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Juin 2010
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Journal de l’association des personnes Accidentées Cérébro Vasculaires,Aphasiques et Traumatisées Cranio-Cérébrales du Bas Saint-Laurent
La C.A. vous informe......................2
Sous le thème TCC.........................3
Sous le thème AVC.........................4
Coin santé.....................................5 Mot de l’équipe...............................5
Sous le thème Aphasie ..................6 Réflexions......................................8
Jeux............. ..............................10
Témoignages................................12 Coin culinaire ...............................17
Anniversaires................................18
.............................................A C V A - T C C D U B S L 4 1 8 - 7 2 3 - 2 3 4 5.....................................
Le Centre de Santé du Littoral
- Clinique Médicale du Phare
- Pharmacie Thériault Vallée et ass
- Clinique Physio-Ergo Sylvain Trudel
- Ortho-services
- Maréa Café
- Salle Vidéo-Conférence
822 Boulevard Sainte-Anne
R i m o u s k i
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L e C A. v o u s i n f o r m e
Bonjour
Lors de l’assemblée générale en juin dernier, je vous annonçais les exigences dans la nouvelle
entente avec la SAAQ concernant la subvention qui doit servir uniquement pour les TCC (
moyens et graves ) de la route. Le conseil d’administration devait donc envisager des
coupures de services pour ses autres membres. Une augmentation de notre financement de
l’Agence nous a permis de restreindre les coupures aux MRC des Basques et de Kamouraska.
Nous continuons de faire des représentations à l’Agence afin de remédier à cette situation.
En 2011, notre association fêtera ses 20 ans. Un comité sera formé pour célébrer cet
événement et vous serez sollicités pour y participer.
À l’assemblée générale, des postes seront à combler au CA. Depuis 2 ans, les membres du CA
signent un document sur la confidentialité et sur les règles de conduite. Un article de ce
document dit que les membres doivent partager la tâche : ce qui veut dire que chaque
personne doit être capable de prendre la responsabilité d’un dossier et de le mener à
bien si non la tâche devient trop lourde pour les autres. Il faut donc y penser sérieusement
lors du choix des personnes qui doivent vous représenter.
À bientôt
Nicole Pelletier, présidente
MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION :
NICOLE PELLETIER, PRÉSIDENTE, (RIMOUSKI-NEIGETE)
MARC-ANDRÉ GAUVIN, VICE-PRÉSIDENT, (TÉMISCOUATA)
DIANE CHOUINARD, SECRÉTAIRE-TRÉSORIÈRE, (RIMOUSKI-NEIGETTE)
GASTON CARON, ADMINISTRATEUR, (RIVIÈRE-DU-LOUP)
CHRISTIANE TURCOTTE, ADMINISTRATRICE, (MATANE)
PAULETTE VIGNOLA, ADMINISTRATRICE, (RIMOUSKI-NEIGETTE)
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Sous le thème TCC
Un article a été publié par M. Alexandre D’Astous dans le journal progrès-écho en avril 2007,
concernant un membre de l’association et de son progrès marqué suite à des cours de Karaté.
Voici l’article qui a paru dans le journal sous le titre :
Sylvain retrouve sa mobilité au Karaté
Malgré un pronostic sombre à la suite d’un accident de moto causant un traumatisme crânio-
cérébral en 2004 et un coma de sept semaines et nécessitant une réadaptation pendant un an, l’état
de santé de Sylvain D’Astous, de St-Fabien, progresse grâce au Karaté.
Avant son accident, Sylvain détenait une
ceinture noire 2e dan, ce qui exigeait une
bonne condition physique. Un point qui l’a
aidé dans sa réhabilitation. Il a repris la
pratique du Karaté depuis quelques mois.
« C’est une belle leçon de courage pour
tous mes élèves. Sylvain a tellement de
volonté qu’il réussit à faire mentir les pronostics concernant sa
réhabilitation et il assure qu’il réapprendra tous Katas. » mentionne
son professeur, Sylvain Lessard.
La sœur de Sylvain, Ghislaine D’Astous, est physiothérapeute et
ostéopathe à Montréal. Elle note les bienfaits du Karaté : « Cela lui
apporte un effet très marqué sur son physique en général qui se
traduit par une grande stabilité, tant immobile qu’en mouvement.
L’apprentissage des Katas, série de mouvements de Karaté qui sont
des gestes précis, justes et esthétiques, ainsi que leur vitesse
d’exécution, se traduisent par une grande habileté et agilité dans
tous les mouvements de la vie quotidienne. L’endurance acquise
lors des cours se reflète dans les tâches quotidiennes ».
Article publié par le journaliste M. Alexandre D’Astous dans le journal le
progrès-écho en avril 2007.
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SOUS LE THÈME A V C
Les victimes d’une attaque cérébrale récupèrent mieux… en jouant à
la Wii
Jouer à des jeux de réalité virtuelle sur une console Wii aide les victimes d’une
attaque à améliorer leur fonctions motrices, a révélé hier une petite étude présentée aux États-unis. « Il s’agit de la première étude clinique aléatoire
montrant que la réalité virtuelle utilisant la technologie ludique de la Wii est sans danger,
exploitable et potentiellement efficace pour améliorer les fonctions motrices après une attaque
cérébrale », a affirmé le principal auteur de l’étude, Gustavo Saposnik, en présentant ses travaux
devant L’American Stroke Association. L’étude a porté sur vingt personnes ayant subi un accident
vasculaire cérébral environ deux mois auparavant. De façon aléatoire, une partie d’entre elles ont été
assignées à jouer à deux jeux sur la console. Nintendo- Wii tennis et Wii
Cooking Mama » dans lequel le joueur simule des gestes comme couper une pomme de terre, éplucher un oignon ou râper du fromage. L’autre groupe
devait jouer aux cartes ou à un jeu baptisé Jenga, une sorte de « Badaboum », avec des blocs de
bois. Les deux groupes ont joué huit
heures pendant deux semaines, et « une amélioration significative des
fonctions motrices » a été constatée chez les joueurs de Wii, ont expliqué
les auteurs de l’étude. « En résumé, nous avons découvert
que les patients du groupe de la Wii ont obtenu de meilleures fonctions
motrices (…) se manifestant par une amélioration de la vitesse et de la
fermeté de la main », a déclaré M. Saposnik, chercheur à l’hôpital St-Michael de Toronto au Canada.
Source : Journal de Québec, 26 février 2010 Par : Constant Jean MRC : Rimouski
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C O I N S A N T É
Ne coupez pas vos pilules !
L’Ordre des pharmaciens du Québec met en garde le public contre le fait de
couper les médicaments en morceaux. Le recours à cette pratique pourrait, dans certaines situations, comporter des risques pour la santé. En effet,
plusieurs pilules ne peuvent tout simplement pas être divisées, telles que celles offertes sous forme de capsule, comme certains antidépresseurs.
D’autres médicaments peuvent, lorsqu’ils sont mis en morceaux, perdre de leur efficacité ou encore entraîner des effets secondaires. C’est le cas, par
exemple, des comprimés dont l’enrobage permet une libération prolongée, destinée à faire durer l’effet du médicament.
Source : 7 jours, 12 juin 2009 Par : Ghislaine Beaulieu MRC : Amqui
M O T D E L ’ É Q U I P E D E T R A V A I L
Nous voilà bientôt en juin. Qui dit juin, dit bientôt vacances. Oui, à l’association, nous prenons des vacances mais soyez rassurés, chers membres, nous allons continuer à offrir des activités, ainsi qu’une présence au bureau de Rimouski et de Rivière-du-Loup. Portez bien attention aux calendriers du juillet et août pour être informés des activités pendant la période estivale. Il y a eu du changement dans l’équipe de travail. Pour tous ceux et celles qui ne sont pas au courant, Cindy Labonté, intervenante sociale au point de service de Rivière-du-Loup nous a quittés le 7 mai dernier, pour occuper un autre emploi mais nous avons la chance d’accueillir Marie-Chantal Pelletier au sein de notre équipe de travail. Vous aurez probablement la chance de la rencontrer lors d’une activité régionale, si vous êtes présents. Alors bonne chance à vous deux. Parlant d’activité régionale, n’oubliez pas de vous inscrire aux Olympiades, qui se tiendront mardi, le 31 août prochain et en cas de pluie, elles seront remises au jeudi, 2 septembre 2010. Lisez bien votre invitation, que vous recevrez en juillet, elle contient d’importantes informations. Il serait important de mentionner que la semaine québécoise de l’Aphasie se tiendra du 30 mai au 5 juin 2010. Passez un bel été et n’oubliez pas, nous avons besoin de vous pour continuer à alimenter votre journal. Envoyez-nous des articles, des témoignages, des trouvailles inusitées et n’oubliez pas d’y inscrire la source.
Christine Lepage, intervenante sociale pour l’équipe de travail de l’ACVA-TCC du BSL
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S O U S L E T H È M E A P H A S I E
Quand le cerveau coupe la parole
Pour les victimes d’aphasie, parler, même en cherchant ses mots un par un, c’est une fantastique victoire…
"J’avais 18 ans. Je pelletais la neige en chantant – à cette époque-là, je chantais sans arrêt…Tout d’un coup, j’ai eu mal à la tête. Très mal. Je me suis appuyée sur la pelle. J’avais de plus en plus mal. Quand je me suis réveillée, à l’hôpital, j’avais tout perdu, musique et paroles. Et la parole tout court. Et la compréhension de la parole des autres…" Sylvie raconte son histoire tout doucement comme un grand malade qui refait ses premiers pas. Les mots viennent difficilement. Mais au moins, ils viennent. Après des mois de silence absolu et cinq longues années de rééducation. Elle raconte son histoire dans la langue hésitante des aphasiques en voie de guérison. Pour elle, parler, même en cherchant ses mots un par un, c’est déjà une fantastique victoire. Elle est heureuse. Elle n’a retrouvé aucune des chansons qu’elle aimait tant, c’est vrai. Mais elle vient d’avoir une fille. Elle l’a appelée Mélodie. Des histoires comme celle de Sylvie, on pourrait en raconter des milliers. Au Québec seulement, il y aurait 4000 nouveaux cas d’aphasie chaque année. Ces histoires seraient toujours uniques, tant les manifestations et la gravité de l’aphasie diffèrent d’une personne à une autre. Le héros ou l’héroïne serait souvent plus âgé. La récupération parfois moins rapide. Les séquelles éventuellement plus lourdes. Mais le scénario serait quand même toujours cousu du même fil : pas de problème de santé préalable, pas de signes annonciateurs du brutal accident cérébro-vasculaire – l’équivalent, pour le cerveau, de ce qu’est un infarctus pour le cœur. Et quand cet accident frappe l’hémisphère cérébral gauche (celui du langage chez la plupart d’entre nous), il y a trois chances sur quatre pour que le patient souffre, à un degré ou à un autre, d’aphasie. Au pire, c’est toute la fonction du langage qui est atteinte. La victime ne parle plus, ne comprend plus, et bien sûr ne peut ni lire ni écrire. Parfois, elle n’a même pas conscience du drame qu’elle vit : pendant quelques heures, quelques jours, quelques semaines, elle ne sait pas qu’elle est devenue aphasique. Toutes les communications sont coupées. Heureusement, cette aphasie "absolue" est rare. Ou elle ne dure pas longtemps (quoique pour les proches, quelques semaines dans cette situation valent une éternité) ; un traitement patient amène en effet le malade à prendre conscience de son état. La plupart du temps, seuls certains aspects du langage sont touchés. La parole est réduite, alors que la compréhension reste excellente. Ou c’est la compréhension qui déraille, alors que la parole demeure facile, abondante, parfois exubérante ; le malade remplace des mots par d’autres, ou inverse des lettres dans les mots, ou encore invente des mots, des expressions, des tournures de phrases parfaitement incompréhensibles. Quelquefois c’est la lecture qui est perturbée, ou l’écriture. Ou seulement certaines catégories de mots : tous les fruits s’appellent "Banane", tous les petits mots de liaison (et, ou, de, pour, par…) sont perdus. Michelyne Hubert est orthophoniste au centre de recherche de l’hôpital Côte-des-Neiges à Montréal, qui abrite le siège de l’Association québécoise des personnes aphasiques. À ses yeux, derrière l’incroyable diversité des aphasies, il y a toujours une même réalité : "un isolement soudain". L’aphasique ne comprend
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plus son monde, et inversement son monde ne le comprend plus. Isolement. Et, très vite, solitude. "Après mon accident cérébro-vasculaire, raconte un aphasique qui occupait auparavant des fonctions publiques, mes amis et mes connaissances m’ont apporté des fleurs pendant six mois, huit mois, un ans. Puis je n’ai plus vu personne, sauf ma nièce et les gens du centre de recherche. J’ai vécu ça comme un deuxième deuil, après le premier, celui de ne plus pouvoir communiquer normalement. Aujourd’hui, je dois me défendre contre ma tendance à me replier sur moi…" Quand, par contre, ils sortent de leur coquille de silence, les aphasiques se heurtent aux préjugés et rebuffades qu’on sert aux handicapés. On les traite en déficients intellectuels. On les soupçonne d’avoir bu, de se bourrer de médicaments. "On nous croit toujours sur les pilules ou avec un verre de trop", dit Fleur-Ange Panneton, la dynamique présidente de l’Association des personnes aphasiques. (Devenue complètement aphasique il y a 23 ans à la suite d’une anesthésie, elle a mis 14 ans pour recouvrer l’usage de la parole, à force d’efforts personnels incroyables.) L’orthophonie, par chance, sait maintenant aider les aphasiques et leur entourage à remonter la pente. Mais tout doucement, à coups de progrès minuscules, de petites victoires difficiles. "Ce qui est encourageant, note Michelyne Hubert, c’est que, même si les miracles sont hélas très rares, on obtient toujours un petit quelque chose en rééduquant." Mais les services spécialisés restent nettement insuffisants chez nous, note l’orthophoniste. Au-delà de la rééducation des victimes, au-delà du soutien aux familles, les études sur l’aphasie montrent aussi comment fonctionne notre cerveau. Ou en tout cas lèvent un petit coin du voile qui recouvre encore la prodigieuse machine neuronale. C’est dans l’hémisphère gauche, a-t-on dit, qu’est situé le centre du langage. Certaines de ses parties semblent même spécialisées dans une fonction langagière spécifique (la compréhension du langage oral, la production des phrases, l’écriture, etc.). "Mais on ne peut pas s’avancer beaucoup plus loin dans cette espèce de géographie du cerveau", souligne le directeur du centre de recherche de l’hôpital Côte-des-Neiges, le neurologue André-Roch Lecours. Source : revue L’ACTUALITÉ du 1er mai 1990 Fourni par : Sylvie Guay, membre de Rivière-du-loup à l’ACVA-TCC du BSL Je ne sais pas si l’histoire initiale de cet article vous a touché (l’histoire de Sylvie), pour ceux et celles qui se poseraient la question, il s’agit bel et bien d’un extrait de vie personnel de Mme Guay ; Témoignage raconté et écrit quelques années après son accident… Cindy Labonté, intervenante sociale
Pourquoi ne pas collaborer au Placoteux
par l’achat d’un espace comme celui-ci.
Un investissement rentable et
générateur de capital de sympathie.
Merci
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R É F L E X I O N
Je suis, je suis…
Depuis que le monde est monde, il y a des gens qui ne voient que leur naissance sur terre, leur
existence terrestre et leur mort. Mais c’est plus que ce que l’on peut voir ; c’est beau de voir l’au-
delà, le surplus, ce qui est là pourtant sans être vu. C’est plus spirituel, ça prend une foi immense
pourtant il y a des gens qui peuvent voir plus que l’essentiel, le temporel. La vie est beaucoup plus
belle de ce que l’être humain se contente de voir. Il ne se permet pas beaucoup, il se contente de
peu, oui si peu. Mais si vous vous donneriez la peine d’ouvrir vraiment votre esprit, votre être,
votre âme…La vie sur terre est si peu de chose avec nos yeux humain mais ce que l’on est
vraiment est plus que ce que l’on peut souhaiter,désirer et espérer. Ouvrir son cœur à l’impossible,
c’est possible. J’ai appris cela car je me le suis permis, je me le suis approprié et je l’ai désiré. Je
l’ai voulu et oui merci je l’ai eu ce bonheur de toute cette création, cet univers, cette joie, cet
ineffable tendresse qui est l’amour plus pur que nous même qui sommes si peu pour beaucoup.
Moi qui me voyais comme un petit grain de sable ou de poussière, je me suis senti comme un
immense océan que je suis capable d’être plus que mon être. Je suis un miracle parmi tous les
miracles de cette si belle création de tout l’univers entier, oui je suis, oui je suis, oui je suis…enfin
vraiment aimé d’un amour sans fin mais éternel car j’ai cru…
P.S. : heureux ceux qui croient sans voir…
Écrit par : Diane Plourde, membre de Rivière-du-loup à l’ACVA-TCC du BSL
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Handicap
Un instant il était là,
À un autre moment il n’est plus là.
Un bref battement de cœur,
Un trou dans la tête.
Un vide, un manque, un espace…
Une recherche sans succès!
Des badinages et des rires,
Mes souffrances, sur des plaisanteries.
Mon problème il le nie
Et il s’amuse avec ma vie.
Elle me nargue moi aussi
Dieu lui-même ne s’en soucie.
Je ne peux le quitter,
Il est là!
Je ne peux le jeter,
Il est là!
Je ne peux qu’exister,
Me priver et accepter,
Ce que je ne trouve pas,
Ce qui ne vous regarde pas.
Source : Pauline Ouellet MRC : Mont-Joli
La valeur du temps!
Pour apprendre la valeur d’une année,
demande à l’étudiant qui a raté un
examen.
Pour apprendre la valeur d’un mois,
demande à la mère qui a mis au
monde un enfant trop tôt.
Pour apprendre la valeur d’une
semaine, demande à l’éditeur d’un
journal hebdomadaire.
Pour apprendre la valeur d’une heure,
demande aux amoureux qui attendent
de se revoir.
Pour apprendre la valeur d’une
minute, demande à celui qui a raté son
train, son autobus ou son avion.
Pour apprendre la valeur d’une
seconde, demande à celui qui a perdu
quelqu’un dans un accident
Pour apprendre la valeur d’une
milliseconde, demande à celui qui a
gagné une médaille d’argent aux
Olympiques.
Le temps n’attend personne. Rassemble chaque
instant qu’il te reste et il sera de grande valeur…
Article remis par Mme Micheline St-Laurent membre de
l’association de la MRC de Matane.
Source : Inter-guide Matane
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Mot Croisé Viens t’amuser avec le mot croisé de la collection les Barbouilles. Cela te permettra de travailler ta logique, ta
concentration, ton vocabulaire, ta motricité fine et ta patience.
Trouve chacun des mots de la liste de gauche dans l’encadré. À l’aide d’un crayon de couleur ou d’un marqueur,
barbouille chaque lettre du mot trouvé puis fait un trait dans la liste sur le mot afin de te rappeler que ce mot a été
trouvé dans la grille.
Attention les mots de la grille peuvent se retrouver écrits verticalement, horizontalement et obliquement en plus de se
retrouver de droite à gauche ou de gauche
à droite et de bas en haut ou de haut en bas.
Une fois tous les mots trouvés, il apparaîtra une forme dans la grille avec les lettres qui seront demeurées blanche.
Amuse-toi à découvrir cette forme.
Abaca
Albergier
Alloucher
Axe
Bois
Casse
Cime
Cola
Cycas
Croton
Doucin
Dourn
Fau
Forêt
Frêne
If
Kaki
Karité
Kava
Kawa
Kola
Letchi
Lilas
Mélèze
Mûrier
Myrica
Myroxylon
Noyer
Pin
Pistachier
Saule
Sipo
Surin
Teck
Thuya
Tek
Upas
Arbres
A L L O U C H E R R E I R U M
R M M L K A O O U C I N R E F
E Y U I A V N O T O R C E S R
I R O L K A K A R I T E Y S E
G O O A I K O R M E I F A O N
R X S S M A I P S T P H N C E
E Y O A A A A I I A C E P I N
B L C S L Y X S O B I T O S A
L O Y I O U E T B A M R P A W
A N C E C H A A E C E E I P A
U A F R P T C C R A E S S U K
A L O K I N A H A B V T E C K
L E T C H I J I B T T E R O F
E Z E L E M O E L E S A U L E
M Y R I C A U R E K N I R U S
Source ; Les barbouilles par Ginette Chénard Rimouski-Neigette
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Viens t’amuser avec les jeux à Réjean
Voici une devinette;
1-Je suis à la tête d’un groupe de 26.
2-Sans moi, Paris serait pris.
3-Je suis au centre du nuage dans le ciel
Qui suis-je?
Réponse : __________________________
Source; www.funfou.com
Jeu pour toute la famille
Viens exercer ton élocution en t’amusant à prononcer ces phrases
amusantes…
1. Je suis ce que je suis et si je suis ce que je suis, qu’est-ce
que je suis?
2. Santé n’est pas sans t mais maladie est sans t.
3. Les chaussettes de l’archiduchesse sont-elles sèches ou
archi-sèches?
4. Où niche la pie? La pie niche bas
Où niche l’oie? L’oie niche bas
Où niche l’hibou? L’hibou niche ni haut, ni bas!
M. Réjean St-Pierre, membre de l’association dans la MRC de Rimouski-Neigette.
Source : www.jeuxpourtoutelafamille.com
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T E M O I G N A G E S
Témoignage pour permettre que l’ACVA-TCC du BSL continu de
desservir la région de la Mitis.
Nous nous retrouvons 2 ou 3 fois par mois maintenant et je suis très très satisfaite que la fréquence
des rencontres est si augmentée.
Nous avons besoin de rencontres gratifiantes pour reprendre confiance en nous. Nous avons besoin
de stimuler les aptitudes et les capacités de notre cerveau qui n’ont pas été touchées ou qui ont été
touchées, mais dont des exercices permettent de garder en forme ce qu’il nous reste de capacités.
Souvent nous avons des difficultés à nous souvenir et un simple jeu de mémoire comme le
téléphone avec des gestes que l’on ajoute à chaque tour, nous permettent de conserver et de garder
vive cette faculté même si elle est moindre que celle exécutée par une personne avec un cerveau
intact.
Les activités que l’on fait chez soi ou avec plusieurs personnes nous apprennent à reconnaître que
nous pouvons encore réussir même si les succès auxquels nous arrivons ne semblent pas des
exploits pour les gens n’ayant aucune lésion. Nous nous félicitons mutuellement car nous
comprenons l’ampleur de la tâche à laquelle nous nous sommes attaqués.
Nous nous sentons fatigués plus rapidement que les autres et je me souviens m’être souvent
reprochée d’être tout le temps couchée. Quand je suis allée parmi ce groupe qu’elle n’a pas été ma
surprise de me rendre compte que tous avaient ce même problème et qu’au contraire de ce que je
faisais, pour eux, la solution c’était de se coucher et de prendre du repos. Quand la fatigue me
prend, je peux me coucher même durant les ateliers et un peu de repos me permet de pouvoir
encore participer. C’est triste à dire, mais une journée de cours était pour moi un supplice, car
j’étais trop endormie.
Dans ce groupe, j’ai appris à respecter mon rythme sans me sentir diminuée, à mieux gérer mes
succès et mes insuccès en les vivant, non pas comme des victoires anodines, ni comme de
lamentables échecs, mais comme des activités où elles sont les unes et les autres des expériences
enrichissantes.
Merci à l’ACVA-TCC du BSL pour ton aide et tes rencontres qui nous sortent de notre isolement
et de notre misère…
J’ai réussi à me décrocher un emploi comme brigadière, et je ne pourrai aller à Rimouski pour
participer aux activités si elles cessent d’avoir lieu à Mont-Joli, car elles se donnent trop près de
mes heures de brigade. Merci de permettre à l’association de desservir la région de la Mitis.
Pauline Ouellet, membre de l’association de la région de la Mitis
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Aidants Naturels : Un témoignage collectif
Comment en sommes-nous venus à composer un texte ensemble? Ce n’est pas bien compliqué, notre animatrice nous l’a demandé et nous nous sommes exécutés. Nous avons émis nos commentaires et elle a rédigé le texte. Prenez le temps de le lire et vous comprendrez pourquoi nous participons aux soupers-rencontres pour les aidants naturels.
Snobisme dans notre groupe, ça n’existe pas. On ne se sent pas à part des autres, parce que l’on vit avec une personne ayant un handicap. C’est Une bouffée d’air, ça calme le pompon. Nous pouvons Partager et nous Entraider. On Repart toujours des rencontres, avec quelque chose de positif. Respect entre nous, il y en a. En fait, nous formons une belle équipe. Nous venons pour la même cause et Comble du bonheur, nous avons du plaisir à être ensemble. On se sent compris, sans être jugé. Nous pouvons échanger et c’est un Temps juste pour nous autres. De plus, nous Rencontrons d’autres personnes Et nous aimerions en rencontrer davantage. Discuter, ventiler, c’est Essentiel pour nous. Seuls, nous ne le sommes pas ici.
Avec un thème ou pas, on ne s’ennuie jamais.
Intéressant au point de ne pas voir l’heure passée, ces rencontres nous
Donnent du pep, de l’énergie pour continuer, car
A l’extérieur, on se sent parfois jugé.
Nous sommes chanceux d’avoir une animatrice hors pair.
Tolérante avec un
Sens de l’humour réconfortant.
Nous ne voulons pas avoir une autre animatrice. Attentive, elle écoute sans interrompre Tâchant de bien cerner nos besoins. Une animatrice professionnelle, bien informée qui Répond à nos questions. Elle est flexible, ouverte d’esprit et a su créer un Lien de confiance très apprécié, avec chacun de nous. Enfin, Sachez que nous vous recommandons fortement de participer à ces souper-rencontres.
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Nous tenons à mentionner que nous avons eu du plaisir à faire ce témoignage et qu’avant de vous quitter, chers lecteurs du Placoteux, nous croyons dur comme fer, que notre animatrice, Christine est vraiment chanceuse de nous avoir comme participants à ces belles rencontres. Merci!!! Noëlla Deschênes, membre affilié de Rivière-du-Loup Francis Lemieux, membre affilié de Rivière-du-Loup Sonia Rioux, membre affilié des Basques Yvette Fillion, membre sympathisante du Kamouraska
Christine Lepage, intervenante sociale, Rivière-du-Loup
---
Témoignage de Ginette Chénard (Membre de Rimouski)
Qui peut t’accueillir sans conditions? (Au diable la perfection)
Qui peut t’accompagner sans pré-juger de tes capacités et respecter tes limites?
Qui peut te comprendre tel que tu es sans chercher à faire des comparaisons sur ta différence
apparente ou NON?
Qui veut accepter de faire ta connaissance pour mieux te comprendre et t’aider au besoin?
Hé bien, j’ai la réponse!
Je vous présente ma gang, mes complices, mes amis (es) de l’A.C.V.A.T.C.C. de Rimouski. Ici, on
se prend comme on est avec nos qualités et nos défauts, nos capacités et nos limites. Excusez,
impossible de tous les nommer; j’ai peur d’en oublier…
Ensemble, on peut briser l’isolement! Seul, c’est plutôt désespérant. Malheureusement, les
préjugés sont encore présents autant que l’ignorance, parfois même l’indifférence qui les
accompagne. Ce qui n’est pas « productif $ » perd de son intérêt dans un monde capitaliste. C’est
une forme d’exclusion sociale, parfois subtile, parfois directe, voir même méchante.
Poursuivons les présentations.
Qui peut t’aider à dépasser tes limites et te faire progresser en respectant ton énergie du moment?
Qui veut travailler pour et avec toi (dans le respect) avec efficacité, professionnalisme et empathie?
Je vous les présente : Andrée Joubert, Léonore Weber, Annie Lévesque, Cindy Labonté et
Christine Lepage. Ce sont nos intervenantes, génératrices de cette belle énergie transmise, reçue et
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partagée avec bonheur! Nous tenons à elles autant que nous tenons à conserver nos acquis. Elles
sont les outils de notre autonomie.
Nous les aimons et les apprécions bien beaucoup. Félicitations et un grand merci pour tout le
travail accompli. Vous êtes formidables!
Maintenant, entrons dans le vif du sujet, parlons-en des acquis (les nôtres, les vôtres…)
Par exemple : marcher-parler-lire-écrire-compter-mémoriser-comprendre-etc-
Automatique, croyez-vous? Pas du tout après un A.V.C. ou T.C.C. (lésion au cerveau). Car pour
certains, il faut penser non pas AVANT d’agir, mais POUR agir. Exemple : se vêtir pour sortir en
hiver (parfois même pour sortir du lit). Penser à (se le dire dans sa tête), mettre 1-ses bottes, 2- son
manteau, 3-tuque, foulard, mitaines. Ciel!! Barrer la porte! Zut! Où est ma sacoche? La journée
s’annonce longue, pénible, épuisante et stressante. Perte d’énergie égale mémoire défaillante. D’où
l’importance de la discipline (se créer des routines)…
Revivre son quotidien autrement
Séquelles et conséquences. Une parmi tant d’autres : la perte d’énergie (non renouvelable en peu
de temps) est l’ennemie jurée de chaque journée. Variable pas juste d’une journée à une autre,
mais d’une heure à l’autre.
Si l’on refuse de reconnaître cet état de fait, fini les sorties. Bref c’est l’isolement. Repos forcé de
deux à trois jours pour essayer de récupérer.
À la limite, on doit presque choisir où, quand, comment, pourquoi et pour qui on va s’investir. Et
assumer son choix. Il faut s’auto-discipliner; se respecter c’est apprendre à s’écouter et aussi à dire
NON à l’occasion. Au diable le jugement des autres.
Info-sciences
Avis aux intéressé (e)s. Selon des recherches très
récentes et scientifiquement prouvées, socialiser
stimule nos fonctions cérébrales, en particulier la
mémoire (entre nous, avec une mémoire vive, on vit
sa vie au lieu de la subir). Source : Code de
Chasteney 24-03-10.
Quotidien ACTIF. Variété dans les activités : chez
nous à l’ACVA-TCC, on aime pouvoir alterner nos
activités sociales, qu’elles soient physiques, intellectuelles, culturelles ou simplement ludiques et
amicales, elles sont VITALES pour notre progression et à notre qualité de vie.
Ho! Mémoire de chatte (moi) je vous fais mon post-scriptum avec toutes mes excuses (ou
inversement).
Je tiens à vous présenter les « Moteurs » de notre association, notre coordonnateur M. Laurent
Dubé, et notre C.A. mesdames Nicole Pelletier, Diane Chouinard, Christiane Turcotte Paulette
Vignola ainsi que messieurs Marc-André Gauvin et Gaston Caron. Ils tiennent le phare avec
persévérance, cœur, ténacité et détermination. Leurs tâches sont aussi nombreuses qu’importantes.
Sans eux et nos intervenantes nous grossirions le nombre déjà faramineux des « exclus » de la
Pharmacie Thériault Vallée et Ass.
Familiprix
822 Boul. Ste-Anne
Rimouski
418-721-0011 Bienvenue
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société, des « parqués » (pour ne pas déranger certains bien pensants). Grâce à eux et à elles, nous
conserverons notre autonomie longtemps.
Nous tenons à vous féliciter et à vous remercier du fond du cœur pour tout le travail accompli, et
vous encourageons à continuer à relever les défis avec autant de professionnalisme et surtout avec
autant de cœur!
Veuillez multiplier ce Merci à l’Infini!
Tendresse,
Ginette C. et sa (ses) gang (s)- ACVA-TCC du BSL
E T P O U R V O U S
A C V A - T C C D U B S L
C ’ E S T Q U O I ?
É C R I V E Z N O U S . . . . .
Pour nous joindre;
acvatcc @globetrotter. net
822, boul. Ste-Anne suite 111, Rimouski G5M 1J5
26, rue Joly, Rivière du Loup G5R 3H2
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C o i n c u l i n a i r e
Gâteau au Patate
Ingrédients :
Préparation
½ tasse de beurre ramolli 1 tasse de sucre blanc 2 œufs 2 onces de chocolat fondu ½ tasse de purée de pomme
de terre 1 tasse de farine ½ c. à thé de poudre à pâte ½ c. à thé de canelle ¼ c. à thé de soda (petite
vache) 1 pincée de sel 1 pincée de muscade
(facultatif) ½ tasse de babeure = ½ tasse
de lait 2% + 1 c. à soupe de vinaigre
Pour crémage : 2 c. à soupe de graisse + 2 tasses de sucre en poudre + essence de vanille + un peu d’eau
1. Tapisser un moule à gâteau rond de 9 po (23 cm) de diamètre de papier ciré. Graisser le papier ciré et réserver le moule.
2. Dans un grand bol, battre le beurre et le sucre en crème légère. Incorporer les œufs, un à la fois, et battre pendant 1 minute après chaque addition. En battant, incorporer petit à petit le chocolat puis la purée de pomme de terre.
3. Dans un autre bol, mettre la farine, la poudre à pâte, la cannelle, le bicarbonate de sodium, le sel et la muscade. Mélanger. Incorporer les ingrédients secs à la préparation aux œufs en soulevant délicatement la masse et en alternant avec le babeurre. Étaler la pâte dans le moule réservé. Cuire au four préchauffé à 350°F (180°C) de 35 à 40 minutes ou jusqu’à ce qu’un cure-dents inséré au centre du gâteau en ressorte propre. Laisser refroidir pendant 10 minutes. Démouler sur une grille et laisser refroidir complètement. Mettre le gâteau dans une assiette de service.
4. Pour décorer, placer des lanières de papier ciré de ½ po (1 cm) de largeur sur le dessus, de façon à former un treillis. Saupoudrer de sucre glace tamisé, puis retirer délicatement le papier ciré.
Par : Serge Ouellet, membre de Rivière-du-Loup à l’ACVA-TCC du BSL
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A N N I V E R S A I R E S
Si vous n’êtes pas inscrit sur cette liste, veuillez nous en avisez.
Mai Juin
2 Ghislaine D’Astous
2 Dany Savard
2 Micheline Gameau
4 Gabrielle Pineau
5 Dany Savard
10 Guy Leblanc
10 Liette Rioux Turcotte
10 Jessica Lévesque
10 Jean-Paul Jean
11 Jeanna Desjardins
12 Paullete Vignola
13 Marise Doucet
14 Bernard Auclair
16 Anita St-Pierre
16 Robin St-Pierre
18 Serge Martel
21 Sonia Rioux
21 Patrice Lepage
22 Micheline Beaupré
25 Claude Fortin
27 Laurella Roy Lepage
30 Natasha Létourneau
31 Francis Létourneau
3 Sylvie Dubé
6 Christiane Turcotte
7 Jacques Paquet
8 Yolande Sylvain
12 Daniel Beaulieu
13 Nancy Blouin
15 Gérald St-Amand
16 Berthier Pelletier
17 Claude Roussel
17 Albert Lepage
18 Réjean St-Pierre
18 Marco-Dany Durette
19 Daniel Beaulieu
20 Réjean Quinn
23 Fréderic Imbeault
Juillet Août Septembre
2 Mario Deschênes
2 Ginette Chénard
4 Alain Garon
4 Jean-Phillipe Durette
6 Jacques Beaulieu
7 Francis Thibault
13 Jaques Ouellet
16 Cindy Rice
21 France Doucet
21 Madeleine Doucet
26 Annick Desrosiers
4 Chantale Bélanger
6 Samuel Charest
7 Yvette Fillion
16 Diane Tardif
17 Francis Lemieux
17 Marcel Levasseur
21 Guylaine Castonguay
21 Michèle Sinclair
23 Michel Lepage
28 Martin Côté
30 Benoît Héroux
1 Gilberte Cloutier Jean
5 René Imbeault
9 Gaston Ouellet
10 Jacques Proulx
12 Georges-Henri Gendron
17 Micheline St-Laurent
18 Daniel Levesque
20 Éliud Doucet
23 Laurent Gobeil
25 Édith Ruest
25 Diane Chouinard
Réponse du jeu à Réjean; A
