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« Celles et ceux qui représentent la majorité trop- silencieuse et qui aspirent à vivre ensemble dans le respect mutuel seront en parfaite osmose avec cet artiste-citoyen libre qui refuse le fatalisme ambiant et l’enfermement identitaire. » LE FRABYLE

LE FRABYLE - anticolonial.net · Et si peu de vrai talent pour s'émouvoir que lorsqu'on en trouve un vrai, un pur, un juste : on se doit d'en parler. ... mieux il innocente l’homme

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« Celles et ceux qui représentent la majorité –trop- silencieuse et qui aspirent à vivre

ensemble dans le respect mutuel seront en parfaite osmose avec cet artiste-citoyen

libre qui refuse le fatalisme ambiant et l’enfermement identitaire. »

LE FRABYLE

Le Frabyle a été créé en septembre 2001

Etre Frabyle c’est…

Avoir un père kabyle, pire qu’une mère juive

Une mère Ch’ti qui ne supporte plus les « arabes »

Un prénom à coucher dehors,

Une tête à coucher dedans,

Et assez d’humour et d’amour,

Pour croire encore qu’à la fin de l’histoire

Tout finit toujours par s’arranger…

Etre Frabyle, c’est quoi ?

« Etre Frabyle, c’est un France/Algérie quotidien ! »

Le Frabyle, c’est le spectacle de tous les mélanges, des mélanges

réussis ou ratés, des traditions différentes avec leur lot de

richesses, d’ouverture et de tolérance mais également de douleurs,

de déséquilibres, de questions et de doutes…

Le Frabyle, c’est le spectacle de celles et ceux qui aiment la terre

de leur naissance et celle de leurs ancêtres et qui les partagent sur

une même terre…

Le Frabyle, c’est le spectacle de tous les français, de celles ceux

qui ont envie de découvrir ou de partager, sans imposer mais sans

oublier pour autant leurs convictions ni leurs traditions. C’est le

langage de celles ceux qui n’ont pas peur de leurs différences…

Le Frabyle, c’est le spectacle de tous ces immigrés, dont les

enfants, français, ne supportent plus d’être appelés des « beurs »,

rejettent la notion d’intégration, les amalgames cités/ délinquants,

musulmans/terroristes et attendent qu’on leur parle « avenir »

avec des mots comme possible, égalité, équilibre…

Texte écrit lors de l’Année de l’Algérie en France

Si….

Si tu peux déclamer sans être censuré

Si tu peux critiquer sans être menacé

Si tu peux t’opposer sans être emprisonné

Si tu peux dénoncer sans être exécuté

Si tu peux être femme sans être bafouée

Si tu peux sans trembler dire ta berbérité

Si tu peux être jeune sans être désespéré

Si tu peux dire « je t’aime » sans être décrié

Si tu peux t’incliner sans que ta barbe pousse

pour faire cesser enfin le sang qui éclabousse,

Si l’on accueille enfin comme un hôte de marque

celui qui, hier encor, subissait la matraque,

Si ta peau basanée et tes cheveux frisés

ne sont plus un prétexte à mieux te contrôler,

Si implorent pardon ceux qui ont torturé

Si la mémoire revient à ceux qui ont tué

Si le nom de ton père est enfin honoré

pour avoir, de son sang, servi la Liberté,

Si les pouvoirs abdiquent de leurs desseins obscurs

Si les peuples décident enfin de leurs futurs

Si les mères patries rapprochent leurs rivages

pour qu’enfin leurs enfants ne fassent plus naufrage,

Si, Si, Si…

Alors et alors seulement, en « Hommes Libres* » nous fêterons

ensemble

« l’Année de l’Algérie en France »

Alors et alors seulement en « Hommes Libres » nous ferons

exister ensemble

« l’Année de la France en Algérie » !

* « Homme libre » se dit Amazigh (Imazighen au pluriel) en langue berbère

Réaction au poème « SI... » sur l’année de l’Algérie en France -

« It was such a pleasure to know people like you are in life and

have courage to talk, to show, to scream « I’m Amazigh ». We will

support you and we willl have such pleasure to see you going

forward for it. We love people like you, doing it and having a faith

in such difficult cause... » Sean

Entendu ça et là…

«J'ai eu le privilège d'assister au spectacle "le frabyle" il y a quelques

jours à Avignon. Mon identité n'a que peu d'importance... "Il y a

tant de mots pour emprisonner"... Et si peu de vrai talent pour

s'émouvoir que lorsqu'on en trouve un vrai, un pur, un juste : on se doit

d'en parler. C'est pour cela que je parle de privilège ! Pour ma part, la

moindre de mes satisfactions aura été de pouvoir faire évoluer son

spectacle non seulement en l'encourageant de mes rires et de mes

applaudissements mais en lui apportant, sur une terrasse de la Place de

l'Horloge, après son show, les réflexions à fleur de peau d'un petit

français de confession juive. Merci d'avoir eu le courage de m'aborder

et merci surtout d'en avoir tenu compte. C'est là aussi toute la grandeur

d'un artiste. Aller voir Tayeb n'est pas un devoir civique, c'est un

devoir tout court. Mazeltov! »

«Moi, je suis juive… et j’ai tout ressenti… parce que j’ai vécu les

mêmes choses…alors arabes, kabyles, chtimis ou moi, je me dis que

tout ça c’est pareil… La phrase qui m’a marquée c’est «La stupidité et

l’ignorance sont un indéfectible trait d’union entre les cons…».

Franchement, on ne peut pas dire mieux !» Anna

« Chapeau bas le Frabyle ! Si j’étais allé au Stade de France (voir le

match France/Algérie !), il est sûr que j’aurais manqué un grand

moment d’humour » Aurélien

On a tellement ri qu’on a pleuré ! De plaisir… Ce spectacle, on s’y est

reconnus tout le temps. Le père, c’est le nôtre, la mère, on l’a déjà

rencontrée, le garagiste, c’est affreux, mais c’est VRAI !!! Les kabyles,

les hôtesses d’Air Algérie ou Radio Beur, c’est tellement bien vu !!!

Merci surtout pour le passage sur l’Islam… Ça fait du bien par les

temps qui courent ! Merci aussi pour les femmes, merci de dire tout

haut ce que souvent on ne peut même pas dire tout bas ! Et en plus, il

est très beau !... » Nedjma

ROMAIN BOUTEILLE

Créateur du café de la gare – Découvreur de Coluche

« Il faut avoir suivi Tayeb Belmihoub dans sa promenade sereine entre les vagues

de la violence publique. J’allais dire sa promenade « digestive » à cause de la

cocasserie mais, sous les cendres couve une lucidité plus chirurgicale qu’intestinale.

La haine n’est pas quelque chose de familier sur les trottoirs où l’on parle en

« frabyle », dans ce ramassis d’argots kabyle, chtimi, parisien on trouve une

profondeur serbo-croate et cette clarté imparable des coups de pieds au cul mais

aucune hargne. On trouve une espèce d’universalité soignante. Je ne sais pas par

quel tour de magie chacun retrouve là ses petits, ses proches, son lait maternel. A

croire que sous la vanité glissante des langues officielles existe un Esperanto

fondamental qui pourrait bien finir (les Dieux nous entendent !) par désamorcer cette

planète. Une foule n’est pas une somme de tendances individuelles mais une

combinaison chimique où les composants deviennent méconnaissables. Ainsi

Tayeb en public, ne se réduit à son seul discours, ça me donne le droit (oh universalité

des évidences !) de dire tout ce que je veux du spectacle sans qu’il puisse dire qu’il n’a

jamais voulu dire ça ! Voila ce que je trouve moi, devant ma porte : La trouille étant

une manifestation de base de l’animal et l’altruisme, par contre, une opération

sophistiquée, on perd son temps et sa moralité à vouloir qu’un citoyen obéisse à la fois

« DE FORCE » et par « PAR SOLIDARITE ». Cela s’exclut. L’éventualité d’une

punition déshonore la loi et rejette l’homme dans les crétinismes de l’esclavage. Une

tête bien faite est incapable d’éprouver du respect pour ce qui n’en mérite pas. En bref,

toute violence est institutionnelle.

Diverses lois dont celle du profit m’autorisent à maintenir des gens dans une misère

mortelle. Pour peu qu’ils soient d’une race différente de la mienne, à leur légitime

colère, on trouvera un motif clair, excitant, admis d’avance, facile à vendre et qui est

une haine aveugle, sans fondement rationnel : LE RACISME. Comme je ne les

laisserai pas s’expliquer médiatiquement, aussitôt me voilà avec les mains propres ! Il

est donc important pour le profit que le racisme, comme colère des autres, occupe cette

place de choix dans l’information. Plus « objectivement » on en parle, plus réelle

devient la foi en son existence, mieux il innocente l’homme d’affaires et le justicier de

bistrot. Et l’institution monétaire, avec sa vocation absurde de « maintien de l’ordre »

n’est pas seulement équivoque, elle est l’usine à faire de l’homme, un client et du

client, une brute. Les non pensants ont la sublimation facile. Dans cette universalité

du Frabyle de Tayeb, un autre que moi entendra peut-être les coches de Lourdes,

les mille et une nuits, la voix de sa mère ou le hurlement des damnés, mais pour

moi, la question posée est celle-ci : le Fond Monétaire International sautera t’il avant

la planète ou en même temps qu’elle ? »

Avignon 2004

«La rencontre avec le FRABYLE fait partie de ces moments magiques où vous vous

dites que véritablement le destin existe et fait magnifiquement bien les choses. En

langage courant, certains appellent cela le coup de foudre ; cet instant de bonheur que

l’on ressent lorsque la joie du moment est si intense que vous cherchez qui remercier

tellement le plaisir est grand. Ce soir là, le bonheur, c’est un artiste qui me l’a

transmis, par son talent et son charisme.

Ce soir là, c’est aussi un homme qui m’a permis de partager avec d’autres, un

moment délicieux car la paix et la cohésion humaine –et non sociale pour une fois-

étaient au menu. Ce soir là enfin, c’est aussi un citoyen qui s’est exprimé avec

sincérité, intelligence et authenticité sur des sujets de société ô combien sensibles

puisque nous les traînons comme des boulets depuis plus de 20 ans.

Tayeb Belmihoub est cet artiste cultivé, intelligent et drôle. Ce n’est pas un comique

comme on a l’habitude d’en voir. C’est un humaniste fin et authentique qui exerce sa

passion avec conviction parce qu’il croit avec force en un monde meilleur au sein

duquel les hommes, d’où qu’ils viennent, trouveraient cette capacité à partager en

communs des valeurs universelles, capables de transcender tous les clivages. Le

FRABYLE, je l’ai découvert un soir d’été au festival d’Avignon. Dès la fin du

spectacle, je me suis promis, en tant qu’acteur de terrain, de transmettre le message

comme on le faisait à d’autres époques, afin que le plus grand nombre de femmes et

d’hommes, de jeunes et d’anciens, de riches et de pauvres puissent profiter de ce

moment de bonheur auquel j’ai eu droit.

Celles et ceux qui représentent la majorité –trop- silencieuse et qui aspirent à vivre

ensemble dans le respect mutuel seront en parfaite osmose avec cet artiste- citoyen

libre qui refuse le fatalisme ambiant et l’enfermement identitaire. Le FRABYLE

c’est l’amour face à la haine, c’est la confiance retrouvée face au préjugé, c’est la

citoyenneté universelle face aux replis identitaires.

Tayeb Belmihoub nous rappelle avec humilité que la bêtise n’a pas d’origine, de

confession religieuse ou de couleur de peau. Il nous dit aussi avec simplicité et à

partir de son histoire que le lien entre les hommes est possible. Ce message de paix

et d’union fait tellement de bien dans un contexte national, européen et mondial truffé

d’incertitude, de tension et de crainte. Merci au FRABYLE d’avoir accepté

spontanément d’aller dans les écoles et les maisons d’arrêt pour faire passer ce

message d’espoir dans le seul souci de défendre la dignité humaine et préserver

l’intérêt général.»

www.lefrabyle.fr

ARTICLES

« Tayeb a une particularité, sa mère est chtmi (originaire du nord de la France)

et son père Kabyle (berbères représentant la première population du nord de

l’Algérie) « J’ai eu beaucoup de chance de n’être de nulle part » confie l’homme à la

peau et aux yeux clairs. Il a travaillé pour étudier, s’est intéressé aux livres avec

un grand L et n’a trouvé aucune différence essentielle dans leurs contenus. Son

spectacle dénonce avec humour l’ignorance, les religions, les guerres, le

racisme…Tout en rire et en finesse.

Tayeb propose des mots justes. Il nous emmène dans son voyage semé

d’embûches et de joies. Pour lui « le monde est un livre (….) Il est temps que

l’on donne aux individus la possibilité de lire leur livre sans distinction

idéologique ou religieuse »

Il se dégage un tel espoir des paroles de Tayeb, une lumière, un

regard, un sourire qui vous font réfléchir. Il respire une sorte de

plénitude, la même qui anime Paolo Coelho, écrivain chilien auteur de

l’Alchimiste.

Tayeb cherche à aider les hommes à s’aimer « nous sommes tous liés par un

phénomène de création. La séparation est illusoire. Nous avons la même chair,

le même cœur, les mêmes larmes » Le combat contre l’ignorance et

l’indifférence débute par la parole, un outil d’union indispensable.

Il envisage une tournée nationale des prisons en 2005, Tayeb veut donner de la

force, du courage pour que les gens se lèvent et disent non à l’humiliation

« pour qu’ils laissent parler leur cœur ». La leçon de vie de cet homme

est à voir absolument. »

« Le Frabyle », pièce autobiographique de Tayeb Belmihoub, propose une

description sans fard du métissage. Une pièce qui résonne de ses accents

authentiques et rocambolesques. Portrait plein d’humour et d’humeur…

S’appeler Tayeb et être surnommé « Momo » expose toujours à des quolibets.

Surtout si l’on porte le cheveu blond, l’œil bleu et la peau blanche et que l’on

s’exprime avec aisance dans la langue de Molière (…) Loin des stéréotypes, le

comédien se catapulte dans les sphères de l’universalité.

Tayeb joue de « ces mots qui emprisonnent » et de la peur de l’altérité.

« Frabyle » est un néologisme, une contraction (Français/Kabyle) qui

appartient au langage du cœur.

Le comédien et l’homme refusent d’être étouffés dans les rets de la

victimisation ou enrôlés dans un quelconque personnage. La liberté avant

toute chose.

Les autres mots sont les fantômes des imaginations malades au dessus

desquels, il y a la vie. Et puis il y a l’humour, cocasse qui résonne comme une

sempiternelle jeunesse.

L’humour est un appel à l’empathie réciproque, une renaissance à

l’espérance « c’est un rêve, soit mais après tout un rêve n’est rien d’autre

qu’une réalité en attente. » renchérit Tayeb dans son livre/prolongement de la

pièce.

Le spectacle est une « proposition authentique et sans triche » (…) Le 16

Juillet, Tayeb Belmihoub a interprété « Le Frabyle » à la prison du Pontet

avant de s’engager dans une tournée nationale des prisons.

2001 - Tayeb Belmihoub décide de changer de « terrain de jeu », il va monter sur scène.

2001/2002 - Avril/Mai : il écrit son premier seul en scène « Le Frabyle » Juin : Il répète, apprend,

répète devant ses 5 enfants et sa femme. Juillet : Nous sommes le 5 juillet 2001, jour de

l’indépendance de l’Algérie (ça ne s’invente pas !), il va passer une audition, au Théâtre de la

Providence (ça ne s’invente pas, non plus !) à Paris dans le XIXème

.

2002 - Un soir pas comme les autres, une représentation inoubliable, Romain Bouteille est dans la

salle avec sa compagne Saïda Churchill. Tayeb n’en sait rien et le choc est grand lorsque quelques

jours plus tard, Romain Bouteille écrit sur son seul en scène, pour la première fois depuis 20 ans,

depuis Coluche, une critique… Quelques mots du maître, pour sceller ce qui sera pour Tayeb son

« autorisation à continuer à faire du théâtre, la certitude qu’il n’est pas un imposteur »…

2003 - Représentations à Argenteuil, Bagnolet, Bobigny, Choisy le Roi… Une sélection au festival

Performance d’Acteur à Cannes et une première participation au Festival off d’Avignon sur la

péniche « Dolphin Blues », grâce aux recommandations de Romain Bouteille…

Tayeb commence l’écriture d’une étude symbolique sur le football, intitulée « Football, sport

sacré ? »

2004

Mars :

Soirée exceptionnelle au Théâtre du Gymnase

Mai/Juin - Deux mois au Café de la gare à Paris, sur les traces de Romain Bouteille…

- Sortie du livre « Le Frabyle…Quand j’étais petit, on m’appelait Momo… », réservé au public lors

des représentations, il sortira cependant en même temps que le DVD(fin 2006)

Juillet :

Festival Off d’Avignon 2004 au Théâtre Monte-Charge (Cinévox) – Année exceptionnelle, des

articles de presse élogieux et un public de plus en plus fidèle.

Octobre :

Mise en place d’une tournée nationale des prisons avec « Le Frabyle » : Centre de détention

d’Argentan et Maison d’Arrêt d’Alençon

Novembre/Décembre - Fin de l’écriture de « Football, sport sacré ? » qui devient « Une balle pour la paix » …suite à la

naissance du projet du même nom : faire tourner une balle à travers le monde en signe de Paix entre

les hommes.

- Tournage Télé

P.J. – Gérard Vergès (France 2) – Rôle : Commissaire Bardon (passage en septembre 2005)

2005

Janvier :

Maison d’Arrêt de Fontenay le Comte

Théâtre « l’Azile » La Rochelle

Tournage « Nuit Noire » Alain Tasma – Canal + (Chef FLN)- Tournage important pour Tayeb. On

lui propose le rôle, court mais dense, d’un des chefs du FLN autour de la table du petit déjeuner à

Francfort, quelques jours avant la manifestation du 17 Octobre 61

Février :

Maison d’Arrêt de Metz

Théâtre « Le Plein d’Essence » Strasbourg

Mars/Avril/Mai

- Maison d’Arrêt de Privas/Strasbourg/St Etienne

- Rencontre avec le député Pierre Morange (Yvelines) Tayeb lui propose de l’aider à faire aboutir un

projet de Loi qui va faire parler : interdire l’utilisation du mot « beur » par les médias, les politiques

et les administrations. Ce projet s’intitule « Not Beur »

Juin :

Tournage 1er

Long Métrage de Stommy Bugsy

Centre de détention d’Osny

Bar des Clandestins – Bruxelles

Juillet :

- Festival d’Avignon – création, nouveau seul en scène. Le thème : la prison qui a inspiré à Tayeb un

texte fort, bouleversant, magnifique et violent sur l’univers carcéral tel qu’il l’a ressenti lors de la

tournée du « Frabyle ».

- Ecriture du livre sur cette tournée « J’ai raconté mon histoire… et puis je suis parti »

Août

Ecriture du synopsis du film « Qui a tué Amar malek ? »

Septembre :

- « Le Frabyle » - Centre Universitaire de Charleroi – Dans le cadre des « Jeudis de la

communication » Théâtre/Conférence (Belgique)

- Enregistrement d’un clip «intitulé « Djellaba pour tous » - textes : Tayeb Belmihoub,

Octobre :

- Sortie du livre « Une balle pour la Paix » aux Editions Traditionnelles

A noter, dans le livre, la préface de : Zinédine Zidane et l’avis de Hakim Chalabi (Médecin PSG),

Karl Olive (Directeur des sports de Canal Plus)…

- Début de l’opération « Une balle pour la Paix », première balle tirée « pour ne jamais tuer » par

une personnalité qui fait une passe à quelqu’un dans le monde. Tayeb se charge alors de l’apporter

au destinataire qui, à son tour, la passera à un autre…

2006

Janvier :

-« Le Frabyle »Théâtre du Parc – Andrézieux Bouthéon

-Première lecture « Un (faux) air de famille » avec la troupe et Gérard Moulévrier à la mise en scène.

Février :

-Conférence/Signature « Une balle pour la paix » dans la salle multimédia de la Mairie de St

Germain en Laye

-Festival "D'ici, de là - Ces origines qui coulent dans nos Veynes" (Hautes Alpes)

Mars :

« Le Frabyle » Théâtre Monte-Charge à Pau

2007

- Mise en place nationale des Terrains de la Paix (www.uneballepourlapaix.fr)

- La Rochelle « Les nuits d’Amnesty International – Soirée avec 2 spectacles « Même si on est

innocent » sur l’univers carcéral suivi d’un débat et ensuite « le Frabyle »

- Il Piccolo Théâtre –Aix en Provence – Soirée Thématique Prison/Frabyle « Différences &

indifférences »

- Sortie du livre « le Frabyle – Entre Kabylie & France, le grand pardon ? »

- Séjour à Moscou pour interview documentaire sur le sacré dans le football

2008

- 21 fev - Prison de Toul – Le Frabyle

- 22 fev - Prison d’Ecrouves – Le Frabyle

- 7 mars - Prison de Melun – Le Frabyle

- 17 mars – Salon du Livre de paris – Signature livre « le Frabyle – Entre Kabylie & France, le

grand pardon ? » aux Editions manuscrit.com

- 21 mars – En collaboration avec le GENEPI – Spectacle « Même quand on est innocent »

dans le cadre du « Printemps des prisons »

- 11 avril – Inauguration du 1er

Terrain de la Paix en prison au CD de Melun

- 25 sept – Le Frabyle à Vierzon dans le cadre du Festival de la méditerranée

REACTIONS Direction : Pauline Sulak

Adresse Postale : 30 rue de Gramont 78240 Chambourcy

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