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La Légende de la Fontaine Gaia conception et mise en scène: Margherita Piantini et Paul Chevillard Sous le haut patronage des Villes de Sienne et de Venise - Avec le soutien de: Afaa, Association française d’Action Artistique - Ministère des Affaires Etrangères - Thetis (Venise) Festival Fabbrica Europa (Florence) - Comportements Sonores (Paris) - Direction régionale des affaires culturelles d'Ile-de-France - Ministère de la culture et de la communication présente Gemmes et Compagnie Spectacle de théâtre d’objets La Place d’eau Spectacle automate

La Légende de la Fontaine Gaia - Gemmes et Compagnie · carrière de marbre toscan qui s’offre au regard du spectateur après l ... Gaia est trop femme et ... de star ne suffise:

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La Légende de la Fontaine Gaia

conception et mise en scène: Margherita Piantini et Paul Chevillard

Sous le haut patronage des Villes de Sienne et de Venise - Avec le soutien de: Afaa, Association française d’Action Artistique - Ministère des Affaires Etrangères -Thetis (Venise) Festival Fabbrica Europa (Florence) - Comportements Sonores (Paris) -

Direction régionale des affaires culturelles d'Ile-de-France - Ministère de la culture et de la communication

présente

Gemmes et Compagnie

Spectacle de théâtre d’objets

La Place d’eau

Spectacle automate

Conception, mise en scèneMargherita Piantini et Paul Chevillard

TextePaul Chevillard

Scénographie, personnages animésJean-Baptiste Manessier

assisté deMichel Ozeray, Tristan Adelen, Eric Jolivet

Musique spectacleGiovanni Mancuso

Ecriture vocale de GaiaMargherita Piantini

Spatialisation sonoreMarc Piera.

Musique installation animéeCerna, Rashdad

Création lumièreMarc Chauvelin, Lucilla Baroni

InterprétationPaul Chevillard

ManipulationMargherita Piantini (ou Cristiana Daneo), Brice Coupey (ou Denis Guivarc’h)

Régisseur généralBruno Lebouvier

Régie lumièreLucilla Baroni

Régie sonJean Lusignan, Bruno Lebouvier

ProductionGemmes et Compagnie

d'après "La Légende de la Fontaine Gaia” de Paul Chevillard,illustré, ainsi que le présent dossier, par Thirtsa Ullmann-Lartichaud

Quand l'eau s'arrête de couler, c'est une catastrophe.De tout temps et sur tous les continents,des prières aux dieux, des rituels magiques, des forages profondssont mis en œuvre pour tenter d'abreuver les éclats vivants d'humanité.

Le spectacle La Légende de la Fontaine Gaia fait converger en un monde unique et fantastique deux thématiques fondamentales:l'univers mythique de l'eau et la beauté d'une oeuvre d'art.

Le premier thème nous ramène aux racines de notre civilisation - de la cosmogonie grecque qui remonte à Téthys et Océanos, auxinnombrables citations bibliques et aux légendes paiennes - tout en nous projetant dans une universalité qui embrasse toutes lescultures où l ‘eau, mère génératrice, joue un rôle essentiel.

Mais cette thématique ne reste pas confinée dans un monde abstrait, lointain, puisqu'elle s'incarne dans un chef d'oeuvre, la fontaineGaia: elle entre dans un lieu, Sienne et sa Piazza del Campo si particulière, dans un temps, l'humanisme italien du XVème siècle.

L’eau apparaît dans toutes ses composantes: mythiques, symboliques, fabuleuses, sociales, naturelles, environnementales etscientifiques…

Et l’eau coule, pour de vrai, de la fontaine et sur la place animée par des roues à aubes, des mécanismes et engrenages qui nousentrainent dans d’autres univers, plus sensuels peut-être, faits de science et de mathématique, d’art et d’artisanat...

thématiques

A Sienne en Italie, l'eau n'arrive pas naturellement.

Du XIII au XV siècle, les anciens ont creusé sur des kilomètresà la ronde d'impossibles galeries, les bottini, pour conduireles sources et les ruissellements de pluie jusqu’à la ville,dans des temples-fontaines.

La fontaine Gaia, sculptée par Jacopo Della Quercia entre 1406 et 1419et édifiée sur la Piazza del Campo, le coeur de la cité, est la plus magnifique;toute de marbre sculptée de vierges et de vertus, elle ressemble à un autelportant l’offrande la plus précieuse: l’eau.

la fontaine Gaia sur la place

La Légende de la Fontaine Gaia est l'histoire de Jacopo le sculpteurqui a eu besoin d’un an, une impossible sculpture,un épouvantable orage, l'incendie de son château mais aussiune musique très particulière pour enfin aimerla mystérieuse Gaia, et ainsi permettre que l'eau coulede nouveau sur la Piazza del Campo.

A Sienne, le 17 août 1400, devant les habitants effarés, l'eau de la vieille fontaine s'arrête de couler,la chapelle s'effondre et les cloches en tombant font une musique très particulière.

la légende

Pour voir et entendre l'histoire de la fontaine Gaia, le spectateur est à l'intérieur du décor, comme dans une boite magique, sur cette place de Sienne enforme de coquillage, revisitée par l’artiste.Tout autour de lui, une étonnante animation de la cité avec son marché, ses boutiques,sa taverne et sa fontaine: les habitants s’activent, gens divers, vieuxou enfants, interpretés par des personnages automates mus par de grandes et spectaculaires roues à aubes, personnages dont les formes et expressionsémergent du bois noueux, bois flotté rapporté par la mer, proposé par l’artiste et réinterpreté par l’œil curieux du spectateur.Et ces personnages se meuvent entre les fausses perspectives d’architecture médiévale faites de fer et de tissus peints qui portent de lumineusestransparences, de même que sont aussi toiles peintes les grandes collines qui entourent l’espace en créant des horizons de paysages et desatmosphères de lumières.

Comme ses concitoyens, le personnage de Jacopo est de bois: grande figure massive et carrée manipulée à vue dans l’espace-atelier, une suggestivecarrière de marbre toscan qui s’offre au regard du spectateur après l’effondrement de la grande église qui dominait la place.Dans son dos se meut Gaia, ombre colorée de verre et de résine transparente, actionnée par un système de contrepoids qui autorise les mouvementssinueux et ondulatoires. Vision mystérieuse et fascinante, Gaia n’est pas limité à un écran, aussi grand soit-il, mais elle répand ses reflets dans un jeucomplexe de lumières sur les collines tout autour du public, enveloppant le spectateur et le maintenant dans une position centrale par rapport à la scène.Enfin, Arianna, petite messagère, participe dès le début à la vie de la place aux cotés des autres enfants; mais son regard de verre la distingue et c’est ellequi est choisie pour porter la nouvelle à Jacopo…Personnage à part, enfin, est le chroniqueur: d’os et aussi de chair, c’est un acteur qui accueille, accompagne, instruit le public des rumeurs, des pensées,des informations publiques ou non: crieur public ou commentateur, peut-être plus manipulateur qu’il ne paraît...

la musiqueLa partition sonore est texte, et non simple accompagnement ou illustration de l'action. Oeuvre de musique contemporaine, elle est conçue en utilisant voixet instruments traditionnels, mais aussi jouets, appareils ménagers et autres objets sonores les plus disparates construits artisanalement.Elle a été enregistrée puis travaillée électroniquement, notamment afin de permettre la distribution spatiale des sons en harmonie avec la dramaturgie et lascénographie à 360°.

les voixPour servir La Légende de la Fontaine Gaia , les seules voix vives ne pouvaient suffire. Les comédiens qui accueillent les spectateurs sont guides ouchroniqueurs, c’est selon, mais ils sont, en voix et en os.La fraicheur du timbre de l’enfant ayant avant tout été préférée, les chants, rires et paroles de la petite Arianna sont enregistrés, comme le sont les parolesdouloureuses de Jacopo qui lui répond.Gaia est trop femme et déesse à la fois, rêve et réalité, chair où éclats de lumières de verre, pour qu’une voix -vive ou enrégistrée - de star ne suffise: avecun vieux magnétophone Revox et des ciseaux, son après son, mot après mot ont été assemblés, ciselés, pour arriver à cette parole bilingue, si vraie etimpossible à la fois, si reconnaissable et imaginaire, enrégistrée, donc, bien entendu.

le décor, les personnages

Nous avons choisi le théâtre d ’objet pour sa potentialité à mettre le spectateur en condition active et émotionnelle de laisser libre cours à sonimaginaire: l ’objet en effet impose cette distance qui donne plus aisément à chacun la liberté d ’y projeter symboles et rêves les plus profonds.

Le public est placé au centre du décor, immergé dans l’espace, enveloppé d’atmosphères de lumières, présent aux actions qui se déroulent toutautour de lui, porté par le son que le musicien a composé et spatialisé en suivant pas à pas la création du spectacle.C’est ainsi que les images, les actions et le son expriment le contenu du texte, d’une façon simple et directe pour permettre à chacun, selon sesréférences, selon ses préférences, une lecture possible de cette « fable philosophique ».

Le texte, écrit à dessein par l’auteur de la fable, prend des formes linguistiques différentes pour le chroniqueur (sorte de troubadour contemporain)et pour les dialogues des personnages, tout en maintenant une structure concise et fortement poétique.

Les thèmes fondamentaux, l ’eau - de vie, de sagesse, de destruction -, l ’amour et la nécessité créatrice s ’expriment avec évidence dans lesdifférents personnages: il y a les incroyables gens-automates, mus par de spectaculaires mécanismes à eau, qui animent la place tout autour dupublic et montrent sans métaphore le lien de la vie et l ’eau; et puis l ’ombre colorée de Gaia: femme rêvée, surnaturelle, faite de mille éclats deverre, éclats de voix, pour porter la transparence, les couleurs et les réfractions de l ’eau dont elle est allégorie; il y a Jacopo, le sculpteur quiincarne dans sa rigidité d ’objet de bois le tourment de l ’homme qui ne pourra transformer sa nécessité créatrice en art que lorsqu ’il acceptera dese laisser nourrir par la vie à travers l ’amour; enfin la petite Arianna, messagère inconsciente qui chante la clé de l ’énigme dans sa ritournelled ’enfant.

Un spectacle très élaboré, donc, ambitieux, aux nombreux degrés de lecture, pour un public adulte et rafiné, mais où de plus jeunes pourronttrouver plaisir et écho à leur imaginaire.

notes de mise en scène

Le spectacle automate: La Place d’Eau

Le décor du spectacle La Légende de la Fontaine Gaia est assurément captivant: aussi est-il proposé de prendre le temps de le regarder dans lecadre d'une visite mise en scène appelée La Place d’Eau.

La voix d'un guide invite le passant, le badaud, le spectateur à entrer dans la place, à regarder les personnages dans leur quotidien - cesautomates faits de ce bois noueux ramassé sur les plages, animés par de grosses roues à aubes mues par l’eau, actionnés par des mécanismesde fer et de fils - à regarder les architectures de fer et de tissu, à traîner, à rêver.

La place est une place à vivre: comme sur toutes les places du monde, on s’arrête, on parle, on regarde, on mange, on boit qui sait... Des gensregardent les travailleurs, des badauds regardent les gens, et peut-être derrière leurs fenêtres, des riverains de bois surveillent les badauds dechair…

Tout autour donc, règne une forte impression de vie: personnages, scènes automates, roues à aube, mécanismes de fer sont mis en scène pourfaciliter le regard du spectateur. Pendant une demi-heure, au son d'une musique originale, le visiteur assiste au vain combat entre la voixenregistrée du guide-conférencier qui a tant d'explications à donner, et les automates bruyants, chahuteurs et désobéissants.

La Place d’Eau favorise l’accès au plus grand nombre et permet ainsi la réalisation de projets pédagogiques: des séances de travail pour lesscolaires, sur la place ou en dehors, après une visite, peuvent être organisées autour des nombreux thèmes offerts par la La Légende de laFontaine Gaia où par l’installation automate elle-même.

Ainsi peut-on citer quelques thèmes de façon non exhaustive: l’eau dans toutes ses composantes (mythiques, symboliques, fabuleuses, sociales,naturelles, environnementales et scientifiques), la mécanique à eau et la construction des personnages automates (de Leonard de Vinci à Tingely),la fontaine Gaia en tant qu’objet d’art (Jacopo Della Quercia, l’avènement de la Renaissance, la sculpture), l’espace urbain, le théâtre d’objet(signifiants, techniques et matériaux).

La Légende de la Fontaine Gaia accueille 120 spectateurs et dure 1 h.La Place d’Eau accueille 50 spectateurs et dure 28 minutes.

ÉQUIPE EN TOURNÉE3 comédiens manipulateurs, 1 directeur de scène, 1 régisseur lumière, 1 régisseur son

ESPACELe spectacle est présenté dans un espace clos, couvert (4m de hauteur minimum) et parfaitement obscur, et n ’exige pas l ’installation technique fixed ’un théâtre.Le décor est modulable, il nécessite 18 x 15 m pour sa plus grande configuration.

- une arrivée et une évacuation d'eau- électricité: 63 A par phase en 380 volt triphasé + neutre

MATÉRIEL SON ET LUMIEREselon fiche technique

CHARGEMENT, DÉCHARGEMENT- 6 personnes, 2/3 heures- le décor arrive dans un camion de 63m3; le plus grand module du décor mesure 2,20 m (hauteur), 0,50m (large), 1,80m (longueur)

MONTAGE3 jours, 1 électricien, 1 technicien son, 4 machinistes et l’équipe de Gemmes et Compagnie

DÉMONTAGE1 journée, 1 électricien, 1 technicien son, 4 machinistes et l’équipe de Gemmes et Compagnie

Informations techniques

MARGHERITA PIANTINIElle naît à Venise (Italie).Comédienne, docteur en histoire de l'Art, elle conjugue dans sa vieprofessionnelle deux axes de recherche.Au théâtre (théâtre de recherche, prose, théâtre-danse, recherche vocale,théâtre musical, théâtre d'animation), elle collabore notamment avec Dario Fo,Luca Ronconi, Gianni de Luigi, Franco Branciaroli, Gabriella Bartolomei, Malou Airaudo, Puma Freytag et avec la Compagnia del Carretto.Parallèlement,, elle développe et met en œuvre une méthode d'expressioncréative pour les enfants à partir des œuvres d'art liées à l'espace de la ville, enréalisant de nombreux projets d'animation avec la municipalité et les écoles deVenise, mais aussi de Naples, Barcelone et Paris et actuellement avecl'Unesco. Ces réalisations ont donné lieu à diverses publications.Par ailleurs, et toujours pour la Municipalité de Venise, elle été productrice etmetteur en scène de divers événements publics de rue.

PAUL CHEVILLARDIl naît à Angers (France).Après ses études de droit, il s'engage dans une double vie professionnelle:la critique cinématographique et la promotion du théâtre français àl'étranger, au sein du Ministère français des Affaires Etrangères (Afaa).Membre actif de la commission de classification des films pendant vingtans, il représente fréquemment la France à l’étranger.En 1992, il assure la responsabilité tant en France qu'en Amérique latine dela coordination de toutes les manifestations pluridisciplinaires élaboréesdans le cadre la célébration du 5ème centenaire de la découverte del'Amérique.Comédien à partir de 1993, il se forme notamment auprès d’AndreasVoutsinas et tourne entre autres au cinéma avec Alain Cavalier, JacquesDoillon, Jean-Paul Rappeneau, Nicole Garcia et dans divers téléfilms.Il est également auteur (scénarios, contes pour enfants, théâtre...).

Notices biographiques

JEAN-BAPTISTE MANESSIERIl naît à Cahors (France). Il étudie les différentes disciplines théâtrales à la Comédie de Saint-Etienne sous la direction de Jean Dasté, avant d’opter pour la scénographie.Depuis 1962, il a signé la décoration de plus de 80 spectacles tant en France qu’à l’étranger mis en scène notamment par Bruno Castan, Catherine Dasté, Jean Dasté,Armand Gatti, René Lesage, Alain Mollot, Serge Noyelle, Michel Rostain, Chattie Salaman, Pierre Vial, Antoine Vitez, Georges Wilson, Christian Jehanin, Michel Jarry,Daniel Soulier.

GIOVANNI MANCUSOIl naît à Venise (Italie). Pianiste, compositeur et chef d'orchestre , ill développe une activité de concertiste comme pianiste et comme chef d'orchestre, et a notammentdirigé nombre de premières d'oeuvres d'auteurs tels que Fabio Nieder, Olga Neuwirth, Luca Mosca, Betty Olivero... Ses oeuvres ont remporté de nombreux prix et ont étéinterprétées tant en Italie qu'à l'étranger. En 1991, il fonde l’Ensemble Laboratorio Novamusica qui interprète la plupart de ses compositions de musique de chambre.

CERNAIl nait à Pithiviers (France). Compositeur de musique hip-hop, il a participé à tous les mix-tapes du Collectif Contre-Face-Son. De l’époque où il était le rappeur desgroupes Invasion Nocturne et Unit Five est née sa collaboration avec le mc Menes Damballah qu’il poursuit toujours. Il prépare actuellement sa première musique pour lecinéma et son premier album.

MARC CHAUVELINIl naît à Paris (France) où il débute comme régisseur au théâtre Essaïon puis au théâtre du Lierre avec Farid Paya dont il créera les éclairages de la quasi totalité desspectacles. Il a créé les lumières pour les spectacles de Marianne Clévy, Elisa Toledo Todd, Odile Locquin, Mireille Larroche, Luc Ferrari, Bernard Parmegiani, Kasper T.Toeplitz, le quatuor Nomad, Sophie Renault, Philippe, Ponty, Hervé Jourdet, Didier Kowarsky, Brigitte Cirla, Vincent Audat, Anne de Broca, Yves Marc et Claire Heggen.

Gemmes et compagnieLe Conseil d’Administration

PIERRE BONZI (trésorier)Responsable du Département de l'Administration et des Affaires Générales et conseiller pour les Ressources Humaines de l'Association Française d'Action Artistique(AFAA/ Ministère des Affaires Etrangères), trésorier de l'Association du Musée du Montparnasse.

DENIS CAROTGérant et producteur au sein de la société Elzévir Films (production de longs métrages et téléfilms), associé et responsable financier de la société Escazal Films(production de fictions lourdes et séries), consultant extérieur pour le compte de plusieurs sociétés de production.Ancien administrateur du Centres Dramatique National d’Aubervilliers et du Théâtre National de la Colline, ancien directeur général des Productions Lazennec(production de longs métrages) et de la société Image et Compagnie (production audiovisuelle).

MARIE CHEVILLARD (secrétaire)Etudiante en médecine.Administratrice de l'EMIS (association des étudiants de la Faculté St Antoine, Paris)

THIERRY DECOURCELLEDirecteur des acquisitions à Océan films, société de distribution cinématographique.Ancien critique de cinéma au mensuel de cinéma Première, ancien délégué général des Rencontres cinématographiques de Seine-Saint-Denis.

ALAIN FLEURY (président)Chef du Département “Internationalisation du Système Educatif” au Centre International d’Etudes Pédagogiques (Sèvres).Ancien délégué académique pour les relations internationales et la coopération auprès du Recteur de Rennes, ancien conseiller culturel et de coopération(ambassades de France en Iran, au Guatemala, en Yougoslavie et au Vietnam), ancien chargé de mission à l'administration centrale du Ministère des Affaires étrangères.

RENÉ GACHETInspecteur Général du Théâtre honoraire, Président des journées de Lyon des auteurs de théâtre, trésorier de GRAME, Centre national de création musicale, Président del'Association culturelle castelbordettaine, Président des Conférences d'art sacré de Lyon.Ancien inspecteur général des spectacles, ancien directeur régional des affaires culturelles (Lorraine, Rhône-Alpes, Midi-Pyrénées, Ile de France), ancien chef de la Missiondu développement culturel, ancien conseiller ministériel.

FRANÇOISE GUILLERMOAdjointe au délégué à la Communication de la Bibliothèque nationale de France.Ancienne responsable des relations avec les collectivités territoriales à la Direction générale du Centre national d'enseignement à distance (CNED), ancien chef de cabinetdu secrétariat d'Etat aux handicapés, ancienne directrice de la communication de l'INA.

THOMAS PIBAROTChargé des acquisitions de longs métrages à TPS Cinéma, et de la programmation de TPS STAR et Cinéfaz.Cofondateur du Festival du Film Vidéo des Jeunes Réalisateurs à Paris X et responsable du jury.Ancien membre de la Commission de Classification des Oeuvres Cinématographiques.

MARC PIERACompositeur de musique, créateur d'architectures sonores. Cofondateur et responsable de "Espaces Sonores", société de création musicale.

SYLVIE TRUPINTrésorière de la société immobilière du Lycée Français de Prague (République Tchèque), ancien directeur administratif et financier de la société Le Book Edition(publications spécialisées pour les professionnels de l'image), ancien chef de projet partenariat bancaire (Natexis banque), ancien directeur administratif et financier d'unerevue musicale en Argentine, ancienne présidente du Théâtre Jules Verne (Nantes).

D ’après l’histoire originale La Légende de la Fontaine Gaia écrite par Paul Chevillard,traduite en italien par Margherita Piantini, et illustrée par Thirsta Ullmann-Lartichaud.Texte de l’installation animée la Place d’Eau: Paul Chevillard.

Conception, mise en scène spectacle et installation animée: Margherita Piantini et Paul Chevillard.

Décors et personnages animés: Jean-Baptiste Manessier,assisté de Michel Ozeray, Tristan Adelen, Eric Jolivet, et de Arnaud Baldassari, Thierry Cello, Emmanuel Duro, Alexandre Farinelli, Florence Hinneburg,Henate Landais, Pascal Lapierre, Ismaël Manessier, Pascal Quintard, Emmanuelle Sage-Lenoir.

Musique spectacle : Giovanni Mancuso.Réalisation technique audio: Riccardo Farnea.

Ecriture vocale de Gaia: Margherita Piantini.Elaboration digitale de la voix de Gaia: Hubert Westkemper.

Spatialisation sonore: Marc Piera.

Musique installation animée: Cerna et Rashdad.

Interprétation musicale spectacle: Ensemble Laboratorio Novamusica avec Cecilia Vendraso (flûte et instruments accessoires), Stefano Cardo (clarinette et instrumentsaccessoires), Massimiliano Donninelli (saxophone et instruments accessoires), Umberto De Nigris (trombone), Antonio Ceravolo (percussions), Carlo Carratelli (piano),Miirko Busatto (guitarre et instruments accessoires), Piergabriele Mancuso (violon et instruments accessoires), Andrea Carlon (contrebasse); remerciements au FlaminiaStreet Jazz Band.

Voix spectacle et installation animée: Margherita Piantini (Gaia, la guide), Paul Chevillard (Jacopo, le guide), Arianna Bianchi (Arianna).

Création des lumières du spectacle: Marc Chauvelin, Lucilla BaroniImplantation électrique: Spazioluce.

Interprétation: Paul ChevillardManipulation: Margherita Piantini, Brice Coupey, Cristiana Daneo, Denis Guivarc’h

Régisseur général:Bruno Lebouvier.Régie lumière: Lucilla Baroni.Régie son: Jean Lusignan.

Administration: le bureau des arts.

Production: Gemmes et Compagnie.

Avec l ’aide de l ’Afaa, Association Française d ’Action Artistique - Miinistère des Affaires Etrangères, Direction régionale des affaires culturelles d'Ile-de-France - Ministère de la culture et de la communication, Festival Fabbrica Europa (Florence), Thetis (Venise), Comportements Sonores (Paris).

La Légende de la Fontaine Gaia bénéficie du haut patronage des Villes de Sienne et de Venise.

La Légende de la Fontaine Gaia a été créée au Festival Fabbrica Europa (Florence, Italie) le 27 mai 2001et en France à la Ferme du Buisson- Espace Lino Ventura en janvier 2002.

Remerciements sincères à Grabriella Bartolomei, Giulio Bertolin, Marie Chevillard, Pierre Creisson, Maurice Jondeau, Yves Marc, François Marillier, Marc Piera, BrigittePougeoise, Hélène Trochon, Sylvie Trupin.

Générique

146 rue de Charenton 75012 - Paristel. +33 6 86 16 24 16<[email protected]>

Margherita PiantiniS. Polo 2370 30125 Veneziatel. +39 041 71 96 61/+39 348 09 34 187< [email protected]>

Paul Chevillard 6 Square des Cardeurs 75020 Paristel. +33 1 43 48 27 59 /+33 6 86 16 24 16<[email protected]>

Gemmes et compagnie

<www.gemmesetcompagnie.com>