2
Ecole socio technique :La socio analyse de l’organnisation JAQUES ELIOT 1-Les limites de l’expérience de mayo à la socioanalyse de l’organisation : Jacques Eliot a voulu appliquer à l’analyse de l’organisation les principaux concepts de la psychanalyse en empruntant la voie ouverte par FREUD dans son ouvrage « la psychologie et analyse de moi » en 1921. D’abord il faut comprendre que la socioanalyse est : l’étude des comportements des individus en groupe, c’est l’étude des attitudes conscientes et inconscientes des groupes. *la dissonance collective : c’est quand on veut refuser quelque chose mais on finit par l’accepter. C’est le fait quand on n’arrive pas à prendre une décision définitive à cause d’un blocage à l’intérieur dont on souffre et donc on vit une contradiction entre ce qu’on veut et ce qu’on dit. En observant l’individu dans le groupe et en observant l’attitude de l’organisation envers l’individu, Jaques Eliot constate que à l’instar des individus dans une hure ,l’organisation craint autant de changement qu’elle désire. Le socioanalyste transmettra à la conscience des membres de l’organisation ses réticences et ses craintes pour les dépasser = le but de l’étude de J.E. *Ce que J.E a appelé « la culture d’une organisation » désigne des comportements types qui s’y trouvent adoptés. La théorie des organisations pour J.E doit étudier les interactions qui existent entre les structures sociales de l’organisation. Elle doit encore étudier la culture et la personnalité de chacun

Jaques Eliot

  • Upload
    asmaa

  • View
    6

  • Download
    0

Embed Size (px)

DESCRIPTION

les apports de Jacques Eliot en management des organisations

Citation preview

Page 1: Jaques Eliot

Ecole socio technique   :La socio analyse de l’organnisation JAQUES ELIOT

1-Les limites de l’expérience de mayo à la socioanalyse de l’organisation   :

Jacques Eliot a voulu appliquer à l’analyse de l’organisation les principaux concepts de la psychanalyse en empruntant la voie ouverte par FREUD dans son ouvrage « la psychologie et analyse de moi » en 1921. D’abord il faut comprendre que la socioanalyse est : l’étude des comportements des individus en groupe, c’est l’étude des attitudes conscientes et inconscientes des groupes.*la dissonance collective : c’est quand on veut refuser quelque chose mais on finit par l’accepter. C’est le fait quand on n’arrive pas à prendre une décision définitive à cause d’un blocage à l’intérieur dont on souffre et donc on vit une contradiction entre ce qu’on veut et ce qu’on dit.En observant l’individu dans le groupe et en observant l’attitude de l’organisation envers l’individu, Jaques Eliot constate que à l’instar des individus dans une hure ,l’organisation craint autant de changement qu’elle désire.Le socioanalyste transmettra à la conscience des membres de l’organisation ses réticences et ses craintes pour les dépasser= le but de l’étude de J.E. *Ce que J.E a appelé « la culture d’une organisation » désigne des comportements types qui s’y trouvent adoptés. La théorie des organisations pour J.E doit étudier les interactions qui existent entre les structures sociales de l’organisation. Elle doit encore étudier la culture et la personnalité de chacun de ses membres et clarifier les rôles joués par chacun de ses agents.Les apports de Jaques Eliot   : *La constitution d’un organigramme clair est accepté partout comme condition indispensable à la bonne marche d’e/se.*Il faut que la communication fonctionne correctement sans que les agents soient dans l’obligation de communiquer à tout prix.A ce niveau J.E distingue entre 2 éléments :* Entre la ségrégation adaptative qui suffie et qui permet aux agents d’éviter les excès de la communication pour la communication.*Et entre la segmentation inadaptée qui est un frein à la bonne démarche de l’e/se et qui provient des tentions entre les différents groupes et qui ralentissent ou rendent impossible la transmission de l’information.

L’étude de J.E a permis de saisir des éléments importants que l’analyse classique de l’école des relations humaines ne pouvait pas atteindre comme l’idée de l’inconscience groupale et comme la défense d’un groupe contre un autre et le/se contre les interventions extérieures.

Page 2: Jaques Eliot