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Ce titre provocateur utilisé par un chroniqueur de la revue Trends in Parasitology (Schetters T. 2001 ; 17 ; 10468) faisait référence à des travaux récents ayant étudié l’impact de la toxoplasmose sur le compor- tement animal et humain (Webster JP et al. Microbes & Infection 2001 ; 3 : 1037-45). En effet, la localisation chronique de kystes toxoplasmiques dans le cerveau pourrait ne pas être si anodine que cela. Des travaux expérimentaux chez le rat et la souris ont montré que les animaux parasités étaient plus curieux et avaient une activité explo- ratrice plus élevée que les animaux non infectés. La “néophobie” légendaire des rats était considé- rablement diminuée chez les rats infectés, rendant leur capture plus facile. De plus, les rats, constitu- tionnellement repoussés par l’odeur de l’urine des chats, voyaient cette répugnance disparaître quand ils étaient parasités. L’infection des rats facilite donc leur prédation, et permet le passage et la multipli- cation du parasite chez le chat. Il était alors tentant d’analyser l’éventuelle influence de ce parasite sur le comportement humain… D’après quelques études contrôlées, les QI d’enfants infectés étaient inférieurs à ceux d’enfants non infectés. Des tests psychométriques ont montré que les hommes para- sités étaient moins respectueux des conventions sociales, plus dogmatiques et jaloux, alors que les femmes infectées étaient plus chaleureuses, plus posées et plus consciencieuses. Un fort sentiment de culpabilité était également noté dans les deux sexes. Les mécanismes physiopathologiques induisant ces différences sont très spéculatifs, mais la présence de kystes dans le cerveau pourrait induire la sécrétion locale de cytokines perturbant la synthèse de neuro- médiateurs (dopamine…). La toxoplasmose pour- rait-elle expliquer des différences de comportement entre les populations des pays anglo-saxons à basse séroprévalence et celles des pays latins à haute pré- valence ? Le toxoplasme serait-il, au même titre qu’Aliénor d’Aquitaine, un facteur déclenchant de la guerre de Cent Ans ? Autant d’interrogations aux- quelles il n’est pas facile de répondre. J. Dupouy-Camet, Paris Les données concernant les effets des inhibiteurs de protéase (IP) sur la mortalité des enfants et ado- lescents sont limitées à ce jour. La cohorte présen- tée par S.L. Gortmaker et al. (N Engl J Med 2001 ; 345 : 1522-8) a inclus 1 028 enfants et adolescents (< 20 ans) infectés par le VIH suivis de 1996 à fin 1999. En 1996, 7 % des enfants recevaient un IP, versus 73 % en 1999. Tous les enfants étaient traités à cette date, et 33 % n’avaient jamais reçu d’IP au cours de leur suivi. L’analyse multivariée identifie un pourcentage de lymphocytes CD4 plus haut, un poids et une taille plus Bénéfices des inhibiteurs de protéase sur la mortalité des enfants et adolescents infectés par le VIH La Lettre de l’Infectiologue - Tome XVII - n os 1-2 - janvier-février 2002 47 “Pourquoi les Anglais sont-ils différents des Français” ? Les Laboratoires Grünenthal ont été l’un des sponsors de la journée du 12 décembre 2001 consacrée à “Comment éviter la résistance aux antibiotiques ?”, qui s’est tenue à l’Assemblée Nationale. Les sujets suivants ont été abordés sous forme de table ronde : Comprendre le problème de l’antibiorésistance Analyser les actions possibles : cibles et outils Le défi à relever : les modifications indispensables des comportements. Le département médical de notre laboratoire reste à votre disposition pour vous transmettre une copie du compte-rendu de cette journée. Laboratoires Grünenthal, 43, rue de Villiers, 92523 Neuilly-sur-Seine Cedex

Laboratoires Grünenthal “Comment éviter la résistance aux ...13th MCC : Mediterranean Congress of Chemotherapy Dr Annie Bidart, 27, rue Massena, 06000 Nice Tél. : 04 97 03 85

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Page 1: Laboratoires Grünenthal “Comment éviter la résistance aux ...13th MCC : Mediterranean Congress of Chemotherapy Dr Annie Bidart, 27, rue Massena, 06000 Nice Tél. : 04 97 03 85

Ce titre provocateur utilisé par un chroniqueur de larevue Trends in Parasitology (Schetters T. 2001 ; 17 ;10468) faisait référence à des travaux récents ayantétudié l’impact de la toxoplasmose sur le compor-tement animal et humain (Webster JP et al.Microbes & Infection 2001 ; 3 : 1037-45). En effet, lalocalisation chronique de kystes toxoplasmiquesdans le cerveau pourrait ne pas être si anodine quecela. Des travaux expérimentaux chez le rat et lasouris ont montré que les animaux parasitésétaient plus curieux et avaient une activité explo-ratrice plus élevée que les animaux non infectés.La “néophobie” légendaire des rats était considé-rablement diminuée chez les rats infectés, rendantleur capture plus facile. De plus, les rats, constitu-tionnellement repoussés par l’odeur de l’urine deschats, voyaient cette répugnance disparaître quandils étaient parasités. L’infection des rats facilite doncleur prédation, et permet le passage et la multipli-cation du parasite chez le chat. Il était alors tentantd’analyser l’éventuelle influence de ce parasite surle comportement humain… D’après quelquesétudes contrôlées, les QI d’enfants infectés étaientinférieurs à ceux d’enfants non infectés. Des testspsychométriques ont montré que les hommes para-sités étaient moins respectueux des conventionssociales, plus dogmatiques et jaloux, alors que lesfemmes infectées étaient plus chaleureuses, plusposées et plus consciencieuses. Un fort sentiment deculpabilité était également noté dans les deux sexes.

Les mécanismes physiopathologiques induisant cesdifférences sont très spéculatifs, mais la présence dekystes dans le cerveau pourrait induire la sécrétionlocale de cytokines perturbant la synthèse de neuro-médiateurs (dopamine…). La toxoplasmose pour-rait-elle expliquer des différences de comportemententre les populations des pays anglo-saxons à basseséroprévalence et celles des pays latins à haute pré-valence ? Le toxoplasme serait-il, au même titrequ’Aliénor d’Aquitaine, un facteur déclenchant dela guerre de Cent Ans ? Autant d’interrogations aux-quelles il n’est pas facile de répondre.

J. Dupouy-Camet, Paris

Les données concernant les effets des inhibiteursde protéase (IP) sur la mortalité des enfants et ado-lescents sont limitées à ce jour. La cohorte présen-tée par S.L. Gortmaker et al. (N Engl J Med 2001 ;345 : 1522-8) a inclus 1 028 enfants et adolescents(< 20 ans) infectés par le VIH suivis de 1996 à fin 1999.

En 1996, 7 % des enfants recevaient un IP, versus 73 %en 1999. Tous les enfants étaient traités à cette date,et 33 % n’avaient jamais reçu d’IP au cours de leur

suivi. L’analyse multivariée identifie un pourcentage delymphocytes CD4 plus haut, un poids et une taille plus

Bénéfices des inhibiteursde protéase sur la mortalité

des enfants et adolescentsinfectés par le VIH

La Lettre de l’Infectiologue - Tome XVII - nos 1-2 - janvier-février 2002 47

“Pourquoi les Anglaissont-ils différents des Français” ?

Les Laboratoires Grünenthal ont été l’un des sponsors de la journée du 12 décembre 2001consacrée à “Comment éviter la résistance aux antibiotiques ?”,

qui s’est tenue à l’Assemblée Nationale.

Les sujets suivants ont été abordés sous forme de table ronde : Comprendre le problème de l’antibiorésistance Analyser les actions possibles : cibles et outils Le défi à relever : les modifications indispensables des comportements.

Le département médical de notre laboratoire reste à votre dispositionpour vous transmettre une copie du compte-rendu de cette journée.

Laboratoires Grünenthal, 43, rue de Villiers, 92523 Neuilly-sur-Seine Cedex

Page 2: Laboratoires Grünenthal “Comment éviter la résistance aux ...13th MCC : Mediterranean Congress of Chemotherapy Dr Annie Bidart, 27, rue Massena, 06000 Nice Tél. : 04 97 03 85

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élevés, un plus jeune âge, une infection acquise enpériode périnatale comme des facteurs prédictifs d’undélai plus long pour l’initiation d’un IP.

La mortalité diminuait, passant de 5,3 % en 1996 à 2,1 %en 1997, 0,9 % en 1998 et 0,7 % en 1999. Cette réductionde mortalité était observée chez tous les enfants, indé-pendamment du sexe, de l’âge, du niveau de CD4, duniveau d’éducation des parents et de l’origine ethnique.Un traitement comportant un IP était associé à une réduc-tion de la mortalité de 67 %.

Les données observées chez les adultes sont ainsi confir-mées chez les enfants et adolescents traités par HAART.

C. Goujard, Le Kremlin-Bicêtre

L’évaluation des risques et bénéfices des interruptions thé-rapeutiques programmées (STI) est un point importantchez les patients infectés par le VIH et traités en phase chro-nique. Dans cette étude pilote, G.M. Ortiz et al. (Proc NatlAcad Sci USA 2001 ; 98 : 13288-93) présentent les résul-tats de deux interruptions d’un mois séparées par un moisde traitement, avant une interruption de trois mois, chezhuit patients contrôlés virologiquement sous HAART, com-parés à quatre patients poursuivant leur traitement.

Tous les patients ont un rebond de l’ARN-VIH plasmatiquedès la première phase d’interruption, proche de leur niveaupréthérapeutique après trois mois d’arrêt, et une diminu-tion de leur taux de lymphocytes CD4. Deux patients présentent des signes cliniques de primo-infection.

Aucune réponse CD4 VIH-spécifique n’est observée, alorsque des réponses CD8 apparaissent chez tous lespatients au terme de la procédure. Le titre d’anticorpsneutralisants anti-VIH augmente chez un patient sur huit.Ainsi, malgré l’augmentation significative de la réponseCD8-spécifique, les STI, selon le schéma de l’étude, n’ontpas d’effet significatif sur le contrôle de la charge virale,et s’accompagnent d’une diminution des CD4. Cesconséquences sont réversibles après la reprise durabledu traitement antérieur.

C. Goujard, Le Kremlin-Bicêtre

“The American Lung Association AsthmaClinical Research Centers” (N Engl J Med

2001 ; 345 : 1529-36) rapporte la tolé-rance du vaccin grippal trivalent inac-

tivé (split-vaccine) mesurée au cours d’une étude multi-centrique conduite entre le 15 et le 30 novembre 2000de façon randomisée en double aveugle, en cross-over,chez 2 032 sujets asthmatiques âgés de 3 à 64 ans(712 patients âgés de 17 ans ou moins) et non vaccinéscontre la grippe au cours des six mois précédents. L’ordredes deux injections entre le placebo et le vaccin a été faitau hasard et en moyenne dans un intervalle de 22 jours.Les patients inclus, porteurs d’un asthme stable (pasd’hospitalisation ni de passage aux urgences, pas d’aug-mentation récente des corticoïdes systémiques) avaientreçu au moins un traitement de l’asthme au cours desdouze derniers mois. Pendant les deux semaines suivantchacune des injections, les patients (ou leur famille) ontnoté leurs flux expiratoires, la survenue de tout symp-tôme, l’utilisation de médicaments antiasthmatiques, lesabsences éventuelles pour asthme à l’école ou au tra-vail. Le critère principal d’évaluation a été l’exacerbationde l’asthme, définie par une perte de 30 % et plus dudébit expiratoire, l’augmentation de consommation debronchodilatateurs et/ou des corticoïdes systémiques,et, a fortiori, tout passage aux urgences ou toute hospi-talisation, dans les deux semaines suivant les injections.

La fréquence des exacerbations d’asthme a été similairedans les deux groupes, groupe vaccin et groupe placebo,tant globalement (28,8 % et 27,7 % respectivement, IC95 :-1,4/3,6 %) que dans les sous-groupes définis selon l’âge,la sévérité de l’asthme dans les quinze jours suivantchaque injection, mais aussi dans les trois jours suivants.

Le travail n’a concerné qu’une seule saison et qu’un seultype de vaccin, ce qui en limite un peu la portée : cesrésultats ne pourraient pas être extrapolés à l’usage d’unvaccin cold-adapted vivant.

La souplesse des critères retenus pour définir l’exacer-bation de l’asthme explique probablement la fréquenceélevée avec laquelle des exacerbations ont été obser-vées. Néanmoins, les patients étaient porteurs d’asthmemodéré à sévère (plus que dans la population générale)du fait du mode de recrutement. D’autres enquêtes dela littérature vont dans ce sens. L’étude de P. Kramarz et al. (J Pediatr 2001 ; 182 : 211-22) reposait sur des critères rétrospectifs et des patients non randomisés(biais de sélection), ce qui suffit à expliquer les résultatscontradictoires.

Conclusion. La vaccination contre la grippe n’ag-grave pas l’asthme. Des inconvénients mineurs(céphalées, douleurs diffuses, frissons) et d’intensitémodérée ont été observés dans les 72 heures post-vaccinales. À l’heure actuelle, moins de 10 % dessujets asthmatiques sont protégés contre la grippe.Une promotion des programmes de vaccination estnécessaire.

C. Weil-Olivier, Colombes

Interruptions thérapeutiquesprogrammées chez des patientsinfectés par le VIH en phase chronique

Vaccinez sans risque les asthmatiques

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18-20 février, Nice13th MCC : Mediterranean Congressof ChemotherapyDr Annie Bidart, 27, rue Massena,06000 NiceTél. : 04 97 03 85 97Fax : 04 97 03 85 98E-mail : [email protected]

24-28 février, Seattle, États-Unis9th CROI : Conference on Retrovi-ruses and Opportunistic InfectionsRetrovirus Conference, WestoverManagement Group, 211 N. UnionStreet, Suite 100, Alexandria , VA22314, États-UnisTél. : (1) 703 684 48 76Fax : (1) 703 716 73 48/684 48 41E-mail : [email protected]

http ://www.retroconference.org

25 février-1er mars, Denver, États-Unis

Postgraduate Courses on Clinical Mana-gement and Control of Tuberculosis

Catheryne J. Queen, National Jewish Medical andResearch Center, 1400 Jackson St., Denver, CO80206, États-UnisTél. : (1) 303 398 17 00Fax : (1) 303 398 18 06E-mail : [email protected]://www.nationaljewish.org

3-7 mars, Ljubljana, Slovénie13th International Conference on the Reduction ofDrug Related HarmTeja Alic, Cankarjev Dom, Cultural and CongressCentre, Presernova 10, SI-1000 Ljubljana, SlovénieTél. : (386) 1 24 17 135. Fax : (386) 1 24 17 296E-mail : [email protected] ://www.ihrc2002.net

3-8 mars, Keystone, États-UnisMalaria’s Challenge : from infants to genomics tovaccinesKeystone Symposia, Drawer 1630, 221 SummitPlace, Suite 272, Silverthorne, CO 80498,États-UnisTél. : (1) 970 262 12 30. Fax : (1) 970 262 15 25E-mail : [email protected]://www.keystonesymposia.org

3-8 mars, Keystone, États-UnisDrugs against Tropical Protozoan Parasites : TargetSelection, Structural Biology and Rational Medici-nal ChemistryKeystone Symposia, Drawer 1630, 221 SummitPlace, Suite 272, Silverthorne, CO 80498,États-UnisTél. : (1) 970 262 12 30. Fax : (1) 970 262 15 25E-mail : [email protected]://www.keystonesymposia.org

4-7 mars, San Diego, États-Unis2002 National STD Prevention ConferenceGlenda VaughnTél. : (1) 404 639 82 60E-mail : [email protected]

6 mars, Paris14e Conférence de consensus. Comment améliorerla qualité de l’antibiothérapie dans les établisse-ments de soins ?2M2, 7, rue Bastienne, 95160 MontmorencyTél. : 01 39 64 88 83Fax : 01 39 89 77 56http ://www.2m2.fr/consensus.htm

6-8 mars, Villard-de-LansAnomalies métaboliques et cytopathies mitochon-driales (formation FNCLS)FNCLS, CISIH, hôpital du Tondu, groupe Pellegrin,place Amélie-Raba-Léon, 33076 Bordeaux CedexTél. : 05 56 79 56 06Fax : 05 56 79 60 87E-mail : [email protected]

7 mars, ParisInfections nosocomiales en néonatologie : IIIe Congrès nationalSous la présidence du Pr Yannick AujardCentre français du commerce extérieur, 10, avenued’Iéna, 75116 ParisTél. : 01 46 38 77 37Fax : 01 46 38 77 31E-mail : [email protected] ://www.atlantasante.com

11-14 mars, Singapour10th ICID : International Congress on InfectiousDiseasesInternational Society for Infectious Diseases, 181, Longwood Avenue, Boston, MA02115, États-UnisTél. : (1) 617 227 05 51Fax : (1) 617 731 15 41E-mail : [email protected] ://www.isid.org

14 mars, Paris3e Congrès de biologie et hygiène hospitalièreAnne-Marie Lavenaire, École nationale de chimiephysique et biologie de Paris 11, rue Pirandello,75013 ParisTél. : 01 44 08 06 50Fax : 01 44 08 06 51

14-15 mars, ParisVirus et nouveaux agents émergents dans les produits biopharmaceutiques : une approche desécuritéInstitut Pasteur EurΩconférence, CIS, 28, rue du Docteur-Roux, 75015 ParisFax : 01 40 61 34 05E-mail : [email protected]

15-17 mars, Séville, EspagneSpring VIH SymposiumIsabelle Ramaioli, Boehringher Ingelheim France,Département Congrès, 12, rue André-Huet, BP 292,51060 Reims CedexTél. : 03 26 50 48 30Fax : 03 26 50 38 99

16 mars, ParisInfection VIH : perspectives virologiques et théra-peutiquesDr Bruno Baconnet, DuPont Pharma SA, 137, rue del’Université, 75334 Paris Cedex 07

17-19 mars, VersaillesCongrès de la Société française d’hématologieSecrétariat de la SFH, Institut d’hématologie, CentreHayem, hôpital Saint-Louis, 1, av. Claude-Vellefaux,75475 Paris Cedex 10Tél. : 01 53 72 21 44Fax : 01 53 72 21 45E-mail : [email protected] ://www.sfh.hematologie.net

17-21 mars, Prague, République tchèque15th ICAR : International Conference on AntiviralResearchCourtesy Associates, 2000 L Street, NW, Suite 710,Washington, DC 20036, États-UnisTél. : (1) 202 973 86 90Fax : (1) 202 331 01 11E-mail : [email protected] ://www.isar-icar.com

19-22 mars, San Francisco, États-Unis14th National HIV/AIDS Update ConferenceFil Picciano, Felicissimo & Associates, Inc., 205 Vigerav. West, suite 201, Montréal, Québec, H2Z 1G2,CanadaTél. : (1) 514 874 19 98Fax : (1) 514 874 15 80E-mail : [email protected]

19-22 mars, Belgique22nd International Symposium on Intensive Care andEmergency MedicineDepartment of Intensive Care, Erasme UniversityHospital, route de Lennik 808, B-1070 Bruxelles, BelgiqueTél. : (32) 2 555 32 15/36 31Fax : (32) 2 555 45 55E-mail : [email protected]://www.intensive.org

20-22 mars, Phoenix, États-Unis12th Focus on FungalInfectionsHeather DrewTél. : (1) 770 751 73 32Fax : (1) 770 751 73 34E-mail : [email protected]

La Lettre de l’Infectiologue - Tome XVII - nos 1-2 - janvier-février 2002 49

m a r s 2 0 0 2 X. de La Tribonnière, Tourcoing

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15 février 200225-27 avril, Marbella, Espagne3rd European Workshop on lipodystrophy and metabolic disordersKobe, Le Green, rue des Granges, 69380 DommartinTél. : 04 78 43 56 56Fax : 04 78 43 57 51E-mail : [email protected] ://www.kobe-lipodystrophy.com

1er mars 20028-11 juin, Gênes, Italie7th European Conference on Experimental AIDSResearchECEAR’2002 Conference Secretary, Division of Retrovirology, NIBSC, Blanche Lane, South Mimms, Potters Bar, Hertfordshire EN6 3QG,Royaume-UniE-mail : [email protected]://www.nibsc.ac.uk

15 mars 2002 - 14-16 mai, LyonSociété française de parasitologie & Société française de mycologie médicale : génome et post-génome des parasites et des champignonsFaculté de médecine, 8, avenue Rockefeller, 69373 Lyon Cedex 08Tél. : 04 78 77 72 18/19Fax : 04 78 75 17 72E-mail : [email protected]

50 La Lettre de l’Infectiologue - Tome XVII - nos 1-2 - janvier-février 2002

20-24 mars, Savannah, États-UnisASM Conference on Immunity to Bacterial, Viral andProtozoal PathogensASM Conferences, 1752 N Street NW, Washington,DC 20036-2904, États-UnisTél. : (1) 202 942 92 61Fax : (1) 202 942 93 40E-mail : [email protected] ://www.asmusa.org/mtgsrc/conferences.htm

21 mars, Paris19e Colloque Aventis, un germe et sa pathologie : lebacille tuberculeuxLaboratoires Aventis, 46 quai de la Rapée, 75601Paris Cedex 12Tél. : 01 55 71 08 14Fax : 01 55 71 51 20

22-23 mars, Marseille1er Symposium VIH, femme et enfant, infection parle VIH chez la femme

Kobe Medical, Le Green, rue des Granges, 69380DommartinTél. : 04 78 43 56 56Fax : 04 78 43 57 51E-mail : [email protected] :/www.rencontresvih.lso-intl.com

24-27 mars, Atlanta, États-UnisICEID : International Conference on Emerging Infec-tious DiseasesICEID, co ExpoExchange, PO Box 3867, Frederik, MD21705, États-UnisTél. : (1) 202 942 93 40Fax : (1) 301 694 51 24E-mail : [email protected] ://www.cdc.gov/iceid/

27 mars, Costa Mesa, États-Unis15th Annual Conference HIV/AIDS On The Front LineHIV/AIDS On The Front Line, University of California,Irvine Pacific AIDS Education and Training Center,

101 The City Drive South, Building 11, Route 81,Orange, CA 92868, États-UnisTél. : (1) 714 456 22 49http ://www.hivconference.com

28 mars, ParisAPCC : 1re Actualité de pharmacologie clinique deCochinCheck Up Service, 16, rue du Général-Faidherbe, BP42, 94732 Nogent-sur-Marne CedexTél. : 01 48 77 01 13E-mail : [email protected]

28-29 mars, ParisLes nouveaux outils virologiques et pharmacolo-giques (formation FNCLS)FNCLS, CISIH, hôpital du Tondu, groupe Pellegrin,place Amélie-Raba-Léon, 33076 Bordeaux CedexTél. : 05 56 79 56 06Fax : 05 56 79 60 87E-mail : [email protected]

Date limite des abstracts mars 2002

Nous remercions les Laboratoires

pour leur soutien

Précis Pratique d’Infections en UrologieRédacteur en chef : Pr Henry Botto, chef du service d’urologie, hôpital Foch, SuresnesDiffusé par les Laboratoires Zambon-France,13, rue René-Jacques, 92138 Issy-les-Moulineaux Cedex

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