La Mouette - Trouville-sur-MerSOMMAIRE 2 > la Mouette AVRIL 2013 EDITO 3 > la Mouette AVRIL 2013 La Mouette Magazine de la Ville de Trouville - 164, bd Fernand Moureaux - 14360 Trouville-sur-Mer

La MouetteMagazine de la ville de Trouville - N° 58 - Avril 2013

SOMMAIRE

2 > la Mouette AVRIL 2013

EDITO


La MouetteMagazine de la Ville de Trouville - 164, bd Fernand Moureaux - 14360 Trouville-sur-Mer - Tél. O2 31 14 41 41

Directeur de la publication : Christian Cardon - Rédaction : Sophie Dancourt, Jessie Drouin, Daniel Simon et Mairie de TrouvilleConception graphique : service communication - Impression : Imprimerie Escandre - Sorel

Distribution : La Poste - Tirage : 5 500 ex. - Dépôt légal : 1er trimestre 2013 - Crédits photos : Office de Tourisme de Trouville et Mairie de TrouvilleCouverture : © Daniel Lefranc

Merci à toutes les personnes qui ont pris part à l’élaboration de ce magazine.

La Mouette N° 58 - Avril 2013

> Pages 4 à 5 FOCUS Musique à Trouville

> Page 6 PORTRAIT Olivier Salmon

> Page 7 A lA UNe CMJ

> Pages 8 à 12 ACTU

> Pages 13 à 15 GRAND ANGle Le CCAS

> Pages 16 à 17RePORTAGe Surf in Trouville

> Page 18 à 19 DOSSIeR La nouvelle bibliothèque

> Pages 20 à 21 VIe De QUARTIeR

> Pages 22 à 23 eNVIRONNeMeNT

> Pages 24 à 25 CUlTURe

> Pages 26 à 27 VIe ASSOCIATIVe

> Page 28 AGeNDA

> Page 29 SPORTS

> Pages 30 à 31 ReTOUR eN IMAGeS

> Pages 32 à 33lA TRIBUNe DeS CONSeIlleRS MUNICIPAUx

> Page 34 A VOUS De jOUeR !

> Page 35 BON à SAVOIR

Le Mot du Maire

La culture musicale à Trouville est promue par plusieurs institutions à forte personnalité, gérées par des mélomanes passionnés :

- l’école de musique intercommunale Claude Bolling, qui complète son activité de l’année scolaire par des ateliers d’été ;

- l’association « Les Musicales de Trouville », son « Big band » et ses formations de jazz « À géométrie variable » ;

- l’Ensemble vocal de Trouville ;

- la Maison des jeunes (par sa section de danse orientale et ses groupes de rock) ;

- les deux associations qui ont lancé les festivals de jazz « Les petits trottoirs » et « Jazz et Toques in Trouville », respectivement en juillet et octobre 2012.

Ces institutions sont complétées par les « Rendez-vous musicaux » organisés chaque mois par la ville, par les concerts organisés dans les églises trouvillaises, notamment par Nicole Marodon, organiste de nos deux orgues Cavaillé-Coll, et par plusieurs associations hé-bergées à la Maison des associations et qui promeuvent notam-ment la danse country et la danse orientale.

Cette diversité reflète la richesse des goûts et des talents des Trou-villais. Elles fonctionnent en toute indépendance et sont aidées par des subventions publiques. Celles de la ville sont majoritaires mais elles sont multipliées par celles de la Communauté de com-munes Coeur Côte Fleurie et de toutes les villes participantes dans le cas de l’école intercommunale de musique.

Christian Cardon

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AU DIAPASONA Trouville la musique est un élément aussi naturel que la mer. En partenariat avec la ville, l’école de musique intercommunale et les associations font vibrer chaque sensibilité musicale. Tous les genres coexistent. Amateurs et professionnels se fondent dans des orchestres, chantent en chœur, se rencontrent au sein de festival convivaux. Pulsations.

©SBEFestival « Jazz et Toques in Trouville » LA SECONDE ÉDITION AURA LIEU LES 4/5/6 OCTOBRE PROCHAIN EN PARTENARIAT AVEC LA VILLE ET L’OFFICE DE TOURISME. Lancé par Yves Capelle, musicien de formation et président de l’association des amis de l’école de musique, ce festival est un pur moment de convivialité adressé à un public amateur de jazz, et « plutôt urbain ».Son originalité ? Composer un programme éclectique rythmé par des pauses épicuriennes. Cette année, « les Toques Normandes » se mettent aux fourneaux et animent des ateliers culinaires, « Il y a plus de 60 restaurants à Trouville, à cette période, c’est le début de la saison de pêche de la coquille Saint-Jacques », un créneau idéal pour investir de façon gourmande et musicale la ville.

Contact : Yves Capelle – Tel. : 06 31 02 28 92 [email protected] - www.jazzintrouville.com

Le chœur de Trouville

LAURA RABIA DIRIGE DEPUIS 2002 L’ENSEMBLE VOCAL CRÉÉ IL Y A TOUT JUSTE 40 ANS.

La chef de chœur formée à la prestigieuse maitrise de Radio France impulse une généreuse idée du chant. On lui doit la reconstruction d’un chœur qui intègre aujourd’hui les voix d’enfants. « Il y a quelques trous dans les pupitres, mais j’ai l’habitude de travailler avec un chœur à géométrie variable » s’amuse Laura dont l’art consiste à rendre abordables des œuvres réputées difficiles.

Composé d’une trentaine d’adultes, l’ensemble vocal a pris l’habitude d’ouvrir ses répétitions au public. « on souhaite que les débutants puissent chanter avec nous. On les immerge dans le chœur ». Cela marche. Le chœur a recruté. En répétition 5 à 7 fois par mois, le travail artistique mené sous la baguette de Laura rayonne autour de Trouville. Souvent associées au soutien de causes solidaires, les représentations chorales tissent des liens avec d’autres ensembles comme le chœur du ministère des finances « Mélisma ».Contact : Laura Rabia - Tel. : 06 82 20 50 96 chœ[email protected]

« Aller à la rencontre du public par le chant crée des moments conviviaux»Laura Rabia

« Les musiciens doivent jouer dans les orchestres » Yves Capelle


FOCUS

Les musicales

RÉGIS FILLOLS ET CHRISTIAN CASTRE, PRÉSIDENT ET VICE PRÉSIDENT ONT FAIT DU BIG BAND LEUR SIGNATURE MUSICALE.

Autrefois fanfare, puis orchestre d’harmonie de Trouville, l’association a fait peau neuve depuis six ans. Autour d’une vingtaine de musiciens, l’association module deux formations, en grand format pour les concerts, à « géométrie variable » pour les animations.

L’orchestre composé pour moitié de professionnels et d’amateurs confirmés est sous la rythmique du chef Claude Launay. Huit représentations par an et des répétitions hebdomaires dans la chapelle Saint-Jean im-priment une vivacité reconnue.

Des pommiers de Coutances aux projets africains, le big band offre un répertoire de grands standards et d’orchestration de chansons françaises. Rodée à la logistique, l’association offre son savoir-faire au festival « jazz et toques ». Nouveaux musiciens bienvenus.Contact : Christian Castre, Tel. : 06 88 40 34 67, [email protected]

Les petits trottoirs

TOUJOURS DU JAZZ POUR L’ASSOCIATION VHF - les initiales de Virginie, Hamid et Florence, commerçants de la rue des Bains - qui propose des concerts de rue en toute convivialité.

Ouverts aux échanges et surtout au partage, les instigateurs souhaitent faire vivre leur quartier le temps d’un week-end estival. De la rue des bains à la place Tivoli, toutes les musiques du monde sont accueillies. «Le jazz est la racine de ce festival» précise Virginie. VHF prépare la seconde édition qui se tiendra les 6 et 7 juillet prochains. Au programme des scènes itinérantes dans le quartier Bon Secours pour faire résonner tous les styles de jazz, du hip hop aux accents plus soul. Le concert du samedi soir réunira sans sectarisme tous les amoureux de la musique live. Les musiciens en redemandent, ravis de l’accueil qui leur a été réservé par la ville.Contact : [email protected], www.les-ptits-trottoirs.com, tel. : 06 70 62 85 22

« On est des dingues de musique »Virginie, association VHF

L’école de musique intercommunale Claude Bolling (250 élèves)

On y découvre la musique et le chant dès six ans sans limite d’âge. Le directeur Bruno Vay, s’attache à diffuser une approche péda-gogique et ludique de la musique au travers d’initiatives porteuses :

CRÉATION D’UNE CLASSE CHAM (Classe à Horaires Aménagés Musicale). Au sein du collège Mozin, 3 heures de musique hebdomadaire sont proposées aux enfants qui le souhaitent par les professeurs de l’école de musique. Clarinette, flûte traversière, violon, violoncelle, djambé sont au programme.

L’ORCHESTRE À L’ÉCOLE René Coty est un projet socio culturel qui propose un apprentissage « à l’envers ». Sans formation musicale, des instruments sont mis à disposition des enfants. Très vite, ils se prennent au jeu et demandent… à suivre une formation musicale.

STAGES D’ÉTÉ DE MUSIQUE DE CHAMBRE. L’école les organise et met également à cette période ses locaux à disposition pour les stages lyriques et celui de harpe et chant.Toutes les écoles de l’intercommunalité ont bénéficié de l’intervention de l’école de musique.Contact : Bruno Vay, Aline Permin,Tel. 02 31 88 14 62, [email protected]

Les rendez-vous musicaux

A L’INITIATIVE DE PASCALE CORDIER, adjointe à la culture, ces rendez-vous sont destinés à faire découvrir des genres musicaux éclectiques, ces rendez-vous mensuels occupent une part très importante de la programmation musicale. D’un format court (1h15), ils inscrivent aussi bien le jazz manouche que la musique classique.

Ces rendez-vous se sont enrichis cette année de deux dates destinées au jeune public (Pierre et le loup de Prokoviev, histoire de Babar de Poulenc). Après le concert le public rencontre les musiciens autour d’un verre. Contact : Aline Permin, Tel. : 06 85 41 70 95, [email protected]


FOCUS

OLIVIER SALMON

Heureux et fier d’être Trouvillais

Lorsque l’on parle d’Olivier Salmon, il est de bon ton de parler d’un TON de grande facture, en l’occurrence de l’Association Cocktail 14-Trouvile Olympique Natation, qu’il préside talentueusement.

©Daniel Simon

« Même avec du recul et en vieillissant, il est impossible de perdre cette passion qui nous anime depuis le début »

Si «Bibi» - ainsi dénommé - a passé toute sa jeunesse à Deauville, son cœur est résolument attaché à Trouville. «Je suis particulièrement fier d’être Trouvillais,tant sur le plan professionnel, qu’associatif. C’est un plaisir inouï pour moi d’exercer mon métier d’éducateur sportif MNS au complexe nautique et de me mettre au service des familles, avec l’avantage d’être accompagné et soutenu par la Ville et sa politique associative géniale»,

La natation, il ne s’en passera jamais plus !

Mais c’est la natation qui prendra le dessus, et ne le lâchera jamais plus ! C’est d’ailleurs quasiment un record de durabilité pour Olivier Salmon qui, lors de son entrée en fonction, en 1985, à Trouville, est loin d’imaginer qu’il y sera encore 28 ans après, en sa qualité de dirigeant ! « A peine après avoir quitté l’école, je m’inscrivais à une formation de maître nageur, quatre mois plus tard. Entré comme stagiaire à la piscine de Trouville, j’y ai fait mon trou depuis… ». Diplôme en poche Olivier est particulièrement motivé. Il intègre une équipe de water-polo, qui se crée à ce moment-là. Il se lance dans l’entraînement de natation sportive. Les stages, compétitions et palmarès s’enchaînent.

Entraîneur reconnu depuis 1997 Olivier va former de nombreux athlètes. Modeste, il n’avouera pas combien de jeunes nageurs il a entraînés, « c’est assez difficile à dire, sachant que l’essentiel est de sélectionner des nageurs sortant du lot, de les voir réussir et remporter des médailles.

Le plaisir d’apprendre à nager « Le plus grisant pour moi a été d’entraîner Antoine Montier, l’un des meilleurs nageurs du club, sacré Champion de France en Nationale 2. Un véritable ambassadeur qui fait rêver les plus jeunes espoirs comme Mathilde Morraine et Joéva Bigot, toutes deux âgées de 14 ans… ».

C 14 : Un club motivé

DES ADHÉRENTS MOTIVÉSUne moyenne d’âge de 10 à 17 ans pour les 300 adhérents. De 5 à 60 ans, les membres viennent des communes environnantes, y compris de l’Eure.DISCIPLINES PRATIQUÉESNatation sportive et synchronisée en compétition et en loisirs,ENTRAÎNEURSAmélie Barette, Mathilde Morraine, Olivier Salmon ont reçu la médaille du Comité Olympique et Sportif Départemental des mains de Nicole Ameline.


PORTRAIT

©Daniel Simon

A L’INITIATIVE DE LA CONSEILLÈRE LINDA MAHNANE, 53 enfants se sont déjà investis dans la vie locale depuis la création du conseil des jeunes en 2011. Chaque conseiller a été élu sur la base d’une profession de foi portant ses propositions pour la ville. Pistes de réflexion, projets utopiques ou d’avenir, chaque idée sera débattue en commission et en séances. Animation, circulation, communication, culture, écoles, environnement, esthétique, social, sports... sont autant de domaines qui ont été investigués. Ce conseil poursuit également les projets démarrés par les précédents élus.

Mieux communiquer

Le conseil a choisi d’adhérer à l’Association Nationale des Conseils d’Enfants et de Jeunes (ANACEJ) afin de s’ouvrir sur les réalisations menées par les jeunes sur d’autres territoires. La création d’un blog et la tenue d’une page institutionnelle Facebook offriront une lisibilité de l’avancée des projets impulsés par les jeunes conseillers. 70 propositions ont été recensées dont 31 concernent les loisirs et 23 l’environnement. Yves Marie Laurelli en charge de l’animation du conseil alternera travaux en commissions et développement de la communication.

PROJETS DÉJÀ RÉALISÉS PAR LES PRÉCÉDENTS ÉLUS

− Edification d’un mur pour cacher la vue du cimetière depuis le gymnase− Retour du Cluedo à Trouville le 27 octobre dernier− Participation d’écoliers à la commission des menus des cantines− 0rganisation de compétitions de surf− Taille de la haie à l’école Delamare− Création d’un logo spécifique du Conseil Municipal des Jeunes− Négociation pour que le Pass’Jeunesse de Trouville permette aussi une réduction au Cinéma Le Morny (- 30 %)− Réalisation d’une piste cyclable à Trouville − Projections de films en extérieur sur la Plage− Mise en place du tri sélectif dans les écoles

« Ca me plaît bien d’avoir les opinions d’autres personnes concernant la ville, je voudrais monter une association de phi-lathélie ». Charles Lefrançois, 5ème.

Les dix-neuf nouveaux conseillers élus pour un an se sont retrouvés dans la salle du Conseil de l’Hôtel de ville le 16 février. L’occasion de rappeler leur rôle et leur force de proposition pour la ville.

Conseil Municipal des jeunes, acte III

C’EST LA RENTRÉE !


A LA UNE

SITUÉE AU 163 RUE DU GÉNÉRAL DE GAULLE, en bas de la rue d’Aguesseau, la Maison Médicale va s’inscrire dans le nouveau « pôle social » qui prend doucement forme dans ce quartier, avec le CCAS, la PMI, Bac Emploi et le centre d’hébergement le Trait d’Union.

« Nous souhaitions qu’elle se situe en plein cœur de ville pour faciliter en partie l’accès aux soins des nombreuses personnes âgées du quartier qui ne peuvent se déplacer qu’à pied » souligne Christian Cardon, maire de Trouville.

L’immeuble de ville se tient en lieu et place de l’ancienne trésorerie, rachetée par la ville pour un montant de 392 580 euros, afin« d’anticiper l’exode de plus en plus important des médecins vers d’autres structures de ce type, sur le secteur » explique M. Cardon qui a noté une baisse du nombre de médecins ces dernières années dans la station. La ville compte ensuite sur les loyers perçus des médecins (environ 600 euros/mois) pour amortir les dépenses effectuées par la ville.

Un bâtiment aux nouvelles normes

« Nous avons fait ce choix d’ouvrir une Maison médicale à Trouville car les nouvelles normes d’accessibilité peuvent également compliquer l’installation de médecins, en les obligeant à envisager des travaux de mises aux normes qui ont un certain coût » note le maire.

Le bâtiment de 470m2 sur deux niveaux a été totalement repensé de l’intérieur, en prenant en compte les nouvelles normes de sécurité et d’accessibilité. Le sas d’entrée est ainsi suffisamment grand pour laisser entrer un fauteuil roulant et même en cas d’urgence « envisager le passage d’une civière » affirme Pierre Claude, maire-adjoint en charge des bâtiments communaux.

LA MAISON MÉDICALE OUVRE ENFIN SES PORTES !

Idem pour l’ascenseur qui mène au premier étage, là où viennent d’ouvrir les cabinets de 4 médecins généralistes : les Drs. Régis Lehot, Alexandra Creuzet, Romain Durville et Gaëlle Germain-Corbin.

AU REZ-DE-CHAUSSÉE, 4 AUTRES SOIGNANTS DU SECTEUR PARAMÉDICAL VIENNENT COMPLÉTER L’OFFRE DE SOIN DE LA MAISON MÉDICALE :

Mme Erna Poncet, infirmière, Aurore Le Guennec, psychologue, une infirmière psychiatrique venant par intermittence depuis l’hôpital Le Bon Sauveur de Caen et les Drs. Georges Laurenceau, médecin homéopathe et mésothérapeute, ainsi que le Dr. Thiphaine Gouillard, ostéopathe.

AURORE LE GUENNEC, PSYCHOLOGUE

J’ai trouvé ce projet de Maison Médicale très intéressant, c’est d’ailleurs pour cela que j’ai proposé ma candidature pour y ouvrir un cabinet de psychothérapie,

dans lequel je reçois aussi bien des enfants que des adolescents ou des adultes, car il permet une prise en charge médicale, somatique et psychique. Cette pluridisciplinarité est intéressante, du point de vue des patients qui pourront profiter d’un relais au sein même de la Maison Médicale, dans la prise en charge de leurs soins, si nécessaire.

« la maison médicale permet un meilleur relais dans la prise en charge des patients »

Après une année de travaux d’aménagement et de réhabilitation, la maison médicale de Trouville a ouvert au public au mois de février.

ACTU


©Jessie Drouin

Des espaces confortables et lumineux

Les couloirs sont larges et les salles d’attente du rez-de-chaussée et du premier étage confortables, spacieuses et lumineuses. « Tous les murs ont été cassés à l’intérieur afin de restructurer les volumes et offrir un maximum d’espace et de lumière aux personnes fréquentant la Maison Médicale » se félicite Pierre Claude.

Partout, des couleurs pastel sur les murs, vert, rose, jaune, gris, qui apportent une touche à la fois de fraîcheur et de gaieté, au lieu. « Chaque médecin a choisi sur palette les couleurs qu’il souhaitait pour son cabinet» ajoute M. Claude. Les premiers patients n’ont pas mis longtemps à trouver le chemin de leur nouveau cabinet. La plupart d’entre eux se dit satisfait par ces nouveaux locaux « accueillants et chaleureux. Il y a même un large choix de jouets pour les enfants, dans la salle d’attente » apprécie une jeune mère de famille, bien heureuse de pouvoir occuper ses enfants lorsque les attentes se font un peu longues !

RECRUTEMENT DES SAISONNIERSLa Ville de Trouville sur Mer recrute chaque année environ 120 personnes pour des contrats de un à six mois.La période estivale est l’occasion de renforcer les divers services municipaux afin de répondre aux besoins de la population locale et touristique. Les agents sont affectés à des missions :d’animateur (BAFA), d’agent d’entretien, de maître nageur sauveteur à la piscine (BEESAN, BPJEPS AAN…) ou au poste de secours (BNSSA), de parasolier sur la plage, d’agent polyvalent (voirie, espaces verts, cantonnier), d’agent de surveillance de la voie publique, d’agent d’accueil et de surveillance au service culturel.Ces emplois spécifiques à l’activité des stations balnéaires représentent un peu plus de 22 postes budgétaires sur l’année et permettent de maintenir la qualité du service rendu à la population locale et garantir les meilleures conditions d’accueil à la population touristique. Pour postuler, merci d’adresser un CV et une lettre de motivation à : Monsieur le MaireMairie de Trouville sur Mer

Concours Para-Equestre de Dressage International (CPEDI)

La Ville de Trouville-sur-Mer a apporté son soutien au Concours Para-Equestre de Dressage International (CPEDI) qui se tenait du 22 au 24 mars, au PIC de Saint-Arnoult. Outre une subvention de 3 000 euros qu’elle lui a attribuée, la municipalité a pris en charge la location de la rampe d’accès pour les personnes à mobilité réduite, ainsi que l’achat de bouquets pour la remise des prix. Elle met à disposition son service hippomobile, pour les navettes de transport, entre l’hôtel « L’Amirauté » et le site des compétitions…

GRANDE ROUE COMME LONDRES ET PARIS, TROUVILLE AURA SA GRANDE ROUE SUR LES QUAIS DU 20 AVRIL AU 12 MAI.

Après 3 mois de travaux sur les quais, les toilettes publiques sont depuis début mars ouvertes et offrent une accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Elles sont gratuites.

ACTU


©Daniel Simon

ALAIN MAUGARD : 40 ANS DE LOYAUX SERVICES

Après 40 années passées au service des Trouvillais, Alain M a u g a r d , r e s p o n s a b l e de la voirie, se retire, pour une retraite bien méritée. Entré à la mairie en 1972, il a débuté

à 20 ans comme mécanicien. Il gravit tous les échelons et sera nommé responsable de voirie en 1990.Une mission bien menée au service des autres, merci Alain !

AVIS DE RECHERCHEDans le cadre de l’exposition « Impressions photographiques », nous recherchons des photographies ou films de Trouville et de la Côte Fleurie. Clichés amateurs ou professionnels, tous les témoignages du temps passé dans les stations (bains de mer, architecture, vie locale…) sont précieux ! Si vous disposez de photos anciennes (albums de famille, etc.) ou de films amateurs, nous pourrons les numériser afin de constituer une banque d’images. Un rendez-vous au Musée sera programmé cet été pour échanger sur les clichés retrouvés et faire revivre la mémoire des Trouvillais.

Contact : Karl LAURENT 02 31 88 16 26 / [email protected]

SALLE MULTIMEDIA … ÇA AVANCE

La société IDA CONCEPT vient de rendre la première étude de faisabilité en vue de la transformation du théâtre du casino municipal en salle multimédia.La municipalité souhaite conserver le décorum du petit théâtre, très cher au cœur des trouvillais.

La société IDA CONCEPT propose une salle de spectacle de 405 m² avec des espaces d’accueil et de logistiques ( 307m² et 90 m² ) dans le corps de l’ancien petit théâtre municipal. Cette salle pourra accueillir cinéma, spectacles vivants, théâtre, conférences et toute autre animation en lien avec le casino, les futures cures marines et les hôtels trouvillais. La salle de spectacle accueillera les grands évènements de la commune : le festival du jazz, le festival Off Courts, le festival du film sur l’environnement, toutes les animations lecture de la bibliothèque, etc.Une présentation publique aura lieu très prochainement.

DOBRINA PERRODY, Directeur Délégué Management du Comité d’organisation des JEM FEI Alltech 2014 en Normandie est venue le 13 février dernier, faire le point sur le projet d’utilisation des chevaux territoriaux, dans le cadre des Jeux Equestres Mondiaux à Caen. Ce projet a été nitié par les collectivités territoriales, et notamment par Trouville-sur-Mer, en association avec France Trait et l’IFCE.

Mort de Stéphane Hessel

Né en 1917 à Berlin, Stéphane Hessel a été diplomate, ambassadeur, et résistant avant de devenir écrivain. Militant politique en faveur des droits de l’homme, son manifeste « Indignez-

vous » (Indigène), a connu un succès mondial avec plus de 4,5 millions d’exemplaires vendus dans 35 pays depuis sa sortie en 2010. A Trouville, il résidait depuis 20 ans dans « une petite baraque rue Guillaume le Conquérant » où il aimait venir dès que son emploi du temps s’allégeait. Il a honoré de sa présence de nombreuses éditions du salon du livre. «J’ai le désir d’exercer ma responsabilité de très vieux bonhomme ». Mission accomplie.

©Daniel Simon

©Daniel Simon 10 > la Mouette AVRIL 2013

ACTU

Le PLU, projet pour le territoire

ADOPTÉ PAR LE CONSEIL COMMUNAUTAIRE LE 22 DÉCEMBRE 2012, LE PLAN LOCAL D’URBANISME REMPLACE LE POS EN VIGUEUR JUSQUE LÀ. CE DOCUMENT ORIENTE LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE DU TERRITOIRE POUR LES 10 PROCHAINES ANNÉES. DÉCRYPTAGE.

Le Plan Local d’Urbanisme élaboré à l’échelon intercommunal établit un projet global d’aménagement et «fixe les règles d’utilisation du sol sur le territoire», zones constructibles, coefficient d’occupation des sols, prescriptions architecturales, ...A la lecture juridique de ce texte, s’ajoute une dimension stratégique aux conséquences très concrètes en matière de logement ou de création d’équipement public par exemple. Plus ambitieux que le POS, le PLU définit le projet dans un souci de développement durable et associe en amont la population au sein de phases de concertation.

Les contraintes imposées par l’Etat

La conception d’un nouveau document d’urbanisme a été préférée à la modification du PLU de 2007. C’est aussi la volonté de prendre en compte la principale donne imposée par l’Etat au cours des dernières années : densifier en poursuivant l’urbanisation en continuité des constructions existantes, préserver les terrains agricoles et naturels. Ce double impératif s’inscrit dans une sensibilité partagée par les communes littorales.

Des incidences économiques

Pratiquement, le PLU permet une vision précise du développement sur de grandes zones. En matière de logements, trois projets vont s’articuler. Logements sociaux sur la zone d’Hennequeville, commerces de proximité favorisés par la limitation des surfaces commerciales à 300 m2 et zone de logements plus particulièrement destinée aux primo accédants. Réfléchir globalement à ces projets permet aussi de définir une logique architecturale influencée par le PLU.

Une architecture renouvelée

Le PLU adopté favorise une architecture diversifiée, originalité même de la ville dès sa naissance. Choix cohérent de matériaux de qualité et authenticité des styles configurent les futures constructions. Le contemporain et les toitures végétalisées pourront ainsi coexister aux côtés de maisons à l’architecture plus classique ou normande.

Le PLU est consultable en ligne sur le site de la communauté de communes


ACTU

POURQUOI UN NOUVEAU PLU ?

L’intercommunalisation du PLU tend à devenir la norme. Ce document

d’urbanisme remplace le PLU de 2007 qui avait été annulé. Dans cette hypothèse, la loi impose que le document juridique d’urbanisme précédent s’applique. Le

PLU actuel remplace aujourd’hui le POS établit en 2000, abrogé par le tribunal

administratif pour irrégularités.

L’UCAT A UN NOUVEAU PRESIDENT

Denis MAYER BOESCH a été élu nouveau Président de l’Union des Commerçants, en successeur de Jean-Luc LEROY.

LA COURSE DES GARÇONS DE CAFÉ

Le 5 juin, c’est la 5ème édition !

Les premières courses avaient eu lieu en 1996 et 1997. Puis après être tombées en désuétude, Claude Legrand, président de l’association Chaud Devant a choisi de mettre les bouchées doubles pour organiser à nouveau des courses, chaque année toujours plus surprenantes ! « L’année dernière, j’avais eu l’idée de faire traverser la Touques depuis la pointe de la Presqu’île de la Touques, par les coureurs habillés évidemment avec la tenue des garçons de café, un plateau avec un verre et une carafe d’eau dessus. Les consignes étant, bien sûr de ne rien faire tomber ! » s’amuse Claude Legrand.

Dunes et trous dans le sable, pluie ou chaleur caniculaire, tout est bon pour M. Legrand, lui-même serveur de profession au bistrot Le Central, pour augmenter la difficulté, et bien sûr, s’amuser ! Le parcours cette année promet d’être particulièrement compliqué avec des montées et descentes dans les rues de Trouville.

Les bénéfices de la course seront, comme chaque année, reversés à l’association Marie Curie afin d’encourager la recherche contre le cancer. Vous pourrez d’ailleurs croiser au mois de mars Claude Legrand en tenue de jardinier (l’une de ses passions, en plus de la cuisine) sur un triporteur « prêté par Manu, mon copain du Bac » précise-t-il afin de vendre des jonquilles, les jours de marchés, pour le compte de Marie Curie dont il est devenu l’ambassadeur pour la Région.

La course des enfants

Les enfants aussi auront leur course le 30 avril, pendant les vacances de Pâques

« afin d’être sûr qu’ils puissent être présents ».

En plus de la course, les participants pourront

concourir pour réaliser, à l’image des affiches

réalisées par Savignac, une belle affiche représentant la course des Garçons de

Café. Le gagnant verra son affiche utilisée afin d’illustrer

la prochaine édition.

Rendez-vous

CONVIVIALE, LA ONZIÈME ÉDITION DU SALON LIVRE JEUNESSE SE DÉROULERA DANS LE SALON DES GOUVERNEURS LE 9 JUIN DE 14H À 18 H. UNE QUARANTAINE D’AUTEURS ET ILLUSTRATEURS DÉDICACERA SES OUVRAGES AUX PETITS ET GRANDS.


ACTUACTU

D.R

©Jessie Drouin

LE CCAS, DES ACTIONS BÉNÉFIQUES POUR TOUS

Au mois de mai, le Centre Communal d’Action Sociale déménagera rue Biesta Montrival dans des locaux plus grands et accessibles à tous. Chaque jour, l’ensemble des personnes y travaillant vient en aide aux Trouvillais rencontrant une difficulté passagère, aux personnes âgées ou celles en recherche de logement, voire même aux étudiants ayant besoin d’un coup de pouce.

C’est au coeur du nouveau pôle social, en entrée de ville, constitué par le Secours du Canton, la PMI, les locaux du Trait d’Union, le CMPP, Bac Emploi et la nouvelle Maison Médicale que viendra prendre place le CCAS, actuellement situé 3 rue du docteur Leneveu, à l’angle de la rue des Bains.

«Ce regroupement dans un même secteur géographique permettra une meilleure interactivité entre ces différentes structures» se réjouit Dominique Poidevin, adjointe au Maire en charge des Affaires Sociales. Comme le rappelait le Maire, Christian Cardon, en adressant ses vœux aux Trouvillais le 11 janvier dernier, « Le CCAS ne rend pas service qu’aux personnes en grande difficulté sociale. Il accompagne également les étudiants trouvillais, les candidats à un

Un soutien aux étudiants trouvillais

Grâce en partie au CCAS, une dizaine d’étudiants trouvillais a pu accéder à une formation supérieure parfois onéreuse, alors qu’il leur manquait dans certain cas un complément afin de la financer. « En dehors de la fac qui reste à peu près accessible à tous en terme de moyens financiers, beaucoup d’écoles supérieures aujourd’hui sont particulièrement onéreuses. C’est pour

logement HLM, les personnes qui rencontrent une difficulté passagère et les personnes âgées de toutes conditions qui ont besoin d’une aide ménagère, d’un repas à domicile ou qui fréquentent le restaurant de La Roseraie, excellent et convivial »


GRAND ANGLE

©Jessie Drouin

AINSI, EN 2012, UN ÉTUDIANT D’ORIGINE TROUVILLAISE A PU POURSUIVRE UN MAS-TER EN MANAGEMENT INTERNATIONAL PRÈS DE TORONTO, AU CANADA. C’est un projet qui lui coûtait 8970€ : 3225€ restaient à financer. Un autre, après avoir réalisé 5 an-nées d’études musicales au conservatoire de Caen a été admis à la prestigieuse Ecole de musique de Berkley à Boston aux Etats-Unis. Cette école coûte 29300€ par an en frais de scolarité. Enfin un jeune bachelier avait été admis à l’Ecole parisienne de gastronomie française Grégoire Ferrandi pour préparer le diplôme de Bachelor Restaurateur en 3 ans. Ses frais de scolarité s’élèvent à 14230€ sur 3 ans. Il sollicitera également le crédit étudiant pour couvrir une partie des dépenses et pré-voit d’effectuer différents emplois temporai-res.

Un accompagnement au permis de conduire

«Ne pas avoir son permis de conduire aujourd’hui peut être un véritable handicap dans une démarche de recherche d’emploi» analyse Christophe Deschepper. C’est pour cela que le CCAS prévoit d’aider certains jeunes venant d’une famille aux revenus mo-destes à passer leur permis, en finançant leur code de la route. Des écoles de conduite pro-poseront pour ce jeune public des tarifs préfé-rentiels, en collaboration avec le CCAS.

Une aide à domicile

Ce service contribue au maintien des person-nes âgées et handicapées à leur domicile, grâce à l’action quotidienne de 20 aides à domicile et de quelques remplaçants. Ils effec-tuent, selon les cas, des tâches ménagères, la préparation des repas, l’aide aux démarches administratives simples, l’accompagnement à l’extérieur du domicile, l’aide à la toilette et assurent une compagnie.

cela que nous donnons un coup de pouce à ces jeunes gens et jeunes filles afin de les aider dans la réalisation de leur parcours professionnel » commente Christophe Deschepper, directeur du CCAS.

Le restaurant La Roseraie domine un parc verdoyant où les gens du quartier prennent plaisir à se promener.

CHRISTOPHE DESCHEPPER, DIRECTEUR DU CCAS

« Les nouveaux locaux du CCAS rue Biesta Montrival ont été aménagés aux normes ac-tuelles d’accessibilité. Les personnes à mobi-lité réduite, en fauteuil roulant, ou encore les mamans avec poussette pourront s’y rendre sans difficulté, grâce à une rampe d’accès prévue à cet effet.

Nous avons choisi d’améliorer également la confidentialité, en offrant un espace d’ac-cueil plus discret. Les neuf personnes tra-vaillant chaque jour dans les murs du CCAS auront chacune leur bureau, chose qui n’est pas possible dans les locaux de la rue du Dr Leneveu, trop exigus.

GRAND ANGLE


RENCONTRE BRUNO VAVASSEUR, CHEF CUISINIER À LA ROSERAIE

Depuis plus d’un an, ce chef cuisinier d’origine honfleuraise fait le bonheur des habitués de la Roseraie. Eté comme hiver, Bruno Vavasseur concocte petits plats traditionnels (bœuf bour-guignon, pot-au-feu en hiver) et cuisine plus moderne en été, en collaboration avec une diététicienne. « Je m’adapte à la demande des clients qui sont en majorité des personnes âgées aimant les plats traditionnels ». Tous les matins, en plus des repas du midi, une quaran-taine de repas sont préparés sur place pour être livrés à domicile, à des personnes rencontrant des difficultés à sortir de chez elles. Ils arrivent encore tout chaud, grâce aux valises isother-mes dans lesquelles ils se trouvent.

Il n’est pas rare que pour les goûters animés de la Roseraie Bruno Vavasseur prépare quelques gourmandises... Sans oublier les jours de fête, où le chef cuisinier n’hésite pas à sortir le grand jeu : foie gras à Noël, crêpes pour la Chande-leur. L’adresse est bonne, peu onéreuse et les habitués du quartier le savent bien ! « Le ca-dre en plus de cela est magnifique. Et l’équipe, dont certains membres sont là depuis plus de 20 ans est très soudée. C’est une vraie chance de travailler dans ces conditions ». Infos : Restaurant de la Roseraie, 28 rue du Manoir à Trouville sur mer. Accueil du lundi au samedi le midi. Réservation la veille. Tél. : 02 31 98 43 27

Bruno Vavasseur, chef cuisinier de la Roseraie mijote tous les midis près d’une centaine de repas.

DOMINIQUE POIDEVIN, ADJOINTE AU MAIRE EN CHARGE DES AFFAIRES SOCIALES

« LE CCAS ACCOMPAGNE LES DEMANDES DE LOGEMENTS SOCIAUX »

« Les jeunes ménages sont souvent obligés de s’excentrer, à cause de la pression immobilière. La ville construit des logements sociaux pour favoriser leur installation avec leur famille à Trouville. En 2011-2012, 40 logements ont été construits à la Mare aux Guerriers à Hennequeville et 34 rue Berthier. en centre-ville.

D’autres encore sont prévus à Hennequeville, grâce aux nouvelles dispositions du PLU. Enfin, sur le site de l’école Andersen, une soixantaine de logements à loyers modérés seront situés en plein cœur de ville, lorsque l’école aura déménagé dans de nouveaux locaux.

Le CCAS intervient auprès des bailleurs sociaux pour transmettre les demandes de logements qui lui sont faites. Il assiste ensuite aux commissions d’attribution des logements pour défendre les dossiers. »

Loto, scrabble, belote, les habitués de La Roseraie passent un agréable après-midi dans la joie et la bonne humeur.


GRAND ANGLE

©Jessie Drouin

©Jessie Drouin


REPORTAGE

©surfintrouville


REPORTAGE

BUReAU CONSTITUé lORS De l’ASSeMBlée GéNéRAle le 16 FéVRIeR :

> Jean-Antoine Souyris président,

> Thibaut Régent, ex président devient trésorier,

> Eric Richard conserve le poste de secrétaire.

« Il n’existe pas d’équivalent de ce club, il faut aller au Havre ou à Luc sur mer ». Jean-Antoine Souyris

PAlMARèS 2012Stive Lener devient champion de Normandie en longboard et Arthur Souyris remporte le titre en minimes pour sa première participation. Ils sont automatiquement qualifiés pour le championnat de France.

SURF’IN TROUVIlleLa plage de Trouville est un « spot » de surf qui rassemble des passionnés. Ils sont une quinzaine à se rassembler par tout temps pour rouler sur les vagues. Le Surf’in Trouville club né en 2007 de cet engouement initie un mode convivial et compétitif.

« De l’étudiant au chirurgien, les adhérents viennent d’horizons très mélangés » se réjouit Jean-Antoine Souyris, le nouveau pré-sident du club. Auto proclamés « gentlemen surfer », les membres sont assez éloignés du cliché hawaïen. De la plage, les déferlantes sont plutôt rares, mais les vagues sont propices à la pratique du « Standup Paddle » et du « Longboard ». La zone de surf est bien délimitée et la pratique encouragée quel que soit le niveau.

Une pratique CONVIVIAleLe surf se pratique dès l’âge de 7 ans. Stive Lener, responsable de l’école de surf « North shore » est aujourd’hui le conseiller technique du club. La synergie mise en place mixe en sou-plesse loisirs et compétitions. L’alchimie est porteuse de projets. Sur le modèle de la Trans Paddle de Caen à Ouistreham, le club envisage un parcours en mer et en rivière. La condition physique ne s’entretient pas uniquement sur l’eau (10° au cœur de l’hiver)! Séances de vélo, piscine, footing sont au calendrier 2013 sous le coaching de Stive.

Les couleurs NORMANDeS de la compétitionPetit club mais performant. 2013 sera marquée par la partici-pation au Championnat de France en Vendée pendant les vacances de la toussaint. Enthousiasmant de se frotter aux meilleurs mondiaux dans le cadre des « trials », (sélections) à la Torche en bretagne. « Se confronter au niveau international, ça fait progresser(…)» sou-ligne Jean-Antoine .

Le club recevra des compétitions sur la plage de Trouville, notamment le « surfing day », jour de célébration du surf. Une coupe de Normandie aura lieu à l’automne. Le coup d’envoi de la saison aura lieu les 13 et 14 avril pro-chains avec le championnat départemental. La « paddle beach race » est reconduite pour la deuxième année avec plus d’ampleur. Le club en profitera pour mettre en avant une action sportive et caritative originale initiée en 2011.

Une vague de SOlIDARITéKarim Chaaba, membre et natif de Oualidia connaît bien le club marocain de Safi. Fréquenté par les plus grands surfeurs du globe, le spot international de glisse abrite paradoxalement un club en cruel manque de matériel. L’occasion a vite été saisie de souder des relations entre nor-mands et marocains. Une récolte de combinaisons, lycra et autres matériels a filé en 2011 vers Safi via Casablanca.

« Cette année on partira une semaine à la rencontre des gens du club, on va aller sur les spots et découvrir les vagues du Maroc, on a été reçu à bras ouverts ». Un peu globe-trotteurs, les surfeurs bénéficient d’un mini-bus prêté par la ville pour leur déplacement sur le territoire.Contact : [email protected] Facebook Surf introuville

Balade en paddle sur la Touques © Surf’ in Trouville

Entraînement avant mise à l’eau © Surf’ in Trouville

RePORTAGe

« L’INTÉRÊT C’EST QUE LE LIEU SOIT VISITÉ DANS SON INTÉGRALITÉ PAR LES PUBLICS »

Laurence Horvais, bibliothécaire

Hugues Fontenas, l’architecte en charge du projet a dû reconfigurer un bâtiment protégé juridiquement sans possibilité de modification des façades. « Il fallait travailler dans un volu-me relativement restreint, et chercher à avoir un lieu agréable, ouvert et très lumineux ».

Les 770 m2 qui se répartissaient entre le niveau principal et la salle des coffres au sous-sol, ont été restructurés sur deux niveaux. Un plan qui a donné quelques sueurs froides à Pierre Claude, maire adjoint en charge des bâtiments com-munaux.

« Lors de la démolition de la chambre forte, on s’est rendu compte que certains murs porteurs n’étaient pas fondés. Nous avons dû renforcer les fondations pour que l’immeuble soit sur des bases saines, à tout moment tout pouvait tom-ber » !

LA BIBLIOTHÈQUE PREND SES NOUVEAUX QUARTIERS

Fin avril, la nouvelle bibliothèque ouvrira ses portes au public. Un chantier qui a nécessité plus de deux ans de travaux, pour faire surgir du bâtiment de l’ancienne agence bancaire des volumes entièrement réaménagés. Etats des lieux.

©Daniel Simon

DOSSIER


Un volume ouvert

Oubliés les 150 m2 nichés au sein de la mairie. Laurence Horvais, responsable de la bibliothè-que décrit un espace distribué sur trois niveaux qui sera avant tout convivial.

« La surface disponible est triplée avec de grands plateaux permettant aux espaces d’être modulés en fonction des besoins ». Le ni-veau du rez-de-chaussé a été abaissé afin de le rendre accessible de plain pied aux visiteurs, permettant la création d’un étage supplémen-taire ouvert, créant selon les souhaits de l’archi-tecte « une sorte de mezzanine avec un vide sur deux niveaux favorisant la diffusion de la lu-mière ». Le troisième niveau accueillera bureau, atelier et réserves.

Investir tous les espaces

Les espaces se définissent par l’aménagement du mobilier et une signalétique différenciée. A l’entrée de la bibliothèque, une salle d’actua-lité « cosy » donnant sur la place Foch met à disposition la presse en libre consultation. La cir-culation se poursuit avec l’espace dédié à la bande dessinée et aux romans adultes.

Contigu, un petit salon façonné dans une an-cienne boutique récupéré à l’angle des rues Mozin et Victor Hugo constitue une zone « que les ados pourraient s’approprier, car proche des BD » précise Laurence Horvais. A l’étage su-périeur, l’espace jeunesse et les documentaires occuperont un plateau où les jeunes enfants disposeront d’une petite salle consacrée aux animations littéraires.

Les bacs à albums aménagés sur roulette se-ront déplacés au gré des besoins. Plus large-ment le projet architectural balise le parcours des lecteurs.

Rendre les collections plus visibles

Aujourd’hui le fonds recense environ 30 000 ouvrages. Le triplement de la surface n’impli-que pas pour autant une augmentation consé-quente des catalogues. Tout au contraire, Lau-rence Horvais évoque un « dépoussiérage » des collections. « En déménageant on va se pré-occuper de rendre accessibles des documents récents. Les collections rarement consultées se-ront éliminées. Toute une partie sera également redonnée aux scolaires et aux associations ».

Accompagner les nouveaux usa-ges multimédia

La bibliothèque sera équipée de quatre postes informatiques pour les consultations internet. Les visiteurs équipés de portables se connecte-ront en wi-fi. Lieu ouvert à tous, la bibliothèque facilite son accès, via un système de réserva-tion en ligne des ouvrages inscrits au catalo-gue.

SUR LE VIF

FRANCINE, 52 ANS

« J’espère qu’on verra les enfants pendant l’heure du conte, je suis nostalgique de l’épo-que où cela se déroulait dans le hall de la mai-rie, à la vue de tous. C’était agréable de voir les petits avec des yeux tout ronds absorbés par les histoires » !

PAULE, 65 ANS« On espère qu’il y aura plus de place et plus de confort. Parce que pour les journaux, il n’y a rien à dire».

Travaux du premier étage

« L’INTÉRÊT C’EST QUE LE LIEU SOIT VISITÉ DANS SON INTÉGRALITÉ PAR LES PUBLICS »

Laurence Horvais, bibliothécaire

Hugues Fontenas, l’architecte en charge du projet a dû reconfigurer un bâtiment protégé juridiquement sans possibilité de modification des façades. « Il fallait travailler dans un volu-me relativement restreint, et chercher à avoir un lieu agréable, ouvert et très lumineux ».

Les 770 m2 qui se répartissaient entre le niveau principal et la salle des coffres au sous-sol, ont été restructurés sur deux niveaux. Un plan qui a donné quelques sueurs froides à Pierre Claude, maire adjoint en charge des bâtiments com-munaux.

« Lors de la démolition de la chambre forte, on s’est rendu compte que certains murs porteurs n’étaient pas fondés. Nous avons dû renforcer les fondations pour que l’immeuble soit sur des bases saines, à tout moment tout pouvait tom-ber » !

LA BIBLIOTHÈQUE PREND SES NOUVEAUX QUARTIERS

Fin avril, la nouvelle bibliothèque ouvrira ses portes au public. Un chantier qui a nécessité plus de deux ans de travaux, pour faire surgir du bâtiment de l’ancienne agence bancaire des volumes entièrement réaménagés. Etats des lieux.

DOSSIER


©sophiedancourt


VIE DE QUARTIER

SUR LA RD 513LA NATURE REPREND SES DROITSL’opération portait sur un ensemble de proprié-tés situées au sud de la route départementale 513, qui relie Trouville et Villerville, par le bord de la côte, dans un secteur confronté depuis de nombreuses années à différents phénomènes géologiques.

Après une série d’éboulements rocheux, de coulées de boue et de glissements de terrain, en 2003 et 2004, le Maire a décidé de prendre plusieurs arrêtés de péril, puis, afin de remédier à une situation récurrente, de recourir à la pro-cédure d’expropriation des biens exposés à certains risques naturels majeurs, prévue à l’arti-cle L.561-1 du code de l’Environnement.

Après mise en œuvre de la procédure de Déclaration d’Utilité Publique et cession des propriétés à la commune, les 15 bâtiments, dont 11 maisons, ont été démolis. Afin de suppri-mer tout danger et garantir autant que possible la sécurité des populations, la zone considérée a été clôturée, afin d’en interdire l’accès.

Après avoir désamianté, évacué les plombs, les menuiseries peintes et toutes les matières no-cives, les services techniques ont renfloué tous les matériaux nobles, remblayé et nivelé les ter-rains, pour les remettre à leur état d’origine. Les arbres de haut jet ont été abattus, les haies net-toyées et les déchets végétaux broyés sur pla-ce. La nature faisant le reste, c’est par consé-quent la végétation qui reprendra ses droits au pied de la falaise…

PLAN NEIGE Plus de 40 tonnes de sel ont été utiles pour dé-gager en janvier et en mars les axes routiers et les trottoirs de la ville. Bravo et merci aux servi-ces impliqués pendant ces journées, du matin au soir.

LES PROJETS DE CALVADOS HABITAT À TROUVILLE

En 2013, Calvados Habitat procèdera à :

La réfection des salles de bains de 19 loge-ments rue Postel. La réfection des couvertures de 6 logements rue Biesta Monrival .

Une rénovation thermique dans 32 logements de la résidence d’Aguesseau Impasse Lecroi-sey.Des travaux d’assainissement rue Berthier, Pos-tel et Suzanne dans 43 logements.

Cela s’ajoute au remplacement des portes pa-lières des immeubles rue Saint Jean dans 36 lo-gements.

Le savez-vous ?A Noël

154 guirlandes ont été posées

108 motifs différents ont décoré les rues de la ville.

30 000 euros d’investissement en guir-landes pour des décors nouveaux, Place Fer-nand Moureaux, sur les quais, à la mairie et rue des Bains.

1 mois et demi d’installation.

1 mois de désinstallation par des agents habilités nacelle

© Daniel SIMON

Signature de la charte qualité par Christian Fougeray, président de la CCI et Christian Cardon.

DANS LE CADRE DU PROGRAMME DE L’AMÉLIO-RATION DE LA RUE DES BAINS la route a été refaite entre la rue Biais et la rue du doc-teur Leneveu, les travaux ont été terminés le 1er fé-vrier.Le parking réservé rue des bains sera terminé (dans sa phase simplifiée) après la dépose de la patinoire. Les 4 panneaux indiquant l’accès ainsi que le tarif, seront posés par le service voirie.Le Kakémono signalant l’entrée de la rue des Bains a été posé au dessus du restaurant « Marinette ».

L’indication de la rue des Bains à partir du boule-vard Fernand Moureaux a été réalisée.Le changement d’ampoules classiques vers des am-poules LED a apporté à la rue, une lumière différente, à la fois plus puissante en clarté mais avec un reflet bleu-té moins agressif et qui de plus, consomme moins.

L’installation des caméras a été réalisée le 15 fé-vrier dernier, elles sont opérationnelles. La signali-sation obligatoire à l’entrée de ville (4 panneaux) indi-quant que la ville est sous vidéo protection est installée depuis le 21 février.

Un fleurissement en hauteur sera mis en place. Son implantation sera définie en fonction des angles de vue des caméras. RAMASSAGE DES SAPINS DE NOËL

920 tonnes de sapins ont été collec-tés à Noël. Ils ont été ensuite amenés à la déchetterie de Villerville pour être enfin broyés et compostés.

BIENVENUE A :M. et Mme THILLAYE au Tutti Frutti place du Casino Tel. 02 31 81 29 00Normandy Conciergerie, nouveau service de prestations de conciergerie privée pour proprié-taires et locataires Tel : 06 20 33 18 37 - 06 77 97 61 53

VOIRIE L’éclairage public est installé sur l’ave-nue Gabriel Just et offre ainsi une conti-nuité entre l’avenue de la Marnière et les quartiers Closages et Aubets.


VIE DE QUARTIER

© Daniel SIMON

D.R

© Sophie Dancourt

22 > la Mouette AVRIL 201322 > la Mouette AVRIL 2013

ENVIRONNEMENT

C’EST BON, C’EST BEAU, C’EST BIO

Les ateliers itinérants de cuisine bio mis en place par la mairie ont fait une halte à l’école Andersen. En par-tenariat avec l’association Inter Bio Normandie, quel-ques élèves et parents découvrent les produits bio. Chantal surveille du coin de l’œil la cuisson de l’amandine aux poires pochée à l’anis. Son antre, la cuisine est aujourd’hui par-tagé avec les cuisiniers des écoles Delamare et René Coty. «Dans les cantines on intégre déjà le bio, en maternelle les en-fants savent ce qu’est un légume, un navet, un poireau…», Sta-nislas Januskiewicz, facilitateur de gestion à la mairie évoque une démarche qui se veut aussi conviviale, «Il est important que les cuisiniers se connaissent et apprennent à travailler ensemble».

Faire découvrir des légumes oubliésUn repas complet est élaboré d’après les recettes de Philippe Enée, paysan et cuisinier bio. Du goût avant tout et des décou-vertes y compris pour les chefs de cuisine. « Il y a beaucoup de cuisson vapeur et l’utilisation d’ingrédients surprenants, comme la purée d’amande pour la vinaigrette » ! Avant de repartir avec leurs barquettes sous le bras, les enfants s’initient avec quizz et dessins à l’agriculture biologique sous la houlette de Sarah Les-nard, animatrice de l’association Inter Bio Normandie.

Des goûts affirmésAprès les laitages et les potages, la viande bio sera bientôt d’ac-tualité. Eduquer les papilles c’est faire goûter des saveurs parfois plus marquées. « Un fromage blanc peut être plus acide » note Sarah. Chloé, âgée de 5 ans a particulièrement apprécié le jus de pomme et la brioche, et promet de refaire les recettes bio avec sa maman, à commencer par la pâte à tartiner.

« L’association montée en 2008 fé-dère les agriculteurs et les artisans en bio. 500 petits producteurs sont mobilisés, cela permet une dynami-que intéressante. L’idée est de faire rencontrer deux univers, les produc-teurs et les collectivités territoriales qui ont pour projet d’introduire le bio local dans les restaurants » Sarah Lesnard, association Inter Bio Normandie.

CAMPAGNE DE STÉRILISATION DES ŒUFS DE GOÉLANDS ARGENTÉS

Pour la 4ème année consécutive, la campagne de stérilisation des œufs de goélands reprend à Trouville.

Dates de passage: 1er passage du 13 au 17 mai. 2nd passage : du 3 au 7 juin.

Cette année, la procédure pourrait évoluer. A l’image de la ville du Havre, Trouville souhaiterait définir une zone systématique où les œufs de goélands seraient stérilisés. Dans ce cas, les per-sonnes qui ne souhaiteraient pas d’in-tervention à leur domicile devraient se signaler en mairie.

En dehors de ce secteur, les personnes qui auraient des nids sur leur lieu de ré-sidence pourraient également le signa-ler. L’intervention d’une équipe techni-que pourra se faire alors, sur simple prise de rendez-vous.

Informations en mairie.

PARC ÉOLIEN EN MER DE COURSEULLES-SUR-MER

Le débat sur le projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer a débuté le 20 Mars, par une première réunion publique à Bayeux.

Jusqu’au 20 juillet 2013, l’opportunité, les objectifs et les caractéristiques du projet seront examinés et débattus au cours de réunions ouvertes à tous. .../...

SEMAINE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE DU 1ER AU 7 AVRIL - Programme Energie «COUP DE COEUR» du ministère de l’énergie.

Dans le cadre de la semaine du développement durable, des lectures sur le thème de la transition éner-gétique auront lieu dans les écoles, les 2, 3, 4 , 5 avril. L’Association des Petits débrouillards de Basse Nor-mandie interviendront également dans les classes de CE1, CE2, CM1, CM2 des écoles Jeanne d’Arc, Delamarre, et René Coty.Une permanence par l’Espace Info Energie se tiendra dans le hall de la mairie toute la journée du mer-credi. La bibliothèque prévoit de mettre en avant des livres sur le thème des énergies.

© Daniel SIMON

LE COMPOSTAGE, UN JEU D’ENFANT

L’école Andersen recycle ses déchets organiques depuis le mois de novembre dernier. Une façon très concrète d’observer le cycle de la vie. Les enfants re-gardent les vers de terre d’un autre œil.

Désormais les déchets de la cantine s’entassent dans un « bio-seau ». Depuis l’installation d’un composteur en bois dans le jardin de l’école, de nouvelles habitudes sont prises. Danielle Feschia et Marie Abel, directrice et institutrice parlent d’une dé-marche cohérente. « On a une cuisine à 20% bio, tout est fa-briqué sur place, par ailleurs on trie déjà le papier à l’école(…) ».Fabriqué par l’ESAT, association de réinsertion, le composteur a été monté par les enfants. Aujourd’hui, il se double d’une lom-bricomposteur fourni par la communauté de communes Cœur Côte Fleurie.

Le cycle de la vieAvantage ? Une dégradation beaucoup plus rapide et un cours de science en direct. « On montre que le déchet organique c’est le cycle perpétuel de la vie ». Résultat, les enfants coupent les déchets en petits morceaux pour que les vers puissent man-ger. En mai prochain, un nouveau cycle rédémarrera avec la plantation de graines de tournesols géants dopée par l’engrais produit. L’objectif est d’équiper chaque classe d’un lombricom-posteur, et qui sait à terme, « ce sont les enfants qui éduqueront les parents sur ces choses là ».

Pour bien composter

> REMPLIR LE COMPOSTEUR AVEC DES ÉPLUCHURES DE LÉGUMES, TROGNONS DE POMMES, FEUILLES DE SALADE. > AUCUN RESTE DE NOURRITURE. > EVITER AGRUMES ET PEAUX DE BANANE DANS LES LOMBRICOMPOSTEURS. LAISSER FAIRE LA NATURE (ENVIRON 6 MOIS), ET VOUS OBTIENDREZ DU THÉ DE VERS, UN ENGRAIS LIQUIDE PRÊT À L’EMPLOI.

PARC ÉOLIEN EN MER DE COURSEULLES-SUR-MER

Le débat sur le projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer a débuté le 20 Mars, par une première réunion publique à Bayeux.

Jusqu’au 20 juillet 2013, l’opportunité, les objectifs et les caractéristiques du projet seront examinés et débattus au cours de réunions ouvertes à tous. .../...

SEMAINE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE DU 1ER AU 7 AVRIL - Programme Energie a reçu le label «COUP DE COEUR» du ministère de l’énergie.

Dans le cadre de la semaine du développement durable, des lectures sur le thème de la transition éner-gétique auront lieu dans les écoles, les 2, 3, 4 , 5 avril. L’Association des Petits débrouillards de Basse Nor-mandie interviendront également dans les classes de CE1, CE2, CM1, CM2 des écoles Jeanne d’Arc, Delamare, et René Coty.Une permanence par l’Espace Info Energie se tiendra dans le hall de la mairie toute la journée du mer-credi. La bibliothèque prévoit de mettre en avant des livres sur le thème des énergies.

.../...Porté par la société Eoliennes Offs-hore du Calvados, le projet prévoit la construction de 75 éoliennes en mer d’une capacité unitaire de 6 MW, pour une puissance totale de 450 MW. Le parc éolien serait implanté à une dis-tance allant de 10 à 16 km des côtes du Calvados au large de Courseulles-sur-Mer.

COMMENT S’INFORMER ET PARTICIPER ?Différents outils seront à disposition du public pour s’informer et s’exprimer durant les quatre mois de débat : les onze réunions publiques, le site inter-net, les documents du débat (le dos-sier du maître d’ouvrage, les études, les verbatim des réunions publiques), le journal du débat et la newsletter électronique. Le public pourra éga-lement s’exprimer via un site internet dédié :

www.debatpublic-eolien-en-mer-courseulles.org


ENVIRONNEMENT

CULTURE

Évènement

LE MUSÉE SORT DE SES RÉSERVESDepuis le 16 mars, le public peut admirer une centaine d’œuvres

parmi les quelque 6500 pièces qui constituent la collection permanente du musée Villa Montebello

La violente tempête de 1999 avait condamné le premier étage du bâtiment suite à l’effondrement de la cheminée dans la salle des réserves. Après d’importants travaux, la réouverture des deux salles d’exposition restitue la configuration d’origine du musée.

Une scénographie qui attribue le rez-de-chaussée aux expositions temporaires. Deux siècles de regard artistique sur le développement de la villégiature balnéaire à découvrir au sein d’un espace réaménagé.

Musée villa Montebello 64 rue du Général Leclerc,Trouville. Tel : 02 31 88 16 26.


CULTURE

JEAN-LAMBERT WILD, DIRECTEUR DE LA COMÉDIE DE CAEN, INITIATEUR D’UN PAR-TENARIAT AVEC LA VILLE DE TROUVILLE.

DE QUAND DATE CE PARTENA-RIAT ?Cela date de 2008, la pro-position de partenariat est un vraiment changement d’état d’esprit. Trouville a été

la première ville de Basse Normandie à comprendre un des motifs de développement de politique cultu-relle que j’avais proposé à mon arrivée à la Comé-die de Caen.EN QUOI CONSISTE-T-IL ?L’idée était de susciter une envie de découvrir des spectacles vivants, de faire vraiment un travail au cœur de la création, présenter des sélections, de penser des scènes nomades. La ville de Trouville est est la première ville « coopérateur » de la comédie de Caen. Cela signifie que certains projets vont prio-ritairement commencer à Trouville. Chaque année nous essayons de réinventer ce partenariat pour qu’il soit le plus dynamique possible.QUELQUES MOTS DE « L’EMPRUNT EDELWEISS » QUI SERA JOUÉ À TROUVILLE LE 18 AVRIL PROCHAIN ?C’est un texte d’Hervé Blutsch, qui a fait une sorte de « sono one-man show » ! C’est tout public. Ce que j’aime beaucoup dans ce travail c’est qu’il sait associer comédie et satire, et tout ça avec justesse et un bel équilibre littéraire.L’emprunt Edelweiss > 18 avril > 19h > Salle du conseilRéservation > 02 31 14 41 54

En brefFABIENNE BERGERON, attachée culturelle de la ville depuis 2000 prend une retraite active. Elle a été no-tamment l’initiatrice des journées Duras et reste mem-bre du jury du prix éponyme.

« LES YEUX JAUNES DES CROCODILES » Le roman de Catherine Pancol sera bientôt adapté au cinéma sous la direction de Cécile Telerman. Le tournage avec les jeunes figurants castés le 18 février aura lieu les mercredi 8, jeudi 9 et vendredi 10 mai à Trouville.

L’ÉMISSION « MIDI EN FRANCE » animée par Laurent Boyer et diffusée sur France 3 sera en direct de Trou-ville les 15 et 16 avril prochains.

Nocturne

RENDEZ-VOUS LE 18 MAILa nuit européenne des musées et l’opération menée par le Conseil Général du Calvados « Pierres en lumière » ont choisi le 18 mai pour faire découvrir le patrimoine culturel de nuit. La 9ème édition de la nuit européenne ouvre le musée Villa Montebello jusqu’à minuit. Les collections se découvrent dans l’ambiance fin XIXème d’un concert de chansons françaises. Le petit patrimoine se dévoile pour la deuxième année paré de lumière. On redécouvre la façade du Musée Villa Montebello, les églises Notre-Dame des Victoires et Saint Michel…Entrée libre.

Fil rouge

TROUVILLE IMPRESSIONNISTEMusique, photographie et expositions labellisées dans le cadre de la seconde édition du festival Normandie Impressionniste.

DES RENDEZ-VOUS MUSICAUX, avec un cours public inédit orchestré par Bruno Vay à l’église Notre Dame de Bonsecours consacré à Beethoven, précurseur impressionniste. L’église Notre-dame des Victoires accueillera la création d’un concerto de Jean-Louis Petit pour orgue et orchestre.

LA PEINTURE PRENDRA LA CLÉ DES CHAMPS avec une ballade aquarelle pour découvrir les lieux d’inspiration de Trouville, carnet de croquis en main. Nicole Vatinel composera devant le musée, la plage et la piscine une œuvre contemporaine en quatre parties.

LES « IMPRESSIONS PHOTOGRAPHIQUES » exposeront les premiers photographes qui ouvrirent leurs ateliers à Trouville, d’Eugène Villette à Ostroga en passant par le fonds constitué par les anonymes preneurs de clichés.

concert > Eglise ND de Bonsecours >18h > 13 avril concerto pour orgue et orchestre et concerto de Poulenc > Eglise ND des Victoires > 4 mai >21h. Renseignement école de musique Claude Bolling, tel : 02 31 88 14 62« Peindre à l’extérieur » >18 mai et 15 juin. « impressions photographiques » à partir du 29 juin. « Ballade aquarelle »> 25 mai et 15 juin.visite guidée Trouville au temps des impressionnistes > 4 mai. Renseignement Musée Villa Montbello, tel : 02 31 88 16 26.

©Tristan JEANNE-VALES

Questions à


VIE ASSOCIATIVESOC

©Jessie Drouin

ANNE MARIE ET CHRISTIAN TROCHAIN SONT DES BÉNÉVOLES… PAR VOCATION !

Cette ancienne mère au foyer de deux enfants s’est

toujours souciée d’apporter son aide à son entourage. Bénévole pour Place Nette depuis 2007, elle fait partie avec son mari des piliers de l’association. On peut les rencontrer sur place tous les jours, sauf le mardi après-midi où Anne Marie est occupée à Touques à donner des cours de couture… bénévolement, tandis que son mari anime de son côté le club Rando de Touques. Le reste du temps, ils sont à Place Nette de 9h à 11h et de 14h à 16h pour rafistoler, trier, recoudre, souder, ranger, étiqueter mais aussi accueillir les clients et s’occuper des ventes . « Les personnes qui donnent leurs affaires à Place Nette nous font confiance. On se doit de respecter ces dons et de les garder en bon état pour qu’ils servent encore à d’autres personnes, parfois dans le besoin » souligne Anne Marie

PLACE NETTE

Connue pendant longtemps sous le nom de « Un toit, un travail » l’associa-tion d’aide au retour à l’emploi débar-rasse depuis 1989 les encombrants chez les particuliers pour les revendre à bas prix au public.

RÉCUPÉRER DES MEUBLES, APPAREILS ÉLECTROMÉNAGERS, VÉLOS, JOUETS OU ENCORE USTENSILES DE CUISINE :

Place Nette intervient sur simple appel téléphonique au domicile de l’ensemble des habitants, grâce à une équipe de 3 personnes se rendant sur place et à 2 autres s’occupant de l’accueil, des devis et de la prise de rendez-vous. Une fois les affaires récupérées, plusieurs bénévoles interviennent dans le bâtiment situé Chemin du Marais, juste à côté de la Maison des Jeunes et de l’association Off-Court, afin de répertorier, étiqueter, trier, réparer, ranger le tout

et de les remettre en vente, au public, à bas prix.

LES RECETTES AINSI COLLECTÉES SERVENT À PAYER LES 4 CONTRATS AIDÉS (CAE) de l’association, mais aussi à en améliorer les conditions de travail : grâce à l’augmentation des ventes ces derniers mois, tous les membres de l’équipe sont fiers d’avoir accueilli depuis quelques semaines un Algeco confortable neuf, payé par leur propre travail. « Nous avons enfin un endroit chauffé en hiver pour nous restaurer, accueillir les clients et garantir un minimum de confidentialité aux personnes recommandées par le CCAS pour lesquelles s’effectue une redistribution gratuite» souligne Mme Capelle.

Le service par tradition PRÉSIDENTE DE L’ASSOCIATION DEPUIS JUIN 2012 celle-ci regrette que « ce dispositif soit utilisé essentiellement à Trouville, car il mériterait d’être davantage connu sur le reste de la communauté de communes ».

Cette trouvillaise à la retraite qui partage son temps libre entre son engagement citoyen « choisi par tradition familiale » à Place Nette et celui au sein d’autres associations s’est ainsi fixé des objectifs précis pour l’année 2013 : informatiser l’association, améliorer la communication auprès de l’ensemble des communes de la communauté de communes, notamment par le biais de flyers et gagner en visibilité grâce à la mise en place de panneaux signalant depuis la route le nom et la fonction de l’association.

«J’essaie d’apporter des idées neuves pour faire avancer les choses. Mais il va sans dire que tout cela ne pourrait se faire sans la formidable équipe de bénévoles travaillant sur place, pour certains à plein temps, et dans des conditions difficiles parfois, comme en hiver où tout le monde travaille dans le froid, à l’intérieur du hangar» rappelle Mme Capelle. Mais l’objectif principal de l’association est de remettre sur les rails des personnes parfois en rupture professionnelle.26 > la Mouette AVRIL 201326 > la Mouette AVRIL 2013

VIE ASSOCIATIVE

Il n’aura pas été facile pour l’ancien directeur de la Maison des Jeunes de réussir à trouver un moment afin de présenter les origines de l’asso-ciation. Pourtant à la retraite depuis 6 ans, ce féru de théâtre, est en effet très investi au sein de sa « troupe ». Jean-Paul Beauvelle, en plus d’être le président de l’association Service Plus fait partie du Collectif Lire, de la Maison des Jeu-nes qui offrira début mai une lecture des Contes de Guy de Maupassant.

Une aventure humaine

« C’était il y a une douzaine d’années » se souvient l’homme qui semble être actif dans le domaine social depuis toujours. « On avait fait appel à moi car j’étais en relation à la Maison des Jeunes avec des personnes en situation délicate. On m’a alors demandé de présider cette association, afin de transporter initialement des personnes à mobilité réduite d’Hennequeville qui ne pouvaient se rendre à Trouville ». Chemin faisant, les demandes se font plus nombreuses. Elles émanent essentiellement de personnes âgées, parfois en situation de handicap ou momentanément dans l’impossibilité de se déplacer. « Dans la majorité des cas, ce sont des dames âgées sans permis et vivant seules qui font appel à nous ». Certaines sont des habituées faisant régulièrement appel à ce service d’aide au transport, afin de se rendre à un rendez-vous médical, pour aller faire leurs courses ou se rendre chez le coiffeur, dans la limite géographique de la Communauté de Communes. « Il arrive toutefois que nous nous rendions parfois à l’hôpital de Cricqueboeuf ou en dehors de cette zone de la Communauté de Communes, pour des raisons médicales ».

Loin d’être un simple service de taxi, Service Plus joue un véritable rôle de lien social. Les chauffeurs aident les voyageurs à s’installer, transporter leurs courses, ouvrent les portes et peuvent les accompagner à l’intérieur de leur lieu de destination, si besoin.

SERVICE PLUS EN CHIFFRES

En 2012, l’association comptait 300 inscrits.5641 voyages ont été réalisés. Soit entre 300 et 400 par mois762 personnes ont pu bénéficier des services de l’association.

« Il y a un vrai lien d’amitié qui se crée entre les chauffeurs accompagnateurs et les personnes utilisant le minibus de Service Plus. Certaines personnes ont d’ailleurs recours à ce service de façon quotidienne. Elles sont alors souvent tristes lorsqu’elles apprennent que l’un des chauffeurs ne travaille plus au sein de l’association ! ».

C’est le cas actuellement d’un enfant handi-capé qui se rend à l’école uniquement grâ-ce au minibus. « Les 3 chauffeurs, Sandrine, Jean-Louis et Didier le connaissent bien... » Ils travaillent actuellement à temps partiel, dans le cadre de Contrats d’Accompagnement à l’Emploi (CAE) pour Service Plus. « Les contrats durent 6 mois et sont renouvelables trois fois ». Parfois demandeurs d’emploi de lon-gue date, ils sont recrutés par Pôle Emploi, le CCAS ou par la ville afin de retrouver une ac-tivité professionnelle et doivent en parallèle suivre une formation. « Certains se dirigent vers le métier d’ambulancier, d’autres dans l’accompagnement des personnes âgées en maison de retraite. On les pousse égale-ment à suivre une formation aux premiers secours et une initiation à l’informatique. Service Plus leur sert bien souvent de véri-table tremplin professionnel. »

service du lundi au samedi midi, de 7h30 à 12h et de 13h30 à 18h, sur rendez-vous. Tarif : 0,5 ou 2euros selon les ressources. Nouveauté : Une navette ouverte à tous relie Hennequeville au marché de Trouville, tous les mercredi matin. Tarif : 2€.

SERVICE PLUS

ROMPRE L’ISOLEMENT DES PERSONNES À MOBILITÉ RÉDUITEPlus qu’un simple moyen de transport, l’association constitue un véritable lien social pour des personnes souvent seules et isolées. Rencontre avec le Président de l’Association, Jean-Paul Beauvelle.


AGENDA


©CNTH ©CNTH

©CNTH

LA SAISON SE PRÉPARE AU CNTHLe club nautique de Trouville Hennequeville vit toute l’année. On y pratique la voile, mais aussi tout support propulsé par le vent. Du speed sail au char à voile, tour d’horizon en compagnie de Laurent Manoury, chef de la base nautique.

EN BREF

On surfe à TrouvilleL’école de surf North shore démarre la saison le 13 avril prochain. Au menu cours collectif de 2 heures, à l’unité ou au forfait, 3 types de formule à découvrir tous les jours pendant les vacances de Pâques.

Contact : Stive Lener tel. : 02 31 87 28 98, [email protected], page FB north shore casual shop.

Trouville OlympiqueNatationUne vingtaine de nageurs du club évolueront en championnat cette année. On suivra tout particulièrement Lise Paris et Eva de Lima Gomes, présélectionnées pour la coupe de France des départements qui se déroulera les 6 et 7 juillet.

Programme de l’USEP Les enfants de l’USEP se retrouvent tous les mercredis après-midis de 14 à 16h sous la houlette de Murielle Chery, d’Anthony Gendron et d’ Eugénie Corbet. Ils organiseront le parcours du cœur au mois d’avril pour leurs camarades des écoles publics.

Contact : [email protected], Murielle Chery : tel : 06 74 68 64 98

Les sections sportives recrutentFilière labellisée par l’inspection pédagogique, deux sections sportives sont proposées au collège Mozin. Les sélections pour la rentrée 2013 auront lieu le mercredi 29 mai de 14h à 16h au Parc des loisirs de Touques pour la section Football, et le mercredi 5 Juin de 14h à 16h au gymnase Maudelonde de Trouville pour la section Handball. Les collégiens intéressés doivent remplir un dossier de candidature au collège.

Le multicoque est la marque du CNTH. Une complémentarité avec le club voisin de Deauville. « L’idée c’est de donner envie de naviguer, plus il y aura de clubs sur la côte mieux ce sera » résume Laurent. Si l’on navigue de mi-mars à mi-novembre, la plage devient un terrain de jeu et de compétition privilégié pour les speed sail* et chars à voile lorsque la marée et les conditions climatiques laissent planches et catamarans au sec.

La glisse c’est fun !La glisse est devenue en quelques années une activité très tendance. Accessible à tous quelque soit l’âge, le paddle** connaît un engouement relayé par le centre nautique pour une approche pédagogique. Sport ludique, « dans le petit temps, il sert d’activité de remplacement pour le char à voile », discipline en forte demande. Quelles que soient les activités, le club propose une formule location de l’ensemble du matériel disponible sur la base.

Entraînements et régatesTout au long de l’année les mercredi et samedi sont consacrés aux entraînements pour tous et aux séances pour les scolaires. Les championnats régionaux de dériveurs permettent aux jeunes de régater le mercredi sur les bateaux des clubs organisateurs. Un gain de temps qui évite de déplacer le matériel. « L’évolution du club ne se fait plus sur les vacances saisonnières, il y a vingt ans la structure vivait grâce au fonctionnement pendant la saison d’été, aujourd’hui c’est 50/50 » se réjouit Laurent Manoury.

* Planche à roulette tractée par une voile , ** surf pagaie

Sur la base du CNTH on trouve : 30 catamarans de 10 à 16 pieds, un trimaran habitable de 7,50m, 40 planches pour tous les niveaux, 20 chars, 11 speed sail, 20 paddle. Une centaine de stagiaires par semaine l’été.70 à 80 personnes chaque semaine, 4 à 9 moniteurs diplômés selon la saison.Renseignements : Digue des Roches Noires à Trouville - Tél. : 02 31 88 13 59 - www.cnth.org - [email protected]


SPORT

AVRILSamedi 13 Dimanche 14Brocante de l’école du chat Ancienne Maison des Jeunes rue du Gal de Gaulle

jeudi 18 spectacle de la Comédie de Caen à 19h salle du conseil « l’emprunt Edelweiss »

Dimanche 21dimanche de Montebello au musée à 11h

Samedi 27Brocante aux Aubets à Hennequeville

Mardi 30 course des garçons de café : course des enfants sur la plage

MAIMercredi 1er

epreuve de Marche organisée par la Maison des Jeunes : 40ème prix d’Hennequeville

Samedi 4 et dimanche 5 Festival du Cerf-Volant sur la plageSamedi 4 Concert orgue et trompette à 20h30 église Notre Dame des VictoiresSamedi 4Une heure, une oeuvre à 17h musée villa MontebelloSamedi 4 Visite guidéeTrouville au temps des impressionnistes

Du 9 au 11Salon de la Gastronomie sur les quais

Samedi 11Spectacle à 20h30 maison des Associations, salle Solano : « ciel ma femme » par l’association les planches

Dimanche 12 Dimanche de Montebello à 11h au musée

Samedi 18Brocante de l’école jeanne d’Arc sur les quaisSamedi 18 Nuit européenne des musées à 21h- Pierres en lumière

Mercredi 22Manifestations hippomobile quartier E.Boudin et Cité Jardins

Samedi 25Balade aquarelleNormandie Impressionniste

JUIN Samedi 1er

Concert ensemble Melisma et ensemble vocal de Trouville à 20h30 Eglise Notre Dame de Bon SecoursSamedi 1er

Une heure, une œuvre au musée à 17hSamedi 1er Bourse d’échange association Cartophilique , salle de la plage

Mercredi 5Course des garçons de café en ville

Dimanche 9Salon du livre jeunessesalon des gouverneurs du CasinoDimanche 9Rendez-vous des voisins à Hennequeville, déjeuner en commun.

Samedi 15 et dimanche 16Brocante de l’école du chat Salle de la Plage

Samedi 15balade aquarelleNormandie impressionnisteSamedi 15 Rendez-vous des voisinssur le pont des Belges à partir de 18h30Samedi 15 Récital lyrique à 17h30 église d’Hennequeville

Vendredi 21GuinguetteNormandie Impressioniste à 19hVendredi 21Fête de la Musiqueesplanade du pont à 19h, collège C.Mozin

Samedi 22Foire à tout de l’Amicale des anciens sapeurs-pompiers esplanade du pontSamedi 22Concert à 20h30 Eglise Notre Dame de Bon Secours « messe des pêcheurs de Fauré »

Mercredi 26Normandie impressionnisteOrchestre et chant par l’école de musique

Samedi 29journée ProustienneSamedi 2929ème corrida pédestredépart à 10h sur la plage

Dimanche 30Viking Beach Soccer Tour sur la plage de 11h à 18h

Dans le cadre de la semaine du développement durable, des lectures sur le thème de la transition énergétique auront lieu les 28 et 29 mars : lectures à l’école René Coty et Andersen, le 2 avril à l’école Delamare, le 4 avril à l’école jeanne d’Arc et le 5 avril à l’école jeanne d’Arc et Andersen.

RETOUR EN IMAGES

30 > la Mouette AVRIL 201331 > la Mouette AVRIL 2013

Le 11 janvier dernier Vœux du maire + médaillés du travail © Daniel SIMON

Ateliers Van gogh au musée Villa Montebello © Daniel SIMON Ca tourne avec A.de Caunes ! © Daniel SIMON

Repas des anciens : Le traditionnel déjeuner de Noël offert aux aînés de la commune a réuni en décembre 440 convives dans le salon des gouverneurs. © Le Pays d’Auge

Concert école de musique au musée

Brocante Ali Baba : la brocante a réuni 60 expo-sants et 1000 visiteurs © Le Pays d’Auge

Soirée lecture à 5 voix du jeudi 14 février : une performance remarquable du peintre Yves Rigu-idel qui, partant d’une toile blanche, a peint durant l’intervention d’une heure 20 cette toile magnifique.© Daniel SIMON Départ à Trouville du 43ème rallye de la côte fleurie © Daniel Simon

Spectacle à la Roseraie le 21 février , instants de bonheur pour les résidents © Daniel SIMON

La patinoire : inauguration du 23 février © Daniel Simon

Ci-dessous : Séjour de ski à La Toussuire Du 22 février au 2 mars 2013 et encadrés par 7 agents de la collectivité, 45 enfants de Trouville ont participé au séjour de ski organisé par la ville à La Toussuire. Des conditions de ski excellentes pour des enfants re-venus avec de beaux souvenirs et de jolies couleurs.

LA TRIBUNE DES CONSEILLERS MUNICIPAUX


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La musique retentit à Trouville continuellement et sous différentes formes. Comme il est expliqué dans ce numéro de la Mouette: Concerts, Festival, Stages, Cafés Trou-ville , rendez-vous mensuels permettent tout au long de l'année d'entendre de la musique clas-sique, du jazz, des variétés, de découvrir des com-positeurs et des instruments peu habituels. Cette diversité de musique convient bien à Trouville qui y trouve un large public.

Ainsi les grands rendez-vous tels que les concerts de Pâques, du 15 août et de Noël sont devenus des incontournables et les rendez-vous mensuels, des plaisirs de découvertes et de rencontres avec les musiciens. Les Cafés Trouville de l'été offrent chaque semaine des soirées musicales au bord de la Touques qui se terminent en dansant.Avec « Les musicales », le jazz tient une place im-portante à Trouville, place qui avait été donnée par Claude Bolling. Pour confirmer cette relation de Trouville avec le Jazz, 2 manifestations ont vu le jour en 2012 , l'une en juillet « Les petits trottoirs »- orchestres de jazz dans la rue des Bains – et Jazz et Tocques in Trouville le premier week-end d'oc-tobre, qui invite des grands noms du jazz sur un fond de dégustation locale.

Bien entendu l'Ecole de musique intercommunale Claude Bolling -élèves et professeurs- ne manque pas de participer et de créer des évènements mu-sicaux. Ils vont être largement inspirés par Norman-die Impressionniste qui va tenir une grande place dans la programmation culturelle de cet été. Enfin les stages de musique s'installent dans l'école pendant l'été et la font vivre.

Talent, découverte, plaisir, détente familiale sont les mots qui expriment la volonté de la municipa-lité à travers cette programmation et qui vont bien avec l'identité de Trouville.

Enfin il me semble important de souligner que cette programmation par la volonté de M. Cardon, est ouverte à tous gratuitement. Dans le contexte économique actuel, il nous paraît essentiel de la souligner.

En souvenir de Stéphane Hessel qui aimait tant Trouville et pour qui la poésie était une « néces-sité », je vous propose de naviguer sur ces lignes de Beaudelaire qui évoquent la musique et la mer :

La musique parfois me prend comme une merVers ma pâle étoile,

Sous un plafond de brume ou dans un pur étherJe mets la voile

La poitrine en avant et gonflant mes poumonsDe toile pesante

Je monte et je descends sur le dos des grands monts

D'eau retentissante;

Je sens vibrer en moi toutes les passionsD'un vaisseau qui souffre

Le bon vent, la tempête et ses convulsionsSur le sombre gouffre

Me bercent, et parfois le calme, grand miroir De mon désespoir

Charles Beaudelaire Les Fleurs du Mal 1857

Pascale CORDIERAdjointe chargée des Affaires Culturelles

et de l’Environnement

En avant la musique !Dans La Mouette de novembre 2011, nous écrivions : « Doucement Trouville se meurt, les écoles se vident, les com-merces de proximité ferment, il n›y a pas de salle de spectacle ou de cinéma, mais il y a des week-ends flamboyants ou l›on rencontre des Français qui ne connaissent pas la crise ».le projet de l’opposition est que Trou-ville redevienne une ville vivante à plein temps.Pour cela, il faut une volonté politique, tout le contraire de la résignation d’un Maire à bout de souffle. Voici quelques-unes de nos priorités.

1. Inverser la courbe de populationC’est absolument crucial : Trouville a perdu 25% de ses habitants durant les mandats de M. Cardon depuis 1983, et la population diminue encore chaque année, malgré un courrier électoral mensonger de M. Cardon prétendant qu’il était parvenu à inverser la ten-dance. De plus, la population vieillit : 35% ont plus de 60 ans, il y a 3 fois plus de décès que de naissances.Pour justifier cet échec, M. Cardon pré-tend désormais que perdre des habi-tants, c’est un signe de réussite, car les Parisiens sont prêts à payer cher pour des résidences secondaires, et que l’important, ce sont les contribuables. Lors du Conseil Municipal du 21 février 2013, il a déclaré se satisfaire de gens qui travailleraient à Trouville, mais n’au-raient plus les moyens d’y habiter et se logeraient dans les communes voisines! Nous n’avons pas du tout la même vision.Il sera difficile d’inverser la courbe de la population, mais les élus ont l’obligation morale d’agir et d’y par-venir, car la population résidente, c’est la condition pour qu’une ville vive ! Ac-cepter qu’elle diminue année après an-née, c’est une faute, un renoncement, une désertion.en premier lieu, il faut une action volontariste sur le logement. Les opé-rations en cours ou en projet ne sont accessibles qu’à des classes relative-ment aisées. Le Maire vient de recon-naitre que les logements intermédiaires en accession sont une fausse bonne réponse, puisque « même en y mettant des clauses… ce sont des résidents se-condaires qui achètent » (Ouest France 03/01/2013)Pour les 53,6% des foyers trouvillais non imposables, dont le revenu moyen est de 772 euros par mois, ces logements en accession sont trop chers, et il n’y a donc pas d’autre solution qu’une aide au loyer.l’opposition a proposé plusieurs me-sures, dont une aide directe au loyer pour les familles avec enfants scolarisés

à Trouville et la création d’un « Office municipal de lutte contre la mérule ». D’autres voies seront explorées, car on ne peut pas s’en remettre unique-ment à la logique financière libérale, et accepter sans rien faire que la loi du marché vide notre ville de ses ha-bitants. Faire de la politique, c’est faire preuve de volonté et de détermina-tion. Ce n’est pas le cas de M. Cardon, totalement résigné face aux chiffres de la population trouvillaise, qui sont catastrophiques comme l’attestent de manière indiscutable tous les recense-ments depuis 30 ans.

2. Relancer les commercesLors du Conseil Municipal de novembre 2012, nous avions dénombré 16 ferme-tures de commerce rue des Bains.Selon M. Cardon, les commerces périclitent par la faute des commer-çants : « ce sont des aventures indivi-duelles, lorsqu’un commerce marche bien ou mal, il y a des raisons qui tiennent au plus ou moins grand dynamisme des commerçants » (CM 30/11/2012). Il confie donc à la Chambre de Com-merce « une étude pour sauver la rue des Bains » (Pays d’Auge 29/01/2013) avec « un état des lieux qui visera à in-ventorier les problèmes : erreurs de ges-tion, mauvaise approche, vitrines peu attirantes ». Cette mise en cause par le Maire des compétences des commerçants est scandaleuse et injuste. Les proprié-taires de l’aquarium annoncent « que la conjoncture actuelle les contraint à fermer après 40 ans d’existence ». La pharmacie de la rue des Bains fonc-tionnait depuis des dizaines d’années, elle vient de fermer. Les exemples sont nombreux de commerces qui ferment alors qu’ils ont bien fonctionné depuis très longtemps.l’opposition considère que les ferme-tures de commerces sont dues à des problèmes structurels plutôt qu’à des erreurs individuelles. Les raisons sont multiples, notamment le prix des loyers et les montants dissuasifs du droit au bail, mais surtout la diminution de la clientèle potentielle provoquée par la baisse de la population. « Une lapalissade qu’il va être difficile de contrer » (Pays d’Auge 04/12/2012).Pour relancer le commerce, l’opposi-tion ne se contentera pas de « trompe l’œil » sur les vitrines, elle ne mettra pas en cause la compétence des commer-çants, comme le fait le Maire, mais elle créera un environnement plus favo-rable : mesures pour inverser la courbe de la population, création d’une salle de spectacle, parkings de délestage, négociations avec les bailleurs (Oui M. le Maire, on peut faire pression, mais

encore faudrait-il le vouloir et ne pas nous dire « vous dites des bêtises » CM 21/02/2013).

3. Fluidifier la circulationNotre projet est connu : la création de parkings de délestage. Les gens y dé-poseraient leur voiture et rejoindraient le centre-ville à l’aide d’une navette électrique. Les personnes qui seraient transportées au centre-ville seraient plus disponibles, ce qui contribuerait à aider le commerce trouvillais.Dans son dossier d’octobre 2012, l’Express conclut : « A défaut de solution miraculeuse, la piste des parkings de délestage apparaît comme la meilleure option… « Nous serons contraints d’y arriver un jour », pronostique Christian Cardon. Pour Deauville – mais surtout Trouville – le plus tôt sera le mieux ».Pourtant, le Maire s’obstine depuis des années sur un projet de parking souter-rain au centre-ville, un investissement de l’ordre de 7 millions d’euros im-possible à rentabiliser avec les paie-ments des usagers, et qui nécessitera des impôts payés par tous les Trou-villais, des centaines de milliers d’euros chaque année. Malgré les annonces de M. Cardon, ce projet est au point mort, et la Commission d’Appel d’Offres ne s’est plus réunie sur ce parking depuis… juin 2011. Bref, un projet foireux qui foire. Un de plus.

4. Créer une salle de spectaclesLe cinéma est fermé depuis plusieurs années, la Salle des Congrès a été cé-dée définitivement et gratuitement aux Cures Marines, la rénovation du « Petit Théâtre du Casino » – prévue dans le Cahier des Charges de la concession du Casino – n’a pas été acceptée par le Groupe Barrière mais le Maire a laissé faire sans tiquer.En 2008, M. Cardon projetait un cinéma, une salle polyvalente à Henneque-ville, la modernisation de la Salle des Congrès : plein de belles promesses, aucune n’a été tenue ! Trouville est la seule ville de la région à ne pas avoir de Salle des Fêtes ! La Salle des Congrès, si chère au cœur des Trouvillais, manque cruellement, et il n’y a rien pour com-penser… Mais on peut attendre et es-pérer, la bibliothèque promise en 2001 va être terminée en 2013…Pour l’opposition, la création d’une salle de spectacle est une priorité et sera réalisée rapidement si la liste d’op-position est élue.Toutes ces mesures nécessitent de la volonté et du travail. Nous y sommes préparés.

Paul CATTAN et Valérie MUTEL, Conseillers Municipaux de l’Opposition

le MOT De l’OPPOSITIONLionel CATOIS, Paul CATTAN, Martine GUILLON,

Françoise HALLEY, Régis LEHOT, Valérie MUTEL

Pour que Trouville revive il faut une volonté politique.

A VOUS DE JOUER

34 > la Mouette AVRIL 201334 > la Mouette AVRIL 201335 > la Mouette AVRIL 2013

BON A SAVOIR

TROUVIlle INSOlITeUne nouvelle rubrique !Amusez-vous à retrouver ces petits détails qui font Trouville et qui souvent ont échappé à notre regard ……

Horizontalement1. Vieux et démodé - Donne des pommes2. Préside à l’astronomie - Accord franco-alle-mand3. Igues - Rayer4. Molécule biologique - Peut nous protéger des intrus5. Portée - Débris ou lessivés6. A des points - Fut classé réserve de bios-phère en 19887. Outras - Ut démodé8. Moi... - Oncle slave - Célé9. Sbires - Très bien pourvue10. On en trouve à l’intérieur du bar - Jour anglais contrarié11. Monnaies d’échanges12. Ouvre bien les portes - Y aller est l’hypo-thèse la plus défavorable

VerticalementI. Bernache canadienne - Bon PèreII. Fait froid... - Mise à risqueIII. Prend sa source en Vioménie - Jours appréciésIV. Le machin du Général - Très bas - CaleV. Sable mouvant - Surveillent nos côtesVI. Fin de soirée - Fumas ou apprécias - PersonnelVII. Salé-séché - Igname ou jeu VIII. Ne peut se faire à deux - Chère aux spinaliensIX. Soleil retourné - Quelle maladroite !!!X. Très appréciées quoique dangeureuses parfois - Adresse militaireXI. Donne congé - Enchanté ou enchanteXII. Attention à sa crise... - Enlève - Vieux rites

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MOTS CROISéS

1. Sur la façade de l’église N.D des Victoires - 2. Dans la cour de l’école Jeanne d’Arc

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PeRMANeNCe DeS élUS Richard ZIVACCO, 1er adjoint Affaires générales, état-civil, élections, personnel municipal, affaires maritimes,police municipale, commerces, gestion du marché le vendredi de 15h à 16h30

Pascale CORDIeRAffaires Culturelles, Environnement le vendredi de 14h30 à 15h30

Pierre ClAUDeBâtiments communaux, affaires Hennequeville, sécurité cimetières le mercredi de 14h à 16h et le jeudi sur rendez-vous

Dominique POIDeVINAffaires sociales, Communication le vendredi de 11h à midi

jeanine OUTINAffaires scolaires, secteur de la Jeunesse, Animations le mercredi de 11h à midi

François BRIARDUrbanisme, voirie, cadre de vie, sécurité sur rendez-vous

Didier QUeNOUIlleFinances, Développement Economique, Tourisme sur rendez-vous

N° vert : 08 000 14360 Mairie : 02 31 14 41 41

Services Techniques : 02 31 14 41 71 Police Municipale : 02 31 14 22 50

TRI SéleCTIF en porte à porteAprès un an de test sur la zone des quais, La collecte en porte à porte des sacs jaunes s’étend aux quartiers Eu-gène Boudin et Coty.La collecte a lieu tous les 1ers mercredi matins du mois dans le quartier Eugène Boudin et a débuté le 6 mars. A Coty, la collecte a lieu tous les 2ème mercredi matins du mois et a débuté le 13 mars. Cette collecte concerne plus de 2000 foyers. A Henne-queville, 200 autres foyers devraient prochainement éga-lement participer à ce projet.

Rappel La collecte des sacs jaunes concerne le papier, le car-ton, les flacons et bouteilles en plastique, les emballages métalliques. La collecte de verre peut se faire en même temps, dans un carton, à part. 16 points d’apport volontaires sont également mis à dis-position, dans l’ensemble de la ville. Info : sacs jaunes disponibles en mairie. >>> Sur les quais : 1,5 t de déchets ont été collectés, par mois.

4 > 5 MAI 2013

8eFestival

Samedi 4 > 22hSpectacle féérique son et lumière

2 week-ends à gagner offerts par MaevaAnimations gratuites Concours et atelier d’enfants

Documents

La Mouette - Trouville-sur-MerSOMMAIRE 2 > la Mouette AVRIL 2013 EDITO 3 > la Mouette AVRIL 2013 La Mouette Magazine de la Ville de Trouville - 164, bd Fernand Moureaux - 14360 Trouville-sur-Mer