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LE CORBUSIER oeuvres plastiques Une collaboration GALERIE ALEXIS PENTCHEFF AKTIS GALLERY 9 nov - 8 dec 2018

LE CORBUSIER - Achat · remettre en lumière la richesse d’une œuvre protéiforme ayant construit les fondations de l’architecture moderne. C’est donc à quelques kilomètres

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L E C O R B U S I E Roeuvres plastiques

U n e c o l l a b o r a t i o n

GALERIE ALEXIS PENTCHEFFAKTIS GALLERY

9 nov - 8 dec 2018

Page 2: LE CORBUSIER - Achat · remettre en lumière la richesse d’une œuvre protéiforme ayant construit les fondations de l’architecture moderne. C’est donc à quelques kilomètres

Avec près de vingt-cinq oeuvres originales, la Galerie Alexis Pentcheff, en collabora-tion avec Aktis Gallery, a la joie de présenter une exposition tout à fait inédite à Marseille dédiée à l’œuvre picturale de Le Corbusier.

Figure emblématique de la modernité, Charles-Édouard Jeanneret, dit Le Corbusier, est tout à la fois : architecte, urbaniste, peintre, sculpteur, poète, théoricien. Intrinsèquement liés, son langage architectural et son vocabulaire plastique créent une symphonie, dont l’écho résonne encore dans l’avant-garde du XXème siècle. À la recherche de l’homme universel, l’architecte à la Main ouverte, explorateur du champ des possibles du monde moderne, impulse de sa vision urbaine révolutionnaire et de son étalon de mesure inédit, le Modulor, un nouvel art d’habiter. Nourri de ses réflexions sur la synthèse des arts et la question urbaine, l’architecte-artiste rompt les codes architecturaux traditionnels et pro-voque un retentissement sur la scène artistique internationale qui à ce jour, reste immense.

Le corpus de dessins et collages présenté à la Galerie Alexis Pentcheff a pour ambition de remettre en lumière la richesse d’une œuvre protéiforme ayant construit les fondations de l’architecture moderne. C’est donc à quelques kilomètres de la Cité Radieuse édifiée par Le Corbusier en 1952 que les visiteurs pourront découvrir cet ensemble inédit. Bien plus qu’une œuvre architecturale magistrale, c’est toute la complexité et la synergie d’une pro-duction artistique visionnaire que tente de révéler cette proposition picturale.

« Je suis implacablement dévoré du besoin

de créer. J’ai des passions, les arts et des

devoirs, les conséquences de mes idées.

C’est la croisade que je me trouve devoir

mener. »

L e C o r b u s i e r

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9 NOV - 8 DEC 2018

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L E C O R B U S I E R :

L’ŒUVRE PLASTIQUE DÉVOILÉE

Dans le dessin, forme qu’il considère comme fondamentale de l’expression, toute la pensée créative de

l’architecte-artiste se cristallise. Marqué par sa formation allemande et sa passion pour les sciences co-

gnitives, les émotions sensorielles se répondent selon des échelles d’équivalence. L’espace «acoustique»

de ses peintures ouvre ainsi à la spiritualité alors que la couleur vient nourrir le support et apporte de la

volumétrie à l’organisation de la structure. Régi par une perspective axonométrique, le tableau perd sa

dimension de surface pour devenir espace.

Le corpus plastique de Le Corbusier peut être scindé en plusieurs périodes, chacune marquée par des

influences et des esthétiques distinctes. De 1918 à 1925, Jeanneret signe des œuvres réalisées selon les

préceptes puristes qu’il théorise aux côtés d’Amédée Ozenfant et dans lesquelles il confère à la géométrie

une valeur supérieure, spirituelle. La construction du volume est soulignée par une palette de couleurs

réduite à ce que les deux artistes appellent la « grande gamme » - des ocres jaunes, des rouges, des terres,

du blanc, du noir, du bleu outremer notamment.

La rupture avec Ozenfant en 1925 donne naissance à une période « post-puriste » durant laquelle il

développe un style plus aéré, plus personnel, empreint d’une nouvelle sensualité. Dès 1928, il se libère

totalement de l’austérité puriste et intègre la figure humaine, les « objets à réaction poétique » et les objets

issus du quotidien. Preuve d’une impossible dissociation de langage, il transmue ces éléments plastiques

dans son corpus architectural dès 1933 sous forme de piliers pour le Pavillon Suisse de la Cité Universi-

taire de Paris.

Suite à cette émancipation, ses œuvres révèlent une palette chromatique d’une vivacité inédite, ouverte

à de nouveaux champs d’expérimentation. Dans la figure féminine, l’artiste dévoile de nouveaux conflits

qui l’habitent, notamment sur les désirs et la sensualité des corps. Néanmoins, l’ordre, l’universalité, la

rigueur et la poursuite d’une structure utopique sont des thèmes récurrents qui persistent jusque dans ses

dernières séries picturales «Ozon », « Ubu » et « Taureau ».

Dans « l’atelier de la recherche patiente », Le Corbusier dessine, peint, imagine. Ce lieu imaginaire il-

lustre à lui seul l’essence même de son génie créatif et l’impossible dissociation entre production archi-

tecturale et picturale. Souvent délaissée au profit du grand fracas provoqué par ses habitations de béton,

son œuvre plastique connaît une consécration en 1962, sous l’impulsion de Jean Cassou et de la grande

exposition organisée au Musée National d’Art Moderne. Le Corbusier n’a pourtant jamais nié le rôle de

la peinture et du dessin, auxquels il consacre une partie de sa journée tout au long de sa vie: «Je pense que si

l’on accorde quelque chose à mon œuvre d’architecte, c’est à ce labeur secret qu’il faut en attribuer la vertu profonde».

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F O C U S :PEINTURE MURALE POUR LA MAISON DE

JEAN BADOVICI À VÉZELAY

Suite à la demande de son ami, l’architecte roumain Jean Badovici, Le Corbusier se rend dans la maison

de ce dernier à Vézelay en 1935 afin d’y réaliser une peinture murale aux côtés du peintre Fernand Lé-

ger, lui aussi mandaté pour la réalisation d’une œuvre voisine. De cette cohabitation artistique naît un

dialogue entre le peintre et l’architecte, tous deux animés par une utopique volonté de créer une «syn-

thèse des arts majeurs».

Ce dessein est pour Le Corbusier un élément essentiel à la «deuxième ère de la civilisation machiniste».

Convaincu par la nécessité de cette union et son incidence poétique, l’architecte-artiste esquisse en sep-

tembre 1945 son concept sur « l’espace indicible », espace non commensurable à résonances multiples,

dans lequel cohabitent toutes les expressions artistiques et sensorielles – à la fois optiques et acoustiques.

Pour Fernand Léger, ce projet commun sera le point de départ d’une longue réflexion sur le rôle plas-

tique mais également la portée sociale de la peinture murale dans les années 1930. Se libérant du carcan

bourgeois de la peinture de chevalet, elle redevient un membre actif de la vie quotidienne, accessible au

peuple.

Les rapports que le peintre et l’architecte entretiennent à la peinture murale vont néanmoins considéra-

blement s’éloigner. Léger va continuer d’oeuvrer pour l’intégration de la peinture à l’architecture par le

biais de ses collaborations à de nombreux projets à l’étranger notamment avec Paul Nelson et Wallace

K. Harrison. Son engagement politique va dicter une nouvelle esthétique qui se reflètera sur la scène

artistique internationale. Le Corbusier, lui, va se concentrer sur ses propres recherches sur l’habitation

moderne et la synthèse des arts.

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Deux femmes nues assises au coquillage, gouache sur papier brun, signé et daté en bas à gauche Le Corbusier 1935, 67 x 89 cm

Bien plus qu’un simple décor, l’œuvre de Le Corbuiser à Vézelay a pour but de libérer la surface du mur

par la peinture, l’alléger, lui faire perdre de son volume. Jean Badovici, avec qui Le Corbusier partage ses

théories sur la spatialité et l’autonomie de la peinture et l’architecture, déclare à ce propos : « [Le Corbu-

sier] dégage la peinture actuelle de la prostitution [et] a compris qu’une peinture est toujours une libéra-

tion. Elle ouvre toujours un mur. […] La peinture de Le Corbusier ne fait que d’accuser, en la dégageant

et en l’émancipant, l’architecture actuelle. » (Jean Badovici dans l’Architecture d’aujourd’hui, Mars 1937)

Cependant, la position de l’architecte reste quelque peu ambiguë. Il revendique à la fois l’autonomie de

son architecture et l’intégration de la peinture dans un but d’art total, en étroite union. Cette ambiva-

lence et en même temps, cette radicalité qui habitent Le Corbusier, lui vaudront quelques querelles, dont

une avec André Bloc fondateur de l’Association pour une synthèse des arts qui se terminera par un retrait

de l’architecte au sein du groupe.

À l’occasion de cette exposition marseillaise que proposent la Galerie Alexis Pentcheff et la galerie Aktis,

une très belle étude de la peinture murale pour la maison de Jean Badovici à Vézelay intitulée « Deux

femmes nues assises au coquillage » datant de 1935, viendra illustrer ces recherches plastiques.

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5) Charles-Edouard Jeanneret, dit Le Corbusier, naît le 6 octobre 1887 à La Chaux-de-Fonds en

Suisse. Il suit dès 1900 une formation de graveur-ciseleur au sein de l’école d’art locale puis in-

tègre le cours supérieur de décoration auprès de Charles L’Eplattenier en 1904, qui l’orientera

ensuite vers l’architecture.

Le premier choc artistique que vit Le Corbusier s’opère en 1907, lors d’un voyage en Italie du-

rant lequel il découvre la Chartreuse d’Ema à Galluzzo et déclare « J’ai pensé ne pouvoir jamais

rencontrer une interprétation si radieuse de l’habitation […] L’organisation harmonieuse de

l’individuel et du collectif y est résolue dans la joie, la sérénité et l’efficience». De cette ren-

contre naît chez l’artiste une profonde fascination pour l’espace générique de la boîte, plus tard

illustré par la « cellule ».

Après de nombreux voyages, Le Corbusier s’installe à Paris en 1917 puis rencontre le peintre

Amédée Ozenfant en 1918 par l’intermédiaire d’Auguste Perret. L’année suivante ils fondent

ensemble la revue l’Esprit nouveau et développent de multiples théories picturales définissant

le purisme, mouvement artistique héritier du cubisme, prônant une esthétique harmonieuse

déployée par la simplicité des formes géométriques. Le premier article de la revue dédié à l’ar-

chitecture est signé Le Corbusier - pseudonyme que Charles-Edouard Jeanneret gardera tout

au long de sa carrière d’architecte.

En 1922, Le Corbusier ouvre un studio rue de Sèvres à Paris avec son cousin, l’architecte et

concepteur de meubles Pierre Jeanneret. De ses articles et ses rencontres, Le Corbusier ima-

gine un nouveau vocabulaire architectural largement influencé par son obsession pour les

sciences et les nouvelles technologies : « la machine à habiter » (la maison), « l’équipement de

la maison » (les meubles) et « la machine de repos » (le siège).

Le « Pavillon de l’Esprit Nouveau », prototype d’un projet d’immeuble-villas, présenté à l’oc-

casion de l’Exposition Internationale des Arts Décoratifs à Paris en 1925, est un véritable ma-

nifeste architectural dans lequel l’organisation domestique est entièrement redéfinie. On y

retrouve l’idée de la cellule habitable guidée par l’idéologie puriste et une furieuse volonté

créative d’une œuvre d’art totale. Le mobilier imposant en bois est alors remplacé par l’équi-

pement métallique, régi par la fonctionnalité et le gain d’espace. Le Corbusier bouscule, pro-

voque, défie les traditions et instaure dès 1927 les cinq piliers de l’architecture moderne : le

pilotis, le toit terrasse, le plan libre, la fenêtre en longueur, la façade libre.

Cette même année, l’architecte et urbaniste rencontre Charlotte Perriand qui s’installe dans

son atelier jusqu’en 1937. Ils présentent aux côtés de Pierre Jeanneret les premiers meubles

issus de leur collaboration, édités par Thonet Frères, au Salon d’Automne de 1929. Considé-

rablement engagé sur la scène internationale, Le Corbusier est en 1928 un des membres fon-

dateurs du Congrès International d’Architecture Moderne (CIAM) dont la première édition

se tient à La Sarraz, en Suisse.

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5)Entre 1929 et 1945, les nombreuses crises économiques et sociales liées au contexte poli-

tique instable de la France et de l’Europe donnent naissance à de nouvelles problématiques

de concentration urbaine. Face à ces nouvelles contraintes, la force créatrice de l’architecte,

du designer, mais aussi du peintre et dessinateur se révèle dans une production qui se détache

progressivement du purisme au service d’un style plus personnel, guidé par la notion d’ordre,

de cohésion et d’utopie sociale.

Le principe du « Modulor », aboutissement de longues années de recherches sur la spatialité

du corps et de l’espace urbain, devient dès la fin de la Seconde Guerre Mondiale la clef de voûte

de son œuvre. L’harmonie constructive de l’architecte est alors déterminée par un homme

type de 1,83 m ou 2,26 m le bras levé. De son trait, se dessine et se lit la morphogénèse des

corps et des objets, régie par la détermination spatiale du Modulor. De la notion de « corpora-

lité » émane également des échelles d’équivalences sensorielles, largement présentes dans son

œuvre picturale. L’artiste parle en ce sens de peintures « acoustiques » dont la spiritualité est

dévoilée par la symphonie des éléments plastiques. Ce langage invariablement lié au champ

lexical de la musique n’est pas sans rappeler sa propension familiale à cette forme d’expression.

Parmi les constructions les plus notables de Le Corbusier, la Villa Savoye (1928-1931) à Poissy

est un des premiers témoignages du génie qui lie les deux cousins architectes. La Cité Ra-

dieuse, construite à Marseille en 1952, représente un des fleurons de l’architecture moderne

au sein du paysage méditerranéen. Menée sous l’impulsion d’une commande de Raoul Dau-

try, ministre de la reconstruction en 1945, l’unité d’habitation marseillaise est imaginée sur le

principe d’harmonisation entre l’individuel et le collectif, une des obsessions récurrentes de Le

Corbusier depuis sa découverte de la Chartreuse d’Ema. Cette unité a pour but d’apporter un

bien-être individuel prodigué par l’aménagement de chaque cellule rigoureusement intégrée

au sein d’une structure collective fonctionnelle basée sur le principe d’équilibre et d’épanouis-

sement social.

Le réaménagement de la ville de Chandigarh (1951-1965) en Inde, sous l’initiative de Nehru,

est également un des projets les plus ambitieux de Le Corbusier, qu’il réalise de nouveau en

collaboration avec Pierre Jeanneret. C’est dans cette « expression de la foi de la nation en

l’avenir » que Le Corbusier trouve un projet à la mesure de ses ambitions urbanistiques. C’est

aussi le lieu où Le Corbusier conçoit la Main ouverte - symbole idéologique né de la Guerre

froide par lequel l’homme donne et reçoit. Elle ne sera construite qu’en 1985 et resta ainsi un

combat inachevé.

Charles-Edouard Jeanneret-Gris meurt le 27 août 1965 à Roquebrune-Cap-Martin.

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ŒUVRES CHOISIES

Nature morte à la guitare, pile d’as-siettes, livre ouvert, pipes, bouteilles et verres1961

Collage de divers papiers, gouache, re-hauts de gouache blanche et encre de Chine74 x 81 cm

Monogrammé et daté en bas à droite :L - C / 1920 - 61

Deux femmes nues assises au coquillage

Étude pour la fresque de Vézelay 1935

1935Gouache sur papier brun

67 x 89 cmSigné and daté en bas à gauche:

Le Corbusier / 1935

Provenance: collection privée, Paris

Certificat d’authenticité de M. Éric Mouchet

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La galerie d’art Alexis Pentcheff est spécialisée dans la peinture

de la seconde moitié du XIXème et de la première moitié du

XXème siècle. Ses choix sont la plupart du temps guidés par la

lumière méridionale, parmi les œuvres des talentueux peintres

qui ont abordé les rivages méditerranéens. Cependant, elle re-

présente occasionnellement des projets franchissant les fron-

tières de la Provence et par lesquels elle a été touchée.

La galerie Alexis Pentcheff a organisé depuis sa création en 2009

plus d’une trentaine d’expositions temporaires et a participé à

plusieurs évènements d’envergure internationale comme la

BRAFA (Brussels Art Fair).

Au mois d’octobre 2015, l’agencement de la galerie d’art est mo-

difié. L’espace d’exposition est modernisé et deux nouvelles ac-

tivités lui sont associées : la librairie d’art Le Puits aux Livres,

implantée au sein même de la galerie et l’espace de vente d’enca-

drement ancien et sur-mesure. Sa surface, offre ainsi à l’amateur

et au collectionneur, un pôle lui étant entièrement dédié.

La galerie Aktis est dédiée à l’art moderne, en particulier à l’art

émigré du XXe siècle à Paris. Elle est l’un des principaux spé-

cialistes du mouvement de l’abstraction lyrique d’après-guerre

et représente notamment les œuvres d’artistes émigrés chinois

de renommée internationale, Zao Wou-Ki et Chu Teh-Chun

notamment (ainsi que l’artiste chinois contemporain Gao Xin-

gjian), d’artistes russes issus de l’abstraction lyrique tels qu’An-

dré Lanskoy et Serge Poliakoff mais aussi des artistes européens

dont Georges Mathieu, Otto Freundlich, Geer van Velde, Bram

van Velde et André Marfaing.

Située à St. James à Londres, la galerie Aktis s’est imposée

comme une destination de choix pour les expositions de quali-

té muséale. Membre de la prestigieuse Société des marchands

d’art de Londres (SLAD), elle participe à la London Art Week

et à Asian Art ainsi qu’à des évènements interntationaux dont

la Biennale des Antiquaires, la BRAFA, Masterpiece ou encore

Art Genève. La galerie est fière d’accueillir un programme di-

versifié de conférences de presse, de concerts, de projections

de films et de discussions thématiques liées aux œuvres qu’elle

présente.

131 - 133 rue Paradis MARSEILLE

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10 - 11 Park PlaceLONDRES

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L E C O R B U S I E Roeuvres plastiques

I N F O R M AT I O N S & C O N TA C T

EXPOSITIONDu 9 novembre au 8 décembre 2018Vernissage le 8 novembre à partir de 19H00

GALERIE ALEXIS PENTCHEFF131 - 133 rue Paradis13006 MARSEILLE

T/ + 33 6 82 72 95 79 T/ + 33 4 91 42 81 33

CONTACT PRESSE

Claudia GolettoT FR/ +33 6 49 00 86 00T UK/ +44 747 239 363E/ [email protected]

Du mardi au samedi De 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h30

E/ [email protected]

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