Nous tenons à remercier tous les membres de notre association qui se sont présen-tés au colloque du 11 novembre dernier. Votre participation active nous a permis depoursuivre notre réflexion sur le dossier des caisses de retraite.

La prochaine année sera d’une grande importance pour notre regroupement et pourson exécutif car le dossier de l’indexation de nos rentes de retraite constituera pournous une priorité absolue.

L’année 2004 se termine et le mois de décembre signifie pour plusieurs une périodede joies, de festivités, de rencontres familiales et amicales, d’échanges de vœux,etc.

Je profite donc de cette période pour souhaiter à tous nos membres de très JoyeusesFêtes.

Joyeux Noël et

Bonne Année

Le temps de ...

Le temps de ...

Les retraités-es du 429 (SFMM) SYNDICAT DES FONCTIONNAIRES MUNICIPAUX DE MONTRÉAL (SCFP)

... se parler... se parler

sommairesommaire… SE PARLER - MOT DU PRÉSIDENT......1

… BRICOLER ..........................................2

… SE RENCONTRER ...............................3

MOTS CROISÉS.......................................3

… SE SOUVENIR ....................................4

... SE CULTIVER ......................................5

COLLOQUE ..........................................6-7

... DE CORRIGER UNE INJUSTICE ............8

… D’ÉCONOMISER +..............................9

… SOURIRE .........................................10

COMITÉ EXÉCUTIF ................................10

… SE DIVERTIR ...............................11-12

Prochaine parution............04-2005

Date de tombée............18-03-2005

VOL. 5 NO. 4 - 15 DÉCEMBRE 2004

u n

MOT DU PRÉSIDENT

COLLOQUECAISSE DE RETRAITE

VVOOIIRR RREESSUUMMÉÉ EENN PPAAGGEE CCEENNTTRRAALLEE

Prochaines parutions

de notre Journal

pour l’année 2005

DDaatteess ddee ppaarruuttiioonn DDaatteess ddee ttoommbbééee

Mi-avril 2005 18 mars 2005

Mi-juin 2005 16 mai 2005

Mi-octobre 2005 16 septembre 2005

Mi-décembre 2005 18 novembre 2005

d e u x

Voilà que s’est installé, petit à petit, lefroid et la froidure de la partie autom-nale de l’année.

La serre est terminée avec le chauffageet l’air climatisé, selon les saisons…lamadame est très contente et le mon-sieur aussi.

La construction du cottage est trèsavancée; nous sommes rendus à la fini-tion intérieure, telle que la pose deplancher de bois franc, de céramique,d’armoires de cuisine personnalisées,etc.

J’ai dû demander à ma douce com-pagne de faire le nécessaire autour dela maison pour se préparer à hivernercar les travaux de construction de lamaison de ma fille prenaient tout montemps et celui de mes deux garçons.

Heureusement, car si on ne se préparepas d’avance, les réparations coûtentcher le printemps venu.

Tout en travaillant dans des matériauxneufs, cela m’a fait penser à d’autrestrucs, comme celui de faire disparaîtreles égratignures sur les meubles vernisavant l’arrivée de la visite: faire unepâte avec un peu de café instantané etde l’eau et étendre sur les égratignuresavec un chiffon. Sans danger pour lesvernis, les égratignures disparaîtront enun clin d’œil.

Si c’est une brûlure de cigarette sur dubois que vous voulez faire disparaître,déposez du bicarbonate de soude(petite vache) sur la brûlure; ensuite,mouillez légèrement un chiffon propre,enroulez le autour de votre index etfrottez la brûlure doucement dans unmouvement circulaire. Répétez cetteopération tranquillement jusqu’à la dis-parition complète de la brûlure ou de latache.

En tant que grands-parents, nousaimons que nos petits-enfants restent àcoucher. Cependant, lorsqu’ils sontjeunes il peut arriver que durant leursieste ou le dodo de la nuit ils s’échap-pent et laissent des traces sur les drapset sur le matelas. Les draps peuventêtre lavés mais le matelas est difficile àentrer dans la lessiveuse. Donc, laver lematelas avec du peroxyde sur la partiequi est touchée et je vous garantis qu’ilne restera aucune odeur.

Si par contre, vous voulez simplementque votre matelas sente comme neuf,saupoudrez-le avec du bicarbonate desoude, attendez 20 minutes, passezl’aspirateur et répétez l’opération del’autre côté. Il sentira comme à la pre-mière journée, lorsque vous l’avez reçu.

Pendant que nous étions en train d’in-staller le gypse sur les murs et pla-fonds, je pensais à la poussière qui s’ac-cumule sur les meubles et un petit trucpour empêcher qu’elle ne colle : pourvotre époussetage, faites une eau avecun bouchon d’Hertel (produit nettoyant)liquide et un bouchon de Fleecy (assou-plisseur liquide). Passez un linge doux.Vous verrez que la poussière ne collerapas.

Lorsqu’on travaille à l’extérieur, onamène du café dans un thermos et ilarrive qu’une fine pellicule brune ounoire due au café couvre l’intérieur dela bouteille thermos; pour y remédier,remplissez complètement la bouteilled’eau froide et placez-y une pastilleeffervescente pour le nettoyage desdentiers. Simple et pas cher, ce net-toyage doit cependant se répéter assezsouvent si l’on désire garder le thermosimpeccable.

En parlant de thermos, mon chum Yvanest venu me donner un coup de maindans la construction de la maison dema fille. Il est très fiable pour faire la

plomberie, l’électricité et l’aluminium. Ilramasse tous les petits bouts de cuivreou d’aluminium pour les revendre etainsi faire du recyclage une tâchepayante.

Si on veut conserver un tampon à récu-rer (SOS) après s’en être servi, il faut leplacer dans le congélateur jusqu’à laprochaine utilisation.

Mardi dernier, un de mes garçons avaitles mains tachées de graisse ou d’huileaprès avoir travaillé sur les freins de savoiture. Qu’à cela ne tienne, pour lesnettoyer, il a créé une pâte enmélangeant du sucre blanc granulé etdu liquide pour laver la vaisselle, ets’est lavé les mains en frottant. Ensuiteil n’avait qu’à les laver comme d’habi-tude.

Après le travail, il faut relaxer. Si l’enviede jouer aux cartes vous prend et quevos cartes sont collantes, saupoudrez-les de poudre pour bébé et essuyez-lesavec un papier essuie-tout.

Enfin, rien de mieux pour faire partir lestaches sur le téléphone que de frotterune boule d’ouate imbibée d’alcool àfriction.

Pour les autres trucs et astuces, il faudraattendre la prochaine chronique car jedois continuer le travail sur le chantieret m’assurer d’entrer dans leséchéanciers prévus.

Comme Noël est à nos portes et que lanouvelle année arrive, j’en profite pourvous offrir mes meilleurs vœux de sai-son et vous serrer la pince. Que l’année2005 soit la plus prolifique pour vous etles vôtres et que la santé soit au ren-dez-vous!

Revenez-moi de bonne humeur audébut de l’année prochaine et continuezà m’écrire en grand nombre.

...de bricoler...de bricolerAndré Normand

CCHHRROONNIIQQUUEE DD’’UUNN BBRRIICCOOLLEEUURR AAVVEERRTTII

t r o i s

L’accueil des nouveaux retraités est maintenant devenu une tradition pournotre regroupement. Ainsi, le 6 octobre dernier, une soirée rencontre étaitorganisée conjointement avec le Syndicat des fonctionnaires municipaux(SFMM) pour recevoir les membres (Ville et CUM) qui avaient pris leurretraite entre le 1er février et le 31 mai 2004.

Après de courtes allocutions des représentants du Syndicat et du regroupe-ment, le trésorier du SFMM a offert aux nouveaux retraités un cadeau-souvenir très apprécié.

Par la suite les nouveaux membres ont rencontré les représentants du Comité exécutif et du Comité Temps de Vivre et échangéavec eux. La soirée s’est terminée avec un succulent goûter.

Bienvenue aux membres présents au 5 à 7 du 6 octobre 2004 :

Lise Archambault Luc Archambault Bernard Avon

Claude Beaudet Claude Beauregard Claude Danis

Céline Durand Thérèse Gauthier Manon Jean

Aimé Lapointe Paul Leblanc Jacques Mailloux

Diane Morin Monique Prescott

...se rencontrer...se rencontrerJean-Claude Campeau

HORIZONTALEMENT

1- On en voit beaucoup à Noël –Cadeau de roi

2- Parole d’enfant – On lesretrouve sous le sapin

3- Bordée de maisons – A sixfaces

4- États-Unis – Pronom5- Genre de musique – On y met

des lumières - Voyelles6- On y forme des cadres – Sauf

conduit – Ariane avait le sien7- Lié – Langue parlée en

Afghanistan8- Pronom espagnol – Période –

Circule en Europe9- On en fait peu en hiver –

Radon - Préposition10-À côté du poivre – Elle a guidé

des rois11- Est attendu par tous les

enfants12- Il ne suit pas toujours les

fêtes de famille – Animauxlents

VERTICALEMENT

1- Pronom indéfini – Pas beau-coup - Possessif

2- On en fait en traîneau 3- C’était son lit4- Tissu n’ayant subi aucune

teinture – Son chef vient demourir

5- Humeur désagréable - Infinitif6- Ville des Pays-Bas – Fixer avec

des amarres7- Issu – On la rencontre aux

Fêtes8- Possessif – Pas très gros –

Siège à New-York9- Plusieurs y passent Noël -

Atome10-Symbole chimique – Il danse

dans la cheminée – Pronomféminin

11- Pronom personnel – Reportéau pouvoir

12-Repas de la nuit de Noël

MOTS CROISÉS Yvon Beauchamp

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q u a t r e

Jusqu’à l’arrivée du Père Noël ( SantaClaus), vers la fin du X1Xe,l’Enfant-Jésus était présentéaux enfants comme lefournisseur principal descadeaux de Noël. S’ilsavaient été sages, ilspouvaient retrouverdans leur bas delaine des sucreries,diverses gâteries oudes jouets fabriquésartisanalement etplus tard, toute unevariété de jouets defacture industrielle.On note que la cou-tume du sapin deNoël, tout chargé debougies, serait d’origine alsacienne -coutume remontant chez eux à la pé-riode médiévale -, et aurait été intro-duite au Québec, en 1781, par ungénéral allemand venu soutenir lesAnglais dans leur lutte contre les parti-sans de l’indépendance américaine.

Quand arrivait le soir du 24 décembre,en carriole et au son des grelots ou àpied soit par les petites routes à traversla campagne enneigée, soit par les ruesde villes, la plupart des canadiens-français se rendaient en famille à lamesse de minuit. Les départs et retoursde la messe de minuit, rite traditionnel

par excellence du temps des fêtes, ontd’ailleurs inspiré les plus belles

illustrations de nos dessina-teurs du XXe siècle, telsHenri Julien et Edmond

Massicotte. Accompagnéede vieux cantiques de Noël,la messe dite bordelaise futla liturgie privilégiéejusqu’au milieu du XXe siè-cle. Une fois les vœuxéchangés et les invita-tions d’usage transmisessur le parvis de l’église,les gens retournaientvite chez eux pourréveillonner en famille.

La messe de minuit, la nuitde Noël, est sans contredit la plus vieilletradition transmise jusqu’à ce jourdepuis le début de la colonie française.Les échanges de vœux et deprésents, le matin du Jour de l’An,quoique mentionnés surtoutentre les communautésreligieuses ou les autoritésciviles du temps, sont aussinotés dès cette période ; lescadeaux alors offerts pou-vaient aller d’objets pieuxaux bouteilles d’eau-de-vieet aux victuailles, jusqu’auxmorceaux d’écorce de citronqu’on distribuait aux enfants sages.Marquée par une omniprésencereligieuse, la Nouvelle-France ne fêtaitfermement qu’à partir de Noël. Mêmeque Noël n’était qu’un événement gas-tronomique. Les soirées frivoles débu-taient avec le réveillon du Jour de l’An.Au lendemain, la coutume était d’aller,en matinée chez nos amis ou autres pa-rents, pour offrir nos meilleurs voeux.On s’amusait ferme. Un verre à la main,on se souhaitait une « Bonne etheureuse Année et le paradis à la fin devos jours!… » Comme en France, leséchanges de cadeaux se faisaient le pre-mier de l’an.

CCaannttiiqquueess dduu tteemmppss ddeess ffêêtteess

Les paroles des cantiques que nouschantons aujourd’hui furent composéespar l’abbé Simon Pellegrin ( 1663-1755)et publiées pour la première fois, à Parisen 1701.

MMiinnuuiitt cchhrrééttiieenn : C’est le 25 décembre1858, à la messe du jour, en l’égliseSaint-Jean-Baptiste de Québec, queRose-de-Lima Belleau-Pichette chantapour la première fois, au Québec, lecélèbre Noël d’Adam (1803-1856 ).

LLeess aannggeess ddaannss nnooss ccaammppaaggnneess : ce can-tique de Noël, originaire du Languedoc,était assez répandu à travers la Francedès le XIIe siècle, sous le titre de Échosde Bethléem ou le Message des angesou J’entends là-bas dans la plaine; lepremier couplet se chantait alors ainsi :

J’entends là-bas, dans la plaine,Les anges, descendus des cieux,

Chanter à perdre haleine,Ce cantique mélodieux

Publié pour la première fois àParis en 1842, ce cantique deNoël semble avoir été introduitau Québec vers la mêmeépoque. C’est ici qu’auraient été

composées les paroles que nouschantons aujourd’hui.

MMoonn bbeeaauu ssaappiinn :: Chant d’origine alle-mande. L’Allemagne fut le premier paysà adopter cette coutume annuelle de ladécoration d’un sapin de Noël. Cettecoutume nous fut transmise au Québecpar le général allemand Von Riedesel etsa famille, lors de leur aménagement àSorel, au mois de décembre de 1781. Cegénéral faisait parti des régiments venusau Canada pour repousser lesenvahisseurs américains.

Enfin, il y en a beaucoup d’autres...Joyeuses Fêtes à tous!

... se souvenir... se souvenirRoger Lagacé

Noël d’autrefois

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

1 O R N E M E N T S O R

2 N A C A D E A U X E

3 N R U E D E V

4 D U S M M E

5 P O P S A P I N O I

6 E N A A M A N F I L

7 U N I D A R I E L

8 E L E R E E U R O

9 V E L O R N E N

10 S E L E T O I L E

11 M P E R E N O E L

12 A D O R U N A U S

RÉPONSE DE LA GRILLE PAGE 3

c i n q

Existant depuis 20 ans, le comité culturel d’animation d’Anjouprésente, les mercredi soirs, des conférences à la salle d’ani-mation de la bibliothèque Jean Corbeil, située au 7500 rueGoncourt, Anjou. D’une durée de deux heures, ces con-férences débutent à 19h30.

Le coût est de 4 $ par personne par conférence et le station-nement est gratuit. Toutefois, Il y a également possibilité d’a-cheter une carte de membre valide de janvier à décembre2005, soit pour 26 activités.

LLee ccooûûtt ddee cceettttee ccaarrttee eesstt ::- Pour les résidants de l’arrondissement Anjou

10 $

- Pour les résidants des autres arrondissements de l’Ile deMontréal, avec la carte de citoyen de l’arrondissementd’Anjou10 $ + 3 $ (carte)

- Pour les résidants de l’Ile de Montréal sans carte de citoyend’Anjou et les personnes demeurant à l’extérieur de l’Ile deMontréal20 $

Vous pourrez vous procurer la carte de membre le mercredi,19 janvier 2005, de 13h30 à 15h30 et de 18h à 19h30 à lasalle d’animation de la bibliothèque d’Anjou (Jean-Corbeil),située au 7500 rue Goncourt. La carte de citoyen de l’ar-rondissement d’Anjou que vous pouvez faire faire à la biblio-thèque sera exigible au moment de l’achat de la carte demembre.

Pour plus de renseignements, on peut téléphoner au (514)352-8630.

Voici le détail des activités de la saison hiver-printemps 2005

19 janvier VENTE DE CARTES DE MEMBRES 200513h30 à 15h30 – 18h à 19h30

26 janvier AUX SOURCES DE VERSAILLES ; LE CHÂTEAU DE VAUX-LE-VICOMTEMichel Brunette, historien de l’artPrésentation visuelle

02 février L’EXOTISME DU LAOS ET DE SA CULTURECaroline Paul-Hus, exploratrice et bachelière enarchitecturePrésentation visuelle

09 février LA PAPESSE JEANNEPierre Boglioni, Ph.D.

16 février LES COURTISANES À PARIS AU IXe SIÈCLELise ChaillezPrésentation visuelle

23 février VICTOR-EMMANUEL II ET L’ITALIEMagali Deleuze, historiennePrésentation visuelle

02 mars CRAQUEMENTS ET RAIDEURSLE SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUEJean-Louis Brazier, Ph.D.Présentation visuelle

09 mars OPÉRA DE HANDEL« AGRIPPINA » LA FEMME DIABOLIQUEGuy Marchand, musicologueExtraits musicaux

16 mars JEAN-AUGUSTE-DOMINIQUE INGRES, PEINTRE(1780-1867)Michel Grenier, historien de l’artPrésentation visuelle

23 mars JOB OU LE PROCÈS DE DIEUJean-Pierre Prévost, docteur en théologique

30 mars LE VIOLONElaine Marcil, violoniste, membre du quatuorClaudel

06 avril RICHARD WAGNER (1813-1883)Claire Villeneuve, musicologuePrésentation visuelle et extraits musicaux

13 avril SOIRÉE JAZZReno de Stefano Ph, D., guitaristeRémi-Jean Leblanc, contrebassiste

20 avril ALLERGIE OU INTOLÉRANCE ALIMENTAIRE ?Chantal Archambault, diététicienne

27 avril LES INDES« RICHESSE ET PAUVRETÉ – SPLENDEUR ETMISÈRE »Jacques LeclercPrésentation visuelle

04 mai CIMETIÈRE NOTRE-DAME-DES-NEIGES (1854-2004)Johanne DuchesneYoland Tremblay

11 mai CONCERTJean Saulnier, pianiste

...se cultiver...se cultiverChristiane Léger

s i x

Le 11 novembre 2004 avait lieu le pre-mier colloque sur les régimes deretraite des fonctionnaires de la Ville deMontréal et la Communauté Urbaine deMontréal, organisé par le regroupementdes Retraité(e)s du 429.

Le but principal de ce colloque étaitdd’’iinnffoorrmmeerr lleess mmeemmbbrreess ddee nnoottrreerreeggrroouuppeemmeenntt ddee llaa nnoonn iinnddeexxaattiioonn ddeennooss rreenntteess ddee rreettrraaiittee..

Plus de 80 personnes étaient présentesau 7400 rue Saint-Laurent pour assisterà cette rencontre.

Après l’ouverture de la réunion parnotre président, M. Pierre Dorais, M.Jacques Veilleux, qui est conseillerfinancier, s’est adressé aux participantset a répondu aux interrogations desmembres sur divers aspects concernantleurs placements, fiducie de revenu,revenu vs croissance, etc.; le tout futfait avec un sens de l’humour qui a pluà l’auditoire.

Pierre Dorais a ensuite repris la paroleet expliqué le processus qui a mené à lacoordination qui s’est faite en 1966avec l’arrivée de la RRQ. Il a égalementdonné un aperçu des coûts reliés à l’ac-

ceptation ou au refus de payer plus oumoins 2 % de plus en contributionsannuelles pour éviter la coordination.Les membres s’étaient prononcés parvote secret à ce moment-là et avaientdécidé de ne pas verser le montantsupplémentaire.

MM.. GGaassttoonn LLeecclleerrcc

Monsieur Leclerc a étémembre du Conseil syn-dical de 1974 à 1985 eta fait partie du comitéde négociation qui estarrivé à une ententeavec la Ville après delongues discussions quise sont échelonnées de1977 à 1983.

Il a fait l’historique de lanégociation qui a amené l’assurance-salaire, l’assurance-dentaire, la notionde conjoint survivant pour les membresde sexe masculin ou féminin, la notionde conjoint de fait, le maintien pour lesmembres de sexe féminin qui pou-vaient quitter après 25 années de ser-vice eett llaa ccllaauussee dd’’iinnddeexxaattiioonn bbaassééee ssuurrll’’iinnddiiccee mmoonnééttaaiirree mmooyyeenn..

MM.. AAnnddrréé NNoorrmmaanndd

M. Normand a parlé de l’acte notarié de1983 concernant le remboursement dessommes non payées à notre caisse deretraite par l’administration municipale.

Il a également indiqué que des indexa-tions avaient été versées de 1983 àplus ou moins 1998, mais qu’il nousfaudrait vivre très longtemps pour qu’ily en ait d’autres avec la formuleactuelle qui est basée sur l’indicemonétaire moyen.

Il a également parlé de la Loi C52 de1990 qui a plafonné le taux de partici-pation à 2 %.

Il a également souligné que les négo-ciations se font toujours entre les syndi-cats et la Ville de Montréal et que lesdécisions sont entérinées par les mem-bres actifs, lleess rreettrraaiittééss nn’’aayyaanntt jjaammaaiissddrrooiitt aauu cchhaappiittrree..

MM.. MMiicchheell BBoouulliiaannee

M. Bouliane nous a parlé de la loi 414qui, en 1997, imposait une réductiondes coûts de main d’oeuvre dans lesmunicipalités, ce qui a amené les dif-férents syndicats de la Ville de Montréalà négocier une nouvelle cédule de rem-boursement de l’acte notarié, de ren-contrer les exigences de la loi 414 et de

CC OO LL LL OO QQ UU EE CC AA II SS SS EE CCOOMMPPTTEE--RREENNDDUU DDUU CCOOLLLLOOQQUUEE QQUUII SS’’EESSTT TTEENNUU LLEE 1111 NNOOVVEE

s e p t

négocier un partage des surplus actua-riels futurs.

Il nous a également entretenu sur lafaçon de disposer des surplus actuarielsaccumulés à la CUM. L’entente négo-ciée a permis d’augmenter de 33 % larente des retraités d’avant 1983, quin’avait jamais été indexée. Cetteentente a aussi amélioré l’indexationdes retraités d’après 1983 et des futursretraités, qui sont présentement actifs.

MM.. MMaarriioo LLaappooiinnttee

M. Lapointe nous a fait un historique dudébut des caisses de retraite en 1912,jusqu’au manque à gagner de plus de2$ milliards dans nos caisses en 1997.

Il nous expliqué qu’il reste encore undéficit de plus de 27 $ millions à rem-

bourser dans notre caisse avant de par-ler de surplus à se partager.

MM.. FFrraannççooiiss TTeeaassddaallee

M. Teasdale nous a parlé du projet deLoi 195 que nous devons appuyer pourprotéger nos droits. Ce projet de loi per-mettra aux retraités d’avoir un mot àdire sur d’éventuels surplus de nosrégimes de retraite, car en ce moment,uniquement les participants actifs peu-vent se prononcer sur le sujet. Il ademandé à chacun des membresd’écrire à son député, de lui téléphoneret de faire connaître à tous ces gens-làqu’il leur faut absolument entériner ceprojet de loi pour le bien des retraités.

MMoott ddee llaa ffiinn

Plusieurs participants ont pris la parole

afin d’obtenir des précisions sur certainssujets ou pour émettre leur opinion.

Le sentiment d’ordre général qui s’estdégagé de ce colloque en est un demobilisation de tous les retraités. Nosconditions ne s’amélioreront pas d’elles-même, nous devons nous en occuperactivement et rallier à notre cause tousles retraités, le SFMM ainsi que tous lesmembres actifs pour qui, notre réussiteaujourd’hui, deviendra la leur dansl’avenir.

Nous espérons que tous les membresde notre regroupement se joindront ànotre prochaine démarche pour fairevaloir nos droits à une rente décente,comprenant une indexation pour tousnos membres retraités d’avant 1983 etune formule renouvelée pour ceuxd’après 1983.

DD EE RR EE TT RR AA II TT EEEEMMBBRREE DDEERRNNIIEERR,, CCOONNCCEERRNNAANNTT NNOOTTRREE RRÉÉGGIIMMEE DDEE RREETTRRAAIITTEE

Yves Chalifour et André Normand

RRaayymmoonndd RRaacceettttee

« Je suis venu assister à la rencontre poursavoir où s’en va notre caisse de retraite.Savoir de quelle façon le regroupemententend mobiliser ses membres. La réuniona répondu à mes attentes. »

LLiissee OOuueelllleett

« Je suis ici pour voir ce qui se passe avecnotre caisse de retraite. Y aura-t-il des sur-plus un jour et si oui, quelles mesuresseront prises et de quelle façon seront-ilspartagés? Tout passe par la mobilisationdes membres. »

YYvvoonn NNaarrddeellllaa

« J’assiste à la réunion par geste de solida-rité envers le regroupement et les gens quiy mettent beaucoup de leur temps. Égale-ment pour parler des surplus à venir et dela redistribution qui en sera faite, c’est-à-dire indexation ou autre. »

RRoobbeerrtt MMoonnttrreeuuiill

« Il faudrait que les retraités contactent lesemployés encore actifs qu’ils connaissent,afin qu’ils nous appuient dans nos revendi-cations, car notre cause deviendra la leuréventuellement. Le SFMM devrait égale-ment être encore plus sensibilisé auxbesoins des retraités. »

ENTREVUES AVEC DES PARTICIPANTS LORS DU COLLOQUE

h u i t

LLaa llooii 110022

Malgré l’opposition des retraités, le gou-vernement du parti québécois a adoptéle 29 novembre 2000 le projet de loi102 qui exclut les retraités du processusde décision pour l’utilisation des surplusdans les caisses de retraite. Auparavant,aucun texte de loi ne définissait les pou-voirs concernant l’utilisation des surplusde sorte que tous les participants etl’employeur avaient la possibilitéd’obtenir justice lors de l’utilisation dessurplus dans leurs caisses de retraite.

L’article 146.1 de la loi 102 permetà l’employeur d’utiliser unilatérale-ment les surplus de la caisse pouracquitter ses cotisations. La seuleexigence est d’obtenir le consente-ment du syndicat si des participantssont syndiqués. Cette dispositionde la loi exclut les participants nonsyndiqués et les participantsretraités des discussions et du con-sentement sur l’utilisation des sur-plus.

La loi 102 est inutile tant pour les syndi-cats que pour les retraités et lesemployés non syndiqués mais tout à l’a-vantage des employeurs. En plus denier aux retraités le droit de se pronon-cer sur l’utilisation des surplus, elle lesprive de tout recours en justice contreleurs employeurs s’ils se sentent léséspar les ententes patronales-syndicales.De plus, elle prévoit qu’ils sont pré-sumés avoir consenti à une ententeentre l’employeur et le syndicat sansmême avoir l’opportunité de négocier oude se prononcer sur ces ententes.

Les retraités se sont mobilisés mas-sivement contre cette injustice pardes rencontres, des assembléesd’information, des manifestations.Des représentations auprès de l’an-cien gouvernement n’ont apportéaucun résultat.

LLee pprroojjeett ddee llooii 119955

En 2001, l’opposition officielle avait pro-posé une amendement à la loi 102 quiaurait eu pour effet d’obliger les

employeurs et les syndicats à soumettreles ententes sur des congés de cotisationà l’approbation des retraités. Le partiministériel s’est opposé à cette modifica-tion. Le parti libéral s’était alors engagépar la voix du député Henri-FrançoisGautrin à corriger l’injustice créée par laloi. Ce fut même un enjeu de ladernière campagne électorale. Le candi-dat Gautrin avait réitéré son engage-ment devant plusieurs centaines deretraités réunis au centre Montfortainpar la Fédération des Associations deretraités.

Cet engagement s’est concrétisé par ledépôt du projet de loi 195 le 13 mai2004. L’adoption de principe a été faitele 6 juin 2004. La commission par-lementaire des finances publiques aprocédé à des auditions particulièresentre le 8 et le 22 septembre 2004. Lacommission doit maintenant procéder àl’étude du projet de loi article par articleet présenter son rapport à l’Assembléenationale pour l’adoption finale. Cetteétude en Commission ne devrait pasdurer très longtemps car le projet de loin’a que quatre articles. L’article 1 duprojet est le plus important. Il modifiel’article 146.5 de la loi sur les régimescomplémentaires de retraite (la loi RCR)en créant l’obligation de soumettre àl’assentiment des retraités toute ententesur l’utilisation des surplus en congés decotisation pour les employeurs.

Dernièrement le député Gautrin, parraindu projet de loi, a assuré la FARQ(Fédération des associations deretraités) que son projet de loireviendrait devant l’Assembléenationale pour adoption avant la fin dela présente session.

DDeess mmeemmbbrreess àà ppaarrtt eennttiièèrree

La loi sur les régimes complémen-taires de retraite définit au chapitreII, article 6 qu’un régime de retraiteest un contrat dont le financementest assuré par des cotisations del’employeur seul ou de l’employeuret des participants. Cette caisseconstitue un patrimoine fiduciaire.Cette notion a été confirmée par la

Cour d’appel du Québec dans lacause Singer c. Châteauneuf. Lescotisations de l’employeur et del’employé font partie de larémunération des employés etconstituent du salaire différé versédans la caisse de retraite pourpayer les rentes. La loi RCR ditaussi au chapitre IV, article 33 qu’unemployé même à la retraitedemeure participant au régime.LLeess rreettrraaiittééss ssoonntt ddoonncc ddeess ppaarrttiiccii--ppaannttss aauu ccoonnttrraatt àà ppaarrtt eennttiièèrree..

Les régimes de retraite étant uncontrat distinct de la conventioncollective, il inclut les participantsactifs eett rreettrraaiittééss. Il est inadmissi-ble que les retraités soient exclusdes décisions concernant l’utilisa-tion des surplus.

CCoorrrriiggeerr uunnee iinnjjuussttiiccee

Le projet de loi 195 vient rétablirl’équilibre en donnant voix auchapitre aux participants retraitésdes régimes de retraite en leur per-mettant de se prononcer lors del’Assemblée annuelle des partici-pants. En cas de désaccord entreles parties le projet de loi prévoit lerecours à l’arbitrage du consente-ment des parties.

Il ne faut pas que soit remis enquestion le principe de justice misde l’avant par le projet de loi 195.C’est une question dd’’ééqquuiittéé eett ddeerreessppeecctt eennvveerrss lleess rreettrraaiittééss mmeemm--bbrreess ddee RRééggiimmeess ccoommpplléémmeennttaaiirreessddee rreettrraaiittee..

Des résolutions d’appui au projet deloi 195 ont été adoptées parl’assemblée générale annuelle duRégime de retraite des fonction-naires de la Ville de Montréal le 4octobre 2004 et par leRegroupement des syndicalistes àla retraite – Conseil régional FTQ duMontréal métropolitain (RSR –CRMM – FTQ) le 5 octobre 2004.

... corriger une injustice... corriger une injusticeFrançois Teasdale

CCaamm--CCoooopp,,CCAAMM--CCoooopp,, 66880055 bboouull.. ddeess RRoosseerraaiieess,, MMoonnttrrééaall HH11MM 33NN33,,ttééll.. :: ((551144)) 333344--66992200,, ddee ll’’eexxttéérriieeuurr ddee MMoonnttrrééaall,, ssaannss ffrraaiiss :: 11--880000--336633--44994400ttééllééccooppiieeuurr :: ((551144)) 338877--88551188,, ccoouurrrriieell :: bbbboouurrdduuaass@@ccaammccoooopp..ccoommssiittee WWeebb :: wwwwww..ccaammccoooopp..ccoomm

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...d’économiser+...d’économiser+

n e u f

Comité du journal :Jean-Claude Campeau,

Claude Yves Brunelle et Yves Chalifour

Le Père Noël était dans un état second !On était déjà le 24 décembre et rien netournait rond pour la grande fête qui sepréparait. Les lutins, aides de campdévoués du père Noël, faisaient grèveet manifestaient pour l’amélioration deleur condition salariale. Les renneschargés de tirer le traîneau étaient ivresmorts après une soirée trop arrosée etpire, ils avaient raté un virage et com-plètement détruit le seul moyen delocomotion du patron. Le boss était vrai-ment furieux :- J’arrive pas à le croire. Des lutins encolère, des rennes saouls et l’ange quej’ai envoyé me chercher un arbre deNoël dans la forêt qui ne revient pas !À ce moment précis, un petit angeentra dans la demeure du Père Noël et

s’adressa au colérique personnage :- Hé Papa Noël, où tu veux que je lemette le sapin au juste ?Furibond, le Père Noël se retourna ethurla :- Tu veux vraiment que je réponde àcette question ?Et de cette journée fort mauvaise naquitla joyeuse tradition du petit ange per-ché au sommet du sapin de Noël .

————————————

Et si malgré ses déboires, le gros barbuà la tunique écarlate parvenait quandmême à me payer une visite ?

Alors je ferai en sorte qu’il se sente trèsà l’aise :

- A la place du lait et des biscuits, iltrouvera une salade et une note luiexpliquant qu’il pourrait commencerun petit régime.

- Il y aura une copie de ma liste deNoël avec les changements et lescorrections de dernière minute.

- Le sapin sera décoré avec des oeufsde Pâques.

- Et un mot laissé sur la table, expli-quera que je suis parti pour lesvacances et qu’il pourrait arroser lesplantes en passant.

JJOOYYEEUUXX NNOOËËLL !!

...de sourire...de sourireRéal Turnblom

d i x

Comité exécutif

Pierre Doraisprésident

André Normandvice-président

Hélène Samsonsecrétaire

Pierre Parenttrésorier

Jean Laflècheadministrateur

Jean Racicotadministrateur

Michel Boulianeadministrateur

AACCTTIIVVIITTÉÉ RRÉÉGGUULLIIÈÈRREEDDééjjeeuunneerrss--rreennccoonnttrreess

En 2005, les déjeuners auront toujourslieu le premier mardi du mois.

DDaatteess àà rreetteenniirr :: 44 jjaannvviieerr,, 11eerr fféévvrriieerr,,11eerr mmaarrss,, 55 aavvrriill,, 33 mmaaii eett 77 jjuuiinn..

Toujours au restaurant Mike’s de laPlace Versailles à 9 heures.

N’oubliez pas de réserver en télépho-nant au (514) 842-9463

AACCTTIIVVIITTÉÉSS PPRROOCCHHAAIINNEESS

OORRAATTOOIIRREE SSAAIINNTT--JJOOSSEEPPHH RRAAPPPPEELL

N’oubliez pas de réserver votre placepour la visite à l’Oratoire Saint-Josephle jeudi 20 janvier prochain. (Voir publi-cation précédente du journal)

QQUUIILLLLEESS

Pour la cinquième année, nous vousproposons un avant-midi de quillesentre amis au Centre de quilles Anjou-sur-le-Lac. Il n’y aura ni compétition, nidéfi, simplement du plaisir. Par lasuite, nous prendrons le repas aurestaurant Les Dauphines, au mêmeendroit. Le chef nous proposera unchoix de deux entrées, deux choix deplat principal, un dessert, café ou thé.Les boissons alcoolisées sont à vosfrais.

DATE : MARDI, LE 15 FÉVRIER 2005

HEURE: Arrivée à 9 h et début dujeu à 9h30

ENDROIT : Centre de quilles Anjou-sur-le-Lac11 200 Renaude-Lapointe,Anjou

COÛT : 20 $ par personne pour lesmembres et leur escorte25 $ par personne pour lesnon membres20 $ pour le dîner seulement

RÉSERVATION : En téléphonant au(514) 842-9463 et en faisant parvenirvotre paiement avant le mmaarrddii,, 2255 jjaannvviieerr 22000055

Le coût comprend trois parties dequilles, le dîner, les taxes et le service.Possibilité de location de souliers aucoût de 1,50 $.

SSOOUUPPEERR AAUU CCEENNTTRREE DDEE FFOORRMMAATTIIOONN PPRROO--FFEESSSSIIOONNNNEELLLLEE CCAALLIIXXAA--LLAAVVAALLLLÉÉEE

Considérant l’excellence du repas quinous est offert à chaque année, cetteactivité très appréciée, nous revient denouveau cette année. Nousprocéderons comme par le passé et cesouper est réservé uniquement à nosmembres et leur escorte.

DATE : Jeudi, le 17 mars 2005

HEURE : 18h30 (arrivée à 18 h)

ENDROIT : 4555 rue AmosMontréal-Nord(une rue au sud du boule-vard Henri-Bourassa, à l’estdu boulevard Pie IX)

COÛT : Le repas et les boissonssont aux frais des convives

RÉSERVATION : MMAAXXIIMMUUMM 9900 PPEERRSSOONNNNEESS

En téléphonant au (514) 842-9463entre le 11eerr eett llee 1111 mmaarrss 22000055

AACCTTIIVVIITTÉÉSS RRÉÉCCEENNTTEESS

…… ttoommbbeerr …… ddaannss lleess ppoommmmeessGuy Bureau

Ce jeudi matin, 7 octobre 2004, toutétait au rendez-vous pour une belleactivité nature, que nous attendionsavec impatience. L’organisatrice,Francine, avait commandé soleil etchaleur ; ils étaient au poste avec, enplus, la féérie des couleurs des feuillesd’automne. Un pur délice pour lesyeux.

À notre arrivée, retrouvailles, poignéesde mains, accolades, comme si nous nenous étions pas vus depuis longtemps.Puis, certains se sont laissés tenter partous les bons produits du terroir quinous étaient offerts, tels tartes, confi-tures, compotes, produits de l’érable,etc. au risque de prendre du poids oude faire monter la glycémie. Aprèstout, le régime, ce sera pour… demain.

...se divertir...se divertir

o n z e

S’ensuivit la traditionnelle balade entracteur, jusqu’aux pommiers qui ployaient sous les beaux fruits mûrs,attendant d’être cueillis. Après les expli-cations d’usage de notre hôte sur les dif-férentes sortes de pommes, leur localisa-tion respective dans le verger, ce fut« l’assaut » sur les pommiers et… lavalse-hésitation : je cueille celle-là? Parcontre, l’autre est plus grosse. Oui, maiscelle-ci est d’une plus belle couleur; lavoisine, plus petite, mais mignonne etplus ferme. Peut-être dans le pommierd’à côté?

Après que les sacs furent remplis debelles pommes, que chacun en eût cro-qué quelques-unes, ce fut le rassemble-ment au milieu du verger, à jaser, bla-guer, en attendant le retour à l’accueil.Durant cette pause, une superbe voléede bernaches du Canada, sans sa forma-tion de vol typique en V est venue nousdire, de ses cris joyeux, « au revoir »jusqu’au printemps prochain.

Le tout se termina à la cabane à sucre LeBucheron, par un bon dîner, agrémentéde musique et chansons rétro, ce qui futl’occasion pour certains de démontrerleurs talents de danseurs et par le tiragede prix de présence.

Ce fut en somme une journée de pleinair et une activité sociale inoubliables.Merci à l’organisatrice, Francine Durand,et souhaitons que nous répèterons l’expérience l’an prochain.

HHIIPPPPOODDRROOMMEE DDEE MMOONNTTRRÉÉAALL 1144--1111--0044Yvon Beauchamp

Contrairement aux années passées, latempérature était splendide.

Tous les participants ont apprécié lemagnifique brunch servi ainsi que la pos-sibilité de miser quelques dollars sur soncheval préféré.

L’ambiance était à la fête et à la détente.

Bien que le nombre de participants futinférieur à celui de l’an passé (48 person-nes) tous ont apprécié cette journéeexceptionnelle.

Le temps de ...

Le temps de ...

...se divertir (suite)...se divertir

d o u z e

RRÉÉSSEERRVVAATTIIOONNSS

Les réservations pour toutes les activités doivent se faire

OOBBLLIIGGAATTOOIIRREEMMEENNTT en téléphonant au (514) 842-9463. Ensuite, un

chèque libellé au CCOOMMIITTÉÉ LLEE TTEEMMPPSS DDEE VViiVVRREE doit être envoyé au

429, rue de la Gauchetière est, Montréal (Québec) H2L 2M7.

Certains membres font parvenir leur chèque sans avoir préalablement

réservé par téléphone. Si l’activité s’avérait complète, nous serions

dans l’obligation de refuser leur inscription.

Bulletin trimestriel Les retraités-es du 429 (SFMM)Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SCFP), 429, rue de La Gauchetière Est, Montréal (Québec), H2L 2M7. Téléphone : (514) 842-9463, boîte vocale 250, Télécopieur : (514) 842-3683Courriel : retraites429@sfmm429.qc.caWeb : www.sfmm429.qc.ca

Reproduction permise avec mention de la source

NNOOTTEE : Le masculin est employé comme genre neutre uniquementdans le but d’alléger les textes.

Responsables du journal : Jean-Claude Campeau, Claude Yves Brunelle, Yves ChalifourRédaction : Les Retraités-es du 429 (SFMM)CCOOLLLLAABBOORRAATTIIOONN :: Yvon Beauchamp, Guy Bureau, Jean-ClaudeCampeau, Yves Chalifour, Pierre Dorais, Francine Durand, RogerLagacé, Christiane Léger, André Normand, François Teasdale,Réal Turnblom.Photos : Yvon Beauchamp, Claude Yves Brunelle

Infographie : Marcel Huot, Legris Service LithoLe temps de ... est publié à 2300 exemplaires

CCHHAANNGGEEMMEENNTT DD’’AADDRREESSSSEE Jean-Claude CampeauLe Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SFMM) possède sa propre banque d’adresses qui fonctionne indépendam-ment de celles de la Ville ou de la CUM. Lorsque vous déménagez, il devient important d’en aviser le SFMM, car le Syndicat, notre

association de retraités et le Fonds de Secours maladie-accidents s’alimentent à ce fichier pour acheminer votre courrier.