Le periodique hiver2015

1Hiver 2015 - LE PÉRIODIQUE

Le no 1 des droits sociaux au Centre-du-QuébecPÉRIODIQUEle

Dossier criminalité

NO. 1 - HIVER 2015

AGENTS DE LA PAIX ÉGALEABUS DE POUVOIRQue se passe-t-il à l’établissement fédéral?

dans ce numéroPÉRIODIQUEle

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Dosier criminalité- Que se passe-t-il à l’établissment fédéral ! 3

- Potrait de la criminalité a Drummondville 4-5

- Historique de la peine de mort 6

- La prostitution à Drummondville 7

Consommation- La consommation en chiffre

Tabagisme, alcool et cannabis 8-10

Santé- Les maladies mentales 11-13

En bref !- Souveraineté et maternité 14

Opinions publics- Exprimer vous 15

2 LE PÉRIODIQUE - Hiver 2015


Depuis son ouverture, le pénitencier cumule les écarts de conduite. LE PÉRIODIQUE a appris que les agents de la paix forment un noyau dur autant à l’intérieur qu’à l’extérieur des murs. Questionné à propos d’harcèlement et d’intimidation l’administration pénitentiaire s’est contentée de répondre « lorsqu’ils savent (les agents correctionnels) qu’ils sont sous enquête généralement ils se tiennent tranquilles ».

Meurtres, agressions armées entre détenus, morts par surdose et du trafic illicite de drogues font partie du quotidien de l’établissement.

Les voies de fait, les menaces, l’intimidation et le harcèlement sont utilisés par les agents correctionnels versus les détenus.

Étant donné que l’administration se ferme les yeux, les agents correctionnels sont difficilement poursuivis pour des actes ayant eu lieu à l’intérieur des murs.

Un seul agent a été poursuivi et condamné pour des gestes commis hors de son milieu de travail (agressions sexuelles envers des enfants). D’autres employés(e) ont obtenu l’absolution inconditionnelle dans d’autres causes.

QUE SE PASSE-T-IL à L’ÉTABLISSEmENT fÉDÉRAL ?

Suite de la couverture

L’ÉTABLISSEmENT DRUmmOND EN DÉTAIL !

- Ouverture en 1984

- Établissement fédéral

- Établissement pour homme

- Niveau de sécurité moyen

- 369 place réparti dans 6 unités résidentielles

- 280 employés au total

L’agents de la paix Tous policiers confondus et agents correctionnels fédéral, Employés d’une prison provinciale, certains militaires. Il est en droit d’arrêter quiconque qu’il soupçonne de commettre un acte criminel. Il doit immédiatement indiquer la raison de son arresta-tion. Il peut menotter et fouiller un(e) suspect(e). C’est au citoyen de porter plainte s’il croit avoir subi un abus de pouvoir.

Le citoyen L’article 494 du code criminel permet à quiconque d’arrêter tout individu jugé suspect par rapport à un acte criminel. Un agent de sécurité à les mêmes pouvoir qu’un citoyen mais pas comme ceux d’un agent de la paix. Le citoyen qui procède à une arrestation doit immédiatement livrer la personne à un agent de la paix.

Établissement Drummond Dossier criminalité


Dossier criminalité Portrait de Drummondville

CRImINALITÉà DRUmmONDVILLE

Potrait de la

Étant l’une des villes du Canada où le taux de crimes rapportés versus le nombre d’habitants est élevé. D’après un sondage effectué auprès de victimes d’actes criminels au Centre-du-Québec, une grande insatisfaction est démontrée due à la non-résolution des crimes commis sur le territoire. Près de 75% des plaintes n’apportent rien aux victimes.

Par contre, il faut aussi prendre en compte que Drummondville est une ville qui n’a pas la même population de jours que de nuit. En effet, sa situation géographique fait en sorte que plusieurs personnes viennent de l’extérieur pour travailler, étudier, magasiner ou sont simplement présentes pour un simple arrêt. Cela peut aussi expliquer le très grand pourcentage d’insatisfaction des victimes, car si le malfaiteur a quitté le territoire il est plus difficile de le retracer.


Dossier criminalitéPortrait de Drummondville

Le CAVACLe CAVAC est un organisme qui vient en aide aux victimes d’acte criminel, aux proches des victimes ou bien aux témoins d’acte criminel. Le CAVAC vous aidera à surmonter les conséquences physiques, psychologiques et sociales et peut aussi vous aider dans vos démarches afin d’obtenir une indemnisation.

Pour plus d’informations 50, rue Dunkin, Bureau 302 [email protected]

Téléphone : 819 472-1110 ou 1 888 472-1110

Commun AccordCommun Accord est un organisme de justice alternative qui participe à la gestion et à l’application de la loi sur le système de justice pénale des adolescents. Dans ce contexte l’organisme offre trois mesures: la répa-ration envers les personnes victimes et la communauté et le développe-ment des habilités sociales.

Pour plus d’informations 948 boul. St-Joseph #101 [email protected]

Téléphone : 819 477-5836

Le SAPCLe Service d’aide en prévention de la criminalité est un organisme a pour mission d’aider les contrevenants(es) à réintégrer la société, mais aussi à prévenir la délinquance auprès de la population. Il est important de sen-sibiliser la population afin de prévenir efficasement les problèmes de criminalité dans le futur.

Pour plus d’informations 405, rue st-jean sabd @qc.aira.com

Téléphone : 819 479-8417

Malgré l’insatisfaction des victimes, certains organismes sont présents à Drummondville afin de leur venir en aide et/ou à prévenir la criminalité dans la population.


Petit historique Peine de mort

LA PEINE DE mORT AU CANADA

1998

1987

1976

1967

1962

1859

1961

1859Entrée en vigueur de la peine de mort dans le Code criminel. Les personnes ayant commis entre autres un meurtre, un viol, un incendie criminel, une trahison étaient punis par la peine de mort.

11 décembre 1962Arthur Lucas et Robert Turpin furent les 709e et 710e personnes exécutées au Canada. Ils furent les dernières.

1998La peine de mort a été abolie, même pour les crimes militaires.

14 juillet 1976La peine de mort pour les meurtres ordinaires a été abolie par une faible majorité des députés.

*La loi a été adoptée une journée avant la pendaison prévue de 11 détenus.

1961Le seul crime pouvant mener à la peine de mort était le meurtre. Tous les autres ayant été retirés de la loi.

1967Un projet de loi a été adopté par le Parlement sous le gouvernement libéral de Lester B. Pearson en vue d’instaurer un moratoire stipulant que seul le meurtre d’un policier pouvait conduire à la peine de mort.

1987148 députés contre 127 députés ont voté en faveur du maintien de l’abolition de la peine de mort lors d’un vote sur le rétablissement de la peine de mort.

Historique

Le Canada fait partie des 140 pays ayant aboli la peine de mort dans le monde. Ce ne fut pas toujours le cas. En tout, 1 481 personnes ont été condamnées à la peine de mort et 710 de celles-ci ont été exécutées.

Depuis, le Canada a signé de nombreux traités internationaux sur l’abolition de la peine de mort et a supporté la résolution pour un moratoire sur l’application de la peine de mort des Nations Unies.


Prostitution

LA PROSTITUTION fÉmININE à drummondvilleFaits pour le moins étonnant les réponses obtenues lors d’un sondage émanent un taux élevé de favoritisme face à la prostitution. Les chiffres sortants approuvent à 65% l’engouement vers la légalisation de la prostitution.

Terminé les jugements diront certains. Ça ne coûte rien aux contribuables et ça rapporte à la société. Le plus vieux métier du monde est bel et bien présent dans nos rues.

La sollicitation se fait à partir d’une demande (raccompagnement automobile, produits de consommation, alcool, tabac, renseignements routiers, heure, argent etc..)

À propos des valeurs morales, ces femmes sont consentantes et souvent indépendantes par rapport aux agences. Par contre trop souvent elles sont aux prises de la pauvreté, la toxicomanie, l’alcoolisme et la maladie mentale.

Afin d’encadrer ce type d’activité, la légalité est attendue depuis longtemps et les travailleuses du sexe attendent toujours des réponses du gouvernement.

Êtes-vous pour ou contre la légalisation de la prostitusion ?

Ce qui touche le domaine social on est là! LE PÉRIODIQUE

65 % pour 28 % contre 7 % de sais pas

Dossier criminalité


Consommation Les grandes lignes

Pour ou contre la légalisation de la marihuana? Répondez en ligne sur notre site web.

TAbAC Les fumeurs de tabac sont constamment en déclin depuis une quinzaine d’années dans le Centre-du- Québec. Chez les jeunes c’est de moins en moins populaire. Ils sons sensibilisés aux effets néfaste du tabac.

ALCooL Sous toutes ses formes l’alcool est très populaire chez les jeunes et les moins jeunes. Faisant parti de la culture québécoise, elle n’est pas sans risque sur la santé. Sa consommation ne cesse d’augmenter chez les 30 ans et plus et semble rester stable chez les 30 ans et moins.

CAnnAbiS Au Centre-du-Québec, la consommation de cannabis est loin du déclin les utilisateurs de cannabis ne cessent d’augmenter années après années dans toutes catégories confondues.

LES hABITUDES DE CONSOmmATION DE NOS jEUNES


La consommation en chiffre Consommation

STaTISTIQUE LE TabagISmE

Groupe d’âge

Taux de tabagisme

Différences entre les sexes

Jeunes (15 à 19 ans)

Environ 11 % des jeunes étaient des fumeurs actifs en 2012, ce qui représentait le plus faible taux de tabagisme pour ce groupe d’âge depuis que Santé Canada a commencé à évaluer la prévalence du tabagisme.

Le taux de tabagisme pour ce groupe d’âge était semblable à celui de 2011, mais il a quand même grandement diminué puisqu’il était de 22 % en 2001.

Un peu plus de jeunes garçons (12 %) que de jeunes filles (9 %) étaient des fumeurs actifs.

Jeunes adultes (20 à 24 ans)

Environ 20 % des jeunes adultes étaient des fumeurs actifs.

Le taux de tabagisme pour ce groupe d’âge était semblable à celui de 2011, mais il a quand même diminué puisqu’il était de 32 % en 2001.

Plus d’hommes (23 %) que de femmes (17 %) étaient des fumeurs actifs.

adultes (25 ans et plus)

Environ 16 % des adultes étaient des fumeurs actifs.

Le taux de tabagisme pour ce groupe d’âge était fon-damentalement le même que celui de 2011. Cepen-dant, il a baissé puisqu’il était de 21 % en 2001.

Plus d’hommes (19 %) que de femmes (14 %) étaient des fumeurs actifs.

Source: http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-101/what-is-a-risk-factor/tobacco/canadian-tobacco-statistics/?region=on#ixzz3KmJbutl7

tabagisme, alcool, cannabis

LA CONSOmmATIONEN ChIffRE


Consommation La consommation en chiffre

En 2012, 78,4 % des Canadiens ont déclaré avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois, un taux semblable à celui de 2011 (78,0 %). Toutefois, il y a eu une baisse de la consommation d’alcool chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans dans l’année précédant l’enquête par rapport à l’ETC de 2004 (82,9 % en 2004 par rapport à 70,0 % en 2012). Comme par les années passées, en 2012, un pourcentage plus élevé d’hommes que de femmes a déclaré avoir consommé de l’alcool au cours des 12 derniers mois (82,7 % par rapport à 74,4 %, respectivement), tandis que la prévalence de la consommation d’alcool était plus élevée chez les adultes de 25 ans et plus (80,0 %) que chez les jeunes (70,0 %).

Le taux de consommation dans les provinces varie de 72,3 % en Nouvelle-Écosse à 82,1 % au Québec. La prévalence de la consommation d’alcool au cours de la dernière année pour chaque province a été comparée à la prévalence moyenne des neuf autres provinces. Trois provinces affichaient un taux de prévalence inférieur à la moyenne (Nouvelle-Écosse, Nouveau-Brunswick [73,8 %] et Île-du-Prince-Édouard [74,0 %]), tandis que la prévalence de la consommation d’alcool au cours des 12 derniers mois était plus élevée au Québec. La prévalence de la consommation d’alcool au cours de la dernière année par rapport à 2011 n’a changé pour aucune province.

En 2012, la consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois chez les Canadiens de 15 ans et plus était de 10,2 % , inchangé par rapport à 2011 (9,1 %), mais plus faible qu’en 2004 (14,1 %). Il y a eu une augmentation de la prévalence de la consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois chez les adultes de 25 ans et plus (8,4 % en 2012 par rapport à 6,7 % en 2011) et aucun changement par rapport à 2011 chez les jeunes de 15 à 24 ans. Toutefois, la prévalence de la consommation de cannabis au cours des 12 derniers mois chez les jeunes demeure plus élevée que chez les adultes (20,3 % par rapport à 8,4 %). La première consommation de cannabis chez les jeunes s’est faite plus tard en 2012 qu’en 2011 (16,1 ans par rapport à 15,6 ans).

En 2012, la prévalence de la consommation de cannabis dans la dernière année a diminué comparativement aux données de 2004 chez les hommes (13,7 % par

rapport à 18,2 %), chez les femmes (7,0 % par rapport à 10,2 %) et chez les jeunes de 15 à 24 ans (20,3 % par rapport à 37,0 %). La prévalence chez les hommes demeure deux fois plus élevée que chez les femmes (13,7 % par rapport à 7,0 %, respectivement), et celle chez les adultes de 25 et plus n’a pas changé entre 2004 et 2012.

La prévalence provinciale de la consommation de can-nabis au cours de la dernière année varie de 8,5 % au Nouveau-Brunswick à 13,8 % en Colombie-Britannique. Entre 2011 et 2012, il n’y a eu aucune variation dans les taux de consommation de cannabis dans les prov-inces. La prévalence de la consommation de cannabis au cours de la dernière année pour chaque province a été comparée avec la prévalence moyenne des neuf autres provinces. Parmi celles-ci, seulement la Colom-bie-Britannique affiche une prévalence supérieure à la moyenne.

STaTISTIQUE SUR L’aLCOOL

STaTISTIQUE SUR LE CaNNabIS

http://www.hc-sc.gc.ca/hc-ps/drugs-drogues/stat/_2012/summary-sommaire-fra.php#s2 http://www.hc-sc.gc.ca/hc-ps/drugs-drogues/stat/_2012/summary-sommaire-fra.php#s3


Les maladies mentales Santé

les mALADIES mENTALESAu Québec la maladie mentale est rependue d’un bout à l’autre de la Province. Plus particulièrement au Centre-du-Québec (ratio nb d’habitants) où elle est omniprésente. Les troubles anxieux dépressifs, personnalité limite et de distorsion cognitive ont grimpés en flèche depuis la dernière décennie. C’est tellement négatif que les psychiatres ne se donnent même plus la peine d’étudier en profondeur les dossiers des patients. Surchargé de travail, les drogues y sont pour quelque chose. Les psychiatres sont encore à l’étape de l’expérimentation même si ces phénomènes sont étudiés par des universitaires depuis plus de 50 ans.

L’expertise médicale est offerte aux groupes d’état et ministères les plus en vue. Automatiquement les psychi-atres y vont comme suit :

TyPe de ConSommATion FréquenCe TroubLe ASSoCiéConsommation de cannabis sur une base régulière Anxiété, distorsion cognitive

Consommation de cocaïne 1 fois et plus dans une vie Distorsion cognitive, paranoïa, anxiété

Consommation de LSD, PCP 1 seule fois schizophrénie, paranoïa, dépression, anxiété

Consommation d’amphétamines Distorsion cognitive, bipolarité, anxiété

Tout ça accompagné de carence vitaminique, manque de sommeil et consommation abusive.


Santé Les maladies mentales

AnxiéTéTout le monde éprouve un jour ou l’autre de l’anxiété. Ressentir un peu d’anxiété est tout à fait normal. L’anxiété nous protège et peut nous aider à faire face à une situation inquiétante ou peut-être dangereuse. L’anxiété est ressentie comme une crainte dont la cause est difficile à préciser. Ce sentiment s’accompagne de symptômes physiques et parfois aussi de symptômes psychologiques.

déPreSSionLa dépression est une condition handicapante qui peut retentir sur le sommeil, l’alimentation et la santé en général avec notamment un risque de suicide, ainsi que sur la famille, la scolarité ou le travail. La dépres-sion (également appelée dépression caractérisée, dépression clinique ou dépression majeure) est un trouble mental caractérisé par des épisodes de baisse d’humeur (tristesse) accompagnée d’une faible estime de soi et d’une perte de plaisir ou d’intérêt dans des activités habituellement ressenties comme agréables par l’individu.

PerSonnALiTé LimiTeLe trouble de la personnalité limite (TPL) est une maladie mentale caractérisée par une instabilité émotionnelle. Les individus aux prises avec ce trouble ont du mal à maîtriser leurs impulsions et à maintenir des relations interpersonnelles.

Démystifier LES SEPT mALADIES mENTALES


SantéLes maladies mentales

diSTorSion CoGniTiVeLe terme distorsion cognitive a été défini comme désignant des façons de traiter l’information qui résultent en erreurs de pensée prévisibles et qui ont souvent pour conséquence d’entretenir des pensées et des émotions négatives. Les distorsions cognitives contribuent ainsi aux troubles émotionnels tels que la dépression et l’anxiété ainsi qu’aux troubles de la personnalité.

biPoLAriTéLes troubles bipolaires, qui sont aussi connus sous le nom de psychose maniacodépressive, sont des maladies qui entraînent des dérèglements de l’humeur se manifestant par des phases tant de dépression que d’excitation (manies). Ces phases apparaissent soit en réaction au stress, soit sans raison apparente et peuvent être d’intensité variable et s’entrecouper de périodes de stabilité. C’est une condition médicale qui est caractérisée par des changements dans le fonctionnement du cerveau.

SChizoPhrénieLa schizophrénie est une maladie mentale qui peut être sévère et persistante. La maladie se manifeste par des épisodes aigus de psychose, suivis de divers symptômes chroniques. Le début de la maladie peut être progressif, s’étalant sur quelques semaines ou quelques mois. Dans bien des cas, la schizophrénie fait son apparition de façon tellement insidieuse et graduelle que les personnes qui en sont atteintes, ainsi que leur famille, prennent parfois beaucoup de temps à s’en rendre compte. Elle peut aussi apparaître très soudainement.

PArAnoïALa paranoïa est un trouble mental manifesté par des difficultés relation-nelles, des troubles du comportement et un sentiment de persécution pouvant aller jusqu’à un point d’irrationalité et de délire (délire paranoïaque). La pensée paranoïaque inclut typiquement des croyances de persécution liées à une menace perçue comme provenant des individus (jalousie, délires, etc.). Historiquement, cette caractérisation a été utilisée pour décrire un état délirant.


En bref ! Souveraineté et maternité

Il y a quelques années si la décision d’indépendance reposait sur les centricois, nous formerions un pays aujourd’hui.

Comparativement aux années antérieures, si des élections auraient lieu pour l’indépendance du Québec, il ne serait pas envisageable de faire du Québec un pays. En régression totale, l’idée de souveraineté du Québec continue sa chute libre.

Étonnement l’idée de devenir un état américain plaît d’avantage qu’une république. Cependant, les citoyens interrogés confirment le besoin fondamental de vouloir rester uni au Canada.

Maternité en hausse

TruC eT ASTuCe Pour une GroSeSSe PArFAiTe

Faire le point

SouVerAineTé oubLiée...

Au Québec le taux de natalité ne cesse d’augmenter. Alors, mesdames, nouvellement enceinte ou plus d’une fois? Tenez-vous en forme. Regardez les bons côtés et profitez-en pour vous donner l’énergie nécessaire le temps de votre grossesse. Mangez santé, bougez suffisamment et prenez de bonnes respirations.

Gardez le stress hors de vous. Bannissez les mauvais cholestérols et les stimulants tels que : café et cigarettes. Aussi évitez l’alcool et les sucres raffinés.

Pour un suivie de grossese à Drummondville:

Clinique médicale de la marconie 3525, Boulevard St-Joseph, bureau 201, Drummondville Téléphone : 819 850-0476

Centre de grossesse - Hopital Sainte-Croix 570, rue Heriot, Drummondville Téléphone : 819 478-6464 poste 24169

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Faites vous entendre

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- Partager votre opinion - Exprimer votre insatisfaction - Dénoncer une injustice - Faites sortir votre ras-le-bol !Le PÉRIODIQUE saura vous référer afin d’améliorer votre qualité de vie. Nous vous aiderons toujours à revendiquer vos droits sociaux.

1er - Rendez-vous au bureau de poste le plus près;

2ième - Remplissez un mandat-poste au montant de $ 34.00 taxes incluses au nom de KEBEX-MARKETEX

3ième - Insérez votre texte (maximum 150 mots) et votre mandat poste dans une enveloppe;

4ième - Envoyer le tout à cette adresse : KEbEX-maRKETEX C.P. 5 Drummondville Drummondville, QC, J2B 6V6

N’envoyez pas d’argent comptant ou de chèque. N’utilisez pas de carte de crédit ou carte de débit. Poste Canada est la façon la plus sécuritaire et garantie.

Nous nous réservons le droit de mettre au conditionnel s’il y a lieu, et de ne pas afficher des propos jugés in-appropriés. Si vous désirez vous pouvez laisser vos coordonnées et/ou un numéro de téléphone afin que l’on puisse vous contacter si nécessaire (facultatif). Affichage valide pour 3 mois après la réception.

Le Centre-du-Québec veut vous entendreEXPRIMEZ-VOUS!

Dans un CHSLD, une infirmière à fermée les yeux sur les agissements de deux préposées qui injuriaient mon parent. Ma plainte à abouti à rien. À quand l’encadrement sécuritaire en milieu hospitalier ? Quels recours avons-nous?

GUY D. Drummondville

Si j’étale ma vie privé c’est pour sensibiliser les parents qui ont vécus la même chose. Ma fille adolescen-te ayant démontrée des idées suicidaires, je la fais consulter d’urgence. À peine 24 heures s’est écoulées qu’elle était de retour à la maison (sans prescription et sans date de suivi). Plus tard dans la soirée elle s’automutilait gravement. Pourquoi les médecins en poste, n’ont pas sur voir venir cette situation? Qu’at-tendaient-ils ?

Une mère choquée qui vous dit de prendre au sérieux tous signes précurseurs. Interagissez avec les médecins dites vos opinions et gardez toujours une attention particulière sur ceux que vous aimez.

L.T. Drummondville

- Le mot du spécialiste à propos des CHSLD au Centre-du-Québec.

- Les animaux domestiques occupent-ils une place importante pour les centricois?

- Dossier D.P.J. une jeune fille forcée de se faire avorter.

- Ce que l’église a fait pour venir en aide aux peuples les plus opprimés.

- Surveillance urbaine et vie privée.

- Drogues et médicaments : Un fléau à Drummondville?

- Registre des agresseurs sexuels : Des citoyens veulent sa création.

- Entrevue choc exclusive : Un agent correctionnel.

- Avocats et aide juridique.

- Se promener voilé au Centre-du-Québec : une expérience dévoilée.

- Mort assistée.

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