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A LIRE Bio Partenaire en mouvement : nouvelles filières - cacao, eau florale, tisanes, vins aromatisés - et nouveaux adhérents Interview : Quelles synergies entre les Indications Géographiques et les filières biologiques ? Retour sur le Forum PPAM – Filière d’avenir EDITO Pour le maintien de terroirs vivants et innovants ! Les terroirs sont des aires géographiques naturelles particulières, reconnues notamment pour leurs spécificités agricoles. Les agriculteurs vivent de ces ressources et les exploitent au bénéfice de la société, majoritairement non agricole. Par leur métier ils sont donc les acteurs de ces espaces, mais aussi la principale variable de ceux-ci, puisqu’ils modèlent la vie culturelle des terroirs. Ils détiennent de nombreux savoir-faire ; techniques d’agencement des châtaigneraies en terrasse, élevage de races de pays, méthodes de vinification, etc. Ce sont des atouts de hautes valeurs souvent méconnus ou pas assez considérés. Qu’adviendraient-ils si nous perdions ces métiers agricoles ? Sans eux, plus de parcs régionaux, le déclin de notre patrimoine gastronomique, des variétés standardisées, des campings à la ferme sans ferme… Heureusement, de nombreuses initiatives veillent au maintien du tissu rural et de ses richesses. Les techniques de lutte biologique, les acquisitions foncières collectives proposées par Terre de Liens, ou encore le réseau Slow Food qui milite pour des produits bons propres et justes, sont autant d’acteurs qui innovent pour le maintien d’une agriculture durable et humaine. Les entreprises de Bio Partenaire s’inscrivent également dans cette dynamique. A notre échelle, nous portons des projets et des moyens concrets pour appuyer nos partenaires producteurs. Ceci se concrétise par exemple par des formations HACCP avec les cueilleurs de plantes médicinales. En Amérique Latine, il s’agit d’investissements pour les programmes de sélection et de greffage de cacaos aromatiques, incontournables pour assurer le futur des cacaoculteurs. Lorsqu’il s’agit de soutenir des productions typiques l’innovation peut être un bon levier. Elle semble être savourée par les consommateurs, comme le montre le succès du boulgour de petit épeautre de Haute Provence ou plus récemment, celui des chocolats capiteux de Sao Tomé et des vins d’Aquitaine aromatisés aux fruits. Des produits labellisés Bio Solidaire ou Bio Equitable. N°12/ HIVER 2012-2013 Nous sommes convaincus que les entreprises doivent jouer un rôle moteur dans le développement actif des territoires. Avec les acteurs de la production et vos engagements, continuons ce mouvement dynamique et créatif pour que les terroirs soient des espaces vivants et innovants ! L’équipe de Bio Partenaire et son conseil d’administration vous souhaite une belle année solidaire et équitable ! Didier PERREOL-Président Pierre GAUBERT -Coordinateur

la lettre d'info de BIO PARTENAIRE de l'hiver

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A découvrir notamment : Les nouveaux adhérents et nouvelles filières de Bio Partenaire Les synergies entre Indications Géographiques et l’agriculture Bio Le retour sur le forum PPAM de décembre … et d’autres actu de l’association

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Page 1: la lettre d'info de BIO PARTENAIRE de l'hiver

A LIRE • Bio Partenaire en mouvement :

nouvelles filières - cacao, eau florale, tisanes, vins aromatisés - et nouveaux adhérents

• Interview : Quelles synergies entre les Indications Géographiques et les filières biologiques ?

• Retour sur le Forum PPAM – Filière d’avenir

EDITO

Pour le maintien de terroirs vivants et innovants !

Les terroirs sont des aires

géographiques naturelles particulières, reconnues

notamment pour leurs spécificités agricoles. Les

agriculteurs vivent de ces ressources et les exploitent au

bénéfice de la société, majoritairement non agricole. Par

leur métier ils sont donc les acteurs de ces espaces, mais

aussi la principale variable de ceux-ci, puisqu’ils

modèlent la vie culturelle des terroirs. Ils détiennent de

nombreux savoir-faire ; techniques d’agencement des

châtaigneraies en terrasse, élevage de races de pays,

méthodes de vinification, etc. Ce sont des atouts de

hautes valeurs souvent méconnus ou pas assez

considérés. Qu’adviendraient-ils si nous perdions ces

métiers agricoles ? Sans eux, plus de parcs régionaux, le

déclin de notre patrimoine gastronomique, des variétés

standardisées, des campings à la ferme sans ferme…

Heureusement, de nombreuses

initiatives veillent au maintien du tissu rural et de ses

richesses. Les techniques de lutte biologique, les

acquisitions foncières collectives proposées par Terre de

Liens, ou encore le réseau Slow Food qui milite pour des

produits bons propres et justes, sont autant d’acteurs

qui innovent pour le maintien d’une agriculture durable

et humaine.

Les entreprises de Bio Partenaire

s’inscrivent également dans cette dynamique. A notre

échelle, nous portons des projets et des moyens

concrets pour appuyer nos partenaires producteurs.

Ceci se concrétise par exemple par des formations

HACCP avec les cueilleurs de plantes médicinales. En

Amérique Latine, il s’agit d’investissements pour les

programmes de sélection et de greffage de cacaos

aromatiques, incontournables pour assurer le futur des

cacaoculteurs.

Lorsqu’il s’agit de soutenir des

productions typiques l’innovation peut être un bon

levier. Elle semble être savourée par les

consommateurs, comme le montre le succès du

boulgour de petit épeautre de Haute Provence ou plus

récemment, celui des chocolats capiteux de Sao Tomé et

des vins d’Aquitaine aromatisés aux fruits. Des produits

labellisés Bio Solidaire ou Bio Equitable.

N°12/ HIVER 2012-2013

Nous sommes convaincus que les entreprises

doivent jouer un rôle moteur dans le développement

actif des territoires. Avec les acteurs de la production et

vos engagements, continuons ce mouvement

dynamique et créatif pour que les terroirs soient des

espaces vivants et innovants !

L’équipe de Bio Partenaire et son conseil

d’administration vous souhaite une belle année

solidaire et équitable !

Didier PERREOL-Président

Pierre GAUBERT -Coordinateur

Page 2: la lettre d'info de BIO PARTENAIRE de l'hiver

Bio Partenaire en

mouvement

République Dominicaine : Pronatec et

la FUNDOPO engagés en BIO

EQUITABLE Le programme développé depuis une douzaine

d’année entre la société PRONATEC et la FUNDOPO –

Fondation Dominicaine de producteurs biologiques-

est désormais contrôlé ESR et reconnu en BIO

EQUITABLE. Les fèves de cacao certifiées biologiques

en 2000, puis Fair Trade en 2005, pourront désormais

être valorisées comme ingrédients BIO EQUITABLE,

donnant ainsi accès à de nouveaux de marchés. 1500

petits et moyens producteurs regroupés dans 60

coopératives sont bénéficiaires du partenariat.

Formations techniques agricoles, investissement

sociaux et logistiques, et participation démocratique

ont été les clefs du succès de cette filière.

Test réalisé sur la

fermentation du cacao

dans un point de

livraison à Medina

La première eau florale

commercialisée en Bio Solidaire

L’entreprise drômoise FYTOSAN,

implantée au cœur du Diois et

développant des partenariats

forts avec des producteurs de

proximité, élargi ses filières

labellisées Bio Solidaire en

engageant un producteur

fournisseur historique de plantes

aromatiques et médicinales.

Dans un même temps, LA DROME

PROVENCALE développe sous label une

première eau florale - l’eau de bleuet - avec

la filière Bleuet de Fytosan. Son entrée

chez Bio Partenaire et un début dans la

labellisation de sa gamme de produits

cosmétiques et d’aromathérapie.

Le Dauphin rejoint Bio Partenaire avec

ses tisanes Drômoises

LE DAUPHIN, entreprise familiale des baronnies depuis

1953 s’engage auprès d’ELIXENS sur sa filière PPAM en

signant 6 recettes de tisanes Bio Solidaire tout en

finesse et en goût. Zénitude, Philtre vital, Flex

Harmonie…vont accompagner notre hiver solidaire.

Façonnier pour de nombreuses marques Bio, Le

Dauphin développe aussi sa marque d’entreprise en

s’appuyant sur des partenaires régionaux et des

plantes de terroir. Il souhaite ainsi faire perdurer

l’activité historique de son grand-père, qui a développé

cette entreprise d’herboristerie avec le tilleul des

Hauts Baronnies.

Une saveur Bio Solidaire pour les

nouveaux vins de Maison Meneau

MAISON MENEAU, fabricant

de sirop de la région

bordelaise et adhérent chez

Bio Partenaire depuis 2012

sur la filière sucre du

Paraguay Bio Equitable,

contractualise avec des

vignerons d’aquitaine pour

développer sa gamme de

vins aromatisés.

Président de l’ARBIO (interprofession bio d’Aquitaine),

son PDG M. Lasalle Saint-Jean souhaite ainsi valoriser

des vins de qualité vendus en vrac a des prix moins

intéressants pour les vignerons, qui trouvent ici une

filière respectant leurs coûts de production.

Philippe Lasalle Saint-Jean en discussion avec le vigneron

Patrick Boudon

Page 3: la lettre d'info de BIO PARTENAIRE de l'hiver

Interview

Quelles synergies entre les Indications Géographiques et les filières biologiques ? Charlotte Doucet, interviewée par Bio Partenaire, revient sur l’étude qu’elle a menée pour la Chambre Régionale d’Agriculture de Rhône-Alpes. Avant la réforme de la PAC, l’opportunité de replacer les Indications Géographiques dans le paysage des signes de qualité dont la BIO fait partie.

BP : Pourquoi cette étude sur les Indications

Géographiques (IG) ? Charlotte Doucet : L’étude porte sur trois Indications Géographiques que sont l’AOP, l’AOC et l’IGP*. Elle a été réalisée à la demande de la Chambre Régionale d’Agriculture de Rhône Alpes pour combler le manque de données accessibles sur l’impact de ces IG. Par ailleurs la réforme de la PAC en cours et les organismes en charge de la défense et de la gestion de ces signes de qualité bénéficient d’appuis financiers au niveau des programmes FEADER. Pour pérenniser leurs actions il s’avérait donc stratégique de pouvoir quantifier les retombées des IG pour les producteurs. Mon travail a été de constituer une première méthodologie d’analyse sur trois produits agricoles ; l’IGP Ail de la Drôme, l’AOC Châtaigne d’Ardèche et l’AOC Rigotte de Condrieu.

BP : Quels sont les bénéfices des IG en

Rhône Alpes ? C.D. : Nous nous sommes rendus compte que les

bénéfices sont relativement difficiles à généraliser, que nous manquions de recul et parfois de données clefs. Les trois IG étudiées sont encore récentes et cela n’a pas facilité l’approche. Elles ont été choisies pour se placer dans le cas le plus difficile en termes de méthodologie, afin que celle-ci soit applicable à l’ensemble des IG. Pour autant, nous avons identifié quelques marqueurs intéressants comme le nombre de producteurs sous signe de qualité, les écarts de prix des produits avec et sans IG ou les retombées touristiques. Mais ces marqueurs sont aussi très variables selon les productions. Sur l’aspect environnemental, certaines IG sont à peine impliquées alors que d’autres le sont beaucoup plus. Par exemple, l’AOC Châtaigne d’Ardèche se rapproche fortement de l’agriculture biologique car la fertilisation chimique y est interdite, les boues d’épuration doivent être analysées et enfouies immédiatement.

« Sur l’aspect environnemental, certaines IG sont à peine impliquées alors que d’autres le sont beaucoup plus »

BP : Et au niveau des producteurs, quelles sont les plus-values économiques ?

C.D. : Une tendance intéressante est la démarche collective des producteurs. Le regroupement permet

une structuration des filières. Par exemple pour stabiliser la qualité des productions, même si les contraintes du cahier des charges sont parfois assez lourdes. Cela apporte un plus pour la qualité des produits vendus aux consommateurs. Les collectifs apportent une légitimité et un poids dans les négociations avec les distributeurs et les entreprises. On voit aussi un impact sur l’organisation de la production, via l’utilisation de matériel collectif et le maintien de l’emploi sur le bassin de production. Le Comté en est un bel exemple.

*AOC : l'appellation d'Origine Contrôlée est un signe français qui désigne un produit qui tire son authenticité et sa typicité de son origine géographique. AOP : l'AOP est la transposition au niveau européen de l'AOC française pour les produits laitiers et agroalimentaires (hors viticulture). IGP : l'IGP distingue un produit dont toutes les phases d'élaboration, mais au moins une, ne sont pas nécessairement issues de la zone géographique éponyme mais qui bénéficie d'un lien à un territoire et d'une notoriété.

BP : Il y a-t-il des parallèles entre la Bio et les IG ?

C.D. : Ce serait dommage de les mettre en opposition car il a des points communs. Pour les producteurs de certaines IG il est plus facile d’aller vers du Bio car ils sont déjà contrôlés. En châtaignes, 200 producteurs sont en IG dont 10 en Bio. Mais d’autres cahiers des charges ne sont pas forcément convertissables. Je crois qu’il y a surtout une limite économique à payer de nouveaux contrôles pour être certifié. Pour faciliter cela, des ponts devraient pouvoir être créés entre les deux.

BP : Chez les producteurs, la certification Bio est parfois délaissée au profit de signes de qualité moins contraignants mais plus rémunérateurs, pour les laits de montagne par exemple, qu’en pensez-vous ?

C.D. : Il y a de plus en plus de labels et donc plus de choix pour l’agriculteur pour valoriser son produit en fonction des circuits de ventes. De fait, rien n’empêche les producteurs de cumuler plusieurs labels en fonction de sa stratégie. C’est la même question qui se pose au niveau des régions pour les marques bio régionales. Selon leur vision, les régions vont inclure plus ou moins l’authenticité, mettre en avant l’image du territoire ou plutôt l’environnement.

BP : Quelle sera selon vous l’évolution des IG dans les années à venir ?

C.D. : En commençant par le vin et le fromage la France a été pionnière avec ces appellations. Désormais les arbitrages et les décrets se font au niveau européen. Toutes AOC vont progressivement être transposées en AOP.

Page 4: la lettre d'info de BIO PARTENAIRE de l'hiver

Les IGP, également reconnues sur le plan européen, sont moins nombreuses et ne bénéficient pas de la reconnaissance sur le plan international. On les trouve en France, en Italie, en Espagne et dans quelques autres pays. La nouvelle PAC compte diminuer les temps de traitements des dossiers IG, car les procédures de dépôt et de modifications des appellations sont lourdes et longues à effectuer. Pour le moment c’est en moyenne dix ans de travail ! On peut donc craindre des AOC à deux vitesses. Cela dépendra aussi des enveloppes qui vont être données aux organisations. Le développement des IG devra compter avec la somme des solutions qui sont possibles pour les agriculteurs aujourd’hui, circuit courts, bio, grande distribution. Les territoires choisiront peut être les IG comme un axe stratégique pour valoriser leurs produits agricoles typiques et authentiques.

Propos recueillis par Bio Partenaire

La filière châtaignes

Bio Solidaire en Ardèche

bénéficie aussi d’une

Appellation d’Origine

Contrôlée

En France, les filières Bio Solidaire

bénéficiant d’une IG sont aujourd’hui au

nombre de 3 (châtaignes d’Ardèche, petit

épeautre de Haute Provence, riz de

Camargue) et vont en augmentant. A

l’international, l’Argane Bio Equitable du

Maroc bénéficie aussi d’une IGP.

Retour sur le forum PPAM

Bio Partenaire était présent au 1er forum PPAM du

Pont du Gard qui a rassemblé le 4 décembre dernier

plus de 160 professionnels de la filière plantes

aromatiques et médicinales en France, filière en plein

essor sur laquelle nous sommes revenus dans la lettre

d’info BP N°11.

Ce forum avait pour but d’avoir un éclairage sur les

besoins et les perspectives de développement du

secteur, et de connaitre les initiatives partenariales et

les actions de structuration de filière mise en place.

Dans le cadre de la table ronde de l’après-midi qui

traitait de différentes formes de contractualisation,

Laurence Arnod, responsable Bio Solidaire, a pu

témoigner de la démarche de partenariat et de

contractualisation inhérente au label Bio Solidaire.

Michel Krausz du CIHEF (Comité Interprofessionnel des

Huiles Essentielles Françaises) est aussi revenu sur une

expérience autour de la contractualisation sur la

lavande et lavandin qui permet de stabiliser des cours

très volatiles.

La mise en place d’une filière PPAM dans le Languedoc

Roussillon, à travers le projet SudAromaBio, se base

sur une réelle communication entre les besoins des

entreprises et les producteurs organisés en

association, comme l’explique Vincent Champenois,

président de l’association Bio Garrigue Méditerranée.

Cette stratégie devrait permettre d’installer près de

250 ha de PPAM dans cette région.

Des producteurs dans la salle ont rappelé qu’il existait

aussi des alternatives, comme la vente directe, grâce

aux regroupements de producteurs ; ces deux circuits

étant souvent source de synergies.

Retrouvez les différentes présentations de la journée

sur le site du cpparm.

Bio Partenaire sur les

ondes

Bio Partenaire était l’invité de

l’émission BIOTOP de la radio dioise

RDWA pour parler du label Bio

Solidaire en compagnie de deux

adhérents de la région, Tijlbert

Vink, directeur de L’HERBIER DU

DIOIS et Guy Leclercq , responsable

des achats chez FYTOSAN. Pendant 30 minutes, les auditeurs peuvent découvrir

les expériences des intervenants sur leurs filières et se

faire une idée de la démarche et des atouts du label

pour valoriser des produits de terroir comme le tilleul

ou les plantes aromatiques du Diois.

Ecoutez l’émission sur www.rdwa.fr

Page 5: la lettre d'info de BIO PARTENAIRE de l'hiver

Rédaction et mise en page : Bio Partenaire [email protected] 04 75 61 94 43 Merci à Charlotte DOUCET pour sa contribution

Bio Partenaire : société ou

association ?

Attention à la confusion !

Bio Partenaire se trouve être également une filiale de

la multinationale Barry Callebaut installée en Côte

d’Ivoire. Ce « jumeau », une société de négoce en

fèves de cacao biologique, est également né en 2009.

Attention à la confusion ! Nous en profitons pour

rappeler que notre association n’achète ou ne vend

aucun produits, mais vente les bienfaits d’une Bio

équitable.

Publicité en magasins bio

Bio Partenaire envoi sur demande un kit complet de PVL BIO EQUITABLE / BIO SOLIDAIRE. Passez vos commandes : 04 75 61 94 43

[email protected]

Nos projets en 2013 :

La diversification des filières Bio Solidaire est au

programme de cette année. Avec notamment, des

projets pilotes sur les productions animales et les

produits carnés ainsi que sur les plantes aromatiques.

Pour la promotion de nos labels ; de nouveaux outils

2.0 à destination des consommateurs et du grand

public et une mise à jour du Guide Catalogue des

produits dernièrement labellisés.

Adhérents 2013 :

Début 2013, nous comptons 29 entreprises chez Bio

Partenaire. BIOCOTON, VITAFRAIS ET CEMOI

CHOCOLAT sont sortis de l’association en fin d’année

dernière.

Les rendez-vous de l’association

- 20 février : formation Bio Solidaire à Valence (Drôme): contactez BIO

PARTENAIRE

- 19 mars : formation Bio Solidaire à L’Isle Jourdain (près de Toulouse) : contactez

BIO PARTENAIRE

- 11-12 avril : 25 ans d’EURO-NAT – La Bio Dans les Etoiles

- 29 mai à Nantes : NATURE ET ALIMENTS accueille l’AG de BIO PARTENAIRE.

- 30 mai à Nantes. Forum Développement Durable organisé par NATURE ET

ALIMENTS, entreprise familiale qui fête ses 100 ans.

- 9 au 19 mai : Quinzaine du Commerce Equitable 2013.