Le métier de projectionniste

Les études

Les différents cinémas

Le salaire

Le Le REX

Les études de Marine

Elle a tout d'abord fréquenté le collège

Elle est entrée au lycée où en classe de première elle a du choisir une filière: la filière Littéraire . A l'âge de 18 ans elle entra à l'université pour y passer une licence d'histoire qu'elle obtint au bout de 3 ans.

Elle eut l'idée de passer le concours d'institutrice mais en vain, elle a arrêté au bout de deux échecs.

C'est à ce moment qu'elle se rappela les après-midis où sa grand-mère l'emmenait au cinéma : elle développa alors son amour pour celui-ci . Elle eut ainsi l'idée de passer un CAP pour devenir projectionniste.

Les différents cinémas

Au bout d'un an et demi de CAP, on lui proposa un contrat pour travailler au multiplex (le CGR de Blagnac) mais seulement deux jours par semaines, elle devait rester en permanence dynamique pour gérer les 15 salles (enclencher les projections ).

Puis, suite à une proposition plus intéressante, elle changea de secteur pour aller à Agen dans un cinéma art et essai qui est un cinéma de réflexion, de recherche, de fiction . Elle revint ensuite à Blagnac, là où tout avait commencé pour, cette fois-ci, travailler au REX qui est un à la croisée du cinéma art et essai et du cinéma grand public.

Ce qu 'elle aime au Rex c'est la part de responsabilité qu'on lui attribue; En effet, c'est elle, en compagnie de ses collègues qui choisit les courts-métrages et la programmation des films. Elle a aussi la possibilité d'organiser des rencontres scolaires et avec les maisons de retraites. C'est grâce à ces échanges qu'elle ne regrette pas le métier d'institutrice (mise à part pour les horaires).

Le REX

Programmation des films

Rencontre avec les scolaires

Ce qu 'elle aime au Rex c'est la part de responsabilité qu'on lui attribue; En effet, c'est elle, en compagnie de ses collègues qui choisit les courts-métrages et la programmation des films.

Elle a aussi la possibilité d'organiser des rencontres scolaires et avec les maisons de retraites. C'est grâce à ces échanges qu'elle ne regrette pas le métier d'institutrice (mise à part pour les horaires).