Le journal du Club 1 semestre 2012 1 sur 11 · commentaires de leurs pairs, indépendants de tout classement, tandis que le public « ordinaire » a sans doute hésité à s’enfermer

Le journal du Club 1er semestre 2012 1 sur 11

©le journal de CLIC Triel – 1er semestre 2012 - www.clictriel.fr

L’année 2011 vient de se terminer, et la plupart des membres ont pratiquement de bonnes bases sur la retouche

d’images et pour les diaporamistes, ils peuvent se lancer sans complexe dans un montage.

D’ailleurs ils ont appris de faire leur propre « jingle », une présentation …publicitaire de leur personne de 10 à 20 s.

En 2012, pour l’audiovisuel, c’est maintenant … l’AUDIO que l’on apprend. C’est vrai que c’est un autre monde tout

aussi passionnant que l’image.

Avec le logiciel gratuit Audacity, il faut apprendre à couper, mixer, ajouter des portées musicales, de paroles, de

bruitages. Et avant, il faut savoir extraire de la musique d’un CD, à partir de Windows Média Player, puis le

transformer directement en mp3 ou mieux en waw (la Rolls en qualité musicale)

Des élèves assidus, rêveurs, paumés, ou … enchantés !!

Comme à l’accoutumé, le partage de la galette des Rois, au club. Un bon moment de convivialité, de mieux se

connaître, d’échanger sur l’image, et les projets du Club. Cette année, 1 roi et 2 reines !!!



Le 18 janvier 2012, de Claude Darroux :

Je viens d'assister aux obsèques de notre collègue et ami Jean Paillet. Ancien de l'équipe qui a créé notre photo-club en 1955, puis qui en fut le Président pendant 25 ans, puis le Trésorier il y a quelques années, avant d'être frappé par un AVC qui l'a contraint a nous abandonner. C'est Lucette qui m'a appris ce matin son décès et ses obsèques : ce jour à 15h00 en l'église de Triel. Nous n'aurons pas eu l'occasion d'avoir de ses nouvelles, puisque Mme Paillet souffrante peu de temps après lui, a

déménagé sans que nous ayons ses dernières coordonnées. Je pense que nous avons perdu un brave homme, un bon collègue, et pour certains d'entre nous, un bon camarade.

Fin janvier Philippe M. s’est rendu à une

journée de diaporamas numérique dans la ville

du Mans. Un club passionné de diaporamas, où

la convivialité est de rigueur. Echanges d’idées,

visionnage de diaporamas, repas offerts par le

club, et le soir, présentation du « Mont

Rushmore » bien apprécié du public.

Pas de classement, juste le plaisir de voir la

créativité des uns et des autres.

Au centre socioculturel de Changé, le Rabelais : le soir 2 montages d’Emmanuel



Samedi 04 février 2012 : concours interrégional de diaporamas de l’Ile de France

C’est le photo-club FOCALE 50 de Thiais (UR18) avec le C.C.A.T. (Comité de Coordination des Activités

Thiaisiennes) qui ont accueilli près de 80 personnes dans le Théâtre municipal René Panhard de Thiais.

Bonne ambiance, belle salle, bel écran de projection avec un vidéoprojo de 1920 !

Notre ami Gérard W. pour sa 1ère participation est 4e de la totalité et 1er de l’UR 15. En plus il reçoit aussi le coup

de cœur de l’UR 15 ! Bravo Gérard, … continue sur cette lancée !

Classt. UR AUTEUR Titre

1 UR17 BOUGOURD René-Augustin

Codex Pacificus

2 UR17 BRION Christian Le 203 ème jour

3 UR17 DE GEETERE Philippe L'avion de Londres

4 UR15 WYRZYKOWSKI Gérard L'île aux larmes

5 UR18 JEAMMES Jean-Luc Colleville

6 UR15 COURSAULT Thérèse Cass'Noël

7 Open ZABEL Christian Renaissance d'un Grand

8 UR15 BRINDEAU Jean-Pierre

Ta Katie t'a quitté

9 UR15 PARET Michel et Michèle

Monsieur Martin

10 Open MASSON Philippe Textiles Navajo

11 Open ZABEL Christian L'objet

12 UR18 AUDIGIER Patricia Le secret pour une 2eme vie



Du 23 au 29 mars 2012, 19 auteurs et membres de CLIC Triel ont exposé leurs

images selon notre slogan : « Un auteur, Un thème »

Un public croissant, mais pour nous toujours timide par le nombre, est venu

apprécier les images et fait le choix de leur meilleure image. A cette occasion et

à la fin de l’expo, un trophée de la meilleure image sera offert à l’auteur ayant

remporté le plus de suffrages.

Lors du vernissage, fût remis à Emmanuel Bas le trophée du meilleur montage

voté par le public lors du « Challenge Francophone du Diaporama ». Merci à

toutes et tous qui ont œuvré pour la réalisation des gâteaux personnalisés, aux

services techniques et à la présence des responsables de la ville.

Cette année, le public devait choisir sa meilleure image et l’auteur recevra lui

aussi un trophée commémorant l’expo et le nom de l’auteur et le nom de son image.

Et bien, figurez-vous qu’il y a deux premiers ex-æquo ! ! qui sont Bernard

Bachimont et Emmanuel Bas. Et voici quelques images.

Les piliers du bar !!! les discours des responsables La remise du Trophée par Mr le Maire

Lucette prend aussi la parole Présence de Mme le maire de Vernouillet ainsi que le député des Yvelines !



Enfin, dans le journal « Triel-Info » un retour

Et maintenant, quelques cours le samedi (c’est devenu une habitude) ou chacun vient avec son ordinateur. Les cours

portent essentiellement sur un logiciel de montage audiovisuel, parfois sur l’image (recadrage, détourage …)



Trophée de Paris 2012

Le hasard du calendrier fait que le palmarès du Festival de Cannes a été proclamé

le lendemain de la journée de projection du Trophée de Paris. Certains des

commentaires suscités par les choix du jury de cette prestigieuse manifestation

trouvent une résonance, à notre échelle bien sûr…entre autres sur la validité de

ces choix par rapport à ceux du public.

En effet l’organisation du TdP depuis l’an dernier fait que les jurés, qui définissent le palmarès à partir de la

présélection effectuée par les organisateurs (et qui, à l’exception de deux, étaient absents samedi) sont

essentiellement des personnalités, sans aucun doute éclairées, mais étrangères au petit milieu des réalisateurs,

qui composaient l’essentiel de l’assistance: quand ces derniers sont montés sur scène pour la « photo de famille

», la salle s’est presque vidée ! En effet, 26 réalisateurs (sur 39 montages projetés) sont venus entendre les

commentaires de leurs pairs, indépendants de tout classement, tandis que le public « ordinaire » a sans doute

hésité à s’enfermer au frais, un samedi de grand WE et de grand beau temps….

D’autant que la programmation n’était pas connue à l’avance, ce qui demeure regrettable. Des modifications de

dernière minute, nécessairement mineures, pourraient intervenir sans trop compliquer le travail de l’équipe

technique, qui a fait face à quelques faux départs, liés à certains logiciels. Parmi ces réalisateurs, une présence

britannique relativement nombreuse (5 auteurs présents, sur 7 montages soumis), mais un seul Italien, pour 15

montages soumis, et 2 Belges….

Le 11 mai 2012, huit juges volontaires se sont réunis chez le Pdt, pour noter et classer 47 diaporamas préalablement choisis parmi les 82 oeuvres en provenance d'Europe et d'Amérique du Nord. Cinq heures et douze minutes de projection cumulées, qui se sont traduites par une longue journée d'attention soutenue. Excellente ambiance générale malgré l'étroitesse du local, transformé en auditorium pour l'occasion, et la morosité persistante de la météo, qui nous a privés du déjeuner sur l'herbe prévu.

Le devoir de mémoire C’est un thème que l’on a rencontré dans de nombreux diaporamas.

Trois montages britanniques ont été classés, mais à notre sens sous

évalués : problème de langue ? thématique ? Ils reposent sur la

notion de devoir de mémoire, très présente chez les Britanniques,

mais moins chez nous.

« Un homme honorable », de Keith Storey & Ron Davies,

21ème, biographie d’un mineur syndicaliste a été présenté en version

française, ayant fait appel à des diaporamistes français pour dire le

texte.

« Thomas », de Linda et Edgar Gibbs, 34ème, une façon habile de

lier l’utilisation de la lanterne magique par les recruteurs de l’armée britannique en 1866, à l’activité des auteurs,

descendants d’une de ces recrues, a été bien apprécié dans la salle, même si les sous-titres sont une petite difficulté au

visionnage.



« Ride to the wall », de Howard Bagshaw, 39ème, a surpris par le contraste entre un rassemblement de motards, gros

bras tatoués et supposés sans gêne, voire effrayants, et l’objet de ce rassemblement, présenter leurs respects (le mot est

répété à plusieurs reprises) aux 16000 soldats morts en service, depuis la 2nde guerre mondiale, dont les noms sont gravés

sur un mémorial.

Le rapprochement a été fait avec « Amère victoire » de Corentin Le Gall, 17ème, sur la célébration du 9 mai à Moscou,

où les anciens combattants sont honorés, bien plus que chez nous. A noter la remarque d’une spectatrice d’origine russe et

historienne, qui a insisté sur la complexité de la société russe actuelle, minimisant l’importance de la partie « néo-stalinienne

» mise en évidence par Corentin.

« Les fleurs d'Atacama »de Martine Wegria, 22ème, dénonce les atrocités de la dictature chilienne avec beaucoup de

conviction, mais sa construction est compliquée et très touffue. Une remarque sur le parti pris unilatéral a suscité dans la

salle des réactions choquées.

« L'avion de Londres », de Philippe de Geetere, 8ème, très technique, avec un texte un peu trop dense mais très

informatif, est un bel hommage à ces pilotes.

Quant à notre « Mémoire altérée » 42ème, elle n’a pas convaincu grand monde parmi les jurés. La poésie est un genre

difficile, et peut-être aurions-nous du être plus explicites et présenter le contexte, car ce qui est pour nous évident ne l’a pas

été pour d’autres. Les blockhaus, érigés pendant la 2nde guerre mondiale tout le long de la côte Atlantique ont utilisé les

galets de la baie d’Audierne. Une usine de concassage avait été construite, et une voie de chemin de fer spéciale établie, à

quelques pas de la plage dont nous avons montré les images. Depuis, la mer a avancé, et la question a été posée de savoir

si on la laissait faire, ou si on démolissait ces vestiges. La salle a considéré la deuxième partie comme plus faible : c’est

effectivement celle qui fait appel à la méditation sur l’effet du temps qui passe, et réduit tout en sable. La présence du

personnage au début n’a pas été jugée utile, mais le choix de la musique (à l’accordéon) a été apprécié.

La « Marjolaine » de Jean-Louis Terrienne, 4ème, à la limite du genre, a été généralement appréciée. A titre personnel,

il nous est difficile « d’y entrer ». Sans doute l’absence d’homogénéité dans le traitement des images (que vient faire ici

Google Earth ?), et une chanson qui dès le départ nous entraîne ailleurs.

Les Italiens Cette année, 15 montages soumis, dont plusieurs ont été bien classés : il est vrai qu’une des spécificité des Italiens est

l’absence ou la discrétion du texte, facilitant d’autant la compréhension internationale.

Le seul Italien présent, Giovanni Signora, proposait « Look inside » un montage sur une musique des Pink Floyd, qui

n’avait pas passé la pré-sélection, et a laissé l’assistance dubitative.

Alessandro Benedetti nous a amusés avec son « Tee 9 », 10ème, une vraie prouesse technique.

« Giochiamo ? Jouons-nous ?" » de Giuliano Mazzanti, 14ème, a aussi beaucoup plu, mais l’information selon laquelle

des montages analogues sont visibles sur le site commercial de « Lego » a jeté un froid.

“Anno Domini 2997”, de Loris Fontana, 15ème, est resté incompris de beaucoup, mais a plu cependant, grâce à

l’ambiance musicale et au travail d’image.

« Œil pour œil », de Giacomo Cicciotti, 7ème, images noir et blanc plutôt glauques, chanson prenante, selon la même

recette que ses œuvres précédentes, n’a pas été bien compris jusqu’à l’explication finale de ces vengeances familiales en

Albanie.

Les OAVNI : Objets Audio Visuels Non Identifiés, ou inclassables… La séance a commencé avec le seul montage provenant des Etats-Unis, mais tout à fait francophone, « Entre chien et loup

» de Karl F. Stewart, non présélectionné. Témoignage sur les difficultés d’un producteur de pommes et de noix, excellente

prise de son. De grandes plages sans images, et des séquences d’images prises en rafale, en pseudo-video, ont laissé

l’assistance perplexe.

Autre utilisation de la rafale dans « Sport d'hiver en Orléanais », de Patrick Lemaire, 45ème, avec des extraits sonores

de radio, dont les intentions ont paru ambivalentes.

« Raie manta », de Jean de saint Victor de Saint Blancard, non présélectionné, mélange de photos et de video, n’a pas

convaincu.



On a trouvé le mélange « video-diaporama dans le diaporama » dans l’œuvre de Jacques van de Weerdt, qui se met lui-

même en scène pour traiter du « narcissisme et de la naïveté » de son ami « JLT, diaporamiste et martyr », 25ème.

Effets de miroir dans le monde diaporamistico-diaporamiste !

La question de l’introduction de la video, à quelle proportion et dans quel but, n’a pas été discutée pendant cette journée. Un

nombre non négligeable des œuvres a été projetée en format vidéo (lecteur VLC). Cette question est cependant sous-jacente

et ne pourra pas être longtemps éludée. Elle peut amener une réflexion sur les spécificités de chaque technique.

La bande-son en premier Question sous-jacente dans l’appréciation de quelques montages : peut-on fermer les yeux, ou couper le son, sans perdre

une grande partie de l’œuvre ?

Hervé Séguret a bien capté la spontanéité des enfants dans sa bande-son de « La cabane », 44ème, une amusette

rafraîchissante après ses œuvres précédentes.

Autre excellente bande-son d’enfants, celle de « Une maman », 5ème, de Jean-Yves Calvez, avec une difficulté

supplémentaire, c’est que le texte préexistait ! A noter les belles photos en noir et blanc, format carré.

« Très cher papa » de Philippe de Lachèze Murel, 11ème, presque sans parole, a été salué comme une réussite, quitte

à supprimer la dernière image, et bien que certains bruitages soient excessifs.

« Modi » de Christian Hendrickx, 2ème, est aussi basé sur un texte, une voix remarquable et une musique sobre telles

que Christian sait les trouver.

Les gags Souvent non sélectionnés, mais réclamés pour les galas, où ils offrent un moment de détente dans une programmation

parfois austère.

« IRM », de René Dupire, non sélectionné.

« Jar » de Jacques Carmant, non sélectionné.

« Camping », de Jean-Paul Guibal, 20ème : quelle est la référence de la tente qu’on peut démonter sans réveiller les

occupants ?

La performance vocale de Jean Vilmer, dans « Affaires à faire », 28ème, ne rend pas le dialogue crédible. Et que vient

faire Mozart dans cette campagne ?

Les chansons illustrées Jany Clavier et Marc Jourdain, se sont lancés dans l’exercice délicat d’illustration d’une chanson archi-connue, sur laquelle

tout le monde a déjà mis ses images mentales, que la présence du comédien perturbe. « La grasse matinée » a été

classée 35ème.

Pierre Marie Artaux a donné un exemple à ne pas suivre avec l’illustration littérale et anachronique des « Grands

Boulevards », 29ème.

Les scenarii : la confusion documentaire-fiction En littérature, les auteurs collent parfois l’étiquette « roman » sur un témoignage pour lequel l’exactitude des faits n’est pas

primordiale. De plus, l’usage des guillemets et des références pour les citations rend plus claires la part de l’auteur et celle

de son sujet. En matière de diaporama, ces conventions d’écriture ne sont pas faciles à transposer.

Il existe bien des catégories « documentaire » et « reportage » qui laissent le spectateur s’attendre à du réel, ou « scénario

» où on pense avoir affaire à de la fiction, qui pourraient être utilisées pour éviter cette confusion, mais les organisateurs de

festivals en général sont tout à fait rétifs à faire entrer ces distinctions dans la pratique…

De ce fait, il peut y avoir une confusion gênante entre la valeur d’un témoignage réel, sa « mise en scène » et la part

d’interprétation de l’auteur.

C’est le cas en particulier quand un texte est « fabriqué » et attribué un personnage que l’image nous fait prendre pour « le

vrai », alors qu’on ne sait pas qu’il s’agit d’un comédien, et si ce n’est pas un comédien, si le personnage à l’image est

conscient de ce qu’on lui fait dire !



« Bonjour Princesse », de Paul François Béziat, 19ème, aborde une thématique originale, avec une comédienne

convaincante dotée d’une belle voix.

« Et si j'osais », de Denys Quélever, 23ème, synthétise dans un texte écrit une démarche picturale qui n’est pas

seulement individuelle.

« Adonis le visionnaire » de Jean-Pierre Simon, 12ème, commence par une citation provocatrice, et se poursuit comme

une biographie, dont on ne sait pas au départ s’il s’agit d’un personnage réel. On découvre ensuite un poète syro-libanais,

pressenti pour le prix Nobel. Des extraits choisis de son oeuvre qui dénonce l’utilisation normative de la religion, sont

illustrés par des images de Syrie.

Les polars Roger Banissi a repris ses crayons de couleurs pour nous raconter une histoire à suspense britannique, bien compliquée,

mais savoureuse « La trompette en caoutchouc », 27ème.

Sur des images de vitrines éclairées de Noël, qu’elle a traitées avec sa virtuosité habituelle, Thérèse Coursault a imaginé «

Cass'Noël » 25ème.

Les « premiers montages » Pierre Menneglier a ramené de son voyage étasunien une série d’images « Antelope canyon », qui n’ont pas passé la

présélection.

Gérard Wyrzykowski, a utilisé des images d’archives sans en donner la source, et avec une voix, certes charmante, mais

dont l’enthousiasme est totalement hors de propos, dans « L'Ile aux larmes » 30ème.

Bien que non-débutante en diaporama, Julie « a osé » pratiquer son français et nous montrer ses photos sous-marines! « Si

j'osais », de Julie England & Ron Davies n’a pas été présélectionné.

A l’inverse, les très belles images prises au cours des saisons par le club de St Nazaire, nouveau venu dans l’arène

diaporamistique, ont séduit les jurés, qui ont classé le montage « Brière : Terre de lumières » 1er. Cependant, au goût

de la salle, le texte est un peu trop descriptif et la bande-son manque de la « vie » qui serait apportée par des bruitages.

Conclusion En résumé, un cru 2012 sans grande révélation, avec des baisses de régime chez quelques auteurs connus,

(mais on ne fait pas un chef d’œuvre tous les ans !), quelques divergences notables entre le classement des

jurés et les opinions exprimées dans la salle, mais le plaisir des rencontres et des échanges, ce qui est un

succès incontestable.

REMISE DES TROPHEES aux gagnants de l’expo 2012 de CLIC Triel

Bravo à Emmanuel BAS et à Bernard BACHIMONT



22 juin 2012 = Assemblée Générale

Exceptionnellement, la séance fut ouverte vers 19 heures pour se terminer vers 20h 30.

Le fait le plus marquant fut certains changements de postes au bureau, donc :

Le nouveau président est et le vice président est

Gérard Emmanuel

WYRZYKOWSKI BAS

Bien sûr, l’ancien président Claude Darroux restera au Bureau et au club, comme membre d’honneur.

A ce changement de poste, un hommage « poétique » leurs fut adressé :

A Claude DARROUX .

Au tout début, vous êtes arrivé comme simple membre, et vous avez appris les arcanes du diaporama.

Durant quelques années, vous progressez dans l’art du diaporama argentique, et sa technicité. Vous nous faites

découvrir un monde rapproché, avec « Impressions sur Bois », puis ces contrées inhospitalières, avec le

documentaire sur « Yellowstone », puis, toujours en diapositives, nous atterrissons dans un autre monde, avec

« ANTHARES II ».

Les concours interrégionaux vous remarquent ainsi que le prix de la « Coupe Lumière », une création pour

l’encouragement dans le diaporama, créée par notre Club.

Vous avez été sollicité à ce poste, à la suite du défunt Mr BAGROS, et cela perdura durant de nombreuses

années. Tous les membres, les anciens et les plus récents, sont unanimes sur le fait :

1- que vous avez toujours tenu ce poste « phare » avec dévouement,

2- faisant toutes les démarches avec spontanéité,

3- avec ce relationnel qui vous va si bien,

4- avec cette minutie de réussir un spectacle audiovisuel, grâce à votre gentillesse

5- d’avoir une complicité avec le public ou les responsables de la mairie

6- et surtout avez maintenu une convivialité naturelle au sein du club.

C’est aussi cela qui a fait la réputation de notre club.

Mais, au fait, depuis combien de temps étiez-vous à ce poste ? Peu importe, car

Après tout ce temps

dont le temps a perdu son temps

à savoir tout le temps ou vous êtes resté

vous avez passé le flambeau,

tout simplement.



Nous souhaitons que vous restiez avec nous, pour nous ravir de belles images. Aussi, c’est avec une émotion

certaine, que tous, en mon nom, nous vous disons :

MERCI, Mr le PRESIDENT

MERCI, Mr Claude DARROUX ,

Pour toutes ces années passées ensemble.

Je ne voudrais pas finir cette soirée, sans accueillir les nouveaux élus, au sein du club.

En effet, Mr Gérard WYRZYKOWSKI, est devenu le nouveau Président de CLIC TRIEL .

Il rejoindra ainsi les Présidents illustres qui ont servi le Photo Club de Triel sur Seine.

Je rappelle aussi

que CLIC Triel, c’est

* un club près de Poissy

* une bonne camaraderie

* des galas réussis

* et sa responsabilité aujourd’hui

* sera ici

* pour Mr WYRZYKOWSKI.

Faisons-lui bon accueil, et comme disait mon père : Faites aussi bien, … sinon mieux !

Mais que vois-je ? Dans l’ombre de Mr le Président, s’avance déjà le Vice Président.

L’année 2012 fût la saison des Présidents. Rappelons que le Président de la France a plafonné le salaire des

Présidents ainsi que leurs parachutes dorés !, il en sera de même pour ceux de CLIC Triel !

Que notre président de CLIC Triel et son Vice Président aient à cœur de maintenir le club CLIC Triel à un haut

niveau de compétence dans l’art photographique et dans l’audiovisuel.

Bravo à Gérard WYRZYKOWSKI et à Emmanuel BAS pour la prise de leurs nouvelles fonctions à

www.clictriel.fr

Vers la fin Juin, le pot de clôture du club finissait la saison 2011-2012.

On vous donc à tous : A la saison prochaine !

Le secrétaire

Philippe MASSON

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