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GÉOINFO http://www.pggq.gouv.qc.ca/geoinfo JUILLET - AOÛT 2002 1 Comité de rédaction Marie-Josée Gallien (Rédactrice en chef), Geneviève-Ilou Boucher, Luc Gravel, Pierre Lessard, Isabelle Ouellet, Chantal Seuthé Révision linguistique Karen Dorion-Coupal Traduction Garriss et Vachon inc. Édition électronique Prospection Inc. Un nouveau site Internet pour le PGGQ L’expertise gouvernementale à l’honneur En juin dernier, le Plan géomatique du gouvernement du Québec (PGGQ) mettait en ligne son nouveau site Internet, entièrement revu dans sa forme et son contenu. En plus de tracer le portrait du PGGQ en présentant sa structure organisationnelle, sa mission et ses artisans, le nouveau site met l’accent sur l’expertise gouvernementale en géomatique. Il vise ainsi à mieux faire connaître les principaux projets entrepris dans ce domaine au gouvernement du Québec. En primeur, des fiches techniques qui résument l’expertise gouvernementale en matière de géomatique. Ces fiches décrivent de façon succincte et uniformisée les outils indispensables de gestion du territoire et des ressources du Québec que sont les différents systèmes d’information géographique (SIG) gouvernementaux. Plusieurs fiches sont déjà en ligne et d’autres s’ajouteront d’ici le 30 septembre prochain. Après cette date, le site sera enrichi au fur et à mesure de l’arrivée de nouveaux projets. En plus d’informer la clientèle, ce précieux outil permettra aux organismes gouvernementaux de faire valoir leur savoir- faire dans le domaine de la géomatique. Plus adapté aux besoins des usagers et plus convivial, le nouveau site du PGGQ tient compte des orientations gouvernementales en matière de visibilité établies par le récent Programme d’identification visuelle (PIV) gouvernemental. En effet, par souci d’harmonisation de la présentation visuelle et pour permettre aux citoyens de s’y retrouver d’un ministère à l’autre, les sites ministériels partagent désormais un certain nombre de paramètres. Pour les mêmes raisons, le GÉOinfo portera, à l’avenir, la bannière du nouveau site. La réalisation des travaux a été rendue possible grâce à la participation des membres du comité des communications et du personnel du PGGQ, au soutien constant de l’équipe projet Internet du ministère des Ressources naturelles, à la collaboration des ministères et organismes, ainsi qu’au professionnalisme de Telus, la firme mandatée pour accomplir cette refonte. Je vous invite à demeurer à l’affût des développements qui ont cours en géomatique au gouvernement du Québec en visitant le nouveau site du PGGQ, à l’adresse suivante : www.pggq.gouv.qc.ca Marie-Josée Gallien Chargée de projet

JUILLET - AOÛT 2002 Un nouveau site Internet …Pour les mêmes raisons, le GÉOinfo portera, à l’avenir, la bannière du nouveau site. La réalisation des travaux a été rendue

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GÉOINFOhttp://www.pggq.gouv.qc.ca/geoinfo

JUILLET - AOÛT 2002

1

Comité de rédactionMarie-Josée Gallien (Rédactrice en chef),

Geneviève-Ilou Boucher, Luc Gravel, Pierre Lessard,Isabelle Ouellet, Chantal Seuthé

Révision linguistiqueKaren Dorion-Coupal

TraductionGarriss et Vachon inc.

Édition électroniqueProspection Inc.

Un nouveau site Internetpour le PGGQL’expertise gouvernementale à l’honneur

En juin dernier, le Plan géomatique du gouvernement du

Québec (PGGQ) mettait en ligne son nouveau site Internet,

entièrement revu dans sa forme et son contenu. En plus

de tracer le portrait du PGGQ en présentant sa structure

organisationnelle, sa mission et ses artisans, le nouveau

site met l’accent sur l’expertise gouvernementale en

géomatique. Il vise ainsi à mieux faire connaître les

principaux projets entrepris dans ce domaine au

gouvernement du Québec.

En primeur, des fiches techniques qui résument l’expertise

gouvernementale en matière de géomatique. Ces fiches

décrivent de façon succincte et uniformisée les outils

indispensables de gestion du territoire et des ressources

du Québec que sont les différents systèmes d’information

géographique (SIG) gouvernementaux. Plusieurs fiches

sont déjà en ligne et d’autres s’ajouteront d’ici le

30 septembre prochain. Après cette date, le site sera enrichi

au fur et à mesure de l’arrivée de nouveaux projets. En

plus d’informer la clientèle, ce précieux outil permettra aux

organismes gouvernementaux de faire valoir leur savoir-

faire dans le domaine de la géomatique.

Plus adapté aux besoins des usagers et plus convivial, le

nouveau site du PGGQ tient compte des orientations

gouvernementales en matière de visibilité établies par le

récent Programme d’identification visuelle (PIV)

gouvernemental. En effet, par souci d’harmonisation de la

présentation visuelle et pour permettre aux citoyens de s’y

retrouver d’un ministère à l’autre, les sites ministériels

partagent désormais un certain nombre de paramètres.

Pour les mêmes raisons, le GÉOinfo portera, à l’avenir, la

bannière du nouveau site.

La réalisation des travaux a été rendue possible grâce à la

participation des membres du comité des communications

et du personnel du PGGQ, au soutien constant de l’équipe

projet Internet du ministère des Ressources naturelles, à

la collaboration des ministères et organismes, ainsi qu’au

professionnalisme de Telus, la firme mandatée pour

accomplir cette refonte.

Je vous invite à demeurer à l’affût des développements

qui ont cours en géomatique au gouvernement du Québec

en visitant le nouveau site du PGGQ, à l’adresse

suivante : www.pggq.gouv.qc.ca

Marie-Josée Gallien

Chargée de projet

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4e Conférence annuelle du Réseau GEOIDE!Une occasion de tisser des liens

Du 22 au 24 mai dernier, Toronto a été le théâtre de la 4e Conférence annuelle du Réseau

GEOIDE. Plus de 150 participants en provenance du Canada, d’Europe et même d’Australie ont

répondu à l’invitation. Des représentants québécois des milieux de la recherche, de l’industrie et du gouvernement étaient

du nombre. En plus de tisser des liens entre les participants, l’événement a permis d’apprécier les réalisations des équipes

responsables de la première phase des travaux et de présenter les orientations des projets entrepris au cours de la deuxième.

Présentations de projets, conférences, séances d’affichage, périodes de questions, réunions de groupe, démonstrations et

expositions… la diversité des activités a favorisé les échanges et facilité la diffusion de l’information.

Ainsi, les résultats de 25 des 27 projets financés dans la première phase ont été présentés. Les participants ont constaté la

richesse des travaux effectués par chaque équipe. Les chercheurs de la phase II ont aussi été mis à l’honneur grâce à une

séance d’affichage particulièrement animée.

M. Martin Lee-Gosselin, Ph. D., du Centre de recherche enaménagement et développement de l’Université Laval, devantl’affiche du projet de la phase II « Un système GPS-SIG intégrépour la collecte d’information spatio-temporelle concernant ledéplacement en milieu urbain », projet dans lequel le ministèredes Transports du Québec est très engagé.

Mme Jacynthe Pouliot, Ph. D., du Département des sciencesgéomatiques de l’Université Laval. Mme Pouliot participe auxprojets « La modélisation à base de perception pour lagéomatique des affaires » et « Applications géomatiquesadaptées pour l’exploration des ressources et des risquesnaturels », tous deux de la phase II.

Des conférenciers invités ont partagé leur savoir en matière de propriété intellectuelle et de transfert de technologie. Mme

Brigide Mattar et M. Matthew Zischka, conseillers en acquisition et en exploitation des droits de propriété intellectuelle chez

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Dans l’ordre habituelle, M. Philip A. Lapp, président du conseild’administration du réseau, M. Marc Garneau, directeur del’Agence spatiale canadienne, M. Geoffrey Edwards, directeurscientifique du réseau et M. Keith P.B. Thomson, directeurgénéral du Réseau GEOIDE.

Mmes Sonia Talwar et Shannon Denny, responsables de laprésentation intitulée « Utilisation de la Bibliothèquegéospatiale de l’île Bowen pour l’étude du cas de lacommunauté du bassin Georgia ».

Au cours de la cérémonie de clôture, M. Geoffrey Edwards,

directeur scientifique du Réseau GEOIDE, a annoncé

officiellement la tenue de la 5e Conférence annuelle.

L’événement aura lieu du 21 au 23 mai 2003 à l’hôtel Laurel

Point Inn, à Victoria, en Colombie-Britannique

(http://www.laurelpoint.com).

Fetherstonaugh, Smart & Biggar, ont exposé les bénéfices

de la propriété intellectuelle des logiciels, méthodes et

algorithmes élaborés au cours de travaux de recherche.

De même, M. Peter Woodgate, directeur général de

Geospatial Science Initiative, une entreprise de la Royal

Melbourne Institute of Technology, en Australie, a fait part

de ses expériences en matière de développement et de

commercialisation de la propriété intellectuelle en milieu

universitaire.

Une fois de plus cette année, l’activité de démonstration a

connu un vif succès. Six présentateurs ont explicité les

applications découlant de leur projet de recherche. Parmi

les présentations, notons celle de l’équipe du professeur

Chuang Tao, du Département de génie des sciences de la

terre et de l’espace de York University, intitulée

« GeoServNet: A New Generation for Innovative 2D/3D

Web-based Mapping ». L’assistance a pu se familiariser

avec ce système, qui permet de visualiser, de manipuler,

d’intégrer et d’analyser des données 2D et 3D au moyen

des fureteurs Internet les plus communs. Des applications

concrètes ont en outre été évoquées, dont un projet de

construction de ligne de transport d’énergie réalisé par

l’entreprise privée.

Personnalité attendue, M. Marc Garneau, président de

l’Agence spatiale canadienne et vétéran de trois missions

spatiales, a été le conférencier d’honneur au dîner du

vendredi 24 mai. Les avantages et l’importance du

réseautage ont été les éléments prépondérants de son

discours.

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Vers de nouveaux outils d’analyse pour les professionnels de la santé

Vous trouverez dans les prochains numéros du bulletin GÉOinfo lesrésultats de quelques projets de recherche engageant desintervenants des milieux industriel, gouvernemental ou universitairequébécois. Ces projets faisaient partie de la première phase destravaux du réseau GEOIDE.

Les professionnels du domaine de la santé

environnementale s’intéressent aux diverses composantes

de l’environnement telles que l’eau, l’air et le sol ainsi qu’aux

maladies qui ont possiblement à leur origine

une composante environnementale

(ex. : les maladies de l’appareil respiratoire).

Aussi, des chercheurs de différents milieux

ont uni leurs forces pour fournir aux

intervenants du domaine un outil d’analyse

spatiale ayant pour but d’améliorer la prise

de décision et l’intervention. Leurs travaux

s’inscrivent dans un des volets du projet

ICEM-SE de la première phase des activités

de recherche du réseau GEOIDE

(1998-2002).

Le nouvel outil mis au point par les

chercheurs permet d’exploiter les données

relatives à la santé environnementale d’une

manière simple et rapide au moyen d’une

interface cartographique. Il facilite ainsi la

surveillance en fournissant un accès à des données de

grande qualité et en faisant évoluer les connaissances par

l’élaboration de nouvelles hypothèses de recherche.

Basé sur une technologie SOLAP (Spatial On-line Analytical

Processing ), l’outil en question ne demande aucune

connaissance des langages d’interrogation tel le SQL

(Structured Query Language). Il comporte une interface

de type hyperlien, c’est-à-dire que l’usager peut accéder,

par simple clic de souris, à l’information désirée. Il permet

en outre de créer, selon les règles de l’art, divers produits

L’outil SOLAP permet d’analyser intuitivement et rapidementdes données relatives à la santé environnementale.

Grâce à l’outil SOLAP, les intervenants du domaine de la

santé environnementale peuvent répondre rapidement à

des questions comme celles-ci : « Quel a été, chez les

hommes, le nombre de décès liés au cancer de l’appareil

respiratoire dans chaque région sociosanitaire en

1999? », ou « Quelles sont les concentrations de polluants

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La facilité d’utilisation et la souplesse du système SOLAP sont deux caractéristiques importantes qui, combinées avec la

rapidité de réponse, surpassent largement la capacité offerte jusqu’ici par les systèmes d’information géographique. Il en

résulte des possibilités inédites d’exploration des données géospatiales, à la faveur de nouvelles connaissances

géographiques en santé environnementale.

Les technologies géomatiques développées dans le cadre de ce projet sont également bénéfiques à la santé publique ainsi

qu’à d’autres domaines et clientèles (foresterie, transports, sécurité publique et défense). Une déclaration d’invention a été

déposée à GEOIDE en août 2001.

En plus d’avoir donné lieu à l’outil SOLAP, le projet ICEM-SE a permis la création d’un outil d’indexation et de recherche

documentaire utilisable également dans un portail Web développé par le Ministère de la Santé et des Services sociaux du

Québec (MSSS) et offrant un guichet unique pour accéder à des renseignements clés en santé environnementale. Ce

projet a ainsi contribué à l’amélioration de la surveillance en fournissant un accès rapide à des données de haute qualité qui

facilitent la prise de décision et l’intervention.

Responsables de la conception et du développement de SOLAP :Dr Pierre Gosselin (Centre hospitalier universitaire de Québec)Dr Yvan Bédard (Centre de recherche en géomatique, Université Laval)Dr Bernard Moulin (Centre de recherche en géomatique, Université Laval)

Organismes concernés :Direction de la santé publique, Centre hospitalier universitaire de QuébecInstitut national de santé publique du QuébecPlan géomatique gouvernemental du Québec (PGGQ)Société de gestion informatique (SOGIQUE)Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec (MSSS)Les Conseillers Khéops Technologies

Renseignements :

Yvan Bédard, Ph.D.Centre de Recherche en Géomatique (CRG)Université LavalTél. : (418) 656-2131, poste 3694Téléc. : (418) [email protected]

cancérigènes dans cette région? » Cette démarche permet d’infirmer ou de confirmer rapidement certaines hypothèses

explicatives et d’orienter adéquatement les recherches ultérieures.

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GOLFÉOMATIQUE :3 500 $ de bourses pour des étudiants de géomatiqueEn juin dernier, quelque 116 personnes de la communauté géomatique ont accepté l’invitation du Centre de développement

de la géomatique à participer à la 4e édition du tournoi Golféomatique. La participation de représentants de l’industrie de la

géomatique, des secteurs public et municipal et un groupe du milieu de l’enseignement et de la recherche aura permis aux

organisateurs du tournoi d’amasser les fonds nécessaires pour l’attribution de bourses. Le ministère des Ressources

naturelles a contribué à l’opération en décernant une bourse de 1 000 $ à un finissant à la maîtrise.

À l’instar des années précédentes, cinq bourses « Relève » ont été remises à autant d’étudiants qui se sont démarqués par

leur profil scolaire et personnel.

Au collégial, les récipiendaires étaient Alain Chouinard et Mélissa Raymond, inscrits au programme de technologie de la

géomatique au Collège de Limoilou. Ils ont reçu chacun 500 $.

Les membres du comité organisateur en compagnie de l’undes récipiendaires. Dans l’ordre habituel, nous retrouvons MM.Claude Levasseur, de ViaSat géotechnologies, le boursier AlainChouinard, du Collège de Limoilou, Marc Gervais, étudiant audoctorat à l’Université Laval, Luc Gravel, secrétaire duPlan géomatique du gouvernement du Québec, et MmeJacynthe Pouliot, directrice du centre de recherches engéomatique de Université Laval. Absents de la photo : LouisBhérer, membre du comité organisateur, ainsi que la boursièreMélissa Raymond.

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Mme Louise Ouellet, sous-ministre associée au Territoire, remetau nom du ministre des Ressources naturelles la boursed’excellence de 1 000 $ à M. François Vachon, étudiant à lamaîtrise à l’Université de Sherbrooke.

À l’université (baccalauréat), les récipiendaires étaient

Nathalie Malenfant et Frédéric Messier, inscrits au

programme de géomatique à l’Université Laval. Ils ont reçu

chacun 750 $.

Enfin, une bourse de maîtrise d’un montant de 1 000 $ a

été décernée par le ministère des Ressources naturelles à

M. François Vachon, étudiant au Centre d’applications et

de recherches en télédétection (CARTEL) de l’Université

de Sherbrooke.

Félicitations aux heureux récipiendaires qui viendront

assurer la relève en géomatique.

M. Bruno Duchesne, directeur général du Centre dedéveloppement de la géomatique, qui remet la boursed’excellence de niveau baccalauréat à Mme NathalieMalenfant, étudiante à l’Université Laval. Absent de la photo :le boursier Frédéric Messier.

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La télédétection, pour localiser les cultures de cannabis

À l’été 2001, la Direction des services d’enquêtes criminelles et la Division de la

géomatique de la Sûreté du Québec ont mis sur pied un projet pilote visant à

évaluer l’utilité de la télédétection pour localiser des cultures de cannabis dans

les champs de maïs. Ce projet s’inscrit dans le cadre du programme Cisaille,

dont l’objectif est de lutter contre l’expansion du cannabis sur le territoire

québécois. En effet, la possibilité de localiser précisément les champs suspects

sur une carte aide grandement les policiers dans leurs opérations de saisie. Une

heure de vol à bord d’un bimoteur équipé d’une caméra numérique a permis

d’obtenir les données nécessaires à l’analyse.

Des images ont été acquises le 3 août 2001, à des altitudes de vol de 1 830 m et 3 660 m, selon des résolutions spatiales

de 50 cm et 100 cm. Les territoires couverts par image avaient une superficie respective de 696 m x 520 m et

1 392 m x 1 040 m. La caméra numérique recueillait des données dans les trois bandes spectrales suivantes :

bande 3, 0,80 µm ± 0,04 µm, correspondant au proche infrarouge;

bande 2, 0,65 µm ± 0,04 µm, correspondant au rouge;

bande 1, 0,55 µm ± 0,04 µm, correspondant au vert.

L’analyse des images consistait à repérer visuellement des trouées suspectes dans les champs de maïs susceptibles de

dissimuler des plants de cannabis. À partir des renseignements fournis par les images de 50 cm de résolution, l’équipe

responsable du projet a procédé à des vérifications sur le terrain qui ont effectivement confirmé la présence de plants de

cannabis. C’est donc la distribution spatiale des trouées qui a mené à la localisation de champs suspects, et non la signature

spectrale des plants de cannabis. L’évaluation des images acquises à une résolution spatiale de 100 cm n’a pas donné de

résultats satisfaisants. La définition semblait insuffisante pour identifier clairement des plants de cannabis.

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La qualité des résultats obtenus permet de croire que

l’utilisation des méthodes de télédétection pour localiser

des plants de cannabis pourrait accroître l’efficacité et la

rentabilité des programmes de saisie. La Sûreté du Québec

a, par conséquent, décidé de renouveler l’expérience à l’été

2002, et ce, sur un plus vaste territoire. L’utilisation d’un

nouveau modèle de caméra permettra :

d’obtenir des images de 50 cm de résolution

spatiale en volant à plus basse altitude (à 915 m

plutôt qu’à 1 830 m), ce qui diminuera la distorsion;

d’augmenter le nombre de journées favorables à

l’acquisition d’images puisque les couches de

nuages situées au-dessus de 915 m n’affectent

pas les prises de vues;

de couvrir un plus vaste territoire par image grâce

à une lentille améliorée, ce qui diminuera le nombre

d’heures de vol.

De plus, contrairement à 2001 où les images devaient être

géoréférencées manuellement, les images de 2002 seront

positionnées automatiquement. L’équipe utilisera un

système de traitement d’images et un système de

navigation lié à un GPS, qui attribuera à chaque image ses

coordonnées centrales, l’altitude de l’avion ainsi que

l’orientation de la ligne de vol lors de l’acquisition. Bien

qu’elle soit moins précise qu’un système avec une plate-

forme inertielle, cette technique requiert des équipements

moins coûteux tout en procurant un positionnement

satisfaisant. L’analyse des images sera effectuée à l’aide

d’un système de traitement d’images qui permettra d’évaluer

leurs aspects spatiaux et spectraux.

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Les données seront ensuite intégrées dans un système d’information géographique (SIG) qui permettra de superposer aux

images des renseignements complémentaires, telle la cartographie de base. Les résultats seront finalement transmis aux

policiers sous forme de cartes. Les perquisitions sur le terrain s’effectueront à l’aide de GPS pour permettre aux policiers de

se rendre directement aux plants de cannabis dissimulés à l’intérieur des champs de maïs, ce qui éliminera d’importantes

pertes de temps. Le programme d’acquisition d’images de 2002 sera étalé sur plusieurs semaines, afin de déterminer le

moment opportun pour localiser les plants de cannabis, en fonction de leur stade de croissance. Finalement, l’équipe

évaluera la possibilité de détecter la présence de plants de cannabis dans les forêts. Elle prévoit à cet égard des difficultés

accrues en raison d’un environnement plus diversifié qu’en milieu agricole.

Renseignements :

Denis BélangerChef de la division de la géomatiqueSûreté du QuébecTél. : (514) 598-4467

Site Internet : http://www.suretequebec.gouv.qc.ca

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La télédétection, au service del’estimation du déboisement en zone agricole

par Charles Savoie

La forêt contribue à l’équilibre écologique des régions, au

maintien des habitats fauniques et au contrôle de l’érosion

éolienne en zone agricole, de même qu’elle permet la

pratique de diverses activités récréatives. Pour ces raisons,

le déboisement pratiqué en milieu agricole préoccupe de

nombreux intervenants. Jusqu’à récemment, il y avait peu

d’information sur l’ampleur du phénomène. Afin d’évaluer

ce dernier, le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et

de l’Alimentation (MAPAQ) a réalisé, en 2001, une étude

dans trois régions agricoles du Québec, soit Chaudière-

Appalaches, le Centre-du-Québec et la Montérégie.

Pourquoi déboiser en zone agricole?

Différents facteurs motivent les producteurs à augmenter

leurs surfaces de production. Certains ont un besoin accru

de surfaces d’épandage depuis le resserrement de la

réglementation environnementale ou tout simplement parce

qu’ils accroissent leurs activités d’agriculture ou d’élevage.

Par ailleurs, le prix élevé du maïs-grain et des terres rend

le déboisement avantageux par rapport à l’achat de terres

cultivables. Enfin, la tempête de verglas qui a fortement

endommagé certains boisés et érablières de la Montérégie

et du Centre-du-Québec n’est pas étrangère au

déboisement de ces deux régions.

Une méthode simple et efficace

Pour réaliser son étude, le MAPAQ a utilisé une méthode

relativement simple mais qui s’est avérée rapide et efficace.

Il s’agissait de superposer des images LANDSAT-ETM

prises en 1999 et 2000 à la carte de référence du Québec

(BDTQ) produite à l’échelle 1/20 000 entre 1988 et 1995,

selon les secteurs. Les images-satellite, de 30 m de

résolution, ont été accentuées afin de bien distinguer le

territoire agricole du territoire forestier et de pouvoir en

extraire la classe forestière par classification semi-

automatique, ou analyse thématique. Pour ce faire,

l’utilisateur sélectionnait des pixels associés à la classe

forestière et modifiait son choix à mesure que le logiciel

classifiait l’image selon l’échantillon retenu.

L’image-satellite fournit un portrait récent du territoire alors

que la carte de référence dépeint la situation d’il y a une

dizaine d’années. L’inventaire des surfaces déboisées a

donc été effectué en retranchant les superficies de classe

forestière fournies par l’image-satellite des superficies

boisées de la carte de base. L’inverse a été fait pour dresser

l’inventaire des surfaces reboisées. Les résultats obtenus

ont été filtrés afin d’éliminer les zones dont les superficies

étaient inférieures à 2 ha; ces éléments étaient en effet

trop peu significatifs pour être intégrés à une étude

régionale. Des calculs statistiques ont finalement été

effectués à l’intérieur et à l’extérieur des limites de zonage

agricole établies par la Commission de protection du

territoire agricole du Québec (CPTAQ), de même que pour

l’ensemble du territoire, selon trois découpages : les

municipalités, les MRC et les régions.

Des résultats intéressants

Les résultats obtenus ont été compilés pour chaque région

(voir tableaux I à III). Leur analyse révèle que la région de

Chaudière-Appalaches est celle qui a subi les plus grandes

pertes de superficies boisées, tant à l’intérieur qu’à

l’extérieur de son territoire agricole, soit 9 117 ha et 8 902

ha respectivement. En Montérégie et au Centre-du-Québec,

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c’est au contraire le territoire agricole qui a été le plus déboisé. Les pertes y sont de 5 771 ha pour l’extérieur du territoire

agricole et 6 678 ha pour l’intérieur, ce qui représente 0,60 % de la superficie totale de ces régions.

Inventaire des superficies déboisées et reboisées entre 1992 et 1999 en Montérégie.

Les limites de la méthode employée tiennent à l’évaluation des surfaces reboisées. Avec le type d’image-satellite utilisé, il

est souvent difficile, voire impossible, de distinguer une friche arbustive d’une zone de régénération forestière, d’où une

sous-évaluation du reboisement comptabilisé dans les tableaux I à III. En effet, des données du ministère des Ressources

naturelles révèlent que le reboisement des terres privées réalisé en Chaudière-Appalaches et dans la région Centre-du-

Québec représente plus de dix fois les superficies estimées par télédétection, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du

zonage agricole.

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Tableau II : Estimation des pertes de territoire boisé entre 1988-1995 et 1999-2000 àl’intérieur et à l’extérieur du territoire agricole, dans l’ensemble de la régionCentre-du-Québec

*Source : Rapport annuel de la CPTAQ, 2000-2001.

*Source : Rapport annuel de la CPTAQ, 2000-2001.

Tableau I : Estimation des pertes de territoire boisé entre 1991-1995 et 1999 àl’intérieur et à l’extérieur du territoire agricole, dans l’ensemble de la régionChaudière-Appalaches

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La télédétection, une méthode qui permet d’établir des tendances

L’utilisation combinée de la télédétection et de la carte de référence est une méthode appropriée à l’analyse temporelle et

spatiale des changements d’utilisation du sol, en particulier en ce qui a trait au déboisement. L’image-satellite fournit une

information globale et actuelle du territoire. Cependant, la résolution des images et des cartes de référence demeure

grossière; les résultats sont davantage des appréciations qui permettent d’établir des tendances. La méthode comprend

également une part d’interprétation pour contourner les inévitables erreurs de classification des logiciels. D’autres sources

de données telles que les cartes écoforestières pourraient être utilisées afin d’augmenter la finesse de l’analyse jusqu’à

connaître la répartition de la pression de déboisement sur les différents types de peuplements forestiers.

Malgré ces limites, le MAPAQ considère que des images-satellite récentes constituent un bon outil pour mesurer l’évolution

des superficies boisées et agricoles. Il aurait de nouveau recours à cette méthode si des études similaires devaient être

faites dans d’autres régions du Québec.

Renseignements :

Charles SavoieMinistère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’AlimentationDirection de l’environnement et du développement durableTél. : (418) 380-2150, poste 3174Courriel : [email protected]

Tableau III : Estimation des pertes de territoire boisé entre 1991-1995 et 1999 àl’intérieur et à l’extérieur du territoire agricole, dans l’ensemble de laMontérégie

*Source : Rapport annuel de la CPTAQ, 2000-2001.

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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtMap Asia 2002Organisation : Centre for Spatial DatabaseManagement and Solutions et Asian Institute ofTechnologyDate : 7-9 août 2002Lieu : Hôtel Shangri-La, Bangkok, ThaïlandeCourriel : [email protected] Internet : http://www.mapasia.org/

« Pattern Recognition for Mankind and theEnvironment »16th International Conference on Pattern RecognitionOrganisation : International Association for PatternRecognition et Canadian Image Processing and PatternRecognition SocietyDate : Du 11 au 15 août 2002Lieu : Palais des Congrès, Québec (Québec), CanadaTél. : (418) 656-2979Site Internet : http://icpr2002.gel.ulaval.ca

« Integrated System for Spatial Data Production,Custodian and Decision Support »ISPRS Technical Commission II SymposiumOrganisation : ISPRS (International Society forPhotogrammetry and Remote Sensing)Date : Du 20 au 23 août 2002Lieu : Xi’an, P.R. ChinaCourriel : [email protected] Internet : http://isprs2.nsdi.gov.cn/xian/Xian1_index.htm

17e Congrès international d’informatiqueOrganisation : International Federal for InformationProcessing (IFIP), Canadian Information ProcessingSociety (CIPS), Fédération informatique du Québec(FIQ)Date : Du 25 au 30 août 2002Lieu : Palais des congrès, Montréal (Québec), CanadaTél. : (514) 840-1240Courriel : [email protected] Internet : http://local.cips.ca/info2002/

CARIS 2002, Revolutionizing GeomaticsOrganisation : CarisDate : Du 3 au 6 septembre 2002Lieu : Norfolk Waterside Marriott Hotel, Norfolk (Virgnie), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.caris.com/caris2002/

The Open Source GIS - GRASS Users ConferenceOrganisation : Department of Civil and EnvironmentalEngineering, University of TrentoDate : Du 11 au 13 septembre 2002Lieu : Université de Trente, Trente, ItalieCourriel : [email protected] Internet : http://www.ing.unitn.it/~grass

Xo Congreso de Métodos Cuantitativos, Sistemas deInformación Geográfica y TeledetecciónOrganisation : Département de Géographie, Universitéde ValladolidDate : 17-20 septembre 2002Lieu : Valladolid, EspagneCourriel : [email protected] Internet : http://www.fyl.uva.es/~wgeogra/Xcongreso/index.htm

International Symposium on Geographic InformationSystemsOrganisation : Fédération internationale des géomètres(FIG) et Istanbul Technical University (ITU)Date : Du 23 au 26 septembre 2002Lieu : Istanbul (Turquie)Courriel : [email protected] Internet : http://www.gis2002.hkmo.org.tr

Remote Sensing 2002Organisation : SPIE, International Society for OpticalEngineeringDate : Du 23 au 27 septembre 2002Lieu : Capsis Sofitel Conference Center, Agia Pelagia(Crète), GrèceCourriel : [email protected] Internet : http://spie.org/conferences/calls/02/rs/

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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêt

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ION GPS 2002Organisation : The Institute of NavigationDate : Du 24 au 27 septembre 2002Lieu : The Oregon Convention Centre, Portland(Oregon), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.ion.org/meetings

gps2002_exhibitor.html

GIScience 2002Second International Conference on GeographicInformation ScienceOrganisation : The Institute of NavigationDate : Du 25 au 28 septembre 2002Lieu : Millenium Hotel, Boulder (Colorado), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.giscience.org/

« La géomatique et les mesures d’urgence »Colloque AGMQ de l’automne 2002Organisation : Association de géomatique municipaledu Québec (AGMQ)Date : Le 8 octobre 2002Lieu : Hôtel des Seigneurs, Saint-Hyacinthe (Québec),CanadaTél. : (514) 282-3819Courriel : [email protected] Internet : http://www.agmq-quebec.com/colloque/

GIS in the RockiesOrganisation : GITA, ASCM, ASPRS, URISA, PLSCDate : Du 8 au 10 octobre 2002Lieu : Plaza at the Mart, Denver (Colorado), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.gisintherockies.org/

World Space Congress - 2002 : The New Face ofSpaceOrganisation : The American Institute of Aeronauticsand Astronautics (AIAA), the National Academy ofSciences (NAS)Date : Du 10 au 19 octobre 2002Lieu : George R. Brown Convention Center, Houston(Texas), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.aiaa.org/wsc2002

« La géoinformation pour le développement durableen Afrique »Quatrième Conférence Internationale de l’AATEOrganisation : Association africaine de télédétection del’environnement (AATE)Date : 14-18 octobre 2002Lieu : Abuja, NigeriaCourriel : [email protected] Internet : http://www.aarse.org/

Intergeo 2002 Conference and Trade Fair forGeodesy, Photogrammetry and CartographyOrganisation : Associations allemandes d’arpentage(DVW), de photogrammétrie et télédétection (DGPF)etde cartographie (DGFK)Date : Du 16 au 18 octobre 2002Lieu : Frankfurt am Main, AllemagneTél. : 49 (30) 86 42 45 39Site Internet : http://www.intergeo.de

URISA 2002 Annual ConferenceOrganisation : Urban and Regional Information SystemsAssociationDate : Du 26 au 30 octobre 2002Lieu : Hyatt Regency Chicago on the Riverwalk, Chicago(Illinois), É.-U.Site Internet : http://www.urisa.org/annual.htm

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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtGéomatique 2002 : Partout, pour tousOrganisation : Association canadienne des sciencesgéomatiques, section de Montréal (ACSG)Date : 30-31 octobre 2002Lieu : Palais des congrès de MontréalTél. : (514) 495-0327Courriel : [email protected] Internet : http://www.geomatique2002.com/

The 15th William T. Pecora Memorial Remote SensingSymposium/Land Satellite Information IV Conferenceand the ISPRS Commission I SymposiumOrganisation : American Society for Photogrammetry &Remote SensingDate : Du 8 au 15 novembre 2002Lieu : Denver (Colorado), É.-U.Courriel : [email protected] Internet : http://www.asprs.org/Pecora-ISPRS-2002/index.html

« Opportunités d’innovation pour le Canada dans lesecteur spatial »ASTRO 2002 - 12e Conférence de l’IASC surl’astronautiqueOrganisation : Institut aéronautique et spatial duCanada (IASC)Date : Du 12 au 14 novembre 2002Lieu : Hôtel Crowne Plaza, Ottawa (Ontario), CanadaCourriel : [email protected] Internet : http://www.caisu.ca/conference/2002/ASTRO2002_fr.PDF

MapWorld User ConferenceOrganisation : MapInfoDate : 17-20 novembre 2002Lieu : Paradise Point Resort, San Diego (Californie), É.-U.Tél. : (518) 285-7500Courriel : [email protected] Internet : http://www.mapinfo.com/company/events/conferences/mapworld_2002/

AGU 2002 FALL MEETINGOrganisation : American Geophysical Union (AGU)Date : Du 6 au 10 décembre 2002Lieu : Moscone Center, San Francisco (California), É.-U.Tél. : 1 800 966-2481Courriel : [email protected] Internet : http://www.agu.org/meetings/fm02top.html

2003Colloque sur la géomatique agricoleOrganisation : Commission géomatique agricole duCentre de référence en agriculture et agroalimentationdu QuébecDate : 11-12 février 2003Lieu : Auberge des Seigneurs, Saint-Hyacinthe(Québec), CanadaRenseignements : Serge DutilTél. : (418) 646-5770

Cartografía, Telemática y Navegación« 5ª Edición de la Semana Geomática »Date : 11-14 février 2003Lieu : Palacio de Congresos de Fira Barcelona,EspagneCourriel : [email protected] Internet : http://setmanageomatica.ideg.es/

2003 GITA Annual Conference XXVIOrganisation : Geospatial Information and TechnologyAssociation (GITA)Date : Du 2 au 5 mars 2003Lieu : San Antonio Convention Center, San Antonio(Texas), É.-U.Tél. : (303) 337-0513Courriel : [email protected] Internet : http://www.gita.org/events/conferences/gita_annual/futconf.html

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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtThe 99th AAG Annual MeetingOrganisation : American Association of Geographers(AAG)Date : Du 4 au 8 mars 2003Lieu : Nouvelle-Orléans (Louisianne), É.-U.Tél. : (202) 234-1450Courriel : [email protected] Internet : http://www.aag.org

GIS 2003 : « A Spirit of Collaboration »The Global Conference and Exhibition on GeospatialTechnology, Tools and SolutionsOrganisation : ASPRS, ACSG, GITA, GIAC et URISADate : 16-19 mars 2003Lieu : Vancouver (Colombie-Britannique), CanadaTél. : (303) 544-0594Courriel : [email protected] Internet : http://www.geoplace.com/gt/

Integrating GIS & CAMA ConferenceOrganisation : URISA et International Association ofAssessing Officers (IAAO)Date : Du 30 mars au 2 avril 2003Lieu : Hyatt Regency, Columbus (Ohio, É.-U.)Courriel : [email protected] Internet : http://www.urisa.org/cama.htm

2003 ASPRS Annual ConferenceOrganisation : American Society for Photogrammetryand Remote Sensing (ASPRS)Date : Du 3 au 9 mai 2003Lieu : Anchorage (Alaska), États-UnisTél. : (301) 493-0290, poste 106Courriel : [email protected] Internet : http://www.asprs.org/alaska2003/index.html

FIG Working Week and XVI General AssemblyOrganisation : Fédération internationale des géomètresDate : Du 18 au 23 mai 2003Lieu : Eilat, IsraëlCourriel : [email protected] Internet : http://www.kenes.com/surveyors/

GeoSpatial World 2003Organisation : Intergraph CorporationDate : 19-21 mai 2003Lieu : Hyatt Regency, Nouvelle-Orléans (Louisiane), É.-U.Site Internet : http://www.intergraph.com/geospatialworld

« Partnership - Partenariat : A mari usque ad mare » /« Partenariat : D’un océan à l’autre »5e Conférence annuelle du Réseau GEOIDEOrganisation : Réseau GEOIDEDate : 21-23 mai 2003Lieu : Hôtel Laurel Point Inn, Victoria (Colombie-Britannique), CanadaRenseignements : Nathalie MichaudTél. : (418) 656-7758

ISU 14th World CongressOrganisation : International Stereoscopic UnionDate : Du 28 mai au 2 juin 2003Lieu : Besançon, FranceTél. : +1 (604) 254-6778Courriel : [email protected] Internet : http://www.stereoscopy.com/isu-2003/index.html

21st ICA International Cartographic CongressOrganisation : International Cartographic Association(ICA)Date : Du 10 au 16 août 2003Lieu : Durban, Afrique du SudTél. : 31 30 2531373Courriel : [email protected] Internet : http://www.icc2003.gov.za

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Événements d’intérêtÉvénements d’intérêtXIIe Congrès forestier mondialOrganisation : Food and Agriculture Organization of theUnited Nations (FAO)Date : Du 21 au 28 septembre 2003Lieu : Centre des congrès, Québec (Québec), CanadaTél. : (418) 694-2424Téléc. : (418) 694-9922Courriel : [email protected] Internet : http://www.cfm2003.org/

URISA 2003 Annual ConferenceOrganisation : Urban and Regional Information SystemsAssociationDate : Du 11 au 15 octobre 2003Lieu : Atlanta (Georgia), É.-U.Site Internet : http://www.urisa.org/annual.htm

2004The 100th AAG Annual MeetingOrganisation : American Association of Geographers(AAG)Date : Du 16 au 20 mars 2004Lieu : Philadelphie (Pennsylvanie), É.-U.Tél. : (202) 234-1450Courriel : [email protected] Internet : http://www.aag.org

2004 GITA Annual Conference XXVIIOrganisation : Geospatial Information and TechnologyAssociation (GITA)Date : Du 25 au 27 avril 2004Lieu : Washington State Convention & Trade Center,Seattle (Washington), É.-U.Tél. : (303) 337-0513Courriel : [email protected] Internet : http://www.gita.org/events/conferences/gita_annual/futconf.html

FIG Working Week and XXVII General AssemblyOrganisation : Fédération internationale des géomètresDate : Mai 2004Lieu : Athènes, GrèceSite Internet : http://www.ddl.org/figtree/events

events2004.htm

2004 AGU SPRING MEETINGOrganisation : American Geophysical Union (AGU)Date : Du 17 au 21 mai 2004Lieu : Palais des congrès, Montréal (Québec), CanadaTél. : (202) 462-6900Courriel : [email protected] Internet : http://www.agu.org/meetings

Geo-Imagery : Bridging ContinentsOrganisation : International Society for Photogrammetryand Remote SensingDate : Du 12 au 23 juillet 2004Lieu : Istanbul, TurquieCourriel : [email protected] Internet : http://www.isprs2004-istanbul.com/