viS.-SEPTIF.mr.;ANNEE

ABONNEMENTSegia 12 fr.. 6 mois. 23 fr.; 1 an, 45 ft. BUREAUX A PARIS i46, Rue slo 46 Acèoctteeoot'j Téléphone Bergère 3e-sa

quelqu'un qui me demandaitsson opinion sur la situation; je re-naudais

s Ce qu'il faut, c'est que lem

gou-eulecnt, issu de la volonté na-

Joual," et représentatif de toutes lesdifférentes forces de progrès social,sit l'audace et la vigueur d'un Comi-té de Salut Public ».' Je croyais voir bondir mon inter-locuteur ; il n'en fut rien, rc C'estévidemment me dit,iiL l'opinionque l'on a dans le pays. »

L'audace est plus que jamais né-ressaire. Il en faut pour culbuter lesrésistances, il en faut pour asseoirlu politique nouvelle. C'est une lutteque les forces de l'avenir doivent li-vrer aux forces du passé ; de son ré-sultat dépendent, à la fois, la Paixet les transformations sociales quele monde nouveau appelle.

Ne nom leurrons pas, la bataillesera rude, car non seulement il nousfaudra construire, mais encore déni.-lie les uvres que sons prétexte de

liquidation des affaires courantes »le gouvernement de l'ancienne ma-jorité dresse sur /a route de la nou-velle législature.

Nous ne sommes pas surpris, parexemple, d'apprendre que M. Lou-cheur, rééditant le coup de 1919,crée, au lieu et place du ConseilEconomique réclamé par tous Ceuxqid parlent au nom de l'intérat géné-ral, e un bon petit conseil de famil-le » qui comprend la représentationdu monde patronal, d l'exclusion desmnsommateurs et des véritablesproducteurs.

Peut-être M. Loucheur espère-t-il,par son Comité consultatif supérieurdu Commerce, barres la route aufauseil Economique ou bien obliger

JEUX DE COULOIRS La derniere haranguede M. Poincaré

Nous lisons oBons Palis-SoirLequel oteelasdechaisaed'sr-

- Est-ce vraiment un tuyau sérieux ?C'est totiours le grand favori I

Où pensex-vo a sue séchaegent. cesPre'a ? à Longchamp ots à Auteuil )'Non pas, mais bien au Palais-Bourbon,ai chaeùe cnse ministérielle lance damles couloirs trépidants les gens a bien '

formés », a la recherche des PestantsProl,ables, des n gagnants s et des e pl.isée

imagine très bien le a bonk n me-ssie. ceti s'installerait na pied du Lao.

Cgi se tortlle sans se lasser. tel undiscoms de feu M. Belle, et donneraite Briand, à cinq contre un, FrançoisAlbert à six. X... à parité, Y... poteEen 1 »,11 e gagnerait sa vie. Mais vous ima-

fonegyous la mine affolée de l'excellentM. Pierre ?

X

Il meuble à peu près certain que leFonterès socialiste se pronmecera contre

Participati., mais noue une Politiqueee » soutien il, polit:g/Le continue, loyaleet efficace telle oue l'ont définie MM.Igenaudel

ce Conseil Emnomique is s'intégrerdans les cadres du Comité Supérieurdu Commerce et ainsi restreindre sonaction, n'aboutir cm% l'impuissance,étant donné qu'il n'aurait pas, dansces conditions, tous les éléments desproblemes à traiter.

Cette manoeuvre, car s'en est une,doit être déjouée. Il n'y a pas d'autremoyen que la suppression pure etsimple de l'innovation réactionnairedu ministre du Commerce. Mali,'naturellement, pour cette questioncomme pour les autres, i/ ne sera pastrop de toutes lesforces coaliséesdes éléments de gauche, des élémentsunis non seulement par de vaguesaspirations, niais sur un programmenettement déterminé et Procédantdes aspirations populaires.

Répétons-/e, des espérances exis-tent, que /es tenants dis passé es-saient dei/1 de neutraliser. Mais lesrésistances de ces velléitaires s'évalriottirOnt rapidement si l'on sait al-lier à la volonté l'énergie créatrice.

Répondre aux aspirations du pays,tel est le devoir d ugouvernement dedemain et de la nouvelle majorité.

Ce n'est pas seulement dans notrepays que ces espoirs sont, c'est par- Ihait où il y a des organisations so-ciales aspirant à des temps meilleurs.

Nous sommes, en quelque sorte,/es arbitres des destinées de la dé-mocratie internationale. Nous som-mes maintenant au seuil de la paix.Il dépend de nous qu'elle soit.

La tache est ardue, mais combiennobles et féconds en seront les résul- 'Iota si nous savons agir ! L'avenir estaux audacieux. Vouloir, c'est pou-voir. Saura-t-on vouloir ? Tout estlà.

Léon JOUHAUX

Paris, 26 mai. Aujourd'hui, au coneseil général de la Meuse, MI Poincaré aprononcé un grand discours dans lequelnous relevons les passages suivants e

I. Le président du conseil estime quet'échec subi aux dernières élections estdû en grande partie à une mauvaise loiélectorale ;

2° Le gouvernement qui se retire peutregarder avec fierté 'ne noir accomplie

3° La police de la Ruhr a été sahmairePuisqu'dle a provoqué notamment le cars.port des experts qui a été adopte en prm-cipe par toutes les notices;

4° M. Poincaré ne omit pas à une col-laboration fidèle et durable des radicauxet des socialistes au pouvoir.

Le président du conseil reprend toutesa liberté d'action n'écrira poscles pour les 1Ourranar, ainsi qu'il a éteannoncé, mais il demeurera à son beincau Sinat et montera à /a tribune toutesles fou au il croira que son interventionpourra être trtile à son puys.

Espérons que cela n'arrivera pas fré-tale guerre:rient.ans ce cas, une memon reste pour.

isrIt Polie les socisestes oeuvent-ils vo.ler certains crédits, ceux de la Ruhr pour LISEZ ET FAITES LIRE'«eneole ? LE a MIDI SOCIALISTE .Jn journejiste socialiste, bien rennesbe'q la oristiciti de son esprits tram»é la solution e c'en bien simple, au lieuIrae:Peler cm crédits des crédits d'oc.conation t, il n'y a qu'à les dénommerrr,hlits r d'évacuation s...1/ Peut y avoir là plus qu'une plaisan-

e une politique...

Les élus du 16 novembre étaient res-ee fidèles au scrutin immoral, injmte etIncompréhensible, emi les avait fait élireat n'ont pas eu du reste t, ses féliciter.Les élus du II mai ont, au contraire, l'in.tmtion de donner au plus vite au pays'nPublicain, la réforme électorale qu'ilsttend.

Mais le retour au scrutin d'arrondi.e.Inent présente certaines difficult' dansles modalités transactionnelles. C:nereentse feront les élections pasteilks ?

Dans certains départements, il y aanondissements notoirement réac-

iiIstinaires. d'autres feencièr_cment%cama ou soclabstes.

Due le sort tombe ,préeisérnent sur Ear-Itindissemént anirrel songeai l'élu socle-

ts du Cartel alors que c'est un réaction.45eterc,Ite ezlt,irlio.édé, on

Si fon tirait aussi ars sort les dépurésii`.4.,,rl0r,tivent mourir_ »s 1:apposé un

IJr.X

aulnes promène à travers les cols..ne mine désolée et inceiète. C'est

o national H.P.. Cassier. e Je %sisetFZerid vairon. du I I mai » En11/1,r.0,9,1i a enlevés tous e Tardieu.

Daudet, Muratd.,.'n%tettr, les lunettes >am vent, CassIcskees-Z... de nouvelles victimes. Tranetral.

II en 'zoneras.... a

S O CIAtISTERés/action et Ashainimessioa e 3G, Rue Itequelaie TMOUSE o-43 Coepts Citègoss poste.. i6o..71

Cela vous apprendra â vous moquer de mot

AU JOUR LE JOUR

Pour les SportsOs pleine Olympiade, comment ferler d'autre

choee gNaturelterneni ils froment encrer, des aigrie-

tram. ê y a en...0 ils braues gant Puer lesle dtn,senteneieux Faites altentimo.

Faites attention. I.es ...micaschina,»,.treinentun dangereux surmenage. Prenez groc6s

I» scoliose à ia cyphase, el maires ostéomyélite..Depuis icagifinp. les Ans/ars s'en sont «parias.Craignons de fariner de ces hem-ales dom parla

kue:7;oulis,. ,rrrOiruàIos don IsSOm

Ne exercices phasin'ttee doioeniêtre aureeillés atientioemeni, et par des médecins,au aseraerd de la puberté.

Mais moyenne. Co. réserVe du ben serse,comblar il pat se ,éjouir do noir se décelopparen noire pays le sport, ou, ',oie user du pieuxmot français, 1¢ s desport n des cheualiersJoe.

Nate acons à rattraper des sie.eles d'ignorancesportive. rap longtemps les collègna% ont été

ee reaer, et lama éléves t carmeen fait d'exercices 'Axera..., comme an mecsde Montaigne, ogre let dire., et le, imper.. deleu. amataters.

Trop /casser,, noas acon, développé la na.lare harnefie d'an seul calé Yess ae,erta dee-mé Ia beauté du corps ,e mus rimas détruit.Par eérectien mers arme» obtenu cracbarrebinchevaux. Nous 000rts laissé pulluler parmi /eshonnies aie sidiceres as.otons.

gejognelng enfin, «crame er. Siatirns d.alo,foie sut adordrent na jecne hamme pare sa beetste et darde«nr an rang dos dira,, nont

FruldNe. Voilà un n'andante de ,de_nêrceme.

Sig un tenait, de jeux, dans erce le soleilor 1¢ imaigro, offrir le onectucle de la or, etO, /a samé phyfigae, ce'ra criy, P,(1 i cit confé-rence. sanao lakeerifine et centre ie. salas Ma-

speciaiee roi perrilear cm haparfiene. pilles.

¢-eiera

La Politique anglaiseM. LLOY// GEORGE REMPLACE

M. ASQUITHLondres, 26 mai. is suite de la con-

femme libérale de Brighton, onr annonceque M. Asquith serait à ta veille d'aban-donner la direction du parti libéral. Selonle corYespondant parlementaire du r Stm-Clay Express s, c'est M. Lloyd George quiaurait ilésormais les plus grandes chancesde lui succéder en qualité de /coder offi-cie/.MAC DONALD VA POSER LA QUEST/ON

DE CONFIANCELositires, 26 usai. -- Le rédacteur parle-

merda.° du s Daily liérabl a croit savoirque s'il est battu aux communes sur l'unedes daines essentielles du projet de loirelatif h ia .constructiorx d'habitations col-vrières, le mbinet ',mitera sa stemms]oy etdemandera au roi da dissoudre la Cham-bre. Ce projet de Ici sera déposé très pro-chainement.

L'ANGLETERRE VA REORGANISERSES FORCES AERIENNES

Londres, 26 ruai. -- Le nouveau program-me de la réorganisation de l'aviation apour base d'amener une complète coopé-ration des forces mil:faces, navales etaériennes. Lorsqu'il sera terminé, six centsavions de prembIre figue d'un type mo-derne et un nombre égal de machines deréserve seront erras/mes exclusivement à laMen., des cites britanniques. Toute forceaérienne qui chercherait u envahir Laèrende-nretaane aurait s Percer Pour lemoins quatre ligues de défense.

La flottv sera dotée de bateaux votants,dent que/nues-uns seront de proportionsgertntes, d'hydravions et de machines por-tées par des bateaux spéciaux. Les avions,pour la défens, des côtes, seront munis demoteurs de 1.006 H. P., pouvant porter uneburnbe de 1.000 kilos. Les avions pour l'ar-taque et la reconnaissame seront de mé-tal et munis de mitrailleuseS. Le program-me conlerend aussi des avions de bombar-dement et serait déjà en bonne voie d'exé-cution. Vingt nouvelles bases seront éta-blies Tannes Prochaine.

20 CENT.

Pourquoi les réactionnairestrayent-ils des armementl'Allemagne 7

Si elle est arnee, n'est-ce pointleur Faute?

.111.

La Paix à tout prix« La Paix à tout prix » suivant la

parole célèbre d'Armand Carrel, fûtappliquée par lui au ministère Pé-rier, dont la politique s'inspirait duprincipe de non-intervention pousséà l'extrême limite. Aujourd'hui, cettephrase est passée dans le langagecourant revêtue d'un caractère quimortifie...

Vouloir e La Paix à tout prix »,d'après certains, c'est être atteint depoltronnerie, de lâcheté invétérée,c'est être prêt à faire toutes les con-cessions dans Linteret de sa tran-quillité, à sacrifier sa dignité mêmeà son propre repos. Telles ne sontpas pourtant nos intentions. Et mal-gré le discrédit, malgré le caractèreblessant qui s'attache parfois au motin pacifiste », malgré la définition ca-lomnieuse qu'en donnent les batail-leurs et les preux XX, siècle, nouscontinuerons d'avoir la ni paix » pourbut, pour aspiration, pour tendresse.

L'âge héroïque est effacé ; ce n'estplus au moment où la mortalité fran-çaise croît, où la fécondité ne cessede diminuer depuis un demi-siècle,qu'il nous est possible de caresserdes rêves de gloire. L'Angleterre, l'I-talie, le Japon ont plus d'enfants quenouS. L'Allemagne en a presque ledouble ; inutile parconsequent d aug-menter notre fâcheuse situation démographique par la guerre ; inutilede chercher à rivaliser par la courseaux armements avec des nattons quiont une densité de population deuxou trois fois supérieure à la notre.

La France d'aujourd'hui, commela Grèce de l'antiquité, doit recher-cher l'honneur et l'éclat dans le pro-grès.Nous devons être paeitlistes mais11011 pas à la mode des Romains quiavaient élevé sur la voie sacrée untcanple magnifique it la paix, ce iln1ne les empêchait pas d'être toujoursen guerre. Ce n'est pas en effet enmutipliant /es attributs ordinairesde la paix, ce n'est pas en faisant

Nos élect:oos et Mutage

Le Temps publie une lettre d'un cor-resmodant en Allemagne eteli débureainsi ,

« Quelqu'un de la droite du Reichstagme dieait riceimnent

La farce le plm détestable quo pourvan no. touer I ennerzu héréditaire,sont les élections du 11 mai,

e Tout d'abord, elles ont ruiné les es-poirs fondés sur la constellation euroPé-pmrine, le profitable ni isolement » de laPrunus. Je vous avoue que te fi, ...Emspas exaafirfirment. à cet Isolements car.moi, je lis les journauc,hollanclais et delangue anglaise. Men c mut isn excellentargument en vue de maintenir le coura-ge des patriotes trop facilement défail-lants ene tara de la propagande franco-phile de notre presse da gauche riche-ment dotée, bien rédigée, trop répandue

encore pour q ,'on pLisse déshabituerdu cou, de cette lecture torique notrepubillic naïf et indolent.

MARDI 27 MAI 1921

Me»

graver une branche d'olivier, un ca-ducée ou une corne d'abondance surnos thnbres-postes ou sur nos piècesde monnaie que nous ferons figurede pacifistes. La paix ne se repré-sente pas une lance à la main, ouune massue aux doigts. Commençonspar récuser la force dans nos conflitsinternationaux, sacrifions moins àfarinée et à la marine, montrons-nous plus conciliants dans les confé-rences de désarmement et nous fe-rons alors quelque chose de signifi-catif.

Il faut que la France du 11 mairedevienne la France de la Révolu-tion, la rance pacifiste, celle dudroit et de la justice, qui ne fit laguerre que contrainte Par une néces-sité impérieuse de se défendre con-tre les ennemis intérieurs et exté-rieurs qui la menaçaient de mort. Lapaix doit étre le résultat de notrevictoire socialiste. Parconséquent,malgré les vociférations avinées desréactionnaires, en dépit des ineptiesde nos parlotes politiques qui, ayantun sentiment de révolte et des idéesembrouillées, viennent nous dire parrxeinple que l'Angleterre mérite d'ê-tre surveillée de près, malgré toutesces extravagames, soyons pacifistes.Tel doit être notre idéal, celui au-quel, dans la plénitude de notre cons-cience, nous devons vouer notre cuis-tenee. Cet idéal de paix, exposons-lechaque fois que Pocamon s'y prête,simplement, ardemincid, faisons-leapprécier, adopter, ah..m.

C'est ains5 que de proche en pro-che nous arracherons insensiblementla foule à ces emballements ridiculeset odieux par lesquels elle se désole.Ne tenons aucun compte du préjugégrotesque qui taxe de lâche celui quidéteste la guerre. car comme le di-sait Alfred de Musset r rc La Paixquand on la veut, c'est encore la vic-toire. »

A. RAUZY

Le vote des femmesVad-il provoquer une crise ministérielle

en Belgique ?Les droitiers partisans de la discussion

'Lediate de la proposition accordantle droit de vote aux femmes pneu les

e'lelcc2mr,mercredi, la mise à t'ordre du jour decette proposition. Cédant y. la demandede certauss cle leurs colLguen Ils ont de-aidé d'amumer leur mitùion o rnerored'prochain. Il Y ai,sb aç a1,1,t 0e ,nrereie,zereg deUgmerre,,,,ant, les libéraux étant dicklies

der 1 ajournement de la ques-tion On sait ie. si lu run'oriti de 1

CharereLee repaisse leur motion. la parti-cipation des libéraux au gouvernementsera nuise en question.

Une assemblée nationale de leur partidéciderait de l'attitude doe devraientprendre MM. Masson, Neujean, Fort-/tomme. Hymans et Nolf.

Le sénateur et clép-té llouverlopte pour la Chambre

e Mnis aujourd'hui comment se dissi- tem de Saone-et-Lon-e, cm vient d etreParis 26 .mai. .Jean Bouveri,

marier que non seulement la Belgique etl'Angleterre, mais l'Italie et la ILLasie d67..," de,gg déPaiLcingent' g d.1j.-Soviets ont applaudi aux sugcès de , L.grg.gt r'er se ve. ejmn. -.-gauche française ? A Londres, on espère °.'"e'Mr du gne gm? e 9i0Iendtedes facilites après la chute de M. Poire, ele's-b'ggLboe le Piece eu el occmcari pour dorer la pilule one doivent ava- P'n'dare r'r" "'-ler avec le rapport Dawes, cm imbéciles 5 ".d'Allemands. A Rome, /es fascistes trou- M. Caillatrm r',ceepte pasvent p/m commode de traiter avec desgens qu'on omit moins capables la l'amnistiegangrène démocratique I de défendre Paris. 26 amai, M. Caillaux vient d'a-les tniérPss

l'n'<p0/ qdur ilunlu:ettariet àsavMoi rHeq'uln nedupoosurlra;meepter l'amnistie que ses amis veulent

Quant aux bolchevistm, s'ils me Pa- faire voter son égard, car de ce fait ilraissent joliment exaspérés dee succès reconnaîtrait la condamnation prononcéesocialistes, ils s'en consolmt en escompo itelui.J.i so an

cas, laeoonuialotre lere...rerur

tant l'accroissement coneidirable des commisechances de se faire reconnaître et de ete.olc s'impose.Propager .plus librement le nouvel évan-

ê Plus grave que tout cela m me semble I ic colingril,.

le changement d'opinion qui ?m, s'eePirhumain vaut 15 francs-----

en Antênque, où M. Poincaré avait, ms New-Mork, 26 maL Suivant une dé-dern, tnnuy., une de 0,/, eu pich- de Canyon (Texaa), le docteur C.-plus treatevaise. Nous autres, Al/ernands, A Incite, dh,'cteur des études chimiquesdonn tout tin," de ,dnd., au West Texas Teacher's Collège, vientcrfir. ce Lorrain têt, une fois disparu de J'établir, par des recherches analytiquesIi scène, tout conflit sérieux entre alliés que la valeur matirielle d'un corne lm,ne devienne ipso facto, impossible et voi- nein de taille ordinaire est de quimeIls coutre destinée d'esclaves scellée. » bfrancs. au mus actuel du dollar.

. Si fan résout en ses éléments Loastitu.Pour que le Temps le grand journal tifs le mrps d'un homme rosant 150 li-bourgeois ami de M. Poincaré publie rues,aperçoit déclare le domxle Ipareilles informations, il faut qu'il teur, Pierle qu'il contient la quantitéy ni" chose ct, chengè 51.55 le d'eau nécessaire pour /aver deux mu.auotitiosrue e.,érieore d, te Il mis. assez de fer pour faire lin serealclou, de la chaux en quantité riffisanteOue ?met en dim les Imeneux nalim pour blanchir tin ,petit poli/ailler et as-tullistes 2 sm de soufre pour tuer les puces d'unQuant à nous, nous y voyons la justifi- chien de bonne taille ». Et le chimisteeia,110,0 pleine et entière des idées que américain estime que, pore se procurermare parti a scotomes depuis deux chez le pharmacien ces divers inetbdietteils Miser« serait de 15 hune..

Ries qui ne .ogit préeu depuis des tempsquasi irnménogria% pour fre séancede rentrée.

où la Chambre nouvelle doit se réunir deNous voici à la veille du ler juin, jour

plein droit. Le lor juin est un dimanche.C'est donc une exception qu'il Y air sé-ance, ce iour non ouvrable, pour unerentrée de Parlement

Que se passera-La le dirreandm Incyuan ? Disons-le tout net r Rien que neSoit priva depuis des temps quasi-imsné-rrimiaux. Le programme est là r Dèsdeux heures de l'après-raidi, une foule,nen pas confia/mak/le, niais d'ense.

.cest la formule consacrée, -- stationnera; aube alentoms do Palais-Bond-Lion. Ellesema composée d'un tas de braves gens

1 un se seront monis defouis longtemps1 d'assister à cette séance d'inauguration e

électeurs, .ilectrices (heures), amies etanus de nouveaux dépotés, voue de dé-purés réélus. En principe, tout ce iniOn-de ama l'intention d'applaudir l'élu deson choix pour /e cas où il viendrait àprendre la parole dans l'enceint, sacrée.Le plupart de ces braves gens devrontse contenter de regarder les nues derrièreIssu-tels ii il se passe quelque chose ».

A 3 heures, heure rituelle, en effet, M.le professeur Pinard, doyen d'âge, ferason entrée dans la salle des séances, mi-vi vénémble et excellent M. Eugène

ierre, secretatre ennemi de la presulence, toucans et plis que jarnais » fidèleau poste », Il appellera à l'assister en

é. de secrétaires provisoires les sixqalituplus moyeu embres prisent» cle la nom

Le bureau d'âge uissiconstitué, M. le professeur Pinard

tera la sonnette présidentielle, ouvrira/a séance, tares que cesseront lesconversations particulières engagées,prononcera l'allie ilion d'usage, qui se-ra, naturellement, très applaudie, et nonpst seulement parce c,se kseur Pinard est le doyen <l'âge de /anouvelle assemblée, mais parce qu'il estun grand savant, un ferme réPobliceimet surtout ein' honnête homme.

Sur cmoi, mos:, un tirage au sort, jusdicieux et invisible, sud répartira laChambre eri Israelnc charters, d'examinerles dossiers délections, la sZ.ance seralevé''a. Le lendemain, lundi, leuhts botmaux vérifieront les dossiers ne.n conetestés. Les rats-sorts d'enthinerreentpresque seront publiés à l'Officiel dumardi 3 min. Dans I apressmidi du nul.rom jour, la Chambre statuera sur les mn.clmions d'e ces rapoorts, pourra aimivalider la plus grande partie de sesmunbres, et se déclare consittée. Cen'est qu'après cette fomalité indispensable qu'Il s agira de procéder à l'élec-tion du bureau définin

,Amrtors nous allions l'oublier !

que M. Malvy et que M. Marty élus, leplienmer dams le le ue,svd en Soiro.et-Câse, pénétreront dans la mlle des s0.-arme entre 3 heures 5 et 3 heures Ii,séparément, et qu'une ovation leur serafaite rat leurs remis respectifs, ovation àlaquelle réPondm es, contre-manifesta,don de la Part de la droite et d'une par-tie du nentre Montre en mains, le toutn'excê-lera cino

M. le Professeur Pinard, président d'h"-ge saura, nous n'en doutons ms,ouille-coin le bon renom de l'amernbléequi vient...

Henri EDr SAPT,s

Le nationalisme en AllemagneBerlin. 26 Les nationalistes alter

niarnius pvue de 1a grande manifestation qu'ils vont

B I' h l'occasion de Pinasse.ration d un monument aux morts. Cettemanifestation .e déroutera /e jour de l'As-cension. Elle ressemblera t celle de Hallede la Sm-naine dernière.

n faut un Cmité da salut Public Ce nul se passera Io 1°' Km

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On ne cesse de se kiair

en Anuleterredu prochain départ

de M. folneare

Londres, M me. - La presse Innen.... danscon encerabte. continue de comménter avec joiele disparition du Biot National et de sen chef,pt elle attend avec optitminne la rnorise des re-lations diplomatiques entre la France et l'An-gleterre,

L'Obeen., estime qu'une conférence interaliéeaura lieu soit à Londres, soit ailleurs, le moisprochain, et e journal est d'avis que d'anséetes récente, déclarations de M. Herriot, nui coneréé une impression des plus favorables. cette,onférence a de grandes changes de succès. s

Ce journal considère que M. Herriot, dans sesdéclarations eu Paaunien.. a parlé à l'Allema-gne en termes pleins de h.çhise et qu'il enallé lue, no elos ainf.d daproblème européen.

ENI côté de l'And/laine également il y a math/eus emoir.P est peu probable nue les national,.tes allemands entreprenne. de détruire le Péondes experts. Avec les eveeltentes déclaratiens

Hz,,,,liet et Painlevé, Yalenosphére s'annonce

L'Essenine Seactàes uituuoou que le nouveaupremier ministre français ee rendrait am Che-que. nesitiit aprle la formation du cabinet, etmiette ponférence interailiée suivrait cette reasicontre.

ajoute le journal, Cl faut comptes/environ deux mois dant que le iden, Dawesnaisse être mis à exécution.

Le Sut, lAds I, rend hommage . geste Zhu.nen. missi L nique de sine.. v Ide M. Her-riot parlant au V.reeete.

C4n . ohm/gement marquéaprès l'attitudede M. Poinearé ; maie none devons averti, PALientapne qu'elle ne ddi ces lu ornmôr ni.s° ".indice de faiblesse.

Le Due News écritFm prenant ileritage embarrassant de m.

Puisre,M.Ume à sagement refusé le legs vleI épee.Cela rex dire .11 aborden e sachem.,lourdement charge. dais qu'il mue mimmimschie de poids nue lamie., prsident dou.uuuit,

La es...0 du verdi° des keems hep Ieus très nette. h panifie que la 'ksars de«

français êvenevent. au tond d'entonsêmes, deencrai. c'est le moine qu'on puisse dire, devantles résultat, d'une ro/idoine nui nom.. do Bios.la France sans un ami au monde et qui l'a fcitnoue,, à tee ou a mison, d'être on obstacle sur I

le <Bernin de h paix, sans avoir pour cela réussi I

à se rapprocher d'un pas de h réalisation deedm. °biocide qui nememe. /es buts théoriquesde se politique. Depuis Pocoupetion de la Ruin,les rentrée, au tine réparation ont diminué au lieud...enter, es la Ernme n'ec poe phis en té'uesité ine« In eue /e ne 1 étau avant lavent.ne «oignes. de L4, Poincaré. lm danger loinia,gitan redoute est à peine unies éloigné etest deyst,t, berniceee phle réel.

Pour ou contre?LA SOMME EST CONTRE

Paris, 26 niai. - La Fédération sociefirtede la Scremie s'est prononcée, par 26 nemdais sur 37, contre /a participation minis-térielle. Elle a décidé que les élus parte-mentabes devront se borner à soutenirun mlnistôre appliquera les refermes pré-reSsées par le Cartel des gauches.

LE CANTAL EST POURAurillac, 26 tttoi. - Le Cemigeàs fédéral

ar, Parti socialiste du Conta/ a voté unordre du jour en faveur de /a participationdes socialistes eu gouvernement, sous teréunir/Me du Parbi, à condition que la ré-partition des perte/feuilles entre les deuxgrands partis de la majorité soit telle queTintleence des socialistes dans les conseilsdu gouvernement puisse être réellementefficace.

LE VAUCLUSE EST DIVISEAvignon, 25 mrt. - Réunie en congrès

départemental, ta Fédération du Parti so-cialiste unifié du département de Vaucluseri approuvé. par 5 voix contre 4, la parti-cipation du Parti au pouvoir, et a/ d.uéun mandat dans ressue à ses délégués aucongrès extraordinaire de Paris.LE HAUT-11/1/N FAIT DES RESERVES

Cohnar, 26 - Au cours du congrèsar /a Fédération du Haut-Rhin, qui a eulieu mfistrd'hui à Colmar, une motion en-vise/m.1 la participation au Pouvoir Surle /cotr d'un programme minimum nette-incra défini si /es circonstances l'exigent,déposée par Grumbach, a obtenu 44 voixgontrte 5 voix A une motion rejetant touteparticipation. Sur l'éventualité d'une en-trée immédiate des socialiÉtes dans un guet-sertie '01, Io motion adoptée dédore que

eonférence Jttératecoutidère que letorseé,s national est seul compétent pourInger la sit:tette° et prendre une dérision.Grue/boa et Wieby sont délégués au con-grès.

LE VAR EST CONTRE AVEC CERTAINESRESERVES

Contrairement à ce gne certains con-frères annonçaient hier, les socialistes duVar ont &d& mie te groupe socia/isteparlementaire devrait combattre toutecombinaison ou faut gotivensment quiaccepterait de se constituer ou d'agir sousl'égide de 31. Millerand, dont la politiquen été condamnée par te suffrage universel.

Le congrès s'est ensuite pronomé con-tre toute participation actuelle et partielledu pouvoir. La Fédération a cependantm.. une réserve pour le cas où /es offresqui seraient faites au Parti socialiste luiassureraient une large part numériquedans le gouvernement, ce qui lut permet-trait d'exercer une action direntc par sesreprésentants sur /a solution des prendspro/M.1es Internationaux.

Les délégués ont néeum,oins affirméleurs préférences pour eue politique 000-datant é soutenir un goevernement répu-blicain qui donnerait à la démocratie unprogramme clair m ferme sur les queetionSessentielles du moment. Les élus socialis-tes, dans ce cas, seraient mandatés pourvoter le Budget la loi de finances et lesgrandes mesures fiscrtes destinées à réta-blir l'équilibre financier du pays.

>

[mêles journallstlues parallèles

aut lostrottlent de la Justice

i.e Manchester Guardian et lm Mutuelquotidien de Londres viennent d'êtrecondamnée à 300 livres sterling d'amendechacun et l'Evening Stetnkirà de Lon-dres à 1.000 livres sterling d'amende pourje délit qualifié par la loi anglaise dea mépris de trilneeral

II «trive.ctite pour les affaires criminel-les sensationnelles, les journalistes se le-

Trent à des criqueua partimdièces parak

lèles à celles faims par le mie. c pueQuelquefois, lems enqur,e-, sont

plus fécondes que crelles de la justine etviennent en aide aux enquêtesjudicisii-tes mais, elles créent parfois es e0U-rente d'opinion meceptibles d'agir d'a-vance sur les décsions des jurés, et. Faistorit6 judiciaire tektte qu'elles entraventainsi le cours de la justice.

Un des journaux condamnés à Len-dl-. ayant &couvert l'exfitence d'un té-moin Pventeel alors inconnu de la poli-ce avait fait louer ce tér.oh, c..4zr.ses rédacteurs oint avait mission d'empédcher le témoin de communiquer avso quique ce fut.

L. police Voulut vérifie" les déclara-tions de ce témoin ; elle ne le trouva nosà son domicile , le témoin était parti sanslaisser d'autre adresse que celle sIld jour-naliMe.

La kmtice se trouvait ainsi privée derenseignements utiles pour l'instructionde l'affaire.

La Royal Dutch cède sesdroits sur les pétroles

de Californie

VGashington, 26 mai. - Le « New-Vorklimes si décrit comme un triomphe pourFAMArklue dans le lutte pour le isétrok,I,, vente consentie Pm la &va! Ihden-ebell de se, hennelS dans les obanmstrolifiu. de Californie. vento qui a Mileonsentie pour 30 nlillions dc eul..

Lut Royal Destrti avait acquis le .ntrôlede 1511nion OB Co, de Delaware, uni, enretour, antrôlait 26 p. 100 des intérets del'Unie. Oil Co de Calrforete, une des or-gonisations preilentrices les pl. Puissan-tes de Californie, gui ...air à acquérirtus Mottb d'actious supplementaire suffi-muet pont lui donner la majorité de 5-1 p.100 des artiote de eelle Compagnie.

C'est êt eau, epoqua que les Américain.imeltaient des prédations sur les ehampspétrolifères de Mésopotamie et en Peser.

L'affaire d'aujourd'hui. dans en certainsens, a un e092 polhique ; sir Henry De-terdine admtnistraleur de la Royal DM.eliet entendeur de sielle entreprise est ac-cusé, de coesidirer d'est mil partieulière-ment ddfoldirable les entreprises améri-. aines el, lorsque 'tossai 1/uott lents T.-.tr le minci; sidensaire d'actions pouravoir la Mils/nid. dans Oit ('o, desdiffieulles furent dictées.

Le a New-York Times e dit que la noya/Duteh obtient, /0 millions de dollars dansla transaction, 1c.0 parts qu'elle Gai /salitété estimées a 30 p. 100 du heisl de SA P.sul ont été pelletées.

(Mode. Post )

Le droit à la monnaieUn lecteur nous émit t u Poilu irai,

comme Me Pa affin. l'autre n'Ur tn.per/scieur, que hm adnumstrations .t ledroit légal de m'obliger payer ce queje leur dois, sans être tenues do me ren-dre le m... I a

- En :meus. façon.Mais quand l'Administration française

se redis de faire de l'arbitraire, elle n'ysa pas, comme ont dit es avec /e dos dele cuiller vê

Tout le inonde a me lire, dans la chiper(des bureaux, publies 05 Von paie, cetteinscription : u Le puldic est tenu de fai-re Pap.point "Art. 7 de /a loi du 22 avril1790).

Sur lu foi de quoi, le personnage placéderrière le guichet refuse su « client si delei rendre de la monnaie et relui-ré notese rebiffer.

Or, cet avis est une pure galéj.ile, Pourne pas emniever le terme eu peu gros de. faux 0, qui serait pourtant plus exact.

La toi du 22 suri/ 1790 ne parle en effetrirdlcanent de la monnaie à rendre ou ne

ellreenstfp3n16 que, si Ton MM, en asSi-ou 4011e

L'aasignat m'ee. par /es décrets des 19 et1 décendire 1 789 devait être s reçu rom-

]ue espèces sonnantes dans toutes les cais-ses publiques s. Meis comme cet assignatportait intérêt et que son principal s'ac-croissait ehaque jonr de l'arrérage quoti-dien acquis et devait être accepté pour /asomme ainsi cemulée, l'article 7 obligeaite dibitear S foire

payer les intérêts de l'assignat calculés aujour du Paiements

Rien de plus, rien de moins.Et quand nos administrations publiques

prétendent Invoquer ln loi de 1 790 pour nepas rendre de monnaie, elles triumpentvolontairement le publie en spéculant mirson Ignorance des lois.

Les Evalnations Fonciéres

AVIS AUX PEI/PRIMAIRESLes proprietairos cl immeubles

!mils en tent ou en na lie, doivent Pr2-duire, avent le me Millet 1321, une déoderation écrite Miqueotu au jou de ett pro-duetto, le nana des locataires de élagueimmeuble et le montant du loyer psyé parchaeun de ces 1.ataires.

Toute infra.. à Ces prés/Tintions en-trelnem Pappllostion Cino amende de centfrancs, delcimcs -compris, qui Jet° eneendeeautant de lots ses relevé d'onduler,ou d'inexactitudes dans lei reneeignemenlequi aiul à être fourni&

PAT 0(Intee, au ces où la déclarationproduite ferait apparaître des infreetiousaux promu/plions eelatives à l'enregistre-ment des baux el des locations verbale.,ces clemièree infractions ne comii-ortetaientpile d'amende et ne donneraient lieu qu'aupayement d'un intérêt de re,d1 an tauxde 6 p. 100 en sus des droits exigibles.

Dee formul,u spéciales pour la rédac-tion des déclanetions seront, à p.°. du15 mai prochain mises gratuitement, dadachaque mairie, à la dise/di/1cm des inlé-percés. Peur éviter toute dieflaultd densl'utilisation des dermites fourni., les pro-prirteires sont Teilleurs invitée à produi-re une décleration distincte Pm.' ill/Gmfilde leurs immeubles.

Les déclarations seront retnises ou adres-sées. sous pli trAfr.chl, . Contrôleur desContributions directes dans la circonscrip-tion territoriale (lequel se trouve l'irnmeu-

Toutefois, pour Es bâtiments située Codehors du APpartemni, les déclarationspourront être i/Tressées sa Directeur denContributione directes en réeidenceclieflieu du département de In situationdes biens.

---sous RAPPELONS A NOS ABONNE°

QUE TOUTE DEMANDE DE 'MANGE-MENTE D'ADRESSE DOIT ETRE ACCOM-PAGNIEE usa te. 611,pr DE LA DERNIERSBANDfie

vageMIrgennei eettnegeMEM

PETITS FAITSPOUR EVITF.R UN CHIEN

Une auto va s'écraser contre un arbreDijon, 2ti mai. - M. Perrin, notaire

Dijon, accantresné de deux clercs, MM.Cartel et Rebillet, et de deux enfants, allait,dans une automobile conduite par M. lie-nisset, âge de 24 ans, à Arceau, pour yréaliser une vente quand, vers le hameauitt Ghaignot, la voiture, en voulant éviterun chien, fit une embardée, fut jetée con-tre un arbre et coupée en deux.

M. Perme et les deux enfants. se sonttirés saine et saufs de l'accident, mais 111.Cortel, premier clerc, âgé de 48 ans, aété tué sur le coup. Il avait le m'âne et Incula ne vertébrale brises. M. Robfilet a étérelevé avec une fr.ture du bassin et con-duit dans une clinique de Dijon dans unétat grave. Quant au conducteur, M. Vents-set, il n'a que de légères contusions.

LE COLONEL DE GENDARIVIERIEETAIT UN ESCROC

Paris, 21 mai. - Un Persan, Jean Ver-tartan Badol, âge de 48 ans, qui avait étépendant la guerre ertenel de gendarmeriea Téhéran, logeait dans un hôtel de la rueBergère.- Profitant de la foire de Paris,notre homme se mit en rapport avec denombre. négociants en erteries. Beau-coup d'entre ceux-el, qui, peur la plupart,ont /eues magasins dans le quartier ch. Sen-tier, envoyérent aussitôt des représentantstramer d-erten/an à son hôtel dans l'es-poir d'enlever des commandes. Ce fut mi-me une telle course que Vcrt.ianque l'embarras du choix et passa à te/lefirme de soieries une commande de 3 mil-lions de merchandises, à telle autre, unede 1 millions, à d'entrés encore des ordresvariant de 200.000 à 500.000 francs.

Profitant de la situation, Verte.uts seils vend& dans Paris aux ,frais de sesvendeurs êventgels qui se disputèrentl'honneur de l'inviter dans /es (meilleursrestaurants.

Ver/amie° ne devait pas s'en tenir la. Ilréussit à se faire ev.cer une vingtaine demale francs. Toutefois, à la réflexion°, undes prêteurs flairant l'escroquerie, allafaire petiote ses solin/dm, ê Schee.-

epromPsaire de >dim. ta tnaptstentfit .ssitôt procéder è une enquête qui leconvainquit rapidement que Vertanianétait un aventurier. Appréhendé per M.Schadelin, il a été envoyé au Dépôt.M. CHARLES CAUSSE FILS NE POURRA

PLUS SIGNER FRED MAELMM, Charles Vincent et Chartes Causse,

romanciers, qui signaient en oellaboratione Pierre Meel 6, avaient décidé, Par ourt-fret que le survivant des iletix 6,90serve-rait cette signature. Niais A la inort de M.Charles Causse, son Itls s'attribua le nomrie Mael en signant toutefois Fred M./ ..Les héritiers de M. Charles Vfirent luitirent défense de prendre celte signatureel le tribunal de° lem don. raison. Au-jetufignal, In première Chambre de la Cour,"Iris plehl(rie. de maîtres Lucien Nor-°dna et Gare., vient de confirmer ccingement.

L'ETAT POURSULVI EST ACQUITTE

LE MIDI SOCIALISTE 11111MIRIORMMIMMIMMetellgreir

Comment utiliser

les loisirs ouvriers ?

La Corsidrence internationale du Tee-L'ail a inesé la question, suivante

Etepvouseavis de fixer des principesgénéraux pour guider les initiatives desgouveinernents des patrons et des Ou.allers eux-eérres

Ne seraitil_pas utile de préciser no-tamment sue 18. buvrien doivent garderiode entière liberté vis-à-vis des institu-tions créées pour l'utilisation des loisirs>

Né faudrait-il pas bien marquer lescaracteres de Fintervention, des pouvoirspublles, des chefs d Industries, des anse-Mations Prieées

Corranmnt les appuis mormix et fi-nanciers pourraient-ils être organisée ?

d) N'y u.t il pas intérêt, Pour comelomnec Inc initiatives des gosPernenreneN Pa-trons et ouvriers, de recommander l'imti-tution de commissions locales ou régio-nal. composées de représentants des di-vers groupes intéressés ?

La réponse du gouvernement françaisest la suivante

a) et b) Parmi les rrgsmm tendant àfavoriser Futilisaticrn, par les ouvriers, delems loisirs, il en est quelnues-ens, tellmque celles qui visent 1 sidaptation desmoyens de transport, l'amélioration desPmditions de logement, la lutte ountrel'alcoolisme, le développement des coursprofessionnels, pour lesquelles les Etatspeuvem intervenir directenoent par voielégislative oit séglemenmire. Dans ce cas,ces mesures peuvent avoir un caractèreobligatoire. lm peut obliger, Perexempfi, les appeentis à la fréquenta-tion obligatoire pendant les heures deloisirs.

Mais la plupart des institutions crééeupom l'utilisation des loisirs et qui mot étérelevées par l'enquête en cours en Fran-ce, sent dues nutout à l'initiative pri-vée. A côté dut institutions d'origine pa-coronale qui sont de beaucetau Pl. nomhem.. Cense:Me en a relevées quiétaient dites à l'initiative des ouvriers euxmêmes ou de lel. organisations. d'asso-ciations à caractère philanthropique, deanunicicalitée, etc, II ria pas été comte-té qu'une pression quelconque fût eget-cee sur Ics ouvriers pour s adresser a cesinstitutions_ II ne sensbie pas necessairede préciser, ce que personne ne conteste,que les ouvriers doivent garder lcur erntète liberté à l'égard de c. institutions.

D'une rroanidre gécérale il semble quedans une elle matière il soit prématuréde fixer des principes généraux. Lut re-commanderie. devrait surtout se bornerà citer, à titre d'exemple, et en les re-commandant à l'attention dm sotéressés,les initiatives que rex/aérienne a sanction-

A l'école du Petit-Ivry, . mtolire der-'6/

, ,,Mer, un enfant de neuf ans s'enluminait muon appel rté été f'it i'evs '

p Ir une porte ouverte rioe taisait gra-' en Fm.- par les chefs d'inclust'siegitcluter lel/n/11,d/ &cite par un tramw ord gréé ,les institutions pour l'utilisation°ère-sig-aet. Idfiffalre est von'i>.'e

1rdZu1 âs Mant le Menai de. In Seiner- reipotr ol.-7l de k'it'e' resipioCroira ido

1'3' c"3''''ier3.,Z,,41,16;.,ing aLert ir,ie ,deIie lm- pr isacral etdi inaricien'bli'

tau net.

,ritetin.,as11,:hocenneellei,e,lass:..,0naii,sé.0 Iliresui:L,..i

lept 7.7,7,,,,,,I.:;,:y/;:Z.,iaTJE,:e'ervail'le,,,io:711:l' r ' .

'tel'33ceirêter'r lisl'Igu'Z'',:,,,,,,-Pir ,.,%'''porirEsate n.blre '''''. ?././' dee P9.'eire, Idnqic,';dans les initiatives prises Pau inn ...lité de l'accident. d'industrie La publicité donnée à cesLES ASPELIGFaS A L'ARSENIC inkiativee par les pu nestume offieielles

Genève, 26 mai- La e Neto.' Zoitung , h s suggestions et indications fournies parannonce que 1. époux Lubsein, de Latta ks inspecteurs do travail au ruses dePiTabelln en Ai... armi. mime 'es hi' leurs visit. semblent isequici suffisantesperges, sont tombes ((lavaient malades. , eid à te mokievoefien as ose ;se.Un médeein appelé aussitôt diagnostiqua tiatives.

ompoisoonnineut Par itou, tic el. °la>gré Mus les soins qui lui forent Pledifieddle mari expire au trodeu d lierrimes sont,fr.e.. One enquête a permis dé stucque, dam l'armoire de la enisine des deuxépoux, se tramait de Pars atic orne dé.-lame les souris, et la femme avait, pl,enégarde, posê les asporges «oses. Le dénisdu Mani a ettitsii ln loi du 31 mars 1919. art. 14 5 4.Mem Lo1.1.1 qu'elle résolut de multre fin les yes, d, inspire, es sosies des la esoc

ses jours en se jetant dans le eanali Ob a été eanneee eau dee maladie. connectées oue, retrouvé son eadavre. axe.., par geite d« blute, dansere ou ami-

gen,. Survenue ter le fait ou à l'occise/en do

Les droits de pension

des veuves de guerre

/4 endiees retraités 7:111.7.7...7raire comeapondant à tme invendffé égale su-

us

pévieme à 60 % ou en ponession d'irrn droità eette gons., n'est droit de pension que si k

L'Administration -vient d'envoyer des meuess uns nessne s pu.suee,instructions incas rePPlicatiOn chl coeb gon de /a -maladie.ficient aux pensions delà cor.cédées, gr, le 17 Meier 19/9, le stop Maria. fut

Rappelons que le coefficitm doit être'' réarmé pets tubemilose Pulmonaire. einabont

'''1163Mmerrribr.'36ed'e 30 lt e, maria. Se pension hecompfilis.it et cherté de vie exclue). i 33°rIee le 22 eoOt ,92°, et; lutte norsanPatn;jurt

Jusqu'à 899 femme, on msdeplie cette I l'lll`zla.711,al'eard: ÎlelTla.ra_LILmeaaa".l "lzf'radlal;Pension Par

3.80 francs, la nouveller.ess son manas, il décéda de mbereflose

sion es unif '%IO à 1.0 pers 2zoue,eeei,ie

De 1.ce) lu 1.499 francs, ce'eu il t tit, ne prep,p, pefaaaaaaa

lS:"I''.r0OPItILIP61atpar 2.3,

'1. ...elle !n'nej3'M'evr4à"ftrreree'ri*ie/ différend, a dénié quis appartient amt tidnr.

peieeioî.liebs; '1'23.679590 finir' nr»ccs3.on multiplie d°1%." ,,,...""iimso,,,s.:mé e"m,,°,1°,,,v,la pension principale par 2,25.

De 2.500 à 2.812, la nouvelle pension. P.rest de 5.625 francs,

telle a suocombd on militaire ou mann avaitamas se du mar l'

De 2.813 à 5.999 francs en mrépee ./se état de atavité

ultiplie 1

la pemion principale par 2.Le Conseil d'Etat a décidé 1^ D'amphi. /aLorsque la pension principale excède , décision susvisée de 1. Cour exionak d'Aix; 2«

6.000 francs, la nouvelle pension s'oh- .D,. eser,es la vems mamans' éOnuetu,eut,etient en ajoutant uniformément 6.000 Ceur UPonale IsOfln oOtsustasoé eus dernanide

francs à la pension principale seulement. deToutefois, la nouvelle version ne peut, ien aucun cos, &passer 18.000 francs;

Lorsque, ce sera le oss le odus gené-ral, la nouvelle pension ainsi déterminéesera supérieure au total de l'anciennepensnop la clfference sera payée, pres-que ingerichatement ou dons un bref ctn.lai, depuis le 15 avril inclus jusqu'au jourexclu dc l'échéance des arrérages,' lesmois étant conentés pour 30 jours, etl'année pour 360.

Si le montant total anPen de la pen-sion était le plus élevé, In titre de la Pffinsien serait de la 'mention : /0 Ancien moumaintenu au total général de... y consplie l'indemnité de cherté de vie x

Le titre de pension doit, parceméquentêtre remis dans tous les eas an compta-ble-payeur. 11 peut y avoir intérét à fairece &pôt dès asourd'hui.

Lee pensions régldes comme il vientd'être expliqué ne donneront plus lieu àl'indemnité de cherté, de vie.

Rappe/ons, en terminant, que cettefixation de la nouvelle pension n'est queprovisoire, en attendant que puisse êtreeffectuée la révision, gni; doit réaliser lapérêntiation entre la pension des anciensfoneticmnaires déjà retraités et celle des'fonctionnaires retraités postérieurement

au 14 avril 19924,

Le commerce franco-portouals

Reablissernant du 0 Modus Vivendi a

A une récente séance du Ccmgrèstegais, le &sauté Leo Portela s'est euespé des relatiorm commercialsn franco-p,rtumaises. II a rnettpué eron étonnementque le ministère des affaires étrangèresne lus ait pas encore communiqué /es do-carients qu'il a réc/arroés depuis long-temps.

La nue', de tarifs os, le Emtugala déclaré à la France - a-i-il dit - estune des pires calamités dont souffre no-tre pays i 1 est étrange, qu'alors que leParlement a autorisé le gouvernementédicter des nassures exceptionnelles pouressayer d'améliorer /e change. il ne sesoit pas encore efforcé de résoudre cettegrave question d. tarifa, gni ne porteives seulement préjudice en commercedes vine mais qui, si elle était rni,ohc,pourrait sans cloute atténuer la elêrprécia-tion de notre devise. Les statistiquesmontrent que les exportations portugaisesen France ont assez augusenté, après laguerre. avec un solde de mouvementPaingssercial en notre Wace, deaultat

es.vet.dil01,à re.r>rtquec, wlapForatencectio.a. éte,,..ridu,deaece.

set ProPres marqu.. Mais c'est Préol'ement OU montent où cette exportation al.

ois 1923pourt&I 71cemoi,clisp,preire /,mgeue m.!.

,g; la guerre de tarifs, dont la gravitd cesaurait ealoequltee au gouvernement et egéréclame une prompte solution. n

Le président du Conseil répondit àl'orateur en reconnaissant que l'état eu.tuel des d:lagons commerciales entre lePortugal et la France était e assez pré,jarlicialle ; ruais il a donné rassura.,que des négociations se poursuivaient ence moment pour y mettre fin. Le pré.dont du Gomel a d'ailleurs rappelé querattitude adoptée per le goirisernementavait été aporouvée et senctionnée

Sur les pourparlers en ea.S. le cor-vieePorecant parisien du Secuto adr.se,d'autre met, à son journal des précisions.

Ces pourparleis, dit il,sont entrésdans une phaseplus active depuis rani-vte en Fumée du nousreau ministre dePortugal, M. Antonio da Fonsece, et laprise en rreins du ministère do commuer-ne par M. Lonc.heor. Bien qu'il soit préenaturA de parler déjà d'un accord défi-nitif, on piper croire mn le modus vi-vendi dr5nonoé en juillet dernier ne tar-dera pas à gre rétabli, avec quelques lé-gères rundfiestions, Il r.Titit certain marexemple que lm vine de Porto et de Me'diveentreront en France sans limitationde clergés ni de quantité, et delle les me-mes conditionue qu'avant la rupture.Qtlent FAIR eine COnen11119, ils devrontdoser.uee te> tarif différentiel. Le nouvelarraegorment contiendra en coltre, desclauses relatives à la prostection des mar-ques et à la répression des fraisa. danslm deux pays. Les produits colorai.unpoutresis lenumnt en Fenoom d, droitsméfégentiels, comme ceux dise Brésilruais l'importation du cacao portugaisdans notre pays sera contingentée. En cequi concerne /es dmits de navigationfiampent ICS navires français qui font es-cadre à Lisbonne, la situation antérieuresera rétablie. Enfin, tous les autres arti-cles figurant dans les échanges franco-pernesais lséngicieront du traitement dela natMn la plus favorisée.

Cv modus vivendi doit servir de baseà un traité de comMerce définitif, mirleresel les deux rave se consentiront denommaesi avantages réciPenques.

Condamnation

de Germaine Berton

Bordel., 26 mai. - Dès 1 heure, l'af-Iluenee et énorme on Palais. Des mesuresdn p.dice intelligentes ont été prises, aucundésordre ne se produit.

Le salie est arcluicomble.Germaine Berton comparait avee ses

cinq coaccusés.L'audience est présidée par M. Shnon et

le ministère public est représenté Per M.Besse, substitut.

Au banc de la défense t Me Clamsn,pour Gertnalne Berton; Me Ribayrol, MeAugé et Mo Prieur, peam les autres incul-pés.

Germaine Berton eet inculpée d'outra-ges eux agents ou de violences. -

Les am autres ttendeee sont inculpésd'outrages eux agents ou de viole...

Vingt témoins à charge.Six témoins à décharge.Germaine Berton est três surexcitée. Elle

reconnaît avoir outrege des agents, révol-tée qu'elle était, dit-eile, de les voir bat-tre des fa.ns et des vieillards.

Elle résonnait aussi qu'elle d'ait arméed'un révolues. clierge.

Les autres inculpés reannaissent lesfrets, mais prétendent n'avoir rependu qu'ades c.ps CCM..

Les témoins à charge racontent commentse produisirent les faits.

Me Chuan présente la défense de Ger-maine Berton. Il s'efforce d'établir que lemaire n'avait pas le droit d'interdire laréunion. Il ajoute qu'aucune contre-mani-festation n'était organisée.

Il domine lecture d'un article de 1' e Ex-press du Midi 5, qu'il qualifie d'org.e offi-ciel de l'Action française â Bordeaux.

Mes Ribayrol, Augé et Prieur défendentleurs clients.

L'audience est suspendue à 1 11. 30. Letribunal se retire pour délibérer.

A 6 heures, il rad le jugement suivantGermaine Berton est condamnée à neu-

tre mois de prison et deus ans d'interdie.tien de séjour;

1)ornenc, quatre mois de prie. et 50 fr.d'amende;

Chiret, trois mois de prison;Dormies, deux mois de prison, 50 francs

d'3RT:lradr'd, un mois de pis., 100 francs

d''Gmu'vl'Idere, dix jours de prison, 25 Den.<l'amende avec sursis.

e

LES MARCHESMARCHE DE LA VILLETTE

Beauf.. - Amené., 2.726; invendus. 160. Ire

qualité, net, 3.401 vif. 5.04; 0, net. 7.60; vif,8.80; 3°, net. 6.60; vif, 33g. Prix exteene, net,9.10; vif. 5.40.

Vache.. - Amenées, 1.362; invendue., 98;nualitê, ne. 8.40; vif, 5,04; 215 net, 7.50;8.75; 3e. net, 6.30; vif, 3.15. Paix externes,

sa, 9.30; vif, 8.75.Taureaux. - Amenés, 509; invendus, 21; Ire

qualité, net, 8,00; vif, 4.2,0; 2^, net. 6,601 vif,3.30; 3^ net, 6.20, vif. 3.15. Prix extrêmes, net,7.40: .4, 411.

Veux. - Amenés, 2.6311 °nen..., 57; 1.equalité. net, 10.20: vif, 6.12; Ph net, 9.20; vif,4.60; 3°, net, 7.10; vin 3.55. Mill externe., net,1.160, vif, 6.50.

Mouton.. - Amenée, 14.528; invendus, 860;Ire qualité. net 13.30; vif, 6151 25, net, 10.20:vif. 6.10; P, net, 190; vif, 4.45; pria extrêmes,net, 13.50; vif. 7.02.

Porc.. - Amené.. 4.142; Ire qualité, net, in-connu; su, 5.60; 2°. net, 7.42; nu, 5.20; 3°, net.650, vib 4.80. Prix extrême, net, 8.14; vii,3.70.

Vente benne, .urs« en hau.se sur le me bé-teil et prix maintenus eur veina, mouton. etPerce.

MARCHE DES VINSOlonne, 26 - Vins modes de 8 a 95. de

72 à 80 de 9 à IO", de 80 à 86 fr.; de IO à11°, de 86 à 93 fr.; de Il à 12", de 531 101 fr.

Cee ,'entendent à Iliestolitre nu Pet'eller ba récoltents sous fraie en im et seIon de.si, qualité et ...disions. pour les vine d.larnsminervois.

/dm, 26 me. - Trois-ess bon août. 65°,750 fr; eau_de-ste. marc 52", 440 à 450 fr.; rinaronges nevnona et monnenes de là Il', de64 5 67 fr, suivent qualité et date enlèvement:Costières, 11 à 12°. 92 à 104 fr., le lents,, Pr.Piuseieta

La Vie SportivLES ANCIENNES GLOIRES DU Re,

Des éddie montent... firmament depoen. rade ddearaiseent, an jour,

c'Mammi: iteouieteec.2301''er'enue qui (sep .

lourds et eue beaucoup e.pdgge.e.l. dreèOéenuue

mve:eli

e

ted,s den: m6.1

L'.132;333Kidirertit3s7n'x'«.....7.3rn'trionl'301"An'léri

est horloger, &dag de la sunemeemudicipabos de Qum., dam, ,

na'. et eoée,eesr de hues et d'eèuusOu5di

s''Abe N'Aw-Yne1,'k......ehampion du monde. vp..New-Vine, an nmenen de <émeutes res-eaft

d'en'oem:niles' ad:.e''''ndut assura à la foresT,,''Siam. Abbate vit emsfinablernent p

coing et ee'il eot soin de ne mn damier. -Sam Filreanide. le beau emnbaciant

qui, l'Australie au et oln'none, tell...que Pen jack.on et Kid

Lisvvea.

mourut 'an demies à ilainital de New-York.(lente,, D..., er.elenspion d'Australie pdh,

item, et gai fit, en i890, un mémorable tae0,4,

liddenune5,0 r0.càutdn,, Susse ,qu

Quant à Dirk Borge il est décédé à lemaice

T'idnen19's/.13urm tient un bétel à Indi.a.coigBabby Halos qui eut une heure de m'Ions»

jadis, naquit en emlevaire. C'est probabiencéliminme dom ta ..ière comme le alus riss4.

eroi

de

'a08rnd'S ab7,77:7."is stx*rIsur'' PCdtehl'ede'rsi'it'eeeH

3*J3imCil'esnaeohade'rs'é43*dis. maintien de Peedednanme coecernsin, en Irlande, à Dublin. adel

Grr' veferroviaire en Irlande

.Lo''n'd.res, 20 mai. - L'Irlande est mena.Id'une grésé générale "es eiteMills dei

fer.I,s cheminots ont demandé nus eus.

°tentation de salaires; /es compagnies dol.'vent fournir leurs réponses avant le5 juin, faute de quoi /a grève générale seràproclamée h mi.it sur tout le réseau.

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l'Exposition, conformément à un réslement ei

prouvé par la Municipalité et mie no"...e.s chaarès

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donrirou droit à Vermée pennenealeceinte de l'Enalim Ms'''. coin 5e dOt

Par exceptéu ml sera délivré'ose. su. présentation de piaces iedes cern, d'abonnement au est d' I(taxes non comprises

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les demandes de ee. cartes sontformule spéciale tenues à le dieoiMie au Bure.,, de l'Exposition, alertPeyrat; à la Bang. Privée. 20, ruela Banque Courtois, 33. rue deRé &

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ne, 47Por.aMMt. C" DeEe*n48 bis me de Meta; et à la Pane..

BibliographieFondé en 1875

L'ARGUS DE LA. P111,°°5a VOIT Tom

Lei PIM, anciensbureaux D'et Po

de jour.ur.,_,a37, Rue Berger° - Ems'.

ur 20,0Lit et &pole, Dar dlenau rofficieL

'sant tous les votes des ii,eYgoe dell;

strehergo de boutes les .pvei.edrde hi publication dans les dostrooYéarticles et informatielmOr

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

C bronicitie de Toulouse

iÀ PREMIÈRE SÉANLE

DU CONSEIL GÉNÉRALLn conseil général a tenu hier la ore-.ère séance de sa session ordinai re

eUN DEBUT PEU SOLENNELte ccameillers étaient Présents. M.

c,,,,,ntin et M. Ballet citaient absents.Gest la première fois que M. Benet rk.

snee les travaux de l'assemblée. Vousstriure l'exemple de M. Cruppile.

.1'el n'a jamais remis les pieds 50 conseilqoca défaite prem enne

es, dri reste. M. Cruppi a daignéne, par une lettre adressée à... Mort-

''`',ft le doyen d'âge !

é1e,jd, cruppi ne connaît pas son statues'!Il ignore ass'jl y a tout de même up

ésident bien gr d ne le soit plus In/dem 1 Les neernbres de l'assembléen'ont pas irsanquô de souligner l'étrangemesquinerie du procédé cruppiste.

La sonnette du président retentit à14 h. 30.m. FL Leygue l'agite en pmsonne. M.le prof' et est à sa droite. Le taureau auemplet les entoure.

e Faites entrer le public ordonne auxhuissiers l'ancien sénateur. Et le nubilepénètre en fonde. Pourquoi est-il si dense?

na doute parce qu'il a cor que les dé-bats réservai.. Pude, surprise ; et

me qu'il était curieux de voir côte àIP.côte les vainqueurs et les vainc. du 1 /mei. Il a du être, sur ce Point, un peu

2..belnier la boudre cL présidenttelremoinehe parole de félicitation à

dresse de ses collègues élus députés. Et1orque, à la fin de la séance, notre ca-marade Ellen Preget, en a fait la rentes.-me, il a certainement traduit la surprisegénérale. Et lorsque M. ben,. mo-ment interlorstré, a déclaré qu'il n'avaitpas à le faire, il a incontestablement

sua regrettable oubli, car /e seulconseiller généra/ devant lequel Il eut étédebeat dc lClioirer _es, senie is es ..varnitrura c'était M. Selles, et m .seinentil était absent !

Le public du reste à la sortie commen-tait sévétement cette réserve du mésiclerst.

AU TRAVAILDonc sans se perdne dans un laine ini-

tial semblable à celui que M. Gruppiprononçait à chaque session, M. le rsêni-dent déclare de but en blanc que l'abort-dance des travaux inscrits à 'ordre dujour exige one longue aicluité, et qu'ilsouvient de se mettre à la besogne illico.

Et nous voici tont de mite ietés dans lalecture des mem qui sont tous, aprèsquelques Mes de commentaires de chu-que auteur, renvoyés à la commissionotenoltente.

, Notre camarade Labefuc, député, ou.vre le fers et eléPose en son nom, et auseer de Ellen Prévot et Jean Rien, deuxvoeux l'un peux raexiculture, depuisCap longtemlos dédaignée et Vautrefavela des cantonniers dont il réclameme augmentation de salaire.

UN PEU DE POLITIQUE64. Bonnerrilaison dépose uo vu cone

tee la R.P. cy pore le scrutin d'arrondir.serrent.

M. Caaamis /e soutient et à ne ProPosse vante d'avoir été dans une précédentelégislature, le seul avec sorr collègue Bé-laitier a voter contre les Ystème m-ale .

s C'est faux, dit Ellen Prénot, Bedon'ce. Auriol et moi avons voté contre.Nuut 41io.s Pace la R P. intégrale; mais-!.41.-M5 Imve la caricature actuelle de lavraie R. P.

- r Non, vous avec voté peur o.- Non, nous avons voté contre toue

14e trsis. .k l'affirme.Campus n'insiste par.

D'autres orateurs nterviennent, parlantce voeu. Es M. le préfet ne brmhe

Pas !Le temps n'est eus luin ois il auraitDosé la question préalable I

Ducos arrêt du train du mir ersgare de Loures.Barbaran, renouvellementde (adopté).

LE PRIX DU PAINPuis M. Samt-Martm, sénateur/ pros

vogue un débat d'une extrôlne confusionen demandant au ,préfet ce qu'il pensedu prix du pain et des farines et du blé.

Il est clair que le préfet n'en Pense rien- pas plus que M. Sard-Martm du reste- et que M. Osegand les sauve en pré-eonisant la taxation des farines.

s La proposition est devant la Chambredepuis huit mois a dit /e préfet. avonntainsi que la Chambre a préféré les inté-rêts des spéculateurs à ceux des cousons.mateurs.

Puis comme M. Casuscn accuse lesminotiers d'être les auteurs At tout lemal, M. Marty se fâche, et défendant lesintérêts de ses anis minotiers, affirmequ'ils sont plus mal lotis nu on ne Dense.Il c'est pas adversaire d'un contrôle plus.nigmurente des cotations. I/ ;ce nie parqu'il y ait entre les cotes officielles criasfactures certains écarts. Il nie que cesécarts profitent aus/ rnimotters.

Moie Paroi Labattut s'indigne contreles minotiers.

Dion Prévat ckinande Quelles garan,ties présentent l cotations officielles. Ases questions précises sus ce point restéessans réponse on voit bien ein /a cone.-sine de contrôle ne contrôle rien du teut,non rmint pay paresse ou par complicité,Mais par manque de pouvoir et de Mo-Yens.

C'est alors que Jean Riom promnse quecette cononmsion de contrôle soit insanede moyens ne controle. Peut-en les luidonner? » demande notre camarade. -

o, dit le pnéfct, sans d'ailleurs °réaises casernent il s'Y Prendra, ce 9nti lianslaime, cln. à nous, fort sceptique sur /aréalisation rie cette promesse.

LE EMELT FELICITE, M. FEUCAAjoutons qu'au coure de -cette discus-

sion 13i. le peéfet a éprouvé le besoin dedire - sans que rien l'y invitas - queM. Fouge avait fair des prodiges pourMainteart le prix du pain à 'Fouinasse- àun sen de plus simplement qut à Paris.a Vous auriez pos l'augmenter pl. fortet duo oit

le mn' nde a été visiblement sur-pris de voir M. -Second prendre parti, ennblic, pour M. le maire de Toulouse.

i a choisi un drôle de moment pour té-rrsoigner tont de sympathie au chef clé lamunicipalité) qui compte un millier dePartisans en ville.

Il a oublié de dire que c'est l'approchedes élections sénatoriales qui inspira tantde sagesse M. Fenga et que le Prix dupain fut augmenté aussitôt après.

Après cette discussion, M. Carmen,sans docte pont inaugurer l'ère des éco-nomies fait voter 1000 francs de subvemtion pour un raid luedinnue n se demmicdans trois jours. On peut dire que c'estenlevé,, in extremis a.

Dulion voudrait ne nue avaler depoussière lossra sur la route urre autopasse près de lui. Pour cela il vendraitgoudronner les routes avec le

toc-entresfionnariierdu,département. On ne dit sors

ET LES TRAMS SUBURBAINS ?

ove de la résoudre en la déclarant insolmble. Et il le prouve. Et il le prouve mêmefort bien

C'est la même Société, dit-il, gui tientà la fois le réseau urbain et le réseau sulembein,e menerI i contrôlé, a num/ i

UNE AVERSEnpe trop rt,fo celle-el peut laisser en met-D'autres vceux ht kit noginnt tin gérai.

V44. 4. racersdes Cette perspective pasult produire g-m.1-,km cantormiem du service vicinal de lascore 6t.ennon nn. arnnonHante-Caronne (renvoyé à l'administra. nou, ne partageons pas ers

songeantrIvetion)mes. relatif au plan d'études de que pour ,,,,,,tener le courant au serviceJ'enseignement primaire (renvoyé à /a ,01..nttbain comjnagaie demait le surs-comanis. sic.); men teint au maintien de partout ou en tout cas courser lesr'1.1(.1re d'été Pour le rt,...../ése 13°' fils et doue. détériorer le matériel ce qu'el-Yonne -Toulouse arrivant à Toolouse à le ne peut pas se peorttre.12h, 15 (renvoyé à la commission).Il est pendant piquant de connaîtreDandrieu Veen, création d'une cette situation de droit. M. Clergand. as--canine téléphonique au Ramel, section quantenout, queA est t en conflitde fi) renvoyé à l'admtra.. aigu avec la Compagnie en conclut neMeu relatif au service d'autobus de Ver- /es négociations sont délicates.fee pat. le Rame/ (renvoyé à l'administra-

sore encore déposés par ne, ai ee141/ Castanet. ce suburbain au beau milieu de la voie I

M. Ourgand Voeu tendant à ce cm /etravail de recensement des n'uvaux aitlieu ers mare et ami/ avant les travauxAgricoles (renvoyé à la comrnissionl

M. Whety relatif à la protectionde In culture du blé et à l'institution ducarnet de battage (renvoyé à la commis.sien

M. Cadéan Vu relatif à l'encoure.gement à la protection mulassière de l'ad.Ministration des Haras. M. Cadéac de-Mande en mitre que la comenission tienne

- Mie séance dans le cames de Boulogne.D'autre part MM. Montagut, Rihet et1:11arbas demandent à leur tour la tennende cette commission à Salies-du-Salat,',Pet et Toulouse (renvoyé à la coirtnis

M. Dennetele Vu. sur les permis-es> agriceles (renvoyé à la commission).

DM-cassé Veen sur la création d'uncomPhimentaire mixte à l'Isle.en-

(renvoyé- à la ecermission).nnRle Veen de /a Fédération Natio-4f4s mail& du travail teaduat à lerse

osrreqa dans les écoles de rééducationj(.3. ?rutilé. de la guerre (renvoyé à ladletrAtiorn.

,,Inntagut arrêt du train 901 ense Bonsores ren onellement watta.A,,,,46)

tracts

a Il manque quelque chose. et le mil-tonne que certains de nos collhgues aientoublié de l'apporter s.

Et comme nul ne voit - nonesemblevoireu qui -.nrc,rr. M. Feuga implore:

Dites-le dor. I

Ehl bien! dit Ellen Prévot, tout simple-ment une adresse de félicitations au BlonNational et au gouvernement cnane onle faisait aux précédentes sessions. Y au,rait-il donc quelque elmse de a..e6sd."'Pois huit mois dans cette enceinte et da.le pays ?

Et ausitôt dans la partie de la salle ré-serrée au public des bravos et des au-plaudissements éclatent de mus les coins.

Le président est visiblement déconte-nancé. n ose se fâcher. Et E/len Pré-vot met le comble a mn désarroi, ramiertant

a II menuet autre chose encore. Etnous en exprimions nettement le regmtC'est que ceux de nos collègnes nouvel-lement élus démels n'aient cas rem/ duPrésident les félicitations que iuse,u'ici anavait centime d'adresser à ceux à crui lepeuple confie sa souveraineté. Fat-ce par-ce one les nouveaux Gen Aéprs sont se-°lestes qu'en a onblié de les compli-menter ? »

De nouveaux applanthesements écla-trot et tout le monde s'en va sur cet Md-dent tandis taie dans le hit rie ce dé-part précipité le président met' end mece n'était pas à lui de le faire et annoncequ'on reviendra travailler aujourd'hui à14 heures.

Il est 16 b. 40 lorsque la salle se vick.

Dédié à la Municipalité

Mardi 2 carcans,urant, comme tout le mon-de le sait, urn Violent orage s'est abattusur notre ville entre /7 h. 30 et 13 heures.En peu de temps, nos rues se sont Irons-formées en viviers et malheur au Piétonqui s'avernmait sous le ciel rnammten peu d'instants il était mé.ntorphoséen baigneur sonne de l'eau.

Mais il est ma/heureux de nstater quedans ces moments cc voit éclater le peud'idée de notre municipalité et Po..preuve, nous ne citerons nue exemple tl'état de la rue Bellegarde à l'intersectiondé la rue Alsace, face à la cordonnerieMoussard. A ce point, la rue Alsace esten contre haut de me BeJleg.a.rde etpar suite l'eau abondont par la grossepluie qui tombait Venait se déverser dansInc deux bouches d'égoôt qui remuaienten même temps l'eau descendant /a rueBelle:garde. anivé de tom cela ?Strurvmere. ceci /es agents titans trUPétroits et fermés par des grilles où 8 a-/renne/lent de la boue et d'anime saletés,ts ont pu recevoir les eaux et les maisonde /a rue Bellegarde ont été inondées, lescaves et les magasins ont bé copieuse-crient.

Des photographies de ladite rue ont Ctépurs et lete vue sodique qUe les trottoirsétaient sulenenxés.

Qu-el remède à apporter direz-vous ?l'agrandissement de la bouche crégoût etabaisser en partie le niveau de la rue Al./ace au débouché de la rue Bellegarde.

En attendant, les habitants des ruai'sons moisi...te...ne/estent les dégâts etsont par conséquent clans l'obligation dedépenser inutile/suent lette urgent.

Peu importe à la municipalité, elle edater. choses bien moins intéressantesa s ounces et tant PaS rem, nussont victimes de ces inondations.

J'ajouterai qu'un industriel avise de-mandé le concours des neniers ent111. vi.der sa cave, mais, eu crase sur Anne, iln'a rien vu venir et il a du s'appuyer cetravail à ses frais. - La rue Bellegardle.

A la rue des FU/al/eines

d M. Faune vous ne pouvezPas négocier avec la Compagnie tant quele procès intenté à elle par la ville estpendant, car le comeil général s'est esse- Icil à notre demande de déchéance

a Mais, objecte Ellen Prévirt, la villeelle-même tout récemment a bien néese.me avec la Commagme ben que le pro,oès en question fut en coma dénà

P. du tout a dit M. Feu os.ns Pardo, insiste Ellen Plévot. La

presse entière l'a affirmé et la mairie n'apas démenti. s

lefais ce n'était pas des conversationsofficielles », concède le maire.

a De toutes façons, rausend kart Mea,muni que soit le rnoyess emplevé, il fautagir vite ».

Alors on charge la commission dép.-P". d'engager, de poursuivre et de

rems, à bien des négociations avec lesT.C.R.T.

Nous verrons tien ce que cette cribi-méson rendra comme résulmt positif.

OU LE PUBLIC APPLAUDITLa séance allait etre terminée là-clensus

lorsque notre camarade Ellen Prénot dé-Maispare a cette séance ne peut se

terminer ainsi. Il y manque quelque chone comme conclusion ».

o Et quoi ? dennande-t-on de tontes

Malgré tontes les pétitions, malgré tout,/a rue des Fontaines continue à être Ivrai dur Nom de toutes les ordures eNotre camarade Jean boues, Ch., se den-a.nde vraiment si cequestion Où en est le problèm d.eqendons,

qaTtiee fait bien partie de ta ville dtrams suburbains ? TQution formiclab/e. IVE Ourgauvf es- il es cru, re quo es ordres ont étédonnés au service municipal de nettoienient pour qu'il ne laisse aucun nettoy;g, dans cote rue.

On attend sans doute mine épiclémise déclare pour prendre toutes mesure-

cipalité de Toulouse, le second par le dé-partement. Or aux termes des convers-tions de concessions, le premier est oblige ) Des Dures pour TelCde céder ses rails au second pour l'ex-

I pat ruons par ounsvala6plOitation, mais pas le coMant. s'ensuit bàS Sh4tirmTS G. 51R ECKque si nous harcelons la Compagnie un OgegmetReS

sont transferies, 66, rue mass TOULOUSEPlegage in, gue ImuM - Puiser 21,8,

La grève des Menuisieis

menutsters ar comprenneneds pas 90

toujours. auge le même entrain. Il pa-

moins quelques-m, seraient du sires aengager des pourparlers a ec l'organisa.tien ouvrière Mit en était ainsi, le conflitpourrait changer de rem Patim1.1

serai!. que ME les entrepreneurs (.1

La grève des Ouvre:ré menuisiers douer-Qu'attend M. le maire pour réagir ?

se gennnant Mins deur intaansignmerentable, ils sont en train de raréfier 11main-d'oeuvre qualifiée '? 11 s ra lt tempsquels comprennent qu'on ex.e de leursouvriers vers d'autres regi,s ou d'autresearporatiens phis lucrative; nin. pas IUne vaine menace, mais un véritable dan-

JUsqu'd l'heureprénnte, cet Mode avaittie. avec l'appui de l'Union des ndicals.Main devant l'attitude ilICOMM he.eibledes entrepreneurs de menuiserie nui ontvoulu, désira, el NIArere pe/Ltrettivent la binaPour allelodre Porganismi_-on syndical. lescamarades suit amena entamer resaleiiblividuelloment. L'Union des Syndicats

C'est écru de reer à la détresee de rie-dustr'o de la menuiserie més ces ms/s-t/tura comprendront quand même queleurs ouvriers ne sont pas Me à-1sVer de faim en travaillant, Ain vie le orpermettre ds réaliser des bénéfices dontcertains que nous connaissons font sen- mint.dale

ne, voici les patrons menuisiers pré-44.116 1I 3zéPzE.,.. 1('ré iscuteravec leurs . nem - on, offrirleurs bras à des exPloiteurs moins ranimes.

Ea réera ne des gsiseue, e hier ma-tin lunch, après noie examiné la situation.a pria rouira 0e, meturse s sum pro,.epaduite cies pourparlers, ainsi que pourl'orsmilmtiotj-Si la résistance, afin de me-ner d bonus fin /e conflit

Réunion des grévistes à S heures dumatin. - Julien Sorgues,

LE MIDI scamelt.

Pénible accident de travail-Mar soir. VO. 23 heures, deux employés

électriciens de In T. C. D T. étaient NIdupés à couper les fils du tramway, auBoulingrin, entre le Grand-Rond et l'alléedes Setipils pour permettre l'elablimernontd'une posseTelle vomit..., destinée h l'Expo-sition. Par nue annotante° fortuite, tousdeux tomberont sur le sol dji haut de laplate-forme de l'auto-échafaudage. L'und'eux, Perme Laurent, 32 ans. demeurant.3. rue des Quêteurs. a ête relevé avec desnlusions multiples sur tout le corps. Plusmalheureux, Panier, 61.0e Jean, 37dememant 44, avenue «les Alinnes, a eu lajerne gaucho Donnée très gravement(fracture °uvéite de

denx blessée ont lb. atià-slik Mans-pmbés S 111.11el'Dieu. à l'aide de la ca-mionnege muntripate, réa l'interne derme-vice leur a pindigué des soins empressés.salle Enint-Pierre.

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- Qui sait si on ne nia pas entendugronda-tél.

Il fit rapidement le tour des deux outrois salles voisines et respira: cil. étaientdésertes.

Alors, il revint à la salle d'honneur,alla soulever les rideaux de l'une des f e-nétres et regarda su dehors.

Il pouvait être sept heures des matin.Le jour était triste et livide. La tmopête,à son maximum d'intensité, se déchaî-nait dans toute son hoseeur. Les quaisétaient démets. Sur h grand canal, lesgondoles s'entremhocumient.

Au loin, sur la droite, une lueur rougehuait dans le ciel noir.

Lex yeux de Dandolo s'attachèrent surcette lueur sinistre.

-. On dirait cire le. Palais ducal est enkelt no terroura-t-ii.

Mais bientôt son regard se d:étauta de. Point.

- Et puis, one m'importe I grondadd.Que oust brêle, pourvu que a éteigne laflamme d'enfer cari rrm dénore

Srentain, Il devint Mem,.Ses yeux exorbités se fixèrent avec une

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chose qu'il voyait, et qui devait être af- lis gui domande à être introduit l'urgea-

- Ois ! bégaya-t-il, ce n'est pas posai- Dondo/o fit un geste.ble I... Je devie. fou !... Cela Most pas Quelques instamd plas tarde Allié.°vrai I.... était devant lui.

Le spectacle qui le frappait devait 'être D'. teeprédre effort. Dandolo s'étaitterrible, car il tremblait et se soutenait à. compusét un visage indifférent.In lorede étoffe du rideau pour ne P.. -- Je viens vous nppeunderuov unietomber.. velte importante, dit Alfieri. La voici s.s

Là, sous ses yeux, ce fut une vision en- rnItts tardez Roland Cmidiano vient depide qu'éclaira le feu du ciel balayant s évader.l'obscurité ries nui.. Dandolo mit toute set science à feindre

Là, dans le grand canal, deux têtes oc- une violente surprise.naierg d'émerger à la surface des flots !... i - Evadé I Vous êtes fou I On ne ri&

Deux honores se montraient I vade Pas des prisons de Venise.Cas deux hommes se hissaient dans une - Cela est pourtant I lot Altiéri de cet-

gonulde... On devait ce matin exécuter le banditEt la gondole, vigoureusement p.oussée te voix sombre qui lui était habituelle.

par l'un d'eux, s'enfuyait dans la terne& Snalabrino Il, se sont évadés ensemble_te I On a cmstaté que Roland Candiano

Puis, tout retombait à l'obscurité pro- avait cramé une mine allant de son ca-chot à celui de Scslabrino. Ils se sont

fonde.Dandolo (nia mn cri d'émouvante. mur- nomme.' sans doute- n .arrivant sur lea . , , , ,

ms ou nous et tomba à la renverse, éva- Pont des cunsomxs. te mer &and,,

noui, s'est asperme mie l'homo°, que 11 on con-.......... <luisait à l'A...tuf...cl n'était pas Scala.. .. ...... .... .

orsqu'il revint à lui, Dandolo se vitbrino. En effet. r'emii Rolandee,

"s''''"4 - Cela est, voos-Ais-ie .1 ropti, Alt enqui l'avaient porté sur un lit et s'eusardent autour da lui. ad alors rat effrayant. Sca/ahrino est ap.

se re/eva austitig.

:mea

llard somlnin portant sur an tête une dal-- Ne vous incadétez ces., dit-il. C'est a que hommes ordms eussent

un ei.Ple venige- Q' c." h`i"` "IL .0% dn pein. à soulever. Avec cette dal-Les riones6aueS se litèrent d'obéir. le profitant de la somma des cardés et deDandolo avait reconnu Reland. la terrem cane /cm can,. foireiS'il ne l'arrêtait pas, il se sentait peseta bée sur le none ils défoncé h fenêtre,Un setviteur qui entra soudain l'erra-

Volté,..1;cnéts,cdeo,z an.ytc,silaàuteé-.

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- Libre !Oui, libre I Et je suis venu. je suis

accouru pour vous dire ri vote, le père deLoonore, à ta. le Grand Inquisitem, lechef suprême de notte Poline i Qu'ailes-voua faire ?

Dandolo tressaillit violemmentEncore cette qUestion gni se P...is

vase lui IEt, cette foia, ce n'était plus dem le

secret de sa conscience !

Un homme émit là qui la lui posaitouvertement, avec une sorte de violenceconcentrée

Quel homme ?Alfieri I Le mari de Lem:ore ! Le

maître de sa fille, de la fiancée de Ro-land Canchano !

- Ce que je vais faire C balbutia Dan-dolo

On dirait que vous hésitez I

- Je n'hésite pas je suis atterré, voi-là tout. La rwurvelie est ai stArdéfiantepue, venant d'un aigre que vo., elleme semblerait absurde.

- Oui I fit Alteiri d'une voix sombre.Il y a, en effet, quelque cime. d'absurdedans tout ce./.. Cela m'apprendra àinuer /a générosité. Il fallait, pendantrine nous tenions Roland Candiano, il

lin geste violent acheva la pensée

Enfin Ieeprit-il. Le mal est fait. Ils'an& de le réparer. Et cela vue. remisa,Faites fouiller Venlse. °pion (encre leLido. Qu'on surveille toute embarcation

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Sur ces mots, Altiéri se leva, demeuraquelques instants debout, plongé dans s.réflexion-amas, troueront il prit congéde Dandolo.

Rassurez-vous, dit celuimi, dansdeux jours. les fugitifs seront enchaînésau fond des puits.

- Et pourtant, il le faut I mummea-t-il Ce nouveau crime est nécessaireCens moi .cnii dois arrêter Roland' Can-dianes. Cent moi I

Dandolo passa une heure à réfrénerlen semai:mots qui soulevaient sa penséecomme la ialilipêiC du dehors soulevaitles vagues. Puis, étant arrivé à se Cor.poser un visage clos maintien, il pa.adans son cabinet de travail et ordonnaens'on envayfit chercher le chef de la po-lice.

- Il est là, lui dit son secrétaire.Déjà I tee panure sourdement Dandolo.Le chef de la police fut introduit.- MOnsieun lui dit le grand inguisiteur

vous amies ce goi se passe ?Cool, monseigneur, deux prisonniers

se sied évades.L'un d'eyra devait être exécuté ce ma

tin ustîme. J'accourais prendre vos os-ares.

-- Racontez-moi la chose en détail, fit&AsesEt tandis pue le pslicles faisait un ré-

cit de l'évsejon race Innsait dans uneélégante narration destinée à le rehaits-

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- Il faut nue ce soit moi na le Pa`larrêter ! Oh I aes deux têtes er0vura émargeant de l'eau et dressant 8,o!

le ciel en feu un regard de chfi '

temps s'écoule Qui art mils ne sont Pll

hors de Venise IhrtLe ilunur oui T'épiait autour

l'étonna soudain.Il tressaillit et vit le chef de !nalic-

le regardait avec étonnement.- Continuez, dit-il.- C'est tout, monkeiglue.- let" ehn

!

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ettllà ex6cuter vos ordr.. . ,k,

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I dit

ait fini sa narrate

- Mes credr. Dandolo en ,e'

- Monseigneur veut-il me dorti,eres.te blanche ? dit tout à col. I. lion

Dandolo eut une lueur de per.

contint pourtant et répondit : .,,e

cnr qui si en ne:Ste:aie Led 'shedi tes en h e.e.'' ,

Ces deux hommes sont très ,Il :.,,,, 7An fsie vous lz....c.L.12ts:or

Ou!...........,à condition toutefois utt: .L:

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