La Compagnie Thomas le Douarec et Happening Création présente

DORIAN GRAY Théâtre musical

D’après le roman d’OSCAR WILDE «Le Portrait de Dorian Gray»

Livret et mise en scène Thomas le Douarec

Musique originale et direction musicale Stefan Corbin

Décors et Costumes Fréderic Pineau

En avant-première au

Buffon Théâtre

18 rue Buffon 84000 AVIGNON

A 20h05 du 08 au 31 juillet 2011 inclus.

Pendant le Festival d’AVIGNON OFF 2011- Durée du spectacle 1h20

Tarifs : 19 euros- Cartes off 13 euros et enfants 10 euros

Réservation 04 90 27 36 89

Intra Muros, accès Porte Thiers

Puis Création au

Vingtième ThéâtreDirection Pascal Martinet

7, rue des Plâtrières 75020 PARIS

TEL : 01 43 66 01 13. Métro Ménilmontant

Du Mercredi 24 août au Dimanche 30 Octobre 2011

Du Mercredi au Samedi à 21h30, le Dimanche à 17h30

Durée du spectacle 1h40

Distribution

Dorian Gray Gregory Benchenafi

Basil Hallward, le peintre Gilles Nicoleau

Harry, Lord Henry Wotton Laurent Maurel

Sybil Vane, la prostituée, la Duchesse Caroline Devismes

James Vane, frère de Sybil, pianiste et guitariste Stefan Corbin

D’après la version non censurée du roman d’OSCAR WILDE

«Le Portrait de Dorian Gray»

Livret et mise en scène Thomas le Douarec

Musique originale et direction musicale Stefan Corbin

Décors et Costumes Fréderic Pineau

Chorégraphe et Assistante à la mise en scène Sophie Tellier

Création Lumière et Régie générale Stéphane Balny

CONTACTS

Production et compagnie Michèle Bourdet 0661733515/michele.bourdet@wanadoo.fr

Administration Céline Ferré 0615927843/celineferre@yahoo.com

Diffusion Happening Création 0553702069/0683856095

Pour la première fois sur scène l’adaptation théâtrale et musicale de la version non censurée et annotée du célèbre roman d’Oscar Wilde « le Portrait de Dorian Gray », éditée en cette année 2011 en Angleterre par Nicholas Frankel, grâce à la découverte par des étudiants de nouveaux manuscrits. Ce roman est l’œuvre la plus personnelle de Wilde, il disait même : « Dorian Gray contient trop de moi même, Basil Hallward est ce que je pense être, Lord Henry ce que les gens pensent que je suis et Dorian ce que j’aurais aimé être en d’autres temps » Wilde fait référence à un monde antique rêvé !

Par la magie d’un vœu, Dorian Gray conserve la grâce et la beauté de sa jeunesse. Seul son portrait vieillira. Le jeune dandy s’adonne alors à toutes les expériences. Oscar Wilde pour nous libérer, nous ouvre une nouvelle voie, il nous lance dans une quête du plaisir et de la beauté sous toutes ses formes, belles ou atroces ; l’art n’a rien à voir avec la morale. Thomas le Douarec et une partie de l'équipe de son précédent spectacle « MIKE » continuent à explorer le théâtre musical. Ils ont décroché trois nominations aux Molières 2011: meilleur spectacle musical, création lumière et révélation théâtrale pour Grégory Benchenafi (Dorian Gray) dans le rôle de Mike Brant. Souhaitons-leur le même succès… et plus encore !

Notes du Librettiste et du Metteur en Scène Thomas le Douarec

Notre souhait est de placer, le plus possible, l’histoire dans une dimension intemporelle : cela peut se passer aussi bien à la fin du dix-neuvième comme au début du vingt-et-unième siècle ! Grâce à la mode qui ne cesse de revisiter le dandysme et à la présence de meubles anciens dans les salons de nos contemporains nous pouvons facilement troubler les pistes. Aussi, notre adaptation évite le plus possible les références à l’époque victorienne et à ses mondanités. Le spectateur ne doit pas tomber dans l’anecdote historique et dans le vague souvenir d’une époque lointaine, il doit sentir la dimension universelle et éternelle du mythe de Dorian Gray et de sa quête de l’éternelle jeunesse. La volonté de fuir le temps qui passe résonne encore plus aujourd’hui, dans notre société où presque tout le monde a eu ou aura recours à la chirurgie esthétique et aux pommades « miracles » de rajeunissement.

« Toi, Harry, parce que tu as le rang et la richesse, et moi pour ce qui a pu m’échoir d’intelligence et de talent, et Dorian GRAY à cause de sa rare beauté, nous aurons tous les trois à souffrir, et à souffrir terriblement de ces dons que nous avons reçu ».

Basil ne sait pas au moment où il évoque cette souffrance, que ce sont justement eux, les trois protagonistes principaux, qui se l’infligeront mutuellement. Nous souhaitons faire résonner le roman dans notre monde actuel. Car, Dorian GRAY n’est pas seulement un dandy décadent de la fin du XIXème… Il est aussi Rimbaud, Jim Morrison, Jimmy Hendrix, James Dean, Mike Brant, Mishima, Marylin Monroe, Janis Joplin, Freddie Mercury, un héros de Jean Genet, de Guillaume Dustan, de Pasolini, de Fassbinder, de Luchino Visconti ou de la série « NipTuck », il incarne nos obsessions contemporaines : la fuite du temps, le refus de la mort et de la vieillesse, le dépassement de ses limites dans les expériences extrêmes, la perte des valeurs religieuses et morales.Le livre jaune prêté à Dorian par Lord Henry, dont on ne connait ni le titre, ni l’auteur n’est-il pas le roman que WILDE n’a jamais pu écrire ? Adapter et montrer Le Portrait de Dorian GRAY aujourd’hui reviendraient peut-être à représenter ce « Livre jaune ».La musique et les chansons prendront une part importante dans le déroulement de l’histoire et accentueront la dimension émotionnelle de l’œuvre et nous permettront quelques respirations dans ce texte intense et dense.

Décor Et Costumes De Fréderic Pineau

Nous évoluons dans un décor unique, un espace vide, qui peut évoquer une boite noire… Cet espace vide amplifie le grand isolement des personnages. Leurs confessions, leurs chuchotements, leurs chants nous parviennent encore plus amplifiés. Cerné par des pendrillons en velours noirs et un double jeu de rideaux montés sur patience, un rideau noir pour le fond devant cyclorama et un rideau en velours ou tulle rouge pour évoquer le théâtre. Au sol, se trouve une moquette noire ou mieux encore une matière brillante noire (genre PVC qui peut donner l’impression de miroir) … Cette boite invite le spectateur à se projeter dans les différents lieux nécessaires au développement de l’histoire. Seul un meuble, un accessoire, un changement de lumières évoquera les changements de lieu. Plus nous avancerons dans l’histoire, plus le plateau se videra et laissera place à cette tragédie en marche.

Un long canapé trois places théâtralisé, style XIXème siècle, feuille d’or et velours noir, évoquera le salon de Dorian. Un fauteuil, du même style que le canapé, or et velours noirs et une estrade en bois de plusieurs marches, peinte en noir, une petite table chargée de pinceaux, de tubes de couleurs, de grattoirs et de chiffons représentera l’atelier du peintre chez Basil Hallward. Le Portrait est un immense tableau posé sur un grand chevalet de bois noir ou en bois foncé, une toile pour commencer puis un cadre doré par la suite. Le tableau sera équipé par un système de lumières multicolore (led) qui éclairera tous ceux qui regarderont le tableau. Le chevalet avec le tableau dessus devra sortir de scène à certains moments et sera équipé par un rideau autonome sur anneaux ou patience qui le cache des regards indiscrets. Une immense bite d’amarrage Représentera le port. Un piano noir quart de queue prendra l’avant scène jardin du plateau. Le piano peut représenter aussi certains lieux : le bordel derrière lequel chantera la prostituée, un salon... Devant deux chaises noires, nous aurons deux pupitres équipés de miroir qui serviront de tables de maquillage pour le vieillissement des personnages.

LES COSTUMESC’est une des parties incontournables de l’œuvre tant Wilde et Dorian Gray sont associés d’une manière fusionnelle au mouvement du « Dandysme »… Et ce roman pourrait être considéré comme la bible, du moins l’une des œuvres de référence du Dandysme, avec, bien sûr, « A Rebours » de Huysmans ( peut-être le fameux livre à la couverture jaune que confie Harry à Dorian)… qui a

certainement influencé Wilde. Le dandysme est lié au mouvement « décadent » ou mouvement « fin de siècle ». Mais la force du dandysme c’est de traverser les époques, il existe encore aujourd‘hui et c’est notre chance pour toucher l’intemporel. Car originalité et élégance rivalisent dans le Dandysme et le vêtement est une des manifestations essentielles de cette philosophie de vie. Un choix qui impose malheureusement les plus beaux tissus par leur matière et leur couleur et les plus chers (velours, soie). Harry et Dorian sont deux gentlemen de la haute société anglaise, deux dandys de plus en plus décadents au fur et à mesure de l’histoire. Basil est un artiste peintre, il peut mettre toujours la même tenue simple pour peindre : un pantalon de velours grosse cotte, des bretelles et une chemise tablier genre « grand-père ». Sybil au théâtre portera un costume de scène, une « robe renaissance italienne». James un manteau, des bottes et une casquette de marin. Gladys une robe d’Eté blanche.

L’HISTOIREPar la magie d’un vœu, Dorian Gray conserve la grâce et la beauté de sa jeunesse. Seul son portrait vieillira. Le jeune dandy s’adonne alors à toutes les expériences, s’enivre de sensations et recherche les plaisirs secrets et raffinés. « Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais », « il faut guérir l’âme par les sens, guérir les sens par l’âme. »Oscar Wilde voulut libérer l’homme en lui donnant comme modèle l’artiste. Pour se réaliser, il doit rechercher le plaisir et la beauté, sous toutes leurs formes, belles ou atroces. L’art n’a rien à voir avec la morale. Dans une langue raffinée, l’auteur remet en question la société, le mariage, la morale et l’art. Ses propos sont incisifs et humoristiques. Ce livre scandalisa l’Angleterre victorienne, Oscar Wilde fut mis en prison pour avoir vécut ce qu’il écrivait. Au siècle suivant, Marcel PROUST, André GIDE, Henri de MONTHERLANT ou André MALRAUX ont contribué à la célébrité du génial écrivain.

OSCAR WILDE

Il nait à Dublin en Irlande le 16 octobre 1854 et meurt à Paris en 1900. Après ses études dans sa ville natale, il entre au Magdalen Collège d’Oxford où il fréquente RUSKIN et PATER. Il est séduit par les fastes du catholicisme, mais reste protestant pour obéir à son père, puis devient franc-maçon en 1875. Après un séjour en Grèce au printemps 1877, il s’enthousiasme pour l’hellénisme.Brillant causeur dans les salons londoniens, célèbre pour ses réparties spirituelles et son élégance raffinée, il devient l’auteur à la mode. Sa célébrité dépasse les frontières, on l’invite aux Etats Unis. Il s’installe à Paris en janvier 1883 et devient la coqueluche des décadents français. Il écrit « La duchesse de Padoue », « Véra ou les nihilistes ». De retour en Angleterre, il devient rédacteur en chef du magazine féminin et féministe « The Woman’s world » de 1887 à 1889, il cultive son personnage de dandy. Il publie des contes, « Le prince heureux et autres contes »(1888), « Une maison de grenades »(1891), des nouvelles « Le crime de Lord Arthur SAVILE et autres histoires »(1891) et des essais réunis en 1891 dans « Intentions ».Son seul et unique roman « Le portrait de Dorian GRAY »(1891) marque encore une étape dans sa gloire. Il écrit directement en français « Salomé » pour Sarah BERNHARDT. Puis viennent les comédies qui vont faire de lui l’auteur dramatique le plus encensé de Londres et Paris : « L’éventail de Lady WINDERMERE » et, entre 1892 et 1895, « Une femme sans importance », « Un mari idéal » et « L’importance d’être constant ».En 1892, il vit une passion tumultueuse avec Lord Alfred DOUGLAS. Le père de ce dernier, le marquis de QUEENSBERY, le provoque. WILDE intente un procès au marquis pour diffamation et le perd. Un second puis un troisième procès font de Wilde un accusé, puis un coupable. Il est condamné à deux ans de travaux forcés pour «indécence et sodomie»(mai 1895). En prison, il écrit « De Profundis » et « La ballade de la geôle de Reading » ainsi que deux lettres sur les conditions de vie des prisonniers de 1897 à 1898. Ruiné et amer, il fuit Londres, s’installe à Dieppe, puis à Paris et y meurt en 1900.

THOMAS LE DOUAREC, le librettiste et le metteur en scène.

Metteur en scène prolixe, déjà une quarantaine de productions à son actif, inclassable car éclectique, est aussi à l’aise dans les tragédies que dans les comédies :

… Pour ses tragédies, il faut retenir Le Cid de Corneille dans une version flamenca (600 représentations) créé en 98 au Théâtre de La Madeleine, repris au Ranelagh, au Théâtre Marigny, au Théâtre Antoine puis repris dix ans après au Théâtre Comédia dans une nouvelle mise en scène, Vol au dessus d’un nid de coucou de Dale Wasserman au Théâtre de Paris (250 rep.) avec, entre autres, Bernard Tapie et André Falcon, Les Sorcières de Salem d’Arthur Miller (260 rep.) au Trianon, à Hébertot, au Ranelagh avec, entre autres, Barbara Schulz, Gilles Nicoleau, Grégoire Bonnet, Marie Parouty, Dommage qu’elle soit une P… de John Ford créé au Trianon et au Palace avec, entre autres, Jean-Paul Rouves, Andromaque de Racine au Chêne Noir avec, entre autres, Jean-Charles Chagachbanian et Natacha Amal, Le Portrait de Dorian Gray au Théâtre Rive Gauche.

… pour ses comédies, citons : Le Dindon de Georges Feydeau (plus de 1000 rep.), les Monty Python’s Flying circus n°1, n°2 et Le Best of, trois spectacles adaptés des sketchs des humoristes anglais (Palais des Glaces, Théâtre de Paris, L’Européen, Théâtre du Chêne Noir Avignon, Londres, Dublin, Festival d’Edimbourg, etc.), Des soucis et des potes, qui a triomphé pendant 2 ans et demi au Trévise ou encore l’indétrônable Arrête de pleurer Pénélope (plus d’un million de spectateurs), qui se joue encore un peu partout, dix ans après !! Ou encore Sex-Shop une pièce de Audrey Dana et Michèle Bourdet avec Lucien Jean-Baptiste, Jeanne Savary, Michèle Bourdet et Grégoire Bonnet.

… Il s’est même essayé aux spectacles visuels et musicaux… avec Sentires, un ballet flamenco, 1+1=2 spectacle qui mêlait danse, chant et théâtre, Le Caprice de Marianne, tour de chant de et avec Marianne James… En 2010, il aborde même la Comédie Musicale avec Mike au théâtre Comédia qui lui rapporte trois nominations aux Molières 2011 dont Meilleur spectacle musical. Nous lui devons aussi l’arrivée de cet « ovni » dans notre paysage théâtral Les Hommes viennent de Mars et les Femmes de Venus de et par Paul Dewandre, toujours à l’affiche du Gymnase depuis cinq saisons (Spectacle qui bat tous les records de fréquentation depuis sa première au Gymnase, a rempli pendant 3 mois le Casino de Paris, après avoir rempli une semaine l’Olympia et un soir le Zénith de Paris).

… Et enfin soulignons une relation privilégiée avec son auteur de prédilection et ami, René de Obaldia. Leur complicité a commencé, il y a quatorze ans, avec une reprise très remarquée de son western de chambre Du vent dans les Branches de Sassafras créé au Théâtre du Ranelagh, prolongé au Petit Théâtre de Paris avec, entre autres, Maurice Barrier, Sophie Tellier, Gwendoline Hamon, Armelle Deutch et Michel Crémades. Puis monte trois nouveaux impromptus sous le titre d’Obaldiableries, au Théâtre 14 et l’Amour à trois, montage de textes de l’auteur, créé au Théâtre de Poche Montparnasse avec Pierre Forest, Michèle Bourdet et lui-même, puis repris à la Comédie Bastille et enfin Grasse Matinée au Théâtre des Mathurins… avec Cyrielle Clair et Marie le Cam.

COMEDIENS

Gilles Nicoleau Basil Hallward, le peintre

Compagnon de la première heure de Thomas Le Douarec, pilier de sa compagnie depuis 1991, Gilles Nicoleau a joué de nombreuses fois sous sa direction, parmi toutes leurs aventures communes, il faut retenir : le rôle de

« Sorenzo » dans Dommage qu’elle soit une putain au festival off d’Avignon en 1991, au Palace, au Cirque d’Hiver et au Trianon. John Proctor dans Les

sorcières de Salem, au Trianon, à Hébertot, au Mouffetard et au Ranelagh. Vatelin dans Le Dindon au La Bruyère et au Tristan Bernard, La Nouvelle Eve, La Comédie de Paris. Basil dans Le Portrait de Dorian Gray au Trianon et au Rive

Gauche. Rodrigue dans Le Cid au théâtre de la Madeleine, au Ranelagh, au Marigny, au théâtre Antoine et enfin le rôle du Comte, à la reprise, dix ans plus tard, au Comédia. Il triomphe dans la comédie musicale MIKE où il joue Simon Kaufmann, personnage complexe et ambigu, très librement inspiré du dernier

producteur de Mike Brant : celui qui accompagnera Mike jusqu'à sa disparition.

CAROLINE DEVISMES Sybil Vane, la prostituée, la Duchesse

SPECTACLES MUSICAUX

-de Mars jusqu’à Juin 2011 « Hairspray » au Casino de Paris puis à Bobino dans le rôle de Velma.

-de Sept 2010 à Janvier 2011 « MIKE » au Théâtre Comédia. M.e.s Thomas LE DOUAREC. Rôles de DALIDA, présentatrice Midem, infirmière, prostituée, danseuse et choriste.Trois nominations aux Molières 2011.

-2008/09 « Les Enfants de l’Olympia ». Comédie «Music hall » de Odile BASTIEN et Thierry SFORZA. Palais des congrès du MANS et TRIANON PARIS.

-2004/ 08 La Revue de Genève au casino théâtre de Genève SUISSE. M.e.s Pierre NAFTULE. Chorégraphies Mena AVOLIO et Armelle FERRON -2004 Come together. Spectacle de Barbara SCAFF.-2003/04 Revue « Elles » de Roger LOURET Deauville.-2002/03 Meneuse de revue aux Folies Bergère dans « Nuits de Folies ». Chorégraphies Marie Laure PHILIPPON.-2002 La java des mémoires de R. LOURET aux Folies Bergère.-2001/02 Les années Deauville de R.LOURET. Création au théâtre de Deauville.-2001 Les dix commandements de P.OBISPO et E.CHOURAKI. Tournée francophone, BITHIA.-2001 La valse du diable de Jonathan KERR et Philippe LOFFREDO.-2000 Les années twist aux Folies Bergère.-1998/ 99 Création de « La fièvre des années 80 » aux Folies Bergère. Nomination Molière 99.-1998 Les années twist aux Folies Bergère.

THEATRE-2006 L’orchestre de Jean ANOUILH Rôle de Suzanne Délicias. Cie Annie CHAPLIN & Jacques AUXENEL. M.e.s Jacques AUXENEL.-2000 Tu me squattes de Roger LOURET. Théâtre Tristan BERNARD.-1999 Les contes de Maupassant. M.e.s Patrick ANDRIEU.

TELEVISION2008 Choriste pour Daniel POWTER dans « TARATATA »2005 Choriste pour Beverly Jo Scott dans « TARATATA »97/2000 Chanteuse dans l'émission « Les années Tubes » GLEM Productions. Aux côtés de Jean Pierre FOUCAUT

1997 Danseuse pour le Chanteur Wes. Titre « Alane » tube de l’été TF1. Chorégraphe Mia FRYE.

GRÉGORY BENCHENAFI

Nomination Revelation théâtrale Masculine pour MIKE aux Molières 2011 FORMATIONChant : Baryton Martin, style : Variétés, Pop rock, Comédies Musicales, Opérettes Répertoire international (anglais, italien, espagnol, allemand)Formation vocale classique au conservatoire d’Asnières avec Danielle Dinant (en cours) Cours de chant avec Humbert Joëlle (1998-2002) Théâtre, cinéma: formation théâtre Huguette Pommier, Compagnie Roger Louret (2006), master class avec Thierry Harcourt, formation « aire de jeux » Ani Hamel, Coaching Karine NurisDanse : Modern Jazz

SPECTACLES

2010 MIKE laisse nous t’aimer mise en scène : Thomas Le Douarec Théâtre ComédiaUn de la Canebière F.Lelièvre Aix-les-Bains Pas sur la bouche M.Herbé Toulouse Jonas Sophie Tellier TournéePhi-Phi M.Herbé MérignacCes années là R.Louret Casino Lille La Belle Hélène M.Herbé TournéeRobin des bois F.Colas Th. du temple Paris2009 Valses de Vienne M.Herbé Boulogne/Mer Gipsy M.Herbé CalaisUn de la Canebière R.Finel NîmesChance H. Devolder Palais des glacesLa Veuve joyeuse P.Sybil Aix-les-Bains 60 ans Festival d’Anjou T.Harcourt Château de BrissacJonas S.Tellier tournéeViolettes Impériales M.Herbé Th. Boulogne/Mer Mes nuits à Montmartre R.Louret tournéeLa Java des Mémoires R.Louret tournée2008/2009 La Java des Mémoires R.Louret th. Silvia Montfort Paris 2008 Pour le plaisir R.Louret th. Huguette PommierLes Folles Nuits d’Offenbach Ph. Padovani tournéeViolettes Impériales M. Herbé th. Boulogne/Mer 2007/2008 La Java des Mémoires R.Louret tournée2007 Histoire dans les quartiers ouest A. Roche tournéeSoirées de gala Le Bel Canto RomeA la feuille de rose maison turque P.Andrieu th. Huguette PommierFéérie de Paris R.Louret Bercy2006/2007 Rêves d’étoiles R.Louret Casino Deauville 2006 Mistinguett R.Louret Casino Enghien-les-BainsAu temps des idoles R.Louret th.Huguette PommierAliénor, Duchesse d’Aquitaine R.Louret th.Huguette.Pommier

Laurent Maurel Lord Henry

Né en 1972, il vit à l’étranger avant de suivre une formation d’acteur à la Criée (Marseille), à l'ENSATT (Rue Blanche Paris), et à Middlesex University (Londres). Parallèlement, il s’initie aux Arts du cirque et de la rue.

Il tourne régulièrement pour le cinéma ou la télévision, en Angleterre avec N.Wassell («N°1 longing..» prix Film Policier au Festival de Thaïlande) et en France notamment avec F.Mansour (3 films dont «La raison de l’autre» aux Césars 2010), Le Comité de la claque (Speed Life), B.Jeanjean, A.Lecaye, A.Corneau, E.Dhaene, S.Karmann, G.Jugnot, L.Heynemann, A.Selignac, P.Monnier, P.Bonnelle, ou L.Moullet…

Au théâtre il a joué notamment sous la direction de S.Azopardi (Les caprices de Marianne), N.Grujic (prix d’interprétation pour «Sa Majesté des Mouches»), Jade Duviquet (J’me sens pas belle), A.Bourgeois, G.Dyrek, J.Heynemann, S.Tesson, L.Monga ou J.Lavelli, A.Hakim, M.Maréchal, L.Fréchuret...

Après une formation à l’INA, il a réalisé plusieurs courts métrages au cinéma.

Au théâtre, il a mis en scène Sex Traffic Circus (Lavoir Moderne Parisien), Allah n’est pas obligé de A.Kourouma (France & Amérique du Sud), Ailleurs toute ! de J.Y. Picq (N.Calédonie, Caraïbes, Avignon), Paillassons (Asie, France), Dans la vie de mon chien d’I. Jeanbreau, ainsi que des spectacles évènementiels pour de grandes marques. A la Réunion et à Paris, en créole et français, il a créé plusieurs spectacles dont Somin la mèr de D. Ibao (Centre dramatique Océan Indien).

Après la Fémis, il écrit pour le cinéma ainsi que pour la télévision Les Gnoufs (dessin animé) et Cocktail de filles.

En tant qu’auteur dramatique, il a reçu plusieurs prix (Découverte & encouragement du CNL, Ministère de la Culture, Fondation Beaumarchais, Ville de Guérande…) et a notamment écrit pour le théâtre Bwa Marron (in fantaisies botaniques Ed. l’Avant-Scène), Dange (L’Harmattan), Saigne-Terre (Ed. du Laquet), Paillassons (Alna Ed.), Ti Boulout’ (Ed. K’a), Horrifice : 3 plaisanteries (création au Théâtre de la Tempête, CDN Franche-Comté), Cabine d’essayage (création au Théâtre Artistics Athévains), Ze one Poupette show (pour le spectacle Bertille) et un roman Histoire(s) de Martin. Il a adapté pour la scène Allah n’est pas obligé et le 7ème kafana (pour Sex Traffic Circus) et a co-traduit en Français Somin la mèr (Ed. K’a) ou la version sous-titrée du film anglais N°1 longing.

Stefan Corbin James VaneLe narrateurLe musicienChanteur (baryton), comédienCompositeur, auteurCoach vocalPianiste

AuteurCompositeurInterprète2011 : nouvel album LES MURMURES DU TEMPS (Sterne / Sony Music)2004 : OPTIMISTE (autoproduit)Plus de 500 concerts (Théâtre Essaïon, Blancs Manteaux, Théâtre de l’Île Saint-Louis, Théâtre de Nesle, Baiser Salé, Sentier des Halles, etc. ; tournées et festivals) ; premières parties de Thomas Fersen, Juliette, Dick Annegarn / Prix du Public Trophée France Bleu 2005 1er Prix Clermont Carrefour de la Chanson 2007

Comédien, chanteur, pianiste LA VIE PARISIENNE, de Jacques Offenbach, M.S. Alain Sachs / Théâtre Antoine (Paris) de décembre 2009 à juin 2010, puis en tournée dans toute la France de septembre à décembre 2010 / Nomination aux Molières 2010CHANCE, comédie musicale d’Hervé Devolder / Le Palais des Glaces, Le Trianon, Le Méry, Festival d'Avignon (2007-2009)L’AUTRE HISTOIRE DE BABEL, comédie musicale d'Hervé Devolder / Casino de Paris, mars 2007L’HISTOIRE DE SALLY MC LAUREEN, comédie musicale de Christine Kandel, M.S. Ned Grujic / Théâtre Marsoulan (Paris, 2008)LE PLUS HEUREUX DES TROIS, d'Eugène Labiche, M.S. Virginie Bienaimé / Théâtre de la Faisanderie (Chantilly, été 2007), Théâtre Impérial de Compiègne (octobre 2008)

CompositeurL’HÔTEL DES ROCHES NOIRES, LIVRET Françoise Cadol, M.S. Christophe Luthringer / Petit Théâtre de la Porte Saint-Martin, Pépinière Opéra (Festival Diva 2009), création en 2012 au Vingtième ThéâtreMON FRIGO ME TROMPE, LIVRET Rémi Cotta, M.S. Miguel-Ange Sarmiento / Théâtre Le Temple (Paris), 2010LE JOURNAL D’ADAM ET ÈVE, d’après Mark Twain, ADAPTATION Laurent Ban, M.S. H. Devolder / Petit Théâtre de la Porte Saint-Martin (Festival Diva 2010)L’OISEAU BLEU, de Maurice Maeterlinck, ADAPTATION et M.S. Jérémy Sontag et Florian Goetz / Théâtre de la Faisanderie (Chantilly, mai-juin 2010), Théâtre Paris Plaine (Paris, novembre 2010) et en tournéeTOUT LE PLAISIR EST POUR NOUS, de Ray Cooney & John Chapman, ADAPTATION Sébastien Castro, M.S. Rodolphe Sand / Le Palais des Glaces (Paris), été 2010FÉES, Livret Manon Thorel, M.S. Charlotte Dupuydenus / Théâtre Astral (Vincennes, hiver 2008-2009)MERCI L’OURS, Livret Carole Trébor, M.S. Christophe Luthringer / Vingtième ThéâtreUNE RUPTURE DANS LE CONTINUUM, conte symphonique (œuvre collective ; album et Théâtre Sébastopol de Lille 2002 Compositeur pour les chanteurs : Julian Paris, Julie Wingens, Rachel PignotMusiques de films : Plus léger que l’air (Elizabeth Journel, 2009) ; Ça fait mal à mon coeur (Stéphanie Noël, 2003, Grand Prix du festival d'Angers 2004) ; René (série d’animation, Yves Dalbiez, 2005) ; Princesse et Célibataires (Benoît Masocco, 2005 et 2007) ; Chut ! (Mathieu Bouvard, 2005) ; Riba (Yves Dalbiez, Élise Garcette & Laurent Leleu, 2003)Générique de l'émission Talents aiguilles (Pink TV, 2009)

FREDERIC PINEAU par THOMAS LE DOUAREC

C’est un grand privilège de travailler avec Frédéric Pineau ; il est tellement occupé aux quatre coins du monde ! Entre ses créations de costumes pour ses shows à Las Vegas, ses décors et ses costumes pour des opéras au Chili, à Venise, à Palerme ou encore au Caire (pour n’en citer que quelques uns), il est rare de le trouver à Paris… Et si vous le trouvez, vous pouvez être sûr qu’il travaille sur un nouveau projet, son métier est sa passion !

La première fois que nous nous sommes rencontrés, il y a 12 ans, c’était sur une comédie musicale « Joséphine Baker » qui n’a, malheureusement jamais vu le jour ! Nous nous sommes, tout de suite, sentis complices, ce qui nous a donné envie de faire à nouveau équipe... Une occasion s’est vite présentée ; c’était pour « Arrête de pleurer Pénélope », notre complicité s’est transformée en amitié. Nos emplois du temps respectifs ne nous ont pas permis de collaborer aussi souvent que nous le souhaitons, mais, nous avons quand même réussi à nous retrouver sur des projets bien différents comme «l’Amour à trois», une comédie de René de Obaldia et «Andromaque » de Racine, cette fois associé avec son double Jérôme Bourdin pour les costumes. Dernièrement nous avons collaboré sur « Mike », nous nous sommes régalés... trois nominations aux Molières tout de même !

C’est donc avec une joie non dissimulée que je retrouve Frédéric sur un nouveau spectacle musical «Dorian Gray» aux commandes des costumes et du décor.

Et je ne vous parle pas de tous les spectacles, tous les projets qu’on a imaginé ensemble et qui attendent dans des cartons… Avis aux producteurs et aux directeurs de théâtre !

Frédéric est un homme passionné et passionnant, capable de vous appeler en pleine nuit pour vous parler d’une nouvelle idée et de vous engueuler si jamais vous ne répondez pas ! C’est un homme généreux et un homme de parole, qui aime travailler dans l’humour et le respect de l’autre et, lui, il ne vous laisse jamais tomber quand il faut monter au front ! C’est aussi un grand collectionneur d’art, il possède des dessins, des esquisses, des maquettes des plus grands de ce métier. Bref, Fred est un mec qui gagne à être connu… Et je sais que nos routes vont de nouveau se croiser très vite sur nos dizaines de projets communs : on vous réserve quelques surprises !

PRESENTATION DE LA COMPAGNIE THOMAS LE DOUAREC

Elève de la « classe libre » au cours Florent, Thomas Le Douarec crée son premier spectacle dans cette Ecole en 1989, Maledictis, adapté d’après deux pièces en un acte de Sacha Guitry, Une paire de Gifles et Deux couverts. Ce premier travail d’élève reçoit plusieurs récompenses au sein de l’école (Trois Jacques : meilleure mise en scène, meilleure adaptation et meilleur acteur pour un second rôle Thomas le Douarec) et à cette occasion, François Florent ouvre spécialement pour Thomas Le Douarec et un autre élève (Michael Cohen) une nouvelle section expérimentale dans la « classe libre » dédiée à la mise en scène. « Maledictis » représente alors l’Ecole Florent dans différents Festivals étudiants et autres.

Encouragé par François Florent, il crée sa propre Compagnie en 1991 avec sa deuxième mise en scène, Dommage qu’elle soit une Putain de John Ford : un théâtre rock qui rassemble 14 comédiens, 5 musiciens (le groupe de hard rock «LES DKP») et 6 danseurs. Le spectacle a été créé au Théâtre de l’Ecole Florent, au Cirque d’hiver Bouglione dans le cadre du Festival les “ 48 heures ”, au Festival Off d’Avignon 1991 dans une église désaffectée, puis au Palace, à l’époque encore boite de nuit, dans la cadre de nuits de théâtre gore et rock and roll et au Cinéma Le Trianon en 1992 (qui redeviendra un théâtre grâce à ce spectacle).

En 1993, la Compagnie devient TEC Compagnie le Douarec et crée au Centre Mathis avec l’aide de la Ville de Paris, la première pièce écrite par Thomas Le Douarec Sur le dos d’un Eléphant. Cette comédie raconte le voyage mystique et initiatique de deux jeunes moines novices confrontés à un acteur raté, un journaliste ésotérique et une belle auto-stoppeuse. Le spectacle est repris au Théâtre Paris-Plaine, au Bateau Théâtre Ouragan puis au Bateau Théâtre la Mare au Diable et totalise plus d’une centaine de représentations.

En 1994, la Compagnie monte Les Sorcières de Salem d’Arthur Miller accompagnée d’une musique originale de Sylvain Meyniac interprétée par deux musiciens et chanteurs, toujours avec l’aide de la ville de Paris, au Centre Mathis, puis au Théâtre le Trianon. La pièce, dont les situations et les personnages appartiennent à l’Histoire, raconte la chasse aux sorcières engagée en 1662 par les puritains de la ville de Salem. Ecrite en 1950, la pièce dénonce à l’époque les dangers du Maccarthysme. Aujourd’hui ce chef d’œuvre est devenu une véritable tragédie universelle dénonçant toutes les intolérances, l’injustice et l’administration d’une société “ bien-pensante ” dont les rouages broient toute identité. La pièce est reprise au Théâtre Hébertot, puis au Nouveau Théâtre Mouffetard et enfin au Ranelagh. La Compagnie part ensuite pour la première fois en tournée. (250 représentations au total).

En 1995, la Compagnie crée au Théâtre du Ranelagh le Dindon d’après Georges Feydeau. Cette adaptation moderne et audacieuse tente de retrouver la folie originelle de l’auteur. La Société Europa Dell’Arte va s’associer avec elle pour le monter au Théâtre du Trianon, puis au Festival d’Avignon 1996. En 1996 Stephan Meldegg propose à la Compagnie de reprendre la pièce au Théâtre La Bruyère. Puis Eddy Saiovici reprend le spectacle une saison complète au Théâtre Tristan Bernard. La Compagnie entame sa seconde tournée. Le Dindon dans cette production a été joué 476 fois.

La même année, la Compagnie monte trois versions du Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde adaptée par Thomas et l’un des membres fondateurs de la troupe, David Caris. Une première version “ classique ”au Trianon puis au Festival Off d’Avignon 1996. Une seconde version “ moderne ” au

Théâtre de la Main d’Or et au Théâtre Rive Gauche. Enfin une dernière version en anglais avec des acteurs anglo-saxons au Théâtre Rive Gauche en 1997. A cette époque, la compagnie décide de produire un album des meilleures musiques de Sylvain Meyniac qui a réalisé les musiques originales de plusieurs de ses spectacles.

En mars 1998, la Compagnie coproduit avec Europa Dell’Arte le Cid au Théâtre de la Madeleine, avec la participation du groupe Flamenco Vivo de Luis de la Carrasca (musiciens, danseurs, chanteurs). Le spectacle tourne pendant trois ans, en province et sur Paris. D’abord au Théâtre Daunou, puis au Ranelagh ensuite au Théâtre Marigny et enfin au Théâtre Antoine. Le Cid a tourné dans sept pays et a remporté le prix du public au Festival international du Théâtre de Sarajevo en 2000. (430 représentations au total dans cette production).

Parallèlement, la Compagnie coproduit de nouveau avec Europa Dell’Arte deux pièces de René de Obaldia : d’une part Du vent dans les branches de Sassafras au Théâtre du Ranelagh, d’autre part Les Obaldiableries (création de l’auteur pour la Compagnie) au Théâtre 14.

Du vent dans les branches de Sassafras a été repris au Petit Théâtre de Paris en 2000 avant de partir en tournée. (200 représentations).

En 2002, La Compagnie reprend du service, elle coproduit toujours avec Europa dell’arte un spectacle musical « 1+1=2 » au Vingtième-Théâtre et crée en 2003, seule « Le Manège du pouvoir » de Jean-Pierre About, coréalisé avec le Théâtre 14. L’année d’après, la Compagnie crée, seule à nouveau, une nouvelle pièce d’Obaldia « L’Amour à trois » au Théâtre La Luna, Festival Avignon 2003. Repris au Ciné Théâtre 13, puis au Théâtre de Poche et enfin à La Comédie Bastille. (200 représentations).

A partir de l’an 2000, les productions de la compagnie s’espacent de plus en plus car Thomas est de plus en plus sollicité par les Théâtres et autres producteurs comme seul metteur en scène.

Maintenant, seuls les projets atypiques et qui lui tiennent vraiment à cœur sont produits par la compagnie. Tel est le cas de Marianne James, c’est sur un coup de tête que Thomas et Marianne montent « Le Caprice de Marianne » pendant le Festival d’Avignon 2003 : le succès est immédiat et MUSIC MACHINE reprend le spectacle en tournée et fera une centaine de dates. Un vrai coup de cœur pour Sentires, ballet contemporain de danse Flamenca, va emmener la compagnie à prendre de gros risques financiers en 2004 et produire sur Paris pendant huit mois au Trévise. Il faudra attendre cinq ans pour amortir le spectacle en tournée. Idem avec Andromaque de Racine avec MG prod, la compagnie aide le projet à surmonter les obstacles financiers afin que ce magnifique pari, totalement fou, finisse par voir le jour. Aujourd’hui, la compagnie revient pour mettre au monde deux nouveaux projets très ambitieux Broue et enfin Dorian Gray dans sa nouvelle version musicale et non censurée… A suivre.