Massages stupéfiantspages 12-13

Cette discipline d’auto-défense fait de nombreux adeptes au CSLG 41. page 21

Krav maga

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Supplément régional au n° 496 de « L’Essor de la Gendarmerie nationale » Ne peut être vendu séparément

Le journal des gendarmes, depuis 1936

L’ESSORDE LA GENDARMERIE NATIONALE

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Cazeneuve annonce effectifs et moyens supplémentairespages 8-9

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NOMINATIONLe général Pidoux quitte la régionCentre-Val de Loire

SANTÉ« Le Courbat », centre de soinspour les gendarmes

pages 18-19pages 16-17

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Région CENTRE ›› Juillet-Août-Septembre 2016. Supplément au n° 496

3e TRIMESTRE 2016 S O M M A I R E

3 L’éditorial du directeur de « L’Essor ».

4 Ce que font les gendarmes en région Centre - Val de Loire. Une sélection d’infos et de faits divers ayant mis telle ou telle unité de Gendar-merie à contribution.

8/9 Cazeneuve annonce effectifs et moyens supplémentaires.

10/11 Inondations : Le point en région.

12/13 BD. Massages stupéfiants !

14 La vie des unités & des associations.

16 Départ : le général Michel Pidoux quitte la région Centre-Val de Loire.

18/19 Le centre de soins « Le Cour-bat » en Indre-et-Loire, aide les gen-darmes à surmonter leurs difficultés.

22 Union départementale des person-nels et retraités de la Gendarmerie : Compte rendu d’assemblée générale (UD36) et célébration des 100 ans de Mme Sauvaget (UD37).

Site : www.lessor.org Facebook https://www.facebook.com/LEssorDeLaGendarmerie Twitter http://twitter.com/Essor_Gie

C’est sous les applaudisse-ments unanimes des délé-gués de l’UNPRG présents le mercredi 25 mai 2016 au

Congrès statutaire, à Evian-les-Bains, que la Convention triennale liant « L’Es-sor » à l’Union nationale des personnels et retraités de la Gendarmerie a été renouvelée et paraphée (notre photo). Une amicale formalité.La naissance de « L’Essor » date de 1936. Celle de l’UNPRG de 1946. Et, depuis l’origine, « L’Essor » accom-pagne les UD et autres associations constitutives de l’UNPRG. C’est en-semble que nous nous sommes déve-loppés : elle comme première asso-ciation de gendarmes, nous comme premier support de communication de la communauté de tous les gendarmes. Et de leurs amis.Ce fut donc pour moi l’occasion de re-venir sur le chemin parcouru ensemble depuis quatre ans (puisque j’ai pris les rênes de ce magazine en juin 2012).Les différents supports de « L’Essor », papiers et numériques, au service de l’ensemble de la communauté de tous

les gendarmes, sont évidemment à la disposition des responsables régionaux de l’association, actuellement la plus représentative de tous les personnels. En particulier nos suppléments gratuits trimestriels régionaux et nos sites Inter-net régionaux (en construction). Compte tenu de la confiance désor-mais bien établie entre la direction na-tionale de l’UNPRG et « L’Essor », j’ai proposé de mettre à la disposition de tous les présidents départementaux le

savoir-faire de notre jour-nal en matière de marke-ting direct téléphonique, pour les aider à recruter de nouveaux adhérents, en particulier parmi les jeunes retraités, pour l’instant ni abonnés à « L’Essor » ni adhérents à l’UNPRG.En effet, pour que la voix de « L’Essor » puisse continuer à être la voix in-dépendante des person-nels de la Gendarmerie, il est bon que notre

journal bénéficie de la légitimité de l’UNPRG, qui, déjà, constitue le fer de lance de toutes les associations de gendarmes. Et que celle-ci soit la plus forte possible.A titre personnel, je souhaite qu’un jour « L’Essor » puisse accueillir dans ses co-lonnes les échos de la vie interne de toutes les associations de notre communauté. Et que l’UNPRG soit le point d’ancrage associatif de ce souhaitable regroupe-ment. n

« L’Essor » et l’UNPRG, au service des personnels, des réservistes et des retraités

L’EDITORIALd’Alain Dumait

Directeur de « L’Essor de la Gendarmerie »

<alain.dumait@lessor.org>

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Mercredi 25 mai. Tribune du congrès de l’UNPRG. La convention qui lie l’association à « L’Essor » est solennellement renouvelée.

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CE QUE FONT LES GENDARMES

SÉCURITÉ GÉNÉRALE

EURE-ET-LOIRl  Gendarmes visésSix coups de feu ont été tirés sur les gendarmes depuis un domici le s i tué dans le hameau de Marolles à Broué. A l’origine de ces tirs, le refus d’obtempérer d’un conducteur qui franchit une ligne blanche sur la RD21 le lundi 23 mai. Les gendarmes relèvent la plaque du véhi-cule et se rendent au domi-cile identifié. Là, un homme sort et tire sur les gendarmes. L’auteur des coups de feu a

été condamné à deux ans de prison ferme, son comparse ayant refusé d’obtempérer, à un an de prison ferme. france3.fr

INDREl CybercriminalitéLes gendarmes de Château-roux ont animé une confé-rence sur le thème de la cybercriminalité à l’IUT de la ville. Une approche pré-ventive face à un phéno-mène préoccupant. 57 %

des attaques concernent les entreprises et en France, plus d’une société sur deux reconnaît avoir été attaquée. lanouvellerepublique.fr

INDRE-ET-LOIREl SauvetageAlertés par le comportement anormal d’un automobiliste circulant sur la déviation Cinq-Mars-La-Pile - Lan-geais, des gendarmes de la brigade de Langeais arrivent rapidement sur les >>>

En brefCher

Haut voltUn avion de tourisme a heurté une ligne élec-trique à moyenne tension alors qu’il survolait la RD 151 vers le nord-est de Bourges le 15 avril. Le plan de secours Sater B a aussitôt été déclenché. L’aéronef a pu atteindre sa destination finale sans encombres !

VigilanceUn protocole de partici-pation citoyenne à Saint-Georges-de-Poi-sieux a été signé le 16 juin. Ce dispositif, établi en partenariat avec la Gendarmerie, consiste à associer les habitants à la protection de leur quartier ou commune.

Surveillance HDLa ville de Saint-Amand-Montrond va s’équiper de dix caméras supplé-mentaires et améliorer le système d’exploitation de sa videosurveillance. Ob-jectif de la mairie : mieux quadriller les principaux axes de passage.

35 000C’est le nombre de personnes qui se sont rendues au meeting aérien d’Avord le week-end des 18 et 19 juin. Un événement marqué par la présence d’une centaine d’aé-ronefs et le spectacle de la Patrouille de France.

Les vidéos réalisées par les gendarmes du grou-pement d’Indre-et-Loire, relayées dans nos pages de l’édition régionale Centre-Val de Loire de « L’Es-sor » (n° 1 et 2), ont retenu l’attention du jury pour le Prix de la prévention 2016. Lancé par le Sirpa en 2015, ce prix vise à mettre à l’honneur les initiatives locales des gendarmes qui s’investissent dans le domaine de la pré-

vention. Sur les 37 dossiers réceptionnés, celui des gendarmes d’Indre-et-Loire reçoit donc le 1er prix. I ls ont réalisé quatre vidéos sur les thématiques des motards, du télé-phone et de l’alcool au volant ainsi que de la conduite sous l’emprise de stupé-fiants. Ces clips vidéo sont visibles sur la page Facebook du groupement : http://bit.ly/28QQ04y.

1er prix pour les vidéos des gendarmes

Les gendarmes du groupement d’Indre-et-Loire au Sirpa d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) pour la réception du Prix de la prévention.

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l i eux . Le véh icu le vient de percuter un rail de sécurité près de l’A85 pour plonger, 800 mètres plus bas, dans la Loire. L’adju-dant-chef Ludovic Sallé et le gendarme Samuel Robveille vont a secours de l’automo-biliste, un homme âgé d’une trentaine d’années. Des ana-lyses sont pratiquées pour connaître les raisons de son geste. Facebook Gendarmerie

LOIR-ET-CHERl Dispositif musclé110 gendarmes on été mobi-lisés le 17 juin pour retrou-ver les deux auteurs de tirs contre un jeune-homme de 20 ans, quartier des Rottes à Vendôme. Une voiture, signalée par les témoins est recherchée. Les gen-darmes déploient alors plus de 20 barrages routiers aux frontières nord du départe-ment. Le véhicule est retrou-vé sans ses occupants. Un chien pisteur découvre l’un des deux suspects âgé de 25 ans. L’autre homme, âgé de 21 ans se présente de lui-même à la brigade de Mer. La victime est décédée le lendemain. lanouvellerepublique.fr

l Décryptage à l’œilTrois frères sont soupçonnés d’avoir vendu, à des per-sonnes du département, des décodeurs permettant de regarder des chaînes cryptées sans débourser un centime.

L’enquête menée par les gen-darmes depuis septembre 2015, a permis de saisir des décodeurs piratés chez une quinzaine de personnes ain-si que chez les trois frères. Ce trafic durait depuis 2011. Le préjudice pour les chaînes s’élève à 75 000 e. lanouvellerepublique.fr

LOIRET l In-extremisAlors qu’ils patrouillent dans les zones inondées du Loiret, jeudi 2 juin, l’adjudant David Drecourt et l’élève-gendarme Vincent Huet remarquent un véhicule immobilisé dans un fossé et immergé de moitié à Saint-Lyé-la-Forêt. A l’inté-rieur, un couple de septua-génaires ayant bravé l’inter-diction de circuler sur une partie de la D97. Les deux gendarmes de la brigade d’Outarville ont alors immé-diatement extirpé les deux retraités du véhicule.paris-normandie.fr

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En brefeure-et-Loir

La Patrouille de France lors du 14 juillet 2009

Félicités pour leur action, l’ad-judant-chef Ludovic Sallé et le gendarme Samuel Robveille (au centre) ont reçu la médaille de la ville des mains du maire de Langeais (à gauche).

VOLS - CAMBRIOLAGES

CHERl Equipée sauvageD e u x a d o l e s c e n t s d e Garchizy (Nièvre) et Mar-seilles-lès-Aubigny (Cher) sont soupçonnés d’avoir volé et parfois brulé 90 véhi-

cules dans la Nièvre, le Cher, l’Allier et le Puy-de-Dôme. Une enquête de la Gendar-merie a conduit à l’arresta-tion, début juin, de quatre complices présumés âgés de 16 à 26 ans. Les suspects

principaux, privés de liberté depuis le début de l’année, auraient participé à la totalité des actes. Ils s’en prenaient à de petits modèles de véhi-cules de type Peugeot 306, 106 ou Renault Clio,

14 juilletLa première répétition de la Fête nationale a eu lieu au-dessus du ciel dunois. La base aérienne de Châteaudun est choisie depuis plusieurs années car l’axe et la distance de la piste corres-pondent à la taille des

Champs-Elysées.Halte aux ruses Les gendarmes du grou-pement sont allés à la rencontre des se-niors de Prunay-le-Gillon, Boisville-la-Saint-Père et Theuville courant juin. De nombreux conseils ont été donnés. Les deux tiers des victimes de vols par ruse sont des personnes âgées.

12Le nombre de cam-ping-cars volés en Eure-et-Loir dans le cadre du vaste trafic de véhicules démantelé par la section de recherches des gendarmes de Caen (Calvados).

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En brefindre

Danger, piéton !Les gendarmes de la brigade motorisée d’Argenton-sur-Creuse ont raccompagné une femme marchant sur la bande d’arrêt d’ur-gence de l’A20, le 9 mai peu après 19 h, entre Tendu et Châteauroux. L’espérance de vie d’un piéton sur l’autoroute est d’environ 20 minutes.

Butins loufoqueMotos, jambons, andouillettes… Ce sont les butins pour le moins saugrenus qu’ont décou-vert les gendarmes du groupement suite à des cambriolages en série au mois de mai dans le sud du département.

CocasseTrois gendarmes se sont retrouvés bloqués dans l’ascenseur du palais de justice de Châteauroux avec leur détenu le 28 avril. Il leur a fallu patien-ter 30 minutes avant d’être (presque !) tous libérés.

faisaient des rodéos et les aspergeaient d’essence pour faire disparaître les empreintes. leberry.fr

l Longue enquêteHuit gendarmes du grou-pement de gendarmerie du Cher ont travaillé à résoudre une très longue série de vols dans le département. Une « équipe » a été reliée à une quarantaine de délits dont des faits de home-jacking, de vols de véhicule, de des-truction de biens par incen-die, des cambriolages visant des commerces ou des rési-dences… quatre interpella-tions ont été réalisées le 4 juillet. leberry.fr

INDREl Casier chargéTrois ans de prison dont 12 mois avec sursis, c’est la peine à laquelle à été condamné un habitant du Blanc suite à un vol et une agression sur des gen-darmes. Le 17 mai, forte-ment alcoolisé, il s’empare de denrées alimentaires dans un supermarché et part sans payer. L’homme prend la

fuite à scooter, bientôt rejoint par les gendarmes à sa recherche vers Rivarennes, près d’Argenton-sur-Creuse. Le fuyard, difficilement mai-trisé, donne des coups et blesse deux gendarmes. Il devra leur verser 500 euros chacun. lanouvellerepublique.fr

INDRE-ET-LOIREl Flagrant délitFace à la recrudescence des vols à la roulotte, les gen-darmes de Sainte-Maure-de-Touraine décident de procéder à des surveillances discrètes aux abords des parkings de la commune. Le 30 mai, une patrouille remarque un individu ganté qui tente d’ouvrir plusieurs véhicules sur un des par-kings. L’homme est inter-pellé alors qu’il se trouve à l’intérieur d’un des véhicules. Il devra répondre de ses faits devant le tribunal correction-nel de Tours en novembre 2016.

l 1 500 bijouxSuite à l’interpellation de cinq géorgiens début avril pour une série de cambrio-lages, la Gendarmerie a mis

en ligne les photos de 1 500 bi joux volés. Ce réseau volait essentiellement des bijoux et du matériel mul-timédia. Une quarantaine de vols ont été recensés en huit mois dont une vingtaine en Indre-et-Loire et autant en Loir-et-Cher. Les photos sont publiées sur la page Facebook de la Gendarme-rie d’Indre-et-Loire. <bit.ly/1500bijoux>francebleu.fr

LOIRETl OutillageMi- ju in , les gendarmes d e C h â t i l l o n - s u r- C h e r cont rô len t un véh icu le transportant de nombreux ustensiles de jardinage. Au domicile du couple en ques-tion, i ls découvrent plus de 200 objets provenant de cambriolages perpétrés depuis plusieurs mois dans un rayon de 30 à 50 km. Les gendarmes invitent les victimes de cambriolages autour de Châtillon-sur-Loire à prendre contact avec la gendarmerie de Briare au 02 38 31 71 20, afin de reconnaître le matériel pou-vant leur appartenir. larep.fr

La Gendarmerie renouvelle son dispositif Opération tranquillité vacances (OTV). Limité aux mois de juillet et août à l’origine, l’opération a été élargie à toute période d’absence prolongée de particuliers indépendamment des vacances scolaires. Les vacanciers s’assurent ainsi de la surveillance de leur domicile, à travers des patrouilles organisées par les forces de l’ordre dans le cadre de leurs mis-

sions. Les bénéficiaires de ce service sont assurés d’être prévenus en cas d’anomalie : tentatives d’effrac-tion, effraction, cambriolage. Pour en bénéficier, il faut en faire la demande plusieurs jours avant la période d’absence (2 jours minimum) dans la brigade de gendarmerie ou le commissariat le plus proche de chez vous. Pour gagner du temps, un formulaire est accessible en ligne : <http://bit.ly/1HRMXmm>

Zen en vacances !

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L’A20 à Limoges

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SÉCURITÉ ROUTIÈRE

DROGUE

INDREl RallyeJoli succès pour le rallye moto organisé fin avril par l’Escadron départemental de sécurité routière (EDSR). 68 motards et 14 passagers sont venus de tout le dépar-tement et des environs pour recevoir les bons conseils de 25 gendarmes motocy-clistes. Le stage était basé sur des rappels des règles de sécurité et sur des exercices de maniabilité et de premiers secours. Des sorties par

binômes ont également été réalisées. Facebook Gendarmerie

INDRE-ET-LOIREl Bilan calamiteux16 personnes ont été tuées sur les routes du départe-ment sur les quatre premiers mois de l’année contre six en 2015 sur la même période. 12 des 15 accidents mortels survenus depuis le début de l’année en Indre-et-Loire se sont produits sur des dépar-

tementales. Les gendarmes ont redoublé les contrôles sur les axes les plus acciden-togènes. lanouvellerepublique.fr

LOIR-ET-CHERl Contrôle furtifLes pratiques peu ortho-d o x e s d ’ u n c e n t re d e contrôle technique à Mon-toire ont été constatées par les gendarmes au terme de deux mois d’enquête. Le gérant, pourtant agréé, était peu regardant sur l’état des véhicules qu’on lui ame-nait, certains véhicules pas-sant la contre-visite moins de 5 minutes après la pre-mière visite ! Le gérant devra répondre de fourn i tu re frauduleuse de documents

administratifs, travail dissi-mulé et mise en danger de la vie d’autrui.lanouvellerepublique.fr

LOIRETl InconscientL’excès de vitesse d’un jeune conducteur aurait pu très mal se terminer pour l’un des gen-darmes qui le contrôlait sur la RD948, entre Cerdon et Argen-ton-sur-Sauldre (Cher). L’auto-mobiliste circule à 184 km/h au lieu de 90. L’un des gendarmes de la BT de Sully-sur-Loire lui fait signe de s’arrêter et a le bon réflexe de se jeter dans l’herbe pour éviter d’être percuté. L’au-tomobiliste a été condamné à 850 e d’amende et six mois de suspension de permis. larep.fr

CHERl TeknivalQuatre teufeurs ont été condamnés pour trafic de stupéfiants par le tribunal de Bourges, en marge du Tekni-val de Salbris (Loir-et-Cher). Contrôlés le dimanche 1er

mai à Nançay par le Peloton motorisé de Vierzon, quatre participants de ce rassem-blement transportaient, sur eux et dans leurs véhicules,

400 sachets d’ecstasy, 50 grammes d’héroïne et du cannabis. Trois d’entre eux ont été condamnés à huit mois de prison avec sursis et de 2 000 à 4 000 e d’amende. Le quatrième prévenu a éco-pé de deux ans de prison ferme et 1 500 e d’amende. leberry.fr

INDRE-ET-LOIREl Coup doubleCultivateur de cannabis et voleur de moto. Voilà ce qu’on découvert fortuitement les gendarmes d’Indre-et-Loire suite à une plainte déposée le 25 avril par un particulier pour un vol de moto. Les gen-darmes retrouvent la trace du véhicule à Hommes. Au domicile du suspect, plus de cinquante plants de canna-

bis sont découverts. Il sera convoqué devant le tribunal de Tours. Le propriétaire de la moto a retrouvé son véhicule. francebleu.fr

LOIR-ET-CHERl Coup de filetUne soixantaine de gen-darmes du PSPG de Saint-Laurent-Nouan, des com-pagnies de Blois, Vendôme et Romorantin, appuyés par quelques équipes de police ont interpellé simultanément six hommes âgés de 20 à 26 ans, dans le cadre d’un trafic de résine de cannabis, le 26 avril. Ces interpellations menées dès 6 h du matin ont pu démontrer que 2,8 kg de résine ont été écoulés depuis le début du trafic. lanouvellerepublique.fr

LOIRETl Démantèlement90 gendarmes ont été mobi-lisés lundi 6 juin pour déman-teler un vaste trafic de stu-péfiants dont le cœur était le quartier des Montoires à Gien. Le réseau sévissait depuis juin 2013. Quatre hommes ont été mis en exa-men et écroués. larep.fr

l Jardinier amateur14 jeunes pieds de canna-bis, 500 grammes d’herbe et quelques grammes de résine de cannabis, c’est le butin qui été découvert par les gendarmes de la brigade territoriale auto-nome de Sully-sur-Loire au domicile d’un particulier à Villemurlin. larep.fr

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Au commissar iat puis à la caserne de Gendarmerie, le ministre de l’In-

térieur Bernard Cazeneuve était à Orléans, vendredi 15 avril, pour voir sur le terrain, comment les « primo-in-tervenants » – les premiers gendarmes et policiers sur les lieux d’un attentat – sont progressivement équipés, comme il l’avait annoncé début avril. Une revue des

troupes avant une table ronde à la préfecture pour évoquer la mise en œuvre locale de l’état d’urgence, la menace terroriste et la pré-vention de la radicalisation.

Quatre mois après l’atten-tat visant les forces de l’ordre, déjoué à Orléans, le ministre a rappelé la proximité du risque terro-riste. « En décembre 2015, c’est notamment à Tours et

Orléans qu’ont été neutra-lisés des terroristes liés à Daesh. En 2014, nous avons arrêté 18 individus impliqués dans une filière de recrute-ment orléanaise en liaison avec le Jabhat-al-Nosra, une branche syrienne d’Al- Qaïda », a déclaré Bernard Cazeneuve. Cela se traduit par des effec-tifs supplémentaires. Dans le Loiret, 16 gendarmes et 53 policiers viennent renforcer

les effectifs en 2016. Neuf gendarmes vont être affectés dans les brigades d’Artenay, de Briare, de Malesherbes et de Meung-sur-Loire. Cinq autres gendarmes vont ren-forcer la section de recherche d’Orléans et deux gendarmes vont rejoindre le Peloton de surveillance et d’interven-tion (Psig) « Sabre » d’Or-léans, c’est-à-dire renfor-cé en matériel et entraîné spécifiquement à la >>>

Cazeneuve annonce plus de moyens pour lutter contre le terrorisme

Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve était en déplacement à Orléans vendredi 15 avril. Il a annoncé des moyens humains et matériels supplémentaires pour faire face à la menace terroriste, d’« un niveau extrêmement élevé ».

REPORTAGE Nathalie Deleau

Présentation par le général Michel Pidoux du centre opérationnel de la gendarmerie au siège de l’état-major de la région.

L’équipement des gendarmes du Peloton spécialisé de protection de la Gendarmerie (PSPG) de Dampierre-en-Burly, présenté sur la place d’arme de la caserne d’Orléans.

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>>> A la caserne d’Orléans, un hommage a été rendu au major Sébastien Conard, 41 ans, motocycliste de la brigade motorisée de Beaune (Côte-d’Or), tué dans un accident de la circulation le 10 avril.

menace terroriste. Les Psig « Sabre » fonctionnent comme les Psig normaux, mais peuvent basculer en configuration durcie en un instant, puisqu’ils disposent en patrouille d’une arme de guerre (HK G36) ainsi que de systèmes de protection balistique (casques et gilets pare-balles) pouvant résister à des tirs de Kalachnikov.

Le Psig « Sabre » d’Orléans doit recevoir deux fusils d’assaut HK G36, quatre pistolets à impulsion élec-trique, trois lanceurs de balle de défense 40 mm à visée laser, un bouclier balistique

et seize gilets pare-balles porte plaques.

Bernard Cazeneuve a recon-nu que la lutte contre la menace terroriste s’ajoutait désormais aux autres fronts sur lesquels les gendarmes et policiers sont mobilisés

comme la lutte contre la cri-minalité et la délinquance. Sur ces derniers plans, le ministre a souligné des résultats encourageants dans le Loi-ret, avec une chute de 25 % des vols avec violence et un recul de 80 % des vols à main armée depuis début 2016 ! n

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Un nouveau front est venu s’ajouter aux missions des gendarmes en mai et juin : celui des précipitations et de ses conséquences dans le Centre, le Nord etl’Ile-de-France. Les gendarmes ont été particulièrement mobilisés pour sécuriser les axes et participer à l’évacuation des zones sinistrées. Retour sur les opérations menées en région.

Les gendarmes au secours des habitantsInondations :

EN RÉGION

LOIRET C’est dans ce départe-ment que les dégâts ont été les plus importants. La Gendarmerie a mis en place une surveillance active sur l’eau avec les bateaux de la brigade fluviale et dans les airs à l’aide des hélicoptères. Objectif : prévenir les risques de pillages dans les habitations et les entreprises en zones inondées car les difficultés de circulation n’ont pas arrêté les malfaiteurs. Le montargois figure parmi les secteurs les plus touchés. Plus de 1 000 per-sonnes y ont été évacuées. A Château-Renard, le centre-ville a été recouvert par les eaux de l’Ouanne.A la centrale pénitentiaire de Saran, une partie des détenus de la maison d’ar-rêt ont dû être déplacés – notamment ceux qui se trouvaient au rez-de-chaus-sée – soit vers les étages, soit vers un autre bâtiment de la centrale. Plusieurs dizaines de détenus ont été transférés vers d’autres établissements. Enfin, l’A10 étant coupée au niveau d’Orléans, 650 automobilistes se sont retrouvés bloqués et 500 devaient passer la nuit dans les gymnases de la ville.

Fay-aux-Loges, dans le Loiret, est l’une des communes les plus sinistrées.

Deux gendarmes tentent de raisonner un habitant sinistré

à Gidy.

Des gendarmes de la brigade fluviale d’Indre-et-Loire au secours des habitants de Gidy (Loiret).

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En brefindre-et-LoireDoublureConstatant plusieurs infractions sur un même véhicule lors d’un contrôle routier à Mettray, les gen-darmes du Psig de Tours consultent leur fichier. Deux noms apparaissent. Le conducteur, qui n’a plus de permis, a fini par reconnaître qu’il s’est fait passer pour son jumeau.

Euro 2016Les gendarmes du dépar-tement mobilisés aussi dans le cadre de l’Euro 2016 de football. L’équipe tchèque a en effet pris ses quartiers en Touraine le temps de la compétition.

Collision mortelleUne conductrice de voiturette âgée de 62 ans est décédé suite à une collision avec un poids lourd sur l’A85 à hauteur de Villandry le 6 juin. La Gendarmerie rappelle que ce type de véhicule est strictement interdit sur l’autoroute.

197 km/hC’est la vitesse à laquelle a été flashé un motard de 24 ans, le 2 mai, sur la départementale 750 entre les communes de Descartes et Barrou, soit 107 km/h au-dessus de la vitesse maximale autorisée.

La s e c t i o n d e recherches (SR) de Bourges est par-venue à déman-teler un réseau de

prostitution qui œuvrait à Bourges et en Ile-de-France.

Une proxénète présumée, une Brésilienne de 34 ans et deux hommes, présen-tés comme ses hommes de mains, ont été interpel-lés mardi 7 juin au matin en région parisienne et placés

en garde à vue pour proxé-nétisme en bande organisée. Une quinzaine de prostitués (femmes et hommes), princi-palement de nationalité bré-silienne, ont également été arrêtés pour être auditionnés par les gendarmes. La proxénète présumée louait des appartements qu’elle sous-louait à des prostitués, dont une femme et un homme qui logeaient dans un appartement situé à Bourges . Les au t res

étaient en région parisienne. La proxénète prenait des commissions sur les relations tarifées, issues de petites annonces sur Internet. Une information judiciaire avait été ouverte, début 2016. Environ 20 000 euros en billets ont été saisis lors de perquisitions menées à Bourges et dans les dépar-tements du Val-d’Oise, du Val-de-Marne et des Hauts-de-Seine. n

INDRE-ET-LOIRE Les secteurs de Loches, Bléré et Amboise ont été parti-culièrement touchés et plusieurs personnes ont du être évacuéeset relogées. Les gendarmes ont procédé à des évacuations préventives. En attendant le pic de crue du Cher, 700 personnes ont été éva-cuées début juin à Villandry,la Chapelle-aux-Naux et Vallères. A Villandry, les gendarmes ont prévenu la population et évacué les habitants des maisons les plus vulnérables. A la Chapelle-aux-Naux, une quin-zaine de gendarmes sont venus en aide aux habitants, quelques-uns d’entre eux sont restés sur place la nuit pour surveiller les habitations. L’autoroute A10 est restée coupée à hauteur de Tours et de ses envi-rons dans le sens Bordeaux-Paris.

LOIR-ET-CHER Le Cher et la Sauldre ont débordés par endroits, les poids lourds n’étant plus autorisés à circuler. Trente-six déviations de routes ont été comptabilisées sur la seule journée du 2 juin, et 400 personnes ont dû quitter leur domicile. De nombreux habitants de Romorantin-Lantenay, notamment dans le quartier du Bourgeau, n’ont pas souhaité quitter leur logement lors des évacuations. Des personnes souvent âgés ou fragiles, pour lesquelles la Gendarmerie et la sécu-rité civile ont organisé des ravitaillements en bateau dès le 2 juin. Le 3 juin, alors qu’ils effectuent une mis-sion de reconnaissance d’axes routiers, trois gendarmes de la brigade de Saint-Ai-gnan sont alertés par un automobiliste qui vient de recueillir un faon à moitié immergé dans les eaux du Cher. Les gendarmes l’ont immédiatement pris en charge. Un sauvetage qui a marqué les esprits !

CHER

Démantèlement d’un réseau de prostitution

Suite au prochain numéro

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CHERl Deux hommes clefs quittent BourgesLe colonel Stéphane Paulin, commandant le groupement de gendarmerie du Cher quitte le département pour prendre le commandement en second de la gendarme-rie de la Guadeloupe le 1er août. Départ de Bourges également pour le lieute-nant-colonel Jean-Pierre Potot, patron de la section de recherches de la gendar-merie de Bourges. Ce dernier est affecté à Limoges en tant qu’officier adjoint de police judiciaire régional.

l Retraité, bientôt réservisteL’heure de la retraite pour le major Christian Gilet, secré-

taire à la compagnie de Vie-rzon et référent recrutement depuis 2003. Ses trente quatre années de service l’ont mené de la gendarme-rie mobile à la départemen-tale, de sa Corrèze natale à la Nouvelle-Calédonie au Berry en passant par Guéret et Saint-Paul-de-la-Réunion. Christian Gilet ne tire pas

un trait sur la Gendarmerie puisqu’il devient réserviste opérationnel en Occitanie.

leberry.fr

l Direction Château-ChinonLe capitaine Damien Tintu-rier, commandant de la com-munauté de brigades (COB) de Sancerre, prend cet été la direction de la COB de Châ-teau-Chinon, dans la Nièvre. Lors de la cérémonie de départ qui lui a été dédiée, le chef d’escadron Jean-Sé-bastien Debout, comman-dant de la compagnie de Bourges a notamment salué son « ouverture d’esprit » et son « franc-parler », avant de souligner le profession-nalisme et le travail du capi-taine.

leberry.fr

LA VIE DES UNITÉSET DES ASSOCIATIONS

En brefLoir-et-CherSavonnettesLors d’un banal contrôle routier le 25 mai, les gendarmes du peloton motorisé de Salbris dé-couvrent un covoitureur transportant 3 savon-nettes (320 grammes) de résine de cannabis dans son sac. Le jeune-homme a été condamné à six mois de prison ferme.

BraconnageLa Gendarmerie et l’office national de la chasse ont mis au jour un nouveau trafic de chardonnerets élégants. Une trentaine de ces petits oiseaux au chant mélodieux et réputés pour leur plumage, ont été découvert au domi-cile d’un habitant des Montils.

En hommage à trois gendarmes fusillés pendant la Seconde Guerre mondiale, le conseil municipal de Châ-teaumeillant (Cher) a décidé de baptiser « Place des Martyrs », une place jusque là sans nom, au croisement

des routes du Châtelet et de Culan.Le 27 juin 1944, les gendarmes Marcel Cochon, Camille Danton de la brigade de Châteaumeillant, et l’agent technique Henri Mangin, étaient fusillés par les Allemands. Une expédition punitive qui faisait suite à l’arrestation et l’interrogatoire de soldats allemands quelques jours plus tôt. Le maréchal des logis Fernand Demai, affecté à la brigade de Loches, a été abattu par les Allemands quelques jours plus tard.Durant la Seconde Guerre mondiale, deux brigades de gendarmerie du Berry ont rejoint la Résistance, celles de Châteaumeillant et Buzançais (Indre).

Hommage à trois gendarmes fusillés durant la Seconde Guerre mondiale

Une stèle a été dressée sur la Place des Martyrs, en hom-mage aux gendarmes fusillés par un commando Allemand durant la Seconde Guerre mondiale.

« Savonnettes » de résine de cannabis.

Chardonneret élégant.

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Le major Gilet lors de son dis-cours de départ en retraite le 29 avril.

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l Départs en série à la BDRIJTrois membres de la Brigade départementale de rensei-gnements et d’investigations judiciaires (BDRIJ) quittent le département durant l’été. Son patron, le colonel Régis Heurtaud prend le comman-dement de la communauté de brigades de Vatan (Indre). Le major René Castillo rejoint la BDRIJ de Fort-de-France en Martinique. L’adjudant Daniel Salles sera affecté à la brigade de recherches de Saint-Laurent-du-Maroni, en Guyane.

EURE-ET-LOIRl Gendarme informaticienIl hésitait entre l’informatique et la Gendarmerie. Désor-mais, il n’aura plus à choisir. Le lieutenant-colonel Olivier Langou, commandant de la compagnie de Lucé, rejoint le Service des technologies et des systèmes d’infor-mation de la Sécurité inté-rieure ST(SI)2 à la Direction générale de la Gendarmerie (DGGN) d’Issy-les-Mouli-neaux (Hauts-de-Seine). Le lieutenant-colonel Langou était en poste depuis 2012 à la tête des 134 gendarmes de la compagnie de Lucé.

lechorepublicain.fr

INDREl FermetureLa brigade de proximité de Reuilly sera bientôt fermée et ses six gendarmes trans-férés à Issoudun. Le colo-nel Philippe Lagrue, patron des gendarmes de l’Indre, l’a annoncé le 13 juin. La maire de Reuilly, Nadine Bellurot a

aussitôt réagi en rédigeant une missive à destination des parlementaires de l’Indre et du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. L’élue réfute l’argument du faible taux d’activité de la brigade pour justifier sa fermeture.

france3.fr

l Dans le grand bainLe chef d’escadron Franck Chacon, adjoint renseigne-ment au groupement de gendarmerie de l’Indre, est le nouveau président du Nau-tic-Club Castelroussin, club de natation sportive affilié à la Fédération Française de Natation. L’ancien marin va également devenir moniteur de la Société nationale des sauveteurs en mer (SNSM), en charge de faire passer les permis bateau sur le lac d’Eguzon. lanouvellerepublique.fr

INDRE-ET-LOIREl Départ pour la DGGN Le capitaine Eddy Benes-teau est affecté à la Direction générale de la Gendarme-rie (DGGN) après quatre ans au poste de commandant en second de la compagnie d’Amboise. Le chef d’esca-dron Hugonnet a salué les mérites et l’engagement de son adjoint lors de la ges-

tion des récentes crues de la Loire et du Cher. Son rem-plaçant, le capitaine Coppin, arrive d’Evry où il comman-dait le Peloton de surveil-lance et d’intervention (Psig).

LOIR-ET-CHERl Carrière « palpitante »Le major Joël Pastoret, com-mandant le Psig de Blois a posé son képi après un peu plus de 38 ans sous l’uni-forme. D’abord gendarme mobile à l’escadron de Ville-neuve-d’Acq (Nord), il pour-suit sa carrière en départe-mentale à Douai (Nord) où il rencontre sa future épouse avec qui il a deux enfants. Il arrive en région Centre en

2002, d’abord affecté au Psig de La Châtre (Indre) puis à la brigade de Saint-Aignan et enfin au Psig de Blois. Il a a été promu cette année au grade de chevalier de l’ordre national du Mérite.

lanouvellerepublique.fr

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Le major Pastoret, entouré de ses proches, lors de son départ en retraite.

RECTIFICATIF Dans l’édition n° 2 de notre tri-mestriel Centre-Val de Loire, en page 20, la photo en haut à droite représente le colonel Quentin Cotton de Bennetot, commandant du groupe-ment d’Indre-et-Loire et non le lieutenant-colonel Franck Duruisseau.

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En brefLoiret

FuiteL’automobiliste impli-qué dans une collision avec un motard sur la RD 2157, le 15 mai au lieu-dit Bagatelle à Rozières-en-Beauce, a été placé en garde à vue pour délit de fuite. Le motard avait été bles-sé aux jambes.

ImmergéeUne voiture baignant dans l’eau, c’est ce qu’a découvert un habitant d’Autry-le-Chatel en allant se promener près de son étang début juin. Les gendarmes de Briare ont retrouvé le proprié-taire du véhicule, victime d’un cambriolage et du vol de sa voiture trois mois auparavant.

Stage motoLa Gendarmerie organisera un stage de sensbilisation des jeunes permis motos le 18 septembre. Maniabilité du véhicule, freinage d’urgence… différents ateliers sont proposés gratuitement sur inscription à :

opération.sensibilisation.moto@

gmail.com

A compter du 1er août, le général Michel Pidoux, c o m m a n d a n t de la région de

gendarmerie Centre-Val de Loire est nommé comman-dant en second de la région de gendarmerie de Pro-vence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) et commandant en second de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud. Fils de gendarme, frère de gendarme (le général Alain Pidoux commandera à partir

du 1er septembre la région de gendarmerie de Bretagne) et neveu de gendarmes, Michel Pidoux compte déjà près de 30 années au service de l’Institution. Ce père de trois enfants âgé de 54 ans est entré en Gendarmerie en 1989. Saint-Cyrien, il débute sa carrière dans l’armée de Terre en tant que lieutenant au 51e régiment d’artillerie de Wittlich en Allemagne. En 1989, il entre à l’Ecole des officiers de la Gendar-merie (EOGN) à Melun et commande l’année suivante,

l’escadron de gendarme-rie mobile de Saint-Amand Montrond. Hispanisant, breveté de l’école d’état-major de Bue-nos Aires, il devient Attaché de sécurité intérieure adjoint (ASIA) en Argentine de 2002 à 2005. De retour en France, il est affecté en tant que colonel, à la tête du grou-pement de gendarmerie de l’Oise au moment de l’état d’urgence et des émeutes des banlieues. En 2010, il prend le commandant du Centre national d’en-

Le général Michel Pidoux quitte la région Centre-Val de LoireCommandant de la région de gendarmerie Centre-Val de Loire depuis 2013, le général Michel Pidoux passe la main au colonel Pascal Segura, désormais en charge des 4 500 gendarmes de la région.

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Alain Dumait en compagnie du général Michel Pidoux, le 26 octobre 2015 dans son bureau à Orléans.

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Le général Michel Pidoux avait accordé une interview à « L’Essor » en octobre 2015. Retrouvez le compte-rendu de cet entretien en pages 8 et 9 du supplément n° 1 Centre-Val de Loire <bit.ly/EssorCVL1>. Spécificités de la région de gendarmerie Centre-Val de Loire, liens entre actifs et retraités, attractivité du territoire pour les jeunes gendarmes, … ce sont quelques-unes des questions que nous avons eu l’occasion d’aborder avec le général Pidoux lors d’un entretien vidéo. Pour le vision-ner, rendez-vous à l’adresse suivante : <bit.ly/generalpidoux>.

traînement des forces de Gendarmerie (CNEFG) de Saint-Astier avant son affec-tation en région Centre-Val de Loire à partir de 2013. Commandant de la région de gendarmerie Centre-Val de Loire, outre la sécurité générale et la lutte contre toutes les formes de délin-quance, sa priorité a porté sur la sécurité routière. Face aux mauvais chiffres de la mortalité routière, en particu-lier dans le Loiret, le général a multiplié les contrôles et opérations de surveillance visibles. Le général Michel Pidoux est remplacé par le colonel

Pascal Segura. Précédem-ment adjoint au chef du ser-vice de défense, de sécurité et d’intelligence économique au ministère de l’Ecologie et du développement durable, le colonel Segura a notam-ment commandé la compa-gnie de gendarmerie de Tou-lon (Var) et le groupement de gendarmerie de Haute-Ga-ronne. Il aura désormais sous ses ordre quelque 3 500 gendarmes, appuyés par 1 000, sans compter les huit escadrons de gendarmerie mobile de la région, gérés par le commandement zonal de Rennes (zone de défense et de sécurité Ouest). n

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Dans la fraîcheur mati-nale, une quarantaine d’hommes et de femmes se rassemblent à l’entrée du bâtiment principal pour

le deuxième appel de la journée. D’un ton dynamique, Billy Titus, ancien CRS devenu policier assistant médico-social (PAMS), égrène les noms des patients, en grande majorité gendarmes et po-liciers, de tout grade et tout horizon. Dans ce château de la Loire transformé en centre de soins, un écrin de verdure de 80 hectares, ils vont vivre ensemble pendant deux semaines à deux mois, le temps de se reconstruire.

« Ici, les valeurs de solidarité et de frater-nité, la devise de l’Association nationale d’action sociale pour les personnels de la Police nationale et du ministère de l’Intérieur (Anas), ne sont pas de vains mots », insiste Frédérique Yonnet, di-rectrice de l’établissement depuis cinq ans. Gendarmes et policiers arrivent ici sur les conseils de collègues qui ont dé-celé chez eux des signes de détresse. Des patients « toujours plus précari-sés », mais aussi plus jeunes, remarque Frédérique Yonnet : « Ça me frappe tou-jours beaucoup d’apprendre que des policiers dorment dans leur voiture, à proximité de leur lieu de travail. »

Ainsi ce jeune gendarme mobile a connu l’errance avant d’être orienté vers le centre de soins du Courbat par un médecin de l’hôpital militaire Percy (Hauts-de-Seine). Il y a cinq ans, suite à un problème d’endettement familial, il consacre sa solde à régler un lourd emprunt. Une situation intenable pour ce sous-officier cité à l’ordre de la di-vision pour une action au Kosovo. Il trouvera réconfort dans l’alcool. Consi-déré par la Gendarmerie en congé maladie longue durée (CMLD) après 180 jours d’arrêt, il lui est demandé de quitter la caserne ou de régler un loyer mensuel de 1 300 euros.

Le Courbat, l’établissement qui remet les gendarmesd’aplombC’est le seul centre de soins en France dédié aux professions de la sécurité intérieure. L’établis-sement de santé Le Courbat, au Liège (Indre-et-Loire), fondé par des CRS, s’est progressive-ment ouvert aux gendarmes. Il aide à surmonter dépression, burn-out ou alcoolisme, et mise sur une « ré-athlétisation » pour un retour en service. Reportage.

L’établissement, volontairement isolé, assure une prise en charge principalement tour-née vers le retour en service dans les meilleures conditions sociales, physiques et psy-chiques.

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Historique L’Anas Le CourbatL’histoire du Courbat est étroitement liée à celle de l’Anas. L’Association nationale d’action sociale est née en 1949, de la vo-lonté d’une poignée de CRS du Syndicat

national indépendant de la Police (Snip-CRS) qui ont consacré une partie de leur solde pour venir en aide à leurs collè-gues malades ou en difficultés. En 1952, l’Anas achète le château du Courbat, qui devient son établissement de santé. Un établissement qui, peu à peu, s’est ou-

vert aux gendarmes, aux pompiers, aux personnels pénitentiaires et aux patients de la région Centre-Val-de-Loire. L’Anas et Le Courbat sont reconnus d’uti-lité publique depuis 1977.

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Région CENTRE ›› Juillet-Août-Septembre 2016. Supplément au n° 496

Il devient SDF, subit une hos-pitalisation pour alcoolisme et vit du RSA, avant d’arriver au Courbat. « Une chance » reconnaît ce gendarme qui en-visage désormais de réintégrer l’Arme. Un moral retrouvé grâce à une ap-proche thérapeutique individualisée, où les activités sportives ont une place importante. Piscine, tennis, volley, course à pied, marche, musculation… les patients s’engagent à suivre, chaque semaine, au moins trois séances de sport. « La douleur psychique est sou-

vent associée à la douleur physique. Nous travaillons notamment sur les lombalgies chroniques des gendarmes, liées au port des charges et au stress inhérent aux missions », explique Fré-dérique Yonnet. Il faut dire qu’addiction et dépression vont très souvent de pair avec séden-tarité et manque « d’élan social ». Le programme de prise en charge est donc orienté sur la « ré-athlétisation » des patients, avec un travail sur l’endu-rance, « capacité la plus représentative de la condition physique générale », affirme Stéphane Rolland, enseignant en activités physiques adaptées. Pour mesurer l’endurance, des tests d’effort sont réalisés au début, au milieu et en fin de séjour, et des résultats positifs sont observés. « Sur les tests de vélo, on remarque une baisse du rythme car-diaque de quatre à cinq pulsations en l’espace de six à sept semaines, soit une diminution de l’ordre de 7 à 8 % », relève l’enseignant.

Dans cet établissement, reconstruire l’estime de soi passe aussi par des groupes de parole, des séances d’infor-mation sur les addictions, ou des ate-liers artistiques où chacun laisse libre cours à sa créativité.

RETOUR EN SERVICE Une quarantaine de personnes for-ment l’équipe du Courbat, où la prise en charge des patients est assurée à 100 % par l’assurance maladie et les mutuelles. Une équipe également sou-cieuse du suivi de chacun, en amont comme en aval du séjour effectué dans l’établissement, selon sa directrice : « Nous avons mis en place une fiche de liaison avec les médecins de la Police. Quand un patient rentre par l’intermé-diaire d’un médecin de prévention, son suivi est assuré. » Frédérique Yonnet affirme d’ailleurs être à la disposition de la Gendarmerie pour la mise en place d’un dispositif similaire. Le taux de rechute est ici de 30 %, un chiffre en deçà de la moyenne na-tionale. L’établissement, qui compte 56 lits, ne désemplit pourtant pas. Du fait des attentats, Le Courbat a accueilli jusqu’à 70 patients en permanence de mars à octobre 2015, et on s’attend à de nombreuses demandes liées à l’état d’urgence. n

Les 80 hectares du parc du Courbat, un havre de paix pour la reconstruction des policiers et des gendarmes.

Billy, ancien CRS devenu Policier assistant médico-social (PAMS), procède à l’appel quatre fois par jour, afin d’instaurer rigueur et repères.

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L’accompagnement passe également par des ateliers de création, comme, ici, la sculpture sur pierre de tuffeau.

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Directeur de la publication :Alain DumaitResponsable de l’édition : Nathalie DeleauDirecteur artistique :Stéphane AbbruzzeseMaquette : Nathalie Moreau

Correction : B. P. de FabrèguesBande dessinée : Gérard Rombi & Jean-Pierre FabreDessins : JalaAbonnements : A.M. DomingosRégie extérieure : Agence CAPE<regIe.cape@lessor.org>

Imprimerie : Léonce DeprezZI - 62620 RuitzRoutage : France RoutageC.P.P.A.P. n° 0621 G 80636Dépôt légal : 3e trimestre 2016

L’ESSORDE LA GENDARMERIE NATIONALE

Pour contacter « L’Essor » :RPA - L’Essor de la Gendarmerie : Direction - Rédaction - Publicité - Tél. 01 40 36 44 64ADRESSE POSTALE : L’Essor de la Gendarmerie 9, rue Bleue 75009 PARIS

ADRESSES COURRIELS : Secrétariat : contact@lessor.orgRédaction : centre-val-de-loire@lessor.orgAbonnement : abonnement@lessor.orgPublicité : lessor.magazine@gmail.comwww.lessor.org

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https://www.linkedin.com/groups/LEssor-GendarmerieCe numéro est tiré

à ??? exemplaires.

« Ma carrière a tou-jours gravité autour de la culture et des langues s laves », affirme le chef d’es-

cadron Stéphane Barbe, pendant quatre ans à la tête de la compagnie de gendar-merie départementale de Gien. Cet attrait n’est pas le fruit d’un héritage fami-lial mais d’une « détection ». Lorsqu’i l intègre l ’école nationale des sous-officiers d’active (armée de Terre) de Saint-Maixent-l’Ecole en 1994, il réussit avec succès des tests d’aptitude pour le Russe. Le jeune sous-officier intègre en 1996 l’Ecole interarmées du renseignement et des études linguistiques (Eirel) de Strasbourg. A l’issue de cette formation, il devient intercepteur au 44e régiment

de transmission de Mutzig (Bas-Rhin). Les temps de commande-ment « bien plus longs » de la Gendarmerie vont le convaincre d’emprunter, en 2001, l’avant dernière pas-serelle existante entre l’Ecole mil i taire interarmées de Coëtquidan (Morbihan) et la « quatrième armée ». Stéphane Barbe effectue alors une année de forma-tion à l’Ecole des officiers de la Gendarmerie à Melun où il rejoint la 106e promotion. Sa carrière en Gendarme-rie est lancée. Il commande un peloton d’intervention de l’escadron 13/6 de Nar-bonne durant trois années, avant de rejoindre le Centre nat ional d’entraînement des forces de Gendarme-rie (CNEFG) à Saint-Astier (Dordogne).

Sa culture slave le rattrape. A Saint-Astier, il s’occupe notamment de stages à des-tination des forces de l’ordre des pays de l’Est et part en Ukraine à plusieurs reprises pour former des troupes à l’intervention profession-nelle. Puis, à partir de 2008, commandant de l’escadron 31/2 de Toulouse, il part quatre mois en Géorgie en tant qu’adjoint de la cellule renseignement pendant la deuxième guerre d’Ossétie du sud (province séparatiste de Géorgie) avec la Russie.

En 2012, par choix person-nel, il prend le commande-ment de la compagnie de gendarmerie de Gien. « Je voulais connaître la départe-mentale après avoir effectué presque toute ma carrière en mobile », souligne le chef d’escadron.Dès l’été, c’est désormais en tant qu’attaché de sécu-rité intérieure adjoint (ASIA) à l’ambassade de Moscou qu’il poursuit sa carrière. Il s’agit de l’un des soixante seize services de sécurité intérieure. n

Direction Moscou pour le commandant Barbe

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Le chef d’escadron Stéphane Barbe, 44 ans,

rejoint l’ambassade de Moscou.

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Depuis sa créa-t ion en 2010, la section krav maga du Club

de sports et de loisirs de la Gendarmerie du Loir-et-Cher (CSLG 41) s’est bien développée, pas-sant d’une quarantaine de membres à plus de 80 licenciés aujourd’hui. Chef de groupe au PSPG de Saint-Laurent-Nouan, l ’adjudant-chef Jean-Pierre Lemoine a d’abord obtenu un créneau pour enseigner la discipline au sein des locaux de l’es-

cadron 46/3 de la gendar-merie mobile à Blois. Puis, en 2011, de nombreux civils ont rejoint la section replaçant, malgré eux, des gendarmes trop pris par leurs obligations profes-sionnelles. Retraité de la Gendarmerie depuis plus d’un an, Jean-Pierre Lemoine a formé deux jeunes instructeurs pour assurer les cours. Parmi eux, Julien Hatton, réserviste de la Gendarme-rie et l’un des cinq repré-sentants français du cou-rant Aikma du krav maga.

« Notre objectif est que les gens s’épanouissent au travers de cette pratique. On est aussi amenés à parler de vraies situations d’agressions dans la rue », affirme Julien Hatton. L’association, qui propose déjà de deux séances de krav maga à Blois et Ville-baroux les mardi et jeudi, s’apprête à ouvrir deux créneaux supplémen-taires au club omnisport de l’Abeille des Aydes (ADA) à Blois et pourrait proposer la discipline aux seniors prochainement. n

CSLG 41 : le succès de la section krav maga

SPORTS ET LOISIRSEN BREF...

CHER RMBS Cinquante sept militaires blessés en service dont neuf gendarmes ont participé à la 5e édition des Ren-contres militaires blessures et sport (RMBS) du 29 mai au 25 juin, à Aubigny-sur-Nère et Bourges. Des stages multisports d’une semaine sont proposés aux militaires dans le cadre de leurs parcours de soins sur deux sites qui bénéfi-cient d’équipements handisport.

EURE-ET-LOIRCross110 coureurs ont participé le 27 mai à la 8e édition du traditionnel cross des gendarmes de la compagnie de Nogent-le-Rotrou. Un parcours de 8,8 km autour du plan d’eau de la Borde, à Margon. lechorepublicain.fr

INDREEspoir du triathlonLa gendarme adjoint volontaire (GAV) Audrey Merle, a terminé à la 5e place du championnat européen de triathlon (natation, cyclisme et course à pieds) qui se tenait à Châteauroux les 25 et 26 juin. A 21 ans, Audrey Merle, a déjà rem-porté le titre de championne du monde de triathlon dans la caté-gorie Espoir en 2015. Elle est aussi la première triathlète à intégrer les rangs des sportifs de haut niveau de la Défense de la Gendarmerie.

Le bulletin d’inscription est sur le site Internet <www.selfcontact41.com>

Entraînements : - Le mardi de 19 h à 21 h à l’escadron 46/3 - 22 mail Pierre-Charlot, 41000 Blois- Le jeudi de 19 h à 21 h à la salle des fêtes - rue des Ecoles, 41000 Villebaroux

Mail : kravmagablois@gmail.comFacebook : www.facebook.com/selfcontact41

Pour s’inscrire :

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La « clef de bras », technique permettant de neutraliser l’adversaire.

Patrice Elophe (à d.), instructeur international de Krav Maga, a enseigné ses techniques le temps d’un après-midi de stage ouvert au public le 18 juin.

Audrey Merle à l ’état-major de la région de gendarmerie d’Ile-de-France, qui a appuyé son intégration en tant qu’athlète de haut niveau de la défense de la Gendarmerie.

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L’édition régionale Centre - Val-de-Loire de « L’Essor de la Gendarmerie » est disponible en version numérique sur notre site <www.lessor.org>.Le journal imprimé est envoyé ou acheminé vers toutes les unités de la Gendarmerie des deux régions, à un nombre d’exemplaires en principe égal aux effectifs. Merci de nous signaler les unités qui n’auraient pas été servies, et prendre la peine, svp, de nous indiquer le nombre d’exemplaires que vous souhaitez recevoir <centre-val-de-loire@lessor.org>Nos annonceurs reçoivent et peuvent distribuer ce journal.Sa version papier sera également envoyée gracieusement à tous les abonnés de l’édition nationale qui le souhaitent et qui le demandent.

A la faveur de la nouvelle législation, accordant aux mili-taires le droit d’association, l’Union a modifié ses statuts pour permettre aux gendarmes en activité d’y adhérer. Les UD auparavant dénommées « Unions des personnels retraités » deviennent progressivement « Unions des personnels et retraités » au fil des assemblées générales.

Les Unions départementales des personnels et retraités de la Gendarmerie (UDPRG)

Assemblées générales

Pierre Chambrier (à g.), accompagné des cinq médaillés d’honneur de l’UNPRG : (de g. à d.) Henri Le Flem, Jean-Louis Bortoli, Paul Procureur, René Desbrousses et Michel Mereau.

Yvette Sauvaget accompagné de ses filles et du président de l’UDPRG d’Indre-et-Loire Philippe Lebeur (à g.).

UD37 - INDRE-ET-LOIREYvette Sauvaget, centenaire, a reçu le 27 juin la médaille d’honneur de l’UNPRG. La médaille lui a été remise par le président de l’UD d’Indre-et-Loire Philippe Lebeur à l’Ephad d’Onzain (Loir-et-Cher), là où elle demeure puis deux ans. Originaire de Descartes (Indre-et-Loire), Yvette Sauvaget est la veuve d’Olivier Sauvaget. Président national adjoint de l’UNPRG à l’époque de Jean Cousteix, cede dernier avait organisé le congrès national de Tours en 1964.UD36 - INDRE

L’assemblée générale s’est déroulée le dimanche 17 avril 2016 salle Carnot au Blanc sous la présidence de Pierre Chambrier. Le conseil d’administration a été renouvelé. Cinq médailles d’honneur de l’UNPRG ont été remises à Henri Le Flem, Jean-Louis Bortoli, Paul Procureur, René Des-brousses et Michel Mereau. Le repas de clôture a été pris en commun au cercle mixte du COMSOPGN du Blanc.

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