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Jean-Claude Brialy Jean-Claude Brialy Jean-Claude Brialy en 1992. Jean-Claude Brialy est un acteur, réalisateur, scénariste et écrivain français, né le 30 mars 1933 à Aumale, en Algérie, et mort le 30 mai 2007 à Monthyon (Seine-et- Marne). Issu de la Nouvelle Vague du cinéma français, il a joué dans plus de cent films au cours d'une carrière commen- cée en 1956 et a côtoyé de grands réalisateurs tels que Louis Malle, Claude Chabrol, François Truffaut ou Éric Rohmer. Vedette (Le Beau Serge) ou second rôle, il a été nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle avec Le Juge et l’Assassin en 1977 et l’a remporté avec Les Innocents. 1 Une formation de comédien Né à Aumale en Algérie, il est le fils de Roger Brialy, un officier supérieur français, qu’il suit dans ses multiples affectations pendant son enfance, et de Suzanne Abra- ham. Il passe ainsi par Blida en Algérie, puis Bône (ac- tuellement Annaba) et, en 1943, Marseille. La famille Brialy s’installe ensuite à Angers, au 10 de la rue Mi- rabeau. Jean-Claude et son frère vont à l’école au lycée David-d'Angers (où il connut son « premier émoi de co- médien » dit-il dans son autobiographie) et les vacances se déroulent chez leurs grands-parents à Chambellayune trentaine de kilomètres au nord d’Angers. Il écrit en 2000 dans son autobiographie que c’est dans ce village qu'il vit les plus beaux moments de son enfance marquée par un manque d'amour. Élevé à la cravache par des pa- rents qui entretiennent une rivalité avec son frère cadet de deux ans, Jacques, il [1] . En 1946, il fait son entrée au Prytanée national militaire de La Flèche, dans la Sarthe, avant de déménager de nou- veau à Saint-Étienne, et finalement passer son baccalau- réat au collège épiscopal Saint-Étienne de Strasbourg, où il suit en parallèle des cours d’art dramatique, sa passion, contre l'avis de son père colonel qui le destine à une car- rière militaire [2] . Il obtient le premier prix de comédie au conservatoire de Strasbourg et entre alors au centre d’art dramatique de l’Est, où il interprète différents rôles de théâtre. Pen- dant son service militaire à Baden-Baden, il est affecté au service cinématographique de l’armée en Allemagne, l’occasion pour lui de tourner en 1954 son premier court- métrage, Chiffonard et Bon Aloi. À la fin de son service militaire, il monte en novembre 1954 à Paris seul car ses parents ne cautionnent pas ses véléités de saltimbanque [2] . 2 Du cinéma à la télévision En 1954, il débarque à Paris, vit de petits boulots, ses parents refusant de l’aider. Il fréquente alors la bande des Cahiers du cinéma et joue dans un court-métrage Le Coup du berger de Jacques Rivette. Après avoir été stagiaire assistant-réalisateur sur French Cancan de Jean Renoir en 1954, il va alors multiplier apparitions et rôles, dont Elena et les Hommes de Jean Renoir en 1956 (source d'une grande déception car la scène est coupée au montage alors qu'il voulait impressionner sa famille), Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle en 1957 et surtout Le Beau Serge et Les Cousins de Claude Chabrol, qui lui apportent la célébrité [2] . En 1955, il achète grâce à l'aide financière de Claude Cha- brol et de François Truffaut la propriété de Monthyon, près de Meaux, que lui a fait connaître Marie-José Nat. Il y passe plusieurs mois de convalescence après une lourde opération chirurgicale à la suite d'une mauvaise chute dans Le Beau Serge. C'est dans sa propriété que Jacques Chazot, atteint d'un cancer de la gorge, passe- ra les derniers mois de sa vie, avant d'y être enterré en 1993 [3] . Devenu l'ami de nombreux artistes et reconnu à la fois par ses pairs et par le public, Jean-Claude Brialy achète en 1966 un ancien bistrot de l'île Saint-Louis à Pa- ris, qu'il fait transformer en restaurant sous l'enseigne de « L'Orangerie », lieu de la vie nocturne qui verra défiler en toute discrétion un grand nombre d'artistes français et étrangers [3] . Il devient un acteur prisé des réalisateurs de la Nouvelle Vague, jouant pour Jean-Luc Godard dans Une femme est une femme, pour Éric Rohmer dans Le Genou de Claire et pour François Truffaut dans La mariée était en noir. Il était très proche de François Truffaut ; en 1968 ce dernier demande à Marcel Berbert et à Jean-Claude Brialy d’être les témoins de son mariage avec Claude Jade. Grand tra- vailleur, il tourne plusieurs films par an, jouant également au théâtre. Il passe à la réalisation avec son premier film en 1971, Églantine, qu’il tourne à Chambellay, un village d’Anjou d'où sont natifs ses grands-parents, puis en 1973 Volets clos. En juillet 1979, il réalise pour la télévision, Les Malheurs de Sophie, tourné au château de Lorie à La 1

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Jean-Claude Brialy

Jean-Claude Brialy

Jean-Claude Brialy en 1992.Jean-Claude Brialy est un acteur, réalisateur, scénaristeet écrivain français, né le 30 mars 1933 à Aumale, enAlgérie, et mort le 30 mai 2007 à Monthyon (Seine-et-Marne).Issu de la Nouvelle Vague du cinéma français, il a jouédans plus de cent films au cours d'une carrière commen-cée en 1956 et a côtoyé de grands réalisateurs tels queLouis Malle, Claude Chabrol, François Truffaut ou ÉricRohmer. Vedette (Le Beau Serge) ou second rôle, il a éténommé pour le César du meilleur acteur dans un secondrôle avec Le Juge et l’Assassin en 1977 et l’a remporté avecLes Innocents.

1 Une formation de comédien

Né à Aumale en Algérie, il est le fils de Roger Brialy,un officier supérieur français, qu’il suit dans ses multiplesaffectations pendant son enfance, et de Suzanne Abra-ham. Il passe ainsi par Blida en Algérie, puis Bône (ac-tuellement Annaba) et, en 1943, Marseille. La familleBrialy s’installe ensuite à Angers, au 10 de la rue Mi-rabeau. Jean-Claude et son frère vont à l’école au lycéeDavid-d'Angers (où il connut son « premier émoi de co-médien » dit-il dans son autobiographie) et les vacancesse déroulent chez leurs grands-parents à Chambellay, àune trentaine de kilomètres au nord d’Angers. Il écrit en2000 dans son autobiographie que c’est dans ce villagequ'il vit les plus beaux moments de son enfance marquéepar un manque d'amour. Élevé à la cravache par des pa-rents qui entretiennent une rivalité avec son frère cadet dedeux ans, Jacques, il [1].En 1946, il fait son entrée au Prytanée national militairede La Flèche, dans la Sarthe, avant de déménager de nou-veau à Saint-Étienne, et finalement passer son baccalau-réat au collège épiscopal Saint-Étienne de Strasbourg, oùil suit en parallèle des cours d’art dramatique, sa passion,contre l'avis de son père colonel qui le destine à une car-rière militaire[2].Il obtient le premier prix de comédie au conservatoirede Strasbourg et entre alors au centre d’art dramatiquede l’Est, où il interprète différents rôles de théâtre. Pen-dant son service militaire à Baden-Baden, il est affectéau service cinématographique de l’armée en Allemagne,l’occasion pour lui de tourner en 1954 son premier court-

métrage, Chiffonard et Bon Aloi. À la fin de son servicemilitaire, il monte en novembre 1954 à Paris seul car sesparents ne cautionnent pas ses véléités de saltimbanque[2].

2 Du cinéma à la télévision

En 1954, il débarque à Paris, vit de petits boulots, sesparents refusant de l’aider. Il fréquente alors la bande desCahiers du cinéma et joue dans un court-métrage Le Coupdu berger de Jacques Rivette. Après avoir été stagiaireassistant-réalisateur sur French Cancan de Jean Renoir en1954, il va alors multiplier apparitions et rôles, dont Elenaet les Hommes de Jean Renoir en 1956 (source d'unegrande déception car la scène est coupée au montage alorsqu'il voulait impressionner sa famille), Ascenseur pourl’échafaud de Louis Malle en 1957 et surtout Le BeauSerge et Les Cousins de Claude Chabrol, qui lui apportentla célébrité[2].En 1955, il achète grâce à l'aide financière de Claude Cha-brol et de François Truffaut la propriété de Monthyon,près de Meaux, que lui a fait connaître Marie-José Nat.Il y passe plusieurs mois de convalescence après unelourde opération chirurgicale à la suite d'une mauvaisechute dans Le Beau Serge. C'est dans sa propriété queJacques Chazot, atteint d'un cancer de la gorge, passe-ra les derniers mois de sa vie, avant d'y être enterré en1993[3]. Devenu l'ami de nombreux artistes et reconnu àla fois par ses pairs et par le public, Jean-Claude Brialyachète en 1966 un ancien bistrot de l'île Saint-Louis à Pa-ris, qu'il fait transformer en restaurant sous l'enseigne de« L'Orangerie », lieu de la vie nocturne qui verra défileren toute discrétion un grand nombre d'artistes français etétrangers[3].Il devient un acteur prisé des réalisateurs de la NouvelleVague, jouant pour Jean-Luc Godard dans Une femme estune femme, pour Éric Rohmer dans Le Genou de Claireet pour François Truffaut dans La mariée était en noir. Ilétait très proche de François Truffaut ; en 1968 ce dernierdemande à Marcel Berbert et à Jean-Claude Brialy d’êtreles témoins de son mariage avec Claude Jade. Grand tra-vailleur, il tourne plusieurs films par an, jouant égalementau théâtre.Il passe à la réalisation avec son premier film en 1971,Églantine, qu’il tourne à Chambellay, un village d’Anjoud'où sont natifs ses grands-parents, puis en 1973 Voletsclos. En juillet 1979, il réalise pour la télévision, LesMalheurs de Sophie, tourné au château de Lorie à La

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2 5 VIE PRIVÉE

Chapelle-sur-Oudon, près de Segré.

3 Le théâtre et l’écriture

Jean-Claude Brialy au festival de Cannes 1992.

Directeur du théâtre Hébertot (1977) puis du théâtredes Bouffes-Parisiens (de 1986 à sa mort, la directionétant alors reprise par son compagnon Bruno Finck[2]),il est longtemps directeur artistique du festival d’Anjou(1985-2001) ainsi que le créateur et directeur artistiquedu festival de Ramatuelle à partir de 1985.En 2000 et 2004, il écrit deux livres auto-biographiquesqui rencontrent un réel succès de librairie : Le Ruisseaudes singes (éd. Robert Laffont), où il évoque plus par-ticulièrement les bons moments de son enfance passésà Chambellay près d’Angers (« Mon paradis, c’est l’An-jou ») et J’ai oublié de vous dire (XO éditions). En 2006,à la suite de son voyage dans son pays natal, il publie MonAlgérie (Timée éditions). Il écrit aussi des anthologies :Les Pensées les plus drôles des acteurs et Les Répliques lesplus drôles du théâtre de boulevard (Le Cherche-Midi).Personnalité du « tout-Paris », il intervient parallèlementdans de nombreuses émissions de radio et de télévision,comme Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL.Il participe régulièrement à l’émission.Sa proximité avec les artistes l'amène à assister à la plu-

part des enterrements de célébrités, à tel point que sonami Thierry Le Luron l'avait surnommé « la Mère La-chaise » (en référence au célèbre cimetière parisien et àson homosexualité)[2].

4 Fin de sa vie

Tombe de Jean-Claude Brialy au cimetière de Montmartre (15e

division), à Paris

Il tourne son dernier téléfilm en 2006, Monsieur Max deGabriel Aghion. On le voit aux obsèques de Gérard Ou-ry, en juillet 2006, avec lequel il avait tourné Lévy et Go-liath, aux funérailles de Philippe Noiret le 27 novembre2006 et à celles de Jean-Pierre Cassel en avril 2007.Quelques jours avant sa mort, Jean-Claude Brialy est pré-sent à Cannes pour les 60 ans du festival et à l'émissionde Philippe Bouvard, Les Grosses Têtes, dont il était « so-ciétaire ».Il meurt à Monthyon le 30 mai 2007 des suites d’uncancer, n’ayant averti personne, pas même ses amisproches, de sa maladie. Ses obsèques sont célébrées enl’église Saint-Louis-en-l'Île, le 4 juin 2007. La messe desfunérailles est concélébrée par l’évêque Jean-Michel DiFalco et l’abbé Gérard Pelletier, en présence de nom-breuses célébrités.Jean-Claude Brialy est enterré au cimetière de Mont-martre, juste à côté de la célèbre « Dame aux Camélias ».

5 Vie privée

Son homosexualité, longtemps masquée à son père età la famille du cinéma, est revendiquée depuis la pa-rution en 2000 de son autobiographie Le Ruisseau dessinges[4]. Il déclare au magazine Têtu en mai 2005 qu’audébut de sa carrière, « c’était tabou. […] D’ailleurs, je nevois pas l’intérêt de dire : “Il est jaune”, “Il est juif” ou“Bonjour, je suis homosexuel”. Moi, j’étais un “homo-sexuel naturel”, je ne me suis jamais posé de questions,j’ai eu des aventures avec des femmes, des hommes…

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6.2 En tant que metteur en scène 3

J’ai choisi les hommes par égoïsme, parce que je trou-vais que les rapports étaient plus simples, mais aussi pargoût ». En 1994, Jean-Claude Brialy participe au dou-blage du film Priscilla, folle du désert, qui traite du thèmede l'homosexualité : il prête sa voix à l'acteur TerenceStamp.Opposé au mariage gay, mais favorable à un PACS amé-lioré (« Les gens qui se pacsent devraient avoir les mêmesdroits que les gens mariés »), Jean-Claude Brialy s’est aus-si beaucoup engagé dans la lutte contre le Sida, notam-ment aux côtés de Line Renaud : « Beaucoup croient quele sida se guérit, mais pas du tout, la mort est toujoursau bout. Les homosexuels doivent montrer l’exemple etencourager les gens à se protéger, à se défendre. Je suisun porte-parole de Sidaction. Je vais aux réunions et il ya quelques années, j’ai fait avec Sophia Loren une venteaux enchères qui a rapporté 10 millions de francs. On apu acheter une maison à Genève pour les gens en fin devie. »En 2013, Bruno Finck, son dernier compagnon et son hé-ritier, vend aux enchères le contenu de l'appartement del'île Saint-Louis qu'il partageait avec le comédien[5]. Laville de Meaux reçoit en legs sa propriété de Monthyon etsa collection d'objets[6].

6 Théâtre

6.1 En tant qu'acteur

• 1958 : Les portes claquent de Michel Fermaud, miseen scène Christian-Gérard, théâtre Daunou

• 1962 : Un dimanche à New-York de Norman Kras-na, mise en scène Jacques Sereys, théâtre du Palais-Royal

• 1965 : Madame Princesse de Félicien Marceau, miseen scène de l'auteur théâtre du Gymnase Marie-Bell

• 1966 : Madame Princesse de Félicien Marceau, miseen scène de l'auteur théâtre des Célestins

• 1968–1970 : La Puce à l'oreille de Georges Feydeau,mise en scène Jacques Charon, théâtre Marigny puisau théâtre du Palais-Royal et au théâtre des Célestins

• 1971 : Le Ciel de lit de Jan de Hartog, adaptationColette, mise en scène Jacques Charon, théâtre duPalais-Royal

• 1974 :L'Hôtel du libre échange, de Georges Feydeau,théâtre Marigny

• 1977 : Si t'es beau, t'es con de Françoise Dorin, miseen scène Jacques Rosny, théâtre Hébertot

• 1980 : Madame est sortie de Pascal Jardin, miseen scène Pierre Boutron, Comédie des Champs-Élysées

• 1984 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy, théâtre Édouard VII

• 1986 : Le Nègre de Didier Van Cauwelaert, mise enscène Pierre Boutron, théâtre des Bouffes-Parisiens

• 1989 : L'Illusionniste de Sacha Guitry, mise en scèneJean-Luc Moreau, théâtre des Bouffes-Parisiens

• 1992 : La Jalousie de Sacha Guitry, mise en scèneJean-Claude Brialy, théâtre des Bouffes-Parisiens,théâtre du Gymnase à Marseille, théâtre des Céles-tins, Festival de Ramatuelle et tournée

• 1994 : Show bis de Neil Simon, mise en scèneGeorges Wilson, théâtre des Bouffes-Parisiens : voix

• 1996 : Monsieur de Saint-Futile de Françoise Do-rin, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre desBouffes-Parisiens et tournée

• 1999 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, miseen scène Jean-Claude Brialy, tournée puis théâtredes Bouffes-Parisiens

• 2002 : Poste restante, de Noël Coward, mise en scèneDaniel Roussel, théâtre du Palais-Royal

• 2005 : J'ai oublié de vous dire, spectacle de et avecJean-Claude Brialy, théâtre des Bouffes-Parisiens,Festival d’Anjou et tournée

6.2 En tant que metteur en scène

• 1979 : La Fugue de Francis Lacombrade et BernardBroca, musique Alexis Weissenberg, théâtre de laPorte-Saint-Martin

• 1984 : Désiré de Sacha Guitry, théâtre Édouard VII

• 1992 : La Jalousie de Sacha Guitry, théâtre desBouffes-Parisiens

• 1992 : La Puce à l'oreille de Georges Feydeau,théâtre de la Michodière

• 1994 : Le Bal des voleurs de Jean Anouilh, Festivald'Anjou

• 1994 : La Source bleue de Pierre Laville, théâtreDaunou

• 1996 : L'Invitation au château de Jean Anouilh

• 1999 : Mon père avait raison de Sacha Guitry,théâtre des Bouffes-Parisiens

• 1999 : Le Sexe faible d'Édouard Bourdet

• 2000 : Les Parents terribles de Jean Cocteau

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4 7 FILMOGRAPHIE

7 Filmographie

7.1 En tant qu'acteur

7.1.1 Cinéma

• 1954 : Chiffonard et Bon Aloi, court-métrage docu-mentaire de Pierre Lhomme pour le cinéma aux ar-mées : Chiffonard

• 1954 : Paris, mon copain, court-métrage documen-taire de Pierre Lhomme : le narrateur

• 1956 : Les Mauvaises Rencontres de Alexandre As-truc[7]

• 1956 : Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy : fi-guration

• 1956 : Elena et les Hommes de Jean Renoir (rôle cou-pé au montage)

• 1956 : Le Coup du berger, court-métrage de JacquesRivette : Claude, l’amant de Claire

• 1956 : La Sonate à Kreutzer, court-métrage d’ÉricRohmer : Trukhacevskij

• 1956 : Tous les garçons s’appellent Patrick ou Char-lotte et Véronique, court-métrage de Jean-Luc Go-dard : Patrick

• 1956 : Les Surmenés, court-métrage de JacquesDoniol-Valcroze : Jimmy Brincourt

• 1957 : Une histoire d’eau, court-métrage de Jean-Luc Godard et François Truffaut : le jeune hommeen voiture

• 1957 : L’Ami de la famille de Jack Pinoteau : Phi-lippe Lemonnier

• 1957 : Tous peuvent me tuer d’Henri Decoin : un en-quêteur

• 1957 : Méfiez-vous fillettes d’Yves Allégret : un clientdu « sexy-bar »

• 1957 : Amour de poche de Pierre Kast : Jean-Loup

• 1957 : Le Triporteur de Jack Pinoteau : Jean-Claude,un jeune vacancier

• 1957 : Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle :un joueur d’échecs

• 1957 : Cargaison blanche de Georges Lacombe :Jean

• 1958 : L’École des cocottes de Jacqueline Audry :Robert

• 1958 : Et ta sœur de Maurice Delbez : Bruno Puy-martin

• 1958 : Christine de Pierre Gaspard-Huit : Théo Kai-ser

• 1958 : Paris nous appartient de Jacques Rivette :Jean-Marc

• 1958 : Les Amants de Louis Malle : un homme aumanège

• 1958 : Le Beau Serge de Claude Chabrol : François

• 1959 : Les Garçons de Mauro Bolognini : Scintillone

• 1959 : Les Cousins de Claude Chabrol : Paul

• 1959 : Les Quatre Cents Coups de François Truffaut :un passant

• 1959 : Le Chemin des écoliers de Michel Boisrond :Paul Tiercelin

• 1959 : Les Yeux de l'amour de Denys de La Patel-lière : Pierre Ségur

• 1960 : Le Bel Âge de Pierre Kast : Jean-Claude

• 1960 : Le Gigolo de Jacques Deray : Jacky

• 1961 : Les Godelureaux, de Claude Chabrol : Ronald

• 1961 : Adieu Philippine, de Jacques Rozier : le co-médien de l’émission télévisée Monserrat

• 1961 : Les lions sont lâchés d’Henri Verneuil : DidierMarèze

• 1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond,sketch Agnès Bernauer : Erich Torring

• 1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Go-dard : Émile Récamier

• 1961 : Le Puits aux trois vérités de François Villiers :Laurent Renaud

• 1961 : Les Petits Matins ou Mademoiselle stop deJacqueline Audry : Jean-Claude, le représentant enbrosses

• 1961 : Aimez-vous Brahms ? d’Anatole Litvak : voixfrançaise d'Anthony Perkins

• 1962 : L’Éducation sentimentale d’Alexandre As-truc : Frédéric Moreau

• 1962 : Les Sept Péchés capitaux, sketch L'Avarice deClaude Chabrol : Arthur

• 1962 : Les Veinards, sketch Le Gros Lot de Jack Pi-noteau : le jeune homme en voiture

• 1962 : Carambolages de Marcel Bluwal : Paul Mar-tin

• 1962 : Arsène Lupin contre Arsène Lupin d’ÉdouardMolinaro : François de Vierne

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7.1 En tant qu'acteur 5

• 1962 : Le Diable et les Dix Commandements, sketchBien d'autrui ne prendras de Julien Duvivier : DidierMartin, l’employé de banque

• 1962 : La Chambre ardente de Julien Duvivier :Marc Desgrez

• 1962 : Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda : l’infirmier

• 1962 : La banda Casaroli de Florestano Vancini

• 1962 : Vie privée de Louis Malle : le narrateur

• 1962 : Tire-au-flanc de Claude de Givray etFrançois Truffaut : le capitaine

• 1962 : Vanina Vanini de Roberto Rossellini : noncredité

• 1963 : Le Glaive et la Balance d’André Cayatte :Jean-Philippe Prévost

• 1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas : Jacquot

• 1964 : La Ronde de Roger Vadim : Alfred

• 1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe deBroca : le prince

• 1964 : La Chasse à l’homme d’Édouard Molinaro :Antoine Monteil

• 1964 : Château en Suède de Roger Vadim : Sébastien

• 1964 : Tonio Kruger de Rolf Thiele : Tonio Kruger

• 1964 : Comment épouser un Premier ministre ? deMichel Boisrond : Philippe Lambert

• 1964 : L'Amour à la chaîne de Claude de Givray

• 1964 : La Bonne Occase de Michel Drach

• 1965 : L'Amour à la mer de Guy Gilles : l’hommedésenchanté

• 1965 : Cent briques et des tuiles de Pierre Grimblat :Marcel

• 1965 : La Mandragore d’Alberto Lattuada : Ligurio

• 1965 : Je la connaissais bien de Antonio Pietrangeli :Dario

• 1965 : Les Siffleurs de Eino Ruutsabo

• 1966 : Le Roi de cœur de Philippe de Broca : le ducde trèfle

• 1966 : I nostri mariti, sketch Il marito di Olga deLuigi Zampa : Ottavio

• 1966 : Un homme de trop de Costa-Gavras : Jean

• 1967 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Ma-demoiselle Mimi de Philippe de Broca : Philibert

• 1967 : Lamiel de Jean Aurel : le comte d'Aubigné

• 1967 : La mariée était en noir de François Truffaut :Corey

• 1967 : Au diable les anges de Lucio Fulci : Cajella

• 1968 : Caroline chérie de Denys de La Patellière :Boismussy

• 1968 : Manon 70 de Jean Aurel : Jean-Paul

• 1969 : Le Bal du comte d’Orgel de Marc Allégret

• 1969 : Tout peut arriver de Philippe Labro

• 1969 : Le Genou de Claire d’Éric Rohmer : Jérôme

• 1970 : Côté cour, côté jardin, court-métrage de GuyGilles

• 1971 : Une saison en enfer de Nelo Risi : Paul Ver-laine

• 1971 : Cose di Cosa Nostra de Steno : DomenicoGargiulo

• 1972 : Un meurtre est un meurtre d’Étienne Périer :Paul Kastner

• 1973 : Dreyfus ou l'Intolérable Vérité de Jean Ché-rasse : le narrateur

• 1973 : Un amour de pluie de Jean-Claude Brialy : ledragueur - également coscénariste

• 1973 : L'Oiseau rare de Jean-Claude Brialy : Ar-mand - également coscénariste

• 1974 : Comme un pot de fraises de Jean Aurel : Nor-bert

• 1974 : Le Fantôme de la liberté de Luis Buñuel :Monsieur Foucault

• 1975 : Barry Lyndon de Stanley Kubrick : le narra-teur (dans la version française)

• 1975 : Un animal doué de déraison de Pierre Kast :Claude

• 1975 : Catherine et Compagnie de Michel Boisrond :Guillaume

• 1975 : Les Onze Mille Verges d'Éric Lipmann

• 1976 : Le Juge et l'Assassin de Bertrand Tavernier :Villedieu

• 1976 : Les Œufs brouillés de Joël Santoni : Brumaire

• 1976 : L’Année sainte de Jean Girault : Pierre Bizet

• 1976 : Barocco d’André Téchiné : Walt, le directeurdu journal

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6 7 FILMOGRAPHIE

• 1977 : Le Point de mire de Jean-Claude Tramont :Michel Gaur

• 1977 : Julie pot de colle de Philippe de Broca : Jean-Luc

• 1977 : L’Imprécateur de Jean-Louis Bertucelli : LeRantec

• 1977 : Enquête à l’italienne de Steno : Van Nijlen

• 1977 : Pour Clémence de Charles Brabant : le narra-teur

• 1978 : Robert et Robert de Claude Lelouch : JacquesMillet, marchand d’esclaves

• 1978 : La Chanson de Roland de Frank Cassenti : leseigneur

• 1979 : Le Maître-nageur de Jean-Louis Trintignant :Logan

• 1979 : Les Plus Grands Moments d'Hollywoodd’Edward Shaw : le narrateur (dans la version fran-çaise)

• 1979 : Bobo Jacco d’Albert Bal : Guillaume

• 1979 : Cinématon, court-métrage de Gérard Cou-rant, sketch « Paris »

• 1980 : L'Œil du maître de Stéphane Kurc : Cazeau

• 1980 : Bobo la tête de Gilles Katz (caméo)

• 1980 : La Banquière de Francis Girod : Paul Cis-terne

• 1981 : Les Uns et les Autres de Claude Lelouch : ledirecteur du Lido[8]

• 1982 : LaNuit de Varennes d’Ettore Scola : M. Jacob

• 1982 : Notre-Dame de la Croisette, court-métrage deDaniel Schmid : lui-même

• 1982 : La Fille de Trieste de Pasquale Festa Campa-nile : le professeur Martin

• 1982 : Édith et Marcel de Claude Lelouch : LoulouBarrier

• 1982 : Mortelle Randonnée de Claude Miller : Vora-gine

• 1983 : La Crime de Philippe Labro : Jean-FrançoisRambert

• 1983 : Le Démon dans l’île de Francis Leroi : le doc-teur Paul-Henri Marshall

• 1983 : Cap Canaille de Juliet Berto et Jean-HenriRoger : Maître Samuel Kedabjan

• 1983 : Sarah de Maurice Dugowson : Gabriel Lar-cange

• 1983 : Stella de Laurent Heynemann : Roland Caron

• 1983 : Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poi-ré : le joueur de tennis

• 1984 : Pinot simple flic de Gérard Jugnot : le princi-pal Morcy

• 1984 : Le téléphone sonne toujours deux fois de Jean-Pierre Vergne : le commissaire

• 1985 : Tueur de fous, court-métrage de GuillaumePerotte

• 1985 : Le Mariage du siècle de Philippe Galland :Kaffenberg

• 1985 : Le Quatrième Pouvoir de Serge Leroy : le P.D. G. de la télévision

• 1985 : L’Effrontée de Claude Miller : Sam

• 1985 : Inspecteur Lavardin de Claude Chabrol :Claude Alvarez

• 1986 : Le Débutant de Daniel Janneau : Willy

• 1986 : Hypothèse d’un soir, court-métrage de Marie-Christine Fieni

• 1986 : Grand Guignol de Jean Marbœuf : M. Albert

• 1986 : Suivez mon regard de Jean Curtelin : FreddyLanglois

• 1987 : Le Moustachu de Dominique Chaussois : Le-roy

• 1987 : Lévy et Goliath de Gérard Oury : Bijou / De-laroche

• 1987 : Un homme et une femme : Vingt ans déjà deClaude Lelouch : un spectateur à la projection privée

• 1987 : Maladie d'amour de Jacques Deray : Frédéric

• 1987 : Les Innocents d’André Téchiné : Klotz

• 1987 : Maschenka de Jean de Goldschmidt : Kolin

• 1988 : Au bonheur des chiens de Duccio Tessari : lejuge

• 1989 : Comédie d’été de Daniel Vigne : Gaston

• 1989 : Ripoux contre ripoux de Claude Zidi : le ban-quier

• 1990 : S’en fout la mort de Claire Denis : Pierre Ar-dennes

• 1990 : Faux et usage de faux de Laurent Heyne-mann : Charles Laumière

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7.1 En tant qu'acteur 7

• 1991 : Août d’Henri Herré : Martin

• 1992 : Tous les garçons, court-métrage d’ÉtienneFaure

• 1993 : La ReineMargot de Patrice Chéreau : Coligny

• 1993 : Monsieur Dior, court-métrage documentairede Frank Maubert et Mathias Ledoux : le narrateur

• 1994 : Le Monstre de Roberto Benigni : Roccarotta

• 1994 : Une femme française de Régis Wargnier : Ar-noult

• 1994 : Sacha Guitry et ses femmes, court-métragedocumentaire de Pierre Philippe : le narrateur

• 1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinémad’Agnès Varda : le guide des Japonais

• 1995 : Beaumarchais, l'insolent d’Édouard Molina-ro : Abbot

• 1995 : Les Caprices d’un fleuve de Bernard Girau-deau : M. de Saint-Chamont

• 1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier[9] : lui-même

• 1996 : Portraits chinois de Martine Dugowson : RenéSandre

• 1998 :Kennedy et moi de Sam Karmann : Benny Gri-maldi

• 1999 : L’Homme de ma vie de Stéphane Kurc : Lu-cien

• 1999 : Les Acteurs de Bertrand Blier : lui-même

• 1999 : Lettre à mon frère Guy Gilles, cinéaste trop tôtdisparu, documentaire de Luc Bernard : lui-même

• 2000 : Hommage à Alfred Lepetit, court-métrage deJean Rousselot

• 2000 : In extremis d’Étienne Faure : l’avocat

• 2001 : Concurrence déloyale d’Ettore Scola : NonnoMattia

• 2001 : C’est le bouquet ! de Jeanne Labrune : RobertFresnel

• 2001 : Les filles, personne s’en méfie de CharlotteSilvera : le projectionniste

• 2001 : South Kensington de Carlo Vanzina : Fernan-dino

• 2002 : La Demi-Mondaine amoureuse de DidierDessapt

• 2003 : Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie : uncomédien qui refuse de tourner avec Baffie (cameo)

• 2003 : Aimez-moi les uns les autres de Tiburce

• 2004 : People ou Jet Set 2 de Fabien Onteniente :Minimo

• 2004 : Quoi ? L'Éternité, documentaire d'ÉtienneFaure : lui-même

• 2004 : Quartier VIP de Laurent Firode : Ferdinand

• 2006 : Mon dernier rôle, court-métrage d'OlivierAyache-Vidal : lui-même

• 2007 : Vous êtes de la police ? ou Dernière enquêteou Les Sapins bleus de Romuald Beugnon

7.1.2 Télévision

• 1960 : Les Parents terribles de Jean-Paul Carrère :Michel

• 1962 : Chéri de François Chatel : Chéri, l’amant deLéa

• 1966 : Anna de Pierre Koralnik : Serge

• 1966 : Carosello - All’ultimo sorso de Mario Fattoriet Edo Cacciari

• 1972 : Dans les jardins de Franc-Nohain, documen-taire d'Alain Frey : lui-même

• 1974 : La Peur des coups de Jeannette Hubert : lui-même

• 1977 : Dancing Star, émission de variété de JacquesBrialy : lui-même

• 1980 : Arsène Lupin joue et perd, série d’AlexandreAstruc : Arsène Lupin

• 198 : L’Accompagnateur de Pierre Boutron : le di-recteur de la compagnie d’assurances

• 1982 : Mozart, série de Marcel Bluwal

• 198 : Quelques hommes de bonne volonté, série deFrançois Villiers : Quinette

• 1983 : Père Noël et fils de André Flédérick : Thomas

• 198 : Désiré de Dominique Giuliani, sur une mise enscène de Jean-Claude Brialy : Désiré

• 1984 : Die Schöne Wilhelmine de Rolf Von Sydow :Casanova

• 1984 : Ces chers disparus : Françoise Dorléac, docu-mentaire de Denis Derrien : lui-même

• 1985 : L'Herbe rouge de Pierre Kast : l’abbé Grille

• 1985 : Vivement Truffaut / Hommage à Truffaut,documentaire de Claude de Givray : lui-même

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8 7 FILMOGRAPHIE

• 198 : François Truffaut : Correspondance à une voix,court-métrage documentaire de Michèle Reiser : lui-même

• 198 : Les Deux Virus de Bruno Gantillon

• 1989 : Le Nègre de Yves-André Hubert : le nègre

• 1989 : Le Clochard « Loft story » de Stéphane Bertinet Boramy Tioulong

• 1990 : Ne m'oubliez pas : Hommage à Bernard Blier,documentaire de Mathias Ledoux : lui-même

• 1990 : C'est quoi, ce petit boulot ?, série de MichelBerny et Gian Luigi Polidoro : Julien Panni

• 1990 : Ferbac

• 1990 : Mariage mortel de Marc Rivière

• 1991 : Les Bains de jouvence de Marc Rivière

• 1991 : Péché de jeunesse de Bruno Gantillon

• 1991 : L’Illusionniste de Michel Treguer : l’illusion-niste

• 1991 : Échec et mat de José-Maria Sanchez Silva :Piantoni

• 1991 : Lucas de Nadine Trintignant : Werner

• 1993 : Le Mal des ardents de Roland Verhavert

• 1993 : Carnaval des ténèbres de Sylvain Madigan

• 1993 : Le Festin de miséricorde de Christian Faure :Éric Ferbac, officier de gendarmerie

• 1993 : Sandra, princesse rebelle, feuilleton de DidierAlbert : Jean Duplessis

• 1994 : La Jalousie de Patrick Bureau

• 1996 : Belmondo le magnifique, documentaire dePatrick Chammings : lui-même

• 1997 : Les Héritiers de Josée Dayan : le commissaireBonnard

• 1997 : La Grande Béké d’Alain Maline : M. Dupont-Ménard

• 1997 : Cannes… les quatre cents coups, documen-taire de Gilles Nadeau : lui-même

• 1997 : Le Comte de Monte-Cristo de Josée Dayan :le père Morel

• 1997 : Les Jolies Colonies de vacances de StéphaneKurc : Max

• 1998 : Ils sont tous nos enfants / Élisabeth dePasquale Squitieri : le juge Defoi

• 1999 : Barbara, je chante ma vie, documentaire dePhilippe Kohly : lui-même

• 2000 : La Bicyclette bleue de Thierry Binisti : Ra-phaël Mahl

• 2001 : Les Filles à papa de Marc Rivière : Robert

• 2001 : Nadia Coupeau, dite Nana d'Édouard Moli-naro : Vandoeuvres

• 2002 : Le hasard fait bien les choses de Lorenzo Ga-briele : Jean-Pierre Muller

• 2002 : On ne choisit pas sa famille de François Lu-ciani : Michel

• 2004 : Président Ferrare : L’Affaire Valéra d'AlainNahum : Guillaume Ferrare

• 2004 : Président Ferrare : L’Affaire Denise Chabrier]d'Alain Nahum : Guillaume Ferrare

• 2004 : Le Plus Bel Homme du monde de Serge Khal-fon : lui-même

• 2005 : Les Rois maudits, mini-série de Josée Dayan :Hugues de Bouville

• 2006 : Président Ferrare : L’Affaire Gilles d’Aubertd'Alain Nahum : Guillaume Ferrare

• 2006 : MonsieurMax de Gabriel Aghion : Max Jacob

7.2 En tant que réalisateur

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7.2.1 Cinéma

• 1955 : French Cancan de Jean Renoir - stagiaireassistant-réalisateur

• 1971 : Églantine - également scénariste

• 1973 : Les Volets clos

• 1973 : L’Oiseau rare - également scénariste

• 1974 : Un amour de pluie - également scénariste

• 1983 : Un bon petit diable - également coadaptateuravec Didier Decoin

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9

7.2.2 Télévision

• 1979 : La Nuit de l’été

• 1979 : Les Malheurs de Sophie d'après la comtessede Ségur[10]

• 1981 : Cinq-Mars - également scénariste

• 1995 : Vacances bourgeoises

• 1995 : Il ne faut jurer de rien d’Alfred de Musset

• 1997 : Georges Dandin

• 1998 : Le Comte de Monte-Cristo (feuilleton télévisé,1998) d'Alexandre Dumas

• 1998 : La Dame aux Camélias d’Alexandre Dumasfils - également scénariste

• 2003 : Les Parents terribles

8 Distinctions

8.1 Décorations

• France :

• Commandeur de l'ordre national de la Légiond'honneur,

• Commandeur de l’ordre national du Mérite• Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres

• Monaco : Commandeur de l'ordre du Mériteculturel (novembre 2002)[11]

8.2 Récompenses

• prix Jean Deluc 1972 décerné par l’Académie fran-çaise pour son film Églantine

• Césars 1977 : nomination au César du meilleur ac-teur dans un second rôle pour Le Juge et l'Assassin

• Césars 1988 : César du meilleur acteur dans un se-cond rôle pour Les Innocents

• prix Ballantine 1990 du « Maître du bon goût »

9 Bibliographie• Le Ruisseau des singes, Robert Laffont, Paris, 2000

• J’ai oublié de vous dire, XO éditions, Paris, 2004

• MonAlgérie, Timée éditions, 2006 avec un DVD do-cumentaire réalisé lors de son retour en Algérie parYannis Chebbi et Michael Kazan

• Les Pensées les plus drôles des acteurs, Le Cherchemidi, 2006

• Les Répliques les plus drôles du théâtre de boulevard,Le Cherche midi, 2007

10 Liens externes• Notices d’autorité : Fichier d’autorité international

virtuel • International Standard Name Identifier •Bibliothèque nationale de France • Système univer-sitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès• Gemeinsame Normdatei • WorldCat

• (en) Jean-Claude Brialy sur l’Internet MovieDatabase

• Jean-Claude Brialy sur Allociné

• Entretien avec Jean-Claude Brialy (1970), une ar-chive de la Télévision suisse romande.

• Le Coin du cinéphage.

• Liste des articles consacrés à Jean-Claude Brialy surCalindex.eu

11 Notes et références[1] Jean Claude Brialy, Le ruisseau des singes. Autobiogra-

phie, Robert Laffont, 2011, p. 17

[2] Laurent Delahousse, Un jour, un destin : « Jean-ClaudeBrialy, l'homme qui voulait tant être aimé », documentairediffusé sur France 2, le 28 septembre 2014, 1h 35 min.

[3] Jean-Claude Brialy, Le Ruisseau des singes, éditions Ro-bert Laffont, Paris, 2000

[4] Alain Brassart, L'homosexualité dans le cinéma français,Nouveau monde, 2007, p. 113

[5] Pauline Simons, « s souvenirs de Jean-Claude Brialy auxenchères », sur Le Figaro, 16 janvier 2013

[6] « La collection de Jean-Claude Brialy estimée à 305 000€ », sur Le Parisien, 12 mars 2013

[7] Dans son premier livre, il dit être sur le plateau sans pré-ciser si c'est en tant que technicien ou que figurant.

[8] Diffusé également en 5 épisodes de 52 min à la télévision

[9] Film de télévision sorti également en salles

[10] Sorti également en salles.

[11] Ordonnance Souveraine no 15.565 du 18 novembre 2002portant promotions ou nominations dans l'Ordre du MériteCulturel

• Portail du cinéma français

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11

12 Sources, contributeurs et licences du texte et de l’image

12.1 Texte• Jean-Claude Brialy Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Claude_Brialy?oldid=115691411 Contributeurs : Rinaldum, Vargenau,

Nataraja, Looxix, Orthogaffe, Céréales Killer, Kelson, Semnoz, Shakti, Howard Drake, HasharBot, Maggic, Lauriane, P-e, ZeroJanvier,Jerotito, THA-Zp, Spooky, Phe, MedBot, Mschlindwein, Alain Schneider, Ma'ame Michu, Phe-bot, Bibi Saint-Pol, ADM, Ollamh, Hé-gésippe Cormier, Emmanuel Pacaud, Chninkel, Sérénade, Doch54, Chris a liege, Criric, Leag, Bob08, Piku, Ork, Fourvin, Ttiber4983,JujuTh, Emirix, Laurent75005, Denys, Ludo Thécaire, Mister Cola, Anierin, Mirgolth, Indif, Gede, Angeldream, Stéphane33, Ayack,Zetud, Remy34, Probot, Angwyshaunce, Kilom691, Pok148, TwoWings, Raoul75, Zivax, Vlad, Necrid Master, Bulat, Alecs.y, Ico, MM-Bot, Felipeh, Huster, Nostradamus, Jekill, Steff, Arrakis, Teddyyy, TCY, Kirtap, Le bibliographe, Kwak, Lechat, Trilibibi, Mith, Airair,Mb06cs, Louperivois, Thierry Brumert, Pautard, Harrieta171, Blone, Albins, Gonioul, Olmec, Serein, Icimimi, Jmax, TiChou, Mwarf,Mini.fb, MetalGearLiquid, Kilianours, 307sw136, Sjperrin, Martin', Asabengurtza, Lamadelama, Vladib2, GaMip, Bbruet, Bot de SeptLieues, GabrieL, Nilou17, Banjamin, Rhadamante, Cricri054, Logophile F, BARBARE42, Jarfe, Octave.H, En passant, Escarbot, Voxho-minis, Surréalatino, Creasy, Rémih, Arnaud 25, Plbcr, Pj44300, Patroklis, Starus, Rhinois, Lastpixl, Celiapessac, MirgolthBot, Mimich,Auxerroisdu68, Nono64, Paris75000, PHIFOU62, FR, Mohammedredatouzani, Aladin34, M-le-mot-dit, Jplm, MrsChocobo, LuRobby,DanRoz, Salebot, MyBot, Lebiblio, Jrma, AlfredTaupin, Le coin du cinéphage, Patrick Bous, Jonathan1, Breizh Joan, Aibot, Localhost,Theoliane, Stesuz, Mayang, Chicobot, Nico42feurs, Orthomaniaque, Acélan, Gz260, Bhl001, Gonzolito, Binabik, Madame Bled, Veilleur,Lutralutra, Strangeways, Ovc, Nabucco, Psection, Vlaam, Hercule, Jean-Jacques Georges, Joelnordique, Smeet666, Pierregil83, LUC93,Konstantinos, DumZiBoT, SniperMaské, StefBot, Mro, Ulhmany, HerculeBot, Ggal, Adelache, NiavBot, Celette, DSisyphBot, Scoop-finder, Danglars, Penjo, ArthurBot, Soren56, Xqbot, Lucignolobrescia, Coyote du 57, Lomita, Lostinthiswhirlpool, JettRink, Salsero35,Rehtse, EoWinn, Sisqi, Chik-Chak, ZéroBot, S0l0xal, Puckstar, Saber68, Cligès22, Gérarddelafeuille, Jules78120, NordhornerII, StevenRogers, Hubert de Tartas, Woozz, Classiccardinal, Tivoyou, Roromeo, Sportssport, LRDF, Addbot, AméliorationsModestes, Lefuret015,Iniți, Emiliemlrt, Tisourcier, KasparBot et Anonyme : 135

12.2 Images• Fichier:Blank_television_set.svg Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/8c/Blank_television_set.svg Licence :

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12.3 Licence du contenu• Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0