés aux meil leures sources, achèveront d’édilier nos lecteurs : Basses-AIpes. 37.000 élect. 5 députés. Savoie. 73.400 — 5 Alpes-Marit.. 68.400 _ 5 Total : 178.800 élect. 15 députés. Loire-Infér... 188.400 élect. 8 députés. Sarthe 122.900 — 5 —■ Total: 311.300 élect. 13 députés. Sst-il logique que 1 7 8 .0 0 0 é lé c - *311.000 par 13 Ê r>;ES3 IITSSIivc 0|2Ô e- Ift lign«. | Récl«n)e8 ..... ^4q . . , . i 4» 'ÔbB6 l*iA<ârâr VASS 'irnSEBinOlf AÜ*3>B88b08 ete.| «toeÂnaiit Pœ s etles Départêmeêbr Presse i transmet : luffltndean, qu'on aemilie, a reada eurement avaient disserté un pen lis sur la mntaa- ler k CreH, a-t-il en faire partie. H. BoufTandeau du Vaumain. Des visites très \chires. Du Moniteur ; Nous recevons d’un habitant du Vau main le cpmpte-rendu de | la visite que M. Bouffandeau a rendue à ses bons électeurs de cette commune,' qui sè sont précipités à sa réception... au nomlfre de 14. Voici le lécit qu’gn noi Dimanche IQjanvier, H. appelje chez àous Boujfeq\ visite à ses électeurs, 14 répondu k «on invitation. Il sur les retraites ouvrières, j lité. Une mutuelle ta se foi dit ; les ouvriers pourrônt| moyennantun versmnent mensuel de 5 franco Ouvriers, mes amis 1 Ban^quinisemiUs èt ses collègues ont fait mieux! ils ont auguMnté leur trÿteméutet se sOnt atmtuië imèiionsibB de rétraifd 'qui, '.en' CaS def décès, retourne à leur fam'îHè. Voyez donc cquinie ü se moque de nous I II a parié aussi de p loi d’assistance aux vieillards; à eefie question, notremalheu- renx maire — car il est malheureux, veus ver rez pins loin —est-devenn Itout pâle, l’appli cation qu’il en a faite à ses {père et mère lui est apparue. Dans sa réponse k Bouffetout, de sa helle voix habituelle il a mt k l'assistance : Je suis le plus nialheureux des maires du canton, Grézelle est tonjouis là poursignUer mes faits, mais cette fois, je suis satis&t, je raiptgdàmon tour, malgif le certificat mé dical qu’il a fait présenter, r- En effet, Gré zelle a été condamné, par défaut, pour délit de chasse. . On peut s'enorgueillir d’un tel exploit. 27n habitant du Vaumain.' P. S. — M. Bouffandeau a eu le toupet de dire que s'il avait voté l'augmentation de l’indemnité pariementaire, c’est que les visites qu’il rend à yes électeurs lui coûtent très cher. Les électeurs estimeront qu’ils payent ces visites très cher en effet, infiniment plus cher qu’elles ,.ne vajlent. Si Bouffè- quinzemille veut rendre gorge, on se pas sera très bien de son exnîbitioni teù rs soient repr^entéi à la Chambre •• "• aï ï par 1 5 députés, députés seulement 7 Voici un autre exemple d’inégalité plus scandaleux cueilli au hasard dans notre mode actuel de scrutin : Les trois dépàrtèmehts des Hautes-Al- -pes, des Basses-Aipes et des Hautes-Py- rénées, ont ensemble 4S(0.(KI0 habi tanls, représentés par 1 3 d é p o té s . La Sarthe qui, avec ses 4%1«3.Q3 habitants est presque aussi peuplée, n’a que 5 d é - Commele feusait judicieusement remaq- luer notre directeur dans son article;dp ond 'fie dimàncbe derniër« l’épithète de Républicain tout court ne signifie absolu ment'rien. Chaque jour nous eh apporte là. preuve.’Hher, là Gazette de POisé, rendant compte d’une réunion radicale àGonvieux, intitule son wtiolè « Belle manifestation répdhUcmne ». Âdjourd’fiui Fautre organe blocard de C om piè^, te B<ÿé<sfe,:con- vie les membres' oin coniité trUriton Ré- pttbücaine dumapton_d’Attichy à une réunion politique. .. = Ces exemples'uémdntrettt Suffisamment qûele târinB c te^éfteotex'tont court, masque souvent It marchandise radieale- sodaliste. . -- / D’ïfutre part on lit dans iq^^/5g.to ; Au dîner mensuel {teUumiMiv^SHiiltiicaln du commerce, de l'industrie et de Vdqticul- turc, qui a eu lieu Mer soir, des dxscoûrs. ont été prononcés par M. Mascwaud, qui a affimUa- réformes démocratiques,par if. Paul Strauss qui a terminé, en menant l'engagement, au nom de la mâjpnté républicaine, de faire aboutir à bref délai les réformes ,futattend le pays, ün discours de li. Daiimier a ter miné cette manifestation. S’il n’était question de MM. Mascuraud et ètràuss, ah pourrait'croire qùli s’agis sait d’un banquét organisé 'par dès' répu^ bEcaifis que leSépi^étèSV progressistes ë t libéraux » offusquent.; .Les ^ra#àux- sociaiisies, eh cai^àht léuiifâmoh 'àt en b’ihtitnlaht BépnhBèâlâ tàdt'^idnrt. eo- pérent capter la.,çoiifl^ce .du jiulmc et provtfquèr une éqt^oqbe’ .. ' PoUr déjouerces m^'ôBuVrës, nous de vons faire preuve d’Uhë franchise incon- nuèà hol advèrsains; et'nOlos présèntar ': sOns nOtie VéritaUè-' étiqnetfe de BéjpnUi* ’ enias prëgnsslstes on Uhéranx. I RépnbUcains tout court I AEohs dbnol c’est vague, ça ne précise rien 1 En allant an peuple,' nous devons, jè le répète, lui exposer flànchement; sans am- b4;es, le programme que nous défendons avec imergie dàns son'proprè intérêt Laissonslésradicaax s’intitlUer « Ré publicains tontrcomt x,.ils ne tromperont ptfsonne, si pnurmôtre ccmpte nous ajou tons àn^nkd îtépiiÛicàin les épithètes de P r ^ e s ^ é s . e t IdbéFaux. . fê s tristes censéqUëhces de la politique que nous subissons font que les radicaux- socialistès sont'peu flattés et surtout peu. soucieux de-sè‘présenter devant lë. 'pùblic sans se dojptier de faux airs. Voici nbiuiquoi fié é’uàtitnlent « Répu- blicsuUs teutCourt ». ’NoUs-nlàvons aucun nimifi 'et hhUs'auriohd'à^d tort de les singer : restons”cé'iqra n'ouU 'sôrânîes, soyOiB nUisi'' et, nè rêiiblioDS pas, nous n’avofis'^’a «oufolr pôbr trioiapber.N' L, Bi Le scrutin d’arrondissement fausse donc absolument la représentation nationale, il aboutit à l’inégalité des votes et permet qu’un électeur des Basses Alpes pèse autant, dans la balance politique qtie 7 électeurs de la Làire-Inférieure. Le scrutin de sur Este présente déjà un grand avantage sur le mode actuel d’élec tion, celui de libérer les députés de l’in- fluence des petits; t y r w lopanx, d’en faire l’élu de tout un departemNit et non peisqnr fnpçL ........ nellëdé terou'tercandiâati Mais, pour remédier à'Vinégtditq cho quante qué'nous avons signalée^ns”haut il faut^adjoindre,aqroro^^^M Représëht®îon prbüQiTOMelIé qui per- mèttrâA iSiôÇfi élèc1 feifiïw;.f%e^,êmen- dreiéùrs vmiet de iWiiàsfwépbui ainsi dire escam.otés par les 15.030 électeurs du parti adverse. plus cfxn-. pliqué : l’électeUr vote pour la liste qui représente sesiqpmienai mnsi qu’aux élec tions-mnnii^iales actuellei^ et .demeure libre de retrancher lès ;B 0 m8 < des.- can didats qui -ne dui^ conviennent pas et de les remplacer par d’autres. Au dépouille ment, on compte les-voix obtenues par chaque candidat ptHS on totahse et on. adjuge à chaque parti le mmibreide dé putés qu'il doitj>roporftonnefte»e»( pos séder. UnsaubexMBj^ feca mieux saîar ce que nous disoBS : admettonspar hypothèse, :qü’iuf d^paictwinnt jfitih que 20.000'élec- teiva.'; Il djutdonq Mire 3 députés. Deux Ustiee sont en présence: celle des bloceaeds tVoeM» èaa libérmx-progres- itsfes réunis : ...a; Modéré».' CbariéS Germain Augustm Avec fë mode dé fflsrute açfâel, les trois Wocardsseraiftit élus. Éh^e à la répré- sehtatioh proportionnellè lés'preimers> étant en m^orité, eut droit'à i sièges - r 'd’est fout natÙPéï — ihitts la-minorité sera repféséhtéfc ëfiM dulsïf pàf 1 déphté. Booc ’^Effîtond!’ ÔhÜirie êî tEmrles,' sont Tés' êlàa dè là R. R. Otiîd %plûs rationral, qooFdeîiaÿÿStSî ” " ‘ ' ' L*miémpfe que nôhëvenons de donder cst-aSsef Eiminétfxl’ffmrTà réprésenatiou iohflaio-iatfldbcWfé JëUtt'de Ses 'Oitii ét ‘fi'àt ’pfië^nhë quantité n ^ h - ISilOO Gustave 11.300 Théodore : M.eoo ' 9.4C0 siàoo 7.800 Régfliae fé od^L A ceux qui disent bien haut que la Rée vohition a tué. la Féodali) é, PËoho socid- liste Soissomwùs dédie .Jes Ugnes sui vantes : -Lorsque nous nous reportons à l’époque loitaine dé la féodalité à que noUs com parons l’état social des s srfS et celui d » prolétaires de notre bell 3 démocratie ré publicaine, noos nous demandons sans pouvoir répondre où finit la servitude des uns et où commence 1affranchissement des autres ? Les choses ont chan pé de noms. Le seigheuf féodal nëst plus qu’un bourgeois ayant la rapacité de l’ancien régime sans en avoir la générosité spontenée. Les vilains sont ce qu’on no urne avec mépris - le « peuple ». Mais l’exploitation seigneu- ràle est exactement par< ille à l’èx^ita- tion bourgeoise. Ici et là la propriété eapi- laUste donne l’impulsicn et maintient l’esclava^. Ainsi qu’il'est facfle de s’en rendre compté' le règimé féodal ét lé régime bourgeois sont exàétehient semblables. Lar^blution a mis ,lèë .boui^oi8 à là place des aristbmàtes f màis I ^ e . du ' monde né s’est pàs dMacé pODhle'peaple qui est tonjfwra l’eswàvB de la pr^iw té capitiiHste, qur plK aimn'rd’Ihu 'comme hier des redevances'dindes b'cr là'ëaëte trouve les .élé^iils)^^'^on lUrquOinoi là forcé'- nmnt rélrolutiofihài’ ont. fibnfevéiSè' fe' ffiotn' 'T'àristbciàtië; ses pririli ’îàhüéTCiraërîéfihbiidé*' , lité absolue qui ne se i%1 il Vie^-prüiderd : li. .Noël est élu ^ 44 voix. i Secrétaire: M. Aconin est élu par 10 voix. Bulletin blahc, 1 .' Irésoriér : M. Golozier est élu par 11 voix. M. Meunier, préfet de l’Oise, adresse ses sincères féliçîtaliOns au jh'ésidé^et à tous les mémbrés dé ■fe Chàinbip-de Commerce. s Il est ensuite procédé au tirage à u 's ^ des sérjes 3 entré lesquelles sont, aux nies dé Ta loi dé 1898, répartis les m^i* b'rés de la Chsihbré : ''' l” série (renouvelable dans 2 ansj. — MM. Ifeuehio, Delicouri, Serrin, Guéudré, Acbnin. 2* série (renouvelable dans 4 a n d , — MM. LMné, Noël, 'Sbuàlle, . Nalty^le, ■frivienl, 3* série (renonvèlable dans 6 a n ^ — MM. JDnpont, Cl Communean, Bàjàc! vanet, Golbzierl " ' ' ü Le reste'delà séance a été coqswd à réxamen deS'diverses quès'tibns 4' l'ofdfedu jour.- - bis , '‘là'ffbülé, î-SéS "MffeUt ):^éWqderifi>fion ïrà '^ ’ïëfour ou cesseront les iniquitéë de la démocratie gime féodal Vote de nos ' ( Sidncè du isYjü Scrutin sur l’urgence en. teveur de la prmteitien de loi de M. Zevaès, concer nant les inlmmpatibiütffî pariementaires. ; ,A4QPtép*F^wixeo%n:6t. «5 ; s Ont voté poatîMM.JSSautel'^^fi*^ deait^jminéjChopiBiàtptlÿ^KéiTe. L ’n^nceldu proi^iifejiésor ; ulutipn de,M. Lasies, . vote pàr._procnrat«m c(»nportant. la questioi l’attnbatiwdecréâits. contirftlSl.-' A voté pour : M, N^ontpas pris part don, : Boaffimdeaqi ' Delmefre-, hifirele scrutins dà;cbgiàt|ee<.(m lïX ÿbte ; MM-iBàa- 'Uj T^cbopmet et r-ÿS-er. ChambreM» , _ ^, d é Be9MivaiiB.et d e TOlse. _________ ,_JplûS^ '48é*'èM qSfâèff 8i8l!»é‘%Hétix tS É ^ , qm a t t# n é h t à ,30. f<Kl électeure dëpuîés’ -’et'-'tfêin''donnehï aUcün A 49..900 iieefeufs. -A. MAI,0. tëbënèmbresdé’là chambfè’de mercëse sont réunis samedi iiiàtih, à ffix henhÉ-et -demié! àû-ss^Eabituel, soifs la préiîdehcè de préfet', de rorse'.''--' Sont absents etéxcuéés ;'MM.lNktiveEe, Gûeudré, ■ Côfoaër -.ét 'Mi, 'N69 Jgùi, par suite d’un retard impré'vü. 'tf^'^àrrréé qn'a^èàlè''éotedn;bùi«if;, ‘ M: lé PrïfstprfeTiiill leS^ioMb^ déJà CtamWé'dff CMlmeëM- dè irboéder an ïpte pom”ffe ife m M ^ 'd je - Vb'iàhts t’i l t ' ' '• : ■ Préimsa-^SB^ par 10 voix. Bullétio bl Vf-ru: 1 ne, i; y Union dee SoOiètés de $eeénrs Mntirêls^'raiS^.’ Siège soeiàl ; l^ rié die Seplis^^ Monsieur lé PfésMènt dé PUnion des Sociétés de Sëeouié mutuels de l’i^sa, ap prouvées et libres, .vient d’adresser à'M ^- sieurs les Présidents des Sociétés deT eours mutuels du départemenf,; laie , suivante relative au fonctionnementderla Çmsse de Réassurance de L ’Unien. Celte caisse est iqip^iéc à seconder les sociétés qui sont dans Pobligation: de c ^ serles secours aux malades après un,(*r- tain temps, et àvènir en aideauxmutàa- . listes trop longuement éprouvés par le ma ladie. Monsieur le Présldént, . L'Union Départementale des Sociétis de Secpurs Mutuels de l'Oise, en même .iemps qu'eflc modlBait ses statuts, dans. so'n 'Àssém- blée générale dp 2C juillet dernier, pour Uer- mettre l’admission t e Sociétés libres, t e n - t eait également: quelques articles d e s é ^ t e , e la Caissede Réassurance alln d’en reudri la fonctionuemeat possible à partir-dn iH l|àn. vier 1909. -t . bu vous adressant deux exemplaires de «es statuts BOUS croybasdeVoirappelervotre.l^n- véiHantè attention sur lés principaux a v a n tte s que la Caisse de Réassurance procnrè'aâ^O- oiéiaires assuré*. - -• -i* Après trois vnois de maladie, indmÉüté de Ofr. SO par jour jusqn'k l’expiration 4fé la première année ; ' : O .- -if 3* Indemaiti.de 10 francs par mois pandpnt la secondé anaée dé maladie et de' S fTmmjiar mois pendans la trôisiëine année'; ' . 3» Après trois années,-èecours facUHS& M les retsoarces de la CaiSée de RéasipuramN'fe permettent; . 4* Paiement t e .indemniiés tous les ëioik mois. : r-f-'» Ces avantages sont aeoorte aux sociétaireà, moyennant une cotisation annuelle de q.tAë9é,. lorsque la Société dont, ils fpnfpâftie %a ^ r ê à la Oaiess de Réassürànce dans tes ccùidiDoBS stipulées à i’artirie S; . ç Nousvenoés voué prier. Monsieur te Pjfei- dent de bien vonloir soumettre à votre ^otw té ia question de son. adhésion k l’DnioU'iqter- tementale des Sociétés ^K ecours 'AitBels, si elle n'y' est pas encore-aquiée, et enéSile-à la Caisse de Réassurance. ' Les adfiésions^swt àl’Union, soitàl§flajisee de Réassuranca pcuvent être teéssSés : 1» A M. -DEmàm, .Président' de rUftton, fc a’MM. les Vice-Présidents ; Lé Û üé 8 b» sm , k Sta-Geamnim'r Qàdri:^ fc eaiiSHi i ; Noêi.,^Noyon’;RiiÉoii,APiMAtellMfe0m, - pmirles Sociétakss.09 teur!afri*iflsiWB0>; ni». A M. Gpteiipi. t e t é u ! t e ! s ^ ^ d « ruhtmi, fc Doqiéners.- B te feteig^gq^OTsaMvf~“ * l%xpréssién dé*iM^Sfciflîéntb'’C ._.r,,^^ dévote: ■i Penr-te CoMeitdMiteiiWlîirtbtu ' i':■■■■ ’\ --LePrMtdstttve9 . a. Dtemtob stie LeS'SociM^ 'ffai, pàr-eros'àfi2fetj :tioD bà pour'tout If te réçB leu stanitàtfe' teÎQiâse'de: ^^ànaiideauSeBriiteisL fera cet envoi et leur donnerah geignements dont elles peuvent avoir be- tt W st Coatrlbntton indirectes. è'SniSEffiîpréBose de a" classe a luimpér (service mixte). M. Jea^ pp^9éd( <dassF,à f V ^ o y (distiMeriœ>r:ies-;'Bommé/jpn|o8^M 3* M. Galtfer, p r ^ s é de 3" classe àW ar- navillers (distillelM), est nommé préposé de S* elte»-,àard«rilu^sarvice mixte), itiiône.' ■'-•• M. Dyonne,. pp^esà de 3* classe à 'BreÉp les (sucres), est nommé préposé de 3* classuà IfAiditel&ëiéMèëMixtè (^itee). M. Alàzet, préposé de 3* classe à Noytm (sucrés), est nomaé préposé de 3* classe .4 Tasiin, setgrirejiMxtfl. (tw ne). M. Peüèqu’ériprepo’se^^ de 3* classe 4 ^ aoBHMé ipêéposi de> ctosàéA Ûingaisiio]». sêryteffen- : EltvSte 4i«9hM«àNrZ "è'!.'; M. !Moy, coitei&{iriB8ipal de 67.<d%ue àFranoiéw«iwo«s).. - v:--- Soatéfevte.àJà d(MLxiàBi8>elas8e: ri ^M.' Pitre^^^pte de ^ classe àtealfeB- lëro-éaint-Sé^icre (disliHete^itiRsdo' eieiineS (sucrés). , . ' '^r,I maBdeàia] *

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P e rso n n e■références, Ivcc femme jrsonnes). Irnal. 2214 le suite n n p c h e r e t I ans, g a ^ c

jrnal. 22i8 | i e r plom -

est de- CocvÉ, rue

tail assuré.2232

E, maréchal, à Senlis,

m aréchal 2239

^oldat li- et sachant

1 travail, brnal. 2241 Bune fille bmme bonne

[irnal. 2242 1 c h a r r o n

éférences. ERB\Sr» h

2243 11, coiffeur, lis, demande ] lô ans, pré-

2230SE, 3, rue i-Valois, de-

I n n é sachant pisinc, munie

2231ayant bébé u n no u r*

burnal. 2262

bELETS

SUCCÈS

bNCÉDibS

le à Précy-sur- 1 Uoarbière, le-Maxence. —

2091

voire gare, l )ii’È3 Mâoon.

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ê(^AH Kée, — cHNa CINQ CENUiafiS

Paraissant le Jeudi et fe Dimanche. ^OURttÀi D£ SENLISRédac^em en chef : Loap BEf TROZ.

Paraissant le Jeudi et Le Dr

. â . B O X r X ! r S ] l Æ S I T ^ SSfflUii et Dite.

( b u ..................... 6 fr.t a atoii.................. 4 fr.

litneaip. Sir. S fr.

Xoa Abonnnmttnta partmt da

Ou l'iM n a aux Botmiz da In m X H dau teot1m bareanx à» poste. — L’abouMteat a t MaU* (TaTaDoe et eontiiiae de plein droU joaqa’à tfaq tast d'avis eutiaira.

eu da iB dt abogiM tælu.

BUREAUX. RÉDACTION & ADMINISTRATION S B I i l t l S » n « c « 4» - S Ç in iI i lS

'X'iâ.x. iS: p xt OTf M ' nÿ «Les mantisorits, insérés ou nbn, ne sont pas rendus.

Annonces Idgales.... I v^taires

■<rrsLes aanonces,

Senlis, le 20 Janvier.

Ita réforme électorale.

Si tous ceux qui s’agitent autour de la réforme électorale avaient le ferme propos.de la faire aboutir, on ponrrait affirmer que le scrutin d’arrondisse*. ment est condamné. Personne ne le défend,' et ses défauts sont crûment dénoncés k la première page de tous les journaux. Mais ü n%n résulte aucunement que la réforme électorale soit sur le pomt de s’accomplir. On en parle beaucoup parce qu’il faut bien donner au pays une apparence de sa­tisfaction pour racheter le mauvais effet des 15.000 francs. VRumanMè lie se gêne pas pour le dire encore ce matin. « Les parlementaires, M. Clé- menceau le sait mieux que personne, se sont mis en très mauvaise posture par le vote de certaine loi alimentaire

- qui a démontré qu’ils pouvaient ac­complir pour eux-mêmes, en cinq mi­nutes, des miracles budgétaires qui, pour d’autres catégories sociales, exigent des années, voire des décades. En conséquence, les auteurs desdits miracles n ’auraient qu’à gagner, semble-t-il, à un changement de scru­tin qui, en transformant pour chacun d’eux son corps électoral de la veille et en favorisant la formation de grands courants politiques, détournerait, en partie du moins, de la question déli­cate quel’on sait, l’attention dusuffrage universel. » La réflexion est parfaite­ment juste. Le seul problème à ré­soudre, pour beaucoup de députés sor­tants, c’est de rentrer d’une manière ou d’une autre, par la grande porte ou par la petite.

La petite porte c’est le scrutin d’ar­rondissement. La grande, c’est le scrutin -de hste. Mais quel scrutin de liste 7 Au fond, les députés d’arrqndis- sement ne demanderaient qu’à devenir des députés de département. Ils se raient un peu plus tranquilles, un peu plus indépendants, mais pas beaucoup plus, si le scrutin de hste n’est pas complété par la représentation pro­portionnelle. En effet, la liste se for­m era p a r arrondissement, sauf dans lés départements où la réduction du nom hrédesiièges ne permettra pas à tous les arrondissements d’obténir une ^ c e à table. Encore, dans ce cas-là, faut-il s’attendre à d » cominnaisons groupait les àirondissements voisins comme il arrive pour le Sénat. Chaque député contihuera donc .d’être p a ^ - cuüèrement aux ordres, d’une, poison du département qui sera .considérée nomme ..sa d rco n sc ri^o n propre. G’e s t^ u isù o i le scrutin de liste, sans

;ie eerrecM de la r^résentatim i pro^ .portionaelle, ne nous panüt constituer

progt>ës très cimtéstahle. Il se

lès mardiandages, k tous les téprs de passe-pfflse dé la candidstiire t^cicllé.' En outre, il sa,cixfié i Sfuis

lés m m o ii^ s^ ^ ^ ^ u - yé^/éD*pi« moyen, dahs-;;làeB,. des endroits, de garder un ou deux sièges d’arrondissement d ^ ^ un . départe- ■üftpLt écqnis ^èn majo'ntê, à autré;paîrtit Kdns„'ne. feartâèèQhti djarié

dètiiC hem ^t''d^,. se,^prononcentsç ^ tin de Este .avec., p u ja^S :ii^ ré - sën’tàtion proportionnelle », en mani-

m ' 'pour la secondé hypoffièsê. Le scrutin

..dp< E ^ .seul, ne nous ^ p a r a i t pas V .P Q m ^ s t^ ^ e u r au scrutin A’arronh

lÆssément. ^Æ n rlau t pas se payer de mots ni

d’ÜBskms. Lé sc ru tin (fe"

O ^ n b rëij,îecf-

^ _____ âûjçaeàt Contré lu ilë s

fontpasîesfflCM ç é ib ru iti ; fatiUiéorivenlpa» àcticles'^daiis les -yMftnmrx, mra» «d,. s s s e n ^ n t les coudas p i f f à RuèflïfflfrhifeH 'Eanf’ ^ê^ w’ ÿrqj^^ dp

^ te d u

pufâs dqnt.i çÈ^seitiwn» aacnâé; Au contraire, la contimudtqnidoS^ys-

>itèineACtiM«nti^ëraîfnne atigmen- ^ t io o n é D n ÿ ê r d e s ’' " " ^

des arrondissememS

dépeuplent gardent toujours leur dé­puté (exemple, Barcelonnette avec un député pour 13.885 habitants), tandis que ceux qui parviennent à dépasser 100.000 en obtiennent deux. C’est ainsi que la (3iambre de 1876 comptait 533 membres et que celle de 1910 an comptera 597. Au prix où sont les dé­putés, c’est Un système dont le pays n’a pas heu de se féhciter, mais dont les professionnels de la pohtique n’ont qu’a se louer. Et ils voteront contre le scrutin dehste. Beaucoup de partisans de la Représentation proportionnelle adopteront sans doute la même atti­tude, car le scrutin de hste pur et simple est encore plus oppressif, plus ignorant des minorités, que le mo^è de nomination actuel. Et c’est ainsi que la réforme électorale n’aboutira pas et ne méritera pas d’aboutir si la Représentation proportionnehe n’en est pas l’idée directnce.

EÛ cas d’échec, on pourrait tout au moins enlever au scrutm d’airondisse- œ entun de ses défauts les plus criants. Pour empêcher l’accroissement indé-. flni du nombre des députés et même pour le réduire un tant^soit peu, U faudrait emprunter aux projets en pré- laration une bonne disposition de étaü : défalquer du chiffre delà popu­

lation les étrangers. C’est une question de bon sens e t de loyauté;nul argu­ment ne saurait justifier le système actuel en vertu duquel la présence ac- cidentehe d’un groupe d’étrangers peut suffire à créer une circonscription électorale française. Il conviendrait, en outre, de supprimer la plupart des députés des colonies. Que représente un député de l’Inde ? Nul ne l’ignore, et lui moins que personne. Le cas n’est pas sensiblement différent en Gochin- chine, à la Guyane et même au Séné­gal. n y a là des coupes sombres à opérer. Cela vaudrait mieux assuré­ment que de rebâtir la sahe des séan­ces, devenue trop exiguë pour les six cents élus que nous aurons demain si l’on n’y met bon ordre. (Débats.)

Les M i t s répilcÉs patriotesCONTRE THALAUÀS

L’Union des étudiants républicains pa­triotes anticollectivistes et la Ligue des Patriotes avaient organisé une réunion pour protester contre le cours antifrançais de M. Lhalamas, à la Sorbennel

Cette réunion a eu lieu au café Souillot, jeudi soir, sous la présidence de M. Dou- tanville, ancien professeur d’histoire, agrégé de l’Université, assisté de MM. René Lambert et Càrnoy, présidents des deux groupements.

L'ordre du jour suivant a été adopté & l’untuiimité ;

Deux cents étudiants républicains, réunis salle Soufflot, prient les représentànts républi­cains modérés de Paris, au Parlement, d’inter­venir auprès des pouvoirs publics pour faire cesser lojscandale causé par la présence de H. Tbalamas à la Soebonne ; regrettent que le cours, de rbônortdile professeur Pnech, irai s’est totûonrs tenu & l'écart dès luttes poli­tiques, ait été tKwblé :

toett ■lettent le vœu ^ e le i eoon libres, soient ou wmpriinés ,on acoordép sens distinction ^opinion; demandent.indp qat^Ogi étuq)^ né pui!»e être Tobjet d'une .'peiné ^bsciimapre saasâvoir pu préparer et presentér Wldâ^se.

Echos et "Nouvelles.

. jnnStçiùe' Erneet dernier dans sa

-<'l(oirt de sr.’ Myeri’CiLff .^enif'côâipbsiti 'Sevér sPëëf' .'Steint 'veL vilm du Lastûdsu (Vàrjy :de SB ans, après avoir reçu en pleine connaissance les derniers sacrements.

C'est, avec Berlios.im t e nlusràlèbres mu- sicMbsWKîa&FdHmSpiMt.Sêi^beft-d’ ^ vres sont : Sigurd, la Statue, Salambo.

Reyer a été iohmné A 'Marseillé,- éon pays natal.

, Le taunpoimemsmt de.Rtqrî>a.r. Leàtrain de luxe se dirigeant ’Vërs Pau, a rencontré samedi dernier, ;prèr.du tonnel de Jlisson-fiabas, un train omnibus, venant de ynÿ(k>; deùX personnes ont.été. tuées et IS blessées. . ,’. L'aviateur Wrigtli ét, le qni se trouvaient dabs r" rement contusionnée; -

iM Véd&etMon ]■■ ■, y ryçxr-

cours ont,été.prononcés à crttdwraâoiu, et ttifibaidqàet' d'nne'centUHéùib 'éêâüftihÿ’rêunis-

leLpiDgrsssistes antoarde Ml Citton, ad- ASUed’Orléa ' ' ■ - -doi^au.

tay, et Daditay, anibenUr =------

„ itiisnsàré dePt- iputé.-

par l’Action

Une henrense innovation.La Compagnie du Nord expérimente, en ce

moment, un nouveau dispositif combiné avec l’enregistreur de vitesse Farman,-permettant d'enregistrer les signaux franchis & l’arrèt. Le mécanicien, lorsqull passe un signal à l'arrêt, en est avisé au moyen d'un sifflet spécial ac­tionné par un électro-aimant. De plus, une bande enregistre le signal firanchi.'

eil, !. ayant donné de bons résultats, a été ap'p'liqué à une dizaine de macbines et sera dans 1 avenir généralisé.

La nouvelle de la mise en serviqe du nou­veau système, qui augmente la sépurité des voyageurs, sera certainement bien vue du pu­blic.

be rfonioïi'importuit^.Ai^tq|iatle.assis- ■ i p’anditeuqïf'jiiÿ&aBtalBS et

^em èntorg^dS dimanche irale PtqndMre. Sqe|disc^^ int été'rtunô#*êst;riiar MM.

iu,'de0iitéftbifl’Hérautt et de Ls' RM»G«n>«M;esimt-

rAjLi.«i; Cbbbal,

îjBôqoIllé* oÆteieUos*Leieanndi ii2 meeaiête^it fiiérntd é f f i ^

tOiBanxdtté dn munedi üà ddtènbbe. tés côm-— dq^-toiuoat-ollas validasl le i m - r .----

’j^tiœrdela ■me mon-

àCni te,

«agnèva» smxaBUtine de

-àbeaù.në.paA L^dass smi

Questions M [[liairesRéservistes e t territoriaux.

Fréquemment, des réservistes ou des terri­toriaux demandent à faire leurs périodes dans une garnison autre que celle pour laquelle ils sont désignés.

Il faut que tous sachent bien qu'aujourd'hui une pareille faveur, exceptionnellement accor­dée autrefois, est actuellement impossible, la loi du 14 avril 190g ne l'autorise pas et rinsr truetion ministérielle pourl’applicationde’ladité loi précise cette disposition.

Les réservistes ou territoriaux ne peuvent faire leur période d'appel ailleurs que dans la garnison pour laquelle ils sont désignés, qu’en obtenant au préalable un changement dd corps définitif, ebangemeut qui peut être accorde, mais seulement pour des raisons justifiées et reconnues telles par le ministre de la Guerre.

AU PARLEMENTA LA .QHAMBBB

Séance du lundi ! 8 janvier.A propos des crédits demandés ponr le

Maroc, M. Jaurès prononce un discours où il demande, pour la France, le rôle d’apôtre de la paix.' On entend ensuite M. Denus-Cochm qui demande un peu plus de décision dans nos rapports avec Moulay-Hafid, et M. Pichon, naturelle­ment, fait l’éloge de notre politique ma­rocaine. Là-dessus la Chambre adopte, par 380 voix contre 98, l’ordre du jour Hubert :

La Chambre, confiante dans le gouverne­ment pour poursuivre au Maroc la politique de collaboration et de eivilisation que lui dictent ses traditions, ses intérêts, ses accords et les engagements pris à Algésiras, paîsSe à l’ordre du jour.

Les crédits pour le Maroc, dont le total s’élève à 23.118.000 francs, ont été ensuite votés par 4S9 voix contre 67.

Séance du mardi i 9 janvier.On reprend (a discussion de l’Impôt sur

le Revenu ; après avoir rejeté l’àmende- ment Ollivier-Lefas, par 348 voix contré 198, la Chambre vote rarticlé 55 du projet et s’ajourne à demain.

Républicain...tout Court..

La représratation proportionnelle.

La discussion du projet de réforme élec­torale viendra, devant la Chambre, vers le 15 mars prochain. C’est le moment d’ex­poser à nos lecteurs tous les inconvénients du mode actuel de scrutin par arrondisse­ments, et de faire ressortir les avantages de la représentation proportionnelle, lé système électoral qui consacrerait l’éga­lité de tous les citoyens devant le bulletin de vote.

Avec notre mode actuel d’élections, le scrutin d’arrondissement, la majorité est tout, la minorité n’est rien. Prenons, au hasard, là l ’ circonscription de Lille (Reu- baix) : H .S45 sociahstés et ii.O iS pro­gressistes sont en lutte. Les socialistes se voient r»résentés àu Parlement par M. Guesde. M. Motte qui réunit presque au­tant dé sçpr^és n est plus nen... Autre exemple : dans llndro 4S.000 radicaux sont représéfités par 5 députés 55.000 H les libéraux n’ont droit \ aucun siège., N’est-ée pas, on le voit, une injustice fla­grante;

Avec la représentation proportionnehe les raihcaux auraient S députes au Palais- Bourhon, lés libéraux 2, et ce ne serait que justice I

D’autre part, il est absolument inique que certains arrondissements peu peuplés aient autant de députés que d'autres où les électeurs sont en nombrè dix fois su­périeur.

Ainsi la circonscription de Barcelon-

n’a également qu’un tféjBufé.Les tableaux suivants, puisés aux meil­

leures sources, achèveront d’édilier nos lecteurs :Basses-AIpes. 37.000 élect. 5 députés.Savoie. 73.400 — 5 —Alpes-Marit. . 68.400 _ 5 —

Total : 178.800 élect. 15 députés.Loire-Infér... 188.400 élect. 8 députés. Sarthe 122.900 — 5 —■

Total: 311.300 élect. 13 députés.Sst-il logique que 1 7 8 .0 0 0 é lé c -

*311.000 par 1 3

Ê r>;ES3 I I T S S I i v c0|2Ô e- Ift lign«. | Récl«n)e8.....^4q . . , . i4» 'ÔbB6

l*iA<ârâr VAS S'irnSEBinOlf AÜ*3>B88b08ete.| «toeÂnaiit P œ s etles Départêmeêbr

Presse

i transmet : luffltndean, qu'on aemilie, a reada eurement avaient disserté un pen

lis sur la mntaa- ler k CreH, a-t-il en faire partie.

H. BoufTandeau du Vaumain.Des visites très \chires.

Du M oniteur ;Nous recevons d’un habitant du Vau­

main le cpmpte-rendu de | la visite que M. Bouffandeau a rendue à ses bons électeurs de cette commune,' qui sè sont précipités à sa réception... au nomlfre de 14.

Voici le lécit qu’gn noi Dimanche IQ janvier, H.

appelje chez àous Boujfeq\ visite à ses électeurs, 14 répondu k «on invitation. Il sur les retraites ouvrières, j lité. Une mutuelle ta se foi dit ; les ouvriers pourrônt| moyennantun versmnent mensuel de 5 franco

Ouvriers, mes amis 1 Ban^quinisemiUs èt ses collègues ont fait mieux! ils ont auguMnté leur trÿteméutet se sOnt atmtuië imèiionsibB de rétraifd 'qui, '.en' CaS def décès, retourne à leur fam'îHè. Voyez donc cquinie ü se moque de nous I II a parié aussi de p loi d’assistance aux vieillards; à eefie question, notremalheu- renx maire — car il est malheureux, veus ver­rez pins loin —est-devenn Itout pâle, l’appli­cation qu’il en a faite à ses {père et mère lui est apparue. Dans sa réponse k Bouffetout, de sa helle voix habituelle il a mt k l'assistance :

— Je suis le plus nialheureux des maires du canton, Grézelle est tonjouis là poursignUer mes faits, mais cette fois, je suis satis&t, je raiptgdàmon tour, malgif le certificat mé­dical qu’il a fait présenter, r- En effet, Gré­zelle a été condamné, par défaut, pour délit de chasse. . •

On peut s'enorgueillir d’un tel exploit.27n habitant du Vaumain.'

P. S. — M. Bouffandeau a eu le toupet de dire que s'il avait voté l'augmentation de l’indemnité pariementaire, c’est que les visites qu’il rend à yes électeurs lui coûtent très cher.

Les électeurs estimeront qu’ils payent ces visites très cher en effet, infiniment plus cher qu’elles ,.ne vajlent. Si Bouffè- quinzemille veut rendre gorge, on se pas­sera très bien de son exnîbitioni

t e ù r s soient repr^entéi à la Chambre •• "• a ï ïpar 1 5 députés,

députés seulement 7

Voici un autre exemple d’inégalité plus scandaleux cueilli au hasard dans notre mode actuel de scrutin :

Les trois dépàrtèmehts des Hautes-Al- -pes, des Basses-Aipes et des Hautes-Py- rénées, ont ensemble 4S(0.(KI0 habi tanls, représentés par 1 3 d é p o té s . La Sarthe qui, avec ses 4%1«3.Q3 habitants est presque aussi peuplée, n’a que 5 d é -

Commele feusait judicieusement remaq- luer notre directeur dans son article;dp ond 'fie dimàncbe derniër« l’épithète de

Républicain tout court ne signifie absolu­ment'rien. Chaque jour nous eh apporte là. preuve.’ Hher, là Gazette de POisé, rendant compte d’une réunion radicale àGonvieux, intitule son wtiolè « Belle manifestation répdhUcmne ». Âdjourd’fiui Fautre organe blocard de C om piè^, te B<ÿé<sfe,:con- vie les membres' oin coniité trUriton Ré- pttbücaine dumapton_d’Attichy à une réunion politique. .. =

Ces exemples'uémdntrettt Suffisamment qûele târinB c te^é fteo tex 'ton t court, masque souvent It marchandise radieale- sodaliste.. -- /

D’ïfutre part on lit dans iq^^/5g.to ;A u dîner mensuel {teUumiMiv^SHiiltiicaln

du commerce, de l'industrie et de Vdqticul- turc, qui a eu lieu Mer soir, des dxscoûrs. ont été prononcés par M. Mascwaud, qui a affimUa-réformes démocratiques,par i f . Paul Strauss qui a terminé, en menant l'engagement, au nom de la mâjpnté républicaine, de faire aboutir à bref délai les réformes ,futattend le pays, ün discours de l i . Daiimier a ter­miné cette manifestation.

S’il n’était question de MM. Mascuraud et ètràuss, ah pourrait'croire qùli s’agis­sait d’un banquét organisé 'par dès' répu^ bEcaifis que leSépi^étèSV progressistes ë t libéraux » offusquent.; .Les ra#àux- sociaiisies, eh cai^àht léuiifâmoh 'àt en b’ihtitnlaht BépnhBèâlâ tàdt'^idnrt. eo- pérent capter la.,çoiifl^ce .du jiulmc et provtfquèr une éqt^oqbe’. . '

PoUr déjouerces m 'ôBuVrës, nous de­vons faire preuve d’Uhë franchise incon- nuèà hol advèrsains; et'nOlos présèntar ': sOns nOtie VéritaUè-' étiqnetfe de BéjpnUi* ’ enias prëgnsslstes on Uhéranx. I

RépnbUcains tout court I AEohsdbnol c’est vague, ça ne précise rien 1 En allant an peuple,' nous devons, j è le répète, lui exposer flànchement; sans am- b4;es, le programme que nous défendons avec imergie dàns son'proprè intérêt

Laissonslésradicaax s’intitlUer « Ré­publicains tontrcomt x,.ils ne tromperont ptfsonne, si pnurmôtre ccmpte nous ajou­tons àn^nkd îtépiiÛicàin les épithètes de P r ^ e s ^ é s . et IdbéFaux. .

fês tristes censéqUëhces de la politique que nous subissons font que les radicaux- socialistès sont'peu flattés et surtout peu. soucieux de-sè‘présenter devant lë. 'pùblic sans se dojptier de faux airs.

Voici nbiuiquoi fié é’uàtitnlent « Répu- blicsuUs teutCourt ». ’NoUs-nlàvons aucun nimifi 'et hhUs'auriohd'à^d tort de les singer : restons” cé'iqra n'ouU 'sôrânîes, soyOiB nUisi'' et, nè rêiiblioDS pas, nous n’avofis'^’a «oufolr pôbr trioiapber.N'

L, Bi

Le scrutin d’arrondissement fausse donc absolument la représentation nationale, il aboutit à l’inégalité des votes et permet qu’un électeur des Basses Alpes pèse autant, dans la balance politique qtie 7 électeurs de la Làire-Inférieure.

Le scrutin de sur

Este présente déjà un grand avantage sur le mode actuel d’élec­tion, celui de libérer les députés de l’in- fluence des petits; ty r w lopanx, d’en faire l’élu de tout un departemNit et non

peisqnrfnpçL ........nellëdé terou'tercandiâati

Mais, pour remédier à'Vinégtditq cho­quante qué'nous avons signalée^ns”hautil faut^adjoindre,aqroro^^^M 1»Représëht®îon prbüQiTOMelIé qui per- mèttrâA iSiôÇfi élèc1feifiïw;.f%e^,êmen- dreiéùrs vm iet de iWiiàsfwépbui ainsi dire escam.otés par les 15.030 électeurs du parti adverse.• plus cfxn-.pliqué : l’électeUr vote pour la liste qui représente sesiqpmienai mnsi qu’aux élec­tions-mnnii^iales actuellei^ et . demeure libre de retrancher lès ;B0 m8 < des.- can­didats qui - ne dui conviennent pas et de les remplacer par d’autres. Au dépouille­ment, on compte les-voix obtenues par chaque candidat ptHS on totahse et on . adjuge à chaque parti le mmibreide dé­putés qu'il doit j>roporftonnefte»e»( pos­séder.

UnsaubexMBj^ feca mieux saîar ce que nous disoBS : admettonspar hypothèse, :qü’iuf d^paictwinnt jfitih que 20.000'élec- teiva.'; Il djutdonq Mire 3 députés.

Deux Ustiee sont en présence: celle des bloceaeds tVoeM» èaa libérmx-progres- itsfes réunis : ...a ;

Modéré».' CbariéS Germain Augustm

Avec fë mode dé fflsrute açfâel, les trois Wocardsseraiftit élus. Éh^e à la répré- sehtatioh proportionnellè lés'preimers> étant en m^orité, eut droit'à i sièges - r 'd’est fout natÙPéï — ihitts la-minorité sera repféséhtéfc ëfiM dulsïf pàf 1 déphté. Booc ’ Effîtond!’ ÔhÜirie êî tEmrles,' sont Tés' êlàa dè là R. R. Otiîd %plûs rationral, qooFdeîiaÿÿStSî ” " ‘ '•' L*miémpfe que nôhëvenons de donder cst-aSsef Eiminétfxl’ffmrTà réprésenatiou

iohflaio-iatfldbcWfé JëUtt'de Ses 'Oitii ét ‘f i 'à t ’pfië^nhë quantité n ^ h -

ISilOO Gustave 11.300 Théodore : M.eoo '

9.4C0siàoo7.800

Régfliae f é od^LA ceux qui disent bien haut que la Rée

vohition a tué. la Féodali) é, PËoho socid- liste Soissomwùs dédie .Jes Ugnes sui­vantes :

-Lorsque nous nous reportons à l’époque loitaine dé la féodalité à que noUs com­parons l’état social des s srfS et celui d » prolétaires de notre bell 3 démocratie ré­publicaine, noos nous demandons sans pouvoir répondre où finit la servitude des uns et où commence 1 affranchissement des autres ?

Les choses ont chan pé de noms. Le seigheuf féodal nëst plus qu’un bourgeois ayant la rapacité de l’ancien régime sans en avoir la générosité spontenée. Les vilains sont ce qu’on no urne avec mépris - le « peuple ». Mais l’exploitation seigneu- ràle est exactement par< ille à l’èx^ ita- tion bourgeoise. Ici et là la propriété eapi- laUste donne l’impulsicn et maintient l’esclava^.

Ainsi qu’il'est facfle de s’en rendre compté' le règimé féodal ét lé régime bourgeois sont exàétehient semblables. Lar^blution a mis ,lèë .boui^oi8 à là place des aristbmàtes f màis I ^ e . du ' monde né s’est pàs dMacé pODhle'peaple qui est tonjfwra l’eswàvB de la pr^iw té capitiiHste, qur plK aimn'rd’Ihu 'comme hier des redevances'dindes b'cr là'ëaëte

trouve les .élé^iils)^^'^on

lUrquOinoi là forcé'-

nmnt rélrolutiofihài’ont. fibnfevéiSè' fe' ffiotn'

'T'àristbciàtië; ses pririli

’îàhüéTCiraërîéfihbiidé*' ,

lité absolue qui ne se i%1i l

Vie^-prüiderd : li. .Noël est élu ^ 44 voix. • i

Secrétaire: M. Aconin est élu par 10 voix. Bulletin blahc, 1 . '

Irésoriér : M. Golozier est élu par 11 voix.

M. Meunier, préfet de l’Oise, adresse ses sincères féliçîtaliOns au jh 'ésidé^et à tous les mémbrés dé ■fe Chàinbip-de Commerce. s

Il est ensuite procédé au tirage à u 's ^ des sérjes 3 entré lesquelles sont, aux nies dé Ta loi dé 1898, répartis les m^i*b'rés de la Chsihbré : '''

l” série (renouvelable dans 2 ansj. — MM. Ifeuehio, Delicouri, Serrin, Guéudré, Acbnin.

2* série (renouvelable dans 4 a n d ,— MM. LMné, Noël, 'Sbuàlle, . Nalty^le, ■frivienl,

3* série (renonvèlable dans 6 a n ^ — MM. JDnpont, Cl Communean, Bàjàc! vanet, Golbzierl " ' ' ü

Le reste'delà séance a été coqswd à réxamen deS'diverses quès'tibns 4'l'ofdfedu jour.- -

bis , là

'‘là'ffbülé, î-SéS "M ffeUt ):^éWqderifi>fion

ï r à '^ ’ïëfour ou cesseront les iniquitéë de la démocratie

gime féodal

V ote de nos' ( Sidncè du isY jü

Scrutin sur l’urgence en. teveur de la prmteitien de loi de M. Zevaès, concer­nant les inlmmpatibiütffî pariementaires. ; ,A4QPtép*F^wixeo% n:6t. «5 ; s■ Ont voté poatîMM.JSSautel'^^fi*^deait^jminéjChopiBiàtptlÿ^KéiTe.

L’n^nceldu proi^iifejiésor ;ulutipn de,M. Lasies,. vote pàr._procnrat«m c(»nportant. la questioi l’attnbatiwdecréâits. contirftlSl.-'

A voté pour : M, N^ontpas pris part

don, : Boaffimdeaqi 'Delmefre-,

hifirele scrutins

dà;cbgiàt|ee<.(mlïX

ÿbte ; MM-iBàa- 'Uj T^cbopmet et

r-ÿS-er.

C h a m b re M » , _ ^,d é Be9MivaiiB.et d e TOlse.

_________ ,_JplûS^'4 8 é * 'è M q S fâ è f f 8i8l!»é‘ %Hétix tSÉ ^, qm a tt# n éh tà ,30. f<Kl électeure

dëpuîés’ -’et'-'tfêin''donnehï aUcün A 49..900 iiee feu fs . -A. MAI,0.

tëbënèmbresdé’là chambfè’de mercëse sont réunis samedi iiiàtih, à ffix henhÉ-et -demié! àû-ss^Eabituel, soifs la préiîdehcè de préfet', derorse'.''--' ’ ■

Sont absents etéxcuéés ;'MM.lNktiveEe, Gûeudré, ■ Côfoaër -. ét 'Mi, 'N69 Jgùi, par suite d’un retard impré'vü. 'tf^'^àrrréé qn'a^èàlè''éotedn;bùi«if;, ‘ ■

M: lé PrïfstprfeTiiill leS^ioMb^ dé Jà CtamWé'dff CMlmeëM- dè irboéder an ïpte pom”ffe ifem M ^'dje-

Vb'iàhts t’i l t ' ' '• : ■ P r é im s a - ^ S B ^

p ar 10 voix. Bullétio bl

■ V f-ru: 1

ne, i ; y

U n io n d e e S o O iè té s d e $ e e é n r s M n t i r ê l s ^ ' r a i S ^ . ’

Siège soeiàl ; l ^ r i é die S ep lis^^ Monsieur lé PfésMènt dé PUnion des

Sociétés de Sëeouié mutuels de l’i^sa, ap­prouvées et libres, .vient d’adresser à'M ^- sieurs les Présidents des Sociétés deT eours mutuels du départemenf,; laie , suivante relative au fonctionnementderla Çmsse de Réassurance de L’Unien.

Celte caisse est iqip^iéc à seconder les sociétés qui sont dans Pobligation: de c ^ serles secours aux malades après un,(*r- tain temps, et àvènir en aideauxmutàa- . listes trop longuement éprouvés par le ma­ladie.

Monsieur le Présldént,. L'Union Départementale des Sociétis de Secpurs Mutuels de l'Oise, en même .iemps qu'eflc modlBait ses statuts, dans. so'n 'Àssém- blée générale dp 2C juillet dernier, pour Uer- mettre l’admission t e Sociétés libres, t e n -

teait également: quelques articles d e s é ^ te , e la Caissede Réassurance alln d’en reudri la fonctionuemeat possible à partir-dn iH l|àn.

vier 1909. -t. bu vous adressant deux exemplaires de «es

statuts BOUS croybasdeVoirappelervotre.l^n- véiHantè attention sur lés principaux avan ttes que la Caisse de Réassurance procnrè'aâ^O- oiéiaires assuré*. - -•

-i* Après trois vnois de maladie, indmÉüté de Ofr. SO par jour jusqn'k l’expiration 4fé la première année ; ' : O .- -if

3* Indemaiti.de 10 francs par mois pandpnt la secondé anaée dé maladie et de' S fTmmjiar mois pendans la trôisiëine année'; ' .

3» Après trois années,-èecours facUHS& M les retsoarces de la CaiSée de RéasipuramN'fe permettent;

. 4* Paiement t e .indemniiés tous les ëioik mois. : r-f-'»

Ces avantages sont aeoorte aux sociétaireà, moyennant une cotisation annuelle de q.tAë9é,. lorsque la Société dont, ils fpnfpâf tie % a ^ r ê à la Oaiess de Réassürànce dans tes ccùidiDoBS stipulées à i’artirie S; . ç

Nousvenoés voué prier. Monsieur te Pjfei- dent de bien vonloir soumettre à votre ^otwté ia question de son. adhésion k l’DnioU'iqter- tementale des Sociétés K ecours 'AitBels, si elle n'y' est pas encore-aquiée, et enéSile-à la Caisse de Réassurance. ' ■

Les adfiésions^swt à l’Union, soitàl§flajisee de Réassuranca pcuvent être teéssSés :

1» A M. -DEmàm, .Président' de rUftton, fc

2° a’MM. les Vice-Présidents ; LéÛüé8b» s m , k Sta-Geamnim'r Qàdri:^ fc eaiiSHi i ; Noêi.,^Noyon’;RiiÉoii,APiMAtellMfe0m, - pmirles Sociétakss.09 teur!afri*iflsiWB0>; ni». A M. Gpteiipi. t e t é u ! t e ! s ^ ^ d « ruhtmi, fc Doqiéners.-

B t e f e te ig ^ g q ^ O T s a M v f~ “ *l%xpréssién dé*iM^Sfciflîéntb'’C ._ .r , ,^ ^ dévote: ■ i

Penr-te CoMeitdMiteiiWlîirtbtu ' i ':■■■■’\ --LePrMtdstttve9 .

a . Dtemtob stie LeS'SociM ^ 'ffai, pàr-eros'àfi2fetj

:tioD bà pour'tout Ift e réçB leu stanitàtfe' teÎQiâse'de:^ ^ àn a iid e au S eB riite isLfera cet envoi et leur donnerah geignements dont elles peuvent avoir be-

ttWst

C o a t r lb n t to n i n d i r e c t e s .

è'SniSEffiîpréBose de a" classe a luimpér (service mixte).M. Jea^ p p ^ 9 é d ( <dassF,à fV ^o y

(distiMeriœ>r:ies-;'Bommé/jpn|o8^M 3*

M. Galtfer, p r ^ s é de 3" classe àW ar- navillers (distillelM), est nommé préposé de S* elte»-,àard«rilu^sarvice mixte), itiiône.' ■'-••

M. Dyonne,. pp^esà de 3* classe à 'BreÉp les (sucres), est nommé préposé de 3* classuà IfAiditel&ëiéMèëMixtè (^itee).

M. Alàzet, préposé de 3* classe à Noytm (sucrés), est nomaé préposé de 3* classe .4 Tasiin, setgrirejiMxtfl. (twne).

M. Peüèqu’ériprepo’se de 3* classe 4 ^ aoBHMé ipêéposi

d e > ctosàéA Û ingaisiio]». sêryteffen-

: E ltvSte 4i«9hM«àNrZ "è'!.';M. !Moy, coitei&{iriB8ipal de 67.<d%ue

àFranoiéw«iwo«s).. - v:---Soatéfevte.àJà d(MLxiàBi8>elas8e: ri

^M .' Pitre ^ ^ ^ p te de classe àtealfeB-

lëro-éaint-Sé^icre (disliHete^itiRsdo'

eieiineS (sucrés). , . '

' ^ r , I

maBdeàia]

*

Page 2: Ita réforme électorale.bmsenlis.com/data/pdf/js/1909/bms_js_1909_01_21_MRC.pdf · Ita réforme électorale. Si tous ceux qui s’agitent autour de la réforme électorale avaient

Z r a y e r :^ S e n i t s

l6l SiiÙrôé Mm^, 1^ L iafé d e S o o acrip tio ii.

l'oaqtié-Moiiret.............. S. »»' 8 f . »»

■ ^ • frëcêdente liste.................... 612 f. 45Total. 617 f. 45

Instlitd tion S a in t-V in c en t.Matinée du Dimanche / 7 Janvier.Si l'.ivais à, marquer eatre toutes^es

ia dernière matinée littéraire de Sailli-Vincent, je signalerais l’allure par-

. ,^,^CHlièreraent distinguée qu’elle a revêtue, ',r tant pour les thèmes qu’elle a développés

que pour la forme brillante qu’elle a su liji.dnnner. — Elle a été digne du poète éminanl qu’elle a chanté : F. Coppée 1

er une expression du joli a fait M.' Gotbot au Prési­

dent, Mgr Gaillard, elle a été si heureuse dans sa cueillette de pensées et d’émotions, au champ de la littérature et du beau, que :

Dé ces entrétiens de poète(Aucun de nous) ne fut plus lasQue n’est un rameau de lilas De la halte d’une fauvette !..

.11 y avait foule compacte à cette mati­née : tant mieux ! car il y a eu ainsi plus d'imes à vibrer à ses accents si patrioti­ques, si purs et si nobles !

Mgr Gaillard fait son entrée solennelle àn:l accdrds d’une fantaisie hongroise que joüeht M.M.Bonamy et Gallé, pendant que la jeune et brillante académie se lève dans le décor pittoresque et riant des verdures

des paysages de la scène. J’aime beau­coup cette croix de Malte des Académi- qieiis, avec ses ffns rayons d’or et sa cra- Vitede commandeur. Elle donne à ces jeunes gens des airs de chevaliers ! Et de fâft, n’avohs-nous pas efa leurs personnes ébinme une légion du Travail, qui est la légion d’honneur du collège ?

“*.' Lbùis Gomot complimente fort genti- i Sgr Gaillard, le président de la ma­

tinée. Puis M. Henri Reyre , secrétaire, entame une causerie pleine d'imprévu, de |M|itorèî et d’anecdotes fréquentes sdr là -rie de F. Coppée. Au cours de la causerie^ i n ^ r U lecture de la belle page intitulée Sa&rémr filial, par M. Doria, et le débit ü i.ttendu i ' ’Une Sainte par M. Heurlier. ■' -ItM. Bonamy,SbmotiBaudoux, Leroy II. Kélând A., 'Wàlle, S’emparent alors qui du |iiOio,'qoi de l’archet, etJouent toute une série de motifs sur le Faust de Gounod, aéeo une intëllimnce et une précision de mesure qui sont a l’éloge de leurs éminents j>réfesseurs,M.M. Tinel.■ Arrive la Revue du travail à Saint- Vincelit par M. M. Reyre, secrétaire, de Uerout, trésorier, et Doria, académicien, dé dirai de cette revue ce que le poète a dit de l’eeuvre parfaite :Omne tulit punctum, qui miscuit utile dulci.

Ilte est un mélange délicat d’utile et d’a- sblè, de leçons et de louanges. Elle fait

iJhnBur au tact et à la plume de ses trois mileurs ; elle est aussi a l’éloge delalar- mjir d’esprit et de vue des élèves de Saint- SSooeqt-qut savent si bien, comme l'a dit H.' Boria, se mettre dans la mentalité du triomphateur antique, montantàd Gatntble Aù muien des taxns des uns etdesvjvath dés' antres 1 ils ont la saine pdilosophie Vàccepter en souriant les leçons que leur M t l’académie, et baisent gentiment la fw n à qui ne les blesse qut pour les gué-

-, r ifr : .Mgr. Oiillard adresse quelques paroles

d*MB8rChâ?eureuses à là jeunesse qui Ten- téftrei à la ieunéssè qu’il aime tant ! De .rifs..apDlauoissements l’interrompent pre^ m ji àcnaque phrase; lui prouvant combien Bt' jeühessè de Saint-Vinctnt sait cwn-

u-{xreiidEe:iet apprécier une parole si sympa­thique, si élégante et si française 1 ’

. - ‘ imis la première partie se clôt aveu là séance du Vieillard et Bohérnien de K.

ée. La

I^sscèneslesplusg;\p5iantesdàâ‘actede Powr la ÇcaroÂne (P. Éopple), ont brillaro-entddlut« la séance. - ... j ’ài beaucbup aimé l’allure à la fois Qne et endiablée du rôle du musulman tenta­teur Benko, tenu jpar M. Heurlier. Mb 4* Lesage qui a dû remplacer tout à fait à la dernière. heure, M. G. Robert, malade, dans le rôle de Constantin, a été tout siin plement étonnant dans ses tirades clai-, ronnantes, ses prières, ses indignations Uliales et patriotiques. Mais aussi quel partenaire empoignant il avait en la per­sonne de M. F. de Seroux 11. j’ai rarement vujouef aussi bien un rôle aussi difflcile sur uné scène de collège. M. de Seroux a mené littéralement la salle, au gré de ses colères et de ses sombres emportements. Nos félicitations les plus sinceres à vous et à vos camarades, M. de Seroux, — à M. l’abbé Desfontaines aussi, qui vous a si bien préparés.

An revoir Messieurs, les Académiciens de Saint-Vincent ! Au revoir à la séance du raois.de mai sur le Vieux Senlis. AU plaisir de vous entendre conter, chanter la vieille cité qui vous abrite, comme voiis avez conté, chanté notre éminent poète F. Coppée 1 Un tneil habitué /

C a rn e t M ondain.Au momenloi'i nous mettons sous presse,

la cérémonie du mariage religieux deM.Ro- ger Driard, 111s de l’honorable et distingué premier adjoint, avec Mme HenrietteAIo- reau, s’achevait en la Cathédrale de Sonlis, au milieu d’une nombreuse affluence.

Le mariage civil avait eu lieu la veille.On peut dire que depuis longtemps la

Cathédrale de Senlis n’avait ouvert ses portes à une assistance aussi élégante, brillante, et disons le mot triée sur le volet

Le Conseil municipal ayant à sa tête no­tre distingué maire M. de Waru,.le bar­reau, la magistrature, le clergé et l’armée étaient largement représentés à cette céré- mqnié, à l’issue de laquelle les familles Driard et Moreau ont reçu de nombreuses ét sincères félicitations des personnes qui avaient tenu à leur renouveler de vives sympafflies:, méritées ajuste titre. La messe a été dite par M. l’abbe Dourlentarchiprê- tre qui a adressé aux jeunes époux une fbnonanté et éloquente allocution-.

Le grand orgue était tenu par M. Alphonse Catherine, chef de cnant- à l’Opéra, qui e exécuté une marche de Gounod; m Pater Nosterds Nredermeyer, chanté par M. Pallain, baryton ; un Ave Maria de Ohérnbim,jpnr Mme Vivien (or­gue et chant), et à l’ofrerlqiré une Andante ae Goldermann (violon et orgue), par M. Georges Catherine,.violon de l’Opéra; Paras Angelicus de César Franck, par M. Pallain', accompagné par le violon et l’orgne; Ave Verum de Stradella, pat Mme Vivien.

A la sortie le grand orgue a exécuté magistralement là Toccata de César Frânek.

l a charmante et distinguée- mariée, au bras de son époux et suivie de nombreux parents et amis, a défilé au milieu de la foule, saluée respectueusemeirh

L’heure à laquelle a pris fin cette céré­monie lie nous permet pas, en rrisnn de notre tirage, de donner les noms des per- soanalités parisiennes et senlisiennes qui y assistaient.

Elle peot d'ailleurs se résumer en ceci : cortège brillant, nombreux, au sein du­quel le beau sexe était largement etdigne-

. mept représenté.Nous renouvelons aux époux et à.leurs

faimiUès, àvec nos.meilleurs compliments, nos vœux les plus sincères.

grâce rieuse du bohémien larry), l’émotion,'.la voix d’qr du vieil-

{arjl ;{A. Delor) ont tenu, la salle eu tièrp ÙÛ8 ha charmé exquis et prenant tou t p. làfeU-... LanCherale i^uiue la seconde partiep^

très enlevée deLacoruë. jPuis. M. Gomolprésidèat de-l’académie,

lÈTOpméBèè avec tinpaisahqé jilèipê de d if . fecM d S d'entrain, ùp'é pausérie-lUlérai- ' n 'èlhnécdétiquè sur F. Coppée, 'goète et

. .11# eauswie de M. Gem'ot témoi: seee déjàtrès-ansé delà critiqids j. a*d*hlaittttAraiôrè;'J*m' fœtgeUtèiès hii- ’

,*tkwiafct)taetteg déeop^e; .q’id soàt ve-

fcemnles }es A.ss.erti)

une grace attendrissante la s^shhhqif fàterme.ttrPameUe. M. M. Galffi

a ga'flBettra’bB un saisissant relief les lo^ a rs deg.'ecdantà riches et les labeurs d

■” F AuscontéÏFaoio' ’ ' Nid aÀcpiusaébheelie^tBr

Mi MiUerBUim ’&ëltP.E' wBifaafeg» a » e une

,d -lioœJ. a-.

A u P a tr o n a g e S aln trR léu I.Un Client sérieux.

Le .Transforinisme.Les séances organisées par .ks jeunes

gens du.PafJ-ona.ge Hamt-Rieiil ont rem­porté samedi et dimanche dernier, le plu's corap.leé d légitime succès.

La désopilante comédie de 8. Courtq- liné Un Client sérieux, se trouvait ap prograhune ét, dans cette pièce, c’est un foq rire confinuel du commencement à la fin..- : ' -,

L’avocat fiarbemolle, le grand rôle, a .été inteiprété p;tr , M; Borne, d’unfe façon irréprochable. Avec brie, unjeu!de physionomie parfait, Barbemolle présente son client rinculpé comme innocent, douk comme ,uji agnpau,: d’uno^-sobriété rare. Bàrberqolle devenq suh^itut, l’ihculpé sê teàn'^orm'é).pi) unmaùvaal.^re de fahùllé, ép’ngiyh^y.i^û'dan'gjm et.déhauçhé 1

' ' '»rAbçi^és\ Jfiaÿipe étt/j^j^qïrrtrgh^fj^ulaiœ^■“ J , ont étd éi^èniehf aMlâ'udis

- 'ysfihstitÜir iDoilé réfe à. me ’’ " ip d.’éptràiri par À. 'Eàu-

rdnsformisme, comédie en déui A. de Eor|tep)|0|é apuf transporte Lt lh 'h savant aq mji.|iép d'as anr

t.. La manie .LàFègpepae -de ifiîe f)»fflaonnepj<J^t.B|iefflen|t

_ . -lifea Ifçi¥éilai?iâ;par les deux(BmKsi-

Nous en dirons autant des interm'des et téliciteroDS chaleureusement MMr Richard, fergnier, Boulanger, 'fcfr§BfB et Aubé, qui ee sont tous moati^céinhlé toujours à hauteur des rôles qui leur avaient été'confiés,

Ün joli Succès de plus à, l'aetif des jeunes gens-dp Patronage, qu£,-répo|6daiit aux espérances de leurs dévoBés mattées, ont trouvé ,1e secret d’acqu^fe; uadvéri- table reaoinmée de jeunes àrSstesqae ie public senlisien est heureux d'applaudir comme ils le; ti^ritenè.

L’a ilttn a Jré t^aô l fionial

i l édition 1909 estpar^ .Cet ouvrage d'utilité ^ é r a îe i adopte

A la S o c ié té d ’A ^ ric u ltu re .Mardi 12 cburant, Anksu Üeu de» étee-

tions pour le renouvellement partiel du bureau. Les membres sortants..-étaient M, Léon Martin., président, ét M- Léon Fautrat, secrétaire. — l7l- membres ont pris part au vote. M,. Martin a été réélu par l68 voix et M. Fahtrat par 154 vbix.

En adressant'ses vifs remerciements à la Société pour ce nouveau témoigu^é d’estime et .de confiance auquel il à été très sensible, M. Martin à tehu à décla­rer qu’en raison de son âge il se verrait, non sans regret, bientôt obligé de re­noncer à ses fouettons présidentialles qu’il occupe depuis 1877 et août l’exercice lui a toujours été rendu si agréable par le dévouement et la bienveillance de tous, membres du bureau et sociétaires. M. Fautrat s’est associé aux paroles qui, ve­naient d’être prononcées, ajoutant que, lui, aussi, avait pris la résolution de suivre M. Martin dans sa retraite lorsque celui-ci croirait devoir abandonner la direction de la Société. — Il est inutile de dire que ces déclarations n’ont pas été accueillies sans protestations sympathiques.

Les comptes de l’année 1908 ont ensuite été arrêtés et le budget de 1909 a été dressé.

Puis M. 0. Savary, avoué et président de la Société musicale de Senlis, a été admis comme membre de la Société.

Enfin, on s’est entretenu du concours agricole qui se tiendra â Nanteuil vers le mois de juin et dont le succès est d’ores et déjà assuré. Nous avons dit que cette fête de l’agriculture se déroulerait dans le superbe cadre qu’offre le beau parc mis gracieusement â la disposition de la Société' par M. Emilé Rudault.

Dès maintenant, nous croyons devoir rappeler â MM lés Instituteurs du canton de Nanteuil qu’à cette occasion un concours sera ouvert entre eux et aura pour base iin travail écrit, fruit des obser­vations de l’auteur, sur la culture locale, que ces observations aient été faites dans un champ d’expériénoe ou sur l’ensemble des exploitations de la commune ou du canton : culture du pays, plantes nou­velles, action immédiate et lointaine des engrais et fumiers sur les produits du sol; ressources géologiques au point de vue de la culture : marnes, cendres diverses, tourbes, cultures spéciales; statistiques agricoles ; comptabilité ;' instruments ; soins à donner aux animaux, manière de les condiiiré et de les utiliser, etc,, etc.

Ün autre concours aura lieu entre les élèves des écoles du même canton, âgés de' 11 ans aii'moins et 13 ans au plus, et comprendra une épreuve écrite et un examen oral; les sujets se rapporteront au programme ministériel suivi dans le cours moyen.

B a iig u e t d e s A np iéns e ïèy e s . .. Les cinquante-neuvième banquet et as­

semblée générale de l’Associàtion’ amicale des anciens élèves de Saint-Vincent de Senlis, aiiront Beu lé samedi 6 février pro­chain, â 7 heurés 1/2 du soir,.dans les sal­ions du restaurant Màrguery,'à Paris. '

Ces réunions auront lieu sous la.prési- dence de M. Londos, ancien président dp .Chambre des Notaires de l’arrondissement de dompiègne, membre fondaieiir de l’As­sociation.

- -•

Une v is ite à |g C rècbe-On assure qü’une délégation du Conseil

municipâl de Çrépy, viendra piocliaine- ment'à Senlis, afin de visiter' la crèche fonotioiinant dans notre localité.

C'est en vue de la création d’une.crèche- garderie a Bouillant, que cette visite s’ef­fectuera. ■ , ■ -

Le rapport sur cette question sera pré­senté à la session de mai, du Cotiseil mu­nicipal de Crépy; -- ’

bar les. adminairations, 1* commerce ét fiddoslrie, eàl le véritable .organe rénse^ements commérclaul. indiSpi, sable a chacun! nous le rëcommandousi neslectèors, , ,

ffiiaque arrohcllssemènt est précédé SO plan de son chef-lieu i.c’est-.à-aire que les Annuaües réhfbfmënt 1^ deBeauoàis, ÇUrmônl^ Cornf^gnft^. et Senlis. ' — -

Le numéro âÿ. Télé£hane ,eet indiqué dans la liste des-nbms-et dans k liste des professions à la suite de l’adresse de chaque màîsdii rëBëd àh büré'àd tëlëpBo- nique,

L’Annuaire du Bipàrtement,. fort vo­lume de 1,200 pages, relié: en tofie, est en vente au prix de 5 Gancs.

L'Annuaire de l’arrondissement de Sentis est également en vente, au prix de un £rano, chez tons les Ubrarâê , et notamment à là librairie Jallliof,G, placé Henri IV.

P o lice c o rre e ilo im e tte d e âeiilla<

binbre dà Uni deK.. .

èurveenna

N écro log ie .Ce matin à neuf heures et demie, ont eu

lieu à la Cathédrale, au milieu d’une nom­breuse affluence, les obsèques de M. Jean- Baptiste Cadet, décédé à Villemétrie dans sa 72' année. M. Cadet, qui avait "com­mencé sa carrière comme garde chez M. de 'VVaru père, était, depuis 45 ans, garde particulier, chez M. Boissonnas. il était décoré de la médaille d’Italie et de celle des vieux'serviteurs qu'il avait bien gagnées, l’une et l’autre, par sa bravoure et sa fidélité.

Nous adressons à la famille de M. Cadet l’expression de nos plus sincères condo­léances.

Un c a m b rio la g e .Des cambrioleurs ont, cette nuit, rendu

à notre escellent concitoyen M. Ler pape, une visite dont il se serait bien passe. Ils se sont introduits dans la cave par un soupirail donnant sur l’impasse de la Chaufferette, puis ont gagné le ma­gasin.

Négligeant les objets devante, ils se sont de suite attaqués au tiroir caisse où ne se trouvaient heureusement que quelques rouleaux de pièces de 0 fr. 16. Dérangés peut-être par quelque bruit du dehors les voleurs se sont retirés en emportant uné dizaine de francs en billion et quelques menus objets.

La police a ouvert une enquête et nous sommes convaincus que ces malandrins que nous envoie la capitale ne tarderont pas à tomber sous les verroux.

S p o rt Véiocijbîfidi'giie S en lis ien .Une Séance extraordinaire aura lieu le

jeudi 21 j.aayjèr f 9|09,, ^ 8 h. i/2 fiu soir, au Siègé sbciàl.

OBOpi; MI. JOUR : .1°. Praposilimi.il!.orgaiusa!ion du Champion- '

nat de l’üi.Vi R. jl-i ., ' 2° EtaUiêsengtot du calendrier .des courses dàS. y.VS.:poiitïanjiêB,iéû9 ; : ’ 1

3» ■ Dlàcûssion dë la dem'fQae d’àutdr.isâtioi d’user aùiëmim Vaciiitlin véjqdwàé,'faite parle FiB; A'.'-èfo 2*'Hnèsàrds. — Sdlulioh à prendre de suitè.'

LéSite^rj® A. ’èérqnf pf'ésenr

Yù - jeb'‘.‘é'Qnt

y a ^ t è r è n

A c te d e p ro b ité .Vendredi, jour de marché, le jeune Mar­

cel Guénard, fils de l’hOnorahle adjoint de la commune de Courteuil, a trouvé un porte-monnaie contenant une certaine somme qu’il s’est empressé de rendre ^sa propriétaire, qui lui a octroyé une petite récompense.

Nos félicitations à ce jeune et honnête garçon.

A cc id en ts d u T rayàÜ .M. Joseph Gourment, garçon d'écurie,

s’est donné un effort dans les reins en soulevant une malle. Dix jours de repob prescrits par le docteur Pautbier, ’

Mlle Zoé L., 22 ans, cuisinière, a fait une chute en portant unLseàu d’eau. Lp docteur Millerman-n prescrit 15 jours dp repos.

V ols d e la p in s .Dans la nuit de luiîdi à mardi dernier,

des individus ont visjté les Clapierp'pt faif bobnâ rallé d'é lapins, pôtâmme'nt a i quinconcè de la porte de . Creil et a Vitlevert, espéi-ons que ces malandrins né tarderont pas à être raflés à leur four par la police. •

, ,rr-r-* r-T T -B ra c o n n ie rs ' a r r ê té s .

Les braconnier dé profession Maurice I Rollin, 20 ans, et Alfce.d Dumolin, 22ans, qjij .visitent t.ous les jours les boia.de Mmb 1» baronne ,dc F.or*-st, on t été arrêtés routfc de Greil, par M. Je,Commissaire de.poljcp et les gard.es Gulbert et Leffiaire; Jk .ent été! trouvés portencsde fais8ns:el de ïvsif démontables Êss'imaiés daosleBrspocbps..

c'est uiite.bonne.capture de p lusà i’actif de noî^e police, qui fait preuye d’jwe Ao- - tivité inlassable eo jjie do noMs. déhairas- sef des malaEdrissy : braconniers jon vo­leurs ide #andî<dae»in».

]üp a^;rj|^ .A

______________ G üeriiéelewnoYemble dernier, par le contrôleDr Besaeourt, et il fut constaté que Brubv Eugène, .19 ans, demeurant à (kiye, François 'Viclç^ 20 ans,

t T f $ ; . * æ . 5 s î i a A ® ^à Lamorlaye ; et Descbamps Louis 24 ans, demeurant à Orry-Ia-Yille, avaient ce jour-là Toyagéa sans billet de Orry-la-Ville à Survilliers. O p m t e -ctMttBveua n ta r c ^ ^ IB-Inss, liner en prétendant, les uns quffls.soidjarGvéa ce jour-là en gare, juste au moffientoiriB'traiù aUait partir; vaiitrés qu'il ae-Setreovalmneaiî aueun ejmployé pour leur délivrer un Infietî’’'- Ils sont eoitdamnés cfiâ(âih èn ié fj. cPàr mende.j , . ■ ,

■ Cretîl--Quenné*sbn Ltibi's, adAeétl’ffl-

vier, èd gare de Gfèn couché sous kfianquette du compai liment d’un wagon de 2' classe, était occupé [par -le çoarrier-cbnvoÿéur des ppstèA Quenndsson qui avait voyagé ainsi depuis Pans; pOrteuin d’un revolver. Interrogé sur rusagè qu’il voulait fîûre de cette arme, le jeune yaga-- bond {^étendit qu’il l’avait achetée avec l’in- tention] de s’en servir contre lui-mêmè.

Poursnivi.pour contravention à la police des chemins de fer et port d’arme probinée il est coüdaniné.en 16 frs d’amende-avec sursis.

— Rèpris pour braconnage, Dumoni Joseph 20 ans,I Rollin Maurice 20 ans, attrapent cha­cun 1 niois de prison, et Lambert Marie Henri, 43 ans; 15 jours.

Lamorlaye. — Mahieux Charles, 27 ans, | qui le séjour du département de l’Oise est inter­dit, étaiit sorti récemment de la maison d’arrêt, a, aussjiot son pécule englouti, recommencé a braconner. Signalé aux gendarmes de Chanj- lilly, comme se trouvant au Lys, ceux-ci allè­rent lejcueillir, alors qu’il s’y croyait en sûreté.

11 s’entend octroyer 3 mois de prison.Lévignen. — Le 6 décembre, les frères

Golpin j François, 30 ans, et Colpin Armand; 26 ans,! étaient eurpris par le garde particulier Brousseau vers huit heures du matin, au mor ment ou ils visitaient des collets, au lieu dij « La Menni », territoire dé Lévi^en. Les frères Cqlpin qui ont pris la fuite en aperce- vant le^tûtie, nient le délit de chasse, et pour se jus!iper,,prétendent qu’à l’heure où ie gardé lés auraient pinôés, ils se trouvaient chez ui perrùqüier - de Ci-épy, cé qu’ils né peuven établir.] François récolte un mois dé prison e Armand quinze jours.

Le PlessU-Believille. — Foussorier André. 59 ansl trouvé sans ressourcés au PlésSisr BellevilfeVe 11 janvier, se reposera huit jours à la maison d’arrêt. . ' ' '

Nanteuil-le-Saudouin. — Le même jour. Durand! Georges, 63 ans, s’est livré à la meUT dicité duns Nanteuil. il fera un séjour d’un mois à l’hôtel de la rue de la Poterne.

Senlw. — Ducart Emile, 17 ans, se disanl né à Hqns (Bel^que), et exercer la p'roféssioi de remMilleur de chaises, a quitté la Belgique pour échapper, dit-il, aqx njauvais Iraiteçpnti de ses parents, 11 fut'arrêté dans (es sqllei; d’attente à la garé de Sénlis] où il s’était rét fugié. 1) est condamné en 16 francs d’amendé avec sursis. ■ ■

suppliait qhdarmerie

M a «è [proènre jtui^sitôt;

Chronique Sportive.C h U o ip io an a t. d e F o o t-B a ll.

; . I ; ■ d e . r o is e .MatçliiJ, Crépu contre G. S. P. Corn-

piègne, à Ço.nipiègne, 17 janvier,0=0'.;

Crépy bat Compiègne par 3] buts à 2. Superbe match et chaudement disputé. J. Gijépy faits buts dans:!^45 dernière i

minutés, alors- que= Gdmpif|îié en'Âvail déjà deiix, giarguiés sur panajlf-dont 1 dan i la première mi-temps. Les Gompiègnoil était b^àucçupjrop,..criards, .mais gyiaienjt dé bobs Joueurs qui passaipot .bjej», j ■ &■§#,''démoralisé dùiis ,1a préniière mi-tenips se rèssaisij /nèrveiUeuseruéi^ dans là| set',g.ii,déét gagne le inatiL-h, Cr.épJ' ..est donp eii tète pour le .Champïouiiàtàveb 2Ô poiijfs, nieuanj ,pius qd'e t'»iciieiBeiiî deyaut Copipi.ègtie (champion en 19(®), qui n'ençà/que 10.

ïous|.6nt fort fiieri jcué. et surtout Tessfè'q, Làn^et, Argentais et Vassal.En sommé;' grands progrès da'ns ./l’équipe". À souhaiter encore plus dé pohésion' dt moins de facilité à se désilluslonDer. - 1 ' Terrain'pas îraçé; et; gjissàii'l.',,'Arbitré jmpàrtîàlet très conciliant. 4oueqrsi..«(f ■yérsèS 'pléjbs d’énèi'gie, mais par trop tapageurs.

Le Ji^^îer Mgtch du Cfian^^ Dimanche, prochain, 24 janvier â 2 hém-

res. - L’Equipe pFeimère d é k Jeunesse Crépy,-irèce.vrâ sUr-sbij terrtttfi'jfî’Êqâ j^ëmièèé Ita.'G. K/Glermo'ni'dâ;^: -siër'M'àfph icdinpf^ ÿoiir le 'Chàmpmq^aidé'l’ose;'' ............. . . T

Arbitre ; M; Poi’rmëùr de Mé'rû.■f :.y''V T'-'- y?!':"- ' -GAanQiîfohnari-

Le groupe sportif de la Jeunesse dè Grépy, trjiywjte .4 k . préparation d’uè G bam plbanat^§ppi|s A ^ l^g u es, fioul lioùs pfibliërffiM.,ôwcïiaT«i^ gràinmb deUdlle u les oondlMoss d’eiôgat gement; '"u’’ î

I n n i s t e dDe la

J e Remi-AlesaiFH i Dervillé ô»| Thieak Aadli).''ltitim

Satx:ière Lonin-A

iton, Iscber AlpiPlearinerti

'osseÇàstonqâaloy Gaston j Legtûn Louis, rteosbidre I fielgià

Ronerl ; Lefèvre uovis, engage volontaire.Glaignee,

Poyart Léon-Arsène, tbieux Déaii4,-t»»«oh— Gëè Cbéxeiles ttenri-R., GliSàUI Gfi^Sât Prospeiv Vasseur Victor-Engène.T" - ^ ------------------------ .

U «Cerele M 'stjp» -

Un ifio^^eau sueeès* Une ftëvue locale.

Il est dans les traditions du Cerele Ar­tistique de toujours marcher de l'avant et de donner constamment dè l’inédit : nous en avons eu dimanche, dernier une nou- yelle preuve avee T o û ^ à Tout, une revue loimle fort bien charpentée. Tout Crépy passa snrla scène et si-chacun se sentit quelque peu touché, personne né fut blessé. Légère et spirituelle s'égrena la raillerie, parfaitement comprise de ceux même qu’elle visait et qui, les pre- raiérs, applaudissaient â tout rompre.

Que dire des couplets émaillant les deux actes, sinon qu’ils étaient traités de mmn de maître et que les airs, choisis aTso goût, s’accordaient le mieux possible àvee les paroles.

Une légère analyse de l’œuvre s’impose. Elle permettra à nos lecteurs de se rendre compte que les él^es que nous décer­nons à Touche à Tout sont tout à fait mérités.

Lé Compère, après avoir donné

ualayeusé, de joyeuse mèifioifë) conte ses petites misères. Notre côl râleur, Per Joeum, les a n à ^ e s éa leur temps. C’est ensuite ie tour de Thoriege de la Gare — toujours arrêtée -!- du Cpu» seil municipal, dé Vez, de GbarapUen, du Chemin de fer de la Vallée dAutomœ, des mauvaises langues de nos pétitas villes de province, le tout entremêlé Üe scènes àipusantes.

Dans le second acte, le Téléphone, l’ü- sine Clair, .la Presse, les Quinze M&le, passèrent au crible et se firent applae^r. La meute de l’un des habitants de Crépy, les becs de gaz que l’on n’allume pas les jpurs de pleine lune — qu’elle bnlle ou qii’elle ne brille pas, — le Tmnbour de ville,..lërù des taillandiers, les différentes Sociétés locales défilèrent ensuite', quel­que peu il blaguées », sans acrimonie d’ailleurs, hâtons-noUs de le dire, ’

***Les artistes du Cercle së montrèrent,

dimanche, 4 k hauteur de leur rélea=A tout seigneur fout hoimeur.Le Clgpipjife, M. BqnniQl, fut, dans son rôle trèsjong, Tort èpplâ'u.di, ,ét à cela riën d’étpnpAnt

diir qui connaît sa verve et son aptomb. uâht à là Commère, Mlle tMrldite di*5t,'.ce noin seul était synonÿine-éla

Isuccès et dans sa robe gui la,,,..- Bidakit â ravir, elle sut faire ressortir ksfiaesses de la revue; et augmtenter epcarê ta. sel de -ses répligues- ÜPiS jeune; piiiF«»;,qln gercfè -dffkttjÿej ' l§l|k ^-ie.fit'J3W risbn coupd’ëssai un-co 'up .^^ia|^e.r-lion très pure, voix f r è s é ç ^ l- iil ûnè part du S!i,cî-ês,'-pr.rfiî^ m’érÇèe. Nous'sommes heufenx de .lui adresser jt(Hir ces débuts (toutes nos 'ïélicrfafio'fts, en isepérant qu’eife èeSteèâ ’pàl A-oe bi-illant co'mmencement: il n’y epën-é^t, que le premier pas qui coûte.- MÉes-;âgu- la i^ r . et. LeHèyre coptrÜ>iiêeeKt,-; We8 an^l, à fairè fmùter IgEevue grâce A Jour tàleot ét Alejur nàture .;Ah;i q l4 boflViéüx T«efiS, 1

, pàrjfart, quel lambooir'iiie viDo........^çurfle M. Ehérmitte; (lhac.ü.në dô'jses

méritions souleva les bràvos ® Tassis- -inbmBrêulse piusquèla saite'é^it

.’Pcali ee-qui est de ÔifùHn, ! H ^ idBS.-qiluEt yénssis' ÜàW te -cMeclia 4kîS8e.iîêÎJi .etciaiaanBeul'^-" j _ _ , -

3 danç ses ecéations: ficmkr,em,eut"yëmàrqûè dans. & . fet'fp’Gùtiti-itiuiblë. MM. Éébêr pl riAin 'fifrelfüaifesi très femàrqùës; Ail'hnmn’&dt-, brâŸo-ë. 'tBdrm fents-méments'qu’ils nous ffrei• :--is -si- - ' ■. * ■-

= i.-. Aces éloges, il nous en faut ajonter d làu trM ,'?^ '.èp oflet, me

;A là Tmfe’oiipasée ; fi^P Ifitfifinf <àlâ-"4ess.tté-de toi

éctàolà'l-aiissant. àyàteàSs ÿtd jlS, -teiosé'Târe, ië’brî^ife'.jE^tet

■satJatÜ'iisi

’T'i-ri.'v'yfl 'je*' - •• i'ri':

r;zf.F.‘ ■•-. .-.1 ''eÿ,:c-iq l'A

tdtteiébiie

fâ’erl^ n g t &ia ü s’était dWiléiAd’; à/étrangèr.

oàé, retenu au datuîBiutertteiHf Une craiatiReteeaD|diqaféà,shàaâf-3Ëddte'^uid-

V,--. ■ "J'io .''acgm , .jArttéiteette était à4rtÉMtR t(BAgi>aildfe ,

■■

if e s ta i t un être a4i êhdvkrft-ar - . M_.*4- . * J Jk-- . . L . -m_ ■ 'jl » *

•(6*étâit cetoi qutia-Saintonge appelai^ tlëpétit *. ,,

f-fémote pv-ait 1<

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im pardonn a ble, etie-evakv to u t à coup: p e r d i M » # ^ . • - - , : ; - „ . :

O r, allez .donc,retrouver,..dans P a r g, u n gaiua'rd ’Vlvàn} àu '’jô tir le jo u r de elnf-’'à3o6iélte HaprWos'ttiiiaiS-'sbrte dè todhèavé-f-Wd-i’ori^flàt dbéi^M'eutiKtSât à isÀ>teBteiièie;{usiêtFé eariefateiM» è t sen s feu n i lie#M'hytehYri^ém'’à ^ ’qâtneé 4ue tttetatteë'fltàteeàèbùst'-”;

Seis:èi«i^.héàMdt--iSté q u a rt avM etesB ÉbéêdetetertM kfspsiop se disEutt que. laS a in to tw e n q u rd it foiit

gjlp ^ lé s -m 4

Sk âW 'lte ï’teteïian,-là

s8ge-fetom e;'li,aY ait déclare-wiire te a ’üla î « ï û t d a i f â ü ï i ’ « u d ra îü q ïi’éflè •s'œÿ

iSfflêl^tetsiiê^néG e’c é l ^ v eson père, il lu i d ira it son fèd^â’-éé rable -qui- iaisailridélueafeats e t qui l je ta-t salOTrtfrtasimte'ipirtiéà ,i t f î t t sfeiêudentv j:iét«t^4>i<’ le bougrè

■' - t- .ç te ^ ^ “y;v;d.ndca ;f îTu,jjriÙf,;I)ieu

é^^ul^es soTenq.enemeut yyec-;pu ,

R àürlés^epes de sa vig, pherait de tous ses autres eMiemjvym aïs . .PC .iqu’H sépt# .ypincq par i [Içfétit »,cenne- ] Tf

i . T -,i ; ..f" ■ ■: ■ ’-X:'---'cl

ü'i ■ • V- S-.’ îC-jq-SJVI : -ir .ârii .dlaiitaiityus -cèdototatee:-qu’il .pe Ije .cozmàissaiAcfkrti II -dans tceifaitune:Tèyaactee,'^oBidé= tLeUvoeu qui il -nfe-croy^ pauB;;àanibin».:;dn sort, idonit :il a.yait été -vtetoei£rtX.-tort]rtùrs e t qui

Alaètieterleusemcat, il a’y airait rien à faice contre: céli» ; ©o pe-çowrait.qu’df- teridrelV^réneihent eneègàrdant lêplup possible. . ;

I 'Jfaqu«aé;:.auaiL côpo^taât: snrilè h%-. aiard;'.'J'c'.q iC'Clh-iiCc : -iioc-l---lo.: sep i : j 'jàk étaient tes. Quant uqiA.tihfSBlrt,'II

pliià 4iieé .die:'sf©n: ''aiffi«nchir iet.-ékst 'cek’GpUlPrâuâdllaià préùtséuéiit. .èè,

— Ah ! la Saintonge esta^c te degMiesu- BondébarrM.-tiâji&nepuii

fefiS.iiî» séuCte.flÇa Yiqpsr;» ■Tfqutcl^iëaqp»

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sons, vite. 11 ,o.uvrit:jia,ienêtre de . %a.

li© tvniaylouSl res«j»bkifabeaiwMj^:A.Ke«Ate,A-imits«*iypu*t IsjcgiiBpide^A te » ® ’

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•v-qua . ttfpYAzj.dehranp

ÿ e r jg r è ) ^ u|y>feàise.,. • . ;, topssainfipjât! .PteÇ.Ç#a-^We;4c # .a - quiirf e t . Jpi rgpqt uiye lettre qpi était.

. a . J ' , " ‘ ’■

gfrjvéÀd te ferme.qiitequês instants ag paravaSt,

Roin|aia ouvrit eetfe lettre et lut :LafflaFCbe-, -jg iàtié, habitÉ

Sain4:4&eaj^ IviDe qui ■ lui a été B x^ conQuaa^-b^dprîce. » ' |

— Boa, cela 1 fit-te fermier. àé Fài^di• soùs'kjfriàhi; ’ .'/.' jl'ü •

Il jp itte .lettre; dan^ pp,ç]^,°'ipt se

— Ou estyon pere.i

4siT ‘ ^

±gssÊSÈSissgaisàsai^j xd ' - 7 -.e o-l -eeôfRo"'.'’’?

M M ’ ' itùeBdraiiiteic:■iMa'qaartVGé*’! " "

« ÿ r i s ^ e r e S ' f l ' t f ^ «se-mbi p ay s ai

' ,iBPj4)ctegrin^aftAA«»i»jbi|

—■BipeiPissàit excessivement trijàe, encfiÉe i^ as i^eüTlttibittidAtete^fitR^st à jeûn ; il m a dit aussi :-AfcaUBtriêttee yifi}i^e. dQSc,.ça»::i8e. dâH!3*r. :iAh !

j c ^ m f j '^ l a i r A t e si jje.p’étéisÿèh si

cn^ré^énpue. Jè m é m i s p o n r - fàntGife pïïjffii&ate: ;

I -uëfà'-'paaVgteCÿWr -'-éttàïÿèlfké i iS à ^ '^

h;'isAè-ciitiauddte«i;iet''je r f tÀ ^ 8 « e s Avttcüjj OK^deL., =&{clfl^ie

jàjftosBBte p a e te S w - {fflrsteJeifteuiUeleco

'y Æ J ’i f t8i^ ceiy.AfiÉ#pqii^éiès

e.:.oqiÀÀ

— , — âfééFe —'.'WéSl 8jotitam'.,i aa: .

lerSlEtegagrilljteuÿïste arqouàsiUCui dtM^^epüaâusoqucrite <Bèf8,^h’jg ^ R c

:Ben<dar,ést«brtœ'^é ■ri« djateJl peljdji^

it'èSt'trbPèm fl j.■tëèis>triœd chejiL i^lSàMSXltMptett r....

'.coi-kü, ■■!, r i PC.

I J : v:..= J K . ..

!.: , : i.:- O-Hlids y

icL i'J J .il jffl-■.u«

'-. îc’ ■ JUSfU-ufiribr.:

Page 3: Ita réforme électorale.bmsenlis.com/data/pdf/js/1909/bms_js_1909_01_21_MRC.pdf · Ita réforme électorale. Si tous ceux qui s’agitent autour de la réforme électorale avaient

IscritsIs .

villé OsCàT-

nitte Loois- louis-Erneit.

le^rain Louis, ^ n d ; Belgid volontaire.

Désiré, Le««l- Ibaut Gasion-

D )

LCOèS.^cale.

Certle 4r* jd e l'avant et liiédit : nous 1er une nou-

Tout, un» |e n tée . Tout Ibi chacun se ÿ i rsonne ne |lle s'égrena

oinprise de gui, les pre-

I rompre, la n t les deux lltés de main Iciioisis avec possible avec

Jrre s’impose. Ide se rendre 1 nous décer- | t tout à fait

donné un ne séance dn I jiour ^ p ro *

iustini-, la lire , qui ra= I tre coileDÔ»

rées en leur |d e l'horloge

I — du CoB- lam plieu, du 1 d’Automne, J nos petites Intrem èlé d»

léphone, Tü- luinze Mille, > t applautfir. kts de Grépy, ilume pas les ille bnlie d u Tambour de

fcs différentes nsuite, quel-

acrimonie dire.

ImontrërBBt, ïeu r rôle.. A

Coinpéro* I l s très ibifg, B d’étodnant ■son aplumb. ■é Charlotte puonyme-du

HHiulSÛt' les flnesSes

pcore ie sel r«DP«,e. du

OL pDur : dic-

lellé recfijiil- méritée.

Itti adresser îélichatiofis, Ira pas i- ce V S, en eflét, i MËes Sou* iérent, elles ■grâce jà leur

quelpoivi’Ot îu, per-

^un.é de, ges (te l';(.ssis-

i salte était ) M. Cousin, te PMectln

j et jdindala i suÉtili^. rM.

| ; il le O S I^ é

ël '^ té - tués. A tôas, prtès'^isèl- B tÿaa^i’

d t 'tr ik e ,oSitlântfëst

lAh I

'•P W ’S»»

jrftrWi^üe*a & i r ^ '

' Z3J i.1. ,.A ■e t m i s

s ■■ zséÀa ",

A Tapotbéose qui terminait la Représenta-' tion, elle souleTa les"applaudissements de toute la salle p u l’harmonie qui avait pré­sidé à la mise en scène et la gripe des. principales actrices représ«ttaqt les arts : Mlle L ..., la musique, Mlle Bodlângdr, la comédie, Mlle Lelièvre, la peinture, ce pen- dant que sous laltieur des fe n x d eh e n ^ le et des projectiôBs apparaissait, dominant tout, gracieuse, Mlle S. Bbuchiiiet.

de donner^piB-rendu que les exigences de

notre tirage nous forcent d’abréger, com­mençait par ühe pièce en un acte ; On n’oublie pas, de Jacques Normand. EtVliste.

M. Bertin y incarne un baron, vieux chasseur devant l’éternel, dont tous les gestes sont en concordance absolue avec son rôle et Mme 'Vandenberg une baronne dont le jeu est parfait, Mlles Noirot et Boulanger ont droit aussi à tous nos

- ^ B » q u e t de la SaiatrSibastien. — A l’occasion de la Saint-^SàStien, la^rë^ BiéreGompagnie d’aic de Cnantiliÿ, capi­taine Allart, dopnera son ^ q u e t annuel, sous la présidence dr-M; Vallon, mâirê de Chantilly et coiw«rtj!9,;ite la

4* jànHéf, i l ’hôGofmpagniei dimanché ^ jénriSf, i l’hôte! d’Ani^eterrô. ^

A fissue du ban^upt, unejgpteii» , sera offerte aux jeune; unes de Chantilly, qui

psrttclpé au bsutjoèt previùCis!,= Ckûssb du Lundi iS Janvier 1909.

— Équipage de Mgr: le duc de Chartres. Rendez-vous aux Vighettes. Un daguet fut attaqué dans les énvirons, passe aux

iusqu à ligne du

éloges pour la façon dont elles personnl- üent la première, Alice, fllle du baron, et la seconde. Rose, la femme de chambre. N’oublions pas M. Kiéner, excellent dans le personnage du garde-chasse.

Mais, comme u est de tradition au Cercle Artistique pauvres ne sont jamais oubliés et Mlles Noirot et Boulanger, accompagnées de MM. Bonniol et Kiéner, firent une quête au profit des pauvres, quête qui fut des plus fructueuses.

Ainsi que nos lecteurs le péiifent voir, ce fut dimanche une excellente soirée à laquelle l’orchestre prêta son concours, toujours précieux; mais il serait regret­table que le C. A. ne donnât pas une nou­velle représentation de Touche à Tout. C’est là le vœu des nombr»ux amis de la Société et nous espérons que le Comité le prendra en considération.

Un Spectateur.

FA IT S LOCAUXA p re m o n t. —, Braconnage. — Di­

manche dernier, procès-vérbtd a été dressé par les gardes particuliers CtmauBe et Ihe- veaux, contre Lambert, W pris au mo­ment où il relevait des Collets qu’i\ avait tendus, au lieu dit « le Fond Duval ».

Stat civil de Vannée l$08.Naissances. — 16 mars : Bigne Lueien-Eu-

gène. — 19 janvier : ■Vandevelde Louise-Mé- ianie. — 13 avril : ParenUaKiêrEliafr 1? juin ; Mahieux Gilbert. — ' ZOjïïfflel : fïancô- iin ABdré-Léon. — to juillet i BeylM» Alïee- Louise. — 23 juillet : Ju(»iin RoberirAÿboàsé. — 6 août : Taupin Marcél. — 11 août : Vssan

, Germaine-Suzanne-JeauBe, “ -S octobre ç L o isi Reine-Marcelle. — 21 BôVembfë : ' Hëfmal Georges-Ferdinand. — 25 nqvembre : Lemaire Maurice-André. - r 35 décembre : Mially tciuîè.'

Mariages. — 20 juin : Roger-Lemaltre. — 35 juillet : Bétonrnà-Biet. — 19 ieptembré ; Hiel-Thiouse. — 19 oètobre : Taupin-Le Bé- juec. — 5 décembre ; Andenot-Laccimbled,

Bécét. — 30 janvier : Tronquet Raymonde-

gare de ËhantiUÿ, _ ---------ligne du chemin de fér, où il se fait pren drë à Orry-làrYille, dprè» deux heures de chass».

CbevrevUle» — A là suite d’un vote du conseil municipal décidant la créatiàn, dans la commune, d’un puits foré avec distribulion d’eau, M. Petit avait donné sa démission de maire, ne voulant pas assu­mer la responsabilité d’une aussi forte dette communale,

Vendredi dernuer, cédant à la sollicita­tion de ses collèges, qui recbnriaissent qu’une amélieratien dés puits existants peut suffire aux besoios du paya, M. Petit, a accepté de Aouveiu la mairie qui lui était offerte par 8 v<at sur B votants. Ua conseiller souffrant s’était excusé.

Greil. — Üoneàrt. bfous croyons savoir que l’excellénte Société la Lyre Amicale offrira aux familles de ses mem­bres et à ses, amis, le samedi 30 janvier prochain, saille Beuvelet, un cqiicert dont le programiDosera soijgnéusëmënt élaboré.. Ce concert, qui se terminerait à i l heures du soir, seraiésflivt d’une sauterie, jusqu’é deux heures du matin.

Uae quête sera fàUé au profit des sinis­trés de Messine-Reggio.

Voilà une bonne Mirée en perspective. Nous eu reparleRonA

-rr Moréeî- aefiident. ^ On bemble ac­cident de travail slest produit (hmaBche matin, au Trembjaÿ, dans les carrières Se pierres de rdché œÿïeitées par M. Pie- query. L’ouvrier Ludovic Berihereau,

de 44-an*, deqienraBt à Creil, route de Vaux, était comihé chàfflff ÎPÜf occupé à extraire de la pietréà, îùïsqûelûut à cbut) un éboiulemeal Vaà(pl à se produire,, le malheureux ouvrier n’eut pas le temps de i^é*& ^«r«t.«»(rb#st pris desH»». Re- tiré lüssMt, le malheureux qui avait’la p |iÇ @ * j!r^e , ie tarda pas aaalgré le» soids qunuî nirent prodigués à rendre le jleRnieR soupir. Il rtqs|e uW quatre èbrSms dans une sff hauôn preéàiré.

l a fsge. Par suite de nouveaux cas de rage qui ie sont déclarés dans le département, le Préfet vient de* prendre un’arrêté concerfent tout le cànion dé Creil et par léquep, îes chiens né dsVront sorfir que tèhus en laisse ou muselés, de façon qu’ils soient dans l’impossibilité de- ■ févrisn • L&D6DéLis Cél6StiD6

Amanda. - 9 m w ; Prouard Eÿelle-Dé^ée. .1 i S d r r L è s prôptii^resTe'^C^^^^^^ de-rouis"Emill®-îlT mM? GéSuld I de nouveau-- 17 août :.'Weytcns Auguste. - 13. octobçc : F-i'-uint Rosinp-Eugénie. — 31 oclobre : Tann Maacleiue-Elisabeth-Désirée. — 14 novembre : Godard Jalienne-Félicie. — 25 novembre : Le- moine Maurice-.àndré. — (5 décembre Plorentine-Palniire. — 24 décembre r Damieng Aloide-Noêi. — 25 décembi-e : Mially Louis:

Reconnaissance. — 14 mars : Cérioli Louis- Jean.

B aIag ;ny -su r-T ]iéra la . — Brogipar un tram. — Lundi matin, un terrible accident s’est produitee gare de Balagny- Baint-Epia, au passage dés'trains partant l’un de Beauvais à 6 h . 34 et rautfo"ÜS Creil à d h.

Ces deux trains sè croisent en gare A Balagny à 7 h. lo. A ce moment, M.EdgÆ

JCharles-Jean-PierieJ, âgé « S8 ans, cl^K retiçr au service (1? ta m a^n Poirefegdé'’' SaiSl^^pitvç'Véwtiiédrarerseï' la

;T4lÇ,tfai»:Ven,’p ife^ iè |B a i|)s^ tn^âjiH te.c.Jui.fqti’alilc.

Tamponné par la' machine, sur le.coup. j . j -

Rèlevé'iMnaédiatetoeliqiatles ' - présentas, il fut; iransnpi^ i

-,mënt dans une’dès îalBSède 1; l’apès-midi par une, veito l» de'

^ itA.vi(>iiaiè^ s e â a ^ ^ x s c c i iplusieurs e n f a n t s . - -

B étW sy - M te

^ toûranir'par un banquet qui\ É l

■ !r. i.- Oic' IL-g é n é r e u x . M. h| Parabère vient d’en-:

lesI secours

sortir leurs chien^ vont donc être obligés ; de se conformer aux prescriptions ci-des­

sus. faute de quoiils' sëraië'nt passihles'dë contraventions.

1 p(riche Jean-Baptiste, sans donùcile fixe; ns; Valizaire Jean,

Léon, de Creil, qui t saint lundi, ont été '^yentipB pour ivresse..

les notà»'sùiveni 31 ans, manou

48 ans, et GeoETro' avaieut tLap..Jété.. 1 tous l’objet de cont: — Fenneture

■ oafetîèrsVte Creil fermeture tqrdive .; Avis àux amfrèi

,— ^ s brav se n ti Lerich louvtjér, san aË b ,.l| ans;

plusieurs roiiüipbursuivis pour

mécathci

Novon

année sheures.

ipqctvme.—Jarraud Alexis, Mpplâtairef agérrle'39 ans.'

.,.Jlteûi| tfpagé ii(j(;’liirne,.con.- re^vée lUiiiff.spir rue ûambetta,

f.ï^ je iiné garçon bou­té; le 17.courant, l’objet

■compaveation -four -bioy- e tlp ’plaqùe:^ contrôle et

Ifie ans, peintre é^ miéiéh'-jour;. 1 objet de

mue vélo non éclairé et d ) eoBtr^e.

chen inée. — .ün,/ende Ch.e- lar I lundi ntatiB’;- à onze D< sabiiaux; viêg[oeiaDt rue

. cràcd à la présenée’fiu capo ral-fourrier Arboi ruer « m dee.’-lioax, 'le

B o ran . — Doneolonel de Sancy de voyor la somme de 3Ié £ » ia u ie v ' sinistrés de Messine à la Société de secc

£ / ü *r . C han tilly . — Af. Carter contusionné.Êi. ParmMës''ri(Jfiblés tlé*5h«6t*épli»*5 «hemin de fer do BayâtortaquAceuxetM. c Charles Carter, l’entralnein-bieft^eoflAIltto j Chantilly. ']r-.Mc Carter, n’a que des fnnliiniiilfi iVntili|ili t.pr'ni

^SMVie i st,

sans, nécessiter la pré-

s s s W f e ique de raisoQ, eauM iiM redp^abi lMat4c^oMieiv°fu« ta f |B # g ^ q ^^àj^jp'èmîripoffr' fiaijBi cesser' ’tlraPCTMfSefffr rv if^e Aja raison.

^ •fb»«’-4nn»baife. .-- J^'.'Fdndèré a d^tffié^iuAdi^g&CmhfflËsariidrube'pièee .»•«« . . . . ' i r ax trbUvèrrüe Bambetta.

tet aô&'de h r^ tisè rv ë seront dans le même

, [ LW e, éieitb to lei — Le la ville de Crépy informe ses ad­

ministrés (lue la liste électorale, close le 31' mais 1909, ainsi que le tableau des addi- tiosêet fcelrânchemënts bout Ta pyësënfb àtriUMAen déposés au Secrétariat de la Mairie,'où chacun pourra en prendre con- naissàncé, pendant 20 jours, à' compter du lit janvier 1909.

Un regi^re y est ouvert pour recevoir les demandes en inscriptions et en radia- tiéiisT' ■ !

— Société d'horticulture, — La sec­tion cantonale d’horticulture s’est féiinie le dimanche 10 janvier; à 2 heures,’ au iieiF

: orditadre de ses séances, sous la présl dence àë M- Petit,

Etaient présents : MM. Petit, Lejay, Ducrô, Cabois, membres du bureau ; MM- pignoé, Turcq, Triquet, Ray, Gb.'Vincent, Basset, Dallct, DeSbCêufs, Mercier et Rousseaux. Absents excusés : MM. Callet, franeolia,' Robin et Perrault. Après la lecture du procès-verbal de la dernière séance. Ml le Président prend la parole. Il traite : De la plantation des arbres. Il indique comment ofl pôut effectuer la contie,maatation sur couches et sous châs­sis et reciffler successivement, à partir de février jusqu’en arrière saison, la lâitçe gotte, la carotte, le chou-fleur, le melôn, le céleri-rave et enfin la mâche et le cer­feuil. ■ /

La commission spéciale statue sur les apports faits en séance e't attribue l^s ré­compenses spivantes : ’

-1° lienflon honorable à-M. Ch. Vincent, poùr ïïp lot de légumes.

4” Mention simple à M. Lejay, pour un lot de' tulipes.. ,

Des remerciements sont votés a MM. ■Vincent et Lejay pour lés lots quTls ont bien voulu offrir à la tombola.

Béance levée à 4 hetires.— Le èal des jéunés géns. — Les or-

gapi§ateqrs du bal du 23 courant ont adressé aux sonscriptsurs la lettre d’in'vi- tation suivante i

Vôus êtes prié de Voulpir bien honorer de votre présence le grand bal de société qui»îî.. T._ ffin l/VAn ' A ' A Ik ’ J /O /laiva

nouveau eàrttbnoMgè. — _opère depuis (yaatqoft temps danb celte région, continue s « exploits, car-dattar faiijt dfi iS .àff Mme veuve'Barré, mercièce,4Jitt^ tiblijfie d un

es sale’ flâns'Pewoir que voua MëméBt hêtre invitation, nous vous prions d’ar gçéer, M : i t’hommagedenoatrôares-pêétaeux sentiments.' t^iwBl les .noms de* coaimissaires' que nous a iM déjà puMiés).

(Des voilure» passeront a domicile, se faireiosëHfe ëhez M. Ckippeaiiiri- .. ' . ’

Celte léttrBj Sthetethent personnelle sera e ï l ^ à l'entrée.

sions recirèqisie (je la soirée qui devant être brUlaqte.

‘' ^ 'Âîcidents du travail. — M. Mor- crétie (Eùgène), 44 an», peintre à Tiii|ine 3 ^ S’est enfoncé dans la main ^nphé une ôchafpe qüi'à occasionné un paiiattd d Tanniîlaire. Le 'Docteur à prëscru ff jburs de repos.'

Tl. ïe tie l (Bieçrej, tnenuisier, à Iq même usibe,' s’est légèrement blessé avec un oiseag, au pouce de la inain '(Jroite, âù ni- teAu (dés articulations' dë la 1” e f '2" pha­lange, --t 8 jours de repos.

Avhncèmerü. — Nous apprenons avec plafeir que M. Akerman, ancien pef-

’ " ' actuellement percepteurSBfeur à Grépy, Àrras, vient d être appelé par avândê’

ment à la perception de la 2* division de Lille. ;

La Saint-Sébastien. — Nos deux compagnies dhArc se réunisent 'samedi

roçliaiii, courant, pour la oéléW'àtîéD*

aw A ^ dot:

de Saibl-flébastièn. îln; bahé , le siJîr à 1 heurès; pï(é|Z M; ^ 0-

,, àTàôteiâu Nord,.et*léjèindemain au ,'sérd li'reë là pa'flie de jardin cl'iisâ^.. pa'rlie de jardin

ilS sàn'itaitons beaucoup .dlenirain.''et le gaje.te a cette petite fêté. Iraditionoelle (le noA'àfchers.

a e s . — Service anniversaire. prochain, à 10 b.1/2 du matin, ;

aura.Bçà, eu l’église de Glaigues, un ser- ’viCeîiÿf'bout de Tan à la mémoire de Mme vqtivÇÇalland, née Paillet.

Hon^ta4ire> — îfoL— Une bicyclette'i apparfénâut a'M; Emile BoiolVa sèrru’rîéf;, portanit là marque fîouzun . Paris, proyè- ' naiit de laMa.nuiaçlui'e des Ardennes a été voiéè cés jours derniers à ÎO heuresdu smr ; à la poijte de Mme Vanticbeien, ou son propM ^re l’avait imprudemment laissée. ;

—'w vol de dçux lapins, èstimés.neuf' ’cancs. a été-commîâ là huit'dernière à'u j iréjiaiiice de Mme Veuve Desmett, rue des j Vâtufè's auteur inconnu. '

Auis.^I,Les fournîssè'urs' et êntreV' preneurs ayant'fàitdêsdràïîuix ou fouoiM-

■ 'cjuF te eomptr de iS Vtlle’el 'dii bu-taresdo_. ____ .reau (ie BlenfaîSahée’ ên. ’i908, sont priés

..Lrifedëposer leurs notes à la'Mairtë dans lè. l'iTftapefS (MBîf ' ?

ta x e s . — I.artaxe du' paftüainsi arrê-i ’tée, 0 fr. 33 le kilo de pain blanc et G fr. 28’le pain bte, là Wp- '" Beeofs; f l»* (pmlité, -4,95, 2» qualité, i,7S,. 3* qualîté, 1,40; — Vaiffüs ; 1" qualité, 1,90,: 2* quafiti, 1,65,3' qualité, 1,35. — Taureaux ;1

1,55,1* 3*. q u a jr tÿ js .: l ” '(inai«ft .:#,40; ’a* ïp a l i t^ ^ 5 , i

3* qualité, 1,95. — Moutons ; S” qualité, 2,55: 2’ (juatitè, 2,25,3* qualité, 1,95. !

a constaté qu’6:BTiiiTv^f de 10 francs dan; somme de 12 francs appàrtenà bonne, plusieurs paquets de etc., etc.

Les gendarmes de cette ville recl ,, activement ces audacieux malfaiteurs.

ISalttt-Léotiàfél- “ Ne t ^ e s , pas de collets. — Emilé Boürcët, ma- nouvrier, à Senlis, a été surpris ftendant' des collets en bordure du bois dit ai Remise-des-Vents » par le garde p^iim - lier Sauteri e, qui, ayant fait Une détSiarii- tion à la gendarmerie de Senlis, a fai dresser procès-verbal à BÔurCttt ppuf délit de chasse.

■Verberle* - - Adjudication., — Dh manche dernier, a eta lieu â la hoirie dé Verberie, la vente de 76 peupliers.: M. Cri- nen (Elisée) fils, scieurj à BétW^-Saint- Martin, a été déclaré adju'âidi(mïé pedrlâ somme de 1.840francs. i :

— Nomituttîôns. Par arrèid de^f., le Préfet de l’Oise en date du 31 (Éoeâhims 1908, M. Lambotte, a été nommé jnembrA’ de la commission administrative dp bureau de bienfaisance de TéfBëîî6,''Çar un arrêté de même daté, ît..Làinbatje gStdé- sigpé no.im (aire Mrtie dq. la pommi^ion chargée de procéder àTà'révisidn'ctes h ^ électorale».

— Répartiteur. — Pgr un ÉTeté de M. le Sous-Préfet de Senlis, en’ date du 20 décembre 1908, M. Férret (Léqpold), est désigné pour assister eti qqsditéi ^ re- partiteur aux séances de la éopîmigsmh administrative du bureau d’assistpnce.

anoehces légales',Ttesemiée générale à 1. utarifêtaiBetle vœu et pria sein Conseil d' BMktalt^ àê bieâ.voulovApieroédyrsuprè de M..le fiaire de CbantilIV;: ainsi oueion so(tansell tué dans ta

0nicinal

sOrafion,Geaseif

ignorent qn’elte triste t les hémorrol^.nnes

— ’-KI

lai VnS'ta fedande if# ^ l$ a P ÿ d è

lant'Ni^qoev'fiAporœnt I,

E^^oSe^îeaeiibventiai ràl de;Toise et dë l’Etat J : -i -_ni-i’;’

'LétaSètablée demande, en optré, à son Con­seil,dtaip^istratioB de-faire toutes déhiarèbes .tspf tjpifl^i'spliÿëitiSïiis Bont i! 'est èi-dessn* questiqn au tou r celles ëui, Joeuvent m^déeS STEtaf gn (xipfœwte’ dois düTâ Mi (le Ftoâaceé'jffillieg à ;TO/'/l(riei-dea 26 et 27 déeeBibte demies. ’

S o c ié té A nony iàe MU C ép lta l i |e ilO .Q Q p. Fît».

Aikge social : d ChanHUy (Oise),14, Rue d’Qtgemoni.• ■ ’ ' t -

Monsieur',Du rapport'du Conseil d’Administnation lu i

TAseomMée- Générale-ftiteaoediiiaiW pu 10 d ^ cembre dernier, il se dégage une im'prèssioh très favoràlé'pôqr Taveiiir de la SoéiêtJ.Le» recettes e&ctpées aü là nO-

ventbee se àppt élevées à Ers42.630 6 5 ,(2 . . . . ........................ 42.180 86

Il reste à recouvrer de subventions Votées et non enoaisséés.,..'.. 4.400 »

Total..,.,, 46.980 85Les dépeues, jl est vrai, sont de

58.448,80, mais dans ce chiffre est contpns je Cptlt (le la tçans- Mrm'aiidp ijffipplète fiu lPa|êrîêl pour 13.600 K(

En réalité les dépenses d’exploi­tation de toute nature se sont élevée» à 44’ 848 80, ci. ; . . . :. .44.!?i8-.8fi

Excédent de Tactif d ’exploitatloS ’ - •sur le p a s s i f . ................. 2.132 05’La Compagnie départementale est arrivée à

ce résultat malgré tes circonstances les plus défavorables qui, non seulement Téntvibligée k renouveler son mUlériel, mais oht été une cattseatepriVaHon' dé recettes aU 'moment le plus tavoruble de sonëxnioitation; ' - 'v .

’Lersquetles Conseils généraux.ettesUouseil»

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I l M ËiirtIm’Mcspiul

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diPcoT«xueiMniiilbr.

«f dê/it m SU. i Pàrit, IssDédarau f

Le service postal dont votre société a Vig- tentioade aeraddreadiadicataireluirapporteta sans augmenter ses.c.luirgeê et saiv changer les.horaires, lasomme.de 5.000 (r.l " '

Enfln,..il..ept-line qernièrè raiecm â’aypjr côiîfiànce d m .'j.'^ n ir ; " ' “ 1 '

L’article es’ue'mloi de finances,, p iM ^ àu Journal officiel du 27 décembre filNpÿk dit. que rstat subventionnera les entreprises de transports par automobiles qui }ue|iileroDt de pouvoir transporter quptidienneméqt 2 Lunnes de marchandises, 20 voyageurs, 5(jo kflbs' ife'

Or, nous pouvons facilement transporter plus de 2 tonnes de marchandises, plus do 500 kilos de bagages. |"fltthnvfau nombre des voyageur*, tap^gé

répond jlë l’avenir.’ [ - J - . ’ -a>u 16 février àû. 15. novembre, {nous avOns

transporté 52.750 voyageurs) ptutofe moyenne de 195 ygya^.gr8 pi^ jpu'r,

Notre'Sô'cBtS remplit donc sur les conditteDStanpeâes par la loi du 27 décembre dernier pour ave subveotieo’.de. 400.fr., par mqmèlr leS--32 kilomtaresMu réseaiîplwtée,il2.00a fr. ' ’î -

L'ensemble, des subventions des des Conseils généraux de l'Oise

. . ,1’! 7-;indampteat:

;„®ff:pO(jr’ lemeiii éx-

linüttnës,irifif«aiiib-sommëdëèl-Oîse eldS lTEtat, s'élèvera à li

25.400 fr.Toutes ces -considérations basées-Sur les

résultats des neuf premiers mois le. EsKplair, taiion-et snr les-subventions-abseiiment^i tàtoés perdtettentTl'afBrinw'Miolwr ffaçontt gorigne’qhe tés actiohs émise* ' ' ~ seront rénùnéréés dès après' fé cicé.

à Gfilil cpint à Senlis.Qn eët fràpiiéÀ Crpil ccifljflie j|. ^ n l is ,

de la vive reconnaissacdd (jüë fémoigqoDt les malades guéris par les Riluleâ nsiei* iQur les Reins. C'est I* m'ênte Antanèité;

Un n'aime frances, mèi moins ^ ' i l YlTginu Mj aucun danger.

On vêcracomL de la maladie M qret^. Le 'Méfiei-TOlls de»

..caré’ë ïl une |a»Mns répudoea ;1 è parier de ce genre de soiF- à son médecin, oq sait b eau c t^ iètë nh inédiènllenf) TMte&tlp " , qui les fait disparaitte amta

.a'atpi’è écrire • “~

B & t i i s t s S iœ fla plus pénible, et la pinadott^ acan 50 ffanct},,imitaliOBS 10 n 'ôû ts qifitn «pi lie lit porte larignainrs HYRBiMIfi

O É F f i a r u ë m nR

iqistrativê et CoBuaerciiàlâwsoqde

[a mèma 'sincérité à affinow ce niséproàvmërif ànti‘'effqîs'et comtnent ils se

,froflVéW'aiqtiiyuémënt. «tesh'abltânMfle'Sènltsrbofis repriMitiisao|.ici lè cas (fe MmeTA. Arnplfl^î,: rue Sfpnta-

ijtqjrai^reifequM oastlàrcte^t-ta^gfiââ^^ 'sirquè'’jm«*F<ffle ■'’léë^ddq'rësijHâTs: qûe ' j’ai obtenita aVec les Fitifl^ës : Fqétef hoiir. les Reins; , ï08due'5 à sé n fls , B airm a^ ite’ Gp.nt.e. Je qe pp.e ip is jamais trouvée aussi bien depuis' Ciné dizaine d’ann ées,;, très. S0Hvent-=iDon dos étàit tfellèmën'tfloiilou- tqqux que4 p œ e A gpras qu’oD m'arracHait j ë i f l t ^ i ’f e ^ 4» ! ià corps ,; les janib'ës me faisaient egalemeot m nj m «i.efieri1l8Sr

’’ àiëlit*èhD8fe et il in'était impossible de r^ er;a lto h S |e Éir i4 >ù lit. 'Qbhnllt'j'^ais

■ fetigM.êffi j’é ta is , aussit^ Bèyréftte-ei inës priué'b étaioiif'très dmrgéëS'ï î t ’nl'ë ffibô-

’ tait fré(jüënTm¥Dt''def boufféçs de chalèdr à'ta tête vt-deinf hem

^ ^ m Œ œ s % a ™ è ' A , m ' 0 'ftàita sultan mtaqx

t . 618 pris les ;pFe- '-Bifèrës'’fl()^8 7 ^ Pfl'tles

-- -- , publier. é ’SiTôu», êtei w n d g jiï j |U ^ ê tse e | à»,ÿoirà sà ^ é , ëxijpz ; Biah'riro'* 'V6f i tgitlra' Pirule* Fostef; pour; lès R^a»: avife ' là sigpàturp yXaffipgFéftar > ettaeûfsexésef- ” "ugfll^ toii,te .iaiit ition ooisqbaltotioo.?

s tou es le» tpharmacies, :,1 9 f ’iT è « c ^ - t i i l %

Md^:; fcîàH tèrîtjS" " ' q rm ^ èn , j iSj rig(|

.mal quë le»'üdGdbUteis faites su(taèisâ^âtent!efflè soighsp. JéiéiSi^fiout dah» h lô S ^ ^ q iiïin d l j ’e

AtaB«inéeri «taêDeUrfi'es.An-r. I.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

ÇOMCOIIPAT

Les créanciers de ta faillite de la demoiselle jsAxiiE MOflA,'couturière, démënriint à Senlis, sont invités à se trouvér le Vendrédi cinq Fé­vrier mil neuf cent neuf, à dix heures.' et demte du matin, au Greffe du Tribunal de Commercé dà Senlis, place 8àint-Kerre, à l’effet de'déli- bérersiu- un concordat à la suite des proposilSons qui pourraient ' être faites par la débitrice.

Pour însertiiin :Le Greffer du tribunal,

2270 f MIGNOT.

Art. 2.

Etude de _; èPont-Sainie-1

huissier(Oise).

Suivant écrit s(»is signature* prt- ■'-- 'An iJatr d(f (piiriïB jhîiViér Biilvôes ' . . . .

nerif cepi neuf. Madame veuveüA- BaCHAl., née C^MPION, a cédé à ■Onsieiir-' % - Ma8aiÉè'T)EHAR@T-HECHAL, née a PION, a cédé à

UEBILLET,, dp-Grand-Fi^noy, le fo n d s lié t dHde, ’ ë] ÇfEsrie, t n c r l t e n ^ ' qu'ullo faitvàMir è prix et inscrits audit acte.

GhaHUiBt, gnoyeimaDt un ahxTcWSeÿ et cùnditiçms

z: Domicile éïu én TÉtffde de M* DMtSMÈe.

Pour.iimralloa 1 2271 -

3 . . . . . .

. ^ d e de M* 'TBBpfîQtrBM» notaire A Acytan-M^ën. (Œsçj)

’r '''soivant acte reçu par M'Thirouin,• notaire, à Acÿ,” lé onze jaùrier mil neuf-cent neuf, Monsiegr Augn»lp

-?naOEL, hiarohànd epicter e't. délutanT de boihsops, et Madamé Snzpnne

’ 'CARLIER, son éfwaset’ fléineufirà ensemlile à Acy, ’-MI-'VtaidB 'à Mon- s^T z litaiilè,Biigè»eiOMeata iBfMt-

7- n step tnaÉUsyidtiviieiidlt^taine dtai- lomènejLUCOT, son épouse, demeji-

>ràiit’ eisemble à Cœnvre-«t-Valsery (iltaa^ le 'f t iu to ' dimm— w ree d e

pptcwrtpÿ)n»-%pk«»ieat è' Aey-enAtehien- ' Domicile à été .À iîêD«B-Miitflen,-

,:>ea TEtide de H* Thitemn; aettine.. :rv. - ,

s M i n t mDieu ».

et à leur inspirer la crainte de

i^ i^ ^ é iD n ’tàison, Sanrti'^iiïcent -a’a su se

C o n fé re n c e d e M. d e M artconH iÀ -F^tûufion Saint-Vincent et au patroruige Saint-Rieul,

un nqVai^ra ItaBL ' ’

ütjieu isqs

^jë^aiêHtants" ,tMâefins rinstalëîhôa^ja

SeiMisoù ils font Dans un travail

de cet ordre nouveau _* ^ È 6 ^ ilS iie 2 i8 Ia itI6 B ® d étü Id ^éP l’ SSkon^^M tÉM CE aJSMT poidbtioi^Alwa?oût

^ v e i : t r â ^ e t 3ài9B4p i e m ^ ^ ,« e c , l% â^e,n r de sonjjroyyem ent son immutabjliti? et yaecBO<a»de aevio pulnt

théories utijitaristes du X I^ !1622ne croyons nous pas lir | cçâui de 4908 ? ’ ' - ' '

Je vgitts pn fais juges et, sflfs àe'sKfi^ «époase, je ,iaeiw -i met e ^ femercier ici en voye nom vos maîtres qui ont étéj

salue ici lé llom jde l'inStitùâbn'B^^^incent je; ent lefsife su nsoHterqoufe'ià. parce

Ibi.jjrsplfifî'qi commeo i suivant l’exp^sâciaderiGardinàl fem m à; ïej

itre v a lJ è i l^ aux l^ i îé in s 's ’arirè-j

pnt^? a i(e j |p 6rieur

essentiels sur les-

s i^ rf lu de nd inü^ à dommencél.________ i^ 'L i yàtaneaiia. misstoaquliliCOîMiniJe enj

présidant avec le zèle ^ e v cw s^^ ,j^ '|^ tri> h a^SpSjB i notre bonne viUe

îsefflls d’àiüêurs.demema tpuioors fldéfëkàfôS

un mmaient.j’

liiillU iniettd6 2 2 :

paysages sonnants qui l’en

tjlÉhit-RienI «t Guérin. pijpsiSiiéiSvpMlteettpas

Sodis la ville chrétienne aux

e discret deis

tu e fwte<einp3Ktt’V -"■j JiqiJ rî .1

nmément qu’ofl^ÿ^^ntétakh cIBSES^"'

^nos^concitoyens se mohireriJUt Ils «inBSarisr ,;des révolutionnaires et antireligieux

qui, âT'â fin düX’VlII' siêcleine géTiia it|CTs dans nos mtagj ayec. autant h o r r e u r que dî-îldHi,.i;^8.iciVjé seiaiTirai. ,riqüe dêtaülé de çg#ie ép g ^ il*,ta(|ii«UeÀ’est attachée av-eçi succès,un trayailleur. aÙ?MM aigi^ j^ tJ^ ^ eneoreua a n ç iijw d e ® ^Yincentt qûé tom Te monde i â'4^hè4ta.' • ’ ■ ' ' ,,? t. .^t^prem ërè’'j 5Br3T;d ;§( tte-Bévehrtien-, une s^^an te !

aVêjfitipwjCTrprisa 1^ lo ^ temfNB tes <4iaiàtaHtrdè Sentis ce fut le faineuMattentat.il»:: tillon'. -'isr .'

a coups de crosses taudis ^ uf’teaolL T:

ës'^tiM'fArilile a’vettld

I 26 m'orts ê î 4 0 , blessés jon-

rei I

comme (MuiSer de la eoaçMM6lfelMf4d8buSe*.‘ffîittt^îBfe| de se ÿëng^M ê î§ décembi e, comme-üatëmÿsigiiie passait 8p#8ii56S fenêtres rue dq C lÉfâ, pè^Oifié 'bê^^6t!ilh’’'de

im , i 6 s y 6 ie t5 ê ï8 r —

1 ■rifle, enjeffe^ n^rfeSSent que d’une ma-I a®uûhé, 6 commfition lenible (râi secoue le pays fôut

ues rixes sans, linporl mce. signaient seulement <»8 • i tem #T O ï^& ;’'d ^ ^ touch mt ; A îa veilSa diè 4ar Terreur,

tibn si, pieuse puiaq*

H fait feu sur le cdWîSawtea ., le coi il ne S’a w ^ ^ ta r l îa ire d a f _entre lés maiseM (d’une rue étroilff,“ 8Bîî^é'’î!ô ^ ’ fîttt'’uné victime. ÔnÂ’ élançe sur sa

Qours sur les^ ass fife, ptiisô n tm s é tse c a e i^ é a n s so n g re n ie r goigejjRillMilfMMM d’un ceui J t f f l à * .lieutenant de la maréchansslÉe, parvié667’8iri6Ps'îtepàrer dt

i’éciifiSii [on.*terteaftoa tnîfftéie d é to là tfM l^tciStRff 6 ^ nm

p o « m e re M ^ T d ’’ krI® .^^tf^iàtô^L ’S " i i K l f i ^ ^ l i t s p ie HiBff fluio6e»o>t.iVMB j inviiOTineBl. a n ta u tuie j irtflectile.'i. i

u iè tre ’e s l à i i p r m é ! »Seinlis

Même

cepe’i^oiifi&ou.

lien BHt en'affiim ïm t ,* q û e le

A U t ^ N ^ '^ q q ^

i’in sta lly m n < 4 a

i à ' f e r r ® ^ . n iè p 'é W f lo r^ é y iv e lù sa airol^d’unêôurageux notai’ f e # | f l l # t i € é l X L

jîh .-ü U z , (i li .-

Bill( ioloci

w ' '

Page 4: Ita réforme électorale.bmsenlis.com/data/pdf/js/1909/bms_js_1909_01_21_MRC.pdf · Ita réforme électorale. Si tous ceux qui s’agitent autour de la réforme électorale avaient

r-v

AaooaîDes «hidlçleiFe»»K n d ç ^ ' M- M W Ï M S B V E ,

avoué à>S6ûlia«

A V E N D R ESUR LKRTffTION

# * «ü iijtrw 'pabHqiiM

I licencié en i10, PU'

à R ü t t Y ,près la Croix.

Ifadiudication aura lieu le MARDI 3 6 JiAIVV'IER 1909 ,fteuretiem idi, à l’audience des criées du Triliâmal civil de première instance de Seniis, au Palais de Justice de ladite ville.

$*adresser pour les renseignements à :1» 5D S a in te -B c a v e , avoué à

Seniis, poursuivant ta vente;2“ M» MORAND, avoué à Seniis,

présent à la vente ;3» M'MAUGIN, notaire à Vcrberic; 4» M* PETIT, notaire à Seniis ;5» Et au Greffe du Tribunal civil

de Seniis, où le «ahier des charges est

Étude de M* A. SAINTO-BEXJ V'E,avoué ù Seniis.

sur saisie immobilière, e n 8 L nts,

M A I S O NBise à Tfflors-SaiH t-fram henrg

route de Pont-Sainte-Maxence ;

Une Kèce de Terresise terroir dudit V ille r s ,

• ET

6 Pièces le Terrsises terroir de CHAMARIT,

L’adjudication aura lieu le M ^ D I i 6 FEVRIER 1 9 0 9 , heure de midi, ù l’audience des criées du Tribunal civil de Sentis, au Palais de Justice de. ladite ville, rue de la République.S ’adresser pour les renseigne­

ments, à :!• M' S a in te -B e u v e , avoué à

Seniis, poursuivant la vente;2« M' LENOIR, huissier h Seniis ; 3» Et au Greffe du Tribunÿ civil

de Seniis, où le cahier des charges est déposé.

Oeor|;niiM ORi0 a>,droit, avené à Seniis,

. rue Sâint-HUaire, successeur de M* Lkviecx;

et de M” FERTÉ et LOGAT, notaires ù Seniis.

Viiftfe ^éné/kiaireDE

2 MAISONSs t s e a & ORRY-la-VlLIJE,

atec teD stanees et DépenStnGes,

Jne Pièce de Terresise terroir d’Orpy-la^-Ville,

lien dit les Fraisiers, contenant 3 5 ares 6 3 cent.;

Droit an Baü l'une Pièce ie.Terresise terroir d’O rry-la-V lU e,

lieu dit le Pâturage, conlcnant 4hecl. 1 0 ares 3 0 cent,

e n 4 L ots,

L’adjudication aui^i lien 1» DlnÉan- c h e 1 4 F é v r ie r 1 9 6 9 , dit deux heures de relevée, en la Mairie d’Orry-la-Ville, par le ministère de M' FERTE, en présence de M' LOUAT, tous deux notaires à Seniis, commis à cet effet.S ’adresser pour les renseigne­

ments :A M ‘ G e o r g e s . HORAIVD.

avoué à Sentis, poursuivant la vente; A M* L ou ât, notaire h Seniis ;Et ù M* F e r té , notaire à Seniis,

dépositaire du cahier des chatges.

ESà.après décès,

pès bonne Ferm ede 300 hectares,

contrée Heaux, près râperie. S’adressea à M'>THiROGL\, no­

taire à Acy-en-Mullicu (Oise).

A V E U V U H J BA ACY

d f O L I B O I Sd e 3 6 h e c ta r e s , g ib o y eu x ,S’adresser au même Notoire.

Études de M*. L ou is ESÇAVY.avoué à Sentis,

et de M' DIET, notoire S Crépyv en-Valois.

TENTE SUR LICITiTION©E

UNE NlArSÜNOiiconstiinces&ÉiieBiiiinces,

sises à S É R Y , rue d’OrléansL’adjudication aura lieu le S a m e d i

1 3 F é v r ie r 1 9 9 9 , à une heure de relevée, en lEtnde et par le ministère de M* DIÉT, notaire à Crépy-en-Valois, commis à cet effet.

Mise à prix : 3 0 0 francs.

S ’adresser pour les renseigne­ments :

A M‘ L o u is ESC A V Y , avoué à Seniis, poursuivant la vente ;

Et h M‘ DIET, notaire k Crépy- en-Valois, dépositaire du cahier des charges.

RvoUff oe M* Ph'x'lT, aouLrv ï SeatSa

A louer MalsMk b o u r g e o is e , sise ù Sentis, rue de la Répubilipié, 16. — S’adresser à H* Petit, notoire.

■ ftiis ÉTlinV

A louer, M aison , à Seniis, rue de la Poterne, n° 2. — S'adresser ù M' Petit, notoire è-Senlis.

MKMli Kl*UDK

f i a '* ::lPX 3a»:aÆ £»aE kX alIi ramiable,

P R O P R I É T Écomprenant

M riso n dT Iab itâ tion & F e r m e d e 2 0 0 h e c t a r e s en s'iron ,

dans l’Oise.Revenu: 1 0 .0 0 0 fr .P a ys giboyeux.

S’adresser au même Notaire.

Vendre à. l’Am iable D Ë U Z B O N N E S

MMSMé de PROOWTA MEAIDX (Seiné-et-Marne),

de 3.500 fr . et 3.500 fr . de revenu. S’adresser au même Notaire. 2261

Mfiiins RBCoiaiiianildisA C é d e f d e S u iÊ e

mmA PifniW \ PwUH>s.

d 4 <rt. m è.'i’ éUa <*i P'«e«t A- r caer* âitue à Bifedosik. — S*dLdrp.<vBflt à îf* sottir^ i

âtado de M* DKSA.B1E, nobatre k (^eil (Oise).

A pendre à Tsmiable, Mais*» ’ située àCreil. me du Jcu-de-R}»q*'i::t> à* 17. ~,S'*dre8sep M* Dej abif*, nt tadro à Cr<nl.

etOtt

belled e -

A htter, -TlatiiRB AiVillevept-Sculls. rue d© Boo-S-cours, n* 3. — S'a-lresser A M* Peüt notaire |

Seniis.

KMMS iTiJP3

A louer, Grmmd CIm «itué A Scolis, fonte de QiantUl;, atee cinq boxes, prairie et jardin. S'adr. h M* Petit, notaire A Seniis.

aiSMifi BTUDA

A Louer, MbImb avec graaée BMaeline, A SenHs, râe de la Corne- de-Cérf, n* 5. — S'adresser A M* Peti notaire.

« t e s É v v ss

A pendre à^anûable, HbImh én \ .^mmmemroA âTec jardin, sise A Coye, | en U rue Blanche. —> S'adresser A I* Petit, notaire.

Elude de M« MARDELET, notaire à Nauleuil-le-Haudouin.

A louer ou à vendre à l’amiable, a n o ç r a n d e N lalson, siiuée à XaolcuiMe-flaudouin, à usage de j Graineterie, el propre à tout autre Commerce.

Étude de M* H. BALÉZEAUX. ûotaiie k Chantilly.

A pondre A l'amiaUe, en totalité ou I par lots, mmm m e à Chan­tilly, rue des Jardins, n* 5, penrant

I eonTemr A usage iTBtablissement d'En- I tralneznent de eheraux de courses ou de Maison Bourge^. — S'adresser A

j M* Balézeaux, notaire.

Étude de M* LOMBOIS, notaire A Pré^-sur-Oise.

Ayaut une girawle I lamsoa avec jard in ,

■ a a n d e ^ _Prix modéré ou 8.000 frim es de

I fonds. IS’adr. v.n Bureau du Journal. 2091

jr~ On demande u n Ja rd f- [ n le r m a r ié , sachant conduire et siiigiier les chevanx, iehei M. Hsind t’.VL'RIA, à FourcheteJ, par Sentis.— Rérérences exigées. | 21(99

J e n n e tnim m e, Agé de 30 ans, bon complaüle, rérérenhée'

|Ae premier ordre, demande plàë? dans té commerce : épritures, caisses ou autres. !

S’adr. au Bureau dii Journal. 2206

6 ^ ^ Qn demande p e rso n n e s é r ie n s e , exceUedtes riféreBces, pour cnisine et méndgé avec remme de chambre (service |3 personnes).

S’adir. au Bureau dû JournaL 2214

m i r ' G n b o n obvF ier plom - b le r - z b ^ n e o r sérieux est de­mandé chez M. EaimsT Couvé, tue

iBellon, Seniis. — 'Travail assuré 2232

V ~ H . BOURGOGNE, maréchal, faubourg Saint-Hahin, h Seniis. demande o n o u v r ie r m a ré r iia : isérieux.

MStm riwBiWi »rus~ ÿw a iw n su m m SanM iB^

11 POiiPÉE IK É L Ijo tn u u L fM Bipfeinw tasÉ B i

nâHi(ri<tr9iW,JéMir6

R s » ,.r t , sises à Pr4cy-su>0ise, à vendre à l’aniiable.— S'adressér à M* Lombois, notaire i, Précy-snr-Oise.«ftllK tTDDB

Études de M " L o u is ESCA’VY,avoué à Seniis,

et de M» THIROGIN, notaire à Acy-en-Multlen.

Vente sur £iciiaiionentre majeurs et mineurs,

DE

U » e iV la is o iiblfooiistaBces et Dépendences

s is e s A ACY-EN-MÜLTIEIW,place de la Halle ;

Une Pièce de TerreSise terroir tle Thary-ei»-y® loïs*

lieu dit les Longues Raies;

U N E M A IS O N'ircowtasiîes et «pendmces

sises à T b u r y - e n -V a lo ls ,rue de Hareail,

a r e o JtUPSAei •L’adjudication aura lieu le M m a n -

e b e 3 1 J a n v ie r 1 9 0 9 , à une heure de relevée, en U-Etude et par le ministère de II ' THIROUIN, nCH taire ù Acy-en-MuRien, Commis a cM effet. <

S ’adrtsserpour les renseignements :A M' Lbptct ESÇAVY, avoué ù

Seniis, poïn^ùîvhnt là vente ;A M''SAÈ^EifiÉDVÉ élMOBAND

avoués, ppÈenls j|;léryenlè.Et à ’l» . t a m m a m , notairé à

Aey-en-Miilfie», dépositaire du cahier descbarges.

Élude de III' G a sto n L o ir , avoué à Seniis,

29, rue de la Républiqne._

V B IV X Epar suite de folle enehSire,

; D’üNÉ . t..

MAISONsise & La ebspeUe-eii.SerTaI,

route d’Orry-l«-ViHei '

r o q u in e r ie . A r t ic le s d e X o i- le t t e d e to u s g e n r e s dans ville importante. Aflaires : 30.000 fr., bénéfices nets 9.000 fr. Maison pour occuper un ménage, pas besoin de connaissances spéciales. Prix ù débattre. Facilités.

L ib r a ir ie - P m e t e r ie , bien si­tuée dans ville riche de FOise.

. Bénéfices néU ; 4.000 fr. suscep­tibles d’augmentation. Prix à dé battre; Facilités. On mettrait au coüranL

B o u e b e r ie d e v i l le , 2 boeufs,3 veaux et 8 moutons. Ctoeval, voi­ture. Prix avantageux.

E n tr e p r is e d e L o u a g e , C a- m ion n ageavec charrois etdémé- nagements. 14 chevaux, 20 voi­tures. Érix à débattre.

B u r e a u d e T a b a c e t A r t ic le s d e F u m e u r s (sans buvette), dé­bitant 2.000 kilos tabacs. Affaires annuelles : 60.000 fr.

C o m m e r c e d e P e a u x , C hif­f o n s e t v ie u x H éta n x , Béné­fices : 13.000 fr. Conditions avan­tageuses. On mettrait au courant.

Plusieurs B o u la n g e r ie s de 3 h 4 quintaux.

Plusieurs C h a r c u te r ie s de 3, 4, 5 et 6 porcs.

Plusieurs C a fé s , H A tels, R e s ­ta u r a n ts et B u v e tte s ,

Et g r a n d c h o ix d e F o n d s d e C o m m e r c e en tous genres et de tous prix.

A v e n d r e : plusieurs M a iso n s B o u r g e o is e s et u n e V illaforme de chalet, près gare.

A venir* OM à loutr m«abU& I m AanrgeelM, k YBuim, prbi

Chntffiy, m e -nsto p i» b i« Muté, sa la n e das Saura en de Sainl-Len.— S’àdnner à M* Petit, notaire.

Étude de M* Kdnsad SKæAJRD, ■Otai» à Pont-Sainte-Maxence.

Etude de M' DELAÜNAY, notaire ù Seniis.

. Anendreàl’am iable.unG roiipe d e M a iso n s, Dépendances et Jar­dins, ditesler Boutes Maisons, sises h Barbery, sur le chemin de Barbery

avoe Jardn et S n è e e e l I do Terre et Meie, âa commune et | IteRdr de Rpberral, à venir* à l’a I miable. — S’adreiier à M* Kiehard, I I notaire.

W tT ' G n j e u n e so ld a t l i ­b é r é , à toutes mains et sachant

i soigner eherel, demande travail ' S^adr. au Bureau du Journal. 2241

On demande j e im e fille . I propre et travailleuse comme bonne I a tout faire. |

S’adr. au Bureau dn Journal. 2242

M Ém ÉTVBM

P iè c e s d e T e r r e , situéesà sm n b M Æ , le tom d’u n ^ ^ “ " ^ 7 1nancede 2.468 mètres. - S’adresser <PvL Æ ® . Ià M* Delamiay, notaire à Seniis. 1

WÊMT’ On demande u n ch arF onmarié, muni de bonnes références.

S’adresser ù M. VERBYST, Baron. £243

M. Ga u tier , coifiènr. place de la Hallej Seniis, demande

[ u n a p p re n t i dé 15 h 16 aas,-pié- senté par ses parents. 2260

_ J T ’ M. TOULOUSE, 3, rue et par le ministère de M' Edmond I lèanne-d’Arc, Cr^py^n-Valois, de-w'V_ t . _ . ^ . .“*y_ 1 monrlA «la eniio nnA KAnmAfiflAnont

Rndes de^M èeeiw pà licencié endroit, avoué.h SenHs,

l«,,ru8-Saint7Ui.lairc successeur-sdoili' Levixux 4

et de M' -QGEIMTIER, notaire à Çhambly.

I f e n i i e B é n é f i c i a i r e' d e V’une ■

alae Sa hameau de Bellég . .commuaede Neuüly-en-TBeflfe ;

àiimême=liMnii_- , en face de la'mmspn ?

mO é e s tpiTOirs de H o irtù v lé s

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Richard, notoire à Pont-Sainte-Ma­xence, le Dimanche 31 Janvier 1909,

I à une heure de relevée.

M a iso n , sise |h ■Vernenil-sur- Oise, rue des Granges, à vendre par adjudication, en la Mairie de Ver- neuil.etpar le ministère de M" Ri­

de suite, V n ia B eB e-V ue, sise à I chard et Beauchainps, notaires à SenKs; rue du Moulin-Saint-Rieul. — I Pont^Sainte-Maxence, le Dimanche S’adresser à M' Delaunay, notaire à | 24 Janvier 1909, à deux heures deSenUs.

civil de S«afisi,-au Palais de Jus­tice de ladite ville.

( — ‘-t7 ' ’f'Mise à p rix : -4 0 0 ffàncs.

S ’adresser : i ' A M' G asto n LOH^ avoué

THMiratiivant ;2' A M' Ropsagrjis^anaoé ;3' Au Greffé du Tribunalt civil de

Seniis, pour prendre communication du cahier des chaiges-

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Etndps de M' G astonutiO ffi, avoué h Senlla, !

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à Crépy-éti-Vi»lm'

par sküe-’d è ' '

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et paraissant s’éleven A-lai somme de ' 1 . 8 ^ fr iltn « * S S .’'

L’àcUudicatiem aum’iien le S n m ed i ( .f iF év rieh ’ffj^Bj^'detûAetirea

ife relevée, ép l’Hilile eit-par le ministère de M* PlfcLKBDU'f, no­taire ù Crepy-erf^aiois.

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Etude de M' FERRY, notaire ' à Béthisy-Saint-Pierre.

A vendre & l’amiable, u n e M al- i so n B o m -g eo ise , sise à Morienval, I sur la route de Morienval A Pierre-1 fonds.— S’adresser h M' Ferry, no-1 taire.

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On démande ia rd iiiie r pour le l" fé -

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vner.S’adresser h H. CHAMBRELENT,

I à Saint-Firmin (Oise).

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objets, à vendre par adjudication volontaire, après décès, à Morienval,

MÊmi .È r e » * .. | en la demeure de Mme Dnfrenel, le-7; I Dimanche 7 Février 1909, à une

A Jouer A l’amiaWe, M alson sise heure, par le ministère de M'Terry, k OgBOQy cae du Moiriiîr. S’adresser k Delaunay, j)otaîre.

L V m éPeammn gQq|e Caa|4«

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Élude de M' THIROÜIN, notaire à Acy-en-Multien (Oise).

A vendre par adjudication volon-.| taire, le Dimanche 7 Février 1909, àf

raaèadeî loa (ortralgto*, la dm- IgoFalo, ! • «aiarrho vastcaj,

eOUqnaa, adpi»~"~*------ —|ve llO ;lu i

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S’IL iBétteboobrtjïde-. PunatM)^ 24 ■nk>-î&..'.^ùef,L Janvier 1909,4 deuxheures prtosra

de relevée, par le ministère de M'?. l l^{f^,:buis8ier,

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