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1985, c'est le debut de la democra- tisation des PC ! Les prix deviennent abordables et les entreprises commen- cent a s'equiper. C'est dans ce contexte que naît BBS Slama, le 1er mai. Les deux freres Bruno et Bernard Slama decident de fonder une entreprise de developpement de logiciels informa- tiques pour assister les bureaux d'etudes thermiques dans leurs calculs. Ils s'appuient pour cela sur l'expe- rience de leur pere, createur du bureau d'etudes thermiques BET Slama. Les logiciels d'etudes thermiques consti- tuent alors un marche de niche. Pen- dant longtemps, BBS Slama n'aura ainsi que trois concurrents, tous nes a la meme epoque. Le démarrage Le premier logiciel de BBS Slama est lance a la creation de l'entreprise sous le nom de TH BBS. Il calcule les deper- ditions et effectue les calculs reglemen- taires (coefficients K, G et B). TH BBS est rapidement remplace par le logiciel Helios. En meme temps, BBS Slama lance le logiciel Alize pour calculer les apports. La lettre ÉDITO En 30 ans, les lois de la phy- sique n'ont pas change, mais la façon dont les thermiciens les traduisent a ete profondement transformee. Dans le bon vieux Titre II*, les murs avaient un coefficient K, les fenetres une permeabilite et les degres jours permettaient de prevoir les consommations. Aujourd'hui les composants du bati sont determines par des calculs aux elements finis. La STD et la SED, dans des calculs au pas de temps horaire, per- mettent d'apprehender fine- ment l'evolution du bati, de ses reseaux et de ses systemes. Durant trente ans, BBS Sla- ma, que j'avais cree avec mon frere Bernard, a suivi ces evolu- tions et les a quelques fois pre- cedees. Aujourd'hui, BBS, avec ses cinq docteurs et ses huit ingenieurs, se veut toujours a la pointe de ces recherches et de ces innovations. Bonne lecture, BRUNO SLAMA (*) DTU de 1975 pour le calcul des deperditions BBS Slama fête ses 30 ans! n°46 / mai 2015 BBS Slama La societe BBS Slama est nee le 1er mai 1985 et vous propose, a l’occasion de ses trente ans, une retrospective des moments cles de son developpement a la lumiere de l’evolution des reglementations thermiques. 1985, c'est encore l’epoque des pre- mieres reglementations thermiques (RT). La premiere date de 1974 et fait suite au premier choc petrolier. Elle ne s’applique qu'aux batiments neufs d'ha- bitation. Son but : reduire de 25 % la consommation energetique des bati- ments par rapport a la fin des annees 1950, en tenant compte de l’isolation des parois exterieures et du renouvelle- ment de l’air afin de limiter les deperdi- tions de chaleur. Deux coefficients sont instaures. Le coefficient de transmission thermique K et le coefficient G de "deperditions globales" du logement. En 1976, le sec- teur tertiaire se dote a son tour d’une RT qui necessite le calcul d’un coeffi- cient G1, soit les deperditions d’un lo- cal par toutes ses parois. La RT 1982, nee apres le deuxieme choc petrolier, impose une reduction supplementaire de 20 % de la consom- mation energetique des batiments. Elle introduit un nouveau coefficient, le coefficient B pour "Besoins de chauf- fage", obtenu en retranchant du coeffi- cient G les apports gratuits recupe- rables (apports solaires qui dependent principalement des surfaces vitrees et de leur orientation). La RT 1988 concerne, cette fois, les batiments neufs residentiels, a qui elle impose une reduction energetique sup- plementaire de 20 %, et les batiments non residentiels, a qui elle impose une Photos d’archives datant de 1984. ©BBS Slama ©BBS Slama 1

La lettre - BBS Logiciels · 2016-06-10 · La lettre ÉDITO En u ans, les lois de la phy-sique n'ont pas change , mais la façon dont les thermiciens les traduisent a e te profonde

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1985, c'est le de but de la de mocra-tisation des PC ! Les prix deviennent abordables et les entreprises commen-cent a s'e quiper. C'est dans ce contexte que naî t BBS Slama, le 1er mai. Les deux fre res Bruno et Bernard Slama de cident de fonder une entreprise de de veloppement de logiciels informa-tiques pour assister les bureaux d'e tudes thermiques dans leurs calculs.

Ils s'appuient pour cela sur l'expe -rience de leur pe re, cre ateur du bureau d'e tudes thermiques BET Slama. Les logiciels d'e tudes thermiques consti-tuent alors un marche de niche. Pen-dant longtemps, BBS Slama n'aura ainsi que trois concurrents, tous ne s a la me me e poque.

Le démarrage

Le premier logiciel de BBS Slama est lance a la cre ation de l'entreprise sous le nom de TH BBS. Il calcule les de per-ditions et effectue les calculs re glemen-taires (coefficients K, G et B). TH BBS est rapidement remplace par le logiciel He lios. En me me temps, BBS Slama lance le logiciel Alize pour calculer les apports.

La lettre

ÉDITO

En 30 ans, les lois de la phy-sique n'ont pas change , mais la façon dont les thermiciens les traduisent a e te profonde ment transforme e.

Dans le bon vieux Titre II*, les murs avaient un coefficient K, les fene tres une perme abilite et les degre s jours permettaient de pre voir les consommations.

Aujourd'hui les composants du ba ti sont de termine s par des calculs aux e le ments finis. La STD et la SED, dans des calculs au pas de temps horaire, per-mettent d'appre hender fine-ment l'e volution du ba ti, de ses re seaux et de ses syste mes.

Durant trente ans, BBS Sla-ma, que j'avais cre e avec mon fre re Bernard, a suivi ces e volu-tions et les a quelques fois pre -ce de es. Aujourd'hui, BBS, avec ses cinq docteurs et ses huit inge nieurs, se veut toujours a la pointe de ces recherches et de ces innovations.

Bonne lecture,

BRUNO SLAMA

(*) DTU de 1975 pour le calcul des de perditions

BBS Slama fête ses 30 ans!

n°46 / mai 2015 BBS Slama

La socie te BBS Slama est ne e le 1er mai 1985 et vous propose, a l’occasion de ses

trente ans, une re trospective des moments cle s de son de veloppement a la lumie re

de l’e volution des re glementations thermiques.

1985, c'est encore l’e poque des pre-mie res re glementations thermiques (RT). La premie re date de 1974 et fait suite au premier choc pe trolier. Elle ne s’applique qu'aux ba timents neufs d'ha-bitation. Son but : re duire de 25 % la consommation e nerge tique des ba ti-ments par rapport a la fin des anne es 1950, en tenant compte de l’isolation des parois exte rieures et du renouvelle-ment de l’air afin de limiter les de perdi-tions de chaleur.

Deux coefficients sont instaure s. Le coefficient de transmission thermique K et le coefficient G de "de perditions

globales" du logement. En 1976, le sec-teur tertiaire se dote a son tour d’une RT qui ne cessite le calcul d’un coeffi-cient G1, soit les de perditions d’un lo-cal par toutes ses parois.

La RT 1982, ne e apre s le deuxie me choc pe trolier, impose une re duction supple mentaire de 20 % de la consom-mation e nerge tique des ba timents. Elle introduit un nouveau coefficient, le coefficient B pour "Besoins de chauf-fage", obtenu en retranchant du coeffi-cient G les apports gratuits re cupe -rables (apports solaires qui de pendent principalement des surfaces vitre es et de leur orientation).

La RT 1988 concerne, cette fois, les ba timents neufs re sidentiels, a qui elle impose une re duction e nerge tique sup-ple mentaire de 20 %, et les ba timents non re sidentiels, a qui elle impose une

Photos d’archives datant de 1984.

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Sortie des logiciels fondateurs

En 1989, BBS Slama lance Maste re qui regroupe les fonctionnalite s d'He -lios et Alize . Le logiciel est compose de plusieurs modules pour re aliser les diffe rents calculs ne cessaires au res-pect des RT. Suivent E co-logis pour le diagnostic thermique des ba timents (devenu depuis E co-diag) et Vector pour tracer et dimensionner les re -seaux eau et air.

A la me me e poque, BBS Slama commence a re aliser des logiciels de dimensionnement des e quipements et d’e quilibrage des re seaux pour son propre compte mais aussi a la de-mande, pour des fabricants. Le pre-mier partenariat est signe avec le groupe Acome.

En 1996, Maste re et Vector sont regroupe s dans le logiciel phare de BBS, Clima-Win, qui marque le pas-sage de Dos a Windows. Le logiciel se de veloppera largement avec l'arrive e de la RT 2000 et sera comple te petit a petit par de nouveaux modules.

La diversification

En 2004, BBS Slama investit dans le domaine de l'e lectricite avec la naissance de BBS Conception et du logiciel Lise Elec de calcul e lectrique pour les installations industrielles et tertiaires. Celui-ci sera comple te en 2009 par Lise PV pour optimiser et normaliser les installations photo-voltaî ques.

En 2011, BBS Slama va a la ren-contre de nouveaux clients. Alors que jusqu'ici ces derniers e taient essen-tiellement des bureaux d'e tudes thermiques et des fabricants de mate -riels du ge nie climatique, l’entreprise cible maintenant l'amont de la chaî ne, c'est-a -dire les architectes, menui-siers, façadiers... qui effectuent le cal-cul des caracte ristiques thermiques des produits prescrits par les bureaux d'e tudes.

Pour cette nouvelle activite , BBS Slama cre e une filiale de die e baptise e BBS De veloppement. La gamme de logiciels s'e tend avec des produits de plus en plus spe cialise s

comme Physalis Façade ou Physalis Menuiserie.

Au fil du temps, les calculs sont devenus impossibles a faire a la main. Le marche des logiciels de die s s'est fortement de veloppe et BBS Slama s'est impose aupre s de la plupart des bureaux d'e tudes importants.

Depuis toujours, l'une des carac-te ristiques de l’entreprise est de tra-vailler, en comple ment du de veloppe-ment de logiciels, a l'e laboration des normes et des me thodes algorith-miques.

Du calcul des pertes de charge dans les re seaux au calcul multizone en simulation thermique dynamique, notre travail s’est impose comme une re fe rence.

Une croissance sans faille!

1985 : la socie te comprend les deux fondateurs et une salarie e. Rapidement, une deuxie me per-sonne est embauche e. Ces deux premiers employe s travaillent toujours pour l’entreprise!

1990 : BBS Slama compte environ cinq personnes dont une per-sonne de die e a la hotline.

2000 : l'effectif se monte a une dizaine de personnes.

2010 : BBS Slama et BBS Concep-tion comptent une quinzaine de salarie s.

2015 : l'effectif global atteint une vingtaine de salarie s.

BBS Slama aux salons Interclima et Enéo 2013 © BBS Slama

re duction e nerge tique de 40 %. Elle ne se contente plus de calculer les de perditions de chaleur lie es au ba ti. Un nouveau coefficient apparaî t : le coefficient C qui permet un calcul the orique base sur l'ensemble des besoins de chauffage et d’eau chaude sanitaire (ECS) en tenant compte des rendements des e quipements.

Pour les ba timents non re siden-tiels, les exigences du coefficient G1 sont renforce es, concernant la re gu-lation, la programmation, le comp-tage e nerge tique et certains e quipe-ments comme la climatisation et les e quipements de ventilation qui sont pris en compte.

La RT 2000 vise une baisse de 20 % de la consommation maximale des logements par rapport a la

Avec la RT 2005, qui demande une ame lioration de 15 % de la perfor-mance thermique et s'applique aux ba timents neufs et parties nouvelles, la notion de bioclimatisme fait son apparition et les exigences sur le ba ti sont renforce es. Les e nergies renou-velables, les consommations e nerge -tiques ainsi que la performance des e quipements sont prises en compte.

RT 1988 et une re duction de 40 % pour les ba timents tertiaires. Contrai-rement aux pre ce dentes re glementa-tions, qui imposaient uniquement des exigences de moyens, la RT 2000 voit l’apparition d’une exigence de performance globale du ba timent mais aussi de confort d’e te , via le coefficient TIC.

La dernie re re glementation ther-mique entre e en vigueur est la RT 2012. Elle constitue un tournant de par ses exigences de moyens et de re sultats.

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De l’eau, oui mais...

E tant pose que le fluide conside -re est exclusivement de l’eau (cf. encadre ), quelles peuvent e tre les autres informations a fournir le ca-racte risant ? De l’eau oui, mais com-bien ? Quand ? A quelle vitesse ? A quelle tempe rature ? Tous ces e le -ments sont ne cessaires a l’e tablisse-ment des pertes. En effet, celles-ci s’expriment directement en fonction de la tempe rature moyenne du fluide circulant dans la distribution, de la façon suivante :

∆T. Umoyen. Longueur. Modulation

Avec : Umoyen : perte line aire moyenne

des conduits de distribution (cf. Lettre BBS n°45)

Longueur : longueur des con-duits de distribution (cf. Lettre BBS n°45)

∆T est la diffe rence entre la tempe rature ambiante et la tempe rature moyenne du fluide, la tempe rature moyenne du fluide e tant la moyenne entre la tempe rature de l’aller et la tempe rature du retour.

Modulation est un coefficient de modulation des pertes de re seaux, fonction, entre autres, de leur gestion (cf. paragraphe suivant).

Ces deux valeurs sont de termi-ne es, notamment, en fonction du mode de gestion du réseau (cf. paragraphe suivant). Les autres pa-rame tres e tant les tempe ratures de

de part ou retour, les chutes de tem-pe rature dans les e metteurs, les de -bits re siduels e ventuels etc., soit plus ge ne ralement toutes les infor-mations de dimensionnement des re seaux et des e metteurs (cf. para-graphe suivant).

La gestion des réseaux

Le mode de gestion des re seaux fait re fe rence a deux parame tres concernant la circulation de l’eau dans la distribution.

Il s’agit des re gulations de :

la circulation

a de bit constant - fonctionne-ment continu,

a de bit constant - fonctionne-ment intermittent,

a de bit variable ;

la tempe rature de part constant, retour constant, de part module en fonction de la tempe rature exte rieure.

Les informations de dimensionnement

Ces donne es, permettant d’ap-pre cier les de bits et tempe ratures du fluide circulant, sont issues du dimensionnement de l’installa-tion. Un calcul réglementaire n’a pas pour finalité de dimension-ner. C’est la de marche inverse qui doit e tre employe e. Le dimensionne-ment fournit les donne es d’entre e du calcul re glementaire.

Ceci conduit parfois a une redon-dance de certaines informations dans la description des re seaux et/ou des e metteurs. Il n’y a pas force -ment de ve rification de cohe rence entre les valeurs saisies. Cette cohe -rence a normalement e te assure e lors du dimensionnement.

À lire : "Saisie et optimisation des ré-seaux de distribution de chauffage et d’eau chaude sanitaire en résiden-tiel" (guide pratique RT 2012) édité par l’association des professionnels pour le chauffage durable Énergies et Avenir. Disponible sur www.energies-avenir.fr ou www.bbs-slama.com (rubrique téléchar-gement de documents)

Le premier e pisode de notre se rie a suspense « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les pertes de distri-

bution » (cf. Lettre BBS n°45) e tait consacre a la caracte risation des canalisations. Le fluide circulant dans ces con-

duits est e galement a de finir et c’est ce point que nous de veloppons dans ce second e pisode.

Réseaux de distribution d’eau :

deuxième partie

3

Dossier technique : les réseaux de distribution hydrauliques et aérauliques

Qu’est-ce que l’émission directe dans les locaux ?

Ces termes que vous pouvez voir apparaî tre lors de la saisie des syste mes, en mode RT 2012, n’indiquent pas que votre jeu te le pre fe re est filme en direct dans votre salon. C’est simple-ment la caracte risation des sys-te mes d’e mission de froid ou de chaud qui ne ne cessitent pas de description des pertes de distri-bution.

Notons que la RT ne fait e tat que des pertes de distribution d’eau (chaude ou froide), a l’ex-clusion de tout autre fluide. C’est-a -dire que les pertes de distribution des fluides calopor-teurs, notamment ceux des sys-te mes thermodynamiques air/air, ne sont pas de taille es.

L’absence de description de ce type de pertes implique que les syste mes dits « a de tente directe » soient classe s dans la cate gorie des émissions directes dans les locaux. Il peut paraî tre singulier de pre tendre qu’un ensemble constitue d’une unite inte rieure et d’une unite exte -rieure se re duise a une émission directe comme le serait un simple radiateur e lectrique. C’est malgre tout le cas et c’est justifie par cette absence de prise en compte du transport entre les deux unite s.

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BBS Slama

Lettre n°46

Mai 2015

Cette lettre d’information est éditée par BBS Slama www.bbs-slama.com

Ils ont rejoint Édibatec

Clipsol, groupe GDF Suez, fabricant français de solutions solaires ther-miques et photovoltaî ques

BBS Slama vous propose :

Des formations sur ses logiciels 9 et 10 juin : ClimAudit a Clermont-Ferrand 16-17 juin : Clima-Win a Paris 24 juin : Clima-Win STD a Clermont-Ferrand Des webconférences gratuites sur ses logiciels 4 et 18 juin : Clima-Win AEC 9 juin : Physalis Façade/Menuiserie 16 juin: Physalis dans Clima-Win

Le 17 juin, un après-midi scienti-fique autour de la paroi vitrée. En collaboration avec le SNFA, BBS organise un apre s-midi de confe rences et de bats autour de la menuiserie et de la fene tre. Cela se de roulera a la FFB, a Paris, rue du De barcade re. Événement gratuit. Inscrivez-vous sur notre site internet.

Le 15 septembre et le 8 octobre pro-chains, deux autres journées scienti-fiques Le nombre d'inscrits sera cette fois-ci limite a trente et nous ciblerons les sujets pour pouvoir les approfondir pleinement. Le 15 septembre, nous traiterons des ponts thermiques : me thode, normes, cas pratiques de ponts thermiques sur un mur, au sol ou au sein d’une façade rideau. Le 8 octobre, le matin sera consacre a l'Audit et l'apre s-midi a Clima-Win

Inovalp, fabricant français de poe les a granule s

Groupe Trace, fournisseur mondial de contenu nume rique 3D pour l’inge -nierie (TraceParts) et e diteur de logi-ciels de concep-tion d’installa-tions e lectriques, de calculs et d’automatismes industriels (Trace Software Interna-tional)

En bref

Simulation énergétique dynamique : toujours plus de possibilités

Le calcul de simulation de Clima-Win a e te prolonge au calcul des con-sommations, assorti de fonctionnalite s supple mentaires. Il est ainsi pos-sible de lancer un calcul de comportement hiver et e te avec une puissance installe e insuffisante. Il est e galement possible d’e tudier le comportement des locaux en cas de panne brutale hiver ou e te , le jour et l’heure de la panne e tant librement fixe s par l’utilisateur. Ces nouvelles fonctions sont disponibles dans le cadre du module Comportement STD de Clima-Win.

Faites-nous part de vos envies! Si vous souhaitez donner votre avis sur les orientations pos-sibles de BBS Slama concernant l'acoustique, les ponts ther-miques ou tout autre domaine traite par nos logiciels, vous

pouvez le faire gra ce aux formulaires disponibles sur le site de l’entreprise.

Journée scientifique du 8 avril : le bilan La journe e scientifique organise e le 8 avril par BBS Slama a re uni 53 personnes dans une ambiance studieuse pour 7 h

de pre sentation et de de bats. Les the matiques aborde es ont e te les com-posants du ba timents, les enjeux du BIM pour le calcul thermique, l'audit e nerge tique et les approches STD. Vous pouvez retrouver l'inte gralite des pre sentations sur notre site internet, espace téléchargement.

BBS se lance sur les réseaux sociaux Ne perdez plus rien de l’actualite de BBS Slama et retrouvez-nous de sormais sur Twitter, Facebook, Google +, Youtube et LinkedIn.

Rendez-vous { ARICAD BBS Slama sera pre sent a la journe e ARICAD du 11 juin avec

un stand de die au BIM et Climawin AEC. Retrouvez toutes les infos sur www.aricad.fr/aricad-au-velodrome-national_1035640_1014341.html

Le sixième Bim's Day, c’est pour le 18 juin Au programme cette anne e, un tour d’hori-

zon international pour dynamiser la strate gie de la France ainsi que des cas concrets et travaux en cours de Mediaconstruct pour mieux vous po-sitionner sur le marche du BIM. Inscription obligatoire. Quand? Le 18 juin, de 8h30 a 17h, avec cocktail le midi. Ou ? A l’auditorium de la FFB, 7-9 rue La Pe rouse 75016 Paris A quel tarif? E ve nement gratuit pour les adhe rents a Mediaconstruct - 120 euros TTC pour les non-membres (60 euros TTC la demi-journe e).