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la baule + L’essentiel de la presqu’île guérandaise ! Mensuel gratuit d’informations - N° 62 - Mai 2009 NE JETEZ PAS CE JOUR N AL SUR LA VOIE PUBLIQUE : RAPPORTEZ L A B AULE+ CHEZ VOUS ! Elections européennes : le point sur les forces en présence... VILLIERS : L’ENTRETIEN CHOC ! FRANCK PROVOST PARIS VOTRE COIFFEUR Galeries Lafayee Decré NANTES 02 40 47 10 20 Centre Cial Beaulieu NANTES 02 40 74 12 44 Centre Cial Auchan TRIGNAC - 02 40 90 19 25 Centre Cial Leclerc L’immaculée ST-NAZAIRE - 02 40 01 88 28 10 bld Hennecart - Face à l’Océan - LA BAULE - 02 40 24 18 89 MAISON Rodolph Madeline, le spécialiste de la menuiserie et des stores Page 18 RENCONTRE Rose Perchot nous présente son agence matrimoniale Unicis Page 10 GOURMANDISES Rencontre avec l’équipe de La Route du Cacao au Croisic Page 15 GASTRONOMIE Elisabeth Jamin nous présente le nouveau restaurant baulois: L’Avenue Page 27 THALASSO Florence Bigot nous présente le centre de thalassothérapie Daniel Jouvance Page 25 TOURISME Loïc Vandamme nous ouvre les portes de l’hôtel Mona Lisa Page 9 TENDANCES Cathy Chabellard lance «De Vous à Moi»: le dépôt-vente d’articles de belles marques Page 29 LA RECETTE DU MOIS Christophe Bessonier, chef du Grenier à Sel, présente le Tartare de Saumon à l’aneth au croustillant au blé noir de Bretagne Page 28 MODE Marie-Laure et son équipe des boutiques Week end Page 11 Olivier Lejeune : « Cette région est une vraie drogue pour moi ! » Olivier Lejeune est l’un des humoristes les plus brillants de sa génération et le public ne s'y trompe pas car ses spectacles font salle comble. Il nous présente sa dernière comédie, Presse Pipole, et son nouveau livre, Mémoire d’éléphant, dans lequel il livre différentes astuces pour développer la mémoire. Lire pages 16 et 17. Le président du Conseil général de la Vendée en voisin à La Baule… Pages 12 et 13. NEXITY : c’est parti ! Page 4

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la baule +L’essentiel de la presqu’île guérandaise !

Mensuel gratuit d’informations - N° 62 - Mai 2009

N E J E T E Z P A S C E J O U R N A L S U R L A V O I E P U B L I Q U E : R A P P O R T E Z L A B A U L E + C H E Z V O U S !

Elections européennes : le point sur les forces en présence...

VILLIERS : L’ENTRETIEN CHOC !

FRANCK

PROVOSTPA R I S

VOT R E C O I F F E U RGaleries Lafaye!e Decré

NANTES02 40 47 10 20

Centre Cial BeaulieuNANTES

02 40 74 12 44

Centre Cial Auchan TRIGNAC - 02 40 90 19 25

Centre Cial Leclerc L’immaculée ST-NAZAIRE - 02 40 01 88 28

10 bld Hennecart - Face à l’Océan - LA BAULE - 02 40 24 18 89

MAISON

Rodolph Madeline, le spécialiste de la menuiserie et des stores Page 18

RENCONTRE

Rose Perchot nous présente son agence matrimoniale Unicis Page 10

GOURMANDISES

Rencontre avec l’équipe de La Route du Cacao au Croisic Page 15

GASTRONOMIE

Elisabeth Jamin nous présente le nouveau restaurant baulois: L’Avenue Page 27

THALASSO

Florence Bigot nous présente le centre de thalassothérapie Daniel Jouvance Page 25

TOURISME

Loïc Vandamme nous ouvre les portes de l’hôtel Mona Lisa Page 9

TENDANCES

Cathy Chabellard lance «De Vous à Moi»: le dépôt-vente d’articles de belles marques Page 29

LA RECETTE DU MOIS

Christophe Bessonier, chef du Grenier à Sel, présente le Tartare de Saumon à l’aneth au croustillant au blé noir de Bretagne Page 28

MODE

Marie-Laure et son équipe des boutiques Week end Page 11

Olivier Lejeune :

« Cette région est

une vraie drogue

pour moi ! »Olivier Lejeune est l’un des humoristes les plus brillants de sa génération et le public ne s'y trompe pas car ses spectacles font salle comble. Il nous présente sa dernière comédie, Presse Pipole, et son nouveau livre, Mémoire d’éléphant, dans lequel il livre dif férentes astuces pour développer la mémoire. Lire pages 16 et 17.

Le président du

Conseil général

de la Vendée

en voisin à La

Baule…

Pages 12 et 13.

NEXITY : c’est parti !

Page 4

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Un Festival des Terres Blanches exceptionnel ce!e année !

Christian Moriceau et Jean-Marc Dussable présentent le

Festival des Terres Blanches

La Baule+ : Vous êtes à l’origine du Festival des Terres Blanches qui connait un succès croissant chaque année. Comment est née ce e idée ?

Christian Moriceau : L’idée est née d'une rencontre avec Jean-Marc Dussable au début de l'année 2004. Nous voulions organiser un concert pop rock sur la presqu'île et nous avons constitué une équipe. Nous avons mis au point un concept de festival sur le site de la Cou-lée verte à Guérande. Nous avons commencé la première année avec Raphaël et Mickey 3D. L'année suivante, nous avions Yannick Noah et c'était une belle réussite, avec plus de

8 000 entrées payantes. L'année dernière, nous avons reçu l'ar-tiste de l'année, à savoir Chris-tophe Maé…

Vous aviez eu du flair puisque, entre le moment où vous avez signé son contrat et celui où il s'est produit, il a été distingué aux Victoires de la Musique... Idem avec Thomas Dutronc ce e année ! Comment vous êtes-vous lancé dans un pari aussi fou, Jean-Marc Dussable, alors que vous devez gérer vo-tre entreprise , Mr Bricolage à Guérande...

Jean-Marc Dussable : Quand on a une occupation profes-sionnelle relativement pre-

nante, cela fait du bien de pouvoir déconnecter un petit peu ! Nous sommes guéran-dais et il existe aussi chez nous une volonté de nous impliquer dans le monde associatif. Nous avions envie de créer un événe-ment sur la presqu'île. Certes, il y avait déjà des événements importants, mais nous avions envie d'apporter une approche différente sur le plan culturel. Évidemment, nous n'avions aucune raison de refaire ce qui est déjà bien fait sur Guérande, comme la Fête médiévale ou les Celtiques. Nous voulons apporter quelque chose de plus jeune et de plus dynamique et nous avons retroussé nos man-ches. La recherche artistique est une démarche très inté-ressante. Ce"e quatrième édition est particulière, car les trois premières années c'était un concert et, ce"e fois-ci, nous repartons sur deux jours avec une véritable notion de festival.

Comment vous organisez-vous pour la programma-tion ? A partir de ce que vous entendez à la radio ?

Christian Moriceau : D'abord, nous avons tous des enfants qui nous influencent.

On écoute aussi ce qui fonc-tionne dans les radios, comme sur Kernews, et nous recher-chons ce qui est diffusé, mais aussi ce qui peut surprendre. En l'occurrence, ce"e année, je pense que nous ne sommes pas trop mauvais entre Fiction Plane, Pascale Picard, Thomas Dutronc, Anaïs, Ayo ou Keziah Jones…

Préparer un tel festival doit re-présenter des mois de travail !

Christian Moriceau : Effec-tivement, et je voudrais re-mercier tous les bénévoles qui concourent au succès de ce"e manifestation. Il faut savoir

que 300 personnes se mobili-sent pour l'organisation de ces deux soirées. Sur le plan logis-tique, nous avons commencé à travailler sur la programma-tion en septembre dernier. La programmation s'est faite au fur et à mesure du temps et elle s’est finalement bouclée assez rapidement. Il y a aussi un tra-vail de fond très important en matière de sécurité et d'accueil des festivaliers qui vont venir passer le week-end sur la côte. La ville de Guérande nous aide aussi énormément et nous devons tous réfléchir à ce"e organisation. Mais le pari sera vraiment réussi lorsque nous aurons fait le plein les 11 et 12 juillet et que les gens seront re-partis contents !

Jean-Marc Dussable : Je crois que le public va être très content de découvrir ce"e formidable diversité qui va lui être propo-sée sur deux jours. C'est un pari très ambitieux et notre droit à l'erreur est restreint car nous devons assurer 94% du budget - qui est de 250 000 euros - par la bille"erie, à savoir 8 000 en-trées ! Il n'y a rien de gagné et nous devons être parfaits sur notre organisation. Enfin, nous commençons à réfléchir à l'évo-lution des Terres Blanches et je

crois que nous devons mener une réflexion collective à l'éche-lon du territoire avec d'autres communes voisines comme partenaires. Pourquoi ne pas mutualiser les événements tout au long de l'année ? Ce"e année, nous sentons vraiment un retour. On a compris que nous étions des gens sérieux, ce sont les producteurs qui nous téléphonent pour nous faire des propositions et nous allons pouvoir augmenter la qualité du plateau au fur et à mesure des années. Nous le prouvons déjà ce"e année avec de belles pointures nationales et interna-tionales.

Propos recueillis par Yannick Urrien.

mai 2009 la baule + l’événement2

Ils créent l’événement : Christian Moriceau et Jean-Marc Dussable ont réussi à faire du Festival des Terres Blanches une manifestation incontournable chaque

été. Ils nous racontent ce!e aventure…

Le programme du Festival des Terres

Blanches 2009

Samedi 11 juillet à partir de 17h00 : Tremplin+de Zic, Neimo, Fiction Plane, Pascale Picard et Thomas Dutronc.Dimanche 12 juillet à partir de 17h00 : La Belle Bleue, Pep’s, Anaïs, Ayo et Keziah Jones.Prix du billet : 29 euros.Prix du pass 11 et 12 juillet : 42 euros.

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Il est passionnant de se plonger dans le pa-trimoine culturel des grandes entreprises. Ce"e année, c’est une exposition excep-

tionnelle qui est présentée jusqu’au 21 juin à l’espace culturel de la chapelle Sainte-Anne à La Baule : Illustres Légumes. Les visiteurs pourront découvrir la richesse de la collec-tion Vilmorin. L’histoire de ce"e prestigieuse entreprise familiale débute en 1743 lorsque Pierre d’Andrieux, botaniste du roi Louis XV, et son épouse Claude Geoffroy, maîtresse grainière, ouvrent une boutique de graines, quai de la Mégisserie, à Paris. Leur fille, Adé-laïde, s’unira en 1774 à Philippe Victoire de Vilmorin, passionné de médecine et de bota-nique. L’entreprise Vilmorin est née... Depuis, pas moins de six générations de Vilmorin se sont impliquées dans l’amélioration des espè-ces botaniques. Tout au long de ce"e pério-de, l’entreprise a constitué une collection de prestige qui n’est exposée que très rarement en raison de la grande fragilité des pièces. La mise en place à La Baule de ce"e exposition «Illustres Légumes» est donc un événement unique. Olivier Fruneau-Maigret, commissai-re d’exposition de l’agence Lulu Fine Art, pré-cise que les Vilmorin, «pour illustrer leurs cata-logues, ont fait appel à des illustrateurs botanistes

très doués. Ces illustrateurs ont donc dessiné les diverses races de légumes en pleine nature. Ce sont ces aquarelles uniques que nous exposons. Nous avions le choix entre la collection d’aquarelles sur les fleurs et celle sur les légumes. Finalement, nous avons trouvé que le légume était beaucoup plus noble et beaucoup plus tendance. De plus, ces aquarelles sont accompagnées de moulages en plâtre sur les légumes qui reprennent la forme, la couleur et le poids des légumes».

Le légume star…

Une exposition à la gloire du légume, avec plus d’une centaine de panneaux et d’aqua-relles différentes. «On se rend compte que le lé-gume est riche en formes et en couleurs et qu’il a beaucoup inspiré les arts de la table. C’est pour ce!e raison que nous consacrons tout un espace de ce!e exposition aux arts de la table, notamment la porcelaine. L’exposition comporte également des explications sur la notion de se me!re à table de la Préhistoire à nos jours» explique Olivier Fruneau-Maigret. Il souligne que «l’entre-prise Vilmorin a une conscience car elle travaille sur la valorisation de son patrimoine». Claude Le Guen, maire-adjoint en charge de l’action culturelle et des manifestations, ajoute qu’un large volet de ce"e exposition «sera consacré à la représentation contemporaine du légume par Jean-Louis Bloch-Lainé, qui a donné à la photogra-phie culinaire ses le!res de noblesse et toute sa sa-veur». Un an après avoir présenté la collection Louis Lefèvre-Utile, La Baule crée à nouveau l’événement ce"e année avec ce"e magnifique exposition Vilmorin.L’exposition «Illustres Légumes» est présen-tée du 2 mai au 21 juin à l’espace culturel de la Chapelle Saint-Anne, place du Maréchal Leclerc à La Baule. Horaires d’ouverture : du lundi au dimanche, de 11h à 13h et de 16h à 19h30.

mai 2009la baule + l’événement 3

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Rendez-vous avec Michelle Quellard, maire du Croisic, sur Kernews 91,5 FM

Michelle Quellard, maire du Croisic, sera l’invitée du magazine de Yannick Urrien lundi 25 mai à 8h05 (rediffusion à 19h). L’émission sera également rediffusée samedi 30 mai à 8h et dimanche 31 mai à 19h. Vous pouvez poser des questions sur les thèmes de votre choix à

Michelle Quellard en laissant un message sur le répondeur de Kernews au 02 40 60 91 40, avant le vendredi 22 mai. Ne manquez pas ce rendez-vous avec Michelle Quellard sur Kernews, où elle fera un point complet sur ses projets et le développement du Croisic.

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mai 2009 la baule + l’événement4

C’est parti ! Le chantier Nexity démarre…

Jean-Marc Josse, directeur commercial de Nexity

GeorgeV Atlantique : «Les baulois se rendent bien compte que nous allons changer le visage de l'entrée de la ville.»

La Baule+ : Le projet de Nexity à La Baule est ambitieux. Où en êtes-vous de la commercia-lisation et des travaux?

Jean-Marc Josse : Compte tenu de l'envergure du pro-jet, nous travaillons îlot par îlot et nous évitons de nous éparpiller sur l'ensemble de la ZAC. Aujourd'hui, sur l'îlot 2 qui est en commercialisation, nous venons de dépasser les 50% de réservations. Il ne s’agit pas d’options, mais de clients qui se sont positionnés avec un financement sécurisé sur des lots précis. Ce sont des réservations fermes. Les travaux sont engagés sur les bâtiments existants avant de commencer la démolition. Le démarrage de la construction est prévu pour les prochains mois.

Quand verra-t-on arriver les premiers occupants ?

Au cours du premier trimestre 2011. Je rappelle qu'il ne s'agit pas d'un programme immo-bilier classique, puisqu’il y a des infrastructures importan-tes, avec des voiries et tout un projet d’aménagement de quartier. Il ne s'agit donc pas de démolir une maison pour construire un immeuble avec une vingtaine de logements! Cela s'inscrit dans le cadre de la rénovation complète d'un quartier. En effet, nous devons appréhender globa-lement le projet : les travaux que nous allons commencer à l’extrémité de la ZAC doivent intégrer le projet global. C'est un travail que nous menons avec la mairie de La Baule, qui nous fait confiance sur ce dossier.

Quels sont les points dont vous êtes particulièrement fiers dans ce programme ? Les villas sur le toit ?

Les villas sur le toit ont rem-porté un franc succès en com-mercialisation. D'ailleurs, nous n’en avons plus qu’une en commercialisation. Mais ce dont nous sommes le plus fiers, c'est l'adhésion des bau-lois au projet. Ils se rendent compte que nous allons chan-ger le visage de l'entrée de la ville et que cela va contribuer à valoriser l'image de la com-mune. Aujourd'hui, ce sont des terrains vagues qui don-

nent une image peu noble de la ville, alors qu'il s'agit de sa porte d’entrée principale. Demain, la création d'un nou-veau centre de vie va contri-buer à dynamiser fortement la commune. Par ailleurs, nous constatons que notre dé-marche architecturale suscite l’adhésion.

Vous évoquez ce e harmo-nie entre le projet Nexity et les baulois. Cela signifie-t-il qu'il n'y aura pas que des rési-dents secondaires ? Quelle est la sociologie de vos premiers acheteurs ?

Nous avons voulu nous dé-marquer aussi sur le plan commercial, en partant du principe que nous n'étions pas là pour vendre la plage de La Baule ! Nous ne sommes pas sur un type de produit face à la mer, avec un prix au mètre carré ne"ement supérieur au nôtre… Nous nous inscrivons vraiment dans un projet de ville, un projet urbain et bal-néaire, certes, mais nous som-mes vraiment dans un projet de vie en ville. Nous avons des habitants à l'année, des résidents secondaires, mais aussi des investisseurs qui vont perme"re à des jeunes foyers, avec ou sans enfants, d’accéder à de la location dans le neuf, ce qui est plutôt rare dans la région. Comme c'est

un quartier qui vit toute l'an-née, cela intéresse aussi des seniors qui préfèrent vendre leur maison parce que cela nécessite trop d'entretien, afin de se recentrer sur un appar-tement moderne avec toutes les commodités au pied de la résidence. Parmi notre clientè-le, nous avons aussi des qua-dragénaires qui s'achètent un T2 comme première résidence secondaire. L’emplacement est idéal pour une clientèle qui n'habite pas à La Baule: ils iront chez eux à pied en sor-tant du TGV et, une fois chez eux, ils pourront tout faire à pied ou à vélo ! Donc, pas besoin de véhicule… Comme nous sommes au cœur de la ville, on peut avoir accès à des animations et à des commer-ces toute l'année. C'est un vrai quartier de vie…

Enfin, que représente ce projet pour Nexity ?

C'est un projet important pour la ville et ses habitants. Il est normal qu'il puisse y avoir beaucoup d'interrogations, compte tenu de l’ampleur du projet. Ce qui compte pour nous, c’est d’honorer la confiance que l’on nous ac-corde.

Propos recueillis par Yannick Urrien.

C’est une véritable révolution qui commence à La Baule : tout le quartier de la gare va être transformé au cours des prochaines

années avec un plan d’aménagement de cœur de ville extrêmement ambitieux. C’est probablement le plus grand projet que La Baule ait jamais connu… On en parle depuis des années, or cela devient une réalité. Moins d’un an après avoir engagé la commercialisation de son programme, Nexity en a déjà vendu la moitié. Le chantier commence ! C’est ce que nous confirme Jean-Marc Josse, directeur commercial de Nexity George V Atlantique.

Sandrine Kervaut, conseillère commerciale, et Jean-Marc Josse, directeur commercial.

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mai 2009la baule + notre presqu’île 5

Un salon consacré à la vente directe

chez les particuliers :

Le Salon de la Femme

Devenez hôtesse ! C’est tout simple-ment se faire plaisir entre amies. Vos conseillers et conseillères se

rendent à votre domicile et vous présen-tent les nouvelles collections. Ils ou elles vous assistent et vous accompagnent avec compétence dans le choix de vos produits. Une alternative parfaite à une stressante journée de shopping !!! Pour vous remer-cier de votre hospitalité, vous vous verrez offrir de précieux cadeaux !!! N’hésitez plus et venez rencontrer les différents représen-tants de ces sociétés. Ils sauront vous trans-me"re leur enthousiasme et vous décrire la convivialité d’une présentation dans un cadre privé.Les visiteurs pourront découvrir des en-treprises comme Natura Brasil (cosméti-

ques), Charlott’ (lingerie fine), Aloe Vera (produits naturels à l’aloe vera), Party Light (bougies), Club Parfums (parfums), Soraya (maillots de bains), Loulou Pista-che (vêtements pour enfants), Georges Franck (vêtements pour femmes) et Les Gourmandises de Charlotte (chocolats et pâtisseries). Des entreprises très diverses qui ont toutes un point commun : la vente à domicile. Vous rêvez d’une opportunité profession-nelle ? (qui ne connaît pas la crise…). Es-sayez la vente directe… Ce secteur est en plein développement. Des sociétés spécia-lisées proposent maintenant de nombreux produits et services. La demande est de plus en plus importante et les sociétés de vente directe continuent de recruter. Tou-

tes les candidatures sont concernées, aussi bien pour se constituer un revenu d’appoint qu’en activité principale. Pour promouvoir la vente directe auprès des particuliers, dix sociétés spécialisées organiseront le samedi 13 juin à l’hôtel Villa Cap d’Ail à La Baule le premier salon de la vente directe. C’est la société Pierre Lang qui a eu l’initiative de ce"e manifestation. Ce"e entreprise est lea-der européen dans la vente de bijoux haut de gamme à domicile.

Notez donc dès maintenant dans votre agenda ce rendez-vous : le premier salon de la vente directe se déroulera samedi 13 juin à l’hôtel Villa Cap d’Ail, 145, avenue du Maréchal De La!re de Tassigny à La Baule. Entrée libre de 10h00 à 20h00.

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mai 2009 la baule + le billet de Dominique Labarrière6

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Le billet d’humeur de Dominique Labarrière

Inquiétude pour notre belle et saine jeunesse…

Autant vous l’avouer, j’éprouve un grand soulagement. Vous ne pou-vez plus clamer désormais que mes

billets sont fumeux et que je mérite d’être passé à tabac. La loi vous l’interdit. Ou pres-que. Pas plus que la pipe de Tati ou la clope à Coco, fumeux et tabac n’ont droit de cité ni droit d’être cités. Les prolongements ex-cessifs de la loi Evin (qui comme toutes les lois de prohibition risque fort d’être une loi en vain) veulent qu’il en soit ainsi. Certes, le ridicule ne tue plus. Mais en l’occurrence il nuit gravement à la santé (intellectuelle) d’une démocratie où la liberté figure au fron-tispice de ses temples. Déjà, Lucky Luke, le débonnaire cow-boy qui pétunait plus vite que son ombre, a vu son appendice buccal remplacé par un brin d’herbe. L’idée qu’il puisse s’agir d’un brin de cannabis me plaît assez.

Puisque nous abordons ce chapitre, je m’autorise à me"re en garde la SNCF et les responsables de sa publicité. Toutes ces ima-ges de convois fendant l’air, de rails à l’infini ne risquent-elles pas à terme d’introduire dans l’esprit du public une fâcheuse associa-

tion entre voyage de rêve et trip halluciné, entre rail ferroviaire et rail de coke ?

Ces censures grotesques non seulement flir-tent avec l’ineptie et l’hypocrisie, mais elles tutoient aussi l’incohérence. Le port de la ca-goule lors des manifestations de rue n’avait-il pas du bon ? De l’excellent même, en ceci qu’il est extrêmement malaisé de fumer la tête enfouie sous une cagoule. Aussi, ce"e belle jeunesse qui choisissait de s’abstenir de fumer dans la rue, qui optait pour les exer-cices de plein air dont la marche à pied et le lancer d’objets divers, la course rapide salva-trice (C.R.S, discipline non olympique), ce"e belle jeunesse donc qui délaissait le cocktail Picon bière au profit du molotov ne risque-telle pas de se voir sournoisement encoura-gée à en griller une lors de ses pérégrinations protestataires ?

Je vous le dis tout net : je suis très inquiet. Par bonheur, les réglementations gauchies d’absurdité ont ceci de fascinant qu’elles sont aussi promptement détournées qu’elles sont édictées. Fort de cela, imaginons un instant le dialogue que ne manqueront pas d’avoir

prochainement le poli-cier type et le manifes-tant commun.

- Mon gaillard, je vous ar-rête. Vous portez une cagoule.- Oouoh bouffon ! Tu me parles avec res-pect ! C’est pas une cagoule. C’est un béret basque trop grand. Il me tombe sous le menton. J’ai fait des trous pour les yeux et la bouche.- Et le truc blanc, là entre vos lèvres. Vous fu-mez!- Je fume pas, bouffon. Je joue du mini pipeau. J’aime jouer du mini-pipeau en arpentant le bi-tume.- Et la ba!e de base-ball sous le bras, c’est du pi-peau, peut être ?- T’es ouf’ ou quoi ? Ba!e de basse-ball ? Une bague!e congelée. Eh, bouffon, tu me parles avec res-pect.... etc....etc. Vous connaissez la suite.Face à ce risque très sérieux, j’interpelle le ministère concerné : devrons-nous a"endre longtemps encore avant de voir le béret bas-que, la bague"e sous le bras et le mégot au bec répertoriés au nombre des signes mani-festes d’appartenance à Al-Qaida ?

La référence pour les professionnels et les particuliers

Zone Océanis 44600 Saint-NazaireTéléphone : 02 40 17 07 40

En Bref...La plage de la baie renvoie son sable au port de La Baule – Le Pouliguen…De nouvelles solutions de dragage doivent être mise en œuvre au cours des prochaines années au port de La Baule – Le Pouliguen. Les experts, les élus et les plaisanciers sont préoccupés par l’afflux important de sable en provenance de la plage de la baie. Par ailleurs, depuis le dernier dragage, on voit apparaitre des traces de boues au large de la pointe de Penchâteau. L’environnement est fragile dans ce"e zone et tout le monde reconnait qu’il est nécessaire de réfléchir ensemble et très vite à de nouvelles techniques et, surtout, moins coûteuses. La dernière assemblée de l’Association du port de plai-sance de La Baule - Le Pouliguen a été animée car le débat a porté sur la hausse des tarifs, en particulier sur le coût de l’opération de dragage nécessaire qui doit être prise en charge par le Sivu du port.

Rendez-vous les 16 et 17 mai pour la Fête Médiévale de Guérande

C’est toujours un événement : la Fête Médiévale de Guérande se déroulera ce"e année les 16 et

17 mai. Elle fête son dixième anniver-saire et a"ire de plus en plus de monde : ainsi, 45 000 visiteurs sont venus l’an dernier applaudir plus de 800 bénévo-les guérandais qui s’investissent pour perpétuer la tradition. Rappelons que ces journées festives ont pour objectif de réunir les habitants et les visiteurs autour d’un épisode glorieux de la cité médiévale. Christophe Priou, député et

maire de Guérande, souligne que ce"e manifestation «tisse un véritable lien so-cial entre les Guérandais. La Fête Médié-vale est une fierté que chacun s’approprie en se costumant à la manière médiévale pour un voyage de deux jours au Moyen-Age». Ce"e année, le thème retenu est «L’Hermine couronnée». A l’honneur, la destinée d’Anne de Bretagne qui fut deux fois Reine de France. Au cours de ces deux jours, notamment dans le cadre du défilé, les comédiens vous feront vivre quelques grands moments

de ce"e histoire : «Aux côtés de son père, elle parcourt les ruelles de sa bien aimée ville : Nantes ! Souriante, elle salue la foule qui se presse autour d’eux. Soudain une femme s’approche d’elle, lui prend la main, la retourne et la regarde... Après un court silence, elle s’agenouille et se signe... puis s’écrie : «Reine !... Elle sera Reine !.. Deux fois Reine !...». Aujourd’hui, Anne, dans sa douzième année, se souvient et en frémit toujours... Orpheline, elle fuit le malheur et a trouvé refuge à Guérande, la cité ché-rie des Ducs de Bretagne. C’est encore une

enfant, fragile et forte à la fois, qui prend en main son destin.» Notez les grands moments de ce!e ma-nifestation :- Samedi 16 mai : De 9h à 22h : Grande foire médiévale, place du Marché au Bois. Entre 14h30 et 19h : Animations dans la cité. A partir de 19h : Grand banquet dans les tavernes. A partir de 21h : Guérande est en effer-vescence et plonge dans son passé...

- Dimanche 17 mai :A 9h30 : Messe bretonne en la Collégiale de Saint Aubin. Entre 10h30 et 19h : Grande foire médié-vale, place du Marché au Bois. A 11h : Départ du défilé, 2 000 personnes en costumes paradent dans les rues de la cité. A partir de 14h : Animations médiéva-les, campements, tournois équestres, cracheurs de feu, bouffons, danseurs, diseuse de bonne aventure, jongleurs, spectacles de rue…

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La Baule a fait le plein au moment des fêtes de Pâques. A ce"e occasion, les commerçants de la Galerie du Ca-

sino ont organisé un grand défilé de mode le 12 avril et le public est venu nombreux, puisqu’il y avait plusieurs centaines de spectateurs. Luc Delachamade explique que les commerçants de la Galerie du Casi-no, comme ceux du Carré d’Or, étaient très satisfaits, car il y avait beaucoup de monde. Alors, quelles sont les grandes tendances de la mode ? Luc Delachamade explique que les nouvelles collections accordent une large place aux couleurs : «On retrouve des

déclinaisons de turquoise et le jaune revient beaucoup, alors que c’était une couleur plutôt rare dans les collections. Cependant, il y a tou-jours beaucoup de blanc et de noir car c’est incon-tournable dans le prêt à porter, notamment pour les cérémonies». L’été 2009 sera donc coloré, sans doute une réponse à la crise ambiante, et il suffit de regarder les vitrines des bou-tiques bauloises pour le comprendre : place à la gaieté ! En a"endant, Luc Delachamade souligne que le quartier du Casino de La Baule devient de plus en plus a"irant : «Il y a le bord de mer, des galeries, des boutiques et il n’y a que des jolies choses à voir !»

mai 2009la baule + galerie du casino 7

Les commerçants de la Galerie du Casino présentent les dernières tendances de la mode…

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mai 2009 la baule + notre presqu’île8

Ce métier continue de faire rêver... Il permet de travailler dans des endroits luxueux et d'être en contact avec une clientèle presti-

gieuse. Ce!e année, le réseau des «Clefs d’Or» s'est réuni à La Baule. Les concierges des grands palaces français ont maintenant un réseau international dans plus d'une cinquantaine de pays. Roderick Levejac, chef concierge au Four Season George V à Paris, l’un des palaces les plus réputés de la pla-nète, a été élu à la présidence de ce réseau. Lors de ce séminaire, la question de la formation a notam-ment été évoquée. Roderick Levejac souligne que l’association a créé au sein d'un lycée hôtelier, avec le concours du ministère de l'Education nationale, une formation aux métiers de concierge : «Celle-ci est limitée à un certain nombre de personnes, afin de leur assurer des débouchés». Concrètement, «on peut apprendre les bases du métier, notamment sur le savoir-faire, mais il faut du temps pour conquérir la confiance de la clientèle et surtout bien la connaî-tre…» Par ailleurs, le réseau doit en permanence

cultiver ses contacts dans le monde entier : «Les gens voyagent plus vite et beaucoup plus loin, il est donc nécessaire de développer un réseau important au-delà de nos frontières européennes». Patrick Le Marec, concierge aux «Clefs d’Or» à L’Hermitage Barrière, répond aux questions de La Baule+.

La Baule+ : Quelles sont les qualités requises pour être concierge «Clefs d’Or» dans un palace baulois ?

Patrick Le Marec : C'est quelqu'un qui met à profit son expérience et tout son savoir-faire pour les clients qu’il accueille et pour sa direction. C'est quelqu'un que l'on reconnaît facilement, grâce aux deux clefs croisées qu'il porte sur sa veste, et nous devons être un gage d'accueil, de savoir-faire, de professionnalis-me, de confiance et de discrétion. C'est ce qui résume les qualités du concierge. En 2009, qui est une année plutôt difficile, c'est aussi pour les directeurs d'hôtel la réassurance de fidéliser davantage nos clients en leur proposant de nouvelles choses.

On a souvent l'image du concierge confronté aux demandes d'une clientèle capricieuse… Est-ce en-core le cas ?

Cela peut arriver... Nous nous évertuons à ne jamais dire non. Si nous n'arrivons pas à satisfaire une de-mande, nous proposons en tous cas une solution qui puisse satisfaire notre client, mais nous restons toujours dans la légalité. C'est indispensable à nos yeux, pour les clients aussi, ainsi que vis-à-vis de notre direction. On peut donc faire confiance à un concierge qui va traiter les affaires comme elles doi-vent l'être.

Quelles sont les demandes un peu farfelues aux-quelles vous avez dû être confronté ?

Nous n'avons pas tellement de clientèle capricieuse dans nos hôtels. Nous avons surtout des person-nes qui veulent se reposer ou pratiquer une acti-vité sportive. Je pense que ces personnes, car il en existe évidemment, se dirigent plutôt vers d'autres destinations comme la Côte d'Azur... Chez nous, on recherche plutôt la discrétion, la tranquillité, un certain art de vivre, la gastronomie et la décou-verte historique avec Guérande. Les personnes qui chercheraient à faire un peu de caprices ou à épater tout le monde ne se sentiraient pas trop à l'aise à La Baule et elles ne resteraient pas…

Les Clefs d’Or des grands palaces se réunissent à La BaulePatrick Le Marec, concierge aux «Clefs d’Or» à L’Hermitage

Barrière : «Nous nous évertuons à ne jamais dire non.»

En bref...Une exposition sur les découvertes archéologiques

à PiriacUne équipe de l’INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives) a mené des fouilles en 2005 sur le site de l’actuelle zone artisanale. Ces fouilles ont été riches d'enseignement sur la vie à Piriac, puisque les archéologues ont pu retrouver des vestiges datant de 450 avant Jésus Christ. Une ferme datant du premier siècle a été identifiée, ainsi que des maisons et des objets datant du VIIème siècle. On apprend donc que les activités agricoles ont commencé très tôt dans la région et qu'il y avait même des thermes à Piriac au Moyen-Age. La Maison du Patrimoine de Piriac présente ce"e exposition exceptionnelle jusqu’à la fin du mois de septembre. Baptisée Piriac au Moyen-Age, elle propose des informations et des objets concernant la vie il y a 2000 ans et se tient sur le site de Pladreau, qui se trouve à la sortie de Piriac en allant vers Guérande. Un montage audiovisuel complète ce"e démarche initiée par le maire de la commune, Jean-Louis Delhumeau, qui ne voulait pas que ces objets restent enfermés sans être présentés au public…

La Baule capitale des biotechnologiesLa Baule a été la capitale européenne des biotechnologies le 31 mars dernier. En effet, 300 chercheurs se sont retrouvés au Gen2Bio pour une rencontre entre tous les acteurs des biotechnologies, qui s’est déroulée à Atlantia. Les professionnels ont évoqué des thèmes variés, notamment l’avenir des pôles de compétitivité, la valorisation, le partenariat entre les entreprises innovantes et les centres de recherche.

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mai 2009la baule + bonnes adresses 9

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Lisa vous attendent avec une

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A deux pas de la gare et de l’avenue de Gaulle, le Mona Lisa

est un hôtel 2 étoiles qui al-lie charme et confort. Son emplacement exceptionnel vous permet de faire tous vos déplacements à pied, de vous rendre dans les ma-gasins, au marché et même à la plage ou au centre de thalassothérapie. Depuis avril 2006, Loïc Vandamme, son gérant, a entièrement rénové cet hôtel qui a rem-placé le Clémenceau. Ne vous fiez pas à la façade, qui est d’origine, car elle laisse peu entrevoir tout le charme de cet hôtel et le soin apporté à sa moderni-sation. Ses 16 chambres ont été décorées avec beaucoup de goût et d’originalité, ce qui leur confère un caractè-re unique. En effet, chacune a ses propres couleurs, un dégradé de tons qui se re-

trouve tant sur les parures des lits que sur les tableaux qui ornent les murs, en tou-te harmonie. Le mobilier aussi a été soigneusement choisi, avec des matières nobles comme le bois, tou-jours dans un esprit très «tendance». Une attention particulière a été apportée au choix des matelas des lits king-size et du linge de lit car «au-delà de la décora-tion, ce qui nous importe c’est la qualité et le confort du cou-chage» précise Loïc, ancien professionnel dans la lite-rie. Chaque chambre pos-sède une salle de bains ul-tra-design, qu’elle soit avec baignoire, douche simple ou parfois même douche hydro-massante. Pour les moments de détente, toutes les chambres sont équipées d’écrans plats qui permet-tent de recevoir les chaînes françaises et étrangères.

Une clientèle d’habitués

En outre, bien que situé en plein cœur de La Baule, cet hôtel est un véritable havre de paix car les chambres don-nent sur un jardin qui «assure le calme et la tranquillité de ses occupants» souligne Loïc. Le matin, le petit déjeuner est servi sous forme de buffet et là encore, on retrouve une ambiance chaleureuse et fa-miliale. «Ici, les choses se font naturellement et simplement, on aime que les gens se sentent chez eux. Le pot de Nutella trône au milieu des coupelles de confitu-res», ajoute Loïc en souriant. Vous l’aurez compris, l’accueil et la convivialité sont de mise au Mona Lisa. N’hésitez pas à vous laisser guider par Loïc, qui pourra vous conseiller sur les activités à exercer et les sites à visiter dans la région. Sa gentillesse et sa personna-lité très sympathique lui ont permis de fidéliser en peu de temps une clientèle d’habitués qui ne manquent pas de cou-vrir d’éloges le Mona Lisa sur différents sites hôteliers. Loïc

a"ache d’ailleurs beaucoup d’importance à l'Internet, puisqu’il propose un accès wifi gratuit et a développé le site de l’hôtel, www.hotel-monalisa-labaule.com, qui est riche en photos et en ani-mations. Il a également pour projet d’installer très prochai-nement la téléphonie gratuite. Encore une preuve du sens du service de Loïc, pour qui «les gens doivent retrouver ici tout le confort qu’ils ont à la maison».Le Mona Lisa est ouvert toute l’année et propose des tarifs a"ractifs, le prix des cham-bres variant de 57 euros en basse saison à 97 euros en haute saison. Vous pouvez retrouver toutes ces informa-tions et effectuer, si vous le souhaitez, vos réservations sur le site de l’hôtel. De plus, le site vous permet de vous tenir informés des différentes promotions qui sont propo-sées à certaines périodes de l’année. Ainsi, pour un week-end, une semaine ou de plus longues vacances, rendez-vous à l’hôtel Mona Lisa où vous trouverez tout le confort souhaité dans un cadre mo-derne et chaleureux.Hôtel Mona Lisa : 42, avenue Georges Clémenceau à La Baule. Tél. 02 40 60 21 33.

Une adresse à conseiller à vos amis…

Un hôtel plein de charme au cœur de

La Baule : le Mona Lisa

91,5 FM

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mai 2009 la baule + notre presqu’île10

Jérôme vous accueille tous les jours de 18h à 2h du matin. 151, avenue du Général De Gaulle à La Baule. Tél. 09 51 44 64 51

Rencontrez la personne faite pour vous !

Rose Perchot, conseillère Unicis: «Chez nous, plus de 80% des adhérents sont satisfaits !»

La Baule + : Pourquoi avoir créé une agence Unicis à Saint-Nazaire ?

Rose Perchot : Unicis est un ré-seau d’agences matrimoniales qui existe depuis 36 ans et c'est la seule agence agréée Fédéra-tion Française Matrimoniale, qui est un label de qualité. Il existe depuis longtemps des agences en Loire-Atlantique, mais aucune dans les envi-rons de Saint-Nazaire ou de La Baule. C’est pourquoi nous avons décidé de nous installer au rond-point d’Océanis pour être à proximité de toute la presqu’île. L’intérêt du réseau est que nous avons accès aux fichiers des cinq agences de Loire-Atlantique, ainsi nous pouvons répondre au mieux aux demandes. De plus, si un adhérent déménage, son dos-sier le suit et il est transféré à l’agence la plus proche sans frais supplémentaires.

Quelles sont les démarches à effectuer pour s’inscrire ?

Tout d’abord, vous prenez contact avec nous par télé-phone, courrier ou mail et nous fixons un rendez-vous. Lors de cet entretien confidentiel, qui est gratuit et sans engagement, je vais déterminer le parcours de la personne, approfondir son profil, analyser ses échecs et surtout tester sa motivation. Car pour que cela marche, il faut être prêt à rencontrer quelqu’un et surtout avoir en-vie d’une relation stable et du-rable. Nos adhérents ont des profils très différents : ils ont entre 27 et 80 ans, viennent de tous les milieux socio-culturels et nous rencontrons autant d’hommes que de femmes. Il faut donc avoir une grande capacité d’écoute et d’analyse pour bien apprécier les sou-haits de la personne et pou-voir répondre à ses a"entes. Je m’assure toujours de la réalité de la situation matrimoniale de la personne et je me donne le droit d’apprécier le sérieux et la volonté de rencontre, car je donne les moyens mais l’ad-

hérent est le seul acteur de ses rencontres. Après avoir défini le profil de la personne, nous remplissons une fiche compa-rative de tendance pour valider le profil recherché, puis un test caractérologique qui sera ana-lysé par un psychologue qui fera un compte-rendu sur la personne et sur ce qu’elle a"end du couple. Je veux être sûre de présenter des personnes qui se correspondent, notamment en «activité» pour vivre au même rythme et en «affectivité» pour que les échanges de tendresse soient naturellement équiva-lents. Les seuls critères que l’on ne peut pas apprécier sont le feeling et la réciprocité !

Quels types de contrats propo-sez-vous ?

Deux types de contrats : un «contrat annuel» qui suit l'ad-hérent dans ses rencontres pen-dant 1 an et le contrat le plus courant, qui est le « contrat souplesse ». C’est un contrat dont la durée n’est pas limitée, c'est-à-dire qu’il est renouvelé gratuitement tous les 12 mois jusqu'à ce que l'adhérent ait fait un maximum de 40 rencontres. Cela me permet de le suivre jusqu'à la concrétisation défi-nitive de son couple, et il peut mener sa recherche sans préci-pitation et approfondir chaque rencontre sans se soucier du temps qui passe. Ce qui est très important, c'est qu'après chaque rendez-vous on fait un bilan qui permet d’affiner la re-cherche si nécessaire, de discu-ter ensemble de ses sentiments lors de la rencontre. Nous pro-posons également ce contrat avec une garantie « satisfait ou remboursé». Si aucune des 40 rencontres n’a été satisfaisante, Unicis s’engage à rembourser l’intégralité du contrat : ainsi l'adhérent ne prend aucun ris-que financier !

Quel est le taux de réussite ?

Il faut savoir qu’il faut entre 6 et 10 rencontres pour faire «la bonne rencontre». Les chiffres officiels indiquent un taux de réussite de 30% pour une agence matrimoniale, contre 2% pour un site Internet. Dans mon agence, en 3 ans, j’obtiens un taux bien supérieur et je peux affirmer que 80% des ad-hérents sont satisfaits. Ma plus grande réussite est de voir les

couples qui se sont formés et qui m’envoient des cartes pos-tales, des faire-part de mariage ou de naissance. Je reste tou-jours en contact avec eux et, s'ils rencontrent un problème dans leur couple, ils savent qu'ils peuvent compter sur mon oreille a"entive.

Quelle est la concurrence des sites Internet ?

Comme je vous le disais, leur taux de réussite est infime. On peut dire que 70% des per-sonnes qui s’adressent à une agence matrimoniale ont déjà essayé, sans succès, les sites de rencontre. Internet semble plus facile, mais il n’y aura jamais le sérieux et le travail que peut ap-porter une agence. Les agences matrimoniales ont parfois une image un peu désuète, mais c’est faux : je gère une agence moderne et je suis très pro-che de mes adhérents, qui me considèrent davantage comme une amie.

Que faites-vous pour favoriser les rencontres ?

Nous organisons régulière-ment des activités de groupe qui s’adressent aux adhérents libres et en recherche. Cela va de la soirée ciné-resto à la soi-rée dansante qui a lieu une fois par mois. Cela permet de sortir, de s’amuser, de créer des ami-tiés et surtout de rencontrer la personne qui va partager sa vie et là, en toute spontanéité, nous laissons faire le hasard. On or-ganise également des voyages par tranches d’âge une fois par trimestre. En fait, ce qui nous différencie des autres, c’est que nous sommes les seuls à propo-ser un contrat de service suivi jusqu'à concrétisation sans limite de temps, une garantie satisfait ou remboursé et une double prestation, la rencontre personnalisée en tête-à-tête et la rencontre par les loisirs.

Propos recueillis par Véronique Dromer.

Pratique : Pour toute demande de renseignements et de docu-mentation gratuite, contac-tez Rose Perchot à Unicis – 7, rue de l’Etoile du Matin, Zone Océanis à Saint-Nazaire. Par téléphone au 02 40 11 68 57 ou par courriel à l'adresse [email protected] Site Internet : www.unicis.com

Tous les célibataires rêvent de faire la rencontre idéale… Le sujet est plus que jamais d’actualité puisque le nombre de personnes seules est

croissant. Or, contrairement aux idées reçues, l’agence matrimoniale traditionnelle continue de se développer car elle assure un taux de réussite très ne!ement supérieur à celui de la rencontre par Internet. Ainsi, on peut constater que les agences matrimoniales recrutent à présent les déçus de l’Internet. Comment ce marché évolue-t-il ? Comment franchit-on la porte d’une agence matrimoniale ? Nous avons interrogé la spécialiste du secteur : Rose Perchot, qui dirige l’agence Unicis à Saint-Nazaire.

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mai 2009la baule + nos bonnes adresses 11

Un esprit chic et décontracté…Week end habille les femmes, les hommes et les enfants…

Une partie de l’équipe des boutiques Week end (de gauche à droite) avec Camille, Sophie, Marie-Laure, Delphine, Morgan

et Cathy.

Week End Femmes se trouve 43 avenue du Général de Gaulle. Tél. 02 40 11 01 43.

Les Petites, Day Birger et Mikkelsen, American Retro, Diesel, Bellerose, American Vintage, Stella Forest, Bensimon, Gaastra,

Napapijri, Pauline B., Hilfiger Denim, Tommy Hilfiger, Essentiel.

Week End Hommes se trouve 36 avenue du Général de Gaulle. Tél. 02 40 60 18 79.

Tommy Hilfiger, Napapijri, Gaastra, Hacke!, River Woods, Hartford, Hilfiger Denim, R95TH, Diesel, Soobaya, Sebago, Spring Court

Week End Enfants se trouve 34 avenue du Général de Gaulle.

Tél. 02 40 11 05 99.Bellerose, Hacke!, R95TH, Scotch & Soda, Les Petites, Pauline B. Dino e Lucia, Bensimon, Sebago, Kickers

La famille Week End est maintenant au complet… Il y a eu la femme, puis l’homme est arrivé et l’enfant

vient de naître… Il s’agit des trois bouti-ques Week end à La Baule. Une enseigne coup de cœur pour de nombreux bau-lois. D’abord, un peu d’histoire… C’est en l’an 2000 que Marie-Laure a lancé son premier magasin avenue du Général de

Gaulle, en proposant une sélection de marques à la fois élégantes et décontrac-tées. Les collections femmes et hommes étaient d’abord rassemblées dans un même lieu. Quelques années plus tard, elle a ouvert un espace dédié aux hom-mes et, c’est la nouveauté de l’année, elle inaugure maintenant une troisième bou-tique pour les enfants… Toutes les trois sont situées dans le même périmètre et il suffit de traverser l’avenue du Général de Gaulle pour passer de l’enseigne his-torique au magasin pour hommes, qui est voisin de celui consacré aux enfants. Partout, c’est le même esprit Week end… D’abord, dans le choix des collections et des marques : un style de bon ton, à la fois chic et décontracté. Les amateurs seront conquis par l’espace Jeans dans la boutique hommes, avec un très large choix. Partout, la décoration confère une atmosphère très agréable et l’on a envie

d’y passer du temps pour redécouvrir le plaisir du shopping et surtout se faire plaisir… Enfin, et c’est sans doute ce qui caractérise le plus l’esprit Week end à La Baule, il y a l’accueil. Certains se plai-gnent de voir le gène de la gentillesse s’évaporer au fil du temps… mais pas chez Week end ! Faites un test autour de vous en interrogeant vos amis, leurs commentaires seront souvent les mêmes: «Ce!e équipe est géniale !» Tout le monde s’accorde à dire qu’il y a un état d’esprit très «positif» chez Week end, du cadre à l’ambiance, en passant évidemment par le choix et le bon goût des modèles pro-posés. On aime aller y faire un tour et pas seulement le week-end !

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travers des créations de savons uniques proposés dans des

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mai 2009 la baule + élections européennes12

Entretien avec le président du Conseil général de la Vendée, tête de liste de Libertas pour le Grand Ouest

Philippe de Villiers : « Quand l'État ne contrôle plus rien d'essentiel, il devient tatillon sur les petites choses de la

vie quotidienne… »

La Baule+ : Votre liste s’ap-pelle Libertas et elle présente des candidats dans toute l’Union européenne. Com-ment est née ce e initiative ?

Philippe de Villiers : Un chef d'entreprise irlandais, Declan Ganley, au moment du réfé-rendum sur le traité de Lis-bonne, s’est dressé en disant qu'il ne pouvait pas accepter cela pour ses enfants, et le non l’a emporté… Le mou-vement qu'il avait créé à ce moment-là s'appelait Liber-tas, à partir de la racine latine du mot liberté, ce qui signifie

la liberté des peuples de dire oui ou de dire non. Lorsqu'il a constaté, au lendemain de la victoire du non irlandais, que les dirigeants européens et les élites mondialisées de Bruxel-les voulaient faire revoter les Irlandais, lui qui était plutôt européen au départ, s'est dit que ce"e Europe n'était pas démocratique et il a décidé d'étendre Libertas dans toute l'Europe. Il est venu me voir en Vendée et nous avons dé-cidé de créer un réseau dans toute l'Europe pour essayer de changer la majorité à Stras-bourg et pour changer de

politique à Bruxelles. Nous avons décidé de nous unir avec les chasseurs de Chasse Pêche Nature et Tradition, qui est un mouvement de terrain fondé sur le principe de la li-berté et de la défense du terri-toire, aujourd'hui méprisé par Bruxelles. La défense des ter-roirs, on voit que ce n'est pas du luxe avec ce qui se passe aujourd'hui pour le vin rosé et le camembert et ces projets de directives de Bruxelles. Et puis nous défendons les sin-gularités, une Europe qui soit celle des différences, et non pas celle de l'uniformité.

Pourtant l’UMP a choisi comme slogan de campagne: Quand l’Europe veut, l’Eu-rope peut...

Le problème, c’est que l'Union européenne n'est pas démo-cratique, puisque ce sont les commissaires qui gouvernent et qu’ils ne sont pas contrôlés démocratiquement. Ils ont seuls le monopole d'initiative législative et on en voit le ré-sultat tous les jours ! Ensuite, ce"e Europe est en train de faire entrer la Turquie, dou-cement mais sûrement… Enfin, ce"e Europe interdit

toute forme de protectionnis-me européen. Or, l'Europe se justifie historiquement, avec le traité de Rome, lorsqu'elle installe la préférence com-munautaire, c'est-à-dire un cordon d'écluses douanières perme"ant de protéger notre outil de travail et notre sécu-rité. Or, le traité de Lisbonne, dont se réclament les res-ponsables de l’UMP, interdit toute forme de restriction aux échanges.

Ce sont les pauvres des pays riches qui

subventionnent les riches des pays

pauvres !

Concrètement, que propo-sez-vous sur cet aspect éco-nomique ?

Nous proposons un système d'écluses douanières afin de protéger notre outil de tra-vail en pesant sur les impor-tations, afin de rééquilibrer le prix des importations des produits fabriqués dans des pays qui n'ont pas de protec-tion sociale. Par exemple, un véhicule automobile fabriqué dans le Grand Ouest coûte 14 000 euros : or, le même véhicule fabriqué en Tunisie ou en Biélorussie, coûte 20 à 40% moins cher. La différen-ce, c'est l'absence de protec-tion sociale et de protection écologique. Si nous laissons le libre jeu du libre échange, c'est l'échange injuste. Ce que nous voulons, c'est le juste échange. Il faut rééquilibrer l'échange avec un système qui désavantage les entreprises qui cherchent à délocaliser. Je vais prendre un exemple qui me concerne en Vendée. Une entreprise qui fabrique de très beaux meubles a reçu ce"e réponse de Conforama : «Désolé vous êtes trop chers, il faut que vous alliez faire fabri-quer vos meubles en Biélorus-

sie…» Alors ils sont partis en Biélorussie, et Conforama et Monsieur Meuble ont dit: «C’est encore trop cher, il faut partir en Malaisie...» Du coup, les meubles sont fabriqués en Malaisie et ils reviennent pour être vendus en France. C'est un système qui est tenu par quelques mandarins dans tous ces pays et ce sont les pauvres des pays riches qui subventionnent les riches des pays pauvres ! D'ailleurs, la seule zone qui n'est pas protégée dans le monde, c'est l'Europe ! C'est l'Europe qui a les droits de douane les plus faibles du monde. Du reste, il y a des droits de douane de 40% sur les bicycle"es et c'est la seule industrie qui fonc-tionne bien en Europe. Donc, ce n'est pas stupide.

Je vois arriver beaucoup

d’électeurs et de militants de

l’UMP

Selon vous, les électeurs de la majorité présidentielle auront le choix entre deux listes : l’UMP pour les parti-sans de ce e Europe et Liber-tas pour les partisans d’une autre Europe… Alors, quelle est votre différence ?

Les électeurs qui ont voté pour Nicolas Sarkozy à l'élec-tion présidentielle peuvent ne pas s'y retrouver sur ce"e question européenne. Je vois arriver beaucoup d'électeurs et de militants de l'UMP. Par exemple, j’ai en numéro deux sur ma liste Sophie Mével, qui a été élue sur la liste UMP de Brest. En troisième position figure Jean-Louis Bernié, qui a été député européen CPNT entre 1999 et 2004. Tous en-semble, nous appelons tous ceux qui sont d'accord avec nous, et qui sont en désaccord avec les positions officielles de Michel Barnier, à nous rejoin-dre. Il y a trois sujets majeurs. D'abord, il y a le traité de Lis-bonne : nous voulons faire respecter le non du peuple français. Le traité de Lisbonne prévoit deux choses essentiel-les : la fin de l'indépendance diplomatique de la France, avec un service diplomatique européen, et nous n'en vou-lons pas. Le traité de Lisbonne prévoit aussi le transfert de 60 domaines nouveaux à la ma-jorité qualifiée entre les mains de la commission de Bruxel-les. On voit bien aujourd'hui, sur la question de l'agricultu-re, de la pêche, du camembert ou du vin rosé, que la France est mise en minorité et que c'est la commission de Bruxel-les qui impose ses directi-ves. Il y a aussi la question de L'OTAN. Nous sommes

Depuis le mois dernier, la radio régionale Kernews ouvre son antenne sans exclusive à toutes les têtes de liste du Grand Ouest pour les

élections européennes. Des entretiens sont programmés avec des représentants du PS, du MoDem, de l’UMP, de Libertas, du Nouveau Parti Anticapitaliste, des Verts, du Parti Breton, ainsi que de toutes les autres listes qui seront en présence. Dans le précédent numéro de La Baule+, vous avez pu découvrir des extraits de l’entretien radiophonique réalisé avec Stéphane Le Foll, député européen PS. Pour ce numéro de mai, c’est de Philippe de Villiers qu’il s’agit. Rappelons qu’à chaque élection européenne, il a créé la surprise en a!irant de nombreuses voix d’électeurs issus de la droite traditionnelle. Ce!e année encore, Libertas se positionne comme «l’autre liste de la majorité» face à celle de Christophe Béchu, président du Conseil général du Maine-et-Loire. Philippe de Villiers nous présente son programme et explique ses divergences avec la liste de Christophe Béchu. Il était l’invité de Yannick Urrien sur Kernews 91,5 FM jeudi 23 avril dernier. Nous publions quelques extraits de cet entretien.

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mai 2009la baule + élections européennes 13

très nombreux à penser que la réintégration de la France dans l'OTAN est une erreur historique parce que la France est une puissance de contre-poids et d'équilibre et, en rentrant dans l'OTAN, elle n'a plus d'intérêt pour les peuples du monde entier puisqu'elle devient, non pas un pays ami des Américains, mais un pays soumis aux Américains. C'est un vrai clivage, car cela signifie qu'il n'y a plus d'Eu-rope de la défense possible. Enfin, il y a la question de la Turquie, sur laquelle circulent beaucoup de mensonges ac-tuellement. On nous dit que nos gouvernants sont hostiles à l'entrée de la Turquie. Je me souviens même de la décla-ration de Nicolas Sarkozy : «Si je suis élu, je stopperai net le processus de négociation sur la Turquie». Non seulement il ne l'a pas stoppé, mais il l’a accéléré ! Je vous le prouve. Lorsque Nicolas Sarkozy a été élu, il y avait 2 chapitres sur 35 qui étaient ouverts sur la négociation de la Turquie à Bruxelles. Aujourd'hui, après deux ans de présidence de Nicolas Sarkozy, il y en a 10, c'est-à-dire que l'on va arri-ver à mi-parcours. Les deux derniers qui ont été ouverts l'ont été sous la présidence française et il s'agit de deux chapitres essentiels : la com-munication et la liberté de circulation des capitaux. On

nous dit : «Non, non, non, il ne faut pas que la Turquie entre…» Mais elle entre en ce moment! Autre illustration : il y avait un référendum obligatoire dans la Constitution, prévu par Jacques Chirac. Eh bien, ce"e clause a sauté lors de la réforme de la Constitution en juillet dernier. Nicolas Sarko-zy a fait sauter ce"e clause que Jacques Chirac avait fait entrer dans la Constitution. Pour-quoi l’avoir fait, s’il est hostile à l’entrée de la Turquie? Mais je vais plus loin. J'ai fait une découverte récente à Bruxel-les. Figurez-vous qu'il y a des crédits de pré-adhésion à Bruxelles pour l'entrée de la Turquie dans l'Union euro-péenne. Cela représente pour la France 85 millions d’euros en 2009. Cela veut dire que le statut de la Turquie est un sta-tut de pays pré-adhérent. Les contribuables français paient, sans le savoir, 85 millions d’euros ce"e année pour pré-parer les fastes d'Istanbul en 2010, puisque la commission de Bruxelles a confirmé que ce serait la capitale culturelle de l'Europe en 2010 : donc en Turquie ! Ensuite, lorsque je suis allé à Bruxelles, j'ai vu des représentants du parti turc AKP venir siéger au Parti populaire européen, en tant que représentants d'un pays pré-adhérent. En d'autres ter-mes, lorsque l’UMP siège au PPE, elle siège à côté de ses

amis turcs qui sont, comme on dit, des «islamistes mo-dérés» Il va devenir de plus en plus difficile de dire non à la Turquie et les élections européennes du 7 juin seront probablement la dernière oc-casion pour le peuple français d'exprimer son refus de voir entrer la Turquie dans l'Union européenne.

La Baule+ reçoit chaque mois de nombreuses le res de ses lecteurs Depuis quelque temps, on y voit apparaître une sorte de «révolte» sur la restriction des libertés. On a le sentiment qu'à défaut de se faire respec-ter sur des sujets essentiels, les politiciens tapent sur les pe-tits et insistent sur les «brou-tilles». Par exemple, on fait la police de l’alimentation et du stationnement, alors que le laxisme règne sur l’essentiel. Ainsi, un lecteur nous a fait part des faits suivants : le 19 mars en fin d’après-midi, au moment même où des casseurs brûlaient des voitures à Saint-Nazaire, on a vu des policiers me re des contraventions aux gens qui achetaient leur paquet de cigare es ou leur journal, parce que leur véhicule avait deux pneus sur le tro oir... La police n'aurait-elle pas été plus utile pour protéger les manifestants et les commer-çants nazairiens des casseurs qui s’étaient infiltrés, nous de-mande ce lecteur…

Philippe de Villiers: « Les contribuables français paient, sans le savoir, 85 millions d’euros ce e année pour préparer les fastes d'Istanbul en 2010.»

Olivier Besan-cenot est en forme dans

les sondages: tous les instituts crédi-tent actuellement le Nouveau Parti An-ticapitaliste de plus de 5% des voix, ce qui garantirait – si cela devait se vérifier dans les urnes – à Laurence de Bouard d’être élue au Parle-ment européen. Qui est ce"e jeune femme qui arrive sur la scène politique du Grand Ouest ? Elle était le 22 avril der-nier l’invitée de Yannick Urrien sur Kernews, dans le magazine de 8h, pour raconter son par-cours et présenter en détail ses propositions. Agée de 40 ans et cadre de santé à l’hôpital de Carhaix, elle a adhéré au NPA il y a seulement six mois: «C’est le parti avec lequel je suis le plus en affinité et le combat que j’ai mené récemment à l’hôpital a renforcé mes convictions, surtout après avoir constaté les dégâts de la crise dans tout le pays». Pour tout can-didat, il est plutôt rare d'être désigné comme tête de liste six mois seulement après avoir ad-héré à un parti... Mais Laurence de Bouard explique : «C’est une volonté de ne pas me!re en avant des professionnels de la politique

comme dans les autres partis…» Selon elle, être élue, «c’est la possibilité de porter la colère des travailleurs par rapport à la politi-que actuelle…» Pour autant, on peut se demander si la montée en puissan-ce de la gauche de la

gauche n'est pas susceptible de fragiliser le PS... Elle s'exclame : «Le Parti socialiste n’a rien à nous apprendre !» En ajoutant : «Le PS est très à droite dans le domaine de la santé. Les politiques de la gauche et de la droite ont mené à la catastrophe que nous connais-sons aujourd’hui et les socialistes ont cautionné la libéralisation des systèmes de santé. Il y actuelle-ment 250 services qui sont mena-cés dans les hôpitaux en France». Si Laurence de Bouard devait être élue, elle entend intervenir davantage sur certains problè-mes : «La désertification des zones rurales face à la politique de renta-bilité de tous les services publics, comme l’éducation, la santé, la pos-te… La pêche et l’agriculture sont des secteurs séquestrés. Je compte m’occuper de tout cela.» Elle s'en-gage par ailleurs à défendre les droits des femmes car, insiste-t-elle, «il y a des menaces sur des droits acquis dans l’histoire».

Laurence de Bouard, tête de liste du Nouveau Parti

Anticapitaliste, sur Kernews

Je suis tout-à-fait d'accord. Il y a un exemple qui est as-sez spectaculaire. Lorsque je prends l'avion, on nous déshabille et on doit enle-ver les chaussures, la cein-ture, etc. Je dis à ces gens, qui font du reste bien leur travail : «Je ne suis pas un terroriste !» Ils me répon-dent : «Ah, on est obligé de contrôler…» Mais il serait plus facile de contrôler les frontières, non ? J'entends Monsieur Xavier Darcos an-noncer un plan de construc-tion de clôtures autour des écoles à cause des bandes ! C'est drôle, parce que l'on a démantelé nos clôtures ex-térieures et on les rétablit à l'intérieur… Les frontières abolies à l'extérieur se sont reconstituées à l'intérieur. En revanche, on a rétabli les contrôles aux frontières lorsque Monsieur Obama est venu à Strasbourg avec les grands de ce monde! Je souhaite simplement que l'on puisse faire bénéficier le peuple tout entier de ce dont ont bénéficié les grands du système G20 à Strasbourg. Finalement, quand l'État ne contrôle plus rien d'essentiel, il de-vient tatillon sur les petites choses de la vie quotidien-ne...

Propos recueillis par Yannick Urrien.

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mai 2009 la baule + élections européennes14

Les vede!es nationales du Grand Ouest: Le Foll, Généreux et Villiers

Lu"er contre l’abstention, telle est la princi-pale préoccupation des partis politiques pour les prochaines élections européen-

nes. Dans la circonscription du Grand Ouest, les listes seront une nouvelle fois nombreuses. Les noms des têtes de liste et des candidats sont souvent peu familiers auprès du grand public à l’échelon national. En termes de notoriété, c’est évidemment Philippe de Villiers, qualifié de «figure locale incontournable», qui arrive en tête des noms les plus connus. Ensuite, Stépha-ne Le Foll (interviewé dans le numéro d’avril de La Baule+) que le PS a placé en seconde po-sition. Il bénéficie d’une bonne notoriété car il a été le directeur de cabinet de François Hollande et surtout le porte-parole du PS, ce qui lui a permis de souvent intervenir dans les journaux

télévisés, gage d’une notoriété rapide. Autre vede"e médiatique : l’économiste Jacques Gé-néreux qui est tête de liste du Front de Gauche de Jean-Luc Mélenchon et du Parti commu-niste. Jacques Généreux bénéficie également de sa présence fréquente sur les plateaux de télévision… A l’exception de ces trois figures, qui occupent déjà la scène nationale, les autres candidats vont devoir mener une double cam-pagne : celle de leurs convictions, mais aussi celle de la notoriété. Nous n’oublions évidem-ment pas Christophe Béchu, jeune président du Conseil général du Maine-et-Loire, qui est souvent présenté comme la valeur montante de l’UMP dans la région et qui peut profiter de ce"e occasion pour se faire connaître sur le plan national.

Dans ce tour d’horizon des candidats aux élections européennes, on découvre

un nouveau venu sur la scène poli-tique : Alternative Libérale. Louis-Marie Bachelot, tête de liste d’Alter-native Libérale dans le Grand Ouest, était l'invité de Yannick Urrien le 29 avril dans le magazine diffusé à 8h. L’événement, c’est le soutien d’Alain Madelin à ce mouvement. En effet, on a pu remarquer son nom et sa photo sur les affiches et les docu-ments de campagne d’Alternative Libérale: «Il nous soutient et il était présent à nos différents congrès. Il es-time qu'Alternative Libérale est l'héri-tière de Démocratie Libérale et qu'elle a vocation à regrouper les libéraux beau-coup plus largement». Louis-Marie Bachelot considère la crise économi-que que nous traversons comme une véritable opportunité pour reme"re les idées libérales au goût du jour car, explique-t-il, dans les faits, la crise a été déclenchée à l'origine par l'excès de réglementation, c'est-à-di-re la volonté d'imposer aux banques de donner des crédits à des gens qui

n'en avaient pas les moyens. Louis-Marie Bachelot ajoute : «Les pouvoirs publics ont montré leur inconséquence en jouant le crédit facile, générant une absence de risque pour les acteurs des marchés financiers qui pouvaient em-prunter auprès de la banque centrale à des taux dérisoires. Par ailleurs, les pou-voirs publics n'ont pas joué leur rôle de contrôle des autorités de marché finan-cier». Ce nouveau parti politique dé-nonce le capitalisme de connivence, tel qu'il l'identifie en France, «à savoir les relations incestueuses qui existent entre le pouvoir économique et le pou-voir politique». Louis-Marie Bachelot a également évoqué à l’antenne de Kernews un autre sujet sensible, ce-lui de la défense des libertés indivi-duelles. Pour lui, «l’Europe ne doit pas être le siège d'une bureaucratie chargée de régen-ter notre vie quotidienne». Il a souligné avec humour : «On interdit les happy hours pour lu!er contre l'alcoolisa-tion excessive des jeunes, mais on assiste tous les jours aux happy hours de nos dirigeants

politiques qui accumulent les déficits : 104 milliards à ce jour ! Donc, les happy hours ne sont pas interdits pour tout le monde !» Dans ce contexte, il plaide pour la responsabilité individuelle. Par exemple, dans le domaine de l'automobile : «Les réglementations sur les excès de vitesse sont aberrantes en l'absence de préjudice. On met à l'en-vers le fondement de notre système de droit qui dit qu'un préjudice nécessite réparation et, le cas échéant, sanction. Or, on sanctionne les conducteurs qui font des excès de vitesse, on les envoie même en prison, même lorsqu'ils n'ont causé aucun préjudice! En revanche, lorsque des personnes génèrent un pré-judice majeur, qui se traduit parfois par la perte de la vie de quelqu'un, pendant

des années il y a une complai-sance vis-à-vis de ces person-nes. Vous savez, on peut tuer quelqu'un en roulant à moins de 50 km/h !» Louis-Marie Bachelot estime qu'il fau-drait plutôt une sanction pénale forte face à un pré-judice, afin de placer les gens en face de leurs res-

ponsabilités. Par ailleurs, il dénonce la société hygiéniste vers laquelle nous nous orientons, comme l’in-terdiction de fumer dans les lieux publics, ainsi que les a"eintes au droit de propriété qui sont de plus en plus fréquentes. Louis-Marie Bachelot se présente aux élections européennes contre Christophe Bé-chu, le candidat UMP, et leurs di-vergences sont nombreuses : «Nous ne considérons pas que l'État a la légi-timité et le pouvoir de tout régler dans la sphère privée et économique. Quant à Christophe Béchu, qui a une grande capacité de conviction, c'est quelqu'un qui appartient au système. Dans ce contexte de crise, face aux faiblesses des rentrées fiscales des droits de mutation, il vient de trouver comme unique solu-tion l'accroissement de l'ende!ement et l'augmentation de la fiscalité dans son département du Maine-et-Loire, alors qu'il aurait pu commencer par faire des économies sur son budget de fonction-nement. Pour nous, Christophe Béchu applique maintenant une politique so-cialiste dans son département qui était auparavant bien géré…»

Alain Madelin soutient la liste d’Alternative Libérale aux élections européennes

Elections européennes 2009 : Kernews ouvre son antenne à tous les candidats sans aucune

exclusive.

Ce dossier spécial consacré aux élections européennes est proposé en partenariat avec la rédaction de Kernews pour perme"re à nos lecteurs d’avoir une première idée des forces en présence même si, au moment du bou-clage de ce"e édition, certaines listes ne sont pas encore constituées ou connues. La radio Kernews 91,5 FM prend le relais et, tout au long du mois d’avril, Yannick Urrien recevra dans son magazine de 8h (rediffusion à 19h) tous les candidats et tous les partis, d'Olivier Besancenot à Jean-Marie Le Pen, en passant par les Verts, les communistes, les socialistes, le MoDem, l’UMP, etc. La Baule+ a publié le mois dernier un entretien avec Stéphane Le Foll, candidat PS aux élections européennes et ancien porte-parole du PS, qui a été le premier à nous répondre, suivi ce mois-ci par Philippe de Villiers. C’est la raison de leur présence successive dans les numéros d’avril (Stéphane Le Foll) et mai (Philippe de Villiers). Tous les autres partis ont évidemment été contactés et vous pourrez écouter leurs représentants s'ex-primer sur 91,5 FM au cours du mois de mai.

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Le Parti Breton présente une liste aux élections

européennes

C’est Emile Granville, adjoint au maire de Redon, qui représentera le Parti Breton aux élections européennes. Il était l’invité de Yannick Urrien sur

Kernews le 15 avril dernier pour présenter son parti et ses propositions. Son objectif : «Réunir les Bretons de gau-che et de droite pour défendre les intérêts de la Bretagne. Les partis politiques sont des formations parisiennes et ils oublient de défendre la Bretagne. Nous sommes d’abord un parti de ras-semblement et nous nous situons plutôt au centre». Il souhaite que la Bretagne puisse obtenir un statut d’autonomie au moins équivalent à celui des grandes régions européen-nes : «Nous devons réinventer des services publics spécifiques à nos territoires et construit par les Bretons eux-mêmes au ni-veau des pays et en fonction des besoins. Cela perme!ra même de réaliser des économies d’échelle !». Son message fort : «Le Conseil européen demande que les régions correspondent à des territoires culturels et économiques cohérents. La France a dé-coupé son territoire en des régions qui restent artificielles. No-tre engagement dans ces élections européennes vise à dénoncer ce!e dilution du peuple breton dans un Ouest informe, sans âme et sans avenir… Nous pensons donc que les Bretons doi-vent donc être directement représentés à Bruxelles !»

Rendez-vous avec Christophe Béchu, tête de liste de l’UMP,

sur Kernews

Christophe Béchu sera l’invité de Yannick Urrien lundi 11 mai 2009 dans le magazi-ne de 8h. Comme c’est le cas chaque jour, l’entretien sera rediffusé le soir même à 19h. Par ailleurs, il sera également redif-fusé le samedi 16 mai à 8h et le dimanche 17 mai à 19h. Christophe Béchu est prési-dent du Conseil général du Maine-et-Loi-re et il était le candidat de l’UMP aux der-nières élections municipales à Angers.

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Une chocolaterie qui enchante toutes les générations…

Prenez La Route du Cacao sur le port du Croisic…

C'est une vraie cho-colaterie que nous avons découverte au

cœur du Croisic ! Sur le port, des artisans passionnés vous font partager leur amour du bon chocolat traditionnel à travers des réalisations ori-ginales et savoureuses… Avant de venir s’installer au Croisic, Gérard Bosc tenait dans la région parisienne une chocolaterie renommée et il travaillait déjà avec Valé-rie Co"et : «C’est un passionné qui a la volonté de transme!re son savoir» dit-elle à propos de l'intéressé. Les deux as-sociés ont choisi d’ouvrir La Route du Cacao sur le port du Croisic il y a deux ans : «Ce!e ville a su conserver son image d’authenticité qui est unique. C’est sans doute, avec le centre de Guérande, le lieu le plus authentique de la région, et c’est en adéquation avec les chocolats de tradition que nous produisons». La boutique, où vous serez également accueillis par Pascale et An-théa, propose une offre très riche de chocolats, qui sont

tous réalisés sur place dans l’atelier qui se trouve au fond du magasin. Gérard Bosc veille à toujours sélectionner des ingrédients de premier choix : «Nous travaillons avec un chocolat pur beurre de ca-cao et nous faisons des mélan-ges». Gérard ne cache pas son faible pour l’Ouganda, un chocolat très puissant et très aromatique, ou pour le chocolat du Pérou dont le parfum est très subtil. Diffi-cile pourtant de leur deman-der de désigner le meilleur chocolat, tant les déclinai-sons sont variées… En effet, il s’agit d’un produit très raffiné et «il faut essayer de comprendre comment il est fait, d’où il vient et pourquoi il est fait de ce!e manière». Ensuite, «c’est au consommateur de faire son choix dans une pale!e de saveurs… C’est donc avant tout une question de goût !» expli-que Gérard Bosc. Le chocolat est sélectionné par Gérard et Valérie et les grains sont transformés à la chocolaterie du Pecq car, souligne Valé-rie Co"et, «c’est l’une des ra-

res chocolateries françaises qui permet de réaliser des mélanges sur mesure et nous pouvons leur demander des mélanges de grains particuliers, comme de noise!es par exemple». Ici, tout est fait maison, c’est-à-dire que 100% des chocolats et des caramels (à l’excep-tion des dragées) sont réali-sés dans les deux ateliers du magasin.

Des chocolats en forme de bouquets de

fleurs…

La Route du Cacao a plu-sieurs spécialités. D’abord, les minivagues de l’Océan : il s’agit d’un chocolat noir, au lait, blanc ou à l’orange avec des éclats de fruits secs torréfiés. Autre spécialité: les truffes des marais, un praliné amande-noisette, feuilleté à la fleur de sel de Guérande. Il existe une version chocolat au lait et, depuis peu, une version au chocolat noir origine Ouganda. On trouve aussi un merveilleux chocolat noir avec des éclats d’amandes torréfiés et une pointe de fleur de sel, qui a été baptisé le Rocher du Croisic… Nos créateurs croisicais ont tou-jours une approche festive et créative et cela donne des

résultats surprenants com-me des cartes postales en chocolat dont le réalisme est époustouflant. Par ailleurs, les amateurs de fondants au chocolat seront surpris par la qualité de leur gâteau au chocolat, qui est un vérita-ble délice. Autre innovation à signaler : des bouquets en chocolat ! La présentation rappelle un traditionnel bouquet de fleurs, mais tous les éléments sont en choco-lat et se croquent évidem-ment… En vous promenant sur le port du Croisic, pre-nez aussi le temps de faire une pause pour savourer un excellent chocolat chaud à l’espace dégustation avec la vue sur le quai du Croisic… Détente assurée. Ce chocolat chaud n’a évidemment rien à voir avec celui servi dans une brasserie parisienne… Ici, le chocolat a l’art d’être

très goûteux, mais aussi très léger car pauvre en matiè-res grasse. C’est toujours un plaisir de venir dans ce ma-gasin car les chocolats sont uniques, excellents et tous faits maison. L’équipe de La Route du Cacao est pas-sionnée et ne rechigne pas à vous faire faire un tour du monde des saveurs, en vous

détaillant la provenance et l'histoire de ses chocolats… Et en matière de chocolat, les histoires nous replon-gent rapidement dans nos souvenirs d’enfance…

La Route du Cacao se trou-ve sur le quai du Croisic, 4, place Boston. Tél. 02 40 53 78 51.

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mai 2009 la baule + culture16

Le célèbre comédien et auteur présente sa nouvelle pièce «Presse Pipole» et publie un livre sur le développement de la mémoire.

Olivier Lejeune : « Ce e région m'a toujours porté bonheur.»

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Dimanche 31 Mai 9h-19h

Dimanches 7, 14 et 21 Juin 9h-13h

ABALA : Tél. : 02 40 73 24 95 et 02 40 15 18 98

La Baule+ : Pourquoi avez-vous présenté votre nouvelle comédie, «Presse Pipole», en avant-première au Croisic ?

Olivier Lejeune : Vous sa-vez, ma carrière d'auteur de théâtre a démarré à Atlantia à La Baule, où nous avons créé «Tout bascule» en 2002. La pièce a fait 1 100 représenta-tions, elle est interprétée dans cinq pays et il y a même un film qui va être adapté. Après, il y a eu «Dévorez-moi». J'ai eu le bonheur de rencontrer Michelle Quellard, notre nou-veau maire du Croisic, ainsi que son adjoint à la culture, Mickaël Gauthier, et je suis tout ce qu’ils font au Croisic dans le domaine culturel. J’ai

eu beaucoup de plaisir à ve-nir jouer au Croisic parce que cela fait partie de mes racines, puisque j’ai la chance d’avoir une maison à Guérande : à Kerbironné exactement. Ce"e région m'a toujours porté bonheur et je me souviens encore de mon premier one man show à la MJC de La Baule en 1970! Alors, j’ai saisi ce"e opportunité de présen-ter «Presse Pipole» aux croi-sicais. Nous allons lancer cet-te pièce, à partir du 5 juin, au théâtre du Palais Royal qui est l’un des plus beaux théâtres parisiens. Tous ceux qui ont vu mes précédentes pièces es-timent que c'est la plus forte ! Tant mieux… Lorsque l'on écrit une pièce, on a toujours

envie de trouver un thème qui n'ait pas encore été abordé. Or, le thème de la presse peo-ple n'a jamais été abordé... La pièce se déroule dans la salle de rédaction d'un magazine trash, que j'ai appelé Le Tor-chon. En même temps, c’est une pièce qui est réactualisée en permanence. J’ai allié ma formation de chansonnier où je brocarde les politiciens, qui sont maintenant des people plus importants que les gens du show-business... Dans l’histoire, on «casse» la une au moment du bouclage, parce que l'on a un scoop incroyable qui vient d'arri-ver : un grand animateur de télévision, Jean-Luc Kerdru, vient de se faire pincer dans

les bras d'un jeune homme alors qu'il est marié et a des enfants. Il a peur de perdre ses ménagères de moins de 50 ans… et il débarque dans la salle de rédaction! Il y a Danièle Gilbert, qui est ex-traordinaire. Je lui fais jouer une vieille fille acariâtre alors qu'elle est la gentillesse même. C'est vraiment une Danièle Gilbert que l'on n'a jamais connue, puisqu'elle est la gentillesse même, alors que je lui fais répéter des hor-reurs… Au moment des ré-pétitions, elle me"ait la main devant son nez comme une petite fille en me disant: «Je ne pourrais jamais dire ça !» Et elle le fait ! Elle joue ma vieille se-crétaire de rédaction qui pète les plombs à une semaine de la retraite… Il y a aussi plu-sieurs autres personnages, comme une chroniqueuse mondaine qui est jouée avec grâce par Virginie Stevenoot. Il y a également le paparazzi Luigi, le coursier de l’impri-meur…

Vous connaissiez déjà le mi-lieu de la presse people…

C'est vrai, mais j'ai fait de l'immersion dans les rédac-tions de France Dimanche et d’Ici Paris pour écrire la pièce… Il y a beaucoup de rebondissements et d’actions, et j'ai la chance d'avoir mon copain Patrick Sébastien qui apparaît sur un écran à tra-vers une vidéo à la fin de la pièce. C'est vraiment une piè-ce interactive et comme nous traitons de toute l'actualité, on a parfois l'impression que

la presse a été écrite le matin même ! J'ai déjà travaillé pour ce secteur puisque j'ai colla-boré à un journal people qui s'appelait Hola et qui était tiré du grand succès de pres-se espagnol. J'ai vraiment de très bons souvenirs de ce"e expérience de presse.

Vous évoquez souvent le monde politique en tant que chansonnier, mais aussi comme auteur de théâtre…

Jean Amadou avait un mot formidable à propos des poli-ticiens et des humoristes : «Ni eux, ni nous, ne pensons un mot de ce que nous disons !»

Ce e tradition des chanson-niers a quand même un peu disparu, à l'exception d’Anne Roumanoff…

Oui, parce que Bernard Ma-bille lui souffle ses textes… J'ai connu Anne à La Classe et, à l’époque, elle me disait chaque fois : «Mais comment peux-tu rire de la politique ? Ce n’est pas drôle !» Maintenant, je suis amusé de la voir chez Drucker et de constater que

son immense popularité vient du fait qu'elle a le courage de parler de politique. Mais il y a quand même une dichoto-mie, car j'ai lu des critiques et constaté que des gens étaient déçus de son spectacle sur scène. En effet, sur scène, elle ne dit pas toutes les horreurs sur la politique qu'elle dit à la télévision. Elle devrait les intégrer… Mais je me réjouis de son succès…

Les hommes politiques ont remplacé les chansonniers, certains sont ridicules…

Oui, ils nous volent notre pain ! Il suffit de lire leurs textes sans changer une vir-gule et les gens sont tordus de rire !

On sous-estime sa mémoire...

Effectivement... Votre autre actualité, c’est la sortie du li-vre «Mémoire d’éléphant» le 2 juin prochain… Vous nous rappelez que l’on peut déve-lopper assez facilement sa mémoire…

Olivier Lejeune est l’un des humoristes les plus brillants de sa génération et le public

ne s’y trompe pas car ses spectacles font salle comble. Il fait partie de ces comédiens qui arrivent à faire rire tous les âges à travers des jeux de mots et des répliques toujours drôles, percutantes, surprenantes mais jamais vulgaires… Il a été journaliste, chansonnier, acteur, chanteur, chroniqueur, animateur de radio et de télévision, auteur de pièces de théâtre et de livres... Depuis le regre!é Jean Yanne, peu d’humoristes ont connu un tel parcours. Olivier Lejeune lance sa nouvelle comédie, «Presse Pipole», qu’il a présentée en avant-première à la salle des fêtes du Croisic le 11 avril dernier:

un beau cadeau pour les habitants de la presqu’île, à laquelle il reste très a!aché. En effet, Olivier Lejeune habite à Guérande, dans le village de Kerbironné. C’est là qu’il écrit ses pièces et vient se ressourcer chaque fois que possible. A partir du 5 juin, il sera à Paris sur la scène du Théâtre du Palais-Royal pour jouer dans la pièce événement de l’été, «Presse Pipole» dont il est l’auteur. Eclats de rire garantis ! A voir absolument ! Olivier Lejeune va également publier le 2 juin, chez Hache!e Pratique, un ouvrage passionnant, intitulé «Mémoire d’éléphant», dans lequel il livre différentes astuces pour développer la mémoire. Il répond aux questions de La Baule+ dont il est aussi un fidèle lecteur…

« J'ai eu le bonheur de rencontrer Michelle Quellard, notre nouveau maire du Croisic, ainsi que son adjoint à la culture,

Mickaël Gauthier, et je suis tout ce qu’ils font au Croisic dans le domaine culturel. »

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mai 2009la baule + culture 17

C’est aussi une histoire qui part de La Baule ! Lorsque j'étais petit, je venais en va-cances dans la villa de mes grands-parents à La Baule-les-Pins et j'avais découvert un vieux livre qui racon-tait l'histoire d'une star du music-hall, après la guerre, qui faisait un numéro de mé-moire. Il entrait sur scène et il demandait une centaine de mots à la salle, ils étaient nu-mérotés de 1 à 100, et il était capable de les restituer de 1 à 100, de 100 à 1 ou mot par mot… J'ai eu envie de faire la même chose car cet hom-me expliquait le début de sa méthode dans son livre. Je l'ai appliquée aussitôt et, deux jours après, j'étais ca-pable de retenir 70 mots à la fin des repas. J'étais devenu la star des fins de banquets familiaux à La Baule… N'im-porte qui peut, grâce à ce"e grille, augmenter sa capacité de mémoire facilement de 200 à 300 % ! On sous-es-time sa mémoire. Or, cela s'apprend aussi bien que la lecture ou la grammaire. J'ai effectué plusieurs démons-trations à la télévision et ce numéro que je fais sur scène impressionne systématique-ment l'assistance. Hache"e m’a vu le faire sur TF1 il y a quelques mois et ils m’ont téléphoné en me demandant d’expliquer ce"e méthode dans un livre. C'est donc un ouvrage très ludique, qui comporte de nombreuses anecdotes puisque j'ai inter-

rogé de nombreux copains issus de tous les horizons qui m’expliquent comment ils font pour arriver à mé-moriser des noms ou des numéros… Finalement, dans tous les métiers, on a besoin d'avoir une bonne mémoire. C'est donc amusant et acces-sible à tous, et c’est ce que j’explique dans ce livre. Si je devais résumer en un mot ce"e méthode : c’est visua-liser avec des associations d’idées. Plus elles sont sau-grenues ou cocasses, plus on est certain de l’efficacité de ce"e méthode ! Donc, il y a de nombreux exercices dans cet ouvrage. On commence à travailler sa mémoire sen-sorielle, ce que font de nom-breux comédiens, c'est-à-dire à retrouver des sensations,

on apprend à transformer en 3D un texte que l'on doit apprendre et l'on apprend aussi à faire des charnières : voilà comment la greffe peut prendre sans qu’il y ait de rejets…

Alzheimer : j’ai appris à ce sujet

qu’il y a des émissions de

télévision qui sont nocives : ce sont les feuilletons

sans fin comme «Plus belle la vie»

ou «Les feux de l’amour»...

C'est assez paradoxal car no-tre civilisation a le culte de la beauté et du corps, alors que l'intelligence et la mé-moire peuvent aussi se déve-lopper…

J’ai joué un petit rôle dans le film «Cortex» de mon ami Nicolas Boukhrief, qui traite de la maladie d'Alzheimer, et j’ai appris à ce sujet qu'il y a des émissions de télé-vision qui sont nocives : ce sont les feuilletons sans fin comme «Plus belle la vie» ou «Les feux de l’amour»... C'est une sorte de lessivage perpétuel, une histoire sans début et sans fin, alors que le cerveau a besoin d'être

Olivier Lejeune: « Les politiciens nous volent notre pain ! Il suffit de lire leurs textes sans changer une virgule et les

gens sont tordus de rire ! »

structuré. A Paris, il y a une clinique du cerveau qui est dirigée par une amie, Moni-que Le Poncin : elle explique que l'on ne peut malheu-reusement pas empêcher la maladie d'Alzheimer, mais que l'on peut ralentir la dé-générescence avec toute une gamme d'exercices qui per-me"ent de faire travailler son cerveau. Les retraités qui jouent aux cartes, qui font des mots croisés, qui comp-tent des points, sont mieux préparés parce qu'ils font travailler leur mémoire en permanence. Il ne faut pas se laisser lessiver le cerveau par des flots d'images inin-terrompues. Donc, il faut faire a"ention et c'est amu-sant d’entendre les médecins expliquer que les feuilletons sont nocifs… Il est important de se faire des images dans sa tête et de me"re en 3D ce

que l'on doit apprendre. La mémoire visuelle est la mé-moire la plus importante. Par exemple, on dit souvent que dans le discours d'un politicien, on va retenir 10% du sens des mots, 30% de son rythme de parole et de son timbre de voix, et 60% de sa gestuelle... D'ailleurs, les imitateurs commencent toujours par travailler la ges-tuelle. Patrick Sébastien et Laurent Gerra m’ont expli-qué qu'ils n’arrivaient pas à trouver la voix tant qu’ils ne trouvaient pas la gestuelle : c’est la gestuelle qui apporte la voix, c’est fascinant !

Il m’est arrivé de faire l’aller-retour dans la journée en prenant le premier

train du matin, de venir déjeuner au bord de la mer, et de reprendre le dernier train du

soir…

Enfin, comment arrivez-vous à concilier votre emploi du temps entre Guérande et Pa-ris où vous devez jouer au théâtre ?

Vous savez, avec un bon abonnement de train, c’est vite fait ! Le train est un bu-reau ambulant... Je connais maintenant tous les contrô-leurs et, de plus, je rencontre souvent des amis artistes qui viennent pour une thalasso. J'apparais comme le local de l'étape ! J'essaie de venir le plus souvent possible. Il m'est arrivé de faire l'aller-retour dans la journée en prenant le premier train du matin, de venir déjeuner au bord de la mer, et de repren-dre le dernier train du soir… Ce"e région est une vraie drogue pour moi ! J'adore me promener du côté de Pi-riac ou de Pen Bron. J’ai mon bateau au port de Pornichet, pour aller vers Houat ou Hoëdic qui sont des paradis terrestres !

Propos recueillis par Yannick Urrien.

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mai 2009 la baule + bien vivre sur la presqu’île...18

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C’est souvent avec le retour des beaux jours que l’on a envie de

repenser son intérieur et de rénover sa maison. Stores & Fermetures Madeline est une entreprise connue sur la presqu'île. Elle s’est spécia-lisée dans les stores, les fer-metures et les aménagements intérieurs et extérieurs. Sa réputation n’est plus à faire, puisqu’elle a plus de quinze ans d’expérience dans ce do-maine. A sa tête, on retrouve Rodolphe Madeline, un ar-tisan passionné. À l'origine,

Un spécialiste pour tous vos travaux de menuiserie, de stores d'intérieur et d'extérieur

Chez Stores & Fermetures Madeline, rénovation

se conjugue avec bien-être et esthétisme…

Rodolph est menuisier de formation, un univers dans lequel il a baigné depuis sa plus tendre enfance : chez les Madeline, on est dans la menuiserie depuis sept gé-nérations ! Pour l’anecdocte, sachez que son arrière-arriè-re-grand-père était charron, c'est-à-dire fabricant de char-rues en bois. Entre temps, l'en-treprise a beaucoup évolué et elle s’est orientée vers tout ce qui concerne la protection so-laire et thermique, c'est-à-dire les stores et les fermetures. Pourquoi? Rodolph ne cache

pas son a"irance pour les dis-ciplines artistiques et il aime concilier les aspects esthéti-ques avec son travail d’artisan pur… D'ailleurs, les deux sont souvent étroitement liés. Or, pour travailler sur de l’amé-nagement extérieur, comme des stores ou des fermetures, «il faut avoir une fibre artistique et l'on se doit de regarder ce qui va aller le mieux dans une mai-son et ce qui correspondra le plus au caractère de la personne. Tout produit caractérise assez bien une personne car on laisse paraî-tre une sensibilité plus ou moins

artistique.» Dans sa démarche, on identifie une exigence très forte en matière de qualité : «Nous avons des choix très pré-cis sur les produits que nous pro-posons, nous ne faisons que de la qualité, et nous ne sélectionnons que des produits réputés. Par exemple, pour les terrasses, nous ne faisons que de l’Ipé, mais pas de sapin, parce que c’est un bois noble qui est garanti à vie». Ré-sultat, des clients satisfaits et un taux de retour quasiment nul : «Je n’aime pas revenir sur les chantiers et, chez nous, le service après-vente doit être de 0,5%! Finalement, en privilé-giant la qualité, nous n’avons plus à revenir sur les chantiers ensuite…»

Une offre très large pour

l’extérieur et l’intérieur…

L’offre de l’entreprise Stores & Fermetures Madeline est extrêmement large : «Notre métier, c’est tout ce qui concerne la protection solaire et thermi-que, extérieure comme inté-rieure» résume Rodolph. En réalité, à partir de ce concept,

il traite tout ce qui concerne les fermetures, les clôtures (portails en bois ou PVC), les portes de garage, les volets, les persiennes, ainsi que les automatismes qui vont de pair… Par ailleurs, «nous fai-sons aussi de la protection avec des garde-corps ou les barrières de piscines. Nous installons des terrasses en bois pur». Quant à l’aménagement intérieur, Sto-res & Fermetures Madeline fait aussi de l’aménagement pur, en installant des dres-sings et des bibliothèques. Rodolph est un personnage atypique car il s’intéresse aux goûts de ses clients, à leur sensibilité et, tout en mainte-nant son exigence de fournir un travail impeccable, son sens artistique lui permet

de jouer un rôle de conseil qui se révèle très précieux lorsqu’il s’agit de sélection-ner des produits ou de choi-sir des couleurs. Finalement, un portail, une fenêtre, un store sont la première image que l’on donne de sa maison, donc aussi de soi, à l’exté-rieur… Par ailleurs, Rodolph intervient également auprès d'une clientèle qui souhaite engager des travaux en ma-tière d'économie d'énergie et son entreprise est agréée Bleu Ciel par EDF.Stores & Fermetures Made-line se trouve 126 bis rue du Commandant Gustave Gate à Saint-Nazaire. Tél. 02 40 15 65 36. Site : www.stores-fermetures-madeline.com

Julien Jarrijon, directeur du Ten-nis Country Club Barrière, conti-nue de travailler sur l’évolution

du club afin de l’ouvrir davantage aux habitants de la presqu’île: «Nous sommes parfois cités comme l'un des plus beaux clubs français, avec celui de Monte Carlo. Or, le Tennis Country

Club Barrière n'est pas pour autant un club élitiste, mais un club où la qualité de service, l'esthétique et le plaisir comptent avant tout. Il est autant dédié aux bau-lois qu'aux vacanciers». Julien Jarrijon explique que l'image parfois sélective du «Country» ne correspond pas à la réalité des chiffres : «Notre école de tennis est dans la moyenne des prix prati-qués dans les clubs de la presqu'île : entre 130 et 250 euros selon la formule et l'âge de l'enfant. Pour les adultes, l'adhésion annuelle est accessible : nous proposons une réduction de 25% la première année pour les nouveaux adhérents, et jusqu'à 40% à la rentrée scolaire. Et même lors de son renouvellement, un adulte ne paiera qu'entre 215 et 430 euros selon la for-mule choisie». Le club est donc ouvert à tous et il est possible de jouer à l'heure, de prendre des leçons ou de suivre des stages sans être membre. A noter que le Tennis Country Club Barrière propose jusqu'au 15 juin une offre spéciale réservée aux nouveaux

membres, avec une adhésion jusqu'à fin août à 195 euros pour les adultes et 95 euros pour les enfants.

Le plus grand nombre de courts…

Avec 6 courts couverts et un total de 29 courts, dont 24 en terre ba"ue, c'est le club des Pays de la Loire qui propo-se le plus grand nombre de courts sur un seul site, ce qui garantit donc aux joueurs de grandes facilités de réser-vation : «Quelles que soient les compéti-tions organisées, nous nous arrangeons toujours pour maintenir des terrains ré-servés aux parties libres. Le plus grand luxe de nos clients, c'est de pouvoir jouer à leur guise. Nous n'hésitons jamais à refuser une compétition ou un groupe extérieur, si nous savons que ce sera problématique pour nos membres». A ce jour, le Tennis Country Club Barrière compte environ 500 membres, dont 200 à l'école de tennis: ses effectifs

sont limités pour pouvoir dispenser un enseignement qualitatif sans pour autant déborder sur les parties loisirs. Le Tennis Country Club Barrière joue donc continuellement sur cet équili-bre entre loisirs et compétitions. Les mêmes moniteurs s'occupent aussi bien des plus grands espoirs que des parfaits débutants. «Nous avons la capacité d’absorber toutes les demandes. Ainsi, depuis deux ans, nous avons mis en place des cours loisirs pour les adultes, qui regroupent aujourd'hui 50 joueurs. De la même manière, certains projets in-dividualisés pour les jeunes peuvent aller jusqu'à 7 à 8 heures d'enseignement heb-domadaire, avec 2 joueurs seulement sur le court». Enfin, le Tennis Country Club Barrière n'est pas en reste sur le plan de la com-pétition : «Notre équipe première mascu-line est présente pour la dixième année consécutive en championnat de France, ce qui est un record chez les garçons sur la presqu'île. Nous avons également des

ambitions avec nos jeunes, qui devraient commencer à faire parler d'eux lors des épreuves départementales et régionales». Julien Jarrijon souhaite organiser un événement d’ampleur internationale l’an prochain. Déjà, ce"e année, le ca-lendrier n’a jamais été aussi rempli. Ainsi, «le Tennis Master Tour accueillera plus de 200 étudiants venus de toute la France, et pour la première fois d'Europe, du 19 au 22 mai. Nous organisons un grand tournoi open du 10 au 21 juin, se-niors et jeunes. Enfin, nous accueillerons en septembre la première coupe de France de la Police nationale. Sans compter nos habituels rendez-vous estivaux : l'étape du Nike Junior Tour en juillet (nous avons la fierté d'être la plus importante étape fran-çaise) et notre open du mois d'août, qui demeure le tournoi le mieux doté du dé-partement».

Tennis Country Club Barrière, 113, avenue de La!re de Tassigny à La Baule. Tél. 02 40 11 46 26.

Julien Jarrijon annonce de nouvelles offres au Tennis Country Club Barrière

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mai 2009la baule + bien vivre sur la presqu’île... 19

Les beaux jours revien-nent et il est temps de penser à votre jardin…

La jeune entreprise Verdili-gnes peut déjà se prévaloir de belles références, comme l'aménagement de la cour d’école à Saint-Père-en-Re/ ou la création du fameux mur végétal à Nantes avec plus de 3 000 plantes de dix espèces différentes. Verdili-gnes se positionne comme «l’entreprise générale des ex-térieurs» : ainsi, tout ce qui

concerne votre extérieur peut être traité par Verdilignes. La société maitrise évidem-ment toutes les techniques paysagistes, les clôtures, les portails, les terrasses… A sa tête, Emmanuel Brzozowski, ingénieur de formation qui a notamment travaillé pour Bouygues et pour une filiale des Chantiers de l’Atlanti-que. Il a repris l'entreprise en avril 2006 et il s’est en-touré d’une équipe d’une di-zaine de compagnons, tous

passionnés par leur métier. Verdilignes a déjà une belle réputation sur la presqu’île, notamment en raison de son professionnalisme : «Nous répondons à 80% de nos de-vis en moins d’une semaine et nous intervenons dans les dates que nous annon-çons, sauf si nous avons des problèmes avec la météo» explique Emmanuel, qui entend gommer ce"e image fréquemment répandue de l’artisan qui ne tient pas ses délais… Mais Verdilignes marque également sa diffé-rence en se lançant dans des techniques innovantes, no-tamment en matière de revê-tements de sols écologiques. Verdilignes est d'ailleurs la seule entreprise de la région à proposer ces nouveaux re-vêtements qui sont à la fois esthétiques, économiques et écologiques… Par exemple, le Balthazar est en exclusi-vité chez Verdilignes. C'est un revêtement à l’application rapide, qui présente l'intérêt d’être à la fois résistant et écologique : il s’agit d’un mi-

Le spécialiste de l’extérieur innove en presqu’île…

De nouveaux revêtements pour vos extérieurs

à découvrir chez Verdilignesnéral de granulométrie 0/6 de couleur lumineuse, dura-ble et naturelle, qui constitue une excellente alternative à ceux qui ne souhaitent pas utiliser de béton, de bitume, de dalles ou de gravillons à cause de leur instabilité ou des contraintes inhérentes à leur entretien. Parmi les nouveaux matériaux, on dé-couvre aussi l'Hydro'Way ou

PermeaWay, qui est un mé-lange de granulats et de ré-sine, plutôt destiné à l'usage des terrasses. L'Hydro'Way ou PermeaWay permet de faire des motifs et des dé-corations originales sur des terrasses et des plages de piscine à des coûts intéres-sants. En se positionnant dans l’éthique du travail bien fait, l’esthétique, l’in-

novation et l’éco-responsa-bilité, Verdilignes entend se démarquer. Entrepreneur passionné, Emmanuel se fera un plaisir de vous présenter ces nouveaux concepts de re-vêtements de sol.Verdilignes se trouve 7, im-passe Villès Mollé à Saint Marc-sur-Mer. Tél. 02 40 70 37 11. Site : www.verdilignes.fr

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SCP Eric SANSON - Commissaire Priseur Judiciaire

20 allée de la Mer d’Iroise - 44600 ST NAZAIRE Tél : 02 40 60 60 90 - Fax : 02 40 60 03 25

SAMEDI 9 MAI 2009A 10 H 00 : Bijoux, Argenterie, Monnaies, Insignes Militaires de Marine, Verrerie dont BACCARAT, ST LOUIS, LALIQUE, Tapis, Mobilier, Fauteuils et Bergères, Tables en marbre, Vins et divers.A 12 H 30 : Véhicules utilitaires : SCENIC 03/02, ESPACE 08/03, KANGOO 05/04, CTTE MERCEDES VITO 01/02 (TVA Récupérable)

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Changement de propriétaireLe sumo qui ne pouvait pas grossir d’Eric-Emmanuel Schmi – Editions Albin Michel

On ne présente plus Eric-Emmanuel Schmi", auteur à succès qui, après Milarepa, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Oscar et la dame rose et L’Enfant de Noé poursuit ici « Le Cycle de l’Invi-

sible » où se mêle enfance et spiritualité.Dans ce récit, sorte de conte philosophique qui se passe à Tokyo, on s’at-tache à l’histoire de Jun, un jeune garçon de 15 ans, un peu paumé et en révolte contre la société. Alors qu’il semble n’avoir aucun avenir, sa route croise celle d’un maître sumo, qui à force de persuasion, va le conduire à sortir de sa misère et de sa violence pour s’ouvrir à un monde nouveau.

En l’amenant à s’intéresser à cet art et à le pra-tiquer, le maître sumo va perme"re à Jun non seulement d’analyser ses faiblesses mais aussi de comprendre comment il peut en tirer une force. Jun va ainsi découvrir que l’intelligence et l’acceptation de soi sont les clés pour accéder à une vie meilleure.Tout en finesse, Eric-Emmanuel Schmi" nous conduit à travers ce texte à la source du boudd-hisme zen. A l’heure où notre société est parfois en manque de repères, ce récit, non dénué d’hu-mour, nous ramène à certaines valeurs fonda-mentales qu’il n’est pas inutile de rappeler.

Eric-Emmanuel Schmi dédicacera son livre à Atlantia le 14 mai 2009 à 18h.

Le Chant de la dune de Lorraine Fouchet Editions Robert Laffont

M oins connue qu’Eric-Emmanuel Schmitt mais avec beau-coup de talent, Lorraine Fouchet est de ces auteurs qui aiment raconter des histoires et qui transportent le lec-

teur dans une autre vie le temps d’un roman.Suite au décès d’un patient et à sa rupture avec son fiancé à quelques jours de leur mariage, Zoé, jeune médecin urgentiste, décide de s’évader dans le désert du Niger. Dans cette aventure, elle va notam-ment rencontrer John, un séduisant et énigmatique photographe, dont elle va tomber amoureuse. Mais leur passion va être brutalement confrontée à une réalité qui les dé-passe. Le désert recèle des secrets que certains croyaient enfouis mais c’est sans compter sur la détermi-nation de Zoé et John dont le goût du bonheur n’a pas de limite.

Véronique Dromer.

Cela fait déjà plusieurs mois que le restaurant L’Eden Beach s'est engagé dans une démarche

visant à renforcer la qualité et la tra-çabilité de ses produits. Ce"e année, Robert Bécerril, chef de L’Hermitage Barrière, annonce une nouvelle étape : la meilleure qualité, au meilleur prix. Avec le souci constant de me"re en valeur le patrimoine gastronomique de la mer, L’Eden Beach entend main-tenant proposer «le meilleur» de la mer «à un prix défiant toute concurrence !» Concrètement, Robert Bécerril s’était fixé pour objectif de proposer un menu à moins de 30 euros. Or, voilà qui est fait ! Il annonce donc la mise en place de deux nouveaux menus, l'un à 24 euros (entrée et plat), l'autre à 27 euros (entrée, plat et dessert) : «Il est possible de faire plaisir à nos clients en jouant davantage sur les produits de sai-son, car les prix sont plus raisonnables, et nous avons aussi tissé un réseau avec des fournisseurs locaux de qualité». Ainsi, chaque jour, L’Eden Beach propose un poisson du marché à l’ardoise : il s’agit d’un poisson sélectionné quelques

heures plus tôt à la criée par le chef et qui est accompagné de produits de saison. Les fruits et les légumes sont soumis à ce"e même exigence en ma-tière de qualité et de fraicheur. Robert Bécerril est catégorique : «Ce!e année, on joue la carte de la transparence plus que jamais. Par exemple, un bar de ligne peut généralement être un bar d’élevage ou de chalut, mais chez nous, c’est vrai-ment un bar de ligne ! Nous faisons tra-vailler nos artisans locaux tout au long de l’année et nous expliquons toujours l’origine des produits à nos clients». En mai, à L’Eden Beach, la gamba sau-vage sera à l’honneur avec un menu spécifique, ce"e fois-ci à 34 euros, «car il s’agit d’un produit plus cher à l’achat» précise Robert Bécerril. Le chef ajoute qu’il y aura chaque semaine un plat différent autour de la gamba, qu’il aime bien travailler car elle transmet «une image gastronomique de liberté et de vacances !»

L’Eden Beach se trouve 5, esplanade Lucien Barrière. Tél. 02 40 11 46 16.

Les nouveautés de L’Eden Beach

Robert Bécerril entend proposer le meilleur produit, au meilleur prix…

Attention: la gare SNCF de La Baule change ses horaires

d’ouverture de l’Espace de Ventes (à partir du 1er mai)

Les lundis de 5h55 à 12h et de 13h20 à 18h30

Du mardi au vendredi de 9h30 à 12h et de 13h20 à 18h30

Les samedis de 8h40 à 18h40

Les dimanches et fêtes de 9h25 à 20h55

FERMETURE DU LUNDI AU VENDREDI DE 12H à 13H20

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mai 2009la baule + bien vivre sur la presqu’île... 21

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La Ferme du Grand Clos vient d’obtenir le label «Crêperies gourman-

des». Il ne s’agit pas là d’une appellation fantaisiste, mais bien d’un label de qualité décerné par le Comité régio-nal du tourisme de Bretagne. L'octroi de ce titre implique

La Ferme du Grand Clos : la qualité avant tout !

le respect de plusieurs critè-res, notamment l’utilisation de produits régionaux, une qualité de service et un envi-ronnement agréable tant in-térieur qu’extérieur. Il n’a pas été difficile pour Christophe et Isabelle Mercy de répondre à ce"e charte de qualité, eux qui

quasiment dès l’ouverture en 2003, ont été référencés dans le Guide Michelin. Il faut dire que Christophe Mercy, an-cien élève de l’école hôtelière de Nantes, est un passionné de cuisine et tout particuliè-rement de gale"es. Il a"ache une grande importance au choix de ses produits et il a sélectionné ses fournisseurs avec soin : «La farine vient du Moulin de l’Ecluse à Pont l’Abbé, la charcuterie artisanale de la maison Cavaro à Saint-An-dré-des-Eaux, le beurre au sel de Guérande de la Ferme de Mezé-rac à Saint-Lyphard et j’ai réfé-rencé moi-même plusieurs cidres de producteurs bretons» nous précise Christophe Mercy.Au-delà de la qualité des produits, le label «Crêperies gourmandes» permet à ses

membres de se rencontrer et de partager leur passion. C’est ainsi que Christophe Mercy s’est inspiré d’une re-ce"e de l’un de ses confrères pour élaborer une gale"e ori-ginale aux algues fraîches de Roscoff : «Ce!e gale!e se marie divinement bien avec du sau-mon, des creve!es avec une sauce crustacés ou encore un émie!é de thon». Mais ce n’est pas la seule spécialité de La Ferme du Grand Clos, qui propose de nouvelles rece"es selon les saisons : ainsi, l’hiver vous pouvez y déguster une gale"e aux escargots du Croisic et aux girolles et, dès mainte-nant, la fameuse gale"e brié-ronne à la langouille, sans oublier les gale"es plus classi-ques et traditionnelles comme celles au poulet fermier et aux

morilles ou à l’andouille de Guéménée. Quant aux crêpes, là aussi Christophe Mercy tient à confectionner lui-mê-me son chocolat, son caramel au beurre salé, ainsi que ses confitures aux fruits de saison. Vous l’aurez compris, tout est fait pour vous me"re l’eau à la bouche dans ce"e crêperie familiale et chaleureuse dont

l’excellente réputation n’est plus à démontrer !La Ferme du Grand Clos, 52, avenue de La!re de Tassigny à La Baule. Tel. 02 40 60 03 30. Site : www.lafermedugrandclos.com Ouvert du mardi au dimanche et tous les jours pendant les vacances scolaires et ponts.

Page 22: la baulelabauleplus.fr/pdf/2009/mai2009/files/assets/... · Olivier Lejeune est l’un des humoristes les plus brillants de sa génération et le public ne s'y trompe pas car ses

mai 2009 la baule + courrier des lecteurs22

«Spectacle» de Laurent Baffie…Abonnés à Atlantia depuis longtemps, nous apprécions l’essentiel de la programma-tion des spectacles de notre belle salle bauloise et, au cours de ces dernières années, je n’ai aucune critique parti-culière à formuler lorsque je fais abstraction de mes goûts personnels, car évidemment certains choix me plaisent davantage que d’autres. Mais dans l’ensemble, bravo à Monsieur Sastre et à Mada-me Le Guen pour leurs choix. Mais par quelle mouche ont-ils été piqués en faisant venir ce soi-disant humoriste Lau-rent Baffie pour un spectacle intitulé «Laurent Baffie est un sale gosse» ? Ce «sale gosse» est surtout un grossier per-sonnage qui s’imagine faire rire les foules en étant vulgai-re. N’a-t-on franchement pas d’autres exemples à donner à notre jeunesse ? Télépho-ner au commissariat de La Baule pour raconter des idio-ties aux agents n’est pas du meilleur goût car nos agents de la force publique avaient sans doute d’autres priori-tés. Téléphoner aux parents d’une jeune fille pour étaler des ébats sexuels imaginai-res n’est pas du meilleur goût non plus. Quant à déclarer sur scène que la municipa-lité de La Baule est UMP ten-dance Front national… Si ce monsieur est gêné à l’idée de venir jouer devant les baulois, il n’a pas semblé gêné à l’idée de toucher son cachet !!! J’es-père que vous publierez mon «coup de gueule» car nous ne sommes pas seuls à partager ce"e indignation.Courriel de G. Legrand.

Baffie… encore…Fidèle lecteur de La Baule+, je tenais à vous faire part de mon indignation à l’égard des propos tenus sur la scène d’Atlantia, devant des cen-taines de spectateurs, par M. Laurent Baffie, humoriste de son état. J’ai eu honte pour La Baule car ce spectacle ne cor-respondait pas à l’image de notre ville et je regre"e que M. Métaireau n’ait pas été pré-sent dans la salle car il aurait certainement été indigné par la teneur de ce one man show qui n’était qu’un ramassis d’imbécilités et de grossière-tés. Sinon, bravo, continuez, mais épargnez-nous de grâce cet individu dans votre belle publication.J-P. V (La Baule).

Nous publions ces deux le!res

de lecteurs, qui reflètent d'autres messages reçus dans le même sens. Nous avons interrogé Pierre Sastre, adjoint au maire de La Baule et président d’At-lantia, qui partage l’indignation des baulois. Que s’est-il passé exactement ? Dans le cadre du partenariat touristique entre La Baule et la ville de Nantes, Pierre Sastre avait établi une passerelle avec le festival Juste pour Rire qui se déroulait au même mo-ment. L’accord prévoyait qu’un spectacle de Juste pour Rire se-rait programmé à La Baule. Ce spectacle a été financièrement pris en charge par la program-mation de Juste pour Rire et ce sont les programmateurs de ce festival qui ont décidé de faire venir Laurent Baffie à Atlantia : «Nous avions accepté que Juste pour Rire délocalise l’un de ses spectacles à La Baule et c’est ce qu’ils nous ont programmé…» Pierre Sastre ne cache pas son profond mécontentement : «La salle n’était pas pleine, des col-lectivités publiques, notamment Nantes Métropole, ont subven-tionné ce spectacle et en plus il s’est permis d’insulter le public! Ce ne sont pas nos valeurs et je comprends la réaction des spec-tateurs.» On ne saurait repro-cher à Pierre Sastre et à Claude Le Guen d’avoir respecté leur parole sur ce partenariat avec le festival nantais Juste pour Rire. L’affaire est close et on peut compter sur leur vigilance pour qu'une telle situation ne se reproduise pas. En a!endant, sachez que le même soir Olivier Lejeune était en représentation au Croisic avec sa pièce Presse Pipole et que les spectateurs sont ressortis enchantés : deux heu-res de bonheur, de drôlerie, de gags à répétition, tout cela sans vulgarité ni mépris. Mais on aura compris que Laurent Baffie n’est pas Olivier Lejeune… Ce dernier a présenté sa pièce dans le magazine de Yannick Urrien sur Kernews le 7 avril dernier. De nombreux auditeurs sont venus la voir jouer au Croisic, en soulignant que l'intervention d'Olivier Lejeune à l'antenne leur avait donné envie d'assis-ter à ce spectacle et qu’ils ne regre!aient absolument pas le déplacement... Du reste, Olivier Lejeune nous a fait l’honneur de clôturer la représentation avec quelques mots très gentils à l’égard de Kernews, en précisant qu’il est un fidèle auditeur de la station. Nous l'en remercions chaleureusement.

Dominique Le Bidochon…Fidèle lecteur et admirateur de votre journal depuis sa création, j'ai été a"erré, une

fois n'est pas coutume, par le niveau du billet d'humeur de Dominique Labarrière dans votre numéro d'avril, intitulé, ça ne s'invente pas : «La bê-tise ne connaît pas la crise». Billet qui aurait dû être signé Dominique Le Bidochon. En fait, lorsque Monsieur Sé-guéla, qui est tout sauf un demeuré, sort le coup de la Rolex, c'est pour occuper les Bidochons et ça marche. Lorsque les journalistes, qui sont tout sauf des demeu-rés, déforment les paroles du pape Benoît XVI qui étaient : «Le préservatif n'est pas la solu-tion à l'éradication du sida en Afrique», c’est pour occuper les Bidochons et ça marche. Lorsque Monsieur Le Pen, qui est tout sauf un demeuré, ressort son toc, c’est pour occuper les Bidochons et ça marche. Vivement le retour de Dominique Labarrière ! Le stagiaire n'a vraiment rien compris à la communication

et encore moins au fond des manipulations subliminales. En a"endant son retour, per-me"ez-moi de vous féliciter encore pour votre journal devenu l'incontournable des gens de notre presqu'île gué-randaise.G. Le Gal. (Guérande)

Merci, cher Monsieur, pour les mots aimables que vous formu-lez à l’égard de La Baule+. Sa-chez que Dominique Labarrière a une liberté totale dans la ré-daction de sa chronique et c’est ce!e ouverture d’esprit qui nous anime collectivement. Vous êtes visiblement un lecteur averti en ce qui concerne les manipula-tions médiatiques et la désinfor-mation ambiante : notamment pour les propos de Benoît XVI, dont on sait qu’ils ont été sortis de leur contexte. Alors, acceptez, avec l’humour dont vous fai-tes preuve dans votre le!re, de partager la lecture de La Baule+ avec les Bidochons : à force de

lire La Baule+, ils seront peut-être un peu moins… bidochons! Fidèlement vôtre.

Jamais deux sans troisLe billet de Dominique Labar-rière dans La Baule+ d’avril 2009 aurait pu s’intituler: Jamais deux sans trois. A ce propos, quelqu’une s’est ex-cusée de «supposées citations négatives» de Nicolas Sarko-zy envers l’Afrique (l’homme Africain) puis de l’Espagne (son Président) au nom de la France... Pour éviter ou pro-fiter (suivant le choix de cha-cun?) d’un nouveau «jamais deux sans trois», je propose à ce"e quelqu’une de s’excuser auprès des Français d’avoir abaissé ainsi la crédibilité de la France au lieu de lui avoir apporté l’espoir dans une conjoncture si déterminante. Enfin, pour terminer mon «Jamais deux sans trois»: Force est de constater que

C’est vous qui le dites...l’enrichissement de ce genre d’inepties n’est pas seulement dû à «la gauche», car il est un nobliau de droite qui ajoute de surcroît que «la France serait bientôt en état de révo-lution !» En trois et pour faire bonne mesure, je suggère au troisième homme, aimant bien les chevaux, de conclure lui aussi d’un bon mot ce"e polémique. Ceci ferait le bon-heur des journalistes, mais montrerait surtout, à nous, bons Français, dans quel état se trouve actuellement la France Politique ! Merci à Dominique de nous préciser effectivement que «La bêtise ne connaît pas la crise»Alfred Le Du (Le Croisic)

Merci, Alfred, pour ce!e note d’humour… Nos lecteurs auront compris que vous faites allusion à Dominique de Ville-pin (le nobliau de droite) et à François Bayrou (le troisième homme).

La Baule+ est un journal ouvert à tous et qui cultive une totale liberté de ton. Vous le savez. Pour autant,

il ne s’agit pas de transformer nos colon-nes en défouloir contre la police nationale ou la police municipale. Il y a deux mois, nous avons publié une première le"re d'un automobiliste se plaignant de la ver-balisation dont il avait été l'objet. Puis, un second courrier de lecteur le mois dernier sur le même sujet. Notre entretien avec le commissaire de police de La Baule, pu-blié dans notre édition d’avril, était clair et les agents ont pour mission de faire ap-pliquer strictement la loi. Nous nous de-vons de respecter le travail des policiers, dont la mission n’est pas facile et que nous sommes bien contents de trouver en cas de cambriolage ou d'agression. Or,la rédaction de La Baule+ a de nouveau reçu des le"res et des courriels me"ant en cause le comportement des forces de l’ordre, qui seraient trop zélées en ma-tière de stationnement gênant, de petits excès de vitesse, lorsqu'un conducteur répond à un appel sur son téléphone por-

table, etc. A ce rythme, nous pourrions presque créer une rubrique mensuelle! Il est de notre responsabilité d’éditeur de contrôler de tels débordements. Mais il nous incombe également d’alerter les pouvoirs publics – policiers, élus et mi-nistres – qu’il semble se développer un climat de rébellion inquiétant au sein d’une catégorie de citoyens qui auraient pourtant semblé les moins réfractaires à l'exercice de l’autorité. Or, comme nous en faisons état dans l’entretien avec Phi-lippe de Villiers publié dans le présent numéro, certains baulois ont été très choqués de voir dresser des contraven-tions le 19 mars dernier à des véhicules mal garés pendant que leurs propriétai-res achetaient du pain ou des cigare"es, cela alors qu’au même moment il y avait des émeutes à Saint-Nazaire… Certes, on peut comprendre l'amertume des intéres-sés qui ont protesté : «Ils auraient été plus utiles en allant interpeller des casseurs…» et il est donc aussi de notre devoir de signa-ler que se développe actuellement le sen-timent que les libertés individuelles sont

en recul. Pour quelles raisons ? Le débat est d’ordre philosophique. Les politiques privilégient l’égalité dans la restriction collective, à la liberté et à la responsabi-lisation de chacun qui impliqueraient la sanction sévère en cas de faute. Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur, a déclaré dans une interview au Figaro du 10 avril dernier qu’elle est pour une to-lérance zéro à l’égard des petits excès de vitesse… Alors, faut-il ensuite reprocher aux policiers d’appliquer les consignes de leur ministre ? Non. En réalité, c’est aux politiques qu’il faut faire passer le message et c’est ce que nous avons fait sur Kernews. Les extraits de l'entretien avec Thierry Mariani, député UMP du Vaucluse, que nous reproduisons ci-des-sous démontrent que l’opinion de Michè-le Alliot-Marie n’est pas partagée par une partie de sa majorité, y compris par celui qui pourrait la remplacer place Beauvau, à savoir Christian Estrosi… Thierry Ma-riani s'est exprimé à ce sujet sur Kernews le 27 avril à 8h00. Voici un extrait de cet entretien. Yannick Urrien.

Comportement des forces de l’ordre : une mise au point à propos de nouvelles doléances reçues par la rédaction

Kernews : Il y a eu un gag de l'Agence France-Presse le 1er avril avec une dépêche indi-quant que Thierry Mariani et Christian Estrosi envisa-geaient de supprimer la limite de vitesse autorisée à 130 km/heure sur certaines portions d'autoroutes. C'était un pois-son d'avril, mais on entend nos concitoyens se plaindre des excès de réglementation et de

toutes ces petites a eintes à la liberté, au nom de notre protec-tion collective, qui nuisent au plaisir, à la liberté et au dyna-misme économique…

Thierry Mariani : Le problème est de concilier l’intérêt général et les libertés individuelles. Le danger, aujourd’hui, c’est qu’ef-fectivement, entre les autorités diverses et variées, la police de

la route, en passant par toutes les polices possibles et imagi-nables, on arrive à des excès délirants. Le gag du 1er avril d’un journaliste de l’AFP était sympathique. Mais à la limite, il était presque crédible, puisque les deux personnes citées, Chris-tian Estrosi et moi-même, avons tenu ce"e position à plusieurs reprises. J'estime que l'on peut avoir une plus grande tolérance

à l’égard de la vitesse sur auto-route, car les victimes les plus nombreuses ne sont pas sur les autoroutes. A mon avis, cela ne changerait pas grand-chose à la sécurité routière d'augmenter de 20 ou 30 km/heure la vitesse sur autoroute.(Extrait de l’interview de Thierry Mariani, diffusée sur Kernews le 27 avril dans le magazine de Yan-nick Urrien à 8h).

Thierry Mariani, député UMP du Vaucluse : «Christian Estrosi et moi-même avons tenu ce e position à plusieurs reprises. J'estime que l'on peut avoir une plus

grande tolérance à l’égard de la vitesse sur autoroute.»

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mai 2009la baule + notre presqu’île 23

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Coordonnées de l’AGRIFVous avez reçu en mars der-nier sur Kernews Monsieur Bernard Antony pour parler d’une association qui défend les Français victimes de ra-cisme. Ma fille est enseignante dans un lycée dans une zone d’éducation prioritaire et elle subit des insultes régulière-ment, surtout depuis qu’elle a osé raconter avoir été «émue» par un récent voyage en Israël. Le week-end de Pâques, elle a fondu en larmes et j’avoue être bouleversée. On ne parle jamais des insultes et divers sous-entendus anti-français, antichrétiens ou antisémites et vous avez eu le courage de nous en informer. Récem-ment, un jeune de son lycée qui ironisait sur les «man-geurs de porcs» a été genti-ment «invité» à ne plus re-commencer… Lorsqu’il s’agit d’insultes anti-françaises, c’est l’omerta dans l’éducation na-tionale, et on lui demande de «prendre sur elle». Comment pouvons-nous contacter ce"e association qui, si j’ai bien compris, est une sorte de SOS Racisme des Français ?Courrier signé.

L’affaire que vous évoquez n’est hélas pas isolée et nous sommes prêts à en informer directement le cabinet de Monsieur Xavier Darcos, ministre de l’Educa-tion nationale, si vous le sou-haitez. Dans ce cas, veuillez nous recontacter en nous com-muniquant des éléments com-plémentaires. En a!endant, l’association de Bernard Anto-

ny s’appelle l’AGRIF (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne). Voici ses coordonnées: 70, boulevard Saint-Germain, 75005, Paris. Tél. 01 40 46 96 31. Internet : www.agrif.fr

Réponse à Yves Métaireau sur la réunification de la Bretagne.Comme toujours, j’ai lu avec un grand intérêt le dernier numéro de La Baule+ et, en particulier l’entretien avec Jacques Marseille. J’ai cepen-dant été arrêté par un com-mentaire d’Yves Métaireau, lors de son entretien avec une personnalité qui me semble fort intéressante, Philipe Dal-lier, s’agissant de la réunifica-tion administrative de la Bre-tagne. J’ai beaucoup d’estime pour Yves Métaireau mais vous me perme"rez quel-ques remarques. Jusqu’en juin 1941, et depuis la divi-sion du duché de Bretagne en cinq départements en janvier 1790, personne n’avait mis en cause l’appartenance de la Loire-Inférieure à la Breta-gne, dois-je ajouter que c’était encore le cas pour la majorité des Bretons et des Français en 1944/45, quand mon père se ba"ait sur le front de la Poche de Saint-Nazaire, en-tre Blain et Bouvron. Les ré-gimes successifs qui se sont succédé depuis la Libération ont voulu profiter de la par-tition vichyste pour affaiblir la Bretagne, toujours perçue

à Paris comme une menace pour l’unité française, si bien que toutes les structu-res administratives, depuis les Igamies jusqu’aux EPR, ont été conçues dans les bu-reaux parisiens, sans aucune consultation démocratique, avec pour objectif de séparer la Loire-Inférieure des autres départements bretons. Il faut noter que la région dite des Pays-de-la-Loire, dont seuls deux de ses départements sont ligériens, fut décrite lors de sa création, par le grand spécialiste de la géographie régionale, Jean Labasse, com-me une «ineptie administra-tive ubuesque». En tout état de cause, près d’un demi-siècle après la création des circonscriptions d’action ré-gionale par M. Debré, la ma-jorité des habitants de ce"e région est toujours incapable d’en citer les cinq départe-ments. Comment pourrait-il en être autrement s’agissant d’une région sans légitimité géographique, historique

et culturelle et sans aucune pertinence économique, mais qui par contre détourne la Loire-Atlantique de sa voca-tion maritime.S’agissant du sondage Ifop auquel Yves Métaireau fait référence, qu’il n’y soit pas fait mention de «sans opi-nion» laisse évidemment pla-ner un doute sur sa validité, sans oublier que, de plus, il a été conduit dans le contexte politique et économique que nous savons et que c’est le président Sarkozy qui a re-lancé ce débat. En outre, la nature des questions posées et leur positionnement in-duisaient un biais caractéris-tique, souligné par tous les spécialistes. Quoi qu’il en soit, Yves Métaireau a pré-féré quand même identifier la communauté d’aggloméra-

tion dont il est le président à la Bretagne Sud, plutôt qu’à l’Anjou, au Maine ou au Bas-Poitou. Je crois que dans la tourmente économico-finan-cière qui frappe le monde, si la vision globale est impérati-ve, l’enracinement local est un gage de survie, encore faut-il s’enraciner dans un territoire clairement identifié et non pas dans un espace artificiel que des technocrates tentent de rendre «identifiable» grâ-ce aux millions d’euros qu’ils prennent dans la poche des contribuables les plus impo-sés du monde !Jean Cévaër (Pornichet).

Note de la rédaction : rappelons que Jean Cévaër est notamment le vice-président de l’Institut cultu-rel de Bretagne.

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C'est le seul restaurant thaïlandais de la ré-gion et il n’est donc

pas étonnant d'y croiser de nombreux habitants de la presqu'île. La gastronomie thaïlandaise est l'une des plus raffinées des cuisines asiatiques car elle laisse une large place aux saveurs sub-tiles des ingrédients. Laurent et Phonxay se sont installés au cœur de Saint-Nazaire, dans le quartier Ville Port, à une centaine de mètres du

Découvrez les plats les plus typiques de la cuisine thaïlandaise…

Une nouvelle atmosphère et une nouvelle carte à La

Compagnie Franco-Thaïe

rond-point des 4 Horloges. Ces deux professionnels sont déjà connus des habi-tants de la presqu'île pour avoir œuvré longtemps dans un célèbre établissement du Pouliguen. La cuisine thaïlandaise est encore mé-connue en France : elle est si particulière qu'il faut vrai-ment avoir un chef capable de la maîtriser. C'est le cas de Phonxay puisque c'est la cuisine de son enfance, qu'il a apprise en famille. La Com-

pagnie Franco-Thaïe a adop-té une nouvelle décoration qui privilégie des tons plus colorés et plus chaleureux. On peut découvrir plusieurs tableaux sur le thème de Buddha, qui ont été réalisés par des artistes thaïlandais. Un choix qui renforce l'at-mosphère apaisante et in-timiste du restaurant. La carte évolue également avec quelques nouveautés, tou-jours avec l'objectif de faire découvrir et apprécier ces

mets délicats par nos palais occidentaux qui n'y sont pas familiers : les plats sont donc légèrement revisités, en étant un peu moins épicés. Parmi les nouveautés, citons le Poo Taek, très typique de la cuisine thaïlandaise : il s’agit d’un wok de fruits de mer avec du vermicelle de riz. La nouvelle carte pro-pose également une marmite de bœuf aux petits légumes avec du curry rouge. Les standards du restaurant sont toujours proposés, par exemple la célèbre assie"e découverte de l'Asie avec un assortiment de différents plats, comme des nems au crabe, des raviolis de Saint-Jacques et de gambas, des

broche"es de poulet au Sa-tay et une Laap Khaï, salade de poulet à la thaïlandaise. Laissez-vous tenter aussi par le Tom Yan Khong, qui est incontestablement le plat le plus populaire de la cuisine thaïlandaise : il s'agit d'une soupe de gambas aux épices et aux herbes thaïes. Les soi-rées sushis ont lieu chaque premier vendredi du mois, à l'exception de ce mois de mai, où celle du 1er mai est reportée au 8. Cet établisse-ment chaleureux est une vé-ritable invitation à l'évasion. Les prix y sont raisonnables : une formule à 13,50 euros est proposée pour le déjeuner (entrée–plat ou plat-dessert) ou 16,50 euros pour la for-

mule complète. La carte évo-lue en fonction des saisons car Phonxay entend privilé-gier les produits frais et les plats sont toujours préparés en fonction des commandes. Une garantie de qualité qui est aussi à l'origine du suc-cès de La Compagnie Fran-co-Thaïe.

La Compagnie Franco-Thaïe se trouve dans le quartier Ville-Port au 7, rue du 28 fé-vrier 1943 à Saint-Nazaire (la rue donne sur l’avenue du Général de Gaulle, près du rond-point des 4 Horloges). Tél. 02 40 22 53 12. Ouvert du mardi au vendredi, midi et soir, ainsi que le samedi soir.

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mai 2009 la baule + notre presqu’île24

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Yves Lainé, maire du Pouliguen, était l’in-vité de Yannick Ur-

rien le 21 avril dernier sur Kernews 91,5 FM dans le magazine de 8h. A cette oc-casion, il a fait le point sur la situation au Pouliguen, le

développement de la com-mune, et il a également ré-pondu aux questions des auditeurs. A propos du plan de circulation du Pouli-guen, avec la mise en place du double sens sur le port, il a déclaré : «Au moment de la campagne, nous étions par-tis d'un constat simple, c'est qu'il y avait un fonctionne-ment du Pouliguen en été et un fonctionnement en hiver. Nous avions remarqué que le fait de mettre le port en sens unique l'hiver gênait considé-rablement la population. Nous avons donc imaginé de faire un plan été et un plan hiver. Je crois que cette réalisation don-ne totale satisfaction à la ma-jorité des pouliguennais et des commerçants de la ville». Pour cet été, Yves Lainé a pré-cisé : «Nous avons toujours dit dans notre programme, au cours de notre campagne électorale, que le port serait en sens unique, avec une piste cyclable. La vocation de ce port

est d'être un passage agréable pour les touristes, et non d'être une autoroute». En revanche, en septembre, «on revien-dra au double sens…» Yves Lainé a également répondu aux questions posées par les auditeurs de Kernews. Nous reproduisons ci-des-sous quelques messages d’auditeurs et les réponses d’Yves Lainé.

Auditeur : Le Pouliguen enre-gistre depuis plusieurs années des fermetures de commerce. N'est-il pas plus logique de réunir les pouliguennais autour d'un projet novateur et promotionnel, plutôt que de rallumer les dissensions entre les habitants en ressortant le dossier du sens de la circula-tion en ville ?

Yves Lainé : J’ai répondu sur le sens de circulation. La situation du petit com-merce, au Pouliguen comme ailleurs, n'est pas facile.

Cela a été accentué par la crise économique. J'ai lu récemment dans un quoti-dien régional que le secteur de la restauration avait di-minué de 50% en moyenne en France. Il y a une grosse concurrence avec les gran-des surfaces qui se déve-loppent beaucoup sur la presqu'île. Nous ne sommes pas restés les bras croisés. Nous avons pris des mesu-res, notamment avec le plan de circulation, pour faciliter la pénétration des clients dans la ville. L'été, le sta-tionnement sur le parking de l'église sera gratuit une demi-heure au lieu de 10 minutes. Nous sommes en relation étroite avec l'Union des commerçants du Pouli-guen pour favoriser le petit commerce. Ce n'est pas fa-cile, mais nous ne sommes pas inactifs !

Auditrice : Que compte faire Monsieur Lainé sur la pro-preté et l’écologie ? La mairie utilise-t-elle des produits non chimiques ?

Yves Lainé : Le Pouliguen suit le mouvement propre aux quinze communes de Cap Atlantique. Les servi-ces municipaux n'utilisent plus de produits toxiques. La propreté des plages est assurée, mais il faut aussi faire attention à ne pas trop nettoyer la plage afin de respecter un équilibre biologique. Donc, nous nettoyons les plages l’été mais pas l’hiver, pour que l'équilibre biologique soit maintenu.

Auditeur : Qui a autorisé les baptêmes d'hélicoptère ? Dans une période de crise, c'est un peu curieux… C’est vraiment sympa (ironie) le bruit d'un

Yves Lainé, maire du Pouliguen,

répond aux auditeurs de Kernews 91,5 FM

Le Sunset figure toujours dans le guide des meilleurs restaurants de La baie de La baule. Isabelle et Laurent Joneau ont créé une Table Gourmande reconnue, en soignant tout particulière-ment la qualité des matières premières avec des poissons et crustacés de grande fraî-cheur, ainsi que les fruits et légumes de saison en prove-nance directe de petits pro-

ducteurs locaux.Vous êtes épicuriens, bons vivants mais vous hésitez parfois à sortir car vous ne pouvez plus fumer libre-ment, ni boire plus de deux verres sans prendre de ris-ques…Le Sunset vous propose sa formule traiteur pour vos réceptions à partir de 20 per-sonnes, sous forme de Buffet Cocktail Gourmand.

Un plus, le Sun-set vous propose l’animation de vo-tre soirée avec le chanteur crooneur DJ «Mister Fa» qui saura vous distraire et vous faire danser lors de votre récep-tion festive.Depuis plus de 10 ans le Sunset est réputé pour la qualité de ses Sushis.

La qualité et le savoir faire gastronomique du restaurant

«Le Sunset» en Buffet Traiteur chez vous

Pour tout renseignement, contactez Le Sunset au 02 40 61 29 29Ou [email protected] et Laurent JoneauTable gourmande « Le Sunset »Maître restaurateur de FrancePlage de Pornichet - Baie de La Baulewww.lesunset.com

Le secret ? le chef Laurent a été formé par le chef japonais Maître Shindo. Pour tous les amateurs de Sushi… La formule «Sushi Traiteur à emporter» permet de commander des plateaux de 15 à 36 pièces dressés et

prêts à consommer…

hélico au-dessus de la maison pendant les trois jours de fêtes pascales !

Yves Lainé : Effectivement, nous avons donné l'autori-sation de décollage à côté du petit golf du Pouliguen. Je reconnais que trois jours, c'était un petit peu long... Néanmoins, c'était un vé-ritable succès car il y avait des files d'attente très im-portantes. Je présente mes excuses aux personnes gê-nées, je reconnais que trois jours c'était un peu long : si cela devait se reproduire, ce ne serait pas pendant trois jours. Le baptême de l'air a quand même amené pas mal de monde au Pouliguen et les commerçants n'étaient pas mécontents de cette ac-tivité. Si l'on ne fait rien, on nous dit : «Vous ne faites rien !» et si l'on fait quelque chose, on nous dit : «Vous faites du bruit !» Le tout, c'est de trouver un équilibre entre les deux !

Auditrice : Pourquoi avoir acheté la maison des Halles au marché du Pouliguen ?

Yves Lainé : C'est un espace stratégique. Nous avons acheté cette maison afin de maintenir l’avenir du mar-ché, parce qu'elle peut servir de logement et nous dispo-sons du rez-de-chaussée. Il y aura des aménagements à faire pour les handicapés au cours des prochaines années.

C'est une réserve foncière pour prévoir l'avenir afin que nous ne soyons pas pris de court si des règlements extrêmement stricts, notam-ment au niveau européen, devaient arriver au cours des prochaines années. C'est un investissement sur l'ave-nir du marché, une mesure de précaution.

Auditrice : Je voulais savoir si Monsieur Lainé comptait rou-vrir le parking Richard, devant le Sterwitz, cet été ?

Yves Lainé : C'est un terrain privé et il n'a pas été ouvert l'année dernière parce que le propriétaire n'avait pas pris de dispositions pour nous permettre de l'ouvrir. Je rassure cette auditrice : nous nous sommes concer-tés avec le propriétaire du terrain et le parking Richard sera ouvert cette année. Nous avons passé un accord avec le propriétaire, car c'est un parking qui rend service.

Ce sont quelques extraits de l’émission avec Yves Lainé sur Kernews, qui a duré plus de 40 minutes. L’inté-gralité peut être écoutée sur le site Internet de Kernews à l’adresse www.kernews.com : il suffit de vous ren-dre dans la rubrique «Radio à la demande» puis «La vie locale» et de sélectionner cet entretien pour l’écouter inté-gralement et gratuitement.

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mai 2009la baule + bien être 25

Depuis sa plus tendre enfance, Daniel Jou-vance s’est intéressé

aux bienfaits de la mer. Après avoir ouvert dans les années 80 sur l’île de Houat un cen-tre de recherche qui mène des études scientifiques sur l’aquaplancton et sur l’appli-cation cosmétique des micro algues, c’est à Pornichet que Daniel Jouvance a décidé d’installer son centre de Tha-lassothérapie. «L’eau utilisée dans le centre est puisée au large de Pornichet, à 300 mètres au large et suffisamment en profon-deur pour préserver sa richesse en minéraux. Ensuite, l’eau de mer est chauffée, filtrée et, après plusieurs contrôles, elle est la base même des soins prodigués dans le centre» explique Flo-rence Bigot, la directrice de la Thalassothérapie. Le centre a été partiellement rénové depuis 2006 et s’étend sur 3 000 m2 avec une pis-cine d’eau de mer chauffée à 32°, des cabines de bains hy-dromassants, des cabines de soins esthétiques ou d’enve-loppement d’algues, chacune avec un thème différent, un hammam, un sauna et une salle de repos avec une vue superbe sur l’Océan. C’est véritablement un endroit où l’on se sent bien, avec un décor design. On peut pro-fiter des dernières installa-tions dans une ambiance zen. L’hébergement est assuré par deux complexes hôteliers at-tenants à la thalasso.Le centre Daniel Jouvance propose une gamme com-plète de soins. Florence Bigot précise : «Chaque cure répond à un besoin, elle dure de 3 à 8 jours en moyenne, elle est suivie par un personnel qualifié car ce qui est important pour nous,

c’est d’aller à la rencontre de nos curistes, d’identifier précisé-ment quels sont leurs besoins et d’y répondre par des soins adap-tés». Les cures ont donc diffé-rents objectifs : la minceur, la gestion du stress, le bien-être, la réponse aux problèmes de dos ou d’articulations, l'ap-préhension de la ménopause, la remise en forme... Le cen-tre allie la thalassothérapie classique à des techniques dont l’efficacité a été prouvée et qui proviennent du monde entier. «Nous proposons éga-lement en exclusivité un soin Oligobase qui se pratique en 3 phases dans une salle de soins multisensorielle avec une pha-se de détente et de repos, une phase de reminéralisation avec une pulvérisation d’eau de mer concentrée spécifique, élaborée par Daniel Jouvance, accompa-gnée par de la musique dans une ambiance personnalisée et enfin une phase de réveil» ajoute Flo-rence Bigot.Le centre Daniel Jouvance est ouvert aux curistes, mais aussi aux personnes qui sou-

haitent profiter de certaines ins-tallations comme la piscine d’eau de mer avec ses jets massants, ses vélos aquati-ques et où sont également pro-digués des cours d’aquagym, le club de fitness, le hammam et le sauna. Pour les personnes habi-tant la région, il est bien sûr possible de faire des cures d’une journée dans le cadre d’un programme spécifique ou de choisir un ensemble de soins, massages, spa, selon ses envies. N’hésitez donc pas à profiter de la proximité de ce centre de thalassothérapie pour bénéficier des bienfaits de l’eau de mer de Pornichet et des équipements derniers cris qu’il comporte.«Ici, tout est mis en place pour que le curiste se sente bien» souligne Florence Bigot. Après un accueil chaleureux, une visite chez le médecin et la mise en place de la cure, les curistes se voient propo-ser des activités comme une marche oxygénante accom-pagnée par un professionnel, des excursions avec un guide ou des semaines à thème comme la Semaine orientale qui aura lieu du 25 au 29 mai. Ainsi, ce sont des activités inédites autour de l’Orient et animées par des spécialistes (rituel au savon noir, soins, tatouage au henné, cours de danse et soirée orientale) qui sont proposées au prix de 95 euros. Elles sont ouvertes aux curistes, ainsi qu'aux person-

Les bienfaits de l’eau de mer puisée dans l’Océan au large de Pornichet

Thalassothérapie Daniel Jouvance :

le royaume du bien-être

nes venant de l’extérieur.Au-delà de la thalassothéra-pie, ce qui a fait la renommée de Daniel Jouvance, ce sont ses produits de soins et de beauté qui sont évidemment disponibles à la boutique du centre. Vous y retrouve-rez tous les produits utilisés pendant votre cure, et bien d’autres encore, et vous pour-rez ainsi bénéficier de leurs performances tout au long de l’année. N’oublions pas de rappeler que Daniel Jouvance est un précurseur en matière de développement durable et d’écologie et que les mi-cro-algues dont sont issus les principes actifs sont cultivées par biotechnologie douce et respectueuse de l’environne-ment.Des promotions sont propo-sées régulièrement et vous pouvez également offrir un coffret personnalisé compor-tant une journée à la thalasso ou différents soins et massa-ges : quelle merveilleuse idée de cadeau pour la Fête des mères !Thalassothérapie Daniel Jouvance - 66, bd des Océa-nides à Pornichet.Tel : 02.40.61.89.98 Site : www.thalasso-danieljouvance.com

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mai 2009 la baule + notre presqu’île26

Au cours d’une promenade dans le cen-tre de Guérande, si vous avez un petit creux, rendez-vous à La Mie’Diévale,

la seule sandwicherie située à l’intérieur des remparts C’est rue Vannetaise, à deux pas de la Collégiale que vous la découvrirez dans une ravissante bâtisse en pierres. Vous y serez ac-cueilli chaleureusement par Jérôme Thouve-nin, qui a fait de cet endroit depuis août 2008 un lieu de restauration rapide bien agréable. Il a su préserver le charme des murs en pierres et des poutres apparentes, tout en y apportant la technologie nécessaire à son activité en ma-tière d’hygiène et de conservation. Vous pour-rez emporter vos sandwichs avec vous ou les déguster sur place, à l’intérieur ou dehors, où des tables sont installées devant le magasin pour profiter du soleil. Jérôme Thouvenin est déjà connu des guérandais puisqu’il travaillait auparavant rue Saint-Michel. Aujourd’hui, dans sa sandwicherie, il propose une carte originale qu'il a élaborée et qui recèle quel-ques spécialités. En effet, il fait fabriquer par son boulanger un pain rond spécial que l’on retrouve dans les sandwichs «Mie’diévaux», sandwichs chauds à base de viande hachée ou de poulet et agrémentés, selon vos envies, de tomates, de fromage de chèvre, d’emmental ou

de chorizo pour la version «espagnole» ou en-core de bacon et de pommes de terre pour la version «racle"e». Vous trouverez également des sandwichs «New Generation», les fameux «Américains», les «Paninis», les «Kebabs», ain-si que des sandwichs plus traditionnels. Sou-lignons que tous ces sandwichs sont réalisés à la minute, ce qui leur confère une garantie de fraîcheur. Grâce aux différentes formules, de 4,50 à 8 euros, vous pourrez accompagner vos sandwichs de frites à la fleur de sel de Gué-rande, bien sûr, de desserts et de boissons.Aussi, ne manquez pas de vous arrêter à La Mie’Diévale qui a déjà séduit de nombreux g u é r a n d a i s , dont les com-merçants et les lycéens : vous y serez chaleu-reusement ac-cueillis !La Mie’Diéva-le, 8 bis, rue Vannetaise à Guérande. Tél. 06 83 85 57 80

La Mie’Diévale à Guérande :

le sandwich nouvelle génération !

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BELIER : Vous serez sous les feux de l’amour avec Vénus et Mars dans votre signe, coup de foudre ou a"irance phy-sique irrésistible. Pour certains; décou-verte de la passion, réveil sensuel, pour les couples et tous les autres, un mois qui s’annonce très chaud !

TAUREAU : L’intrusion de mercure dans votre signe pour deux mois pourrait vous donner l’envie de bouger: un voyage en perspective pourrait bien se réaliser. De nouveaux centres d’intérêts ou de nou-velles rencontres pourraient survenir de façon soudaine et imprévue.

GEMEAUX : Vous subirez les doubles carrés de Saturne et d’Uranus surtout le milieu du signe et cela va créer des ten-sions familiales, des remises en question en profondeur, l’heure est au bilan et au changement. Pour d’autres, un grand vi-rage professionnel va s’amorcer.

CANCER : Des risques de tensions voire d’agressivité avec l’opposition de Pluton surtout pour le début du signe; pour les autres tout sera plus facile; vous opte-rez pour la manière douce et serez plus communicatif; plus comba"if dans vos projets.

LION : Le must du mois, le joli trigone que Mars et Vénus vous envoient, vous devez vous a"endre à une nouvelle ren-contre pour les uns, retour d’un ancien amour pour les autres, ou une belle ami-tié amoureuse. Sous une forme ou une autre, l’amour viendra vers vous.

VIERGE : Grosses turbulences cosmi-ques pour certains; vous serez nerveux, angoissé et irrité, mais rien d’insurmonta-ble grâce à un soleil ami en taureau. Vous serez plus disposé et plus souple dans vos relations. Côté forme: un peu de sport ne vous fera pas de mal.

BALANCE : Accrochez-vous, monta-

gnes russes à l’horizon ! La vie de cou-ple ne sera pas de tout repos, la faute à Mars, à Vénus et à Pluton, tous fâchés avec vous, qui joueront les perturbateurs, mais en même temps, certaines prises de conscience seront salutaires.

SCORPION : Un remue-ménage plein de promesses, les dissonances seront nom-breuses, mais loin de vous bloquer, elles vous perme"ront de réfléchir. De nouvel-les orientations commenceront à se des-siner. Avec Mercure en opposition, vous prendrez des initiatives audacieuses.

SAGITTAIRE : L’alliance Vénus-Mars vous promet de l’amour, encore et en-core.... les conditions seront idéales pour séduire qui vous plaira et même sortir le grand jeu. Escapade en amoureux, vous saurez créer les occasions pour vous dis-traire.

CAPRICORNE : Vous serez très combat-tif dans votre vie professionnelle, vous prendrez les choses en main, mais en y me"ant les formes. En amour: jamais là où on l’a"end, le désir, ce mois-ci, sera difficile à cerner. Côté forme: un massa-ge énergétique en institut ou carrément, quelques jours de thalasso.

VERSEAU : Joie et bonheur au program-me, Vénus pourrait déclencher une ren-contre ou marquer une évolution dans une histoire récente. Vous testerez votre pouvoir de séduction. Côté finance: il fau-dra effectuer certains réajustements.

POISSONS : L’effet saturne qui s’oppose à votre signe ne facilitera pas les rencon-tres pour vous ami célibataire; vous aurez tendance à me"re la barre très haut ou à vous abriter dans votre tour d’ivoire. Les couples, quand à eux, peuvent installer une certaine distance dans les rapports, une mise au point s’imposera !.

Thérèse Legendre.

La Fête des mères approche et, chez Této Dé-coration, les femmes sont plus que jamais à l’honneur. Laurent et Pascal ont souhaité

que leur boutique soit une mine d’idées de ca-deaux pour toutes les femmes que l’on aime… Ainsi, on peut découvrir de très jolies vases et toute une ligne de séduisants bijoux. Této Déco-ration propose aussi de magnifiques objets recou-verts de soie, comme des agendas et carnets, des étuis à lunettes, des boites à bijoux. Les nouveau-tés sont nombreuses pour les bijoux, avec des modèles originaux de colliers, sautoirs, bracelets et boucles d’oreilles en pierres semi-précieuses Cela constitue de bien jolis cadeaux que les maris peuvent offrir à leur épouse, ou les enfants à leur maman. Rappelons que la boutique Této Décora-tion a beaucoup changé. En effet, tout en restant très orientée vers l’Asie, elle propose maintenant des gammes de meubles occidentaux, avec des li-gnes de canapés en cuir ou en tissu sur mesure, qui s’adaptent parfaitement à tous les univers. La ligne de tables basses a été sélectionnée dans un esprit zen, avec une approche contemporaine… On retrouve évidemment toujours les ravissants

meubles et objets chinois qui ont fait la renom-mée de Této Décoration.Této Décoration est situé à deux pas du Casino de La Baule, 19 bis, avenue Marie Louise. Tél. 02 40 11 31 34.

Tout le monde le dit : la programmation musicale de Kernews est la plus dynamique et la plus innovante de toute la bande FM. Les succès qui vous ressemblent,

des inédits, des souvenirs des années 80… De 9h à 18h, Eric Delfino, Morgane de Greef et Michaël Pachen vous

proposent le meilleur de la musique !

Les femmes sont à l’honneur

chez Této Décoration

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mai 2009la baule + bonnes adresses 27

Une nouvelle brasserie à découvrir…

Bienvenue à L’Avenue : la nouvelle adresse bauloise

C’est la nouvelle adresse bauloise dont on parle depuis quelques se-

maines : il s'agit de L’Avenue. Elisabeth Jamin a déjà une belle expérience puisqu’elle a développé dans le même es-prit des brasseries renommées en Bretagne. Elle a eu un coup de cœur pour La Baule, mais aussi pour ce"e belle demeu-re de charme, idéalement si-tuée, qui se trouve à deux pas de L’Hôtel Royal et du Casino Barrière. L’établissement a été relooké au début de l’année et, dans sa démarche, Elisabeth a souhaité concilier esthétisme, design et sobriété. L’Avenue, c’est aussi plusieurs ambian-

ces qui se complètent en fonc-tion de nos envies : l’espace brasserie au rez-de-chaussée, le salon à l’étage, l’espace bar, l’espace extérieur chauffé où

se retrouvent les fumeurs tout au long de la soirée… L'objectif de répondre aux at-tentes du plus grand nombre se retrouve dans la carte qui

présente des pizzas (énormes et savoureuses !), des sushis, des poissons et des viandes. Les prix sont raisonnables et L’Avenue propose des formu-les déjeuner ou dîner allant de 15 à 29 euros. Elisabeth connait bien son métier et ses premiers clients ont pu le vérifier. Depuis six ans, elle travaille avec Olivier, chef de cuisine, et ils ont élaboré une carte à la fois traditionnelle et innovante, uniquement à base de produits frais. Une appro-che qui permet de satisfaire les groupes d’amis qui se re-trouvent à L’Avenue: sushis pour les uns, pizzas, poissons ou viandes pour les autres... «J’ai voulu faire de cet établisse-ment un endroit où les gens se sentent bien et puissent parta-ger de bons moments, aussi bien ceux qui recherchent une cuisine traditionnelle et raffinée que ceux qui veulent se faire plaisir dans un esprit brasserie chic.»

Des soirées à thème cet été…

Avec l'arrivée des beaux jours, on a toujours un grand plai-sir à s'installer sur l'une des belles terrasses ensoleillées de l'établissement, notam-ment celle du bar extérieur qui propose chaque jour un cocktail différent. L’Avenue a

aussi une terrasse au premier étage, idéale pour les amou-reux, avec une vue unique sur l’hôtel Royal: «J’ai voulu que cet espace soit réservé aux amoureux !» nous confie Eli-sabeth. Le lieu est intimiste et les tables sont distantes les unes des autres… Un vrai dé-cor de cinéma pour une soi-rée d’été… Au premier étage toujours, le spectacle est per-manent puisque l'on peut suivre la confection en temps réel des sushis dès la prise de commande. Zen a"itude assurée ! Rien n’a été négligé

par L’Avenue, y compris pour la carte des vins qui pro-pose un vaste choix de crus et de vins au verre. Enfin, ce cadre unique est également propice aux soirées à thème et Elisabeth en a déjà plani-fié plusieurs pour la période estivale. L'établissement est ouvert tous les jours jusqu’à minuit. Ici, le mot d’ordre est clair : simplicité, profession-nalisme, prévenance…

L’Avenue se trouve 20 bis avenue Pavie. Tél. 02 40 23 00 00.

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mai 2009 la baule + la recette du mois / jeux28

C ’est à la rencontre de Christophe et de Chantal Bessonier

que nous allons ce mois-ci. Ils tiennent cette mer-veilleuse crêperie située à deux pas de la gare SNCF de La Baule : Le Grenier à Sel. Après avoir tenu une crêperie réputée des Côtes d’Armor, ils se sont instal-

La rece!e du moisChristophe Bessonier, chef du Grenier à Sel, présente la rece!e du

Tartare de Saumon à l’aneth au croustillant au blé noir de Bretagne

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Très beaux volumes pour cette surprenante maison, grand salon, SAM sur cui-sine américaine équipée, 5 chambres dont une au RDC.Jardin avec grande terrasse. Studio indépendant. Ga-rage. Matériaux de qualité, décoration soignée.

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Horizontalement1. Absence de cheveux - Rivière des Alpes françaises.2. Glande génitale - Possessif.3. S'exprimer sans parler - Déforme.4. Parfois fauché - Préparation dont sont enduits les papiers photographiques.5. Parties charnues du corps - Nommé à une fonction.6. Singe de l'Inde - Grande division de la préhistoire.7. Fait d'exploser.8. Ivresse - Embelli.9. Exclamation - (Se) précipiter en masse - Préposition.10. Elles font beaucoup de bruit - Arme.11. Plante à fleurs jaunes - Chaume qui reste sur place après la moisson.12. Crochets - Durent trois mois.

Verticalement1. Indulgent.2. Rame - Immersion dans un milieu.3. (Se) plaindre - Plante vivace malodorante.4. Biographie - Bruit intense.5. Pas authentique - De naissance.6. Double règle - Métis.7. Elles aiment fouiller.8. Boucheries.9. Trompés - Commencée.10. Harceler quelqu'un de demandes inopportunes - Terme de boxe.11. Célébrée avec éclat.12. Marqué par l'âge - Guitounes.

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Mots croisés Solution page 3091,5 FM

lés à La Baule il y a quatre ans par coup de cœur pour la station : «Nous sommes très contents et les baulois sont de plus en plus nombreux à venir déjeuner ou dîner au Grenier à Sel». Ils proposent d’ex-cellentes crêpes et galettes confectionnées avec de la véritable farine de blé noir de Bretagne. Notons aussi

que Le Grenier à Sel est cette année la seule crêperie de La Baule à être recommandée par Le Guide du Routard. Cet établissement propose également des plats variés et des salades : une cuisine sincère, inventive et de qua-lité… Christophe Bessonier nous présente la recette du Tartare de Saumon à l’aneth

au croustillant au blé noir de Bretagne.

Le Grenier à Sel se trouve en face de la gare SNCF de La Baule : 1, avenue Pierre 1er de Serbie. Tél. 02 40 24 14 92.

Ingrédients pour 2 person-nes.Galette de blé noir200 grammes de saumon1 bouquet d’aneth2 cuillères à soupe d’huile d’olive300 grammes de gros sel de GuérandePoivre du moulinTabasco vert ou citronFeuilles de mesclunPréparer le saumonDéposer le filet de saumon sur une plaque. Poivrer et saupoudrer d’aneth haché. Recouvrir de gros sel. Réser-ver au réfrigérateur durant 3 heures.

Préparer le TartareRetirer le gros sel et passer le filet de saumon sous un filet d’eau froide. Puis le dé-couper finement au couteau.

Ajouter le reste d’aneth, les deux cuillères d’huile d’oli-ve, un trait de Tabasco vert.Dresser le Tartare.Découper des petits ronds de 8 centimètres dans la ga-lette. Les passer à la poêle dans du beurre pour les

rendre croustillants. Dresser les croustillants en couches successives avec le Tartare de saumon. Accompagner de quelques feuilles de mes-clun.

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mai 2009la baule + tendances 29

BAR L’apéritif : un mo-ment parfait pour allier détente, vins et petites choses à grignoter comme des rillettes de ma-quereaux maison ou des saucissons d’Auvergne.

Les rillettes sont préparées avec des filets de thon et de maquereaux poivrés choisis par nos soins. Les

saucissons 100% naturels (sans colorants, ni conservateurs, ni arômes artificiels) sont fabriqués par une petite maison familiale située au cœur de l’Auvergne. Parmi un large choix , nous en avons sélectionnés quelques-uns comme les saucis-sons au poivre, aux herbes, au chèvre, à la figue, aux cèpes et évidemment nature. Ces encas accompagnent parfaitement les vins bien frais du 154.

Depuis son ouverture, il y a cinq ans, la Plage 154 apprécie tout particulièrement les rosés. Le Bourgueil « Domaine des Ouches » qui est la référence de l’établissement depuis ces quatre dernières saisons avec des notes de pêche et de fruits exoti-ques (15€). Ce dernier a vu sa famille s’agrandir pour cette nouvelle année avec quatre petits nouveaux. Le premier est un Gris des Sables du Golfe du Lion « Domaine le Pive », c’est un vin aux arômes de fruits exotiques et de fleurs (15€). Le second est un Côte de Provence « Château Saint Julien D’Aille » aux notes de fleurs blanches et d’agrumes (17€). Le troisième est un Tavel du « Domaine la Forcadière » au caractère fruité et épicé (18€). Le dernier est un Bandol « Les Restanques du Moulin » aux arômes de réglisse et de framboise (19€).

Pour finir, Alexandre et Julie remercient tout particulièrement Laurent, Éric et Bernard pour leurs précieux conseils.

130 Bld des Océanides (sur la plage)44380 PORNICHETRéservation : 02 40 61 86 99

CRÊPERIE - MOULES

les scandales se multiplient sur certains sites de vente en ligne où peuvent être diffu-sés des produits de contre-façon. Derrière ce"e éthique et ce"e volonté d’apporter le service le plus qualitatif, on découvre une personnalité a"achante. D'ailleurs, tout le monde connaît déjà Cathy dans son quartier et son stock de départ a été réalisé grâce à ses connaissances. Cathy a ouvert ce magasin par pas-sion : «Je suis une fashion-vic-tim née !» Addiction qu’elle doit partager avec de nom-breuses bauloises et c’est sans doute la raison pour laquelle son magasin est fréquenté par une clientèle assidue, de tous les âges… Cathy a été visi-teuse médicale pendant vingt ans et elle a travaillé sur toute la France, ce qui explique que l’on trouve dans sa boutique des articles en provenance de Lille, Bordeaux, Aix en Provence ou Paris… C’est parce qu’elle est elle-même coutumière des dépôts vente qu’elle a voulu importer ce concept sur la presqu’île. Les prix sont toujours «légers» dit-elle avec humour. Cha-que pièce est unique et le stock évolue en permanence. Il est donc conseillé de passer régulièrement pour dénicher des bonnes affaires.

Les hommes et les enfants sont aussi

les bienvenus…

De Vous à Moi se positionne comme un dépôt-vente de belles et de grandes marques et d’articles vintage du Grand Ouest. Actuellement, 90% du stock sont constitués d’arti-cles pour femmes, mais Cathy compte l’élargir aux vêtements pour hommes et pour enfants, ainsi qu'aux objets de décora-tion. C’est l'offre qui va progres-sivement créer la demande… Le message est lancé ! Cathy ne manque pas d’idées et elle pré-pare un site Internet qui réfé-rencera les articles de luxe dis-ponibles dans le magasin. On pourra réserver ou comman-der sur Internet, avec la certi-

Un concept qui séduit de plus en plus de citadines…

De Vous à Moi : le premier dépôt-vente d’articles de

belles marques ouvre à La Baule…

Surtout, gardez votre personnalité !« Modeuse », « in », « hype », « fashionista » ? Vous vous reconnaissez ? Vous vous demandez de quoi je parle ? Mais du vaste sujet qu’est la mode ! La mode c’est comme la chanson, « ça s’en va et ça revient », alors pas de panique ce qui est démodé pour les uns passe pour ultra-tendance pour les autres. Chemise à carreaux, veste à franges, pantalon vert, stile"os, est-ce qu’on doit tout porter en même temps ou seul un accessoire suffit pour être à la mode ? Chaque mois les magazines de mode nous indiquent le look tendance, la couleur tendance mais à moins d’avoir le dressing de Kate Moss ou de Sarah Jessica Parker, il semble difficile de suivre tous ces conseils. En même temps, trop de mode tue la mode et il vaut mieux faire a"ention car la faute de goût est vite arrivée et le pire serait d’avoir l’air déguisée !Une seule chose est importante, trouver son style. Je m’adresse à vous, Mesdames mais ces Mes-sieurs sont aussi concernés. Le pantalon slim, la repe"o « zizi » (Jeanmaire biensûr), la mèche sur l’œil et les lune"es d’Ugly Be"y c’est looké jusqu’à 18 ans, passée la trentaine, c’est carrément grotesque. La mode, c’est comme la peinture, tout est dans la nuance. Alors surtout, gardez votre personnalité, faites confiance à ceux dont c’est le métier et n’oubliez pas, « soyez heureux ! ». Véronique Dromer.

Dans la boutique Linéa Roma, la qualité prime avant tout. Ce magasin de chaussures pour hommes et femmes a sélectionné pour vous plus de 20 marques françaises, italien-nes et espagnoles, toutes réputées pour leur savoir-faire et leurs lignes originales. Vous trouverez notamment Mura"i, Bastiani, Ro-semétal, Myma et Alexandria pour les fem-mes, Windport, Christian Pellet, Exagone et bientôt Monderer pour les hommes. Classi-que ou tendance, vous serez séduits par le large choix de chaussures et d’accessoires proposé par Linéa Roma.

Linéa Roma – 106, av. de Gaulle à La Baule.Tel. : 02.40.60.77.21Linéa Roma – 13 bis, rue du Maréchal Foch à Pornic.Tel. : 02.51.74.10.82

A ne pas oublier dans votre circuit shop-ping : il s'agit de la

boutique dont tout le monde parle depuis le mois dernier à La Baule : De Vous à Moi… Il n’y avait pas de dépôt-vente d’articles de grandes marques dans la région et Cathy Chabellard a eu l’idée de se lancer dans ce concept très apprécié des citadi-nes. Le principe est connu: vous pouvez acquérir des vêtements et des articles de mode qui auront été déposés par d’autres personnes… ou me"re en dépôt vos propres vêtements et accessoires… On peut le faire en toute confiance car Cathy est une femme exigeante et très pointilleuse sur la qualité, l’éthique et la propreté des articles déposés. Ainsi, «l’éti-que!e du pressing est appré-ciée», ainsi que «les housses et les boites pour les chaussures et les sacs siglés» souligne-t-elle. Elle précise qu’elle n'accepte en dépôt que des articles en excellent état qui ont été peu ou pas du tout portés. En effet, outre des occasions en parfait état, on trouve aussi des articles neufs qui ont été offerts en cadeau et qui ne plaisent pas, ou qui font double emploi dans une gar-de-robe…

Les clients sont donc certains de dénicher des produits im-peccables et de belles mar-ques. Car, outre l'hygiène, Cathy ne transige pas sur la provenance des articles de marque : «Je garantis l’authen-ticité de l’origine des produits siglés». Elle est en effet très vigilante et, au moindre doute, elle fait procéder à une expertise du produit. Ainsi, pour acheter des arti-cles de marque, rien ne rem-placera le magasin physique face à l’Internet, alors que

tude que chaque produit aura été décortiqué par l’œil expert de Cathy. Le concept connait un grand succès dans les gran-des villes où les citadines sont heureuses d'avoir accès à des collections devenues introuva-bles... Venez faire un tour, vous ferez la connaissance de Cathy et vous a"raperez vite le virus du dépôt-vente ! Vendez, ache-tez… et donnez un nouveau souffle à vos envies avec des grandes marques comme Cha-nel, Dior, Longchamp, Louis Vui"on, Zapa, Gérard Darel, Laurel, Max Mara, IKKS, Bur-berry, Marithé & F. Girbaud, Lola, Paule Ka…

De Vous à Moi se trouve 70 avenue du Maréchal Joffre (place de la Victoire) à La Baule. Tél. 02 40 15 48 08.

Page 30: la baulelabauleplus.fr/pdf/2009/mai2009/files/assets/... · Olivier Lejeune est l’un des humoristes les plus brillants de sa génération et le public ne s'y trompe pas car ses

La Baule+ est disponible à la mairie de La Baule et la mairie annexe d’Escoublac

Dans la zone de Prad Velin, au cœur des marais salants. Tél: 02 40 23 80 03. Grand choix de livres d’occasions.

Le Havane. 4, esplanade François André. Tél: 02 40 60 28 21. Cadeaux. Le Havane est une carterie qui se trouve dans la galerie du Casino.

Le Havane

Le Balzac, 2, place du Vieux-Marché. Tél: 02 40 42 97 46. L’équipe du Balzac vous accueille toute l’année dans son patio d’hiver, terrasse l’été. Restaurant traditionnel.

La Croise"e. 31, place Leclerc. Tél: 02 40 60 73 00. Une brasserie incontournable à La Baule. On s’y retrouve en famille ou entre amis. Un choix important de carpaccios et de tartares, une note asiatique avec sushis et woks, également huîtres et poissons...

Où vous procurer La Baule+ chaque mois ?

Deux distributeurs à journaux sont à votre disposition dans l’enceinte de la gare

SNCF de La Baule Escoublac.

Depuis 1990 à La Baule, Chatellier, c’est pour vous le royaume du 100% «fait maison» concernant la pâtisserie, les chocolats, les glaces, la boulangerie et la viennoiserie… 3 adresses. 102, avenue de Gaulle. Tél: 02 40 60 24 26. Galerie du Casino de La Baule. Tél: 02 40 60 92 81. 38, ave Lajarrige. Tél: 02 40 60 24 26

Boulangerie Pâtisserie Delestre : Pain de tradition Française issu de farine «Label Rouge», «La Baga-telle» Chocolats et glaces maison. Spécialités bretonnes.

Boulangerie Delestre

Boulangerie Airaud. 7, rue du Bois. Tél: 02 40 42 31 56. Boulangerie Patisserie Chocolatier Glacier. Les spécialités sont La Pascale"e et L’Armoricain. Horaires : 6h45-19h30.

Boulangerie Airaud

Le Pouliguen

3, rue Saint-Michel. Tél: 02 40 24 93 82. La boulangerie où l’on peut trouver la fameuse Bane!e !

La Baule

Le Khédive29, avenue du Général de Gaulle. Tél: 02 40 60 20 94.

Hôtel Astrolabe (2*), 106, avenue de La"re de Tassigny. Tél: 02 40 60 21 75. A 200 mètres de la plage. Equipement ADSL.

Boulangerie Pâtisserie Glacier - Choco-latier. Spécialités bretonnes: Far - Koui-gn Amann - Pains Spéciaux - Farine de tradition - Confiserie - Caramels au beurre salé - Les galets du Croisic Face au grand parking. Tél: 02 40 23 00 10.

31, ave des Ibis. Petite restauration, sandwicherie, friterie.

L’Ecailleur, bar à huîtres, avenue des Ibis (près du marché). Tél: 02 40 60 87 94. Le plateau d’huîtres ou de fruits de mer devant un verre de vin blanc est devenu un passage obligé à La Baule.

Hôtel**** de 207 chambres dont 12 suites, accès direct à la plage. Deux restaurants dont une brasserie de la mer, l’Eden Beach. Tél. 02 40 11 46 46

Hôtel 4 étoiles, Relais & Châteaux, niché face à la mer, dans un parc aux arbres centenaires. Restaurant gastronomique. Tél : 02.40.11.48.38

Un des plus beaux tennis de la côte atlantique avec ses 29 courts dont 24 en terre ba"ue. Tél : 02.40.11.46.26

Hôtel **** de 97 chambres dont 6 suites. 2 restaurants : « La Rotonde », cuisine traditionnelle de produits du marché avec terrasse ; « Le Royal-Diet », cuisine naturelle aux calories contrôlées avec vues sur parc et sur la mer. Tél : 02.40.11.48.48

Situé à 6 kilomètres du bord de mer, au cœur du Parc Naturel Régional de Brière, un complexe golfique de 45 trous sur 3 parcours. Tél : 02.40.60.46.18

Le Skipper Café, place de l’Hôtel (face à la mairie). Tél: 02 40 42 54 39. Le Skipper Café est un bar situé au bourg de Mesquer. Une adresse à retenir car des sessions irlandaises sont organisées à partir de 21h30 le second vendredi de chaque mois.

Le Skipper Café

La Bague"e Magique, 9, place de l’Eglise. Tél: 02 40 15 57 30. Une vraie bague"e de campagne et spé-cialités bretonnes. Ouverture: 7h30-13h /15h-19h30. Fermé le mercredi

Boulangerie Pâtisserie La Baguette Magique

JadeJade, 42, avenue Lajarrige. Tél. 02 40 17 65 14. L’adresse sportswear chic. Vêtements pour femmes, parfums, cadeaux... Marques: Victoire, Equipment, Hartford, Comptoir Sud Pacifique...

La GwenaëlleBoulangerie bretonne, 35, ave Henri Bertho (Escoublac). Tél. 02 40 60 28 14. Pain de tradition, pâtisseries, produits régionaux...

Lieu idéal de détente et de remise en forme. Tél : 02.40.11.99.99

Deux distributeurs à journaux sont à votre disposition dans l’enceinte du cinéma Le Gulf Stream.

Le Gulf Stream

Guérande

La Turballe

Piriac sur Mer

Le Croisic

Mesquer - Quimiac

Pornichet

La Baule + à l’entrée de l’Espace Culturel E.Leclerc

Asserac

Boulangerie – Pâtisserie Thierry Caba, rue de la Poste. Spécialités: Far breton, Kouign Amann, bague"e à l’ancienne… Ouverture tous les jours. Tél. 02 40 01 71 04.

Boulangerie Thierry Caba

Herbignac

Boulangerie – Pâtisserie chez Yves et Dédée, ouverture tous les jours de 7h à 19h30. Pain au levain, baguette de tradition, pain Saunier, pain des trois rivières...4, rue Saint Cyr. Tél. 02 40 88 93 91.

Boulangerie Y. Monnier

Résidence du GolfeAvenue de la Plage.

Côte OuestPetite restauration, Salon de thé, vente de thé. Galerie du Casino - 1er étage. Tél; 02 40 17 30 96. Ouverture:9h30-19h.

Cordonnerie, clés minute, gravure, tampons, affûtage, plastification, imprimerie, immatriculation... Galerie marchande Champion - Route de Guérande. Tél. 02 40 24 43 15

Ba(-sur-Mer

Boulangerie Stéphane Boucher

Boulangerie - Pâtisserie Stéphane Bou-cher, prés de La Poste du Croisic. Tél. 02 40 23 02 06. Ouverture: 7h-19h30

Hôtel**** de 119 chambres dont 88 suites au coeur du Golf International Barrière La Baule. Restaurant proposant un cuisine «gourmande et légère».

Christophe RousselChristophe Roussel, artisan, chocolatier, pâtissier. 6, allée des Camélias. Tél. 02 40 60 65 04

Café BouilluSaison II22, place du Maréchal Leclerc. Tél. 02 40 23 14 14

Barapom, 2, quai Jules Sandeau, Le Pouliguen.

Garage Blanchard VincentStation service : 7 jours sur 7 - Mécanique toutes marques. 14 ave de La"re de Tassigny. Tél. 02 40 60 07 33

Un distributeur se trouve à l’entrée de la mairie de Guérande

Un distributeur est à votre disposition dans l’enceinte de la gare SNCF du Pouliguen.

Antiquités - Brocante, 8 bis, ave de La"re de Tassigny. Tél. 02 40 11 95 53

La Baule Auction

2000 SERVICES

Station Total

Serrurerie - Clés minute. Ouverture: 9h-12 et 14h-19h. Fermeture samedi après midi et lundi matin. 78, ave du Gal de Gaulle. Tél: 02 40 61 22 04.

Entretien toutes marques - Mécanique - Pneumatique. 1, bd de la République. Tél: 02 40 61 00 36.

La Génoise

St André des Eaux

Station Brière Océan - 6, rue de l’Océan. Tél: 02 40 01 20 45

TOTAL

AtlantiaCentre culturel et de congrès - 119, ave de La"re de Tassigny. Tél: 02 40 11 51 51 - Infos: 02 40 11 51 62

La Madeleine

Supérette. Ouverture: 8h-19h30, sauf dimanche après-midi. Tél. 02 40 61 92 23.

Votre MarchéLe SkipperBar brasserie avec panorama sur le port de plaisance. Petits déjeu-ners - Frites - Sandwiches. 1, quai Hervé Rielle. Tél. 02 40 62 91 89

La Baule+ est disponible dans le hall de la gare SNCF

Bouquinerie Café

SPAR Marché8, grande Rue. Tél. 02 40 42 31 41

Hôtel Le Saint PierreHôtel 2* à 200 m de la plage. 124 ave de La"re de Tassigny. Tél. 02 40 24 05 41

Aérodrome de La Baule. Tél. 02 40 60 41 80

Le Jazz Volant

Arts de la table. Galerie La Pergola, 136, ave de Gaulle. Tél. 02 40 23 46 24.

La Table

Bar - PMU - 4, place du Garnal. Tél. 02 40 23 83 06

Café de la Tour

Hôtel Astrolabe 145, ave De la"re de Tassigny. Tél. 02 40 60 29 30.

Villa Cap d’Ail

Hôtel 3* - 7, ave des Impairs. Tél. 02 40 60 30 25

Britanny Hôtel

277 av Mar de La"re de Tassigny. Tél. 02 51 75 07 10

Hôtel des Dunes

Vente à emporter. 23, ave Lajarrige. Commandes au 02 40 60 83 24.

Pizza’ Nini

Le Vieux LogisGrillades au feu de bois. Guérande intra muros. 1, place de la Psalette. Tél. 02 40 62 09 73. Référencé au Gault&Millau pour la qualité de ses viandes.

123 ave. de Gaulle. Tél. 02 40 00 63 54

La Mie Câline

Le Bateau IvreCrêperie - Dégustation. 6, quai Jules Sandeau. Tél. 02 40 42 31 52

Hôtel Restaurant Le Paris138, ave des OndinesTél. 02 40 70 09 01

A L’EVIDENCEMeubles et décoration - 235 avenue de La"re de Tassigny. Tél. 02 40 11 03 54

Agence Guy HoquetAgence immobilière - 12 bd des Océanides. Tél. 02 40 61 18 50

La Maison d’ElhoïseCadeaux - Linge de maison - Accessoi-res de table - Epicerie fine. 2, quai Hervé Rielle. Tél. 02 40 23 28 64

La Mère MichelCrêperie, Paninis, galettes, gaufres. 33, rue Saint Michel. Tél. 02 40 19 67 60

ParisCafé du Coin

Brasserie, 27, rue d’Anjou, 75008. Tél 01 42 65 07 73

CavavinCaviste - «Le Bon Conseil» - 156, ave du Général de Gaulle. Tél. 02 40 01 02 93

Chatellier

Cadeaux - Articles pour fumeurs. 313, ave de La"re de Tassigny. Tél. 02 40 24 23 70. www.laregence.fr

La Régence

Chez L’Ecailleur

La Baule Tennis Club31 courts, dont 22 en terre ba"ue.Le Sporting, 45 av. de L’Etoile. Tél. 02 40 60 28 73Le Garden, 2, av. Gabrielle. Tél. 02 40 60 21 00

VivalSupére"e du Guézy. Av. du Parc Lassale (Face à la Maison du Guézy) Tél. 02 40 15 58 94

L’adresse mode des 0-16 ans. 12, ave Lajarrige. Tél. 02 40 17 65 37

Paco et Luna

Chez M. CochonUn «bouchon breton» en Brière... Restaurant, boulevard de Brière.

Le SunsetTable gourmande sur la plage de Pornichet. Tél. 02 40 61 29 29.

A l’Art CaninUn présentoir se trouve devant le salon de toile"age pour chiens. Tél. 02 28 54 96 71.

A La Boule de Pain2, rue Vannetaise. Tél. 02 40 24 91 0610, bd du Midi. Tél. 02 40 24 88 81.Résidence Saint-Aubin. Tél. 02 40 62 11 71

Au Croissant Doré

SPARPlace du Dauphin (près de la gare SNCF). Tél. 02 40 61 10 34

Manège des PlatanesVivez à Cheval à la Baule - Allée Antoine Louis - Tél. 02 40 60 37 37.

33 chambres – 1 piscine couverte 22 avenue Georges Clémenceau Tél. 02 40 60 23 29

Hôtel Le Marini

Fleuriste – Créateur d’Ambiance – Décoration d’intérieur - Ouvert 7j/7123 av Ondines - Tél. 02 40 15 33 40

L’Oli Fleurs

Style Coiffure LydiaForum des Océanes -Bld des Océanides - 02 40 61 59 12 - Ouvert tous les jours

2 rue du Vieux Moulin. Tél. 02 40 23 56 92 - Ouvert 7 j / 7

PoulpiketsAire de jeux couverte pour enfants. Derrière l’Intermarché du Pouliguen. Tél. 02 40 15 53 87

9, allée des Tamaris. Tél. 02 40 60 10 59

Catherine Coiffure

Terre de SelRoute des marais salants - Pradel . Tél : 02 40 62 08 80 . www.terredesel.fr

La Croisette

Restaurant sur le sable de la plage Benoît. Avenue du Jardin Public. Tél. 02 40 60 71 68.

Season’S

Brûlerie des Halles3 place des halles. Tél. 02 40 61 21 38 - Torréfaction.

Au Bonheur des Chiens4 bd Gal de Gaulle. Tél. 02 40 42 37 48 - Toile"age et accessoires pour chiens

20 bd de l’Atlantique. Tél. 02 40 66 38 34

L’AP’AiraudGrenier à Pain

303, ave. du Maréchal de La"re de Tassigny. Tél. 02 40 60 28 82.

Régent - Grain de FolieHôtel Restaurant - 150 bd Océanides - 02 40 61 04 04

Créperie - 516 av Plage - Quimiac Tél. 02 40 42 51 58

L’Amphore

Boucherie - Charcuterie. Spécialités de rille"es et de boudin. 9, rue de l’Eglise au Pouliguen. Tél. 02 40 42 31 76

La Sarthoise

Grill - Rôtisserie - Place du marché. Tél. 02 40 60 00 00.

Le Billot

Produits de la Gamme Bane"e cuis-son au four à bois - 199 ave de La"re de Tassigny - Tél 02 40 60 27 28

Au Plaisir du Pain

St MolfRêve Immobilier

Agence Immobilière - 33 rue de la Duchesse Anne - Tél. 02 40 61 67 21

Le Pourquoi Pas ?Bar, 33, ave des ibis. Tél. 02 40 24 13 57.

Traiteur - Place du marché – 44 ave des Ibis. Tél. 02 40 60 48 09

Coiffure AU 88 rue de la plage. Tél. 02 40 42 31 87

Restaurant : 28 r Golf – côte Sauvage - Tél. 02 40 23 92 12. Fruits de mer- poissons viandes - Superbes vue panoramique terrasse & salle - Possi-bilité groupe.

La Roche-Mathieu

Les Chais St FrançoisZac de Villejames place Kerhillier. Tél. 02 40 70 95 10

La Tête de l’ArtManoir Porte Calon - Fbg St Michel. Tél. 02 40 88 53 40.

Bar - Brasserie - Hôtel - Restaurant. 2, ave. Pierre 1er de Serbie. Tél. 02 40 60 29 82.

Le Coralli

La Cabane à huîtresPort de Kercabellec. Tél. 06 62 87 60 68 - Huîtres, brunchs le dimanche, Poissons, Moules frites, Fruits de mer

Le Cosy19 rue St Michel - Tél .02 40 42 98 96Crêperie – Restaurant – Bar – Glacier

Déco West21 route de la gare. Tél. 02 40 22 37 18 - Décoration – Poterie – Fer forgé

Les Sens ö NaturelInstitut de beauté, 3 Bld des Anciens. Tél. 02 40 45 74 30

La Cabane à JulesLeniphen - Tél. 02 40 88 78 24Restaurant

Le Bouchon Lyonnais22 avenue Liantwi" Major - Tél. 02 40 42 30 71

La Baule + est édité par la SARL La Baule Plus, 3, avenue Monchicourt, 44500, La Baule.

Téléphone : 02 40 60 77 41 Télécopie : 02 40 24 58 86

Courriel : [email protected] au capital de 2.000,00 €

RCS ST NAZAIRE : 452 575 285 - APE : 221EImpression :

Roto Press Numeris, 93190, Livry Gargan. Tirage : 35 000 exemplaires.

Directrice de la publication : Fabienne Brasseur Rédacteur en chef : Yannick Urrien

ISSN : 1767-6150 Depôt légal à parution.

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Max Bertrand est devenu papa au moment où il devait rédiger sa chronique mensuelle… Vous le retrouverez le mois prochain et nous lui adressons toutes nos félicitations, ainsi qu’à son épouse.

Dimanche 3 maiGUERANDE : VIDE-GRENIERS - Rues du Village de Queniquen, commune de Guérande - 9h-18h - Extérieur - Entrée gratuite - Tel : 02.51.73.92.07 - 100 exp. (Particuliers + Habitants) RESTAURA-TION SUR PLACE - ORG: ASSOCIA-TION "COULEURS COTEAU"

LA TURBALLE - VIDE-GRENIERS - Centre Ville - 9h-18h - Extérieur - Entrée gratuite Tel : 02.40.11.78.69 - 100 exp. (Particuliers) - ORG: "O.G.E.C" ECOLE SAINTE ANNE

Vendredi 8 maiPIRIAC SUR MER (12km de Guérande) VIDE-GRENIERS - Jardins de l'Ecole No-tre-Dame du Rosaire - 9h-18h - Extérieur - Entrée gratuite - Tel : 06.73.66.43.30 - 55 exp. (Particuliers + Habitants) - ORG: "A . P . E . L" DE L'ECOLE NOTRE-DAME DU ROSAIRE

SAINT MALO DE GUERSAC : VI-DE-GRENIERS - Centre Bourg - 9h-18h30 - Extérieur - Entrée gratuite - Tel : 02.40.91.18.46 - 80 exp. (Professionnels + Particuliers + Habitants) - ORG: "AMI-

CALE LAÏQUE"

Samedi 9 maiLA BAULE ESCOUBLAC1ER VIDE-GRENIERS - Avenue Ray-mond Colas et Place de Hombourg à Escoublac - 8h-18h - Extérieur - Entrée gratuite Tel : 09.51.89.60.94 - 120 exp. (Particuliers + Habitants) - ORG: ASSO-CIATION "GYM VOLONTAIRE"

PIRIAC SUR MER : "MINI BROC" réservée aux enfants - Place de l'Eglise - 14h-18h - Extérieur - Entrée gratuite Tel : 06.84.99.16.52 - 40 exp. (Particuliers + Habitants) - ORG: "A.J.F.P" ASSOCIA-TION DES JEUNES FOYERS PIRIA-CAIS

Dimanche 10 maiLA BAULE : VIDE-GRENIERS - Pla-ce de la Victoire - 9h-19h - Extérieur - Entrée gratuite - Tel : 02.40.61.43.24 - 06.87.10.44.86 - 02.40.24.03.28 - 80 exp. (Particuliers + Habitants) - ORG: "RO-TARY CLUB DE LA BAULE"

Dimanche 17 maiSAINT ANDRE DES EAUX : VIDE-

GRENIERS - Place de l'Église - 9h-18h - Extérieur - Entrée gratuite - Tel : 06.70.31.14.45 - 02.40.91.53.53 - 100 exp. (Particuliers + Habitants) - ORG: "SAINT ANDRE BASKET CLUB"

SAINT JOACHIM : 8èME.VIDE-GRE-NIERS - Base de Loisirs de Brécun - 10h-18h - Extérieur - Entrée gratuite Tel : 02.40.91.66.41 - 80 exp. (Particuliers + Habitants) - ORG: "AMICALE LAÎ-QUE"

Jeudi 21 maiPORNICHET : VIDE-GRENIERS DU SECOURS POPULAIRE - Parking Pre-vert - Rue des Ecoles - 9h-19h - Extérieur - Entrée gratuite - Tel : 02.40.15.42.89 - 100 exp. (Particuliers + Habitants) - ORG: "SECOURS POPULAIRE FRAN-CAIS" ET "POINT JEUNES"

Dimanche 31 maiLE POULIGUEN : MARCHE à LA BROCANTE - Promenade de la Mer - 9h-18h - Extérieur - Entrée gratuite Tel : 02.40.73.24.95 - 02.40.15.18.98 - Fax: 02.40.73.55.23 - 45 exp. (Professionnels) - ORG: "A.B.A.L.A"

ANTIQUITES BROCANTESSolution des mots croisés

Page 31: la baulelabauleplus.fr/pdf/2009/mai2009/files/assets/... · Olivier Lejeune est l’un des humoristes les plus brillants de sa génération et le public ne s'y trompe pas car ses

mai 2009la baule + bien-être 31

Les Nouveautés Gourmandes

du Relais & Châteaux Castel Marie-Louise ...

Eric Mignard, Chef Etoilé, vous propose de découvrir ses nouvelles créations de Printemps autour du Menu Mer et Nature.

Menu Mer et Nature

Deux huîtres GillardeauRafraîchies en granité à l’anis et citron vert,

écume de fenouil et ananase

Le Pigeonneau de MesquerCuit au foie gras, rosé très tendre, amande et shiso,

chutney de fruits, sorbet roquettee

Lotte au Safran de la ferme de Taliouine, petit oignon,feuille de sucrine au «caviar de hareng»

e

Les Fromages frais et a&nése

Le Plaisir sucréMacaron pralin, sablé aux pignons de pin,

vanille glacée de Tahiti

65 € - Prix net, hors boissons

Pensez à réserver votre prochaine Rencontre Gastronomique :SOIRÉE CHAMPAGNE

le vendredi 5 juin 2009 à partir de 20 h120 € par personne, boissons comprises - Dîner en Table d’hôtes

Réservationsau 02 40 11 48 38

Face à la mer près du Casino Barrière de La Baule.

Parking privé à disposition

Il y a deux mots que l’on prononce tout au long de sa vie à destination de ceux

que l’on aime : «Bonne nuit…» Encore faut-il avoir une bon-ne literie pour que la nuit soit agréable ! C'est au Magasin de la Literie, situé dans la zone commerciale de Trignac, que nous avons rencontré Michelle Marquet pour lui demander quelques conseils dans ce domaine. L'enseigne est une référence puisqu'elle s'est spécialisée depuis 22 ans dans le domaine de la literie, mais aussi dans tout ce qui concerne l'univers de la cham-bre. Les a"entes ont beaucoup évolué au cours de ces derniè-res années et tout le monde a pris conscience de la nécessité d'avoir une bonne literie, car il faut rappeler que l'on passe quand même un bon tiers de sa vie au lit ! Il y a d'abord la qualité et la technique, mais aussi l'habillage de la literie qui doit s'adapter à l'ambian-ce de la chambre. Celle-ci de-vient de plus en plus un espa-ce dépouillé. Dans la région, la notion de gain de place n'est pas neutre, notamment pour les résidences secondai-res. Au fur et à mesure qu'ont progressé les recherches sur

le sommeil, certaines idées reçues ont été contredites. Par exemple, comme le souligne Michelle Marquet, «il y a vingt ans, on pensait qu'il fallait un matelas très dur, aujourd’hui c’est dépassé ! Il faut de la fer-meté dans le fond, mais de la douceur dans l’accueil…On doit être décontracté au moment où l’on se couche et le temps de l’en-dormissement doit être relative-ment court, sinon cela veut dire que l’on est gêné, on se retourne et on ne s’endort pas…» Alors, quelle est la literie idéale ? En spécialiste, Michelle Marquet souligne qu'il est impossible de répondre globalement à ce"e question : «Cela dépend de l’âge de la personne, de son poids, de son caractère, mais aussi de son intérieur… Les paramètres sont nombreux !» Finalement, «la bonne literie, c’est celle qui va convenir à la personne qui vient l’acheter et il faut absolument la tester. Lorsque nous observons quelqu’un allongé sur une lite-rie, on voit tout de suite si cela lui convient ou non !» Sachant que l'on passe en moyenne huit heures par jour dans son lit, autant ne pas se tromper… Pourtant, on a parfois tendan-ce à s’habituer à un certain in-confort et c'est pourquoi il est

indispensable de changer de literie régulièrement : «C’est une évidence de ne pas aller au-delà de dix ans car un matelas se tasse… Tout s’use, c’est comme les pneus d’une voiture que l’on doit changer !» Paradoxale-ment, on ne s'en rend pas toujours compte. Cependant, certains signes sont révéla-teurs, «notamment quand on se lève avec des courbatures ou des tensions du dos… Cela veut bien dire qu’il y a quelque chose qui ne va pas, surtout si l’on se réveille le matin avec la sensation de ne pas être reposé…» Qui n'a pas connu cela ? Finalement, c'est un peu comme une paire de chaussures, il faut prendre le temps d'essayer des literies différentes, ne pas simple-ment fonctionner au coup de cœur, et surtout se faire conseiller par un spécialiste. Tel est le concept du Magasin de la Literie qui propose un très large choix en offrant un conseil précis et personnalisé en fonction des a"entes de chaque client, que ce soit pour une résidence principale ou secondaire.

Les nouvelles tendances en matière de literie…

Toutes les nouvelles tendan-ces en matière de literie sont disponibles au Magasin de la Literie. Les évolutions ont été importantes au cours de ces dernières années grâce aux progrès de la science et sur-tout à une meilleure connais-sance des mécanismes du sommeil. Michelle Marquet nous présente trois marques très haut de gamme. D’abord, il y a Tempur : l’établissement

dispose même d’une cabine spécifique pour perme"re d'essayer ces matelas. En effet, «les matelas et oreillers Tempur représentent une avancée techno-logique considérable dans le do-maine du confort de sommeil. Les exceptionnelles propriétés d'allè-gement de la pression du mate-las et de l'oreiller favorisent non seulement une nuit de sommeil paisible, mais contribuent égale-ment à soulager les problèmes de dos, de cou, de circulation et d'ar-ticulations endolories». Ensuite, on trouve la marque La"oflex: «Ce!e marque a révolutionné en 1957 le monde de la literie en in-ventant le sommier à la!es. La!o-flex a poursuivi la recherche fon-damentale en collaboration avec le monde médical, afin d'obtenir un confort du sommeil plus sain et de meilleure qualité, devenant ainsi la marque de référence pour l'innovation dans le confort et l'ergonomie du sommeil. Avec le système Winx, La!oflex introduit la notion de technologie du som-meil individualisé, offrant pour la première fois au corps un soutien en trois dimensions : largeur, lon-gueur et profondeur. Cela permet naturellement d'obtenir une bon-

Découvrez les nouvelles tendances en matière de literie…

Le Magasin de la Literie : les meilleures marques

pour de douces nuits…ne position allongée, une position correcte de la colonne vertébrale et un confort optimal du som-meil.» Enfin, on trouve la mar-que suisse Robustaflex : «Elle développe toute une gamme de produits bio et naturels. Cela fait 19 ans que nous les représentons dans la région ! Nous avons du la-tex naturel, du crin de cheval, de la laine, de la soie, du soja… Ce ne sont que des matières naturelles». L’offre du Magasin de la Li-terie est très large, le stock est important pour une livraison rapide, gratuitement dans la région, mais aussi dans toute la France. Michelle Marquet

saura conseiller les lecteurs de La Baule+ très précisément en fonction de leurs besoins.

Le Magasin de la Literie se trouve dans la zone commerciale de Trignac à Saint-Nazaire. Tél. 02 40 90 15 07.

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