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1 LE CHAPITRE IV LES DOCTRINES DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE ROMAINE Devant cet auditoire magnifique, et devant le grand Dieu du ciel et de la terre, je tiens une fois de plus à exposer davantage les erreurs d’une institution supposée infaillible – la soi-disant “Saint Apostolique Église Catholique Romaine.” Je vais présenter ce soir de plus en plus de preuve prépondérante que cette institution de l’homme n’est pas sainte, n’est pas catholique, n’est pas apostolique, et n’est pas l’Église. Elle est plutôt une hiérarchie ecclésiastique, politique, humaine, faite par des hommes, manquant tous les caractéristiques de l’Église du Nouveau Testament, et n’est pas l’Église du Christ en aucun sens, soit dans l’ensemble ou en partie. Les doctrines de l’Église Catholique Romaine tombent dans deux titres : les sacrements (les actes) et les sacramentaux (les rites). Ils ne sont pas pareils. La tâche actuelle est de les séparer et de les démanteler. Il y a huit points qui ont affaire avec les doctrines de l’Église Catholique. Les sacrements, les sacramentaux, les jours, les livres, les symboles, les services, les sociétés, et les obligations. Permettez-nous de les prendre en ordre. I LES SACREMENTS Il y a sept sacrements de l’Église Catholique Romaine. En premier lieu : Le Sacrement Du Baptême. Le sacrement du baptême dans l’Église Catholique est suivi par quinze cérémonies, dont toutes de la première jusqu’à la dernière sont inconnues au Nouveau Testament. Je désire vous donner leur conception de qu’est-ce qu’ils appellent le sacrement du baptême. (1) Le but du baptême. Ils nous informent d’abord de tout cela que “le baptême est un sacrement qui nous purifie du péché originel,” et “pour nous rappeler du péché originel dans lequel nous sommes nés,” et des “épreuves attendant celui qui est baptisé dans le monde.” C’est ce que dit “l’Église Visible,” par Sullivan, à la page 39. Le baptême purifie, selon la Bible, et est « pour la rémission (le pardon) des péchés, » (Actes 2, 38) en revanche n’est pas pour le péché originel.” Voilà la doctrine de la dépravation totale, héréditaire, qui comporte les conséquences de la damnation des nouveaux-nés – une relique de Rome, que la Bible n’enseigne pas. Le manuel du Catholicisme donne une fausse intention pour le baptême dans sa première phrase sous ce titre.

LE CHAPITRE IV LES DOCTRINES DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE

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LE CHAPITRE IV

LES DOCTRINES DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE ROMAINE

Devant cet auditoire magnifique, et devant le grand Dieu du ciel et de la terre, je tiens une fois de plus à exposer davantage les erreurs d’une institution supposée infaillible – la soi-disant “Saint Apostolique Église Catholique Romaine.” Je vais présenter ce soir de plus en plus de preuve prépondérante que cette institution de l’homme n’est pas sainte, n’est pas catholique, n’est pas apostolique, et n’est pas l’Église. Elle est plutôt une hiérarchie ecclésiastique, politique, humaine, faite par des hommes, manquant tous les caractéristiques de l’Église du Nouveau Testament, et n’est pas l’Église du Christ en aucun sens, soit dans l’ensemble ou en partie.

Les doctrines de l’Église Catholique Romaine tombent dans deux titres : les

sacrements (les actes) et les sacramentaux (les rites). Ils ne sont pas pareils. La tâche actuelle est de les séparer et de les démanteler.

Il y a huit points qui ont affaire avec les doctrines de l’Église Catholique. Les

sacrements, les sacramentaux, les jours, les livres, les symboles, les services, les sociétés, et les obligations. Permettez-nous de les prendre en ordre.

I

LES SACREMENTS

Il y a sept sacrements de l’Église Catholique Romaine. En premier lieu : Le Sacrement Du Baptême. Le sacrement du baptême dans l’Église Catholique est suivi par quinze

cérémonies, dont toutes de la première jusqu’à la dernière sont inconnues au Nouveau Testament. Je désire vous donner leur conception de qu’est-ce qu’ils appellent le sacrement du baptême.

(1) Le but du baptême. Ils nous informent d’abord de tout cela que “le baptême est un sacrement qui nous

purifie du péché originel,” et “pour nous rappeler du péché originel dans lequel nous sommes nés,” et des “épreuves attendant celui qui est baptisé dans le monde.” C’est ce que dit “l’Église Visible,” par Sullivan, à la page 39. Le baptême purifie, selon la Bible, et est « pour la rémission (le pardon) des péchés, » (Actes 2, 38) en revanche n’est pas “pour le péché originel.” Voilà la doctrine de la dépravation totale, héréditaire, qui comporte les conséquences de la damnation des nouveaux-nés – une relique de Rome, que la Bible n’enseigne pas. Le manuel du Catholicisme donne une fausse intention pour le baptême dans sa première phrase sous ce titre.

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(2) L’action du baptême. L’auteur de “l’Église Visible” admet “qu’aux premiers temps le baptême fut

administré seulement aux adultes,” et “par l’immersion jusqu’à peu près le neuvième siècle, ” mais “ne fut jamais considéré essentiel, ” c’est-à-dire, l’immersion ne fut jamais essentielle. (À la page 39) Le baptême fut pour l’objet de se débarrasser du péché originel, et fut l’immersion jusqu’au neuvième siècle, toutefois l’immersion ne fut jamais essentielle. Ils ont constaté cela au neuvième siècle!

(3) Les sujets du baptême. Le cours Catholique qui fait autorité, “l’Église Visible,” explique davantage :

“Dans les premiers temps ce fut donné publiquement aux adultes seulement aux “Samedis saints” – toujours indiqué dans les rituels.” (À la page 39) Le baptême des nouveaux-nés n’est pas connu dans le Nouveau Testament. C’est un enfant du Catholicisme, comme l’aspersion. Ils ont débarrassé de l’immersion par l’édit du pape, et ils ont changé les sujets du baptême d’inclure les nouveaux-nés par les édits du pape. Vous remarquerez “qu’aux premiers temps” le baptême ne fut administré publiquement qu’aux adultes au jour de Samedi saint, et la pratique est encore “indiquée” dans le rituel, si ce n’est toujours ainsi célébrée. Je cite de l’autorité Catholique, “l’Église Visible,” leur manuel. Ils ont administré le baptême uniquement le jour de samedi. Ils ne baptiseraient même pas un “adulte” à n’importe quel autre jour de la semaine. “Samedi saint” – donc point de sujet de baptême pourrait se débarrasser de son péché originel jusqu’à samedi. C’est comme prendre un bain le jour de samedi que vous ayez besoin ou non! Baptisé seulement le samedi, et si quelqu’un meurt avant samedi, il est mort dans le péché originel. Voilà la doctrine, “toujours indiquée dans le rituel.” Ensuite parce qu’ils pensent que cela sauve du “péché originel,” afin que les nourrissons puissent échappés à la damnation, ils ont commencé à asperger les bébés, pour les délivrer du péché originel. Dommage pour les bébés qui sont morts avant le neuvième siècle.

(4) La cérémonie du baptême. La cérémonie demande une personne qui accord son patronage pour l’enfant, qui

par la suite va devenir son parrain ou sa marraine de l’enfant, de prendre la responsabilité absolue pour la formation de l’enfant, les parents n’ont plus besoin d’avoir quelque responsabilité quelle qu’en soit pour la formation religieuse de cet enfant, elle passe aux mains de la marraine, et où, le parrain. Un parent ne peut pas être le parrain ou la marraine pour l’enfant, comme il est soutenu que l’on ne peut être à la foi le parent naturel et spirituel. Il est manifeste à tous, sûrement, que de telles cérémonies sont purement des règlements humains, sans le semblant de la sanction divine.

Et voici la cérémonie pour baptiser des nouveaux-nés (ou nourrissons) : (1) Le

parrain ou la marraine présente l’enfant. (2) Le prêtre souffle sur le visage de l’enfant. (3) Il (le prêtre) place sa main sur la tête de l’enfant. (4) Il met du sel dans la bouche de l’enfant, qui est un signe de la purification et la préservation de la corruption. (5) Les exorcismes sont lus pour délivrer l’enfant de la domination du Satan.

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Voici le lieu de la doctrine de la dépravation totale inhérente a eu son origine, aucune autorité pour cela sous le ciel, hormis le pape abominable de Rome, et les Protestants ne sont pas hors de la cour de Rome. (6) L’étole (ornement sacerdotal consistant en une bande d’étoffe que le prêtre porte autour du cou et dont les extrémités pendent devant lui. Larousse Lexis) du prêtre est mise sur le nourrisson pour rappeler des catéchumènes (1. Un converti au Christianisme recevant la formation dans la doctrine et la discipline avant le baptême. 2. Celui recevant l’instruction dans les doctrines de base de la Chrétienté avant d’être admis de communiquer l’adhésion dans une église. Définition de Webster). C’est ça qu’ils appellent ceux qui sont en train d’être instruisent pour le baptême. Ils ne pouvaient pas instruire les bébés, par conséquent ils avaient juste à “jouer le rôle,” juste pour avoir quelque chose pour rappeler de cela. (7) La profession de foi, de réciter le symbole des apôtres par le parrain, et où, la marraine du bébé au bébé! La marraine, et où, le parrain se penchent au-dessus le bébé et récitent le Credo au bébé! (8) L’Éphpheta (mot araméen, qui signifie “ouvre-toi!” tiré de Marc 7, 34. à la célébration du baptême, à la fin du baptême d’un enfant, le célébrant peut toucher les oreilles et la bouche du nouveau baptisé en disant : “Que le Seigneur Jésus qui a fait entendre les sourds et parler les muets, te donne le pouvoir bientôt d’écouter sa Parole et de confesser ta foi à la louange et à la gloire de Dieu le Père.” – Dictionnaire de Liturgie – trouver sur Google) – une partie de la cérémonie dans laquelle le prêtre humecte son doigt avec la salive de sa propre bouche, et touche les oreilles de l’enfant, pour lui donner la compréhension; les narines pour la douce odeur de la vie spirituelle; et il mouille légèrement la langue du bébé avec sa salive pour signifier que le muet étant guéri. Les reliques de l’ignorance! (9) Les vœux – le prêtre interroge le bébé, par contre le parrain, et où, la marraine répond aux questions. Ces promesses baptismales sont faites par la marraine, et où, le parrain sous la peine du péché mortel. Cependant supposons que l’enfant décide de ne pas garder les vœux? Le parrain, et où, la marraine fait les vœux pour l’enfant sous la peine du péché mortel, savoir, si la marraine, et où le parrain n’est pas en mesure de faire que l’enfant garde ses vœux, en ce cas le péché mortel est le résultat. Et le péché mortel dans l’Église Catholique veut dire un péché impardonnable. Le péché véniel (pardonnable) veut dire que le péché est temporaire. Il peut être pardonné, par l’indulgence. Toutefois le péché mortel est inexcusable, à moins que le pape change d’avis, et décide de le pardonner. En considération de ceci nous pouvons voir pourquoi il est difficile de persuader un Catholique de quitter l’Église Romaine. Cela mêle le bien-être de sa marraine, et où, son parrain. (10) L’onction de l’huile des catéchumènes – pour ceux qui instruisent mais pas encore baptisés. (11) Les interrogations – comme énoncées, le prêtre pose les questions au parrain, et où, la marraine que le bébé est supposé de répondre, par l’entremise d’une marraine, et où, d’un parrain. Il pose la question d’abord au bébé; par l’intermédiaire de son parrain, et où, sa marraine, s’il “croit en Jésus-Christ,” qu’il “fut né et a souffert.” Il pose la question au bébé s’il “croit dans l’Esprit Saint et dans la Sainte Église Catholique.” La marraine, et où, le parrain dit oui il le croit! Il pose la question au bébé “s’il va être baptisé.” Le parrain, et où, la marraine dit qu’il va le faire! (12) Le baptême – le prêtre prend l’eau et verse l’eau sur la tête du bébé trois fois. J’ai entendu parler de la triple immersion, mais cela est l’action de verser de l’eau trois fois! (13) Le saint chrême (L’huile mêlée de baume, employée dans quelques cérémonies catholiques et orthodoxes, Définition de Larousse Lexis) – l’onction avec une huile odorante, douce odeur, l’huile parfumée,

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faisant le signe de la croix, dénotant que le bébé est à présent un Chrétien. Et qu’est-ce que fut le bébé avant tout cela? Un petit enfant du diable! (14) Un tissu blanc est mis sur la tête de l’enfant en qualité d’un signe de l’innocence, après qu’il est baptisé. Eh bien, qu’est-ce qu’il fut avant? Pas innocent? Voyez-vous, mères, la condition de vos bébés quand ils furent nés dans le monde, jusqu’à un prêtre Catholique prend la salive de sa bouche, et, au lieu de cracher dans le visage de vôtre bébé, il tapote le crachat sur le front! (15) Enfin, un cierge est allumé par la marraine, et où, le parrain qui tient le cierge allumé au-dessus le bébé pour symboliser la lumière de la foi. La “cérémonie du baptême” – bah!

Quinze cérémonies reliées au baptême Catholique, pas une seule desquelles est

mentionnée dans la parole de Dieu, ni quoi que ce soit est vaguement apparentée à cela ou insinuée à ça dans la Bible. Parler d’une Église Catholique, sainte, apostolique! Elle n’est pas sainte; elle n’est pas apostolique; elle n’est pas catholique; elle n’est pas l’Église. L’Église Catholique est dans l’erreur d’une manière flagrante sur chaque point du baptême; elle n’a pas raison, même pas dans un seul point.

Deuxièmement : Le Sacrement De La Confirmation. La cérémonie de la confirmation est pour le but de la force et de la protection par

l’acte d’accorder la spiritualité, ils nous font savoir. (1) L’institution de la confirmation. L’autorité Catholique, “l’Église Visible,” dit : “Comme tous les sacrements, la

confirmation a été donnée par le Seigneur, pourtant le récit de quand et où n’a pas été donné dans les Saintes Écritures.” (À la page 47) Vous avez saisi ça? Pourquoi, c’est l’autorité Catholique parlant dans le manuel pour les écoles et les collèges Catholiques, concédant que le sacrement de confirmation est manquant dans la Bible! Ce fut “donné” mais le Seigneur a juste échoué de le mentionner! Ceci est un aveu fatal qu’elle est une ordonnance humaine.

(2) Le ministre de la confirmation. Il est la personne qui la confère, ordinairement, l’évêque. “L’Église Visible” dit :

“Les Évêques sont tenus de fournir l’administration de la confirmation dans chaque partie de leurs diocèses au moins une fois en cinq ans.” (À la page 48) Plutôt insignifiant – pourquoi pas s’en passer entièrement?

(3) La matière de la confirmation. Ils l’appellent l’huile consacrée, ou le saint chrême. Cela est l’huile d’olive

parfumée, mélangée avec le baume du baumier (balsamier), le symbole de la force spirituelle, utilisée parce que les athlètes de l’ancien temps l’ont employée pour promouvoir la vigueur corporelle! (L’Église Visible, à la page 8) Si cela promouvrait la vigueur physique d’un athlète, et bien cela devrait certainement faire un Catholique fort!

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Ce “saint chrême” est béni tous les jeudis, une coutume qui a commencé en l’an 500 après Jésus-Christ. Les innovations de la religion Catholique Romaine ne font aucun cas de l’autorité scripturale, ou les enceintes sacrées des préceptes divins – absolument aucun. Cela est un système humain par leurs propres aveux réitérés.

(4) La forme de la confirmation. Elle consiste dans beaucoup de liturgies, que nous n’avons pas le temps de

spécifier ici. Dans le cérémonial Latin les paroles sont “Je te signe avec le signe de la croix et te confirme avec le chrême du salut au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit.” (L’Église Visible, à la page 49) L’endroit est où que c’est autorisé dans la Bible un tel emploi du nom sacré du Père, du Fils et de l’Esprit Saint, ou pour une pareille chose d’être célébrée avec ou sans la Divinité, dans ou hors de la Trinité? Seulement en Matthieu 28, 18-20 est le nom du Père, du Fils, et de l’Esprit Saint sont utilisés pour administrer quelque chose, et n’est que dans le baptême. La Sainte Cène n’est pas même administrée dans ce nom.

(5) La cérémonie de la confirmation. L’évêque étend ses mains, évoquant les sept dons de l’Esprit, le processus

d’oindre le front avec le chrême dans la forme d’une croix. Comment sait-il que les sept dons sont arrivés? À qui l’imagination a inventé tout cela? Il souffle sur la joue de la personne en train d’être confirmée. Tant pis si l’évêque a la mauvaise haleine! Vous voyez, le bébé est baptisé et plus tard confirmé. Quand le prêtre baptise le bébé, il prend la salive de sa bouche et la mettre sur le front du bébé – une manière douce de cracher sur lui! Quand il confirme l’enfant il souffle son haleine sur la joue de l’enfant confirmé. Eh bien, si l’huile du saint chrême doit être “parfumée” afin d’être efficace dans l’onction, si l’évêque a la mauvaise haleine quand il souffle la respiration, quel effet cela aurait-il sur lui? Oui, monsieur, si l’huile doit être parfumée, je veux sentir l’haleine de l’évêque avant qu’il commence de la mélanger avec l’huile parfumée!

Toutes ces cérémonies vont de pair avec qu’est-ce qu’ils appellent la

confirmation, l’évêque alors prononce la Pax Tecum, “La Paix soit avec toi,” et cela règle l’affaire; c’est-à-dire, pour cinq ans. Il célèbre une fois chaque cinq ans dans chaque communauté. S’ils peuvent s’en passer cinq ans sans cela, pourquoi pas se passer entièrement avec la chose païenne. Cependant il vient, fait les confirmations, met de l’argent dans sa poche, et dit, “La Paix soit avec vous! Je vais revenir de nouveau en cinq ans”! Et ça c’est la confirmation.

En troisième lieu : Le Sacrement De La Pénitence. La confession des péchés, ou la pénitence, est le sacrement par lequel les péchés

commis après le baptême sont pardonnés. Les péchés commis après le baptême sont pardonnés par le truchement de la pénitence. Ce n’est pas assez de repentir et de prier. Il faut que vous payez et prier. Payez pendant que vous priez, et priez pendant que vous payez. Payez le prêtre pendant que vous priez au prêtre. Si vous payerez tant que vous

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priez, votre prière sera efficace; mais si vous arrêtez le paiement, voyez comment efficace sera votre prière. La prière cesse d’être efficace lorsque l’acte de payer s’arrête. Il s’agit strictement des honoraires professionnels, comme d’aller à un dentiste, un médecin, ou un avocat. C’est tout ce que c’est, payer l’honoraire pour la pénitence. Cela est un tarif de revenus sur la prière. Penchons-nous sur cette chose nommée la pénitence.

(1) La juridiction. Tous les prêtres ont le pouvoir de pardonner les péchés, par contre ils doivent

avoir une autorisation spéciale pour utiliser ce pouvoir. (L’Église Visible, à la page 51) Avez-vous compris? Cela ressemble à un prémillénariste disant que Jésus-Christ a tout le pouvoir, mais ne l’exerce pas! Eh bien, c’est ce qu’ils disent. Le prêtre a le pouvoir de pardonner les péchés, pourtant il ne peut pas l’exercer sans l’autorisation. S’il avait le pouvoir, supposé qu’il avait employé sans autorisation. S’il ne peut pas, en ce cas il ne possède pas. L’idée qu’il a le pouvoir mais “ne peut pas” l’exercer est une fausse distinction. Il y a d’autre gens dans la religion qui font la même erreur. J’ai fait mention de leur nom, comme par hasard (par l’exprès), les prémillénaristes! Ça a l’air comme leur caquetage, exactement.

(2) Le confessionnal. Le confessionnal est toujours administré en secret. Le confessionnal ne peut pas

être administré en publique. Tous les six autres sacrements sont administrés dans la présence des témoins, néanmoins pas le confessionnal. Il ne concerne nul autre que le pénitent et le prêtre. Il y a un isoloir confessionnal, une sorte de boîte clôturée. Il y a un siège pour le prêtre dans la boîte clôturée. Il y a une boîte pour le pénitent, la niche, la cloison, les grillages et les volets coulissants. (L’Église Visible, à la page 52) La chose est l’embûche pour les prêtres et la séduction pour les femmes – la perdition pour les bonnes sœurs et Sodome pour les prêtres. Les filles malavisées vont au isoloir confessionnal et épanchent leurs cœurs de leurs confessions dans les oreilles des prêtres célibataires. Les femmes victimes d’illusions entrent dans la niche confessionnal et épanchent les secrets de la famille dans les oreilles d’un prêtre qui n’est pas marié. Époux Catholiques, si l’un de vous est présent, pensez-vous que votre épouse doit être soumise à deux hommes, le prêtre et le mari? Et de révéler au prêtre les choses qu’elle n’oserait même pas dire à son époux? Le confessionnal, est-ce que vous savez c’est quoi? Il est le trou de la serrure par lequel le prêtre épie dans la maison, apprenant les choses qui appartiennent à l’enceinte privée des cœurs du mari et de la femme. Comment aimeriez-vous avoir une femme Catholique qui oserait aller dans le confessionnal de la prêtrise Romaine? Le prêtre est un homme de la pareille nature que les autres. Le confessionnal n’est pas convenable au célibat. Il est un cadre parfait pour la séduction. Ces grands prêtres Catholiques ont autant de femmes pour les servir dans les chambres secrètes que les Salomon modernes, ou Brigham Young. C’est une odeur nauséabonde dans les narines des hommes et femmes honnêtes. Cela rend les bonnes gens rougir de penser à ce qui se passe aux femmes hystériques dans la confession Catholique Romaine. Lorsque les personnes qui confessent leurs péchés ne nomment pas volontairement tous leurs péchés, le prêtre va leur faire subir un interrogatoire, et en faisant ainsi, prétendument employé

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un langage qu’une prostituée n’emploierait pas à une autre. Il réclame une connaissance complète. Il exige qu’elles disent tout. Le pénitent est forcé d’avouer les deux les péchés mortels et véniels. L’institution toute entière est fondée sur le désir de l’Église Catholique de savoir les secrets les plus intimes de chaque famille sur la terre. Quand une organisation Catholique peut de cette manière obtenir “les renseignement privés” sur chaque famille ils ont l’enrégimentation de l’individu et de la famille pleinement établie, et ils peuvent se servir pour n’importe quel but politique sous le ciel. C’est la raison pour laquelle le prêtre est donné autant de pouvoir – le pape opère par lui pour l’objet de l’information Catholique.

Le programme de la confession est le Bureau Catholique de l’Information. Le

pourquoi du confessionnal est en ceci vu. Il est basé sur la prétention du pouvoir discrétionnaire et judiciaire d’un prêtre confesseur de “lier et délier,” et le prêtre n’est pas seulement la personne qui absout mais le juge de celui qui confesse. Mon ami Catholique, pourquoi être une pareille victime? Pourquoi ne pas tout simplement suivre la Bible, et ne confesse qu’à Dieu par l’intermédiaire de Jésus-Christ notre Avocat? (1 Jean 2, 1-2).

Quatrièmement : Le Sacrement De L’Extrême-Onction. Ce sacrement est la dernière onction. Par la voie de l’onction et la prière, le prêtre

donne la force à l’âme et le corps quand en danger de mort de la maladie. L’origine de l’extrême-onction est admise d’être humaine. Voici qu’est-ce que l’autorité Catholique dit à propos de cela : “L’extrême-onction, comme tous les autres sacrements a été institué par le Seigneur béni, en revanche ce n’est pas signalé dans l’évangile.” (L’Église Visible, à la page 55) N’est-ce pas ridicule? Imaginez quelqu’un prétendant d’avoir l’intelligence commune de parler au sujet d’une chose étant scripturale qui n’est pas citée dans les Écritures. Institué mais pas enregistré! Le Seigneur l’a institué toutefois a juste oublié de le signaler. Par conséquent le pape et le prêtre viennent donc pour nous révéler.

(1) La matière du sacrement. Elle est appelée, “Oleum Infirmorum,” “l’huile des malades.” Ils utilisent

certainement beaucoup d’expressions pharmaceutiques! (2) L’équipement pour la cérémonie. Prévu pour ce rituel doit être une table avec un chiffon blanc, un crucifix, avec

deux bougies, l’eau bénite, un aspersoir, l’eau fraîche et une cuillère, les serviettes, les boules de coton – tiens, vous penseriez qu’ils étaient en train d’arranger une salle d’opération pour enlever un appendice!

(3) La cérémonie de l’onction. Avec l’aspersoir, ils aspergent tous les individus dans la salle et asperge la

personne malade. Ils aspergent la pièce et aspergent tout le monde dans la salle. Ils ont à coup sûr besoin un arroseur pour autant d’arrosage que cela! Les pouces du prêtre doivent

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être plongés dans l’huile, et il fait le signe de la croix, d’abord, sur les yeux pour les péchés de la vue; puis sur les oreilles pour les péchés de l’ouïe; ensuite sur le nez pour les péchés de l’odorat. Celui qui est sur le point de mourir doit être absout des péchés commis par l’odorat. Je me demande qu’est-ce qu’il a reniflé qui a senti si mal! Certes, ce ne fut pas le spiritueux – les prêtres aiment bien trop ça! Continuant, il touche les lèvres pour les péchés du goût, la langue pour les péchés du bavardage, et les pieds pour les péchés de marcher. Si une personne est malade, ou affectée d’une manière qui ne serait pas appropriée pour exposer les pieds pour une raison quelconque, les pieds ne doivent pas être touchés. Ils vont l’omettre, ils disent, pour sa convenance. En d’autres mots, il peut juste prendre ses “péchés de marche” avec lui au ciel. Cela appartient aux choses idiotes, absurdes et puériles. Ça appartient aux superstitions des simples d’esprit de l’âge des ténèbres, à l’ignorance et l’analphabétisme, mais pas du peuple éclairé du vingtième siècle. (De nos jour, l’an 2014, le vingt et unième siècle)

(4) La bénédiction apostolique. Ceci est la cérémonie de la dernière bénédiction. Ils l’a nomme “l’indulgence

plénière,” qui veut dire l’indulgence complète, ou le pardon. Elle n’est pas obtenue lorsque la prière se termine, mais seulement dans le cas de mort. Si le patient se remet il ne le prend pas! Ils veulent encore plus de l’argent de lui s’il vit. Ils le feront de nouveau.

En cinquième lieu : Le Sacrement Des Ordres Majeurs. L’ordonnance des ordres est un sacrement par lequel les prêtres sont ordonnés de

recevoir le pouvoir et la grâce de s’acquitter de leurs devoirs sacrés. (1) La tonsure. (Larousse Lexis : 1. Cérémonie religieuse par laquelle on marque

l’entrée d’un laïque dans l’état ecclésiastique en lui coupant des mèches de cheveux sur le sommet de la tête (autrefois, tous les cheveux)

Il ressemble à un salon de coiffure moderne, en revanche il signifie un individu

qui, quand il est reçu, est pris du monde, il cesse d’être un laïc, et devient un membre du clergé. C’est la façon qu’ils l’élèvent des laïcs au clergé. Ils le séparent du monde – le prêtre est sorti hors du monde. Cependant je remarque qu’il mange quand même et boit, pas toujours de l’eau! En tous cas, ils déclarent d’être pris hors du monde quand ils deviennent des prêtres, ils ne sont plus du monde. La “tonsure” comme ils l’appellent, consiste de couper une certaine partie de la chevelure du candidat et de raser une tache circulaire sur le dessus de la tête. Je vois quelques hommes ici dans cette assistance qui sont naturellement tonsurés – prêts pour le sacerdoce! Quelques têtes là dans l’auditoire ressemble à un endroit noyé dans un champ de foin – “la tonsure” naturelle dans ce cas! Néanmoins la cérémonie demande l’évêque de couper cinq mèches de cheveux de la tête, de chaque côté et le centre en forme de la croix. Ainsi Rome essaie de transmettre les reliques de la superstition du moyen âge à un siècle éclairé.

(2) Les ordres mineurs.

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Ceci est une préparation nécessaire pour la prêtrise. Dans les ordres mineurs sont les porteurs – les chasseurs des évêques. Alors, les exorcistes pour chasser les démons. Oui, les Catholiques ont quelqu’un qui chasse des diables. Toutefois les Holy Rollers peuvent faire tout aussi bien, sans la tonsure. Le Catholicisme sur ce point n’est pas mieux que les sectes modernes qui prétendent d’avoir le pouvoir de faire des miracles. Il s’agit d’un office crée au cours des siècles quand les gens croyaient dans la possession démoniaque, en essayant d’imiter l’œuvre du Christ et des apôtres. Chaque erreur connue à la fausse doctrine Mormone est en quelque sorte résumée dans l’Église Romaine.

(3) Le diaconat. Ceci est la dernière démarche avant le sacerdoce. Il demande le célibat en tant

qu’une condition. L’état célibataire est exalté par Rome, mais l’Église Catholique dépend de l’augmentation du taux de natalité parmi les pauvres pour l’adhésion. L’Église Catholique dépend d’une classe moins sainte que leur idéale pour son existence. Si toutes les personnes devraient pratiquer leur enseignement l’Église Catholique ne pourrait pas exister.

(4) La prêtrise. Cette ordination imprime sur l’âme la marque de ne jamais être effacée. Une fois

un prêtre, toujours un prêtre. Ses pouvoirs sont pour d’offrir les messes, de bénir n’importe qui ou quoi que ce soit, de gouverner le troupeau, d’administrer les sacrements, et de pardonner les péchés. Si l’affirmation est vraie le prêtre Catholique a le pouvoir égale à Christ et Dieu. Les apôtres eux-mêmes n’avaient même pas ce pouvoir et ne revendiquaient pas un tel pouvoir. Les Pharisiens, aussi arrogants qu’ils ont été, n’ont pas osé prétendre d’avoir un pareil pouvoir, et ils ont critiqué Jésus pendant qu’il fut sur la terre parce qu’il affirmait de pardonner les péchés des hommes, et ils pensaient que ce fut le blasphème parce que nul autre que Dieu ne pourrait pardonner. Ils prétendent d’avoir le pouvoir que les apôtres n’ont pas possédé, et n’ont pas affirmé de l’avoir. Ils prétendent d’avoir un pouvoir que le Pharisien le plus hautain qui a jamais se tenait sur le sol de la terre natale du Seigneur n’a pas osé prétendre de l’avoir. Malgré tout ils le prétendent d’une manière sans se déconcerter, sans vergogne et avec blasphème, sachant qu’un tel pouvoir ne réside pas dans les hommes. Cela est une source de revenus, et est un système de supercherie et de fraude.

Je ne veux pas dire que toutes les personnes Catholiques sont malhonnêtes. Il y a

un grand nombre de gens dans l’Église Catholiques qui sont honnêtes et sincères, mais ils sont induisent en erreur, parce que la Bible a été un livre proscrit aux Catholiques – non destinée à des laïcs.

Sixièmement : Le Sacrement Du Mariage. Le sacrement du mariage est constitué de formes décrétées par le Concile de

Trente, qui font un mariage légitime. En revanche quand un Catholique parle de mariage “légitime,” ils ne veulent pas dire le contrat civil autorisé par les lois de l’État ou le

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Nouveau Testament. Le mariage légitime avec le Catholique est le mariage selon la loi du Concile de Trente – le droit canon Catholique. Si ce n’est pas suivant les formes du Concile de Trente, ce n’est pas un mariage légitime. Maintenant saisissez cette distinction parce que cela est qu’est-ce qu’un Catholique veut dire par cela. Le langage Catholique est exprimé de telle sorte que la personne ordinaire ne sait pas toujours la signification de leurs mots. Il est couvert, caché, dissimulé dans l’ambiguïté.

(1) Le privilège de Paul. Célébrer sans le canon de Trente, chaque mariage est non valide. Voilà

l’enseignement de Rome. Je vous le lis dans le syllabus de Pie IX. Ils ne reconnaîtrent aucun contrat civil de mariage. S’il n’est pas célébré par le droit canon, un Catholique est déclaré libre de se marier encore une fois. Le croyant marie à un incrédule est fait à signifier le Catholique marié à un non Catholique, et le Catholique peut à son désir et discrétion, prend son chapeau et l’a plaquée-là, quitté son épouse/époux non Catholique, et soit absolument libre pour se remarier. Ils appellent ceci le “le privilège de Paul” de 1 Corinthiens 7.

(2) L’indissolubilité du mariage. La loi de l’Église lit comme suit : “Un mariage Chrétien valide en quoi les partis

ont vécu ensemble en tant que mari et femme est indissoluble – à savoir, il ne peut pas être dissout sauf par la mort de l’un des partis.” (L’Église Visible, à la page 74) Tout de même, il y a divers motifs sur lesquels le pape dissout le mariage. Il est indissoluble mais le pape peut le dissoudre! Seulement “papa,” le pape, et s’il dit oui ou non, pourquoi il est ainsi!

(3) Les empêchements au mariage. Ceci se rapporte aux choses qui entravent le mariage. Le pape et le prêtre ont le

pouvoir absolu sur chaque homme et femme dans le monde sur la question du mariage. Les hommes et les femmes adultes s’inclinent devant la volonté arbitraire d’un décret papal. Ils ne peuvent même pas se mariés où bon leurs semblent. Ils doivent se marier dans la paroisse du prêtre. Cela est par la loi de l’Église Catholique. La loi arbitraire de Rome règlemente la conduite de chaque individu dès le berceau à la tombe.

No. 1 : La loi de la paroisse est que le mariage doit être célébré par le prêtre dans

sa propre paroisse, et si le prêtre de l’extérieur de sa paroisse tente de marier qui que ce soit, il n’y a pas de mariage consumé, il est déclaré légalement nul. Si un prêtre Catholique en dehors de sa paroisse marie un couple, ce couple n’est pas marié. Et pourquoi? La loi de l’Église Catholique stipule que c’est le mal parce que le mauvais prêtre a eu les honoraires! Les honoraires appartiennent au prêtre dans cette paroisse. Vous comprenez, il est une protection politique des honoraires du prêtre. Cela est comme un agent d’assurance qui sort de son district, ou un représentant de commerce de Frigidaire vendant un réfrigérateur à quelqu’un qui n’est pas dans son territoire. Pour la concurrence mal conduite le prêtre va annuler un mariage – le mauvais prêtre a perçu des

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droits pour cela! Voilà combien de conscience le prêtre Catholique a, et est un gros plan d’œil à leur système politique et social. (L’Église Visible, à la page 82)

No. 2 : Un vœu de la virginité, ou de la chasteté, de ne pas se marier, ne peut

point être retiré. Ce vœu une fois fait ne peut jamais être valide par la loi Catholique. Une erreur impulsive lie pour toujours – un empêchement diriment – le pape engagerait une promesse irréfléchie sur une jeune fille pour la vie, par contre libérerait des autres sur les prétextes les plus véritables.

No. 3 : Un parrain, et où, une marraine au baptême qui plus tard tombe en amour,

même si aucune raison scripturale, légale ou physique d’empêcher le mariage existe, la loi arbitraire de l’Église Catholique décrète pas de mariage. Cela est une mise en garde solennelle à un jeune homme de ne pas parrainer une jeune fille au baptême. Il pourrait vouloir plus tard l’épouser! (L’Église Visible, à la page 78)

No. 4 : La différence dans le culte. Un Catholique ne peut pas être marié à une

personne non baptisée, si ce n’est que par la dispense spéciale, sans lequel un tel mariage est non valide. La dispense veut dire que vous devrez demander “papa,” le pape. À sa volonté il peut dire oui ou non. Un pape Italien à Rome dit aux hommes et aux femmes qui sont des agents moraux libres en Amérique s’ils peuvent ou ne peuvent pas se marier.

No. 5 : La clandestinité. Un mariage fait en secret est invalide. Aucun homme ou

femme n’a le droit de garder un secret du pape ou du prêtre. Ils veulent en avoir la partie de tout cela! Les lois arbitraires de Rome règlementent le comportement de chaque individu à partir du berceau au tombeau. (L’Église Visible, les pages 78-84)

En septième lieu : Le Sacrement De La Messe. L’idée de la messe est du Latin, “Missa,” dérivée du verbe, “Mittere,”

“d’envoyer,” – à la fin de la messe une personne est renvoyée, est libérée. Elle a tirée son origine “aux premiers siècles,” et est devenue “commune” dans “chaque église” au quatrième siècle, d’après l’Église Visible, à la page 87.

(1) Le sens. Il s’agit d’une observance supposée du sacrifice non sanglant du

corps et du sang du Christ, le corps vivant et le sang, l’âme et la divinité, effectivement existant dans le pain et le vin. Le nom pour cette doctrine est la transsubstantiation – la substance physique du corps et du sang est transférée au pain et au vin.

(2) Le traitement pour la messe. Le montant de l’argent reçu par un prêtre pour

administrer la messe est maintenant fixé par la règle diocésaine, quant à combien un prêtre local peut administrer dans une journée, et les quêtes qu’il peut faire pour cela, parce qu’il est devenu commercial. Le prêtre reçoit l’argent pour les messes – par conséquent le prix est imposé! L’Église fait payer ses membres pour une cérémonie de pardon des péchés. Un service dans lequel ils pardonnent les péchés de ses membres à un prix fixe, et une limite sur combien de services pour le pardon des péchés peuvent être tenus dans un jour ou une semaine.

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(3) Les genres de messes. Il y a la messe solennelle, où les diacres aident; la messe pontificale, où l’évêque préside; la messe papale, par le pape lui-même; la grande messe, par le prêtre; la messe basse, aidée par les serviteurs; la messe paroissiale, pour l’église paroissiale chaque dimanche; la messe capitulaire (Larousse Lexis : Capitulaire : Relatif à un chapitre de chanoines. Webster’s : Un chapitre d’une cathédrale), la grande messe le dimanche dans les pays Catholiques; la messe conventuelle (religieuse), offerte journellement devant le chapitre des canons; la messe votive, au choix du célébrant; la messe de requiem, (Larousse Lexis : Requiem : mot latin : mot qui commence cette prière et qui signifie repos) pour les morts.

Il y a dix messes pour diverses classes qui ont les laissez-passer! Le laissez-passer

est quel que soit le frais pour cela. Pas une seule messe ne se trouve dans la parole de Dieu. C’est une affirmation de l’hiérarchie de Rome.

(4) La croissance de la messe. La “croissance de la messe” à travers des siècles, se

développant en détail jusqu’à ce qu’elle fut devenue la messe d’aujourd’hui, est un fait admis. Parmi les nombreuses sortes de la messe, pas une d’entre elles n’a pris sa source dans le Nouveau Testament, toutes ces messes des siècles de ce côté-ci du Nouveau Testament. L’Église Visible, à la page 92, concède que ce fut un “développement graduel.” Chaque déclaration de Rome devienne une preuve de son manque d’infaillibilité et de son origine humaine, malgré tout ils ont l’insolence de lier une loi faite par les hommes sur les millions d’hommes. Le lieu où elle se tiendra, par exemple, est spécifiée, et doit être dans une chapelle. S’il n’y a point de chapelle, donc pas de messe, excepté que par la dispense spéciale. L’autel est également nécessaire pour la célébration légitime de la messe. Le crucifix et les cierges doivent être allumés – sans les cierges allumés Christ ne peut pas être transsubstantié, sa chair et son sang ne peuvent pas être transférés au pain et au vin à moins que les cierges soient allumés! Ensuite le pain est prescrit par Rome : “L’Église Romaine utilise le pain sans levain de froment.” (L’Église Visible, à la page 112) Cela “a probablement commencé au huitième siècle,” un autre aveu de l’humanité par le cours de l’Église. Et le vin – ils se sert du mot “vin.” Le Nouveau Testament n’emploi pas le mot en aucun endroit relativement à la Saint Cène. Il révèle « le fruit de la vigne, » (Matthieu 26, 29; Marc 14, 25; Luc 22, 18) mais l’Église Catholique dit qu’il faut que ce soit le vin alcoolisé, pas le simple fruit de la vigne. Le Nouveau Testament n’affirme rien de la sorte, et ne se sert pas du mot “vin” dans le commandement et les instructions pour la Sainte Cène. Les récipients se rattachant à cela sont nombreux – ils ont toutes sortes d’entre eux. Le manuel, “L’Église Visible,” consacre trois pages de photos des récipients essentiels à la messe. Il nous fait penser d’un magasin d’antiquités, ou un musée, plutôt qu’une Église du Nouveau Testament engagée dans le culte scriptural, simple. Toute la chose entière revient aux superstitions du moyen âge, et peut être classifiée avec les reliques de Rome.

À propos de la célébration de la messe, les pontifes Romains ont eu l’audace de

lier un ensemble de récitations faites par les hommes sur des millions de personnes. Le credo, une profession de foi, a commencé à être récité en Espagne au sixième siècle; le lavabo, le processus de laver les doigts des prêtres, a eu son origine au quatorzième siècle; le sanctus, les paroles des anges, a existé, ils nous disent, “dès le cinquième

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siècle”; l’élévation de la hostie, levant le calice, a débuté parmi les Dominicains à la fin du quatorzième siècle; la commémoration pour les morts, fut introduite par Grégoire le Grand; le pater noster, une cérémonie de “notre père,” “remonte au quatorzième siècle,” suivant la page 106 dans le manuel Catholique l’Église Visible, par l’homme Sullivan; l’agnus dei, [Larousse Lexis : 1. Cire bénite par le pape, portant l’usage d’un agneau. – 2. Prière de la messe.] “à l’agneau de Dieu,” a été mis dans la messe en 700 ans après Jésus-Christ par Serguin; la communion du prêtre, rappelant la prière du centurion, fut autorisée par le missel, un livre Catholique, en 1570; la communion du peuple, nommée la communion et le renvoi, furent tout “autorisées en tant que les parties de la messe par Pie V,” dit l’Église Visible, à la page 109. Aucune de ces observances des cérémonies n’ont commencé dans le Nouveau Testament. Elles furent par l’aveu Catholique “une croissance” et “un développement graduel,” et de fait, ainsi fut l’Église Romaine elle-même.

(5) Les choses requises pour la messe. Sur ce service, Sullivan explique, dans

l’Église Visible, “l’Église a fait beaucoup de règles concernant les choses nécessaires pour la célébration légitime de la messe.” Toutes leurs paroles ne sont que la preuve supplémentaire de la faillibilité humaine de Rome et les traditions faites par les hommes. Il existe de nombreuses conditions requises pour l’observance de la messe : (a) le lieu, seulement dans l’église ou une chapelle, par la loi de l’Église; (b) l’autel, qui est absolument nécessaire pour la célébration légitime de la messe; (c) le crucifix et les cierges sont si essentiels que Sullivan énonce, “il doit avoir des cierges allumés” (le Seigneur ne veut tout simplement pas transsubstantié sans les cierges qui sont allumés!); (d) le pain, que “l’Église Romaine utilise,” exprime Sullivan, est “le pain sans levain de blé” et a “vraisemblablement” débuté au huitième siècle; (e) le vin, doit être alcoolisé, pas le pur fruit de la vigne, ou le jus de raisin, mais le véritable vin alcoolisé, malgré le fait que le Nouveau Testament ne révèle rien de la sorte, et le mot vin n’est même pas employé dans le nouveau testament par rapport à la communion; (f) les récipients, tels que le calice, [Larousse Lexis : Un vase sacré, utilisé.pour la célébration de la messe.] la patène, [Larousse Lexis : (latin patena, plat) Liturgie. Un vase sacré qui sert à couvrir le calice et à recevoir l’hostie.] le ciborium, [Larousse Lexis : Baldaquin qui recouvrait l’autel des basiliques chrétiennes.] le pyx (ciboire), toutes ces choses sont des “choses requises” sans lesquelles il n’y a point de messe. Toutes les choses, avec les “photos” qui flanquent un service Catholique, ressemblent plus à un magasin d’antiquités qu’une Église du Nouveau Testament engagée dans une simple adoration. Elles ne sont rien que les reliques de Rome mêlées avec les superstitions de l’âge des ténèbres médiéval.

II

LES SACRAMENTAUX

Sullivan dit, “Un sacramental est n’importe quoi qui est mis à part par l’Église pour exciter des bonnes pensées, pour s’intensifier la dévotion et par le canal de ces mouvements de remettre (pardonner) le péché véniel.” (L’Église Visible, à la page 119)

Il y a treize sacramentaux dans la liturgie Catholique.

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Premièrement : Le Signe De La Croix. Ce sacramental est le symbole de la délivrance, en faisant le signe une

“indulgence” est acquis pour cinquante jours, ou cent jours, si l’eau bénite est employée avec cela. Il est le symbole de la libération du pouvoir du Satan. Il a été accordé par le pape Pie IX en 1863, pour cette raison de l’origine humaine.

En deuxième lieu : La Croix. Elle est l’emblème la plus importante, symbolisant, ils disent, la rédemption de

l’humanité. Il y a huit genres de croix différentes : (1) Il y a eu le swastika (qui nous rappelle, n’est-ce pas?) La croix gammée est une des croix Catholiques. Vous croyez que c’est là que Hitler l’a obtenue? (2) La croix Grecque. (3) La croix de Saint-André. (4) La croix de Malte. (5) La croix Celtique. (6) La croix de Tau. (7) La croix Égyptienne. (8) La croix Patriarcale. Huit croix que les Catholiques vénèrent, les différentes sortes et types représentant les objets différents de l’idolâtrie Catholique. Ils réduiraient le Christianisme aux cultes des adorateurs de sites et des chasseurs de reliques. La signification de la croix du Christ ne se trouve pas dans les reliques. Le “mot de la croix” n’est pas symbolisé ni est caractérisé dans les sacramentaux Catholiques.

Troisièmement : Le Crucifix. Il y a une différence entre la croix et le crucifix. La croix ne devienne un crucifix

que quand une image du corps de Jésus est attachée à cela. Le crucifix est un terme “sanctionné par un long usage,” affirme “l’Église Visible,” à la page 123. La seule autorité qu’ils puissent nous donner pour le crucifix est “un long usage.” Vous pouvez prouvez n’importe quoi de cette manière-là – quoi que ce soit sous le ciel, par l’usage ou la coutume, d’embrasser l’orteil du pape jusqu’à s’incliner devant ce petit dieu des Japonais, Hiro-Hito, le soi-disant “fils du ciel” – leur empereur. Cela est “un long usage” là-bas au Japon. Depuis combien de temps ils ont prosterné devant le fils du ciel Nippon? Un long usage, en effet! Qu’est-ce que les Catholiques ont besoin est une preuve de la Bible pour leurs ordonnances.

En quatrième lieu : L’Eau Bénite. L’eau bénite est “l’eau bénie par le prêtre pour implorer la bénédiction de Dieu

sur ceux qui l’emploient.” (L’Église Visible, à la page 125) L’auteur de ce cours Catholique dit “qu’une tradition” est la seule façon qu’ils puissent retracer l’eau bénite vers le deuxième siècle, mais ils conviennent que ce ne fut pas de l’usage courant jusqu’à “un peu plus tard.” Donc par leur propre aveu leur “eau bénite” n’est pas dans la Bible. Ils ne peuvent pas l’a remontée au Nouveau Testament.

Il y a quatre espèces de l’eau bénite : (1) L’eau bénite baptismale, n’est utilisée

que le samedi et bénie seulement le samedi. Les adventistes du septième jour accusent le pape d’avoir changé le sabbat. Il (le pape) me semble qu’il essaie de la sanctifier au lieu de le changer! Il béni toutes les ordonnances sur qu’est-ce qu’ils appellent, “Samedi

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saint.” Qui a rendu “samedi” saint? (2) L’eau de la consécration, ou l’eau Grégorienne, ordonné par Grégoire IX. (3) L’eau de Pâques, distribuée le samedi, la veille de Pâques. Je préférerais de distribuer les œufs de Pâques moi-même, ou les lapins de Pâques. (4) L’eau ordinaire, rendue sainte par la bénédiction du prêtre pour asperger les gens avant la messe et pour employer à la porte de l’église. Ils mélangent le sel avec cette eau, une “coutume” datant “probablement” du “deuxième siècle,” ou environ, raconte Sullivan, à la page 126. Quand un Catholique ne peut pas déterminer une date, il parle comme un professeur sur la théorie de l’évolution – “probablement [ou] de toute probabilité” ceci et “vraisemblablement” cela!

Il y a cinq utilisations de l’eau bénite : (1) dans la cérémonie du mariage; (2) dans

l’extrême-onction; [destinée aux fidèles en péril de mort] (3) dans la communion pour les malades; et, (4) dans les services pour les morts dans ces services ils se servent d’un bol avec une poignée de basculement, équipée avec un aspersoir – ils sont pas mal forts sur les aspersoirs, ils devraient obtenir un brevet sur les aspersoirs – ils appellent celui-ci asperjays, (a tiré son origine neuf cent ans de ce côté-ci du Nouveau Testament); (5) dans les exorcismes, la formule pour laquelle exige l’eau salée. Mes mais, vous pouvez l’a mélangée – juste mettre le sel dans l’eau – mais pourquoi pas l’eau de Seltz? Elle est meilleure pour l’indigestion, et c’est ce que tous ces trucs Catholiques me donne! Ceci est la formule de Rome pour chasser les démons, l’eau bénite salée, pour chasser les diables! Mettez assez de sel dans cela et elle pourrait chasser tout.

Le symbolisme de l’eau bénite, il est déclaré, est pour purifier, l’assouvir, et la

préservation. Alors, il y a une indulgence d’un cent jours octroyer pour l’utiliser. Laconiquement, une “indulgence” donne à cela à qui il est accordé l’autorisation du pape de faire la noce en péchant – avec le pardon d’avance! Ainsi cela devienne un stimulant pour pécher. La Sainte Église Catholique Romaine, vraiment! Elle n’est pas sainte; elle n’est pas Catholique; elle n’est pas l’Église.

Cinquièmement : Les Vêtements Sacerdotaux ou Les Chasubles. Les vêtements portés par les prêtres dans l’exercice des fonctions sacrées sont

censés d’augmenter la dévotion. Ils sont les sacramentaux, un élément essentiel dans les formes et les formalités Catholiques. Ils sont, (1) les vêtements du prêtre et, (2) les divers styles de vêtements. Ces vêtements confèrent la sanction religieuse à des styles archaïques d’une garde-robe mystérieuse, enveloppant le Catholicisme avec l’ambiance du mysticisme qui appartient à son système trompeur. Ces images ressemblent à un vieil album de famille de quelques centaines d’années. Si vous désirez voir quelques vraies antiquités en uniforme, juste jeter un coup d’œil à cette galerie de costumes. Certaines d’entre elles ont l’air de “mère Hubbard” avec le bonnet de nuit! Aussi bien passer une loi obligeant le président des États-Unis de porter la costume officielle de l’époque coloniale, avec la perruque de George Washington! Ces “vêtements du prêtre,” encore qu’ils soient étiquetés des “saints vêtements,” ne sont rien de plus que les robes ridicules de l’âge de l’ignorance et du Haut Moyen Âge, et appartiennent aux anciens styles relégués. Les photos d’eux dans “L’Église Visible,” de Sullivan, nous rappelle plus d’un vieil album de famille des vogues de plusieurs générations démodés que de n’importe

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quoi appartenant aux principes immuables de la religion du Christ, ou la perpétuité de l’institution du Nouveau Testament, l’Église du Christ.

En sixième lieu : Le Chemin De La Croix. [Définition selon Larousse Lexis : Le

Chemin de la croix ou chemin de croix, parcours fait par Jésus-Christ du palais de Pilate au Calvaire; suite de quatorze tableaux représentant les scènes de la Passion; exercice de piété consistant à prier devant chacun de ces tableaux, appelés aussi “stations.”]

L’Église Catholique a mis en place un sacrement appelé “le chemin de la croix,”

composé des parties suivantes. (1) Les stations. Elles sont des “stations fixes” dont ils croient que Jésus a parcouru sur le chemin

pour aller à la croix. Elles sont fixées sur le mur de l’église, parfois à l’intérieur, de temps à autre à l’extérieur. Il y a des stations internes et externes sur le chemin de la croix. Donc, en suivant le chemin de la croix et de juste “rouler sa bosse d’une station à une autre” soit sur l’intérieur soit de l’extérieur du bâtiment. Les reliques de Rome! C’est enfantin. Ces dévotions sont effectuées par des méditations, nous disent-ils, mais l’imagination est un meilleur mot pour cela.

(2) Les images (portraits, photos). Ce sont des images imaginaires de Jésus, de Marie, et des saints. Elles sont

appelées des “aides” à la dévotion. “Les aides” similaires pour rendre un culte que j’ai entendu parler auparavant – la musique instrumentale, par exemple, dans l’Église. L’encens aide le Catholique par l’odorat, les images à cause de la vue, l’orgue grâce à l’ouïe – qu’est-ce qui est la différence? Laissez un prédicateur de “l’Église Chrétienne” tenter de vous expliquer!

Je ne crois pas dans les soi-disant images de Jésus. Personne ne sait comment

Jésus avait l’air. Les images de Jésus ne sont que l’imagination d’un artiste, rien de plus ni de moins que la création de l’Église Catholique Romaine, pour le faire ressembler à un moine médiéval. Je ne crois pas que Jésus avait une telle allure. Comment aimeriez-vous si quelqu’un “dessinerait” votre image qui ne vous a jamais vu? Les photographies ne furent pas possibles à ce temps-là. Ils n’ont pas vu Jésus. Ils ne peuvent pas dessiner un croquis de sa ressemblance. Vraiment, comment aimeriez-vous que quelqu’un dessine votre image, s’ils ne t’ont jamais vu, et mettre votre nom en dessous? Je ne veux pas qu’ils dessinent mon image, s’ils ne m’ont jamais vue – ils pourraient me faire ressembler à certains d’entre vous!

Admettant et supposant qu’il soit trop difficile, et dans les périodes du temps trop

dangereux, et pour quelques-uns impossible, de faire un pèlerinage à la Terre Sainte, les statues, ou les images, représentant le trajet au Calvaire furent placées dans les églises Catholiques. Ce fut adopté à peu près 1350, approuvé par le Saint-Siège. Par conséquent, siècle après siècle ils supposent que le Christianisme a besoin quelque nouveau symbole,

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et ils l’ajoutent arbitrairement. Ce n’est rien sauf de la présomption très autoritaire des prélats Italiens, les prêtres et les papes au nom de la religion.

(4) Les indulgences sur le chemin. Naturellement, “le chemin” est juste le fait de marcher autour et de regarder les

images. En allant le long de ces stations et de se prosterner devant les images l’indulgence pour le péché est obtenue pendant cent jours. Un petit tour plutôt profitable! Oui monsieur, celui qui se livre à cela peut alors hausser le “youpi, hourra” – et avoir un grand temps. Vos péchés sont pardonnés par avance cent jours! L’indulgence plénière – la pleine indulgence à chaque fois que les stations est faites! Elle est toute une petite excursion – ça vaut la peine de la prendre, même si elle est une petite promenade.

Septièmement : Le Chapelet. Le chapelet de la Sainte Vierge est la prière adressée à la “mère de Dieu,”

consistant de “ ‘Notre Père’ et ‘je vous Salue Marie [ou] l’Avé Maria’,” comptées sur des grains.

(1) Les grains. Il y a cinquante-neuf grains en nombre, six grains plus larges pour

qu’est-ce qu’ils appellent le “Notre Père,” cinquante-trois plus petits pour “l’Avé Maria.” (2) Les mystères. Ils sont pour la méditation pendant que le chapelet est récité. Ils

comptent les grains au moment où ils appellent les mystères. Ils sont divisés dans trois catégories : les mystères joyeux, les mystères douloureux, et les mystères glorieux, associés à la naissance, la mort, la résurrection, et l’ascension de Jésus. [Notes du traducteur : Il y a un quatrième mystère, probablement oublié par l’auteur par inadvertance, et où, a été ajouté plus tard par l’Église Catholique, qui se nomme : les mystères lumineux, qui regroupe plusieurs événements, qui sont : 1. Le baptême de Jésus dans le Jourdain; 2. Les noces de Cana; 3. L’annonce du Royaume de Dieu et l’invitation à la conversion; 4. La transfiguration; 5. L’institution de l’Eucharistie. Selon un site Internet Catholique : Saint-Michel Beauce Étampes]

(3) L’indulgence. Le chapelet est doté richement avec quatre espèces

d’indulgences pour un grand nombre de jours d’absolution pour tout catholique qui l’utilise correctement.

(4) L’origine. Le pape Benoît XV ajoute foi à Saint Dominique pour son

établissement en 1170 à 1221. Le pape étant infaillible, il devrait le savoir où cela a commencé, et il a reconnu que ce fut commencé 1100 ans ce côté-ci de Jésus-Christ, les apôtres, et le Nouveau Testament. Il s’agit d’une pure relique de Rome, une ancienne superstition sans l’autorité biblique ou de sanction quelle que soit.

En huitième lieu : Le Scapulaire.

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Ce mot est prononcé, skаpylεr. Oui, c’est ce qu’ils l’appellent. Je suis au courant, vous savez!

(1) Qu’est-ce qu’il est – un insigne de la confrérie, la formule sacramentale étant

prescrite par le pape Léo XIII en 1888. Il est un long vêtement à capuchon, comme cette mère hubbard avec un bonnet de nuit que j’ai mentionné. Et il est réellement appelé un sacramental dans l’Église Catholique.

(2) Le but – il donne à celui qui porte une part dans les mérites et les bienfaits

spirituels de l’association à laquelle ils appartiennent. (3) Les règlements – ils peuvent être donnés à n’importe quel Catholique, ils

peuvent être donnés aux enfants, donnés à n’importe quel endroit aux malades sur leurs lits, par contre ils doivent être portés constamment par celui à qui cela est donné, ou ils perdent les avantages de ses mérites et de ses grâces spirituelles, s’ils les enlèvent et de ne pas les remettre. C’est la superstition toute pure. Aussi bien porté un pied de lapin, de cracher sur un chiffon et de la jeter en dessous le seuil de la porte pour s’éloigner les verrues de votre visage, ou d’attacher un morceau d’asa-fœtida (ou assa-fœtida, une résine d’odeur fétide, antispasmodique, extrait de la férule) autour le cou d’un bébé pour tenir à distance la coqueluche, la rougeole, et les oreillons! Les toiles d’araignée de la superstition, et tout cela au nom de la religion! La présente formule d’investir de cette chose idiote fut sanctionnée par Léo XIII en 1888. Une autre preuve de la non observation absolue pour la Bible, et le manque de respect pour l’autorité divine dans la religion.

Neuvièmement : Les Saintes Huiles. Cette “sainte huile” des Catholiques est juste l’huile d’olive bénie par un évêque.

Il y a plusieurs prescriptions pour ça. (1) L’huile des Catéchumènes [Larousse Lexis : Une personne qui reçoit

l’enseignement pour se préparer au baptême.] (oleum sanctum) pour la cérémonie du baptême.

(2) Le Saint Chrême – un onguent parfumé. (3) L’huile des Malades (Oleum infirmorium), l’huile avec du baume pour la

confirmation. Lisez la liste de haut en bas des saintes huiles, des articles de toilette et des

articles divers. Tiens, cela se lit comme un laboratoire pharmaceutique, ou une fabrique de parfum. Elle est une pharmacie Catholique. Ils cataloguent chaque huile avec un nom pharmaceutique. D’ailleurs, ils ne parlent pas en termes réguliers, mais ajoutent une saveur sacrée à leurs étiquettes par les mots tels que “oleum sanctum,” et “ sanctum chrisma,” et “oleum infirmorium,” et d’autres étiquettes avec le baragouin Latin. Et chaque huile doit être utilisée dans sa place. Si une étiquette est perdue, on s’en sert de la

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mauvaise dans certaines cérémonies, je suppose que cela serait un suicide sacramental! Je ne sais pas ce que l’on pourrait appeler, s’ils devraient mélangées les étiquettes et employée la mauvaise huile sainte.

En dixième lieu : Les Cierges. Les cierges allumés qu’on utilise dans tous les services de la liturgie Catholique

sont énumérés par Sullivan en qualité d’un sacramental important. Les cierges doivent être brûlés peu import ce qui est fait.

(1) L’origine des cierges. Je vais citer : “Ils furent pour la première fois employés

pour dissiper l’obscurité lorsque les fidèles se sont rencontrés avant le point du jour, en tant que coutume, dans les ténèbres des catacombes,” dit Sullivan, sans nous fournir en nous donnant la date. Parce que certains moines ont brûlés des cierges dans le noir, avant l’aube, l’Église Catholique a fait un sacramental de cela. Aussi bien sanctifier une vieille lanterne à kérosène de l’ancienne mode, parce que les fidèles les ont utilisées pour les réunions de brosse tonnelle pour entendre l’évangile prêché. Pourquoi pas faire un sacramental de la vieille lanterne?

(2) La signification des cierges. Ils les rendent typiques – la cire et la mèche sont

caractéristiques du corps et l’âme de Jésus, et la flamme de sa nature divine. Cependant le Nouveau Testament ne consiste pas en types. L’Ancien Testament fut le type, le Nouveau Testament fut (et il est) la réalité. L’idée Catholique est contraire aux types et antitypes comme enseignés dans la Bible.

Onzièmement : Le Cloches des églises. La cloche de l’église est un sacramental, on dit que ce fut introduit par Paulin,

l’évêque de Nole, 400 ans après Jésus-Christ, en Italie. Toutes sortes de cloches sont devenues sacramentales, donc l’absolution du péché peut maintenant être eue à l’air de la musique de la cloche de l’église!

En douzième lieu : Les Médailles Religieuses. Les diverses médailles ressemblent à des pièces de monnaie sont utilisées pour le

but d’accroître la dévotion. Les cordons bénis, et les gaines sanctifiées, sont portés en l’honneur du saint par les membres des associations pieuses. Pensez-y – les ceintures bénies, la sainte chemiserie! Les nombreux usages Catholiques faits par les hommes ne témoignent qu’en outre des reliques de Rome dénuées de sens.

Treizièmement : Le Brûlage de l’Encens. Les sacramentaux des cendres, rameaux, et l’encens sont utilisés par l’Église

Catholique, en tant que les “pense-bêtes.” (1) L’usage des cendres bénies pour l’humiliation le jour de mercredi des Cendres, a eu son origine 1090 après Jésus-Christ, et Sullivan suggère que cela a débuté “vraisemblablement” avec les convertis Judaïques. (2)

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Les rameaux bénis pour l’usage le jour de dimanche des Rameaux ont été pour l’intention “de rappeler” de l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem. Les Catholiques sont forts sur “les mémentos.” Ils doivent avoir des “bons gens qui oublient beaucoup.” Jésus-Christ a mise en place la Sainte Cène pour nous faire rappeler, par contre il n’a pas institué aucun de ces pense-bêtes Catholiques. (3) L’encens aromatique, une résine parfumée, est juste un retour à un état antérieur aux types Juifs de l’Ancien Testament. Ce ne fut pas donné par Christ et n’appartient pas à l’Église du Nouveau Testament.

III

LE CLENDRIER CATHOLIQUE

Dans le programme du festival de Rome, l’Église Catholique a une année ecclésiastique – un an de l’Église – nommé le calendrier de l’Église. Il consiste de certaines fêtes et festivals, que je vais à présent énumérés.

D’abord : Les Fêtes. Les fêtes sont divisées en deux classes : (1) Les fêtes mobiles, survenant plut tôt

ou plus tard dans les diverses années. La Pâque, le premier dimanche après la pleine lune de l’Équinoxe de Printemps, à partir du 22 mars au 25 avril; le Carême, avant la Pâque, un temps de pénitence, lorsque la pénitence est “en saison” et en forme seulement; le Jour de l’Ascension, quarante jours après la Pâque, il est admis que le Seigneur a monté en haut; le Dimanche de la Pentecôte, ou la Pentecôte, arrivant dix jours plus tard pour commémorer la “descente de l’Esprit Saint” – toutes ces fêtes sont “mobiles,” aussi bien que visiblement absentes du nouveau testament. (2) Les fêtes fixes, qui ont lieu année après année sur la même date. Le Noël, le 25 décembre, présumé sans autorité d’être l’anniversaire de Jésus, et la semaine de la célébration religieuse est purement une institution humaine, sans la sanction scripturale ou justification; la Circoncision, le 1er janvier, huit jours après l’anniversaire supposé de Jésus; et l’Épiphanie, (ou la fête de Rois, ou le jour des Rois) le 6 janvier, pour célébrer l’apparition des Mages d’orient à la crèche de Bethlehem; et la Purification, le jour de 22 février, qui a ce qu l’on suppose est synonyme de la purification de “la Sainte Vierge,” tant de jours après la naissance de l’enfant Jésus. Ainsi de leur propre imagination, conformément à leur propre volonté, et par l’autorité humaine présomptueuse, les hommes du Catholicisme Romain ont mis en place des jours de fêtes pour l’observance religieuse, en violation de l’enseignement du nouveau testament contre l’observance des jours et des saisons (Romains 14 et Galates 4), et la vénération de la volonté des hommes (Colossiens 2) qui furent condamnés par Paul.

Deuxièmement : Les Festivals. Les festivals sont les jours de fêtes misent à part année après année pour honorer

les saints et les choses saintes; la Pentecôte, la Fête-Dieu, l’Assomption, (le jour de) la Toussaint, (le jour de ou) la fête des Morts, l’Immaculée Conception, sont les principaux

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festivals, dont tous ont été misent en place par la supposition de l’homme, n’ayant nulle sanction scripturale du tout.

Il y a environ dix-huit de ces festivals qui sont mis en place pour les mémentos,

de nous rappeler, en effet, qu’une Église qui a besoin autant de pense-bêtes humains, dont n’a pris de soi-même la responsabilité, les mémentos humains (l’Église) est entièrement bien trop oublieuse. D’eux tous Sullivan dit : “Ils ont tous été établis par l’Église, et non par une loi quelconque ou décret de Dieu,” l’Église Visible, à la page 177. Par l’aveu Catholique, pour cette raison, ces fêtes et festivals sont les choses qui ne sont que l’hypothèse imposée et pourrait instituer et rendre sacramental. N’ayant pas été établis par “une loi quelle qu’elle soit ou décret de Dieu,” ils ne sont pas “saints” en revanche sont l’iniquité.

En troisième lieu : La Semaine Sainte. Ceci est une saison de “pénitence” (?) en tant qu’un moyen de “la sanctification,”

et consiste du Carême, de Jeudi saint, et Vendredi saint. Ils appartiennent aux sacramentaux Catholiques mais me fait rappeler du langage de Paul : « 10 Vous observez des jours, des mois, et des saisons, et des années. 11 Je crains quant à vous. » (Galates 4, 10-11) Paul aurait été craintif des Catholiques Romains s’ils avaient existés à son époque. Il a dit de plus que puisque Jésus a cloué la loi (l’Ancien Testament) à la croix, (Colossiens 2, 14) « 16 Qu’aucun homme donc ne vous juge [en ce qui concerne] manger ou boire, ou à l’égard d’un jour de fête, ou de nouvelle lune, ou des jours de sabbat; 17 Qui sont une ombre des choses à venir. » (Colossiens 2, 16-17) La Bible révèle que “les jours saints” ont été supprimés, mais les Catholiques se conforment “aux jours saints;” pour cette raison, l’Église Catholique est en opposition à la Bible dans leur calendrier ecclésiastique. La Bible nulle part ne fait mention de ces jours Catholiques. Le mot pour “Pâque [Easter]” en Actes 12, 4 est le mot « la pâque des Juifs » dans l’original, et est ainsi traduit partout ailleurs. En fait le terme “Easter” par conséquent n’est pas dans la parole de Dieu – ce n’est pas le mot que Luc a employé. Quant au Carême, avant Easter (la Pâque), c’est la semaine Catholique pénitentielle – beaucoup de pénitence (ils les font sans les bonbons de chocolat, la tarte à la mode, la tarte sablée aux fraises, ou un dessert favori pour une semaine) “la pénitence en saison” seulement et en forme seulement.

Tous ces jours sont les fêtes fixes des Catholiques – mais ils feraient mieux de

prendre garde pour la “Nouvelle Affaire” peut les changer – comme il l’a fait pour le Jour d’Action de Grâce!

Cependant Rome doit avoir les “jours saints” et les “semaines saintes” pour le

revenu et le droit de disposer d’un bénéfice. La saison de pénitence appelée le Carême exige six semaines et demie pour n’accomplir que le jeûne ostensible. Aucune prétention a été faite pour cela avant le quatrième siècle, et en prenant cette présumée date elle reste une institution non biblique. Leur Jeudi saint est pour la commémoration de l’Eucharistie, ou la Sainte Cène, qui n’est pas seulement sans précédent, toutefois à l’encontre du précédent d’Actes 20, 7, qui spécifie le premier jour de la semaine comme le jour sur lequel de respecter l’institution de la Sainte Cène. Rien de pareille comme supposition de

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l’autorité a été donnée à un homme qui que ce soit par le Seigneur Jésus-Christ. Leur Vendredi saint, à ce que l’on suppose commémore la mort du Seigneur, mais la manque, pour trois jours et trois nuits dans le tombeau ne peut pas être comptés par n’importe quelle méthode de calcul ou de supputation de trois jours et trois nuits dès Vendredi soir jusqu’à dimanche matin. Ce jour de Vendredi, mis en place en tant que le jour de la crucifixion, est une autre relique de Rome que le monde Protestant a accepté. Le Samedi saint, n’est qu’une observance partielle d’un jour abrogé, le vieux sabbat, célébré avec le feu spécial, les cierges et les cérémonies inconnus à la parole de Dieu. Et n’étant pas satisfait avec cette longue ligne des festivités humaines, des ordonnances et des institutions, les pontifes et les prélats continuent d’imaginer et de fabriquer des nouvelles manières de lier leur autorité humaine sur leur communiants aveugles dans leur arrogance et l’irrévérence pour toute autorité divine et l’indifférence à l’égard de la Bible et la parole de Dieu.

IV

LES LIVRES CATHOLIQUES

Dans leur penchant morbide illimité pour “les sacramentaux,” les Catholiques vont aller aussi loin que de faire en sorte que certains livres soient un “sacramental.” Sullivan les énumère comme suit :

Primo : La Bible. En revanche en énumérant la Bible en qualité d’un livre Catholique ils sont

inconsistants vu qu’elle est un livre proscrit dans l’Église Catholique Romaine, défendue d’être lue par les laïcs. Ils essaient également de faire une distinction entre la “Bible Protestante” et la “Bible Catholique.”

(1) L’ajout des livres apocryphes, non canoniques de la période entre des

Testaments est un ajout arbitraire Catholique Romain. Le mot “apocryphe” même signifie “douteux.” Les livres apocryphes ne prétendent mêmes pas de l’inspiration pour eux-mêmes, et n’ont pas de caractéristiques canoniques. Ils montrent clairement, à la fois par le style et le contenu, qu’ils sont séculiers – en revanche Rome les utilisent et les rendent un “sacramental.”

(2) La Vulgate. Ceci est une traduction Latine des manuscrits Hébreux et Chaldéens des copies

par Jérôme en 320-340, approuvée par le Concile de Trente, 1545-1563, sur laquelle les Catholiques accordent une grande importance. Elle est employée par les prêtres dans leurs services publics.

(3) Les traductions arbitraires et les versions.

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Si la traduction quelconque de la Bible par un non Catholique est lue par un Catholique, ou se trouve dans sa possession, cela est sous la peine du péché mortel, à moins que elle est remise à l’Ordinaire.

(4) La version Douai. Quand la pression est devenue tellement grande sur l’Église Catholique sur le

point des laïcs de ne pas avoir la Bible, ils ont sorti leur propre version, la Bible Douai-Rheims, ou tout simplement Douai, ils ont refusé d’accepter toute autre version.

Notre Bible a été traduite par 148 érudits les plus murs du monde, tout de même

ils parlent des erreurs dans la Bible, et ont beaucoup à dire concernant les 2000 erreurs dans la Bible du roi Jacques. Quant aux 2000 erreurs dans la Bible, tant mentionnées, elles consistent de pareilles choses insignifiantes comme les signes de ponctuation, les mots désuets, les erreurs typographiques et des erreurs des copistes, pourtant pas une seule erreur dans la traduction de notre Bible Anglaise implique l’intégrité de la parole de Dieu – pas une seule erreur vitale. On ne peut pas dire autant pour la version Douai. La critique est un artifice de la part de l’Église Catholique de garder la Bible hors des mains de leurs membres, et de donner à leurs membres leur propre interprétation arbitraire, qu’ils appellent une traduction, mais qui dans de nombreux cas n’est pas basée sur les mots Grecs du texte original du tout.

Cependant nous pouvons prendre la Bible Catholique et réfutée la doctrine

Catholique Romaine en échange de points de vue avec n’importe quel prêtre Catholique sur la terre. Oui, malgré le fait que leur version est fautive, et pleine de la présomption impardonnable dans la traduction, nous pouvons prendre leur version Douai, la comparer de près avec la version Autorisée et la version Standard Américaine (ASV de 1901), prendre la traduction Douai, et démontrer la fausseté de la doctrine Catholique sur leur propre terrain, par leur propre autorité.

Deuxièmement : Les Livres Liturgiques. Ce sont leurs livres de liturgie, et ils sont classifiés comme suit : (1) Le missel – le livre de la messe, employé par le prêtre à l’autel, contenant tout

ce qui est lu ou récité. Sullivan admet que ce missel “a développé lentement.” (L’Église Visible, à la page 194) Ça prouve une fois de plus son origine humaine.

(2) Le bréviaire. Un livre des prières obligatoires quotidiennes, que les prêtres

sont demandés de lire, et d’autres parties de “l’office divin,” récitées journellement, sous la peine du péché mortel. Ils sont sous les règles, comme des enfants, et ils craignent de désobéir leurs supérieurs.

(3) L’office divin. Ceci est un livre des heures canoniques dites par les prêtres en

sept parties. Le prêtre doit prendre ce livre de “l’office divin” qui lui appartienne, ce livre rituel des prières obligatoires, et lire chaque mot de cela tous les vingt-quatre heures. S’il

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ne le fait pas il est sous la peine du péché mortel. Le chef de l’Église Catholique qui siège sur le trône du Vatican règlemente chaque homme de la prêtrise à une obédience servile.

Cependant par la dispense spéciale (la permission ou l’autorisation officielle) le

prêtre peut lire en avance – il peut le lire à travers plusieurs fois dans une journée, et le lendemain, et lire et lire et lire, jusqu’à ce qu’il se remet à jour sur la lecture, dans lequel cas il n’est pas requis de lire pour plusieurs jours, ou semaines. Ils sont des marionnettes du pape.

(4) Le rituel. Ceci est un livre des rites, mots, et cérémonies. Ils n’ont nul besoin

de la Bible, ils ne trouvent aucune utilité pour elle, et ils n’ont pas de respect pour elle. Sullivan fait la concession que “le rituel actuel fut autorisé par le pape Paul V, 1614, et s’est développé depuis ce temps.” (L’Église Visible, à la page 196). Il s’ensuit, pour cette raison, que ni Christ ni ses apôtres n’ont pas l’autorisé.

L’Église Catholique prescrit les livres pour le clergé, et proscrit les livres pour les

laïcs, cela est un système de l’infidélité, de l’ignorance, et de l’esclavage. V

LES SERVICES CATHOLIQUES

Chaque partie du service Catholique est répertoriée en tant qu’un sacramental. Premièrement : Le Saint Sacrement. Le “saint sacrement” est une observance de la doctrine de la transsubstantiation,

dans laquelle l’hostie sacrée est élevée et exposée pour l’adoration, et le peuple béni avec cela. Il est avancé que la sainte hostie est réellement transformée dans le corps et le sang du Seigneur. Par contre une analyse chimique du pain et du vin avant que le prêtre officie et lorsqu’il exerce ses fonctions va établir la fausseté de l’affirmation du changement dans la substance. Un test de laboratoire décidera cette question.

En deuxième lieu : Les Messes Pour Les Morts. Sur ce point, permettez-nous entendent J.F. Sullivan, une autorité parmi les

Catholiques, dans son manuel qui porte l’Imprimatur du Vatican, l’Église Visible, à la page 205 : “Notre Église honore les corps des morts de ses enfants parce que ces corps ont été les temples du Saint-Esprit, les tabernacles de Jésus-Christ, et les instruments dans le service de Dieu; et parce qu’ils sont destinés à ressusciter le jour du jugement général. Elle (l’Église Catholique) prie pour les gens décédés parce qu’elle croit dans la doctrine de la communion des saints; c’est-à-dire, que nous qui sommes ici sur la terre sont en communion avec les âmes dans le purgatoire et les saints et les anges au ciel.”

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Ainsi l’Église Catholique enseigne les prières pour les personnes qui ont passé de vie à trépas contre un grand nombre de passages dans la parole de Dieu, la Bible, qui enseigne que la probation (la liberté, l’épreuve) se termine par la mort.

Et l’Église Catholique enseigne la doctrine du baptême pour les personnes

défuntes contrairement aux conditions du pardon énoncé dans le nouveau testament basées sur l’obéissance individuelle à l’évangile. Quoique revendiquant l’expression « baptisés pour les morts » en 1 Corinthiens 15, 29 en qualité d’un précepte pour cette ordonnance Romaine, leur application de ce langage est une perversion pure et simple de cette partie du texte. La référence de l’apôtre fut aux martyrs qui furent morts pour croire et pour attester la résurrection les morts. Ils ont été immergés dans les souffrances pour cette croyance et témoignage. Par ailleurs, les Corinthiens et Paul lui-même furent dans le danger constant pour la même cause. Les prochains versets disent : « 30 Et pourquoi sommes-nous en danger à toute heure? … 31 je meure chaque jour »; et « 32 quel avantage en ai-je, si les morts ne ressuscitent point? » Le contexte montre clairement que l’apôtre fait référence ici au baptême des souffrances, non pas l’ordonnance du baptême d’eau du tout. Cela est le même genre du baptême cité en Luc 12, 50, où Jésus a exprimé, « Mais j’ai un baptême dont je dois être baptisé; et combien je suis angoissé jusqu’à ce qu’il soit accompli, » faisant référence à ses souffrances sur la croix. Dans le pareil sens Paul pose la question aux Corinthiens, Que doivent-ils faire de ceux comme Jésus sont baptisés dans ces souffrances, s’il n’y a pas de résurrection des morts; quel est l’avantage, et quels sont les incitations à un tel baptême de souffrance?

Le rituel Catholique Romain d’avoir une personne vivante d’être baptisée pour un

individu décédé pour ainsi obtenir le pardon des péchés pour une personne après la mort, qui n’a pas obéi à l’évangile dans cette vie, par l’acte de substitution d’une autre personne sur la terre, détruit l’évangile, nie chaque fragment du texte de l’Écriture sainte qui enseigne la responsabilité individuelle, et infirme le projet divin tout entier de la rédemption humaine. Il est un autre cas, dans cette longue ligne d’exemples, de l’autorité pontificale présomptueuse de l’Église Catholique Romaine.

Troisièmement : Les Litanies. Ceci est la répétition des prières et les salutations dans les diverses formes. Cela

vient du mot litania qui veut dire la prière. Seulement cinq litanies dont approuvées – alors Rome règlemente la prière! Les Catholiques sont interdits de lire la Bible et ne sont même pas libre de prier. (Notes du traducteur : comme ils veulent.)

En quatrième lieu : La Musique de l’Église. Dans le livre, “l’Église Visible,” à la page 221, Sullivan dit, “La musique

instrumentale est auxiliaire au culte,” mais le Nouveau Testament enseigne que la musique scripturale, de chanter est l’adoration – pas un pur auxiliaire. De tels passages qu’Éphésiens 6, 19; Colossiens 3, 16; 1 Corinthiens 14, 15; et Hébreux 2, 12, sont suffisants sur ce point.

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Sur la page 223, Sullivan fait savoir, “L’orgue, en raison de sa tonalité sonore et majestueuse a été considéré depuis très longtemps d’être l’instrument le plus approprié pour les services religieux.” Cependant “l’orgue” ne fut pas assez “tôt” pour être un élément de la musique du Nouveau Testament, et il ne fut pas utilisé dans l’Église du Nouveau Testament. Il a été autorisé et introduit par le pape Vitalien I, 670 après Jésus-Christ, et que c’est aussi “tôt” que son utilisation peut être établis par n’importe quel corps de personnes qui prétendent d’être des Chrétiens. Son usage menaçait l’Église Catholique, et l’orgue fut retiré, et en 800 fut réintroduit. Luther, Calvin, Knox, et Wesley, tous l’ont opposé et l’ont rejeté en tant qu’une relique du Catholicisme Romain. Luther l’a appelé un “enseigne du Baal.” Knox l’a appelé “le coffre de sifflets.” Wesley a affirmé qu’il n’avait aucune objection à cela dans sa chapelle “à condition que ce ne fut ni entendu ni vu.” Calvin a dit “les Catholiques l’ont bêtement emprunté des Juifs.” Et je vais ajouter un codicille à la déclaration de Calvin – les Catholiques l’ont emprunté des Juifs; les Protestants l’ont emprunté des Catholiques; et “l’Église Chrétienne” l’a emprunté des Protestants – toutefois l’Église du Nouveau Testament ne l’avait pas. Pour cette raison, les Églises du Christ ne jouent pas la musique instrumentale dans le culte.

Pourtant même le chant de l’Église Catholique Romaine est contraire aux Saintes

Écritures et est le mal, car leur bréviaire et leurs hymnes missels se composent des chantes qui mettent de la musique toutes les superstitions et les traditions des sacrements, les images, et les reliques de Rome, dont tous sont étrangers au caractère et le dessein et l’enseignement de hymnologie du Nouveau Testament.

Les ordonnances de Rome sont les traditions des hommes. L’apôtre Paul nous a

commandé, en 1 Corinthiens 11, 2, de « garder les ordonnances [version Martin] comme je vous ai données. » (Notes du traducteur : ordres, Bible du roi Jacques; instructions, Ostervald; paradosis, dénote une tradition, et d’où, par métonymie, (a) les enseignements … des instructions touchant les rassemblements des croyants (les instructions de portée plus large que les ordonnances dans le sens restreint; selon Vine’s) L’Église Catholique Romaine ne l’a pas faite, mais a changé les ordonnances à la volonté d’un homme qui se dit le pape.

VI

LES SYMBOLES CATHOLIQUES

Les symboles du Catholicisme ont affaire à la vénération de l’art, l’architecture et les ornements, supposés d’être “les vérités emblématiques du Christianisme,” raconte Sullivan, à la page 231, de “l’Église Visible.” Leur système humain a déifié une longue liste de “sacramentaux” qu’ils ont désigné “les symboles.”

(1) La croix est nommée un signe du salut. (2) L’agneau est énuméré en qualité d’un emblème du Christ. (3) La colombe est qualifiée comme un symbole de l’Esprit Saint.

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(4) Le pélican femelle est une représentation du Rédempteur, parce que selon la tradition elle nourrie ses petits avec son propre sang.

(5) Le lion est la similitude du Sauveur, le bercail du Judée. (6) Le serpent est le signe du péché. (7) Le poisson est caractéristique de l’histoire du Christianisme au tout début. (8) Les plantes dépeignent de telles choses que la paix dans le rameau d’olivier, la

victoire dans le palmier (branche, la palm, le rameau), la chasteté dans le lis, et la beauté dans la rose.

Ainsi le Catholicisme Romain devient l’incorporation du naturalisme, le

paganisme, et le Judaïsme – tout sauf le Christianisme, dans leurs lourde organisation humaine.

(9) Les monogrammes sont inclus dans leurs symboles – A.M. pour Avé Maria.

I.H.S. pour Iesous, Hominum, Salvator – (Yay-zuss, des hommes, le Sauveur); l’Alpha et l’Oméga (le commencement et la fin de toutes choses). Alors ils tentent de symboliser le Christianisme dans les monogrammes, faisant en sorte que tout ce soit aussi mystérieux et mystifié qu’ils peuvent.

(10) Les tableaux (photos, portraits, gravures) et les images des saints, ornementés

avec les emblèmes, sont répertoriés avec des symboles Catholiques. Le nimbe signifie la grâce et la sainteté. La vierge Marie sur le croissant de la lune, ou le globe, la représente en tant qu’une reine vierge. L’hache veut dire le martyre. La bannière et la croix représentent les missionnaires; la tiare pour le pape; la mitre pour les évêques; le crucifix pour les prédicateurs; et la couronne d’épines pour une vie de mortification.

Composés de toute l’imagination de tous les visionnaires et les fanatiques

combinés pendant les siècles pourraient concevoir dans la liturgie, le Catholicisme Romain n’est rien moins qu’un système de l’idolâtrie et le paganisme dans une horrible caricature du Christianisme. En aucun sens du terme peut-il être appelé le Christianisme.

VII

LES SOCIÉTÉS CATHOLIQUES

Même les sociétés de la religion Catholique sont sacramentales. Elles sont légion – bien trop nombreuses pour être mentionnées, beaucoup moins pour la discussion. Les sociétés religieuses pour les laïcs sont divisées en trois catégories :

(1) Les confréries, érigées canoniquement, enfin, existantes par le droit canon

pour les œuvres de piété et de charité (telle que la Société du Saint Nom).

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(2) Les associations pieuses, qui ne sont pas canoniques telles que les unions et les ligues, par exemple. La Société du Saint-Vincent, et la ligue du Sacré-Cœur.

(3) Les Sociétés qui ne sont pas distinctivement religieuses, bien que tous les

membres soient Catholiques, tels que les Chevaliers de Colombe – qui signifie que cette société-là est politique en caractère et visées, et cela veut dire le danger au gouvernement – hissé un drapeau rouge de tous côtés où ils tiennent leurs conclaves secrètes. Les Chevaliers de Colombe est la plus grande société secrète fraternelle des hommes Catholiques dans ce pays, et leur pouvoir dans la politique, le gouvernement et l’éducation, dans toutes nos institutions, ne peut guère être estimé. Il est cru par de beaucoup d’Américains, y compris les hommes d’État, les éditeurs, les prédicateurs, et les hommes d’affaire, que les Chevaliers de Colombe existent pour la politique et la propagande, cette société est secrète et séditieuse en caractère, et cru d’être la “cinquième colonne” du pape de Rome aux États-Unis d’Amérique aujourd’hui. Pourtant il est difficile de reconnaître coupable les organisations enveloppées dans les plis du secret, que ce soit le Bund Allemand, le Communisme Russe, ou les Chevaliers de Colombe. Naturellement, les Catholiques haïssent les Communistes, mais c’est parce que le Catholicisme est le communisme, et cela est la haine des systèmes de compétition du communisme. Le communisme Russe est un peuple appartenant à l’État. Le communisme Catholique, par l’union de l’Église et l’État serait des gens appartenant au système religio-politique Catholique, réglementé jusqu’à chaque foyer et tout individu – et c’est le communisme à son pire. Je ne désire ni l’un ni l’autre – mais entre les deux donnez-moi le communisme de la Russie plutôt que de Rome. Le Vatican est pire que le Kremlin. Dans le communisme Satan cherche à établir l’athéisme; par contre dans le Catholicisme il s’efforce de détrôner le Christianisme. Seigneur ne nous donnez ni l’un ni l’autre, mais délivrez-nous des deux.

VIII

LES OBLIGATIONS CATHOLIUQES

Les obligations sont un sacramental dans l’Église Catholique – dites-moi quelque chose qui n’est pas! Parmi ces choses-là sont :

(1) Le jeûne et l’abstinence. Ce sont les pénitences prescrites par l’Église. Le jeûne pénitentiel est de se priver

de la nourriture – en revanche le “jeûne de la pénitence” permet un repas complet par jour! Un grand nombre de gens aujourd’hui seraient heureux d’avoir un jeûne pénitentiel! Ceci est un exemple d’une forme trompeuse, vidée de piété que prétend le Catholicisme.

Et l’abstinence seulement nécessite les jours sans viande. Qui n’est qu’un glouton

veut manger la viande chaque jour, de toute façon? Cependant le droit canon fixe les jours pour le jeûne et l’abstinence, de là Rome réglemente de manger et de suivre un régime, et contrôlerait chaque détail de la vie. La référence de Paul au Séducteur qui « 3 défendrait de se marier, » et commandant « 3 d’abstenir des viandes, » (1 Timothée, 4, 1-

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3; [viande, brõma, l’aliment, nourriture]) est une application pratique, si elle n’est pas une prophétie apostolique.

(2) L’invocation et la canonisation des saints. Les invocations sont les prières aux saints. La Latria (Lah-tree-ah) est l’adoration

de Dieu. La Dulia (Dou-lee-ah) est la vénération des saints. La Hyperdulia est une vénération supérieure de Marie reine des saints.

Qui est un saint dans la liturgie Catholique? Personne qui n’est vivante – il n’y a

pas de saints vivants dans le Catholicisme, ils sont tous décédés – mort assez longtemps pour tous leurs imperfections soient oubliées, et mort assez longtemps pour que tout le monde qui a jamais connu quoi qu’il en soit à l’égard de leurs fautes – puis ils sont “canonisés” et le tour est joué! Ils sont des “saints”; [Notes du traducteur : D’habitude on attend longtemps, comme a mentionné l’auteur, avant de canoniser des gens comme des saints. Une exception à cela est à la une de nos jours, le pape François a confirmé que ces deux figures de l’Église Catholique, Karol Wojtyla (Jean-Paul II) et Angelo Giuseppe Concelli (Jean XXIII); les papes respectivement entre 1978 et 2005 (Jean-Paul II) et entre 1962 et 1965 (Jean XXIII), seraient déclarés saints. Cette information par le site Internet Catholique : La Croix, mis à jour 31-03-2014. Leur canonisation a eu lieu selon l’information donnée, le 27 avril 2014.] Toutefois Paul adresse l’épître des Philippiens aux « saints à Philippes » (Philippiens 1, 1) – et je ne crois pas que sa lettre a été adressée au cimetière, ni distribuée à une tombe. Ils furent en vie et ils furent des saints. Dans le Nouveau Testament les saints sont des Chrétiens – juste un autre mot pour les Chrétiens. Les saints ne sont pas les momies pétrifiées du Moyen Âge, déifiées dans l’Église de nos jours.

Qu’est-ce que c’est de prier à ou par l’intermédiaire d’un saint? Eh bien, quelque

chose comme ceci : sélectionnez votre saint patron, ou dame sainte, et dire, “Seigneur, je suis un misérable sans valeur ou mérite ou vertu – mais mon saint a beaucoup de ces choses à revendre; Seigneur, transférez une partie de la vertu de mon saint à mon propre livre ou compte, et je peux être sauvé, aussi”!

Qu’est-ce que c’est la canonisation? Elle est un précepte du pontife souverain, le

pape donne l’ordre de la vénération publique d’une vieille personne morte – jamais un individu encore en vie – par toute l’Église entière.

Ainsi Rome règlement le culte, ordonnant les choses que Dieu n’a jamais

commandé. Un Catholique Américain ne peut même pas choisir qui il désire vénérer, si n’importe qui, mais doit prendre quelque moine barbu chauve d’un monastère médiéval, sélectionnez par un pape Italien retiré dans un château du Vatican.

La procédure de la canonisation est longue, le processus qui peut durer des

années, voire même des siècles, explique Sullivan, dans l’Église Visible, à la page 259. Mais combien de “temps” a été d’une pareille procédure dans le Nouveau Testament? [Notes du traducteur : Ce fut, Cela est aussitôt qu’une personne devient une Chrétienne

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(qu’elle débarrasse de ces péchés, par le plan du salut biblique) que l’individu devient un saint, et en pleine communion avec Dieu.]

(3) Les images, les reliques, les pèlerinages, les indulgences, les jubilés – toutes

ces choses résument les devoirs de la vénération Catholique. Les Images sont des portraits du Christ et ses serviteurs “les plus saints.” Les Reliques sont les objets directement reliés à la personne ou les corps des

saints. Les Pèlerinages sont des voyages aux sanctuaires et les lieux saints en

accomplissement d’un vœu. Les Indulgences est la rémission en totalité ou en partie de la peine temporelle due

au péché après l’absolution sacramentale. Cela a tiré son origine au neuvième siècle, et a dégénéré dans la corruption commerciale par la vente des indulgences au seizième siècle.

Le Jubilé est une année de l’indulgence spéciale octroyée par un pape – youpi,

hourra, manger, boire, et jouer; danser, pécher, et soyez joyeux – le jubilé est en marche – un ans entier de l’indulgence.

Les Rites dans la liturgie Catholique sont les cérémonies et les fonctions du corps

religieux. Ils ont le rite Latin, le rite Romain, le rite Byzantin, le rite Asiatique, le rite Africain, les rites Syrien et Chaldéen, le rite Abyssinien et le rite Éthiopien, en revanche point de rite (droit!) du Nouveau Testament.

L’Église Catholique Romain est une hiérarchie ecclésiastique, politique, faite par

les hommes, donc, humaine, manquant tous les caractéristiques de l’Église du Nouveau Testament – elle n’est pas apostolique, elle n’est pas Catholique, elle n’est pas sainte, elle n’est pas l’Église et est pour cette raison pas la “Sainte Église Catholique Apostolique et Romaine” du tout. Elle n’est pas l’Église du Christ en aucun sens, dans l’ensemble ou en partie.

La Fin

[Commentaire du traducteur : Toute la gloire soit donnée au Père Céleste dans le nom de son seul Fils engendré, Jésus-Christ pour l’oeuvre présentée ici. Ce document est tiré du livre : Les Remparts De La Foi (The Bulwarks Of The Faith), LES DOCTRINES DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE ROMAINE (DOCRINES OF THE ROMAN CATH0LIQUE CHURCH), aux pages 127 à 165 de la Première Section. L’auteur est Foy Esco Wallace, fils. Je veux remercier M. Harold “Buster” Dobbs de la maison d’édition “Firm Foundation” de qui j’ai octroyé les droits de traduire et diffuser ces livres ou ces parties des livres de théologie. Pour communiquer avec le traducteur, voici mes courriels : [email protected] ou [email protected]

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Examinez ou éprouvez toutes choses… 1 Thessaloniciens 5, 21. Pour tout téléchargement gratuit, naviguez vers le site Internet : www.egliseduChristquebec.com Traducteur : Denis Tarko.

Actes 17, 10-11. 10 Et immédiatement les frères envoyèrent Paul et Silas, de nuit, à Bérée, qui y arrivant, entrèrent dans la synagogue des Juifs.

11 Ceux-ci étaient [de sentiments] plus nobles que ceux de Thessalonique, en ce qu’ils reçurent la parole avec une prompte pensée, et examinèrent les écritures quotidiennement, [pour voir] si ces choses étaient ainsi.

Que Dieu vous bénisse en étudiant sa parole.]

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PREMIÈRE TRADUCTION FRANÇAISE LE 07 MAI 2014

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