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Le modèle de Lotka-Volterra

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Le modèle de Lotka-Volterra. Version Volterra. Croissance exponentielle proies x en absence de prédateurs Décroissance exponentielle des prédateurs y en absence de proies - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 2: Le modèle de Lotka-Volterra

• Croissance exponentielle proies x en absence de prédateurs

• Décroissance exponentielle des prédateurs y en absence de proies• L’ « interaction » proies-prédateurs est proportionnelle au nombre de

rencontres entre les deux espèces, donc à leurs densités respectives

(les coeff. B et D sont différents car la disparition d’une proie n’entraîne pas de facto la naissance d’un prédateur)

Version Volterra

Page 3: Le modèle de Lotka-Volterra

Version Lotka

Z + X 2X

Y + X 2Y

Y W

k1

k2

k3

k2 = B

k3 = C Si [Z] >> [X]alors k1Z=cste=A

dx= x - xy

dtdy

= - y + xydt

A B

C B

Modèle de Lotka-Volterra

Page 4: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 5: Le modèle de Lotka-Volterra

Etats stationnaires(1 ) ( , )

( 1) ( , )

duu v f u v

ddv

v u g u vd

( , )

( , )

0

0

duf u v

ddv

g u vd

1ère solution :

( , ) 0 00 (1 )

2

f u v où

états stationnaire

u v

s

( , )

( , ) 0

0

0

alors g u v v

donc g u v s

u

vi

Premier état stationnaire : u0=0, v0=0

2ème solution : ( , ) ( 11

1

)

( , ) 0

alors g u v u

donc g u s uv

v

i

Deuxième état stationnaire : u0=1, v0=1

Page 6: Le modèle de Lotka-Volterra

0 0

0 0

f f

u v

g g

u v

Analyse des modes normaux

(1 ) ( , )

( 1) ( , )

duu v f u v

ddv

v u g u vd

Matrice jacobienne

1f f

v uu v

g gv u

u v

Eléments de la jacobienne

0(1) 0(1)

0(1) 0(1)

1 0

0

u v

u v

f f

u v

g g

u v

Jacobienne à l’état stationnaire 1 (u0=0, v0=0)

0( 2) 0( 2)

0( 2) 0( 2)

0 1

0

u v

u v

f f

u v

g g

u v

Jacobienne à l’état stationnaire 2 (u0=1, v0=1)

Page 7: Le modèle de Lotka-Volterra

Analyse des

modes normaux

0(1) 0(1)

0(1) 0(1)

1 0

0

u v

u v

f f

u v

g g

u v

Jacobienne à l’état stationnaire 1 (u0=0, v0=0)

Trace de la jacobienne :0(1) 0(1)

1u v

f gtr

u v

Déterminant de la jacobienne :0(1) 0(1) 0(1) 0(1)u v u v

f g g f

u v u v

2( ) . 0D R R Tr R Equation caractéristique :

2 22 4 1 4 1tr Discriminant de l’équation caractéristique :

La constante étant toujours positive, est négatif, ce qui signifie que les deux racines R1 et R2 sont de signes contraires.

L'état stationnaire est donc instable et de type point de selle. Les trajectoires s'écartent de cet état.

56

Page 8: Le modèle de Lotka-Volterra

Analyse des

modes normaux

Jacobienne à l’état stationnaire 2 (u0=1, v0=1)

Trace de la jacobienne :

Déterminant de la jacobienne :

2( ) . 0D R R Tr R Equation caractéristique :

Discriminant de l’équation caractéristique :

Le discriminant étant toujours négatif, l'équation caractéristique admet deux racines toujours imaginaires. La constante étant toujours positive, est positif. La trace est toujours nulle.

L'état stationnaire est un centre (cas très particulier). Les trajectoires sont (dans le système linéarisé) des cercles centrés sur l'état stationnaire.

0( 2) 0( 2)

0( 2) 0( 2)

0 1

0

u v

u v

f f

u v

g g

u v

0( 2) 0( 2)

0u v

f gtr

u v

0( 2) 0( 2) 0( 2) 0( 2)u v u v

f g g f

u v u v

2 4 4tr

32

Page 9: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 10: Le modèle de Lotka-Volterra

Sensibilité du modèle de Lotka-Volterra aux conditions initiales

Page 11: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 12: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 13: Le modèle de Lotka-Volterra

Pye, 1971

Extrait S. carlbergensis Milieu de culture : tréhalose

Page 14: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 15: Le modèle de Lotka-Volterra

Influence de la vitesse d’injection du substrat

Page 16: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 17: Le modèle de Lotka-Volterra

+PS

vPFK

1PFK

0M

v (1 )

V (1 )(1 )

n

nn

L

Page 18: Le modèle de Lotka-Volterra

+PS

vPFKvin vout

PFK M20

2

out

in in

α(1+α)v = V Ψ(α, γ) avec Ψ(α, γ) =

L+(1+α)

(1+γ)

v = k P

v = k

PFKin

outPFK

d S = v - v

dtd P

= v - vdt

Page 19: Le modèle de Lotka-Volterra

in M Mα

M α M γ

µ τ ρv V k V

t K λ V K V

= = = =k K

PFKin

outPFK

d S = v - v

dtd P

= v - vdt

= f(α,dα

= μ-Ψ(α, γ)dτdγ

= ρ λΨ(α, γ)-

γ)

= gγdτ

(α, γ)20

2

α(1+α)avec Ψ(α, γ) =

L+(1+α)

(1+γ)

Page 20: Le modèle de Lotka-Volterra

Etat(s) stationnaire(s) du système

= 0dα

= μ-Ψ(α, γ) dτdγ

= ρ λΨ(α, γ)-γ dτ

= 0

μ = Ψ(α, γ)

γ = Ψ(α, γ)

λ

*γ = λμ

** 2

α(1+α)= 0 μ-Ψ(α, γ ) = μ- = 0

L +(1+α)

d

d

* 2μL + μ(1+α) - α(1+α) = 0 * *

0 0L = L (1+γ ) = L (1+λμ)

soit

avec

** 2μ-1+ 1+4μ(1-μ)L

α =2(1-μ)

dont l’unique racine positive est :

Page 21: Le modèle de Lotka-Volterra

Analyse des modes normaux

dα= f(α, γ)

dτdγ

= g(α, γ)dτ

11 12

21 22

J ik

j f j fj

j g j g

2 211 22 11 22 12 21( ) ( ) 0 Tr 0r j j r j j j j r r

11 22 1 2Tr j j r r

11 22 12 21 1 2j j j j r r

2 2211 22 11 22 12 21 11 22 12 21Tr 4 4 4j j j j j j j j j j

Page 22: Le modèle de Lotka-Volterra

2

0

11 2 2

0 0

0

12 22

0

21

2αLf Ψ (1+γ)j = =- = - 1+ < 0

α α L + (1+α)(1+γ) L + (1+α)(1+γ)

2α(1+α)(1+γ)Lf Ψj = =- = - < 0

γ γ L + (1+α)(1+γ)

g Ψj = = ρλ =

α α

11

22 12

- ρλ j >0

g Ψj = = ρ λ -1 = -ρ λ j +1 >0 ou <0

γ γ

Analyse des modes normaux : déterminant de la jacobienne

* ** * ** * * *11 22 12 21

* * = j j - j j =dét = Δ 0-ρ λ -1 ρλ ρ

L’état stationnaire (*, *) ne peut donc être en aucun cas du type point de selle.

Page 23: Le modèle de Lotka-Volterra

* ** * *

11 22

0 0

tr j j

Analyse des modes normaux : trace de la jacobienne

20

11 2 2

0 0

0

12 22

0

21

2αLf Ψ (1+γ)j = =- = - 1+ < 0

α α L + (1+α)(1+γ) L + (1+α)(1+γ)

2α(1+α)(1+γ)Lf Ψj = =- = - < 0

γ γ L + (1+α)(1+γ)

g Ψj = = ρλ =

α α

11

22 12

- ρλ j >0

g Ψj = = ρ λ -1 = -ρ λ j +1 >0 ou <0

γ γ

Condition d’instabilité : Tr* > 0 soit

* *-1 -1λ ρ + 1

Page 24: Le modèle de Lotka-Volterra

Analyse des modes normaux : discriminant

2*2 ** ** * *2 * 2

0 0

disc tr 4dét ( ) 2

La valeur stationnaire du discriminant peut être positive ou négative. L’état stationnaire peut donc être, a priori, stable ou instable, de type « nœud » ou « foyer », selon la valeur des paramètres.

Page 25: Le modèle de Lotka-Volterra

1. 0 < µ < µ1() = 0.032144 tr* < 0, * > 0 nœud stable

2. µ1() = 0.032144 < µ < µ1

(tr) = 0.03598 tr* < 0, * < 0 foyer stable

3. µ1(tr) = 0.03598 < µ < µ2

() = 0.04098 tr* > 0, * < 0 foyer instable

4. µ2() = 0.04098 < µ < µ3

() = 0.3574 tr* > 0, * > 0 nœud instable

5. µ3() = 0.3574 < µ < µ2

(tr) = 0.4572 tr* > 0, * < 0 foyer instable

6. µ2(tr) = 0.4572 < µ < µ4

() = 0.5543 tr* < 0, * < 0 foyer stable

7. µ4() = 0.5543 < µ tr* < 0, * > 0 nœud stable

3

µ = 0.36

Page 26: Le modèle de Lotka-Volterra

1. 0 < µ < µ1() = 0.032144 tr* < 0, * > 0 nœud stable

2. µ1() = 0.032144 < µ < µ1

(tr) = 0.03598 tr* < 0, * < 0 foyer stable

3. µ1(tr) = 0.03598 < µ < µ2

() = 0.04098 tr* > 0, * < 0 foyer instable

4. µ2() = 0.04098 < µ < µ3

() = 0.3574 tr* > 0, * > 0 nœud instable

5. µ3() = 0.3574 < µ < µ2

(tr) = 0.4572 tr* > 0, * < 0 foyer instable

6. µ2(tr) = 0.4572 < µ < µ4

() = 0.5543 tr* < 0, * < 0 foyer stable

7. µ4() = 0.5543 < µ tr* < 0, * > 0 nœud stable

3

µ = 0.45

Page 27: Le modèle de Lotka-Volterra

1. 0 < µ < µ1() = 0.032144 tr* < 0, * > 0 nœud stable

2. µ1() = 0.032144 < µ < µ1

(tr) = 0.03598 tr* < 0, * < 0 foyer stable

3. µ1(tr) = 0.03598 < µ < µ2

() = 0.04098 tr* > 0, * < 0 foyer instable

4. µ2() = 0.04098 < µ < µ3

() = 0.3574 tr* > 0, * > 0 nœud instable

5. µ3() = 0.3574 < µ < µ2

(tr) = 0.4572 tr* > 0, * < 0 foyer instable

6. µ2(tr) = 0.4572 < µ < µ4

() = 0.5543 tr* < 0, * < 0 foyer stable

7. µ4() = 0.5543 < µ tr* < 0, * > 0 nœud stable

2

µ = 0.55

Page 28: Le modèle de Lotka-Volterra

Méthode des isoclines nulles

= 0dα

= μ-Ψ(α, γ) dτdγ

= ρ λΨ(α, γ)-γ dτ

= 0

μ = Ψ(α, γ)

γ = λΨ(α, γ)

Page 29: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 30: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 31: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 32: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 33: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 34: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 35: Le modèle de Lotka-Volterra

Première loi de Fick : le flux matériel J (cellules, concentration, nombre d’individus appartenant à une population, etc.) est proportionnel au gradient de « concentration » de ce matériel, ce qui, dans un espace à une dimension, s’exprime mathématiquement par :

c cJ J D

x x

D ( coefficient de diffusion) a pour dimension [longueur]2[temps]-1 (cm2 sec-1 par exemple).

Deuxième loi de Fick :

2

2

c cD

t x

Equation générale d’un processus de réaction-diffusion :

2

2( )

c cf c D

t x

(diffusion à une dimension)

Page 36: Le modèle de Lotka-Volterra

Réaction – diffusion à une dimension :

Formalisme plus général :

2( )

c

f c D ct

2

2( )

c cf c D

t x

avec, dans le cas d’une diffusion monodirectionnelle :

22

2

c

cx

Cas général d’une diffusion à 3 dimensions :

2 2 22

2 2 2

x y z

c c cD c D D D

x y z

Page 37: Le modèle de Lotka-Volterra

2

1 12 22i i i

c DD c c c

x x

21, , 1 1, , 1 ,2

4i j i j i j i j i j

DD c c c c c c

L

Page 38: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 39: Le modèle de Lotka-Volterra

dα= μ - Ψ(α, γ)

dτdγ

= ρ λΨ(α, γ) - γ γdτ

21, , 1 1, , 1 ,4 i j i j i j i j i javec c c c c c

Page 41: Le modèle de Lotka-Volterra

Qu‘est-ce que le phénomène d’excitabilité ?

Dans quelles conditions paramétriques peut-il être observé ?

Pourquoi n’observe-t-on jamais qu’une seule vague (et non, par exemple, un train d’oscillations) ?

Pourquoi lorsqu’ils se rencontrent, les deux fronts de vague s’annihilent-ils (ce qui a pour conséquence de faire que chaque point du cortex est soumis une et une seule fois au passage de la vague) ?

Quel est le mécanisme expliquant la transmission d’une unité à l’autre de la fluctuation initiale (phénomène de relais) ? La transmission est-elle soumise à des contraintes paramétriques particulières ?

Page 42: Le modèle de Lotka-Volterra

L’excitabilité est une propriété d’un état stationnaire stable d’un système qui posséde au moins une isocline nulle ayant une branche de pente négative (forme en S). Dans la plupart des zones de pente positive, l’état stationnaire est très stable : le système ne peut amplifier un pulse de concentration.

Cependant, à mesure que l’état stationnaire s’approche de l’extremum de la branche stable passant par l’origine (0, 0), le système devient excitable, c’est-à-dire capable d’amplifier un pulse de concentration (ici ). La zone d’excitabilité est en général très étroite.

Page 43: Le modèle de Lotka-Volterra

Condition à l’excitation effective d’un système excitable : Pour que la fluctuation soit amplifiée, il faut que son amplitude dépasse un seuil. Le seuil diminue à mesure que l’état stationnaire soumis à la fluctuation approche le domaine instable.

L’excitabilité se définit ainsi comme la capacité d’un système à amplifier, au-delà d’un seuil, un pulse d’une de ses variables, à partir d’un état stationnaire stable.

Page 44: Le modèle de Lotka-Volterra

Trajectoire dans le plan de phase, suite à une excitation supraliminaire

Page 45: Le modèle de Lotka-Volterra

A= =0.4

Page 46: Le modèle de Lotka-Volterra

Perturbations et période réfractaire

= 0.2

= 0.4

= 2.0

seuil

Page 47: Le modèle de Lotka-Volterra

Période réfractaire annihilation de la vague

Page 48: Le modèle de Lotka-Volterra

Transmission de l’excitation d’une unité à l’autre, via la diffusion du calcium cytosolique

Programme VagueCaRelais

Existence d’une limite supérieure et d’une limite inférieure à la diffusion entre lesquellesle signal d’excitation amplifié est transmis entre unités corticales. Détermination des valeurs limites de pour lesquelles le relais se produit

(nb_cycles = 100)

Page 49: Le modèle de Lotka-Volterra

µ = 0.2 µ = 0.0333

Page 50: Le modèle de Lotka-Volterra

Tous les compartiments basculent dans un état oscillant : synchronisation des oscillations, en phase dans tous les compartiments

Programme VagueCaRelais

Un seul compartiment bascule dans un état oscillant : ondes concentriques en provenance d’un émetteur

Une rangée de compartiments basculent dans un état oscillant : vagues successives

Dans les 2 derniers cas, comment sont relayées les oscillations par les unités restées dans l’état excitable ?

Page 51: Le modèle de Lotka-Volterra

Programme VagueCaRelais

nb_cycles = 400; // NOMBRE DE FIGURES INTERMEDIAIRES DESIREES for cycle=1:nb_cycles//***** Terme de réaction : intégration numérique ********t=10; // temps d'intégration pour chaque cyclefor i=1:m

if i==m/2 then mu=0.2;else mu=0.0333; end;

Y1=ode([alpha(i);g_new(i)],0,t,paramecie);alpha(i) = Y1(1,1);g_old(i) = Y1(2,1);

end

ftp://ftp.u-psud.fr/pub/from-upsud/f2e79a0c/VagueCaRelais.sce

Page 52: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 54: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 55: Le modèle de Lotka-Volterra

Classiquement : la diffusion homogénéise

Turing : la diffusion peut engendrer des homogénéités en amplifiant des fluctuations locales et en créant une structurationpermanente de l’espace.

Page 56: Le modèle de Lotka-Volterra

Les vagues de calcium étudiées précédemment sont-elles des« structures de Turing » ?

NON : la vague ou les oscillations de calcium sont des structuresqui évoluent dans le temps (la concentration en un point del’espace n’est pas constante au cours du temps).

Une fois établie, une structure de Turing est au contraire stationnaire dans le temps et dans l’espace.

Page 57: Le modèle de Lotka-Volterra

Un système de réaction-diffusion est susceptible de présenter des phénomènes d’instabilité dépendants de la diffusion (ou instabilités de Turing) si son état stationnaire homogène est stable aux petites perturbations en absence de diffusion pour devenir instable aux mêmes petites perturbations lorsque la diffusion est présente.

dα= f(α γ) + D α

dτdγ

= g(α γ) + D γdτ

Système de réaction-diffusion

Page 58: Le modèle de Lotka-Volterra

dα= f(α γ) + D α

dτdγ

= g(α γ) + D γdτ

Page 59: Le modèle de Lotka-Volterra

d

dtd

dt

xAx Bxy

yCy Dxy

Exemple simple de modèle de Turing (développé à partir du modèle de Lotka-Volterra)

Proies, x

prédateurs, y

Dans la plupart des modèles de Turing, x et y sont présents au temps 0, mais il n’y a pas de flux d’entrée extérieur. On remplacera donc ici le terme Ax par une simple constante A

De plus, y est supposée pouvoir être détruite par un processus (noté etappelé "évocateur" par Turing) d’ordre 0, c’est-à-dire indépendant de y.

d 11

dt 16d 1

dt 16

xxy

yxy y

B = C = D = 1/16A = 1

Termes de réaction

Page 60: Le modèle de Lotka-Volterra

Exemple simple de modèle de Turing (développé à partir du modèle de Lotka-Volterra)

Termes de réaction

1 1

1 1

d 1 11 2

dt 16 4d 1 1

2dt 16 16

ii i i i i

ii i i i i i i

xx y x x x

yx y y y y y

Termes de diffusion(diffusion à 1 dimension)

Les valeurs des coefficients de diffusion de x et de y diffèrent d’un facteur 4.

Dans tous les compartiments : = 12 0.25

Page 61: Le modèle de Lotka-Volterra

X Y

Page 62: Le modèle de Lotka-Volterra

X Y

Page 63: Le modèle de Lotka-Volterra

X Y

Page 64: Le modèle de Lotka-Volterra

X Y

La valeur des coefficients de diffusion influe sur la longueur d’onde des patterns.

Dx multiplié par 2 Dy multiplié par 2

Page 65: Le modèle de Lotka-Volterra

Rythmes circadiens (Tyson, 1999)

Page 66: Le modèle de Lotka-Volterra

avec

Rythmes circadiens (Tyson, 1999)

Page 67: Le modèle de Lotka-Volterra
Page 68: Le modèle de Lotka-Volterra