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Promenade virtuelle
Le Quartier de la
Motte
Photos et textes rassemblés par
Pierre Pagès
Décembre 2012
Sur ce plan, on reconnaît la rue de Fer, la rue Emile
Cuvelier, la Rue Lucien Namêche, la rue des
Tanneries, la place l’Ilon, le cours du Houyoux, la
porte de Fer... Les rues portaient des autres noms
à l’époque., comme la rue des Fossés, la rue del
Motte, la rue Cuvier, la rue des Charrons...
Le quartier “del Motte” au 16è siècle
Nous laissons de côté toute la partie Nord du quartier, devenue depuis le quartier des Casernes et qui fera l’objet d’une autre promenade. Nous partons des Quatre Coins, vers la rue Emile Cuvelier. Nous empruntons ensuite la rue Julie Billiart jusqu’à la Place L’Ilon. Nous suivons la rue du Lombart vers la rue Jean-Baptiste Brabant qui nous ramène vers la rue des Tanneries. De retour à la place l’Ilon, Nous faisons un petit tour dans la rue d’Harscamp avant de revenir vers la rue Bas de la Place puis la rue de la Tour. Nous arrivons au Marché Saint-Remy, avant de longer la place d’Armes et de regagner les Quatre Coins via la rue de Marchovelette, la rue et la place de l’Ange.
Notre itinéraire
Emile Cuvelier
Né à Houdeng en 1816. Entrepreneur de travaux publics, il
mit sa compétence au service de la ville de Namur.
Conseiller communal (1866), échevin (1872), il devint
bourgmestre en 1879. On lui doit le parc Louise-Marie,
l’amélioration des boulevards de Meuse... Bienfaiteur, il fit
installer des chauffoirs publics lors d’un hiver glacial vers
1880. Il mourut en 1890 en ne laissant que des regrets.
L’entrée de la rue Emile Cuvelier, vue de la rue Saint-Jacques
Les commerçants aimaient se faire
photographier, avec leur famille et leurs
employés, devant leur entreprise. Ici, René
Malvaux et son personnel.
Quelques mètres plus
loin, à gauche,
l’actuelle Impasse des
Capucines s’appelait
ruelle de la prison, qui
avait été construite
s u r l ’ a n c i e n
emplacement du
c o u v e n t d e s
Capucines. L’institut
Saint-Louis occupe
actuellement les lieux
et l’Impasse des
Capucine et débouche
sur Le Jardin du
Mayeur.
C o m m e b e a u c o u p
d’établissements Horeca, la
taverne Chez Charles a cédé
la place à un autre
commerce.
Un peu plus loin dans la rue où les piétons étaient rois !
Le Café Parisien, qui fut
longtemps un des plus anciens
cafés namurois,... Aujourd’hui, il a
cédé la place à une agence
d’intérim !
Presqu’en face de la rue Pepin, un portail annonce
“Galerie Jardin d’Harcamp”. Si l’on regarde un peu plus
haut, on peut lire “Hôtel d’Harscamp”. En fait, c’était
l’entrée de feu l’hôtel d’Harscamp pour les attelages,
avec les “chasses-pierres” (celui de gauche est caché
par... une poubelle) pour éviter que les roues ne frottent
contre les murs.
Nous arrivons place du Théâtre que nous voyons sous deux angles différents... Le theâtre a été construit sur délibération du conseil de régence en 1823, sur l’emplacement de l’ancien couvent des
Annonciades, comme l’école industrielle communale, à gauche de la place. Le couvent des Annonciades avait été édifié en 1623 pour abriter l’Ordre Royal de la Sainte-Annonciade, fondé par Jeanne
de Valois, fille de Louis XI et épouse de Louis XII. Remarquons la verrière à armature métallique au dessus de l’entrée et la place
joliment fleurie...
On a construit cette chapelle,
d e s t y l e
Renaissance et dédiée à Julie
Billiart, en 1929. El le a été
consacrée en
1930 et détruite p a r l e s
bombardements du 18 août 1944 .
Julie Billiart (1751-1816) a
f o n d é l a
Congrégation des Soeurs de Notre-
Dame, à Amiens, avant de venir en
Belgique ou elle a
créé une école
Contrairement à ce qui a été édité dans certains ouvrages, le Royal n’a pas toujours connu la même enseigne, puisqu’il s’est appelé « Café de la Comédie », à cause du théâtre tout proche.
De la place du théâtre, vue sur la rue E. Cuvelier, et deux autres vues intéressantes: le beffroi et la place d’Armes, sujets qui seront abordés dans une autre promenade.
La bienfaitr ice Julie Billiart posède
aussi une rue à son nom, laquelle part de la place du Théâtre pour aboutir rue de G r a v i è r e . L ’ h ô t e l d e l ’ E s p é r a n c e , à l’arrière plan, a bien
évidemment disparu et la rue, rasée lors du dernier conflit mondial, a été rasée et reconstrite. Selon M. Dejollier, la première vitrine
était celle du poissonnier-traiteur A. Deniau ; au dessus de la seconde, on devine l’enseigne « Au Dragon d’Or ».
Au début de le rue Julie Billiart, salon de coiffure, fabricant de
cercueils et café de la poste ont été remplacés par un bâtiment
Côté rue de Gravière, certains bâtiments sont miraculeusement
restés debout...
Selon le tableau de Kegeljan, sa structure est restée la même avec le Houyoux à ciel ouvert, qui vient de la rue des Tanneries, à gauche, et passe prés de l’église St-Nicolas. A l’entrée de la rue des Tanneries, on voit l’hôpital.
La place L’Ilon
Tableau de Kegeljan
Rue du Lombard, les Soeurs
de Notre-Dame occupent les
lieux depuis 1857.
Situé également rue du Lombard, cet ancien Mont-de-piété (bâtiment
érigé au debut du 17e siècle), est devenu école des Beaux-Arts.
A droite, la rue du Lombard , à gauche la rue des Bourgeois...Ces
immeubles ont été démolis pour créer la percée de la rue J.B. Brabant.
Avant 1936, date à laquelle elle prit son nom définitif, le rue des Tanneries s'appellait ruelle ou impasse des Tanneries. Cette rue étroite était très particulière en ce sens que, comme on le voit sur cette photo, le Houyoux, qui suivait la rue à ciel ouvert, en occupait la moitié et fournissait la force motrice nécessaire aux moulins et au nettoyage des cuves des tanneurs qui s'étaient, tout naturellement, installés là depuis très longtemps. L'industrie namuroise de la tannerie s'arrêta en 1911, victime de la concurrence, et le Houyoux continua à couler à ciel ouvert jusqu' en 1926. Actuellement, quelques maisons datées du 18è siècle ont échappé à la démolition et à l'entrée nord de la rue, quelques bâtiments ont été (bien ) restaurés et sont utilisés dans l'horeca. Mais c'est encore une vieille rue typique du vieux Namur, comme la rue des Bouchers, la rue du Grognon et la rue de Brunswick qui ont pratiquement disparu.
Isabelle Brunell continue inlassablement à veiller sur l’institution qu’elle a
créée et sur le boulevard qui porte son nom...
La rue d’Harscamp innondée... Toute la partie gauche de la rue a été
totalement modifiée ces deniers temps.
La porte de Hoyoul fut construite en 1393 et détruite en 1730.
Haute et massive, elle possédait une horloge avec carillon et
était surmontée d’un clocheton.
Tableau de Kegeljan
En sortant de la rue Julie
Billiart, dans le quartier de
Gravière, une ancienne
porte attire l'attention du
passant...car il n'y a
pratiquement plus rien
derrière... A quoi servait-
elle donc ?
Au moyen-âge, les abbayes
étaient construites à la
c a m p a g n e m a i s
possédaient, dans la ville la
plus proche, une maison où
venaient se réfugier les
religieux avec les reliques
de leur saint patron et leur
trésor en cas d'insécurité;
ces maisons ont pris le nom
de "refuges". La porte qui
nous intéresse est le
dernier vestige de l'entrée
de l'ancien refuge de l'abbaye
de Floreffe.
Selon M.F. Courtois (Namurcum
n°2, 1940), les prémontrés de
Floreffe avaient un refuge à
Namur depuis le 13è siècle, près
de la porte de Hoyoul; on y
pénétrait par la rue des
Bouchers mais l'étroitesse et
l'insalubrité de cette rue ont
amené l'abbé Charles de Séveri
à déplacer l'entrée du refuge, au
17è
siècle. Après avoir agrandi le
domaine de l'abbaye, il fit
construire le porche en 1647. En
1650, on plaça une statue de la
Vierge au dessus de la voûte
d'entrée dans une niche prévue à
cet effet.
Le choix du sculpteur de cette
statue, le montois G. Hanicq,
...souleva les protestations des sculpteurs namurois.
A la révolution française, le domaine fut confisqué et vendu
comme tous les biens de l'Eglise.
Acheté par la famille Piéton, il fut exploité à titre de "malle-
poste" avant de devenir le siège d'une petite usine
appartenant à la famille André, et pour de nombreux
namurois, la porte devint "La Porte André".
Le 18 juin 1944 de sinistre mémoire pour les namurois, la
porte fut partiellement détruite et une réparation
incomplète en fit ce qu'on connaît maintenant.
Un petit détour dans la rue Bas
de la Place nous amène à l’endroit
d’où partait la rue de Brunswick.
Selon M. Courtoy, la rue de
Brunswick s’appelait rue Brusewis;
elle prolongeait, à gauche, la rue
des Bouchers et aboutissait au
plein milieu de la rue Bas de la
P l a c e .
Cette rue avait très mauvaise
réputation: elle était très étroite,
elle était insalubre, elle était
surpeuplée et la moralité n’y
existait pas...Ainsi, en 1876, la rue
de Brunswick comptait 9 maisons
habitées par 156 personnes, 77
de sexe masculin, 79 de sexe
féminin formant 31 ménages.
En 1898, une commission confirmait la situation: “Ces maisons, au
nombre de 12, sont exploitées d’après le même principe: placer le plus de monde sur le moins d’espace possible; par exemple, au café “Plazza”, les chambres étaient contigües et les mansardes
très basses; elles comprenaient jusqu’à 6 lits occupés chacun par deux hommes; l’air y faisait défaut”. Le 26 avril 1900, la rue de Brunswick, comme la rue des
Bouchers, était décrétée par le conseil communal comme une“rue à abriter des lupanars”.
Après la création de la rue Golenvaux, la rue de Brunswick débouchait presque au dessus de celle-ci, avant de disparaître complètement...
Le peintre Dandoy est pavenu à recréer l'ambiance très
spéciale de ancienne rue namuroise.
C’est grâce aux Fêtes de Wallonie
que les namurois ont réappris
l’existence de Marie Spilar : en effet, les organisateurs ont eu, il y
a quelques années, la bonne idée de
faire revivre, le temps d’une après-
midi, un personnage ou un groupe de personnes du passé namurois.
Ainsi ressuscita Dame Marie Spilar
dont on ne sait pas grand-chose
sinon qu’elle vécut en notre ville au 14è siècle et qu’elle donna son nom à
une tour de la 3è enceinte
urbaine.Au 19è siècle, elle a perdu de sa splendeur et n’est plus visible
par tous les namurois : entourée par
l’hôtel Hollande, par l’hôtel
d’Harscamp, elle était devenue la banale arrière-cuisine d’une maison
privée.
Le 18 août
1944, quand les bombes eurent achevé leur sinistre destruction, la tour réapparut,
abîmée mais debout, au milieu des ruines : les gens mal informés crièrent à la découverte, les historiens, familiers des vieux quartiers, dirent simplement : « C’est
la tour Marie Spilar. »
Construite à la fin du 14è siècle par le maître maçon Henri Mérial derrière la
propriété de Marie Spilar, d’où son nom, la tour faisait partie de la troisième enceinte de la ville ; comme, les autres tours du système défensif, à l’exception de la
tour Saint-Jacques, elle était semi-circulaire, offrant un pan droit côté intérieur et
une face arrondie vers l’extérieur.
Dans le bulletin du TCB du 15 juillet 1947, M. Augis écrivait à propos de la tour : « On vient de dégager la tour. Les urbanistes ont prévu son utilisation dans le plan de reconstruction de la ville.
Tant de vieilles maisons qui la cachaient ont disparu complètement qu’il serait regrettable de ne pas mettre en valeur ce vestige de la vieille ville. Une rue est projetée qui passerait au pied de la tour, mais du côté du pan droit qui
est certainement le moins intéressant. Réussira-t-on à en faire motif décoratif pour ce coin de Namur ? Il faut espérer que les architectes
résoudront ce problème avec élégance. » Les espoirs de M. Augis n’ont pas été vains et la tour est un modèle de restauration : les architectes ont poussé le souci du détail très loin : on peut
se rendre compte de la hauteur et de l’épaisseur du mur d’enceinte et de l’emplacement du chemin de ronde qui pénétrait dans la tour par l’ouverture semi-circulaire.
Pour créer la "Grande Place", on a rasé tous les immeubles qui s'élevaient entre les rues Cul d'Oisan et de la Vie Halle ou Martin de Sorinnes. Le tableau de Kegeljan représente la chapelle Saint-Remy à gauche de
laquelle sont appuyées quelques échoppes, le perron et le "kabaret" des échevins gardé par des militaires casqués. Les maisons à colombage de la rue Cul d'Oison contrastent avec l'hôtel en
briques, à droite, et les autres maisons de la rue de la Vie Halle.
La place Saint-Remy Tableau de Kegeljan
Laissons la place d’Armes, qui fera l’objet d’un travail particulier, sur notre droite,
pour arriver rue de l’Ange via la rue de Marchovelette dont vous voyez une
illustration.
Le bas de la rue de l’Ange avec des voitures roulant (?) ou garées à gauche !
Jolie photo de la très commerçante, déjà à l’époque, rue de l’Ange. La place n’est pas
encore créée. Ci-dessous, le même rue vue dans l’autre sens.
Avant les grands travaux, en débouchant de la rue de la Croix, après avoir traversé la rue de l’Ange, on arrivait sur une merveilleuse petite place que les pioches et les démolisseurs ont supprimée à tout jamais: le Marché aux Arbres. Dans, le fond, on y trouvait le prestigieux Hôtel d’Harscamp, qui a accueilli tant et tant de personnages célèbres et de têtes couronnées. Les quatre belles maisons de commerce, situées entre la rue de l’Ange et la rue de la Cloche suscitent également beaucoup de regrets...Il faut également admirer le réverbère “publicitaire” sur son îlot: dans la partie supérieure, on lisait :”Hôtel d’ Harscamp, Restaurant, Garage, et en dessous de la flèche: “Coiffeur”.
Un cortège des mythiques “DS19” devant le superbe hôtel d’Harscamp qui connut ses
heures de gloire aux 18è et 19è siècles avant de connaître le déclin suite à l’arrivée
du chemin de fer à Namur et à la construction de nouveaux hôtels place de la Gare.
La rue de la Cloche prenait naissance au marché aux poulets, à gauche du “Café Villageois Joseph Paye” et se terminait quelques dizaines de mètres plus loin, aux portes de l’hôtel d’Harscamp, a hauteur de l’antiquaire Demanet. Pour permettre l’élargissement de la rue de l’Ange, tous les immeubles du bloc ont été démolis; de ce fait, la rue n’avait plus qu’un seul côté et a perdu son appellation. Comme toujours en pareil cas, les avis sont partagés: on peut regretter la disparition de quelques beaux immeubles, mais la place est plus vaste et la rue plus large; de plus, en venant des Quatre Coins, on avait un joli coup d’oeil sur
l’hôtel d’Harscamp, lui aussi disparu depuis...
Partant des Quatre-Bras, la rue de l’Ange se terminait à l’extrémité ouest de la Grand-Place; il n’était pas encore question de place de l’Ange; en effet, un bloc de maisons se trouvait au plein milieu de la place actuelle. Côté “ange”, une petite place, le Marché aux Poulets, s’étendait jusqu’à l’extrémité du bâtiment des anciennes « Halles Centrales » (actuellement magasin de prêt à porter); à gauche des maisons de commerce commençait le rue de la Cloche, à droite, la rue de l’Ange se prolongeait. En face de la rue de la Croix, aux portes de l’hôtel d’Harscamp, une petite place portait le nom de Marché aux Arbres; enfin, la rue se prolongeait jusqu’à la Grand-Place. Les travaux de modernisation se déroulèrent en deux phases; l’élargissement, côté Quatre-Coins (la pioche a eu raison des deux premiers immeubles de la photo) et la démolition de l’ilot central. Le quatre septembre 1938, on inaugura officiellement le nouveau tronçon, avec, après la cérémonie officielle, “un grand bal sur un double plancher”...
D’après le plan dee 1848 dressé par Debarsy et Leroy.
1) Marché aux poulets 2) Rue de la Cloche
3) Marché aux arbres
4) Hôtel d’Harscamp
Le Marché aux poulets et une partie de la place avant les travaux.
Vers l’Avenir du 6/11/1924: “ L’un des plus jolis monuments est certainement la Pompe de l’Ange qui se dresse sur la petite place. Pompe de l’Ange est une façon de parler car elle a disparu. Elle portait le millésime 1790. Oeuvre de François Joseph Denis, elle était garnie jadis de volutes et d’acanthes. On a eu tort de l’enlever. Une pompe contre un monument explique l’origine de celui-ci et rend à nos ancêtres le témoignage qu’ils savaient joindre l’utile à l’agréable... “ En 1938, après la création de la Place de l’Ange, la Fontaine de l’Ange (on ne parle plus de pompe) a été déplacée en direction du centre de la place élargie.
Les immeubles juste avant leur démolition.
Le plan du 16è siècle nous permet de situer exactement la porte Saienial: elle se trouvait quelques mètres au delà des actuels "Quatre coins" juste avant la rue Haute-Marcelle. Commencée au 11è siècle, cette porte de la troisième enceinte ne fut terminée qu'au 14è siècle. Selon l'historien Gaillot, elle portait le nom de "Saignaux" parce qu'il y avait, à proximité, une écluse qui servait à "saigner" les eaux. Au 15è siècle, la porte fut endommagée par des innondations; suite à l'agrandissement de la ville,elle perdit sa qualité de porte pour servir d'arsenal puis de prison. Au dessus de la voûte d'entrée, il y avait, depuis 1412, une niche renfermant une statue de la Vierge; la légende veut qu'un condamné à mort enchaîné qui sortait par la porte pour subir son supplice invoqua la Vierge et miraculeusement, ses chaînes brisées tombèrent sur le sol et il fut grâcié. Le grenier de la porte servit d'espace de rangement pour les géants du carnaval et en 1728, la porte fut détruite pour construire la portion de route qui conduit à la place de l'Ange. On peut toujours voir la statue de la Vierge dans une niche aménagée dans la façade
d'une maison de la rue de l'Ange, au coin de la rue Haute-Marcelle.
Retour au point de départ avec, pour commencer, une belle vue sur la rue de
Fer (erreur sur la carte !)...
... et la célèbre photo “au policier”...
Amis visiteurs,
j’espère que cette promenade virtuelle vous a plu... Il
est évident que j’ai du choisir, très subjectivement,
parmi un grand nombre de photos. Celle-ci n’est que la
première promenade d’une série de cinq (au minimum !). Les autres, consacrées au quartiers des
Sarrasins, au quartier des Trieux, au “Vi Nameur” et
à la “Neuville” , sont déjà en préparation.
A très bientôt,
Pierre Pagès